BE626497A - - Google Patents

Info

Publication number
BE626497A
BE626497A BE626497DA BE626497A BE 626497 A BE626497 A BE 626497A BE 626497D A BE626497D A BE 626497DA BE 626497 A BE626497 A BE 626497A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
solids
sep
elements
marine
seawater
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE626497A publication Critical patent/BE626497A/fr

Links

Classifications

    • CCHEMISTRY; METALLURGY
    • C05FERTILISERS; MANUFACTURE THEREOF
    • C05DINORGANIC FERTILISERS NOT COVERED BY SUBCLASSES C05B, C05C; FERTILISERS PRODUCING CARBON DIOXIDE
    • C05D9/00Other inorganic fertilisers
    • C05D9/02Other inorganic fertilisers containing trace elements

Landscapes

  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Chemical Kinetics & Catalysis (AREA)
  • Inorganic Chemistry (AREA)
  • Organic Chemistry (AREA)
  • Hydroponics (AREA)
  • Fertilizers (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  "Engrain à base d'eau de mor 
 EMI1.1 
 et non Pl'O(Ó<1Ó el 'ut.l.lin"tton" 
La présente invention se rapporte d'une façon générale à un procédé d'application d'eau de mer et de   oolides   obtenus par évaporation d'eau de mer comme en-   Crais   agricole et elle concerne également de nouvelles solutions nutritives   hydroponiques.   Plus particulière-' ment, l'invention ce rapporte & l'utilisation de solides d'eau de mer, soit à l'état solide, soit en solution et dans des proportions variées selon les exigences des di- 
 EMI1.2 
 vorseo récoltée. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   L'invention envisage l'emploi comme engrais d'eau de   mer,   de matières solides inaltérées obtenues de l'eau de mer et   aussi de   solutions d'eau de mer et de tels   solides.   Eventuellement, on peut mélanger   ces     divers   produite avec des composes   azotés,     les   propor-   tions   de chaque constituant ainsi que la quantité tota- le do l'engrais dépendant du type de récolte qu'on se propose de cultiver. Dans la suite de la présente des- cription, on utilisera   l'expression   "solides marins" pour   daigner   lep divers solides   récupérés   dans l'eau de mer par   évaporât ion.        



   Le sol subit des pertes de   fertilité   de diver-   ses     façons,   et Ion   rainons   prinoipalen nont Ion suivan- ten:(1)   enlèvement   des   produit    alimentaires du sol sans   des   éléments qui ont été   vonduH   à la consommation ou   autrenont   utilises ; (2) érosion par le vont et par l'eau,   principalement   en raison d'une utili-   sation   non rationnelle du sol. A toutes fins utiles, la pluie eut do l'eau   distiller   constituant le meilleur solvant naturel.

   Si l'on permet à l'oau de pluie de s'échapper rapidement du sol,   elle,entraîne   avec elle un   grand   nombre d'éléments en dissolution et en suspen- sion et (3) des   procédés   d'agriculture   médiocres,   notamment en ce qui concerne l'assolement et le non- remplacement d'éléments minéraux. 



   Dans une grande partie de la superficie totale des terres cultivées, l'érosion a réussi à enlever une quantité considérable de la surface primitive du sol. 



  Partout dans le monde, des mesures ont été prises pour   endiguer   cette calamité. Toutefois, le problème reste 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 toujours gigantesque et paraît loin d'être résolu. Il est certain que l'augmentation de la teneur organique du sol et le contrôle de l'eau réalisé par la construc- tion de barrages et par l'amélioration des voies d'eau ont beaucoup fait pour préserver la terre. Le reboise-   ment .et   une répartition judicieuse des cultures ont per- mis de lutter assez efficacement contre l'érosion par le vent* Des   millions   de tonnes d'engrais artificiels ont été utilisés pour ne remplacer qu'une toute petite partie des éléments principaux perdus par l'érosion et par la continuité des   cultures.   



   Depuis quelques années, des efforts ont été faits pour rendre au sol certains des micro-éléments ainsi que les macro-éléments. Les agronomes ont révélé de nombreux cas dans lesquels les maladies des plantes à virus, cryptogamiques ou môme bactériennes étaient dues à une déficience dans le sol d'un ou de plusieurs éléments*   On a   également relevé d'autres cas où une plante   paraissant   parfaitement saine n'en souffre pas moins du   défaut   de certains éléments et provoque ainsi des maladies animales. 



     A   la suite d'études concernant des éléments présents sous forme de traces, il ressort très claire- ment que des carences de certains éléments ou un mauvais rapport entre les éléments présents se répercutent sur les plantes alimentaires. D'autre part, la vie des ani- maux est tributaire de ces plantes, tandis que celle de l'homme est tributaire des deux. On peut donc conclure en disant qu'avec les années, la nourriture absorbée par   l'homme   se reflète sur son état de santé   ot   sur les 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 diverses maladies dont il souffre. 



   Puisque la vie dos plantes est tributaire du sol où   Iles     poussent   pour recevoir tous'les éléments qui leur sont   nécessaires,   la présente invention   cher-   che, sous son aspect le plus large, à rendre au sol tous ces   éléments   ainsi que d'autres, qui' tous sont contenus dans l'eau de mer,   On   sait que les éléments, comme l'énergie, ne peuvent être ni créés ni détruits. On peut simplement les déplacer d'un endroit à un autre.

   En venant compte de la perte gigantesque d'éléments aboutissant dans la mer par suite de l'érosion, on a procédé à des   expérien-   ces pour déterminer l'effet que l'application de six éléments différents prélevés dans l'eau de mer aurait sur la croissance des plantes ,On a montré que l'incor-   poration   dans le sol   d'un   ou plusieurs éléments crée des problèmes innombrables, particulièrement des problèmes de blocage,   Des   études sur les effets du blocage   d'un   élément par   !un   autre ont montré non seulement que les éléments se bloquent mutuellement mais aussi qu'ils ont des effets de blocage différents dans des circonstances différentes influant sur la disponibilité des éléments,

   On le remarque spécialement quand on modifie le pH du sol. 



   On a maintenant trouvé qu'il est possible de réaliser une nutrition efficace en donnant; aux plantas les éléments qui leur sont nécessaires pour la croissan- ce, sensiblement dans la proportion et dans le rapport exacts dans lesquels ces éléments se trouvent dans l'eau de mer, lies sels les plus solbles qu'on trouve dans la 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 
 EMI5.1 
 borrti non!;

   <'xt:rff!t<mcnt '1ùon'll.lntll c1nnfl l' ()(\u du mur. lie rtr'Icrr'ut'r r) n nfJd 11Iftl rlit 1'l'olÀiti ttJ1H1 un*  concentrait oa filua ;1'cxa.to 4ana la mur quo n' i mflQf1tu quul unira i.JI1 
On sait que le chlorure de sodium, seul et dans des concentrations très importantes, est   toxique   pour loc plantes    En.   conséquence, pour essayer son effet sur les   plantes,   on a utilisé des concentrations très faibles 
 EMI5.2 
 d.leaq $0 mer, Les essais ont été effectués sur des plan- tes en pote ou   dans   des parcelles, et on a trouvé de 
 EMI5.3 
 façon étonnante que l'eau do mer et les solides marins comprenant environ 3,5 % d'eau de me*1* peuvent être ap-   pliqués   au sol en des concentrations relativement impor- 
 EMI5.4 
 tantes uanc effet nocif pour lea plantes.

