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Cette invention a pour objet un dispositif pour supporter, en position verticale, cycles, motocycles ou véhicules similaires.
En dehors du but général que nous venons de considérer, l'invention vise aussi la possibilité d'abriter des motocycles dans un espace fort limité sans devoir ménager, en hauteur-et en largeur, c'est-à-dire au-dessus et latéralement au véhicule, un intervalle suffisant pour permettre l'accès de l'usager accompagnant le véhicu. le.
De manière toute particulière, l'invention permet de par- quer des motocycles et de les disposer l'un à côté de l'autre avec la possibilité de retirer, malgré cette disposition, n'importe quel de ces véhicules avec la plus grande facilité*
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La présente invention permet encore de loger le véhicule dans un abri de protection ayant des dimensions très limitées et tel que la hauteur. de cet abri corresponde substantiellement à la hauteur du véhicule.
Le dispositif selon l'invention se caractérise essentielle- ment par des moyens de support présentés par une base.et coagissant avec les parties inférieures du véhicule en vue de maintenir celui-ci en position verticale.
Ladite base comprend quelques organes de soulèvement suscep- tibles de s'engager avec les parties inférieures prévues sur les deux côtés du véhicule, par exemple les appui-pied, en vue de soulever le- dit véhicuie et de la maintenir en position stable.
Cette base présente une forme en rail et comporte .aux élé- ments à parallélogramme déformable, dont les parties supé ures s'engagent avec les appui-pied ou toute autre partie analogue du vé- hicule.
Selon l'invention, les éléments mobiles du parallélogramme déformable sont reliés entre eux et comportent des moyens pour leur commande, actionnés par l'action combinée du poids et de la force d'inertie du véhicule en mouvement,lorsque celui-ci vient rejoindre la position voulue.
L'invention sera, du reste, mieux comprise au cours de la description suivante se référant aux dessins annexés et concernant certaines formes de réalisation du dispositif autant que des varian- tes et modifications de celui-ci, lesdits description et dessins étant donnés à titre purement illustratif, nullement limitatif, de la portée de l'invention.
''Dans les dessins: les figures 1,2 et 3, montrent, d'une manière s%ématique et en élévation latérale, trois formes de réalisation du dispositif ap- pliqué à un abri pour un seul véhicule.
Les figures 4 et 5 montrent deux autres formes de réalisa- tion du dispositif.
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La figure o montre une modification du dispositif selon la figure 2.
Les figures 7,8 et 9 montrent des organes complémentaires du dispositif, susceptibles d'être fixés à la paroi verticale de fond et aux parois latérales, ainsi qu'à la paroi inférieure ou sol.
La figure 10 représente une élévation latérale d'une autre forme de réalisation du dispositif, qui supporte un motocycle montré dans sa position initiale de rapprochement (figure en blanc') et dans sa position finale ou de repos (figure en noir) .
Les figures 11 et 12 montrent, à plus grande échelle et en élévation latérale, le dispositif représenté à la'figure 14, respec- tivement dans ses positions initiale et finale.
La figure 13 en est le plan, et la figure 14 en est une coupe transversale, tandis que la figure 15 illustre l'organe servant à la retenue élasti- que du guidon du véhicule.
Les figures 16 à 19 représentent, enfin, d'autres formes de réalisation des organes de retenue du guidon du véhicule.
Avec référence à la figure 1, le dispositif est constitué, dans sa forme simplifiée, par un ou deux supports M, qui coagissent avec le sol de 1.'abri A qui sert à abriter le véhicule.
Ces supports prévoient deux plans inclinés N, avec lesquels s'engagent les appui-pied D du véhicule, lorsque celui-ci est intro- duit dans l'abri.
Les supports M sont fixés sur le sol de l'abri A de manière à pouvoir être déplacés le long de l'axe dudit abri, en vue de pou- voir être adaptés aux différents types de véhicules.
