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La présente invention concerne un procédé et annappareil pour le nettoyage des machines textiles telles que les métiers à filer, tordoirs et éti- reuses, ainsi que pour le nettoyage des sols se trouvant sous ces machines.
On sait que l'on utilise diverses machines, à filer, à retordre et à bobiner par exemple, pour obtenir industriellement les mèches et fils de fibres textiles, d'abord par le débourrage et le mélange des libres, puis leur étirage au cours de diverses opérationspour former finalement des torons cordonnés sana fin à partir de plusieurs fibres individuelles, torons généralement dénommés mèches ou fils deuxs Au cours de la constitution de ces mèches au cours du pro- oessus de fabrication des fils, certaines fibres brisées courtes, des fibres lon- gues mal retenues, tendent à être rejetées et à flotter dans l'air, d'où elles retombent pour demeurer sur les différentes parties de la machine, et sur le sol C'est ce que l'on appelle la bourre ou les flocons,
et l'invention a pour premier objet un procédé et un dispositif débarrassant ces machines des accumulations de cette bourre ou de ces flocons, et d'en débarrasser da même les sols se trouvant sous ces mêmes machines.
L'invention est particulièrement utile, et utilisable sur les machines à châssis ouverte comme les métiers à filer, les tordoirs, bobinoirs et analogues.
On a bien imaginée jusqu'ici,. différents procédés et des appareils pour enlever les bourres et flocons des diverses parties des machines textiles, mais sans ré- sultats bien satisfaisants, et le problème du nettoyage des sols n'avait pas été résolu. Les accumulations de bourres et de flocons ont été généralement enlevées des sols et planchers par des balayeurs manuels se déplaçant.entre les machines, armés de genêts et analogues ; tel procédé remue les bourres, flocons et au- tres corps étrangers, et en envoie une partie sur les différents éléments actifs de la machine, voire sur les fils et mèches où ils s'accrochent, ce qui adultère le produit fini.
Ces accumulations de bourres, flocons et autres corps sur cer- taines parties des machines provoquent en outre un ralentissement de quelques- unes de ces pièces5 ce qui compromet l'uniformité du fil ou de la mèche en cours de fabrication.
L'intention présente un procédé de balayage des bourres, flocons et corps analogues entre plusieurs machines textiles, et sous elles, consistant à souffler de l'air dans une conduite pour chacune d'elles, et de chasser cet air vers l'extérieur et latéralement à chaque conduite, dans la même direction géné- rale pour chaque unité avec une force suffisante à balayer le sol entre les ma- chines voisines, et sous elles.
L'invention présente également un appareil à balayer les bourres, flocons et corps similaires entre et sous une rangée de machines textiles paral- lèles, comprenant, en combinaison avec ces machines, des tubes horizontaux supé- rieurs et inférieurs disposés selon la longueur de chaque machine et montés sur elle pour tourner axialement, des conduits faisant communiquer chacun de ces tu- bes avec une source d'air comprimé, des éléments de transmission de l'entraîne- ment rotatif à ces tubes à partir de l'entraînement de la machine, enfin une série de trous répartis sur la longueur de la paroi de chaque tube, et mettant en cois- munication l'âme de celui-ci avec l'extérieur.
Une réalisation de l'invention va maintenant être décrite, à titre d'exemple, avec référence au dessin annexé, où l'on voit: figure 1 - une vue en plan d'une salle montrant, quelque peu sohé- matiquement, un appareil de nettoyage d'une machine textile selon l'invention; on voit aussi, en tireté, une rangée de machines telles que des métiers à tisser ou analogues; figure 2 - une coupe verticale agrandie vue selon la ligne 2-2 de la figure 1, avec certaines parties supprimées pour plus de clarté; figure 3 - une élévation agrandie vue de la droite de la figure 1, selon la ligne 3-3et montrant l'une de ces machines textiles avec une partie
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de l'appareil de nettoyage correspondant;
figure 4 - une coupe verticale de l'extrémité de droite de la machine représentée sur la figure 3 (ligne 4-4), et montrant les éléments d'entraînement de l'appareil de nettoyage; figure 5 - une coupe verticale agrandie selon la ligne 5-5 de la fi- gure 3; figure 6 - une élévation Fragmentaire agrandie des éléments de net- toyage supérieurs, les montrant dissociés du métier à tisser, et figure 7 - une élévation détaillée agrandie de la portion de gauche de la figure 6, avec certaines parties en coupe, et montrant le presse-étoupe dans lequel tourillonne l'élément rotatif de nettoyage.