   On obtient 0(;.1 solides on évaporant 1.' cau peu près oompl.:,t/')lM'nt pour laiouer les solides sous forme de sels. La quantité op-   timale   pour la plupart des céréales et légumes, dans la zone tempérée, a été trouvée comme étant comprise entre 
 EMI5.5 
 6a4 et 2.47 kg/ha.

   On applique le sel à l'aide d'un   distributeur   de chaux classique à un taux de 624 à   2.497     kg/ha.   De préférence, on broie d'abord le sel dans un broyeur à pierres meulières avant dû le distribuer et on le mélange de temps à autre au cours de son appli- cation pour assurer une distribution   précise*   
 EMI5.6 
 Dan:;! un autre mode de réalisation, l'invention concerne la tochnLquo dite culture hydroponique, t'est  à-dire la culture des plantes en utilisant des sels mi-   néraux   en solution au lieu de terreau, et plus   particu-   
 EMI5.7 
 lièrement une nouvelle solution nutritive et un procédé du culture hydroponiquo.

   Selon ce procédé, on fait pour;- sup les plantes hydroponiquement, on donnant aux grainez 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 
 EMI6.1 
 ot/ou aux plantas pour loti faire poumior enauite, loti <16Mcntn qui. leur tH.H1t nt\"{ILHÜt'UO pour la ol'o1LHHU104J un Uwo1tHQn 44H Ilu4il, datt<j W'l1t l'PûixwHon  fc avec un rapport sensiblement les mtmos que ceux de qes môrooa   éléments     dans   les solides   marina   dissous. 
 EMI6.2 
 



  Jusqu'à présent  les solutions dans l'eau çont na 1î des proportions variées de potassium, phos- phore, caleïum soufre ut magnésium, ensemble avec deu trace de tort bore, zinc ot cuivre, ont été utilisées pour faire pousser divers typos do fleurs ot lëgumou dans des plate-bandon hydroponiques. Pour la culture hydroponiquo, on n'utilise pas de terre, les plantée étant supportées, si nécessaire, par des dispositifs mt$c.o.niqucl.1 talc que dN' fila do òr et rajaoo Our len- quels la plante peut grimper.

   On utilise habituellement du gravier bien lavé ou une autre matière granulaire inerte   pour   former uno fondation pour les racines de la plante   choisie    Dans beaucoup de cas, la plante ne né- 
 EMI6.3 
 celate aucun support supplémentaire quand on la fait pousser dans   sa   saison de croissance normale.

   
 EMI6.4 
 On sait que la structure et les fonctions do   'toutes   les plantes sont une question de chimie,   uand   on   semé   une   graino   dans le sol, ses   premières     diviuiona   
 EMI6.5 
 de cellules nu sont tributaires de 1 ' environne-raont qu'un ça qui concerne 3.' humidité  Apl'èa que la graine a germé, le développement çhiaiquo de la plante dépend entière- ment de l'environnement   extérieur.     Naturellement,

     la 
 EMI6.6 
 plante ne peut oo développer qu'en utilisant les 614e- ments   nutritifs   qui sont   disponibles.   La source de ces   éléments   est le sol dans lequel elle   a été     Damée.   De 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 plus, tous les éléments doivent être sous forme minérale ou de sels, en. suspension ou en dissolution dans l'eau, avant que la plante ne puisse les utiliser. Si certains éléments sont absents du sol ou s'y trouvent sous une   forme   non disponible pour la plante, cette dernière aura   'une   structure chimique différente de celle qu'elle au- rait si elle avait pu utiliser tous les éléments   néces-     saires   pour son développement, dans le sens chimique. 



   Le principe de la culture   hydroponique   ect basée sur la connaissance du fait que les éléments es- sentiels pour la croissance des plantes doivent   être   fournis à la plante en cours de croissance sous une for- me chimique disponible pour être utilisés par la plante. par exemple sous forme de composés dissous de divers types présents dans l'eau fournie aux plantes.   En     consé-   quenco, les solutions nutritives   hydroponiques     classi-   ques contiennent habituellement des proportions varia- bles des éléments principaux des cendres qu'on retrouve pratiquement dans toutes les plantes, à savoir :les potassium, phosphore, calcium,   soufre,   magnésium, bore, sodium et chlore.

   Parfois, on retrouve également des traces de for, zinc et cuivre. Récemment, on s'est rendu compte de   l'extrême   importance découlant de l'inclusion dans des engrais usuels de traces   d'éléments   divers, quand ces   engrais-sont   utilisés pour les   divorces   cultu- res du sol. Bien que ces traces ne jouent, quantitative ment parlant, qu'un petit rôle dans la structure chini- que d'un organisme de plantes vivantes, beaucoup   d'entre   eux ont maintenant été juges essentiels pour la poussés de certaines récoltes. 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 



  On a découvert que la nutrition la plus effi- 
 EMI8.1 
 eace pour des plantes poussant en lits hydroponiquec It obtenue en fournissant les l- liment nécessaires pour la croissance sous force de sels minéraux dissous dans l'eau, et toujours dans des rapports bien tJétarrn .. nés, De façon étonnante, on arrive à ce résultat en v.'é- pe,ra4 wo solution nutritive de tels éléments, sensi- p+p.l1lent dans les rapports mutuels exacts dans lesquels ees éléments se   retrouvent   dans les solides marins dis-   sous.   Tous les   éléments   nutritifs essentiels peuvent être fournie pour la nutrition complète en n'utilisant   qu'une   seule solution constituées par de l'eau de mur   diluée.   De préférence,

   on obtient les   solutions     nutriti-   ves en   faisant   dissoudre des solides marins   complots   dans de   l'eau   douce pour réaliser dos solutions   diluée*,   
 EMI8.2 
 contenant da 1000 à 800<? parties par million de solidec marins, environ. 



  Pn utilisant les techniques hyîroponiques, on peut fournir les éléments nesontioln sélectionnés pour la croissance sousune forme appropriée et on des quan- tités   réglées.   Ces éléments en solution aqueuse sont   facilement     disponibles   pour être   assimilés   par la plante en   croissance,   Jusqu'à présent, une partie du problème était   due 4   la difficulté de déterminer exactement celui ou ceux des   clients   réellement essentiels pour la crois-   sance   de la plante considérée, qu'il s'agisse d'une ré- 
 EMI8.3 
 çote alimentaire (léguées, fruits et graines) ou qu'il s'agisse de fleurs, d'arbrisseaux ou d'arbres.

   Pour le moment, on a   définitivement   identifié une soixantaine d'éléments de planton, dont plus d'un tiers sont consi- 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 
 EMI9.1 
 drca cotise enjuntiols pour une nutrition complète <1--' planton ou d'animaux. Beaucoup d'autres {.J (.1r.!lt; cont encore uur la l1:1Uo don probabilités. La ctajcurc partie d'une plant ? vorte t.,r,t composée d'un nombre relative "##<#?! faible d1 éléments. ',3 ;c du poids sec du la. plante :3t,=x. 
 EMI9.2 
 constitués par le.: quatre éléments énergétiques *. le 
 EMI9.3 
 cartono. 1. 'hydro;,no, 7.'caxyt;sr.c ot l'azote. La m:,,jsnx: partie, main non la totalité, don 9 ;  rot1tant du po3.d:: vat Gonati tu,t10 don principaux éléments de cendrée qu'on appelle leo "macro.-nutritixs". Ce sont les phosphore, patr;.x7i,um, calcium, magnésium, silicium, sodiunt, coufre et chlorn.

