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La présente invention se rapporte à des nachines servant
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à fermer des sacs et sachets et en uarticulier è. une machine servan à fermer dgs sacs oui peuvent être soudés à chaud au Loir8 à proxi?:li t8 de leur embouchure, Dans les magasins dits "self-service" OÙ'1"o-n se sert soi-même, il est souvent nécessaire ci¯'e10el}.er es ""archsndises à vendre dans des sacs transparents E'C8} :',-<3 cui exposent les # r- chandises de. r.1anièr.e c'''"I'':u3.e tout' en les conservent dans des
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conditions hygiéniques élevées.
Cependant, lorscue la marchandise
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est périssable, par e::e":'1le 1 orç,.,i¯ '2,-.¯ t de lard ou-' d'au- tres viandes, il est avantageux de faire le vide dans le sac ou de remplacer l'air eu' il contient par un gas inerte pour conserver la :èF!I'ch[;n.(1ie le plus lon8tsr'.DS possible à l't2t frris.
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L'invention a pour but-principal de procurer une machine servant à fermer des sacs contenant une marchandise périssable et à y faire le vide ou à remplacer l'air ou' ils con- tiennent par un gaz inerte pendant l'opération de fermeture.
L'invention a également pour buts de procurer une machine de ce genre qui soit de construction peu coûteuse; et de procurer une machine qui ait une cadence de production élevée, par exemple de l'ordre ,de 60 sacs ou plus scellés par minute. ,
Suivant la présente invention, une machine servant à enfermer des Marchandises dans des sacs soud.és à chaud, comporte un transporteur, pour le sac et les marchandises oui y sont placées' pour être emballées, qui peut se déplacer par inter- mittences vers une.
position d'emballage de marchandises et à partir de celle-ci et dont la surface résiste à la chaleur et est imperméa- ble à l'air, un logement supporté alternativement pour se rapprocher et s'écarter de la dite surface pour former avec elle une chambre hermétique, un dispositif de commande d'air relié au logement et travaillant en synchronisation avec les déplacements du logement pour faire le vide dans la chambre ou remplacer l'air qu'elle contient par un gaz inerte, et un dispositif de chauffage placé dans le logement se déplaçant avec lui et par rapport à lui après l'action du dit dispositif de commande de l'air de manière à coopérer avec la surface résistant.à la chaleur du transporteur et réaliser, dans la chambre le soudage à chaud du sac autour d'une marchandise.
Afin que l'invention soit mieux comprise, on en décrira maintenant une forme d'exécution, à titre d'exemple, représentée sur les dessins schématiques annexés, dans lesquels :
La Fig. 1 est une vue en plan du dessus, partiellement en coupe, d'une partie de la machine suivant l'invention.-
La fig. 2 est une vue en élévation, partiellement en coupe, suivant la flèche II, Fig. 1,
La fin. 3 est une vue en élévation,partiellement en coune suivant la flèche III, Fig. 1.
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La fig. 4 est une coupe longitudinale d'une poulie motrice pour la courroie transporteuse de la machine.
La fig. 5 est une coupe suivant la ligne V-V, Fig. 4.
La fig. 6 est une vue en plan du dessus d'un élément de comande incorporé à la machine.
La fig. 7 est une vue en élévation suivant la flèche VII, Fig. 6.
La fige 8 est une coupe suivant la ligne VIII-VIII,Fig.7.
La fig. 9 est une coupe fragmentaire suivant la ligne IX-IX, Fig. 8.
La fig. 10 est un schéma .illustrant le fonctionnement de la machine..
La fig. 11 est une vue du dessus, partiellement en coupe d'une partie d'une variante de la machine suivant l'invention.
La fig. 12 est une demi-coupe suivant la ligne XII-XII, Fig. 11.
La fig. 13 est une coupe suivant la ligne XIII-XIII, Fig. 11 et la fig. 14 est un. schéma illustrant le fonctionnement de -la variante de la machine.
Les mêmes chiffres de référence dans la description désignent les mêmes parties ou des parties semblables dans les dessins.
