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Il est bien connu qu'en cas d'incendie, notamment, il est fréquent que des personnes ont péri exclusivement faute d'un moyen de protection temporaire et/ou d'un moyen simple pour pouvoir accéder à une zone de sé- curité, respectivement de sauvetage, les accès normaux étant la proie des flammes ou envahis par les poussières et fumées.
En effet, il est bien connu que les cages d'escalier constituent des cheminées d'aérage favorables au développement des incendies, en sor- te que les flammes s'y trouvent souvent concentrées, formant barrage systé- matique à l'accès des escaliers. De plus, les ascenseurs, particulière- ment vulnérables, sont très souvent immobilisés dans les premiers instants de la déclaration de l'incendie,notamment par rupture des canalisations électriques et ouverture de portes, ou pour toute autre:.raison. Egalement, on a constaté que très souvent les échelles métalliques de secours exté- rieures sont souvent inaccessibles par suite de leur orientation ou bien encore de la présence de flammes et fumées au droit de leur accès. De plus, dans les échelles proprement dites, les plate-formes sont rapidement surchauffées.
Ces dangerssont d'autant plus grands qu'on a affaire à des immeubles de grande hauteur.
Le danger croît d'ailleurs de jour en jour par la multiplication des endroits publics, l'augmentation du nombre et de la capacité des cons- tructions et l'exiguïté de plus en plus grande des espaces libres entourant ces constructions.
Ainsi, dans les villes et notamment dans les villes à très forte population, ce danger public en cas d'incendie est de plus en plus courant, notamment dans les hôtels, les immenses édifices à bureaux, les bâtiments publics, etc...
On sait que, dans toutes ces constructions, des règlements de po- lice et des services de combat contre les incendies sont imposés, notam- ment en ce qui concerne les canalisations d'eau, les accès aux différents endroits de l'édifice, les échelles ou escaliers de secours, les matériaux employés, les conditions de construction de certaines portes pouvant former porte de sas, etc...
Evidemment, ces mesures de caractère général pour tous les édifices ne constituent que des règles fondamentales minima de base.
Il est néanmoins périodiquement à constater qu'en cas d'incendie ravageant des édifices de quelque importance, de nombreuses pertes de vies humaines sont très souvant à déplorer. Elles atteignent parfois le niveau de véritables catastrophes.
Le Demandeur a constaté que, dans de très nombreux cas, ces per- tes de vies humaines sont dues exclusivement au fait que la personne s'est trouvée, pendant un court moment, sans aucun moyen de protection individu- elle pour échapper aux flammes ou bien encore sans aucn moyen individuel pour pouvoir se porter vers un endroit moins dangereux. En effet, - et surtout pour les édifices de grande importance - les mortalités constatées sont dues tout autant à l'incendie proprement dit, c'est-à-dire à la car- bonisation par les flammes,' qu'aux actes,de désespoir amenant les victimes à se jeter dans le vide ou à se précipiter inconsciemment vers les endroits de plus grand danger.
La présente invention concerne un moyen extrêmement simple, relati- vement très économique et susceptible de garantir, sinon dans tous les cas, tout au moins dans la majorité des cas, un moyen individuel de protection et de sauvetageo
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Considérant ce moyen simple par rapport à de très nombreux récits de catastrophes dues à de grands incendies dans les dernières années, le Demandeur est en droit d'assurer que, dans de très nombreux cas, des vies humaines eussent été épargnées si elles avaient disposé d'un tel équipe- ment individuel.
Le moyen, objet de l'invention, consiste à disposer d'une maniè- re très accessible, dans tous les endroits jugés adéquats de tous bâtiments et notamment grands hôtels, édifices publics, collèges, pensionnats, hô- pitaux, bâtiments élevés à bureaux, etc... etc.., un équipement individuel constitué au minimum
A) - par un enveloppement conditionné de manière à pouvoir: - être enfilé quasi instantanément, - recouvrir pratiquement toute la personne sans en gêner les mouvements, - permettre une bonne visibilité, - autoriser une respiration suffisante, mais avec un certain effet de filtrage de l'air d'inspiration, - être absolument ininflammable, pratiquement incombustible et infusible dans les limites maxima de température des plus grands incendies connus.