   Mo1nn d 1 du poidn DOC total ont can:3t.tu' par don traces Il' 611P1'1nts qu'on appelle "micro-nutri- tifs". Cependant, certains de cen éléments qui ne coiit - présents qu'on quantités infimes sont tout aussi esoen- tiola à la. croissance que ceux qui constituent la majeu- rie partie do la plante. 



  TOU;1 11.;11 minro-nutritifo ocsontiolc peuvent 3tr: fournie aux plantes P{l1' voie bydroponiquo en lui- sant 'ouu.''3r les planton dans des colutions diluée;: d'eau de 1Twr ou 'Lan;: uno solution c^u4ur;c= du ,aoldu: marin!.' complets. f CI:; ijolidcs marins peuvent être obtenue un annéchant l'eau de C1:'r d'un océan quelconque.

   Gén'¯ ralomont, pour des raisons économiques et notamment 1..J;.1 frais) de transport, on évapore l'eau de mer à pou pr<'sn coil'Ya.t.'tryiitlxzt:e le. produit final confient ez:3frntr:.G l,la:^zt.rit la t{!lW\U' pondérait; totale do chacun des éléments miné- rat  primitivement présents rous forme de solides bizous 
 EMI9.4 
 dans 'l'eau de mer évaporée, y compris la quantité ini- tiale de chlorure de sodium contenue dans cette eau, 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 
 EMI10.1 
 chacun. des 14ll1CntJ étant pruncnto oonsiblcmont dans la meme proportion et dans la môme rapport vis-à-vis dos autres éléments que danu l'eau du oor non traitée* Lo tabluau ci-dessous ênumbro tous les clémentc 9.u on retrouve d'mi l'tmu de mer sous forme de solides minéraux ) à l'exception de l'hydrogène, oxygène et au- ti00-OUZ ùi.loou::1.

   Lco i5lÔKonta no sont pau indiquas aorrune d(.'s ionu mais commtt loo quantités de chaque élé- ment tel qu'il se retrouve dans l'eau,, par exemple dani> . de 11 eau chlorée à 19 %' Le cadmium, ld chrome, le Obf,\l.1 et l'étain août inclus du fait qu'on les a rie- trouvas I.\MI3 la cendre dec orGEú1.iomoa marina, ut on en conclut qu'ils se retrouvent danc de l'eau do mer, bien que juaqu'à présent on n'ait pu les isoler directement. 
 EMI10.2 
 



  Chaque litre d'eau de mer contient environ 27,32 g do chlorure de sodium. On prépare des solutions nutritive: 
 EMI10.3 
 epproprieer en, diluant l'eau de mer dans de l'eau douce, chaque 1000 kg de solution nutritive contenant de z z 225 ho d'eau de mer. 
 EMI10.4 
 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 
 EMI11.1 
 



  TABLEAU l - SOLIDES liARIKS --.¯------------      
 EMI11.2 
 Parties par million, Kg/kg Parties par million, mg/kg Chlore 18.980 Cuivre 0,001-0,01 Sodium 10. :ï61 Zinc 0,005 
 EMI11.3 
 
<tb> Magnésium <SEP> 1.272 <SEP> Plomb <SEP> 0,004
<tb> 
<tb> Soufre <SEP> 884 <SEP> Sélénium <SEP> 0,004
<tb> 
<tb> Calcium <SEP> 400 <SEP> Césium <SEP> 0,002
<tb> 
 
 EMI11.4 
 -## latacssium 380 Uranium 0,0015 
 EMI11.5 
 
<tb> Brome <SEP> 65 <SEP> molybdène <SEP> 0,0005
<tb> 
<tb> Carbone <SEP> 28 <SEP> Thorium <SEP> 0,0005
<tb> 
<tb> 
<tb> Strontium <SEP> 13 <SEP> Cérium <SEP> 0,0004
<tb> 
<tb> 
<tb> Bore <SEP> 4,6 <SEP> Argent <SEP> 0,0003
<tb> 
<tb> 
<tb> Silicium <SEP> 0,02-4,0 <SEP> Vanadium <SEP> 0,0003
<tb> 
<tb> 
<tb> Fluor <SEP> 1,4 <SEP> Lanthanum <SEP> 0,0003
<tb> 
<tb> 
<tb> Azote <SEP> 0,01-0,7 <SEP> Yttrium <SEP> 0,0003
<tb> 
<tb> 
<tb> Aluminium <SEP> 0,

  5 <SEP> Nickel <SEP> 0,0001
<tb> 
<tb> 
<tb> Rubidium <SEP> 0,2 <SEP> Scandium <SEP> 0,00004
<tb> 
<tb> 
<tb> Lithium <SEP> 0,1 <SEP> Mercure <SEP> 0,00003
<tb> 
 
 EMI11.6 
 Phosphore 0,0(?14,4. Or 0,000006 Baryum 0,05 Radium O2-3xlO-lo 
 EMI11.7 
 
<tb> Iode <SEP> 0,05 <SEP> Cadmium
<tb> 
<tb> Arsenic <SEP> 0,01-0,02 <SEP> Chromo
<tb> 
<tb> Fer <SEP> 0,002 <SEP> Cobalt
<tb> 
<tb> Manganèse <SEP> 0,001-0,01 <SEP> Etain <SEP> 
<tb> 
      
 EMI11.8 
 .Eventuellement, on peut utiliser onsemblu v.c la solution diluée do solides marins, des encrais azote-j classiques tels que les nitrates do potassium et; d'arT.o- nlum, le sulfate a 1 ammoniwn, 1 turée etc..., afin i ::i ;,t. ni  w solution nutritive contenant de l'azote rMl- 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 
 EMI12.1 
 tiqpnel.

   En variante, on.peut fournir de l'azote par voie indirecte en utilisant l'organisme azatobacter, et dans ce cas les engrais classiques à l'azote ne sont pas nécessaire, Dtune fugon générale, on peut faire pousser tpu;3 les types de plantes multicellulaires par voie hydroponique   dans de   l'eau   contenant   des   suis     marins     dessous,   Dans ce groupe sont inclus les fruits, les légumes, lua baies, les plantes   maraîchères ,   les 
 EMI12.2 
 ,omatep$ ainsi que les graines toiles quo le blé, l'or- ge,   l'avoine,     etc..,   On peut obtenir les Solides   marine   en abondance à partir de sources   naturelles.,

     par exem- ple aux endroits où un bras de mer a été emprisonné dans une zone côtière de basse altitude et n'est   dés:3é-   
 EMI12.3 
 c5>é entièrement, ou, encore, 'on peut: fabriquer ces pro- duits directement par 6vaporatîon de l'eau de mer. Il est seulement essentiel que toute la teneur minéralo de   l'eau   de mer soit conservée au cours du processus de   séchage,   de   sorte   que le produit final obtenu contienne   essentiellement   le poids total de tous les   déments   mi- 
 EMI12.4 
 néraux qui étaient présents nu départ dans l'eau do mer évaporée, y compris la quantité primitive de chlorure de sodium.