Dans une forme d'exécution appropriée de la machine suivant l'invension, une marchandise, comme par exemple un pan de lard, est placée dans un sac à embouchure ouverte, de fabrication connue, qui peut être transparente et dont l'intérieur est doublé de matière plastique soudable à chaud, par exemple du polyéthylène.
En variante les sacs peuvent être entièrement faits de matière plas tique soudable 'à chaud, comme du polyéthylène..Mais .on comprendra que lorsque les sacs sont préfabriqués, la machine ne doit souder que l'embouchure du sac et, dans ce cas, il peut n'y avoir de la matière soudeble à chaud que dans les environs de l'embouchure du sac qui doit être soudée à chaud.
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La machine représentée sur les figs. 1 à 10 des dessins, comporte un transporteur formé d'une courroie 1 sans fin et de préférence sans joint, en matière résistante à la chaleur qui est imperméable à l'air, comme par exemple du caoutchouc au silicone et la courroie est supportée de manière à pouvoir se déplacer par intermittences, dans un sens, de distances prédéterminées. Le mouvement intermittent peut être transmis à la courroie de n'importe quelle manière appropriée, mai,s dans une forme d'exécution préférée de l'invention, le dépla.- cément de la courroie s'effectue par l'intermédiaire d'une poulie
2 commandée par un embrayage, Figs. 4 et 10, décrit ci-après.
Une cloche 3 est supportée, au-dessus du brin supérieur de la courroie, de manière à pouvoir s'approcher et s'écarter de la courroie, le dessous de la cloche étant ouvert et destiné, lorsqu'on abaisse la cloche en position de travail, à coopérer avec le brin supérieur ce la courroie pour former avec celle-ci une'chambre de soudage 4, figs. 2 et 3, dans laquelle une marchan- dise peut être enfermée dans'un sac vide d'air. Pour faciliter la formation d'une chambre de soudage hermétique entre la courroie et' la cloche, le bord inférieur de la cloche comporte un joint en caoutchouc moulé d'une seule pièce 5.
Sous la courroie, dans la zone où la cloche entre en' contact avec elle, est prévue une butée rigide 6 contre laquelle la courroie est comprimée, com- me le montre la Fig. 2, lorsque la cloche se déplace pour former avec la courroie là chambre de soudage 4.
La cloche 3 est soutenue par des montants 7 portés par un cadre à croisillons 8 fixé à une tige de piston 9, qui à son tour est. fixée ?- un piston, non représentée dans un cylindre 10. Le cylindre 10 est relié par des conduites d'air 11, 12, Fig. 10 qui commandent le rapprochement ou l'écartement.-de le. hloche de la positionou elle forme la chambre. Une soupape à vide 13, Figs. 2 et 10, est reliée par la conduite 14, Fig. 2, à la butée 6 et peut entrer en action comme décrit plus loin,
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après que la cloche s'est abaissée pour former cette chambre pour faire régner une dépression dans la chambre de soudage 4.
La cloche, comme décrit ci-dessus, continue a coo- pérer avec la courroie après application de la dépression dans la chambre de soudage et pendant que s'opère le soudage à chaud de l'embouchure du sac. Le soudage à chaud est effectué par deux barres chauffantes 15, une pour chacun des deux sacs disposes côte à côte pour être fermés; et chaque barre chauffante comporte un élément chauffant électrique 16, Fig.? et si on le désire, un dispositif de commande à thermostat, non représenté. Chaque barre chauffante est montée sur un support qui lui permet de se déplacer avec la cloche 3 et par rapport à celle-ci pour amener la barre chauffante à coopérer avec la courroie 1 de manière à effectuer le soudage à chaud désiré de la matière du sac.
Corme le montrent les Figs. 1 et 3, chaque barre chauffant( est supportée par une crémaillère 17 attaquée par un pignon 18 actionné par un autre pignon 19, Fig. 1, par l'intermédiaire d'une crémaillère taillée dans une tige de piston 20, dont les liston, non représenté, non logé dans un cylindre 21 relié à des tuyaux flexibles qui amènent de l'air comprimé pour commander le rapprochement ou l'écartement de la barre chauffante de la cour- roie 1. On comprendra que, s'il n'y avait aucun sac en position de soudage lorsqu'une barre chauffante s'abaisse, la courroie n'en subirait aucun dommage car la matière qui la compose résiste à la chaleur.
