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" Caisse à eau pour machine à .fabriquer le papier - ,La présente invention concerne une nouvelle caisse à eau perfectionnée, destinée en particulier à appliquer des fluides de divers types suivant les be- soins aux cylindres d'une machine à fabriquer le pa- pier ou chaque fois que cela est souhaitable ou commode.
La présente invention se propose notamment de..fournir - un tablier imperméable et souple qui peut être facilement et rapidement changé même pendant que la machine est en fonctionnement! s'il s'avère nécessaire de 'le faire ; - une caisse à eau ayant des parties qui sont
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rapidement et acilement nettoyées, contrairement aux conduites d'égouttement, etc., de la technique ant6- rieure - un nouveau barrage perfectionné sous forme d'une barre allongée maintenant un niveau d'eau constant et qui a également pour fonction de maintenir le tabliers en assurant une meilleure répartition de la température l'eau en excès se déversant par-dessus le barrage en une quantité uniforme d'une extrémité à l'autre de la caisse à eau ;
un moyen pour déverser rapidement la masse d'eau - un nouveau moyen de réglage perfectionné pour ajuster le tablier de la caisse à eau au cylindre ; - une nouvelle conduite d'alimentation et de nouvelles vannes de conduites d'alimentation perfection- \ nées - de nouvelles couvertes perfectionné qui sont réglables le long de la caisse à eau et également par rapport à la surface du cylindre d'une façon inde- pendante de la caisse à eau, la caisse présentant des extrémités fermées de façon que toute/fuite en regard des couvertes soit retenue par le tablier aux extrémités de la caisse et s'écoule pour revenir dans l'auge d'égout- tement ;
- un moyen permettant de faire varier rapide- ment et facilement la profondeur de l'eau au sommet du tablier en réglant simplement toute la caisse par rapport au cylindre,ou au contraire en utilisant des barre* amovibles formant des barrages plus épais si l'on désir* augmenter le niveau de l'eau.
On va décrire maintenant l'invention en se
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référant aux dessins annexés dans lesquels : la figure 1 est une vue en plan montrant la nouvelle caisse à eau ; la figure 2 est une vue en bout de cette der- nière ; la figure 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la figure 1 ; la figura 4 est une vue postérieure en regar- dant dans le sens de la flèche 4 de la figure 1 ; la figure 5 est une vue en plan d'une cou- verte ; et la figure 6 est une vue de coté de la cou- verte.
La nouvelle caisse à eau est formée essentiel- lement par un récipient en une seule pièce qui peut être constitué à volonté en cintrant des pièces de tôle, en .Les soudant, etc., afin de la fabriquer. La construction de la caisse comme on le voit pout être le mieux sur la figure 3, comprend un fond continu généralement plat 10 qui s'étend d'un côté à l'autre du cylindre, le fond 10 se terminant par un bord antérieur libre 12 et par un . bord postérieur muni d'une auge relativement grande di- rigée vers le bas 14.
L'auge 14 s'étend par son bourdpos- térieur vers le haut son forme d'une paroi postérieure continue 16 qui s'étend @e nouveau sur la même distence que le fond 10 et l'auge 4 et trensversalement à tout* la machine..La paroi post -leurs 16 se termine à son bord super Leur par un robord d@igé vers l'intérieur ou vera l'avant 18. Les extrémité, de la caisse à eau sont com- plètement fermées par des trois de forme triangulaire indiquées en 20.
Sur la paroi po t érieure 16, au voisinage de
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son bord supérieur, est montée une conduite d'admission s'étendant d'un bout. à l'autre, désignée de façon gêné- rale par 22, cette conduite d'admission comportant une série de vannes 24 agencées le long de ladite conduite pour fournir une admission séparée et individuelle du fluide qui doit être déversé dans la caisse.
A sa partie postérieure, l'auge présente des raccords d'évacuation 25. Un seul desdits raccords est nécessaire, mais il est quelquefois préférable d'en pré- voir un à chaque extraite de la caisse, ceci dépendant en partie de la longueur de la caisse, attendu qu'il est quelquefois préférable de n'avoir qu'une seule sor- tie en fonctionnement, de façon à remettre en circulation le fluide plus facilement. Cornue représenté sur la fi- gure 1, la conduite d'admission 22 présente des raccorda d'admission 26.