   On peut fabriquer des solutions   hydroponiqucc   selon l'invention en mélangeant simplement ensemble les divers éléments essentiels requis, aussi longtemps qu' ils sont incorporés dans la solution dans les rapporta 
 EMI12.5 
 globaux sensiblement los m8mef: qu'ils avaient dans l'eau du mer. Cependant, de   préférence   et uniquement pour des raisons économiques,   on utilisa   dans la plupart dos cas 
 EMI12.6 
 d.j>a solides marins naturels et non pan une matière formée 

 <Desc/Clms Page number 13> 

 
 EMI13.1 
 artifioiolivnnt. 



  Los cxomplco suivants sorvont à illuutrer l'invention oana aucunomont on limiter la portée. 



  EXEMPLE! - Petitun parc.-lloa On a broyé Itin noiidcs marins complets et on les a appliquée un quantités équivalant à 3.405 kg/ho. 



  4 uno peroollo ayant 2,28 x 27,74 mêtrer, d'un   champ   de maïs à une- époque. où le mats avait   atteint   une autour de 10 cm. 
 EMI13.2 
 



  Los résultats do cotte exp4rienoo ont montra que (a) Les solides marins n'ont ou aucun effet fâcheux sur la croissance du mats 
 EMI13.3 
 (b) Unîforinit6 du la croinsance mata oxpérlmontal - :3cn:::iblcment exempt de petits épïn malforwyn, d'line hauteur uniforM<j. mais témoin - répartition usuelle de petite 6pio malform6a   - variation   normale de la      
 EMI13.4 
 dimension dos tigcn ; (c)   Ronflements :     Expérimental   - longueur supérieure de 3,31 cm (on moyenne) au témoin, 
Témoin - en moyenne 0,95 cm de moins de diamètre que l'expérimen-   tal ;    
 EMI13.5 
 (d) La parcelle expérimentale a donné 363 kg/ha do plus que la parcelle-témoin. 



  EXEMPLE II - I'-ctaggr Un esnai un potager a consisté il appliquer 

 <Desc/Clms Page number 14> 

 
 EMI14.1 
 3,405 les/ha do solides marins compléta à une parcelle ayant 3x6 métros, qu'on a malaxée dano le sol avant do   planter   don   radis,   des haricoto, des petits pois, des carottes et des laitues. On a planté les mêmes pro- duits dans une parcelle-témoin non fertilisée avec des solides marins.

   Tous les   légumes     qui   ont   poussa   dans la parcelle   expérimentale   avaient un meilleur   coût   que ceux de la parcelle-témoin, et d'autre part on a pu faire quatre récoltes de laitues au lieu de deux   dans   la par- 
 EMI14.2 
 colle-téctoin. en Essaip en chf3J11P. à I$l"ande échelle dans l,lll.inois-4Etats-Unîs d'Amérique) Aiu* Essaie avc l'avoin0 tQ-2 4rl Les solides marins broyés dans un broyeur à plerroi meulières jusqu'à une texture troc fine ont été appliqués en utilisant un distributeur du modèle "Ten-Foot Fertiliser Sprcader1' de la International Harvcoter. 9.979 ke de oolidos marins ont été répartie sur 4 lia d'un champ d'une superficie totale de 7t7 ha en laissant ainui ,7 ba de terre témoin.

   On a mulax1- les COUd,1)8 marina à une profondeur variant do 10 à 18 cr. en utilisant un cultivateur de 3,60 mètres et après cela on a   éparpille   do l'avoine "Bonda" et on l'a répartie sur tout le champ de 7,7   ha.   Des fortes pluies ont eu lieu le 4 Juillet. 
 EMI14.3 
 à Yai -, On a observé que l'avoine poussait bien, l'avoi- ne témoin semblait être plus grande que l'avoine expérimentale . 
 EMI14.4 
 



  2 Mal w L'avoine teaoin a dépasse en hauteur l'avoine expérimentale de 2,5 à 3,8 em- 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 7 Jusin- Les deux typer, d'avoine ont atteint environ   23 cm'.   



  10 Juin- On a observé une différence de couleur, la ligne de démarcation exacte entre la parcelle traitée et la parcelle témoin a apparu clairement à travers le centre du champ. L'avoine expérimentale était d'un vert beaucoup plus foncé. Les lapins et les sauterelles   son-   blaient marquer une nette préférence pour l'avoine ex-   périmentale.   



  13 Juni- Les vaches qu'on faisait passer sur la route voisine ont marqué une nette préférence pour l'avoine expérimentale poussant au bord de la route. 



  14   Juin -   Différence de couleur entre les avoines plus prononcée. 



    18    Juin -   Formation des épis, avoine expérimentale plus avancée. 



  21 Juillet - Avoine de la parcelle expérimentale   pr6te   à être coupée. 



  24   Juillet *   L'avoine des deux parcelles a été coupée. 



    On   a trouvé dans l'avoine expérimentale moins de rouille et un poids de cendre plus élevé. 



   Rendement-avoine 
 EMI15.1 
 
<tb> Parcelle-témoin <SEP> - <SEP> 3.450 <SEP> kg/ha
<tb> 
<tb> Parcelle <SEP> expérimentale <SEP> - <SEP> 4. <SEP> 086 <SEP> kg/ha
<tb> 
 
B - Essai avec le mais   25-30   Mai- On a appliqué du fumier le 25 Mai à 12 ha d'un champ de 16 ha. Les 29 et 30 Mai, on a applique des solides marins   (2.49?   kg/ha) de la même facon aue   ci-     dessus   à une parcelle non traitée de 4 ha en laissant lep   12 ha   restants comme parcelle-témoin. 

 <Desc/Clms Page number 16> 

 



  8-9   Juin -   Mats précoce planté dans tout le champ. 



  En même temps, on a appliqué à tout le champ 58 à 91 kg/ha   d'un   engrais azoté ("engrais industriel   2-12-12").   



  14 Juillet- Le mats sortait do terre, pas de différence* visible. 



    22 juillet -   Le mais a   commencé à   former des aigrettes. 



  1er   Août      Formation d'aigrettes du témoin plus avancée que celle du maïs expérimental. 



  23 Août 0 mats des deux parcelles de même hauteur et do môme couleur. Chaque épi, sur une portion de   1,98   ha de la parcelle expérimentale et sur la môme superficie de la parcelle-témoin, a été soigneusement inspecté pour détecter des traces de charbon, de nielle ou de carie. 



    Résultats ;   le témoin avait   384   % de caries visibles en plus que le mais de la parcelle expérimentale. 