Sur ces figures, la référence 10 désigne une salle sur le sol ou plancher F de laquelle sont rangées plusieurs machines textiles. Dans l'exemple décrit, on a représenté ces machines sous la forme de métiers à filer 11, 12, 13, et 14. On doit comprendre que la présente invention n'est pas limitée à ces mé- tiers, mais qu'elle peut être appliquée à tous les genres de machines textiles à châssis ouvert, telles qu'ourdissoirs, tordoirs, etc... Ces machines sont ordi- nairement disposées en rangées dans une salle d'atelier; pour simplifier le des- sin, on n'en a représenté que quatre, étant entendu que leur nombre n'est nulle- ment limité.
Chacun des métiers à tisser représenté est identique aux autres, et comprend des cadres terminaux 20 et 21, et plusieurs élances intermédiaires 22, enfin un râtelier 23 appelé à porter les bobines de fil en traitement. Des rails- collets 24 s'étendent sur la longueur de la machine, et portent plusieurs bobi- nes 26, lesquelles se dressent verticalement en traversant des porte-anneaux 27, et vers lesquelles le fil Y est dirigé de façon classique à partir du râte- lier 23.
Un dispositif d'entraînement (non représenta) est logé dans un car- ter 30 et entraîne un arbre classique 31 sur lequel est fixé un cylindre d'en- traînement principal 32. 'On arbre bâtisseur 3 sort du carter 30, et cet arbre classique est utilisé pour faire fonctionner la présente invention de la manière qui va être décrite. Des porte-galets classiques 34 sont également prévus, dotés chacun de plusieurs galets entre lesquels passe le fil Y au cours de son trajet des dévidoirs aux bobines 26. Les éléments décrits jusqu'ici sont classiques, et c'est à une machine de ce type, ou d'un type similaire, que le présente invention est destinée à être appliquée.
Les éléments de nettoyage associés avec la machi- ne textile 14 seront seuls décrits, des chiffres de références identiques étant portés sur les éléments de nettoyage des autres machines représentées.
En se reportant plus spécialement à la figure 3, on observera un élé- ment de nettoyage supérieur désigné, d'une façon générale, en 40, et un élément inférieur désigné de même en 40'. Tous deux sont de construction identique, sauf où cela est spécialement indiqué, et les parties homologues portent les mêmes chiffres de référence avec la notation "prime" ajoutée à celles de l'élément in- férieur 40'. L'élément supérieur 40 comprend un tube tournant s'étendant longi- tudinalement et formant conduite 41, dont une extrémité tourillonne dans un pres- se-étoupe 42 vissé sur un coude 43 lui-même rattaché à un tuyau vertical 44.
L'extrémité inférieure du tuyau 44 est montée sur une branche d'un tuyau en T 46 relié à une soupape à solénoïde 47 dont un tuyau 48 relie l'autre côté à une source appropriée d'air comprimé (non représentée). ¯48 relie l'autre c'té
Le presse-étoupe 42 possède un alésage 50 dans lequel tourillonne une extrémité du tuyau 41. Ce presse-étoupe a aussi un suralésage 51 communiquant avec l'alésage 50. et appelé à recevoir une garniture convenable 52 maintenue en place par une rondelle-manchon 53 attachée au presse-étoupe 42, par exemple au moyen de vis 54 glissées dans des trous percés dans le flasque de la rondelle 53,
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et se vissant dans le presse-étoupe. On voit ainsi que le tuyau 41 peut tourner librement sans qu'il y ait échappement d'air à sa connexion tournante.