La. courroie lest assez large pour recevoir ceux sacs B côte à côte, Fig. 1, chacun (Peux contenant une marchandise à enfermer, les embouchures ces facs étant disposées transversale- ment au sens de marche, comme indiqué par la flèche A, figs.l et 10, du brin supérieur de la courroie* Les sacs contenant les' marchandi- ses, sont déposés sur la courroie, par exemple par un opérateur, le fond des sacs étant placé contre une butée 24, Figs. 1 et 10.
Ceci se fait de préférence lorsque la courroie est arrêtée et que la paire de sacs précédente est au soudage dans la chambre 4.
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Le déplacement intermittent de la courroie 1 s'effectue par 1' intermédiaire d'une poulie 25, Figs. 4 et 10, qui es 'apportée de manière à tourner dans des roulements à billes 26; Fig. 4, montés sur un cylindre fixe 27 coaxial à la poufie et s'étendant longitudinalement à travers celle-ci. A une extrémité de la poulie est fixée la.partie entraînée 28 d'un embrayage à friction dont la partie motrice est fixée à une tige de piston 29 qu'elle entraîne,axiale-ment. La tige de piston com- porte un piston 30 qui y est fixe et qui se déplace dans une chambre 31 logée dans le cylindre 27 et dans laquelle les tuyaux 32, 33, Figs. 5 et 10 introduisent de l'air comprimé pour accoupler et désaccoupler l'embrayage.
La partie motrice 34 de l'embrayage est reliée à la tige 29 qu'elle entraîne axialement et est elle- même entraînée de façon continue par une roue dentée 35, fixée à cette partie 34 de l'embrayage et actionnée par une crémaillère 36 mise en mouvement alternatif par un volant 36a et une manivelle 36b à partir de l'arbre principal MS qui peut être entraîné de façon continue par un moteur électrique, non représenté. Cette disposition procure un avancement harmonique de la courroie.
La marche de la 'machine est commandée automatiquement par un dispositif de commande Figs. 6 à 9, qui comporte 5 soupapes commandées par des cames 37, 38, 39, 40, 41, Fig. 7, parmi les- quelles la soupape 37 commande l'embrayage, 'la soupape 38 commande la soupape à' vide 13, la soupape 39 commande le logement 3, la soupape 40 commande les barres de chauffage 15, et la soupape 41 commande l'introduction de gaz dans la chambre 4 lorsou'on le désiré, comme décrit plus loin. Chaque soupape est du type cylindri- que à anneaux mobiles en "O" et comporte un galet 42, Fig. 8 monté sur l'extrémité de la soupape. Le galet 42 est en contact avec un bras d'un levier'43 pivotant en 44.
L'autre bras du levier 43 porte un galet qui suit une came montée sur un arbre à cames 46 auquel est fixé un pignon 47 entraîné par un pignon 47a, Fig. 4, monté sur l'arbre principal MS de la machine.
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Chaque came se compose de deux parties 48, 49, Fig. 9, dont les profils sont identiques, et chaque partie est constituée de deux noitiés maintenues en position de fonctionnement par des vis, des goujons ou l'équivalent 50. L'arbre à cames com- porte à chaque came des pas de vis gauche et droit axialement espaces les uns des autres, 51, 52, Fig. 9, et les deux moitiés de chaque partie de came sont séparées pour pouvoir être montées sur les filets 51 et 52, après quoi on les relie'par les vis 50.
Une des deux parties de came comporte des tenons d'arrêts diamétralement opposés 53 qui en traversent une face pour venir en contact avec une face de l'autre partie de la. carne comme le montre la fig. 9. On visse deux parties de la came l'une contre l'autre jusqu'à ce que leurs profils soient alignés et que la face d'une partie soit fermement calée contre les arrêts 53 traversant la face de'l'autre partie et on tourne les cames pour les amener à occuper leurs positions relatives les unes par rapport aux autres.