Les vannes 24 sont de construction simple et comprennent chacune un raccord 28 dans la partie supé- rieure duquel est vissée une vis ou dispositif analogue
30 qui peut présenter un écrou de blocage comme représen- té sur la figure 3 si on le désire, et s'étendant dans le raccord qui est vissé dans la conduite 22 . A l'inté- rieur du raccord, on prévoit un tube souple 32 qui pré- sente certain moyen pour le maintenir en position, comme par exemple le rebord externe s'étendant vers l'extérieur 34. Lorsqu'on désire faire varier le débit du fluide, il suffit de faire tourner la vis 32 dans le sens voulu pour provoquer la déformation du tube en caoutchouc dans une plus ou moins grande mesure comme indiqué en 36.
Les parois d'extrémité 20 présentent des tou rillons 38 qui sont montés à rotation dans les blocs de palier 40 montés à leur tour sur des coulisseaux réglables
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suivant un mouvement de va-et-vient 42, présentant des . moyens pour permettre d'effectuer le réglage et pour les serrer, comme des tentes en T 44 et des boulons à tête associés 46. Grâce à ce moyen les blocs de palier 40 peuvent être déplacés suivant un mouvement de va-et- vient vers et depuis le cylindre 48.
Chaque tourillon présente une butée s'étendant généralement dans le sens radial 50 qui y est fixée par un goujon 52 et qui est destinée à venir en prise avec une vis réglable 54 qui est montée dans une lèvre 56 sur son bloc de palier 40, comme on le voit sur la figure 3, ce qui met toute la caisse à eau dans la position réglée voulue par rapport aucylindre 48, Ainsi, on voit que toute la caisse à eau, y compris les conduites d'admission, les conduites d'évacuation, les vannes, etc., ainsi que d'autres nou- veaux dispositifs qu'on décrira ci-après, peuvent être déplacés vers l'intérieur ou vers l'extérieur en direc- tion du cylindre, et peuvent être réglés suivant les be- soins.
Les coulisseaux 42 peuvent être montés sur le châssis de la machine d'une façon voulue quelconque, et habituellement on peut le réaliser en les montant sur les supports de la lame racleuse, qui peut être d'une construction générale et classique comme représen- té sur la figure 3 par le numéro de référence 60.
Une série de goujons verticaux ou dispositif* analogues, désignés de façon générale par 62, sont fixés d'une façon voulue quelconque à la paroi Inférieure de la caisse à eau 10. Ces goujons servent à maintenir les barres 40 formant barrage en position, ces barres pré- sentant des orifices ou alésages 66 qui s'étendent à travers elles ou au moins en partie, comme représenté sur la figure 3*.Les barres 64 peuvent présenter une
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hauteur conespondant au niveau voulu de la nasse d'eau, et elles sont faites de préférence en métal et sont relativement lourdes.
Egalement, du fait que certaines caisses à e@@ sont très longues, les barres formant bar- rages peuvert être constituées en plusieurs pièces et on remarquera tie sur la figure 1 la barre 64 est constituée par trois pices séparées analogues qui sont alignées ' en- relation 'tout à bout et présentent des parties d'ex- trémité à recouvremetn,comme indiqué en 68.
On a prévu un tablier imperméable et souple, désigné de façon générale par le numéro de référence 70.
Ce tablier est plus long que la caisse à eau, et comme représenté peut-Atre le mieux sur la figure 4, il est contraint par conséquent de se cintrer ou de se plier vers le haut à ses extrémités comme indiqué en 72 en rai- son de son contact avec les parois d'extrémité 20. Ceci est également représenté sur les figures 1 et 3. Ce ta- blier présente des orifices 74 par lesquels il est ajus- té sur les goujons 62 pour être correctement mis en po- sition, et s'étend au-delà du bord d'extrémité libre 12 de la paroi inférieure 10, comme indiqué en 76 sur la figure 3 où il est destiné à être légèrement cintré en venant au contact de la surface du cylindre 48 qui tourne comme représenté sur la figure 3 dans le sens dextroreua.
Une plaque rigide 78 maintient le tablier sur la paroi inférieure 10, et cette plaque présente également des orifices qui s'ajustent sur les goujons 62, la plaque 78 et par conséquent le tablier 70 étant maintenus par les lourdes barres 64 formant barrage, comme on le voit clairement sur la figure 3.