Le tuyau 41 s'étend tout le long de la machine; il est monté conve- nablement en divers endroits entre ses extrémités, par plusieurs paliers 55 fi- xés eux-mêmes aux élances 22, par exemple par des boulons 56. Les paliers 55, tels qu'ils ont été représentés, sont des pièces de bois à partie concave à leur extrémité inférieure où tourillon±le tuyau 41. On conçoit que l'on puisse uti- liser tous paliers ou supports appropriés.
Le tuyau 41 est empêché de glisser longitudinalement dans les paliers par des colliers 60 et 61 fixés sur lui de chaque côté de chaque palier.25.9 au moyen de vis de serrage 620 Son extrémité la plus éloignée du presse-étoupe 42 est fermée par un chapeau 65.Un pignon de chaîne 66 est fixé sur le tuyau 41, par exemple par la vis d'assemblage 67 qui pénètre dans-son manchon, et une chaîne de galle 68 placée sur le pignon 66, descend jusqu'autour d'un autre pignon 70 monté sur l'arbre moteur 330 La chaîne 6& passe aussi sur un troisième pignon 66' monté sur le tuyau 41', et identique au pignon 66.
On observera que le mouvement imparti à l'arbre moteur universel ¯33.par le mécanisme d'entraînement classique logé dans le carter 30, fera tourner les toyaux 41 et 41' par l'inter- médiaire de la chaîne 68 et des pignons 66 et 66'. Les tuyaux ¯41 et 41' tourne- ront donc de façon continue pendant le travail de la machine
Le tuyau 41 est doté de plusieurs buses en forme de tubes courts 72 vissés dans des taraudages Il répartis sur toute la longueur du tyau 41, de pré- férence alignés longitudinalement.
Tandis que les tuyaux 41 tournent continuellement, on y lance de, l'air comprimé de façon discontinue, au moyen d'un tuyau 48, et sous contrôle de la soupape 47. Des conducteurs 75 et 76 relient le solénoide de celle-ci à la minu- terie 77 qui forme interconnexion avec les soupapes 47 de toutes les machines textiles équipées, de façon à les faire fonctionner en concordanceLa minuterie est reliée à une source d'énergie éléctrique, non représentée.
Un tuyau 80 relie le tuyau en T .42. au coude 43' de l'élément de net- toyage inférieur 40'.On observera-que, les tuyaux 41 et 41' tournant de façon continue, l'air y est introduit par le tuyau 46 et les tuyaux 44 et 80, sous le contrôle de la soupape à solénoide 47. La minuterie peut être de toute structure classique, oudlésirée, et son rôle est d'ouvrir et de fermer les circuits élec- triques des solénoides des soupapes 47 de façon telle que l'air comprimé soit fourni aux éléments de nettoyage pour l'une des machines précitées, puis coupé et envoyé aux éléments de nettoyage de la machine suivante.
Au cours du fonctionnement recherché selon le présent procédés l'air comprimé est-admis aux éléments de nettoyage de la machine 11 pour une période déterminéependant laquelle il soit des buses 72 des éléments supérieur et in- férieur de façon à être dirigé sur les parties voisines de la machinée L'air sor- tant des buses.72 de l'élément inférieur sera dirigé en arrière (vers la gauche de la figure 1) durant le cycle de rotation du tuyau 41',puis vers le bas, le long du sol et vers la droite de la même figure 1, et cet air- comprimé devra être sous une pression suffisante pour souffler le long du sol jusque sous les machines-12 et 13.
Toute bourre rassemblée au voisinage de la paroi de gauche de la salle 10 (figure 1) peut être ramassée à la main ou par tout autre moyen désiré.