    .Rendement-mais   
 EMI16.1 
 
<tb> Parcelle-témoin <SEP> - <SEP> 6.810 <SEP> kg/ha
<tb> 
<tb> Parcelle <SEP> expérimentale <SEP> - <SEP> 7.990 <SEP> kg/ha
<tb> 
 EXEMPLE IV- Alimentation animale   poussée   sur un terrain traité avec solidesmarina 
La saison qui a suivi les essais décrits à l'exemple prudent, le Demandeur s'est procuré 306 poussins provenant du   New-Hampshire   et âgés d'un jour en vue d'essais alimentaires, en utilisant l'avoine et le mais qu'on a cultivés pendant la saison passée avec les solides marins, comme il a été décrit.Le groupe- témoin comprenait 153 poussins qu'on a nourris avec du concentré industriel plus un mélange comprenant deux parties de mats pour une partie   d' avoine .   Le groupe ex-   périmental   (153)

   a été nourri de la même façon'que le 

 <Desc/Clms Page number 17> 

 groupe-témoin, sauf que le mais et l'avoine avaient 
 EMI17.1 
 été tous deux r6coltès nur un terrain qui (ifait 6t6 l'année pr4cidentf, traita avec 2 .'1-9? ks/ha de solide marina. On a observe, 10:: r<Suul ta.ta uuivmitf : 
 EMI17.2 
 roid::1 aoyon '(eT;

   kg) 
 EMI17.3 
 
<tb> Coes <SEP> Groupe <SEP> Groupe
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> témoin <SEP> expérimental
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> à <SEP> 4 <SEP> mois <SEP> 1,190 <SEP> 1,701
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> &6 <SEP> mois <SEP> 2,005 <SEP> 3,628
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> à <SEP> 2 <SEP> ans <SEP> 3,827 <SEP> 4,309
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> Poules
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> à <SEP> 6 <SEP> mois <SEP> 2,268 <SEP> 2,948
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> à <SEP> 2 <SEP> ans <SEP> 2,521 <SEP> 3,231
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> début <SEP> de <SEP> ponte <SEP> 5 <SEP> mois <SEP> 3 <SEP> sem.

   <SEP> 5 <SEP> noir
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> Oeufs <SEP> après <SEP> 7 <SEP> mois <SEP> 0,680 <SEP> 0,793
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> 
<tb> (poids <SEP> de <SEP> la <SEP> douzaine)
<tb> 
   Croupe   entier (coqs et   poules)   ,   nourri, titra   moyenne (kg)   consommée   par kg de 
 EMI17.4 
 
<tb> polda <SEP> acquis <SEP> 3,0 <SEP> 1,89
<tb> 
<tb> mortalité <SEP> 3 <SEP> 0
<tb> 
 maladies : 
 EMI17.5 
 
<tb> vers <SEP> oui <SEP> non
<tb> 
<tb> nervosité <SEP> oui <SEP> non
<tb> 
 
 EMI17.6 
 d!!I1'H..#brcm'Jnt oui non dimcnsionn variables uniformes 
On a nourri des rats avec une diète comprenant 4 parties de mais deux parties d'avoine et une partie de graines de soja, toutes ces céréales ayant poussé sur 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 un terrain traité avec los solides marins.

   Le but de cette expérience a été de déterminer l'effet des graine cultivées sur un sol comprenant tous les éléments marins normaux sur la   physiologie   ot la pathologie normales. 



   Les rata ayant absorba du maïs, de l'avoine et des grai- nes do soja témoins ont commencé   à   souffrir de Xéraphté- mie en la à 14 jours. Les rats nourris avec le produit   expérimental   no   manifestaient   aucun changement oculaire. 



   Une truie et 6 porcelets élevés avec du maïs et de l'avoine qui ont poussé sur un terrain traité avec 
2,497   kg/ha   de solides marins complets avaient une uni- formtié exceptionnelle de taille, n'avaient aucune ten- dance à fouger et étaient facilement contenus dans un petit enclos fermé. Après avoir atteint environ   81,6   kg on les a changes de diète et on a continué à les nourrir avec du mais et de l'avoine témoins.   Immédiatement ,     ils   ont commencé à fouler de façon soutenue et au bout du troisième jour ils sont devenus extrêmement nerveux et ont   essayé à   deux reprises de s'échapper de l'enclos. 



   Au quatrième jour, on les a remis à la diète selon l'in-   vention,   et ils sont redevenus calmes avant la fin du la journée. Après cola, on pouvait les contenir facilement      dans l'enclos et ils n'ont fougé que très peu. 



   Il ressort des expériences ci-desss et aussi De divers autres essaie qui ont été faits depuis que lu nouvel engrais selon l'invention et le procédé de son utilisation ont fait leurs preuves aussi bien en ce qui concerne la croissance des plantes elles-mêmes que   l'uti-     lisation   de ces   mmea   plantes à la consommation   animale   et humaine ;d'autre part, les expériences ont clairement 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 démontra que l'engrais et son procédé d'application ne donnent que des   effets   bénéfiques et absolument au- cun effet nocif ou auxiliaire sur le produit ou sur le sol. Pendant les six -saisons suivantes, la productivité du sol est   restée   aussi élevée que celle du sol non traité. 



  EXEMPLEV - Poids des cendres 
 EMI19.1 
 Dans d'autres expériences, avec du mais culti- va dans l'Ohio, la parcelle traitée donne 1770 kg/ha en plus que la parcclle-tesoin. Deux ans plus tard, et sans autre; application de solides marins à la parcelle expérimentale, le rendement était d'environ 1180 k'/,1" supérieur à celui de la parcelle-témoin, et l'ox:p.5rL:u- ce a en outre décelé une augmentation de 1,' ; du poulr des cendres. Avec des grairu.-c de soja, lu parc'.'lit; >:<- p6rimcntale montre une augmentation de 14,6 du poils des cendreu. La seconde génération des graines de .'03 expérimental est d'une grantlc dimension et d 1 U rendement légèrement pluu élevé que sur la parcelle- témoin. On a également observé une augmentation du ',L du poids dtHJ cendres de la parcelle expérimentale . i 1< qu'on n'eût pas fait d'autres applications de noiid... marins.

   L'augmentation du poids des cendres des l(>':'.'";:, potagers expérimentaux est comme suit : patates deuses 8,3   % ;   oignons 4,4 %;tomates   18,7     %.   
 EMI19.2 
 EXEMPLE VI - Maladies dos planton 41, 
 EMI19.3 
 On a observé une différence marquée de 1 t .jL' r de la cloque du pocher sur les arbres truite a c'!: :w:: las ro:'brefJ-t6moinrz, les premiers souffrant bcuucct 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 moins fréquemment de cette maladie. Les tomates trai- tées ont manifesté une beaucoup plus grande résistance à la flétrissure. La différence la plus phénoménale des maladies des plantes a été observée pour la nielle du   maïs :   dans la parcelle-témoin , le taux de nielle est de 
384% plus élevé que dans la   parcelle     expérimentale.   



   Ces chiffres sont bases sur le nombre de caries   observa-     @   blés qu'on a dénombrées sur 1,98 ha do chaque parcelle. non seulement, les caries étaient beaucoup moins nom- breuses mais elles étaient aussi plus petites et moins d'entre elles se trouvaient sur les épis. Les mâmes ré- sultats ont été observée sur le mais de la seconde géné- ration sans nouvelle application de solides taurins. 



   On naît qu'il existe beaucoup de terrains ne convenant pas   à   la culture des petits pois. On pense qu'il en est ainsi par suite de l'infection do la racine des plantes duo aux Aphanomyces et Fusaria les   premiers   étant particuliers aux plantes à pois et Ion seconda possédant une aptitude   à   recevoir d'autres hôtes. Dans des essais en serre, on a fait pousser des plantes à petits pois jusqu'à maturité dans un sol infecté do ces deux organismes et en y ajoutant des solides marins et en faisant l'expérience sur deux types de pois.-Les plantes-témoins moururent avant de fleurir.