Les couvertes sont désignées de façon générale par le numéro de référence 80 et elles sont réglables
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sur toute la longueur de la caisse à eau, Les couvertes proprement dites sont représentées en détail sur les fi- gures 5 et 6, dans lesquelles on voit que chaque couverte comprend un bloc rectangulaire 82 auquel une plaque laté- rale 84 est fixée par des dispositifs de fixation commodes quelconques, la plaque latérale 84 s'étendant vers l'avant du bloc 82 sous la forme représentée sur la figure 6, comme indiqué en 86.
Cette forme s'étend légèrement vers le bas à partir du bord supérieur de la plaque 84 s'éten.*- dant vers l'avant de façon inclinée, puis suivant une in- clinaison opposée 88 en forment une partie découpée à l'extrémité inférieure antérieure de la couverte*
Un autre bloc 90 est fixé de façon verticale- ment réglable au moyen d'un dispositif de fixation 92 s' étendant à travers une fente 94 ménagée dans la partie s'étendant vers l'avant de la claque 84-de façon à per- mettre un réglage vertical facile du bloe 90. Ce dernier présente à son bord incliné inférieur en 96 une pièce de feutre 98 qui est conformée en 100 pour épouser la surface du cylindre.
Le bloc 82 et la plaque 84 sont percés pour permettre le passage d'un goujon 102 qui s'étend vers l'extérieur sur eurs deux côtés (voir fi- gure 5).
Les couvertes sont maintenues par des éléments de serrage nouveaux et perfectionnés, désignés d'une façon générale par 104 (figure 3). Chaque élément de ser- rage présente des doigts 106, 108 qui le maintiennent coulissant sur le rebord 18, et le doigt 106 est taraudé commodément pour recevoir un despositif de fixation 110 par lequel le dispositif de se@lage 104 est fixé en po- sition à un endroit quelconque:e long du rebord 18.
A partir de la région les deux doigts 106 et 108,
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le dispositif de serrage s'étend vers l'avant et vers le bas comme par exemple en 112, en se terminant par un élément de serrage 114 comprenant une paire de branches 116, 116, qui viennent en prise avec les deux côtés de la cou- verte 80, et s'appuient sur le goujon 102. Toutefois, les éléments de serrage 114 s'arrêtent à peu de distance du bord antérieur du bloc 82 de façon qu'il soit parfaite- ment possible de régler verticalement le bloc 90 à un moment quelconque au moyen du dispositif de fixation 92.
On voit qu'avec les couvertes réglées dans la position voulue, la bande est déplacée entre elles, et la masse d'eau peut être maintenue dans la zone comprise entre les couvertes et les barres formant barrage. Une très faible quantité d'eau.s'échappe en regard des cou-. vertes, mais toute quantité d'eau qui s'échappe est re- tenue aux extrémités de la caisse à eau par les extrémi- tés rabattues vers le haut 72 du tablier 70.
Si l'on désire déverser la masse d'eau, il suffit que l'opérateur saisisse l'une des barres 64 et la déplace légèrement vers le haut de façon que l'eau s'échappe sous le barrage et dans l'auge 14 pour sor- tir par la conduite d'évacuation. Si l'on désire dimi- nuer la profondeur de la masse d'eau, il suffit de dépla- cer légèrement toute la caisse à eau vers l'avant par rapport au cylindre 48, en augmentant ainsi l'inclinaison du fond de la caisse à eau et du tablier par rapport à la surface du cylindre, auquel cas naturellement une moins grande quantité d'eau est retenue dans la masse attendu qu'elle passe comme toujours uniformément par dessus le barrage d'une extrémité à l'autre de ce dernier.
Les braares formant barrage sont rapidement et facilement enlevées attendu qu'elles ne sont pas fixées,
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et la plaque 78 et le tablier 70 peuvent aussi être enlevés , nettoyés et remplacés sans utiliser de dispositif de fixation quelconque, tout ceci étant effectué à partir de l'arrière de la caisse et à son commet, les couvertes étant facilement et rapidement enlevablea en enlevant simplement les dispositifs de serrage 104.
Il n'existe pas de conduites qui doivent tire nettoyées, et 11 est facile de nettoyer l'auge 14 à par- tir,du sommet de la caisse, et ainsi on voit que tous les buts de l'invention sont atteints dans une construc- tion relativement simple qui est en fait relativement peu coûteuse à fabriquer étant donné qu'elle présente peu ou pas de pièces usinées.