Après que les éléments de nettoyage associés à la machine 11 ont travaillé pen- dant une période désirée, la minuterie fermera la soupape 47 correspondante et ouvrira celle de la machine 12 pour lancer l'air comprimé- dans les éléments as- sociés à celle-ci. Ces éléments dirigeront à leur tour l'air vers 1'extérieur, contre les parties voisines de la machine et sous ellevers le sol.
Une partie de cet air sera dirigée vers l'arrière (vers la gauche de la figure 1), mais comme cette zone aura été précédemment nettoyéesil ne s'en
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suivra aucun inconvénient. L'air établira ensuite des courants s'écoulant selon les flèches de la figure 1, sous les autres machines de la sériée En suivant ce processus, on lancera l'air vers les machines successives) selon un minutage ai- dant les courants d'air traversant le sol de.la salle, de débarrasser celui-ci des accumulations de bourre, flocons et autres.
On voit ainsi que l'on a établi un procédé de nettoyage des machines textiles, consistant à lancer plusieurs souffles d'air comprimé vers les pièces voisines des machines, et à en diriger certains vers le bas et l'extérieur sous ces machines;, pour établir des courants d'air s'écoulant le long du sol et sous les machines de façon à le débarrasser des accumulations de bourres et autres flocons; on a réalisé de surcroit un appareillage exécutant le travail selon ce procédé.
REVENDICATIONS
1.- Procédé de nettoyage des bourres, flocons et autres entre et sous une rangée de machiaes textiles, consistant à souffler de l'air dans une conduite pour chaque machines, et à diriger cet air vers l'extérieur, sortant latéralement de chaque conduite dans la même direction générale pour chaque unité, avec une force suffisante pour balayer le sol entre et sous les machines voisines.
2. - Les conduites précitées se trouvent sensiblement sous chaque ma- chine, et la direction générale précitée est latérale à ces machines, la force de l'air suffisant pour obliger les bourres, flocons et analogues du sol à se déplacer dans cette direction générale, sous en entre les machines voisines.
3.- Les machines étant disposées en rang et espacées parallèlement les unes aux autres, les conduites leur sont longitudinales, et la force de l'air suffit à balayer le sol sous chaque machineentre chaque machine et sa voisine dans cette direction, et sous cette machine voisine dans chaque unitéo
40- La direction latérale de l'air est assurée en plusieurs points espacés, et les matières rassemblées par cet air sont ramassées sur le c8té de la salle où il est dirigé.
5.- L'air est introduit sous pression dans les conduites.
60- Le lancement de l'air dans les conduites, et sa direction vers l'extérieur et latéralement à celles-ci, sont assurés d'une machine à l'autre dans la direction générale précitée par arrêt de l'admission d'air à toutes les conduites sauf une;, selon la séquence requise.
7.- Appareil appliquant le procédé précédent, comprenant, en combi- naison avec les machines textiles équipées selon l'invention, des tuyaux supé- rieur et inférieur placés le long de chaque machine et tourillonnant sur elle, des conduits faisant communiquer chacun de ces tuyaux avec une source d'air com- primé, des éléments transmettant le mouvement rotatif à ces tuyaux, à partir de l'entraînement général des machines, enfin un certain nombre d'ouvertures répar- ties sur la longueur de chaque tuyau et en faisant communiquer l'âme avec l'ex- térieur.
80- Des buses sont montées sur chacune de ces ouvertures.
9.- Les conduits de communication comprennent des tuyaux verticaux allant du tyau supérieur au tuyau inférieur de chaque machine, des coudes montés aux extrémités de ces tubes verticaux et des presse-étoupe fixés à ces coudes et recevant eux-mêmes les extrémités voisines des tuyaux horizontaux qui y tou- rillonnent. Ces cordes et presse-étoupe ont des alésages faisant communiquer directement les tuyaux verticaux et horizontaux; une jonction en T, entre les extrémités de chaque tuyau vertical, a ses branches formant partie de ceux-ci, et sa queue reliée à un tuyau communiquant avec la source d'air comprimé.