B) - par un élément filiforme dont au moins un bout est muni d'un moyen d'accrochage, ledit élément filiforme étant, par exemple, ùne corde de bonne résistance, de préférence jalonnée de noeuds, et, en tout cas, telle qu'elle soit absolument ininflammable, pratiquement incombustible et infusible dans les limites maxima de température des plus grands incendies connus.
Ces deux éléments essentiels seront avantageusement disposés dans un réceptacle ou emballage d'accès très facile, par exemple une valise ou un sac.
On aura réalisé ainsi, sous forme de produit indùstriel nouveau, un équipement individuel qui, non seulement présente en soi une très gran- de efficacité, mais est également susceptible de contribuer à un excellent effet moral en cas de sinistre.
Par son extrême simplicité individuelle, cet équipement présente encore l'avantage de pouvoir être réalisé dans des conditions industrielles telles que les prix de revient doivent en être relativement réduits, ce qui permet d'envisager une vulgarité sur une très grande échelle d'un tel moyen simple.
Il est évident que l'invention concerne, en ordre principal, le moyen en soi consistant à prévoir un tel équipement de protection et de sauvetage individuel.
Ce n'est donc qu'à simple titre d'exemple, sans aucune limitation d'aucune sorte, que des réalisations sont décrites avec plus de détail ci- après en se référant aux dessins annexés dans lesquels la figure 1 représente un coffre contenant l'équipement objet de l'invention; la figure 2 représente, en vue perspective, un vêtement protecteur; la figure 3 représente, en vue perspective, une variante d'un vêtement protecteur ;
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la figure 4 représente en vue de face une deuxième variante d'un vêtement protecteur ; la figure 5 représente, en vue perspective, la partie supérieure d'un vêtement protecteur; la figure 6 représente un tronçon de corde approprié à l'équipe- ment individuel objet de l'invention.
Comme schématisé à la figùre 1, on pourra donc faire aisément usage, pour la préparation et la conservation de l'équipement individuel objet de l'invention, d'un coffre 1 dans lequel est logé,, d'une manière adéquate, l'enveloppement individuel 2 et dans le couvercle duquel est fixée, d'une manière aisément accessible et ehlevable, la corde ou élément filiforme approprié 3. Cet équipement individuel se compose donc, en fait, substantiellement d'un moyen individuel de protection, d'un moyen indivi- duel de sauvetage et d'un réceptacle capable de contenir et de protéger ces éléments.
Le moyen de protection individuel est, conformément à l'invention, constitué par un enveloppement qui, tout en pouvant présenter des différen- ces sensibles dans sa présentation, c'est-à-dire sa coupe, répond néanmoins à des formes fondamentales, partie intégrante de la présente invention.
Ces normes fondamentales sont au moins :une accessibilité quasi instantanée, une réduction au strict minimum des moyens de fixation, de fermeture et d'accrochage et un pouvoir d'enveloppement maximum de toute personne de grandeur et de corpulence moyennes.
Un premier exemple d'un enveloppement ou vêtement protecteurrépon- dant srupuleusement à ces normes fondamentales est représenté à la figure 2.
Il se compose d'une partie principale 4 sous la forme d'un manteau, pei- gnoir, caban ou autre vêtement analogue, dont les manches 5-6 sont prolon- gées par des gants ou moufles 7 - 8 formant des éléments protecteurs pour les mains, sans solution de continuité avec les éléments protecteurs pour les bras. Cet enveloppement général ne comporte, de préférence, ni bouton ni agrafe ni autre moyen de fermeture ou d'accrochage assez laborieux mais est tel qu'il assure une fermeture par recouvrement sur une distance D re- lativement grande. Une ceinture 9 permet de solidariser suffisamment les parties du vêtement juxtaposées. Cette fermeture est, par ailleurs, com- plétée par l'enveloppement de la tête formée, en l'occurrence,d'un genre têtière mais entièrement fermée.
Cette coiffe têtière 10 est inférieure- ment prolongée par une collerette 11 telle que, non seulement la tête et le cou soient entièrement protégés mais que ladite collerette vienne s'ap- pliquer sur la partie supérieure de l'enveloppement 4 et que la partie inférieure antérieure de ladite têtière immobilise le bout correspondant de la partie chevauchante du vêtement 4.