La rotation des cames s'effectue à l'aide d'une clef que l'on introduit dans une des ouvertures 54, Fig. 8 ménagées dans les cames. La disposition cames et arbre à cames que l'on vient de décrire permet de caler les cames sur l'arbre à cames sans chevilles filetées ou l'équivalent, que l'on utilisait jusqu'à présent, et la rotation de l'arbre à cames sert à caler plus fermement les.-cames en place. De plus on peut faire varier le profil des cames en tournait une partie de la came par rapport à l'autre.
Lorsque 1' embrayage ne travaille pas, la cloche 3 est toujours relevée par rapport à la courroie 1 et pour mettre la machine en marche, on enclenche une poignée de commande 55, Fig. 10. En amenant.la poignée 55 à sa position de démarrage, on actionne une soupape d'alimentation- principale 56, de sorte que .l'air comprimé provenant d'un compresseur non représente est amené par la conduite 57, à travers un filtre 58, un réducteur de pression 59, et un lubrificateur 60, à une conduite d'alimentation
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61 qui dessert tout l'élément de commande. Ainsi, lorsque la came de la soupape 37 provoque l'ouverture de cette soupape, l'air passe dans la conduite 32 et provoque l'accouplement de l'embrayage pour faire avancer la courroie 1.
Lorsque la soupape 37 désaccouple l'embrayage, la soupape 39 agit à son tour et laisse passer l'air dans la conduite 12 pour faire descendre la cloche 3 et l'obligera forcer une chambre hermétique avec la courroie 1 Qui, à ce moment, est arrêtée, les sacs portés ,par la courroie étant placés dans la chambre pour le soudage. Ensuite la soupape 38 agit sur la conduite 138 pour ouvrir ,la soupape à vide 13, et pour créer un vide dans la chambre par la conduite 14 qui est reliée à une pompe à vide 92, la soupape 38' restant ouverte jusqu'à ce que les sacs aient été soudés.
L'application d'une dépression dans la chambre de soudage 4 crée un vide dans cette chambre ainsi que dans et autour des sacs ou-elle contient, évitant ainsi la tendace qu'auraient les côtés des sacs de s'affaisser l'un sur l'autre, emprisonnant ainsi de l'air dans les sacs.
Après que le vide a été fait, la soupape 40 agit pour faire passer de l'air dans la conduite. 22 pour déplacer les barres chauffantes qui viennent en contact avec les sacs pour souder leurs embouchures, et immédiatement après ce contact, la soupape 38 agit pour. fermer la. soupape 13 vers la pompe à vide 92. En mené tes, la soupape 41 s'ouvre pour admettre l'air comprimé provenant de la soupape 67, par la conduite 68, dans la chambre 4 par la conduite 66 et la 'soupape 13. La chambre est donc rapide- ment ramenée à la pression atmosphérique et est prête à être ouverte.
Les sacs sont placés dans la chambre de telle manière crue, lorsqu'on abaisse les clients chauffants, ces derniers entrent en contact avec des parties onnoses des sacs, près de leurs embouchures, entre celles-ci et le fond ces sacs et en appliquant de,la chaleur et de la pression à cet endroit, c'est-à-dire en comprimant les surfaces des sacs prises entre les éléments chauffants et la courroie, on relise le soudage des sacs pour y enfermer les mar- chandisesdans une atmosphère propre à leur conservation. A la fin
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de l'opération de soudage., la soupape 40 ouvre la conduite 23 pour relever les barres chauffantes et.la. soupape 38 se referme.
La soupape 39 ouvre alors la conduite 11 de manière à ramener la cloche à sa position de départ. Ce cycle de fonctionnement se pour- suit tant que la poignée de commande 55 reste en position "démarrage". Afin d'assurer le retour de la cloche 3 à sa position de départ lorsqu'on amené la poignée de commande à la position "arrêt", les soupapes 38, 39', 40 sont reliées à,des soupapes d'évacuation 62 dans la conduite de sortie 63 venant de la soupape
56.
Dans certains cas il peut être souhaitable d'introduire un gaz inerte dans la chambre 4 et dans les sacs qui s'y trouvent au lieu d'y faire le vide. A cet effet on utilise la soupape 41 commandée par une came de l'arbre 46. Lorsqu'on utilise la soupape 41 pour amener du gaz, l'admission de -gaz à la soupape est comman- dée par une soupape 64, Fig. 10, le gaz provenant d'une source -non représentée à laquelle la conduite 65 relie la soupape 64..