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The present invention relates to a method and apparatus for cleaning textile machines such as spinners, tweezers and stretchers, as well as for cleaning floors under such machines.
We know that various machines are used, for spinning, twisting and winding for example, to industrially obtain rovings and threads of textile fibers, first by stripping and mixing the fibers, then drawing them during various operations to finally form fine corded strands from several individual fibers, strands generally referred to as rovings or twos yarns During the constitution of these rovings during the process of making the yarns, certain short broken fibers, long fibers - badly retained gues, tend to be rejected and float in the air, from where they fall to remain on the various parts of the machine, and on the ground This is what is called fluff or flakes ,
and the first object of the invention is a method and a device for ridding these machines of accumulations of this fluff or of these flakes, and to rid them even of the soils found under these same machines.
The invention is particularly useful, and usable on open frame machines such as spinners, twists, winders and the like.
We have well imagined so far. various methods and apparatuses for removing flakes and flakes from various parts of textile machinery, but without very satisfactory results, and the problem of cleaning the floors had not been solved. The accumulations of fluff and flakes were generally removed from the floors and floors by manual sweepers moving between the machines, armed with broom and the like; such a process stirs the flocks, flakes and other foreign bodies, and sends some of them onto the various active elements of the machine, or even onto the threads and wicks where they cling, which adulterates the finished product.
These accumulations of wads, flakes and other bodies on certain parts of the machines also cause some of these parts to slow down, which compromises the uniformity of the yarn or the wick during manufacture.
The intention is for a method of sweeping flocks, flakes and the like between several textile machines, and under them, consisting in blowing air into a duct for each of them, and expelling this air to the outside and laterally to each pipe, in the same general direction for each unit with sufficient force to sweep the ground between neighboring machines and under them.
The invention also presents an apparatus for sweeping the flocks, flakes and the like between and under a row of parallel textile machines, comprising, in combination with these machines, upper and lower horizontal tubes arranged along the length of each machine. machine and mounted on it to rotate axially, conduits communicating each of these tubes with a source of compressed air, transmission elements from the rotary drive to these tubes from the drive of the machine , finally a series of holes distributed over the length of the wall of each tube, and placing the core of the latter in communication with the outside.
An embodiment of the invention will now be described, by way of example, with reference to the accompanying drawing, which shows: FIG. 1 - a plan view of a room showing, somewhat sequentially, an apparatus. for cleaning a textile machine according to the invention; we also see, in dashed line, a row of machines such as looms or the like; Figure 2 - an enlarged vertical section viewed along line 2-2 of Figure 1, with some parts removed for clarity; figure 3 - an enlarged elevation seen from the right of figure 1, along line 3-3 and showing one of these textile machines with a part
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the corresponding cleaning device;
Figure 4 - a vertical section of the right end of the machine shown in Figure 3 (line 4-4), and showing the drive elements of the cleaning apparatus; Figure 5 - an enlarged vertical section taken along the line 5-5 of Figure 3; figure 6 - an enlarged fragmentary elevation of the upper cleaning elements, showing them separated from the loom, and figure 7 - an enlarged detailed elevation of the left-hand portion of figure 6, with some parts in section, and showing the stuffing box in which the rotating cleaning element pivots.
In these figures, the reference 10 designates a room on the ground or floor F of which several textile machines are stored. In the example described, these machines have been represented in the form of spinning looms 11, 12, 13, and 14. It should be understood that the present invention is not limited to these trades, but that it can be applied to all types of open-frame textile machines, such as warping machines, twists, etc. These machines are usually arranged in rows in a workshop room; to simplify the drawing, only four have been shown, it being understood that their number is in no way limited.