On réalise ainsi un enveloppement tel que toutes les parties du corps soient, sans aucune solution de continuité, enveloppées. La coif- fe 10 présentera, vers l'avant, une fenêtre adéquate 12 garnie d'un élé- ment 13 en une matière incombustible et à très haut point de fusion, par exemple du mica ou composition de mica.
Sur ladite fenêtre 12 pourra également être prévu un orifice en regard duquel est fixé un tampon 14 conditionné pour permettre la respi- ration et assurer un certain effet de filtrage.
Toutes les parties de l'enveloppement seront réalisées en une matière légère, relativement très souple et pratiquement ininflammable et à très haut point de fusion. Ainsi on pourra utiliser une tole ou un tissu
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imprégné d'une composition adéquate en'vue d'être rendu ininflammable. Le tampon 14 pourrait être constitué par un enveloppement bourré d'une matiè- re filtrante connueo
La coiffe têtière 10, comme schématisé à la figure 5, sera de préférence attachée en permanence à la partie postérieure de l'encollure du vêtement 4 de manière à pouvoir être rabattue vers l'arrière.
Il en résulte qu'en fait tout l'ensemble du vêtement protecteur ne réalise qu'une seule pièce et qu'il est susceptible d'être endossé quasi instantanément, même par des personnes affolées, vu l'absence de tout moyen de fermeture délicat ou requérant un certain calme pour pouvoir être utilisé.
C'est donc quasi instantanément qu'une personne en danger pourra s'envelopper totalement, tout en gardant une bonne visibilité et une cer- taine liberté de respiration, étant entendu que le moyen de protection n'est prévu que pour présenter une efficacité quasi totale pour une durée relativement réduite mais suffisante pratiquement dans tous les cas.
La figure 3 représente une variante de l'enveloppement de la fi- gure 2 dans laquelle la partie inférieure du vêtement 4 est conditionnée de manière à présenter deux fourreaux 15-16 pour les jambes, chaque four- reau étant prolongé par un bout fermé, respectivement 17-18, pour les pieds.
La figure 4 représente un deuxième variante d'un vêtement protec- teur sous la forme générale d'un caban 19 dont les manches 20-21 sont très amples de manière à réaliser un vêtement plus large capable d'être endossé quasi instantanément.
Il sera évidemment possible d'adopter toutes autres coupes ou con- ditionnements, pour autant qu'on satisfasse au moins aux critères fondamen- taux caractérisant l'invention.
Le moyen de sauvetage est, en l'occurrence, constitué par une cor- de 3 dont, comme représenté à la figure 6, un bout est prolongé par un élé- ment résistant 22 en forme de crochet, ladite corde étant, de préférence, jalonnée de noeuds 23. Cette corde 3 sera également réalisée en une ma- tière ininflammable ou, de préférence, rendue ininflammable. Elle aura une longueur suffisante pour, normalement, accéder à un endroit de plus grande sécurité et elle pourra donc, à cette fin, être adoptée aux diffé- rents cas.
Par la mise à disposition d'un tel équipement présentant au moins un enveloppement de protection et un'élément de sauvetage, on permettra à toute personne sinistrée soit d'attendre des secours, soit de se déplacer vers des endroits moins dangereux ou de sécurité.
On pourrait évidemment compléter l'équipement par tous autres moyèns accessoires ou complémentaires, de telles ajoutes ne modifient en rien l'idée inventive en soi.
L'invention s'étend donc aussi bien à cette idée inventive qu'à tout genre d'équipement, c'est-à-dire à tout genre d'enveloppement pro- tecteur individuel, tout genre d'éléments de sauvetage du type indiqué et tout genre de réceptacles capables de contenir, respectivement de conser- ver, lesdits éléments de protection et de sauvetage.
REVENDICATIONS.
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It is well known that in the event of fire, in particular, it is common for people to perish exclusively for lack of a temporary means of protection and / or of a simple means of being able to access a safety zone, respectively, the normal accesses being engulfed in flames or invaded by dust and fumes.