Lorsque la came actionne la soupape 41, le gaz passe dans la. chambre par la. conduite 66 et la soupape 13. Si le gaz est à. la pression atmosphérique, la cloche est alors prête à être relevée, mais s'il est à une pression plus basse,,. lorsoue la chambre a reçu la quantité de gaz requise, il faut y faire passer de l'air pour la ramener à la pression atmosphérique. Il est vident que le gaz introduit doit entrer dans la chambre avant que les barres de soudage ne descendent.
Dans la variante de' la machine représentée sur les Figs. 11 à 14, la cloche 3 est supportée par des tiges des- piston 9, les barres chauffantes sont supportées par des ti?es de piston, et la. marche du. dispositif de commande de l'air est coin- mandée par les déplacements de la cloche au lieu de l'être par les cames comme décrit ci-dessus. On décrira le fonctionnement de la variante de la machine en se référant à la fig. 14] où les conduites d'air sont représentées en traits pleins et les raccordements Electriques en traits pointillés.
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Sur la f ig. 14, le circuit d'air est alimente par un
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compresseur 69 relié à une soupape d'alimentation principale 56, qui peut être commandée à la main par la poignes 55a. lors du démarrage et de 1-arrêt de le machine. Lors du démarrage, on actionner la poignée 55a pour que de l'air passe dans la conduite 63 vers une soupape de relais 70 et de là à une soupape distribu-
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trice 71 et 2 une soupape pilote à solénoïde 72, c'est-a.-dire une soupape pilote d'admission, d'air qui est commandée par.un solénoïde, et par la conduite 73 à une soupape de relais 74.
La soupape pilote 72 est commandée par un interrupteur sensible à la. pression 75 oui est placé dans la cloche 3 et qui est disposé de manière à provoquer l'ouverture de la soupape pilote 72 lorsque la cloche est 8. la pression atmosphérique, comme c'est le cas lorsqu'elle est relevée. A ce moment, cependant, la soupape de relais 70 est fermée.
On démarre le moteur, non représentée qui entraîne l'arbre principal MS de la machine,et on accouple l'embrayage 76 de manière à faire avancer la courroie 1 pour amener les sacs qui y sont déposés à la position de soudage où les marchandises sont enfermées; environ au même nouent, un dispositif de commande, représenté sous la forne d'une bute 77 tournant avec la poulie 25a autour de laquelle passe la courroie, enclenche un interrupteur
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à heurtoir 78 qui ferrite le circuit, faisant ainsi fonctionner le solénoïclé d'une seconde soupape pilote d'admission d'air à solénoïde 79.
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La souoape -ilote 7 laisse passer l'air dans la con- duite 80 pour ouvrir la SOu.:03'le de relais 70 de -:a i re que l'air en sorte pr les conduites 51, S2 et ese -#'"ans une troisième SOUJ8e de relais ?/* et ppr les conduits '1, 8Aj à une interrupteur de c0'Lf'.Fy!'!p Z,'e'.¯',Z''Çri-rr-'. sous for>ne 0 'u.:.:..e 7E't'tC' son:9Be.:"".icro-i)ilote 9,5 C'oC't-;'¯r:il'''-' 'r' C!01.1.)nQ (--Lii o r¯ ',:011' trc: ,.pr' 35.? c'est--circ- nze soiropne qui est actionnée par un tr.. . L,¯r CI '':èaJ.: rir rr- Cf)"'...1"::.r1. ::-'interfil7)teur de CO!'i'"1!8.::..c'e 25, non re- rr-Â:=-.'2;.1tl. nir 1er '"I0?.
Il >, 1':\, est '(3nt-' sur un ''ont c.>;6, li'i'."s. 1 et 1':\, rlui fll'YJortç. '81-:;.1r;0-t la cloche 3 ainsi que les dispositifs
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qui lui sont associés, pour être attaque par la cloche 3 lorsque cette dernière arrive au bout de sa course descendante.