Each of the looms shown is identical to the others, and comprises end frames 20 and 21, and several intermediate slings 22, finally a rack 23 called to carry the spools of thread in treatment. Collar rails 24 run the length of the machine, and carry a number of spools 26, which stand vertically through ring carriers 27, and to which yarn Y is routed conventionally from the rake. - bind 23.
A drive device (not shown) is housed in a housing 30 and drives a conventional shaft 31 on which is fixed a main drive cylinder 32. A build shaft 3 extends from the housing 30, and this shaft Conventional is used to operate the present invention in the manner to be described. Conventional roller carriers 34 are also provided, each provided with several rollers between which the yarn Y passes during its path from the unwinders to the spools 26. The elements described so far are conventional, and it is up to a machine of this type, or a similar type, that the present invention is intended to be applied.
Only the cleaning elements associated with the textile machine 14 will be described, identical reference numbers being given on the cleaning elements of the other machines shown.
Referring more specifically to Figure 3, there will be seen an upper cleaning element designated generally as 40, and a lower element likewise designated 40 '. Both are of identical construction, except where specially indicated, and the homologous parts bear the same reference numerals with the notation "prime" added to those of the lower element 40 '. The upper element 40 comprises a rotating tube extending longitudinally and forming a conduit 41, one end of which is journaled in a gland 42 screwed onto an elbow 43 which is itself attached to a vertical pipe 44.
The lower end of pipe 44 is mounted on a branch of a T-pipe 46 connected to a solenoid valve 47, one pipe 48 of which connects the other side to a suitable source of compressed air (not shown). ¯48 connect the other side
The stuffing box 42 has a bore 50 in which one end of the pipe 41 journals. This stuffing box also has an overbore 51 communicating with the bore 50. and intended to receive a suitable packing 52 held in place by a sleeve washer. 53 attached to the cable gland 42, for example by means of screws 54 slipped into holes drilled in the flange of the washer 53,
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and screwing into the cable gland. It can thus be seen that the pipe 41 can rotate freely without there being any escape of air at its rotating connection.
The pipe 41 extends all along the machine; it is suitably mounted in various places between its ends, by several bearings 55 which are themselves fixed to the sliders 22, for example by bolts 56. The bearings 55, as they have been shown, are parts of wood with a concave part at their lower end or trunnion ± the pipe 41. It is conceivable that any suitable bearings or supports can be used.
The pipe 41 is prevented from sliding longitudinally in the bearings by clamps 60 and 61 fixed to it on each side of each bearing. 25.9 by means of clamping screws 620 Its end furthest from the stuffing box 42 is closed by a cap 65. A chain sprocket 66 is attached to the pipe 41, for example by the cap screw 67 which enters its sleeve, and a gall chain 68 placed on the sprocket 66, descends to around another. pinion 70 mounted on the motor shaft 330 The chain 6 & also passes over a third pinion 66 'mounted on the pipe 41', and identical to the pinion 66.
It will be observed that the movement imparted to the universal motor shaft ¯33. By the conventional drive mechanism housed in the casing 30, will turn the toys 41 and 41 'through the intermediary of the chain 68 and the pinions 66 and 66 '. The pipes ¯41 and 41 'will therefore rotate continuously while the machine is working.
The pipe 41 is provided with several nozzles in the form of short tubes 72 screwed into internal threads II distributed over the entire length of the pipe 41, preferably aligned longitudinally.
While the pipes 41 rotate continuously, compressed air is launched therein discontinuously, by means of a pipe 48, and under the control of the valve 47. Conductors 75 and 76 connect the solenoid thereof to the valve 47. the timer 77 which forms an interconnection with the valves 47 of all the equipped textile machines, so as to make them operate in concordance. The timer is connected to a source of electrical energy, not shown.