   Dans des navets, on pense que la   pourriture   du coeur est lue à l'infection par le stapholoccoccus.Sur   100   plantes qu'on a fait pousser sur le sol traité et sur le sol-témoin, la pourriture du coeur a paru dans 30 cas pour le témoin et pas une seule fois pour les plantes expérimentales. 



   Dans d'autres essais, on   a étudié   l'effet des 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 
 EMI21.1 
 solides marinn sur le pH du viol. On u utilité à lrcwa.. rave potuot'rft ordinaire comma plante indicatrice. Dpnc le sol acide, cette plante ont suppose (;:rr:1cr et :!ort:.i:: doux tourillon qui norit normalement saine;. Par contre, la paire don f'-uMIc cuccombo en t'nrzz. et 1"< n.tzrbb3 ./l' Rl.'J.'ivQ Ùl/lo.Ü :\ la:.lturl tlJ qUfJ.lî,1 le sol ont troi r:r,l;. Pour ccn :a:a,t:3, on a utilisé un 401 ayant un 1- r: du 4, Après addition de oolidus marins, bzz constata une léghxa baisas du pH main un retour ultérieur 3 ¯1 valow primitive.

   Des betteraves et des radio pourjrTt dans la sol traité avec los solides .marina attaignironi, la mu.tut'it6 ci1 qui indique le sol dit zc=té4 ;a¯tI3 th de calcium at, vruiuumbluble#ont pas .,ctlm .rzt dv oui- ciura, 'jt aussi que 10.1 pi lul-irtmo ne oonctitue pas un facteur f,olir savoir si des variâtes or,1i:wi.. de plantas de.) zO.t'f':;: tc;i::':rc: peuvent ou ne zyc:uv-rz pas y   pousser.   
 EMI21.2 
 



  EXEMPLE VII - Culture hYÚropù,ni9u± Dana oc-t exemple, on a fait pousser des tomates par voie hydroponiquo, [Je10n le présent procédé et en utilisant dan:: ce but Ü('3 lits hydroponiquoa ayant 50 métres de longueur, 90 cm de largeur   ot   20 cm de hauteur. 



    On   a formé des paroir, de clôture latérales et   longitudi-   nalesen béton d'une épaisseur d'environ 7,5 cm et on a rempli chaque lit avec du gravier lavé   à   un niveau d'en- viron 17,5 cm à partir du fond. On a fait   pénétrer   la solution nutritive dans chaque lit à travers une   ouver-     ture   d'alimentation prévue dans une extraite.

   Des tui- 
 EMI21.3 
 leo à angicu obliquas ont Gtv placées le long de chaque paroi   latérale   avec superposition mutuelle pour fournir 

 <Desc/Clms Page number 22> 

 des canaux ouverts de circulation d'eau sur toute   le    
 EMI22.1 
 longueur du lit. de norto que la solution nutritive pou- vait   être     aisément   introduite dans tout le lit ou ex- traite de celui-oit 
On   interconnecte   un grand nombre de   lita     hy,lro-   
 EMI22.2 
 poniguas à l'aido d'un fluide principal de oorto que loo solutions ntitritivec puissent Ctro admises à partir d'un   réservoir   appropria par gravité.

   On envoie la solution 
 EMI22.3 
 dons chaque lit au niveau d'environ 2,5 am uu-denaus du niveau du gravier et après cela on retire iJ'unôdiut\ :"0nt eettu solution vers une cuve do recyclage  également; 1,14r gravit'** travers une eanullrîution de aortie o.ppropri''.   Après   cela, on recycle la solution nutritive au   réservoir   on utilisant dans ce but une   poripe     usuelle,   et en complé- tant à chaque fois la solution avec de   nouvelles     quanti-   
 EMI22.4 
 tés-de solides marins et d'eau douce, juelon les bejotnq. 



  Dans une t:6riû d'crJuai1t on a fait rOUS3Cl.' d..:'r récoltes d'haricots, de toml\tc:1 et dA concombres dans 32 lits hydroponiques. On a   éparpille   les graines dans une 
 EMI22.5 
 solution diluée de solides marine aqueux et on a tl'D.n:Jfl- r dans les grands lits sous forme de plants uyrolt envi- ron 10 cm de hauteur. On a nourri les plo.rrt:cw'.lt:ux foij par jour en utilisant une solution nutritive   obtenue   en faisant dissoudre 52,6 kg de solides   marins     complète   dans 45.359 kg d'eau. La production   complète   a été ache- vée en 100 jours environ. De   préférence,   la concentra- tion des solides marins dans la solution nutritive ne doit pas   dépasser   environ 8.000   p.p.m.   (en poids).

   Alors que certaines croissances   pouvant   être   avec   des solutions plus   étendues,   en   général   il convient 

 <Desc/Clms Page number 23> 

 d'employer des solutions de solides marins d'au moins 1000   p.p.m.   environ. Du plus grandes concentrations que   8000     p.p.a. ont   pour effet de retarder la croissance de la même façon que celle qui est observée quand on   utili-   se des quantités excessives d'engrais classiques, et u général des valeurs supérieures aux chiffres indiqués   ne   devraient pas être employé en. 



   De la môme façon que ci-dessus, on a réussi à faire pousser avec succès des récoltes de   blé,   avoine, radis, carottes, navets, betteraves, tomates,   maïs,   fraises, oignons,   etc...,   en utilisant des solutions nutritives comprenant de l'eau douce avec de   1.000 à   8. 000   p.p.m.   de solides marins complets dissous. Ces résultats sont d'autant plus surprenants quand on   le.3   compare aux essais qui ont été faits avec des solutions contenant des quantités équivalentes du seul chlorure de sodium.

   Dans ce   cas, on   a observé que les solutions de chlorure de sodium dissous sont nettement toxiques peur les plantes, mais que les solutions des solides mairen 
 EMI23.1 
 complets, bien qu'elles contiennent la mr.1e quantité .1\ chlorure de sodium dissous (qui a été toxique quand V: 1. ' lise seul) peuvent ttro utilisées de façon bénéfique pour les plantes. 



  :WQntuollUlI)J).t, on peut ajouter à l'eau d-.,- -4,-r diluée ou à la solution do solides marine 4i .u.'., ci # r entrais azotés usuels, en ayant soin, bifn t;za.<tst., * a les concentrations totales restent dans les .,:.v c,- ri-i.¯ eib10s. Par exemple, on a répété les uusais zlt z.. . dessus au des haricots, tomates et concombre:-, e\ '.;.-##- tant 200 p.p.m. de nitrate de potassium pour 1COO ,.; .. 

 <Desc/Clms Page number 24> 

 de solides marins complets.

   De façon étonnante,l'en-   Grais   azoté supplémentaire direct n'est pas   nécessaire   quand on utilise les solutions nutritives do nolides   marina,  car les lits hydroponiques peuvent être inoculés avec de l'azatobacter qui se nourrit 'bien dans des solu-   tions   nutritives contenant des solides marins et qui possède l'aptitude à fixer suffisamment d'azote atmos-   phérique.   Une façon de fournir dos bactéries   uzatobacter   aux lits   hydroponiques   est de faire couler la solution nutritive dans un lit contenant une   récolte   légumineuse telle que des haricots, la solution nutritive venant en contact avec les nodules sur lea racines des légumes. 