L'enclenchement de la soupape de relais 83 ouvre les conduites 12, 87, raccordées respectivement à des cylindres 10
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et 88 pour provoquer ainsi l'abaissement de la.' cloche 3 jusque à ce qu'elle forme une chambre avec la courroie 1, et faire arrêter
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la. courroie en dcsaccouplant l'embrayage 76. Lorsque la cloche 3 arrive au bout de sa course, elle enclenche l'interrupteur de -i-Der.,ietta-il-IL, ainsi à l'air dans la conduite 84 de s'écouler dans la conduite 89 vers une quatrième soupape de relais 90 et de là par la conduite 91 dans la soupape à vide 13 qui
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coiciande par le tuyau 14. Fi. 2, l'application d'une dépression par la pompé à vide 92 dans la chambre 4.
Lorsque la pression dans la chanbre 4 est tombée à 3 pouces (75 clé Faercure, un interrupteur 'sensible à la pression 93, placé dans la cloche s'enclenche et provoque l'ouverture d'une'troisième soupape pilote d'admission.d'air.a solénoïde 94 par le contact donné par un relais électrique 96. Il est clair que à ce moment, à cause de la pression 'réduite dans la chambre, l'interrupteur 75 aura provoquéla fermeture de la soupape d'ad- mission préalable 72, coupant donc la conduite d'air 73 à la soupape de relais 74.
L'ouverture de la soupape pilote 94 provoque l'écoulement
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de l'air venant de le conduite 97, .raccordée 4. 1^. conduits- ?.7- par les conduites 98, 99 vers la soupape de relais 74 et par les
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conduites 98, 100 vers la soupape de relais 70. L'e.ir riens In cou- 'duite 99 ouvre la soupape 74 vers les conduites 101, '102 et aliéne ainsi de l'sir. Cens les cylindres 2la pour abaisser les <l''"-.#-ntp chauffants 15 dans la cloche 3 et pour souder les sacs la*
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chf> libre 4.
L'air dans la conduite 101 passe également par la conduite 103 vers une quatrième soupape pilote d'admission d'air à
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Ç^¯.l lnoire 104 contrions par une minuterie 105 de n'importe quel
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genre appropriéqui est conditionnée par le conte et 106 du relais
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96. Au bout de la période déterminée par la ininuterie, If. soupape d'admission préalable 1! s'ouvre et l'air -casse 1 conduite 107' vers la soupape de r01,is 90, et par les conduites 107, 10::' à une cinquième soupape pilote 109.
L'action de l'air Cens la- conduite 107 sur la soupape 90 provoque la fermeture de la sounaoe à .'vide 13 vers la pompe 92 et la soupape 109 laisse entrer par la conduite 110, dans la mesure appropriée, de l'air atmosphérique
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ou un gaz inerte dans la chambre 4. Lorsque la machine est 8:;ence pour un balayage par du gaz, le circuit ce la Fif.. 14 est -.codifié pour permettre au gaz d'entrer dans la chambre avant 1' abaisseront des barres de soudage.
Lorsque la pression dans la chambre est ramenée à' la pression atmosphérique 1' interrupteur sensible à la pression 75 s'ouvre à,nouveau et la soupape oilote 72 agit sur la soupape de relais 74 de manière que l'air par la conduite 23 pro- voque le relèvement des éléments chauffants par rapport à la cloche 3. L'air, par la conduite il! agit sur la soupape de relais 83 de sorte que de l'air passe dans la conduite 11 pour ramener la cloche 3 à sa position relevée.
La conduite 11 est également raccordée à une conduite 112 pour faire agir l'air
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sur un interrupteur de démarrage représenté sou? la forrfle d'une soupape de relais 113 qui est montée dans le parcours de .relèvement de la cloche 3 pour ct3'e c.t'tanl,l?e par celle-ci 101'.'3':'.1.1.' '3110 f!rri':TC"..; au SOT'let de sa coursé. L'enclenchement de l'interrupteur de c- marrage 113-par. la cloche 3 provoque le psssage de'l'air par la conduite 114 -dans le cylindre SS et accouple yrr=r.., 7< commençant ainsi un nouveau cycle de TOT-;C-Fip"Yy:,-1-tf Cn:¯tC celui qu'on vient.de décrire.