A pipe 80 connects the T-pipe .42. at the elbow 43 'of the lower cleaning element 40'. It will be observed that, the pipes 41 and 41 'rotating continuously, the air is introduced there by the pipe 46 and the pipes 44 and 80, under the control of the solenoid valve 47. The timer can be of any conventional structure, or desired, and its role is to open and close the electrical circuits of the solenoid valves 47 so that compressed air is supplied. to the cleaning elements for one of the aforementioned machines, then cut and sent to the cleaning elements of the next machine.
During the desired operation according to the present process the compressed air is admitted to the cleaning elements of the machine 11 for a determined period during which there are nozzles 72 of the upper and lower elements so as to be directed to the neighboring parts. of the machine The air leaving the nozzles. 72 of the lower element will be directed backwards (towards the left of figure 1) during the cycle of rotation of the pipe 41 ', then downwards, along the ground and to the right of the same figure 1, and this compressed air must be under sufficient pressure to blow along the ground to under the machines-12 and 13.
Any fluff collected in the vicinity of the left wall of room 10 (Figure 1) can be picked up by hand or by any other desired means.
After the cleaning elements associated with the machine 11 have been working for a desired period, the timer will close the corresponding valve 47 and open that of the machine 12 to start the compressed air in the elements associated with it. this. These elements will in turn direct the air outwards, against neighboring parts of the machine and below it towards the ground.
Some of this air will be directed to the rear (to the left in figure 1), but as this area will have been previously cleaned it will not be removed.
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will follow no inconvenience. The air will then establish currents flowing according to the arrows of figure 1, under the other machines of the series. Following this process, we will launch the air towards the successive machines) according to a timing helping the currents of air crossing the floor of the room, to rid it of accumulations of fluff, flakes and the like.
It can thus be seen that a process for cleaning textile machines has been established, consisting in launching several blasts of compressed air towards the neighboring parts of the machines, and in directing some of them downwards and outside under these machines ;, to establish air currents flowing along the ground and under the machinery so as to rid it of accumulations of fluff and other flakes; in addition, an apparatus has been produced which performs the work according to this process.
CLAIMS
1.- A method of cleaning fluff, flakes and others between and under a row of textile machiaes, consisting in blowing air into a duct for each machine, and directing this air outwards, leaving laterally from each duct in the same general direction for each unit, with sufficient force to sweep the floor between and under neighboring machines.
2. - The aforementioned pipes are found substantially under each machine, and the aforementioned general direction is lateral to these machines, the force of the air sufficient to force the wads, flakes and the like of the soil to move in this general direction. , under in between neighboring machines.
3.- The machines being arranged in row and spaced parallel to each other, the pipes are longitudinal to them, and the force of the air is sufficient to sweep the ground under each machine between each machine and its neighbor in this direction, and under this neighboring machine in each unit
40- The lateral direction of the air is ensured at several spaced points, and the materials collected by this air are collected on the side of the room where it is directed.
5.- The air is introduced under pressure into the pipes.
60- The launching of the air in the ducts, and its direction towards the outside and laterally to these, are ensured from one machine to another in the aforementioned general direction by stopping the air intake to all pipes except one ;, according to the required sequence.
7.- Apparatus applying the preceding process, comprising, in combination with the textile machines equipped according to the invention, upper and lower pipes placed along each machine and journaling on it, conduits making each of these communicate. pipes with a source of compressed air, elements transmitting the rotary motion to these pipes, from the general drive of the machines, finally a certain number of openings distributed over the length of each pipe and making communicate the soul with the exterior.
80- Nozzles are mounted on each of these openings.
9.- The communication ducts include vertical pipes going from the upper pipe to the lower pipe of each machine, elbows mounted at the ends of these vertical pipes and glands attached to these elbows and themselves receiving the neighboring ends of the pipes. horizontals which twirl there. These ropes and cable glands have bores making the vertical and horizontal pipes directly communicate; a T-junction, between the ends of each vertical pipe, has its branches forming part of the latter, and its tail connected to a pipe communicating with the source of compressed air.
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