Indeed, it is well known that stairwells constitute ventilation chimneys favorable to the development of fires, so that the flames are often concentrated there, forming a systematic barrier to the access to the stairs. . In addition, the elevators, which are particularly vulnerable, are very often immobilized in the first moments of the declaration of the fire, in particular by rupture of the electrical pipes and opening of doors, or for any other reason. Also, it has been observed that very often the exterior emergency metal ladders are often inaccessible due to their orientation or even to the presence of flames and smoke at the right of their access. In addition, in the ladders themselves, the platforms are quickly overheated.
These dangers are all the greater when we are dealing with tall buildings.
The danger is increasing day by day with the proliferation of public places, the increase in the number and capacity of buildings and the increasingly small size of the open spaces surrounding these buildings.
Thus, in cities and especially in cities with a very high population, this public danger in the event of fire is more and more common, especially in hotels, huge office buildings, public buildings, etc.
We know that, in all these constructions, police regulations and fire fighting services are imposed, particularly with regard to the water pipes, the accesses to the various places of the building, the ladders or emergency stairs, the materials used, the construction conditions of certain doors that can form an airlock door, etc ...
Obviously, these general measures for all buildings only constitute basic minimum rules.
It is nevertheless periodically observed that in the event of a fire devastating buildings of any importance, many losses of human life are very often to be deplored. They sometimes reach the level of real catastrophes.
The Applicant has observed that, in very many cases, these losses of human life are due exclusively to the fact that the person has been, for a short time, without any means of personal protection to escape the flames or well still without any individual means to be able to go to a less dangerous place. Indeed, - and especially for buildings of great importance - the mortalities observed are due as much to the fire itself, that is to say to the carbonization by the flames, as to acts, despair causing victims to jump into the void or unconsciously rush to places of greatest danger.
The present invention relates to an extremely simple means, relatively very economical and capable of guaranteeing, if not in all cases, at least in the majority of cases, an individual means of protection and rescue.
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Considering this simple means compared to the very many accounts of catastrophes due to large fires in recent years, the Applicant is entitled to ensure that, in very many cases, human lives would have been spared if they had had access to 'such individual equipment.
The means, object of the invention, consists in having a very accessible way, in all the places considered adequate of all buildings and in particular large hotels, public buildings, colleges, boarding schools, hospitals, high office buildings. , etc ... etc .., individual equipment consisting of at least
A) - by a wrap conditioned in such a way as to be able: - to be put on almost instantly, - to cover practically the whole person without hindering their movements, - to allow good visibility, - to allow sufficient breathing, but with a certain filtering effect of the inspiration air, - be absolutely non-flammable, practically incombustible and infusible within the maximum temperature limits of the largest known fires.
B) - by a thread-like element, at least one end of which is provided with a hooking means, said thread-like element being, for example, a rope of good resistance, preferably lined with knots, and, in any case, such as 'it is absolutely non-flammable, practically incombustible and infusible within the maximum temperature limits of the largest known fires.
These two essential elements will advantageously be placed in a receptacle or packaging which is very easy to access, for example a suitcase or a bag.
In this way, in the form of a new industrial product, individual equipment will have been produced which, not only is in itself very efficient, but is also capable of contributing to an excellent moral effect in the event of a disaster.
By its extreme individual simplicity, this equipment also has the advantage of being able to be produced under industrial conditions such that the cost prices must be relatively reduced, which makes it possible to envisage a vulgarity on a very large scale of such simple way.
It is obvious that the invention relates, in principal order, to the means per se consisting of providing such personal protection and rescue equipment.
It is therefore only by way of example, without any limitation whatsoever, that embodiments are described in more detail below with reference to the appended drawings in which FIG. 1 represents a safe containing the equipment object of the invention; FIG. 2 represents, in perspective view, a protective garment; FIG. 3 represents, in perspective view, a variant of a protective garment;
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FIG. 4 represents a front view of a second variant of a protective garment; FIG. 5 represents, in perspective view, the upper part of a protective garment; FIG. 6 represents a section of cord suitable for the individual equipment object of the invention.