Lorsque la ,;1::;'('cnl'np est arrêtée, la ;o -'' :e 55f¯ est ramenée à -se. position de r:3c:¯t' :J11')c: ¯' c.it'11 1 C "";]1i+(> 63 et amenant l'air r'.ç.:f la conduite 115. :!:"f'i1' est D.'18;1(, ^¯2S la conduite 115 par les conduites 73 et iii vers les soupapes de relais 71, i3 pour assurer le retour de la cloche à sa position r'c;lei.T'.:', -=-i la machine venait s'arrêter lorsque la cloche est a.h='.¯rC9
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position dans laquelle elle forme une chambre après l'action de la minuterie 105, l'air passant à ce moment -dans la soupape de relais 109 par la conduite 116 qui est raccordée à la conduite 73..
Dans ce qui précède, on a décrit des machines utilisa- bles pour souder des .sacs préfabriquées, mais il est évident que si on le désire, les sacs peuvent être fabriqués dans la chambre de soudage. Si la machine est construite pour travailler ainsi, elle comportera un dispositif servant à déposer une bande de matière pour lafabrication de sacs sur le brin supérieur de la courroie et l'opérateur déposera la marchandise à emballer sur cette bande de matière avant que la courroie 'ne fasse avancer la marchandise avec sa matière d'emballage, et sous une seconde bande de matière d'emballage qui recouvre la bande de matière placée sur la courroie et la marchandise posée dessus.
Dans une forme de construction appropriée, les deux bandes de matière destinées à former le sac proviennent de bobines qui dévident la matière, de n'importe quelle manière appropriée par l'intermédiaire de . rouleaux d'alimentation. Le fonctionnement de l'appareil de soudage est le même que celui décrit ci-dessus, mais il est évident que 1' élément chauffant qui travaille dans la chambre de soudage, au lieu de ne souder que l'embouchure du sac, sera disposé pour en souder les ,quatre bords.
Après l'enlèvement, par la. courroie, d'un sac soudé de cette manière, de la chambre de soudage, un appareil coupeur, de toute forme appropriée, est prévu pour séparer le sac soudé de l'a matière servant à fabriquer les sacs.
Pour assurer une introduction correcte de la matière d'emballage compte tenu des impressions qu'elle porte, on oeuf contrôler. l'introduction d'une manière connue par un dispositif photo- électrique ou autre approprié*
Il est clair également que quoiqu'on ait décrit le transporteur comme étant une courroie sans fin, il peut, si on le désire, prendre une forme autre que celle d'une courroie, par exemple il peut comporter une tourelle rotative pourvue d'un
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certain nombre de surfaces résistant à la chaleur venant se placer successivement sous une cloche 3.
En outre, si on le désire, le soudage chaud peut être effectué par un appareil de chauffage à impulsions qui reçoit des impulsions électriques pour chauffer la barre de façon intermittente et permettre son refroidissement immédiat près la formation de chaque soudure à chaud.
R E V E N D I C A T I 0' ET S.
1.- Machine à emballer des marchandises dans des sacs soudés à chaud, caractérisée en ce qu'elle comporte un transporteur pour la matière des sacs et,les marchandises que l'on y dépose pour l'emballage, qui peut se déplacer par intermittences vers une position d'emballage des marchandises et à partir de celle-ci et dont la surface résiste à la chaleur et est imperméable à l'air, une cloche supportée de manière à pouvoir être alternativement rapprochée et écartée de la surface du transporteur pour former avec elle une chambre de soudage hermétique, un dispositif de com- .mande d'atmosphère relié à la cloche et fonctionnant en synchroni- sation avec les déplacernents de la cloche pour faire le vide dans la chambre ou pour remplacer l'air qu'elle contient par un gaz inerte, et un dispositif chauffant placé dans la cloche se déplaçant avec celle-ci et par.
rapportà elle après que le dispositif de commande d'atmosphère a fonctionné, de manière à coopérer avec la surface résistant à la chaleur du transporteur et à effectuer dans la chambre le soucage à chaud du sac autour d'une marchandise.