  En variante, on peut faire pousser des haricots ou au- très   légumes   dans des lits   hydroponiques   en interdisper- sion avec d'autres lits reliés en série, pour assurer ainsi une alimentation adéquate on   azatobacter.   



  OBSERVATIONS On a enregistré, en vue de leur portée possible, certaines observations faites pendant les ex-   périences   décrites plus haut. Les brebis n'ont rien vou- lu savoir/pour  paître   dans un champ de foin non traité et se sont rassemblées dans un petit enclos de 3 m x 3 m où l'on avait place du foin traité, ce qui montre la différence de goût. On a marqué avec des rubans adhésifs des   tige::   expérimentales de   muta   qu'on a mélangées avec du Mais témoin, et on a pu constater que le bétail et les brebis fourrageaient dans la masse en recherchant les tiges marquées, ce qui constitue une nouvelle preuve de la différence de goût.

   Le fermier qui a récolté l'a- voine a remarqué que l'avoine expérimentale attirait davantage les lapins et les sauterellesOn a remarqué 

 <Desc/Clms Page number 25> 

 
 EMI25.1 
 ausni unu Ûif±6v<-na>i do oût dan:! lc'H 1 , potïi.-or #. 



  Les olgnona ut lrrs ru,!i:i ('#fc.'i.lont plun nucin'n qu.: 1<\, légumes- témoins. On   constaté une différence dé- goût dan.; leo laitue', les haricots vertrs -c-,4v les caret*- too. Pouf des poffWf,y ,-t deu raiclna, la l't-oolto expéri- mentale contenait une plus grande quanti brt de vitMiin r. 



  A Qt C. Luc pal::in c:::q;Ór.j lJ1\mtùux avaient mm plue fjrun- do tcrieur on sucre). 



  SOJ.ViMAIl'lE: La liato doo ulmnnt3 qui sont importante pour 1, développement normal et la sente dec plante:;! où des animamr croît depuis dos années. Lv 
 EMI25.2 
 problème est d'autant plus complexe qu'on u découvert 
 EMI25.3 
 que la disponibilité d'un 61émont particulier 4 .la. plante peut Ctre fonction du lu préoenco ou do l'ab.ou;lçc d'autres 6l6r.1t.mtr; tl:.uw le :iol  Les expric-nceu ci<dec.'u:; montrant cluiI'ü.M'.m 1; CI Ui.: 1. Toun le3 ùlém8ntc peuvent (litre importante du point de vue d1': lé. physiologie animale et végé- 
 EMI25.4 
 tale . 
 EMI25.5 
 



  2. l'en 1{n nt8 Qolvcnt (^tre fournis à la plants dons une proportion et dtuio un rapport a peu près ''xact'--!ftcnt lc-c qu'oli 1.j:3 trouve d...:n.;: l'eau de mer, ut il en est notamment ainsi pour le chlorure do sodium. 



  3. La plupart do.t; .'Animaux doivent recevoir leo élemunta minéraux nous forme "accrochée" aux 
 EMI25.6 
 planton, pour en bénéficier au mieux. 
 EMI25.7 
 



  4. La quantité drfc 301idcG flarin complets (y con- prie le chlorure de sodium) pouvant 'Ûtrc ajoutât-' aux jols de zonvo ouest-centrale et oriental': de,i Etats-Unis vut de préférence comprise t'ntrc 624 et 2.497 k,::/hn. 

 <Desc/Clms Page number 26> 

 



  Un exemple concret do l'utilioation des 
 EMI26.1 
 solides marina comme onot-ain pour don tomates est donné au tableau II ci-dD50UG TA13LF,A'U 11 
 EMI26.2 
 
<tb> Vitamine <SEP> C <SEP> % <SEP> humidité <SEP> Vitamine <SEP> C
<tb> 
<tb> mg/100 <SEP> g <SEP> de <SEP> mg/100 <SEP> c <SEP> 
<tb> 
 
 EMI26.3 
 tomate com- de coliden 1) 1,% t 0 Témoin (pae d'engrais à solides marins) 7$60 9595 1C9 
 EMI26.4 
 
<tb> Cas <SEP> 1 <SEP> - <SEP> 624 <SEP> g/ha
<tb> solides <SEP> Marins <SEP> 8,46 <SEP> 95,0 <SEP> 170
<tb> 
<tb> 
<tb> Cas <SEP> 2- <SEP> 1248 <SEP> kg/ha
<tb> 
 
 EMI26.5 
 aoliaou marins 14,20 412 24 
 EMI26.6 
 
<tb> Cas <SEP> 3 <SEP> " <SEP> 2497 <SEP> kg/ha
<tb> solides <SEP> marins <SEP> 11,60 <SEP> 94,0 <SEP> 193
<tb> 
 
A une tonne de solides marins broyés dans un   broyeur   à pierres   meulières,

     on a ajouté de 36 à 300 kg 
 EMI26.7 
 de pastilus ou cristaux dû nitrate d'ammonium ou de 45 à   49   kg de sulfate   d'ammonium;  ou de 23 à 180 kg 4 'urée, pour faire un engrais mixte.   Les     intervalles   
 EMI26.8 
 prévus pour les quantité des composés azott1) prov1<'n..; nont du fait que des quantités différentes sont nécoa- saires pour des récoltes différentes, en vue de la pro- portion des solides   marina   incorporas. Des essais de to-   lérance   avec cet engrais mixte ont   montré     que   do   624   à 
 EMI26.9 
 2.497 kg/ha pouvaient ttre utilisas pour de;3 rjcoltpo dana les champs, lea fruits et lCtn 16gumol.i. 

 <Desc/Clms Page number 27> 

 



   On peut modifier le procédé décrit ci-dessus en utilisant de l'eau de mer avec la même proportion d'éléments que ci-dessus, en mélange avec des quanti- tés proportionnelles de composés azotes. En outre, on peut appliquer les solides marins d'abord et le composa azoté ensuite. 



   Comme il a déjà été dit, des récoltes qu'on a fait pousser sur un sol traité avec l'engrais de l'in- vention ont été analysées pour déterminer le poids des cendres, la quantité des vitamines et des autres 616- ments ;   on-   a également relevé les rendements. Les ré- sultats indiquent   une   augmentation du poids des cendres, des vitamines, du nombre et de la quantité des éléments, du rendement et de la-résistance aux maladies. On a nourri des animaux avec des produits qui ont   poussé   sur le sol traité par le procédé de l'invention, et on a constaté un stimulus de croissance, et une amélioration de la structure-osseuse et tissulaire. On voit donc que des résultats bénéfiques découlent de l'utilisation con.-   trôlée   de solides marins en mélange avec des composée azotés.

   On peut se rendre compte par les essais   précé-   dents que des résultats tout.aussi bénéfiques sont obte- nus pour les planter, Grains, légumes et fruits autres que ceux qui ont été mentionnés dans les exemples. 



   Quand on applique 624 kg/ha, cette quantité peut être appliquées pendant quatre   années     successive;;.   