As shown diagrammatically in FIG. 1, it will therefore be possible to easily make use, for the preparation and conservation of the individual equipment object of the invention, of a box 1 in which is housed, in an adequate manner, the individual casing 2 and in the cover of which is fixed, in an easily accessible and removable manner, the appropriate cord or thread-like element 3. This individual equipment therefore consists, in fact, substantially of an individual means of protection, of a individual means of rescue and of a receptacle capable of containing and protecting these items.
The individual protection means is, in accordance with the invention, constituted by an envelope which, while being able to present appreciable differences in its presentation, that is to say its cut, nevertheless corresponds to fundamental shapes, part integral part of the present invention.
These fundamental standards are at least: an almost instantaneous accessibility, a reduction to the strict minimum of the means of fixing, closing and hooking up and a maximum enveloping power of any person of average height and build.
A first example of a protective wrapping or garment satisfying these fundamental standards is shown in figure 2.
It consists of a main part 4 in the form of a coat, bathrobe, pea coat or other similar garment, the sleeves 5-6 of which are extended by gloves or mittens 7 - 8 forming protective elements for hands, without any break in continuity with the protective elements for the arms. This general wrapping preferably does not include any button or clip or other rather laborious closing or hooking means, but is such that it ensures closure by covering over a relatively large distance D. A belt 9 makes it possible to sufficiently secure the juxtaposed parts of the garment. This closure is, moreover, completed by the enveloping of the head formed, in this case, of a headrest type but entirely closed.
This headrest cover 10 is extended below by a collar 11 such that not only the head and the neck are fully protected but that said collar comes to be applied to the upper part of the wrap 4 and that the lower part front of said headpiece immobilizes the corresponding end of the overlapping part of the garment 4.
An envelopment is thus achieved such that all the parts of the body are, without any solution of continuity, enveloped. The cover 10 will have, towards the front, a suitable window 12 furnished with an element 13 of an incombustible material and with a very high melting point, for example mica or a composition of mica.
On said window 12 may also be provided an orifice opposite which is fixed a plug 14 conditioned to allow breathing and ensure a certain filtering effect.
All parts of the wrap will be made of a light material, relatively very flexible and practically non-flammable and with a very high melting point. So we can use a sheet or a fabric
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impregnated with a suitable composition in order to be made non-flammable. The pad 14 could be constituted by a casing filled with a known filter material.
The headpiece 10, as shown diagrammatically in FIG. 5, will preferably be permanently attached to the rear part of the neckline of the garment 4 so as to be able to be folded backwards.
The result is that in fact the whole of the protective garment makes only one piece and that it is likely to be donned almost instantly, even by distraught people, given the absence of any delicate closure means. or requiring some calm to be able to be used.
It is therefore almost instantaneously that a person in danger will be able to envelop himself completely, while retaining good visibility and a certain freedom of breathing, it being understood that the means of protection are only intended to be virtually effective. total for a relatively short but sufficient period in practically all cases.
FIG. 3 represents a variant of the wrapping of FIG. 2 in which the lower part of the garment 4 is conditioned so as to present two sleeves 15-16 for the legs, each sleeve being extended by a closed end, respectively 17-18, for the feet.
FIG. 4 represents a second variant of a protective garment in the general form of a pea coat 19, the sleeves 20-21 of which are very ample so as to produce a wider garment capable of being donned almost instantly.
It will obviously be possible to adopt all other cuts or packaging, provided that at least the fundamental criteria characterizing the invention are satisfied.
The rescue means is, in this case, constituted by a cord 3 of which, as shown in FIG. 6, one end is extended by a resistant element 22 in the form of a hook, said cord preferably being dotted with knots 23. This rope 3 will also be made of a non-flammable material or, preferably, made non-flammable. It will be of sufficient length to normally access a place of greater security and it may therefore, for this purpose, be adopted in different cases.
By the provision of such equipment having at least one protective wrap and one rescue element, any disaster victim will be allowed either to wait for help or to move to less dangerous or safe places.
One could obviously supplement the equipment by any other accessory or complementary means, such additions in no way modify the inventive idea in itself.
The invention therefore extends to this inventive idea as well as to any kind of equipment, that is to say to any kind of individual protective wrapping, any kind of rescue elements of the type indicated. and any kind of receptacles capable of containing, respectively of keeping, said protection and rescue elements.
CLAIMS.
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