  Si l'on applique 2.497   kg/ha   une seule   fois/ou   624 kg/mm pendant quatrc années successives, en assurant   un.   drai- nage normal pour le sol, on obtient   un   résultat qui   dure   cinq ans.   On   peut alors analyser le sol pour détecter 

 <Desc/Clms Page number 28> 

 un   élément?   lourd, un élément moyen et un élément   léger   poursavoir à quel moment il convient d'appliquer de nou-   veau   des solides marins. 



   Naturellement, on peut apporter diverses modi- fications utiles aux modes do   réalisation   décrits sans   sortir   du cadre de l'invention.

Claims (1)

  1. .RESUME A - Procédé nouveau pour faire pousser des plantes, caractérisé par les points suivants séparément ou en combinaisons 1.) Il consiste à fournir aux plantes en croissante un mélange d'éléments bénéfiques, chacun des éléments entrant dans ce mélange y étant présent sensiblement dans le même rapport vis-à-vis des autres éléments que celui dans lequel ces éléments se trouvent naturellement sous forme de solides dissous dans l'eau de mer.
    2. ) Le m'élange contient tous les éléments qu'on trouve sous forme de solides dissous dans l'eau de mer.
    3.) On fournit aux plantes en croissance les élé- ments bénéfiques considérés sous forme de solides marins complets obtenus par évaporation totale de l'eau de mer pour enlever à peu près complètement la totalité de l'eau présente dans celle-ci.
    4.) On applique au pol, à titre d'engrais, les so- lides marins complets ayant essentiellement la valeur <Desc/Clms Page number 29> pondérale totale de chacun dos éléments minéraux pré- sents initialement noue forme de solides disson das l'eau de mer évaporée, y compris la quantité primitive de chlorure de sodium contenue dans cette eau.
    5.) On dissout les solides marins complets dissous dans de l'eau doue.: et on les utilise cornue solution nutritive pour culture hydroponique.
    6,.) On fournit le mélange d'éléments sous forme d'une solution aqueuse diluée d'eau de mer.
    7.)On utilise dos solutions aqueuses diluées d'eau de mer comme solutions nutritives pour cultures hydroponiques.
    8.) 1000 kg de la solution nutritive contiennent de 25 à 225 kg environ d'eau de mer.
    9.) La solution nutritive comprend de l'eau douce contenant de 1000 à 8000 parties par million de solides marins dissous.
    10.) On applique les solides marine dissous au col en une quantité comprise entre environ 624 et environ 2.497 k/ha.
    11.) On fournit le mélange des éléments aux plantes en croissance en présence d'un engrais azote.
    B - A titre de produit industriel nouveau, un engrais caractériel par les points suivants séparément ou on combinaisons : 1.) Il consiste essentiellement en une proportion prédominante de solides Marins complets et une faible proportion d'un engrais azoté classique.
    2.) L'entrais classique est le nitrate d'ammonium, <Desc/Clms Page number 30> et le report des solides marina complets au nitrate d'amnonium est compris entre 200:8 et 200;80 3.)L"ngrais classique est le sulfate d'ammonium, et le rapport des solides marins complets au sulfate d'ammonium est compris entre 20:1 et 20:11.
    4.) L'engrais classique est l'urée, et le rapport clos solides marins complets à l'urée est compris entre 200:5 et 200:40.
    C - A titre de produit industriel nouveau, une solu- tion nutritive pour culture hydroponique caractérisée par les points suivante séparément ou en combinaison : 1.) Elle comprend de l'eau contenant en solution un mélange d'éléments bénéfiques à la croissance des plantes, chacun des éléments entrant dans ce mélange y étant présent sensiblement dans le même rapport vis-à- vis des autres éléments que celui dans lequel ces élé- ments se retrouvent naturellement sous forme de solides dissous dans l'eau de mer.
    2.) La solution comprend essentiellement une solu- tion aqueuse diluée de solides marins complets, cette solution contenant do 1000 à 8000 parties par million des solides marins dissous.
BE626497D BE626497A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE626497A true BE626497A (fr)

Family

ID=197262

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE626497D BE626497A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE626497A (fr)

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2465697A1 (fr) * 1979-09-19 1981-03-27 Nutrifluide Sarl Liquide nutritif d'appoint pour l'agriculture et l'horticulture

Cited By (1)

* Cited by examiner, † Cited by third party
Publication number Priority date Publication date Assignee Title
FR2465697A1 (fr) * 1979-09-19 1981-03-27 Nutrifluide Sarl Liquide nutritif d'appoint pour l'agriculture et l'horticulture

Similar Documents

Publication Publication Date Title
Chapagain et al. Effect of Nutri-Vant-PeaK foliar spray on plant development, yield, and fruit quality in greenhouse tomatoes
Colla et al. Changes of tomato yield and fruit elemental composition in conventional, low input, and organic systems
MX2010012026A (es) Fertilizante-pesticida en envase desechable.
CN107529749A (zh) 用以增加作物产量的糖的田间施用
Guan et al. Effects of salt stress and nitrogen application on growth and ion accumulation of Suaeda salsa plants
EP3066925B1 (fr) Composition à usage agricole pour stimuler le métabolisme azoté des plantes comprenant un extrait d&#39;algue du genre laminaria et de l&#39;acide glutamique, procédés et utilisations correspondants
KR102237162B1 (ko) L-메티오닌을 이용한 과일이나 과채류의 당도향상 수용성 분말비료 및 그 제조방법
WO2006005764A2 (fr) Utilisation de peroxydes inorganiques pour l&#39;oxygenation du sol en vue de la prevention de maladies provoquees par des agents anaerobie chez des plantes
Bakayoko et al. Effets comparés de la bouse de bovins séchée et de la sciure de bois sur la croissance et le rendement du maïs (Zea mays L.)
JP3495976B2 (ja) 海洋深層水を利用したカイワレ大根の栽培方法
BE1024738B1 (fr) Engrais pour usage foliaire
Ferreira et al. Exchangeable potassium reserve in a Brazilian savanna Oxisol after nine years under different cotton production systems
EP0223624B1 (fr) Procédé pour la culture de la jacinthe d&#39;eau, plantes obtenues et leurs utilisations
EP3936494B1 (fr) Composition biostimulante pour végétaux
BE626497A (fr)
FR2694159A1 (fr) Composition comprenant de la choline, ou ses dérivés ou ses sels, et utilisable dans le domaine agricole pour favoriser la photosynthèse des plantes.
KR20160140248A (ko) 고구마 생장 촉진용 조성물 및 이를 이용하여 연작토양에서 고구마 생존율을 향상시키는 방법
JP2007020468A (ja) 硝酸態窒素濃度低下用農園芸用組成物
Singh et al. Effect of potassium and zinc on yield, mineral composition and quality of lemon grass under saline condition
US12017966B2 (en) Product, system and method for an improved fertilizer
Dobričević et al. The quality of fresh tomato fruit produced by hydroponic
de Barcellos Ferreira et al. Exchangeable potassium reserve in a Brazilian savanna Oxisol after nine years under different cotton production systems.
Fields Methane Emissions from Rice Fields and its Mitigation Options
Mahdi et al. Interaction of micro and macro elements with manure on barley feed yield and soil nutrient content in Sistan region
Zeigler Seawater concentrate for abundant Agriculture