Dans la variante selon la figure 2, le support M peut glis- ser sur les guides latéraux P, inclinables vers le haut, de manière que, lorsque le véhicule est introduit dans l'abri, au moins une des deux roues B,C sont soulevées et éloignées du sol.
Ce résultat peut être obtenu de manière équivalente si l'on prévoit le sol de l'abri incliné vers la paroi de fond,ainsi qu'il
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est indiqué par la ligne ponctuée de la figure 2.
Dans la variante selon la figure 3, le support M est réali- sé sous la forme d'un chariot coulissant sur les guides P qui s'éten- dent à l'extérieur de l'abri A.
Le véhicule est placé préalablement sur le chariot M et re- tenu en position verticale par une patte de soutien Q ou par tout autre moyen pouvant être constitué éventuellement par un organe port( par le véhicule lui-même, de manière à pouvoir être introduit dans l'abri A.
Selon les figures 4 et 5, le véhicule est retenu dans l'abr A en position verticale à l'aide des supports R, qui coagissent avec les flancs de la ou des roues B et C.
Dans le cas de la figure 4, les supports R sont présentés par le sol de l'abri A, tandis que dans celui de la figure @ ces supports sont portés par la paroi de.. fond, de façon à pouvoir rete- nir la roue avant B à une certaine hauteur.
Au moins un de ces supports peut être réglable dans le sens transversal, en vue de réaliser une rainure dela largeur voulue, susceptible de correspondre à la largeur des roues présentées par les différents types de véhicules.
Spécialement dans le cas de la figure 4. il n'est pas à ex- clure que l'un des supports puisse être mobile dans le sens transver- sal, à l'intervention.de commandes convenables, dont l'actionnement permet de serrer la ou les roues du véhicule entre les supports R, de manière à assurer le véhicule dans la position voulue.
Le dispositif illustré à la figure 6 est analogue à celui de la figure 2, avec la différence que les guides P fixés au sol;de l'abri A.so nt repliés vers le bas et en contact avec des rouleaux rainurés P1' que présentent les extrémités inférieures du bras P2 A sa partie supérieure, chaque bras P2 se termine par un étrier P3 susceptible d'entrer en contact avec la partie supérieure de l'appui- pied D que présente le véhicule.
Dans cette variante, les guides P sont prévus inclinés dans
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le sens propre à s'abaisser vers la paroi de fond de l'abri. De cette façon, lorsque le véhicule est introduit danà l'abri, les bras P2 poussent les roues du véhicule vers le sol, en maintenant celui-ci en position verticale.
Les bras P2 peuvent être prévus réglables selon les diffé- rents types de véhicules du commerce. En outre, ces bras peuvent être constitués, chacun, par un treillis qui glisse de façon stable sur les rails de guidage P, de manière que les étriers P3 soient dis- posés en position convenable pour assurer leur contact avec l'ap- pui-pied D du véhicule.
Dans le but de guider le véhicule dans l'abri A, la présen- te invention prévoit l'installation d'un organe de guidage S (voir la figure 7) sur la paroi opposée à celle d'accès, qui, d as le cas illustré, se compose d'une pluralité d'éléments emboîtés l'nu dans l'autre ou réalisés en pantographe, dont l'extrémité libre se termine par un étrier 31 pouvant entrer en contact avec la partie avant du véhicule, par exemple avec le tube du guidon.
L'organe de guidage S peut être combiné avec des moyens à ressort dans le but de favoriser l'extraction du véhicule de l'abri
A.
Selon la figure 8, le véhicule est maintenu en position ver- ticale à l'aide des bras T comportant à leur extrémité les charnières
T1' qui servent à les relier aux parois latérales de l'abri A.
Les extrémités libres de ces bras entrent en contact, lors- qu'elles sont reversées, avec une partie du véhicule, par exemple avec la selle G, dans le but de maintenir le véhicule en position ver. ticale.
Il es évident que les bras T peuvent être réalisés de fa- çon à pouvoir varier leur longueur selon les différents types de vé- hicule s.
Pour maintenir le véhicule en position verticale, on prévoit encore, selon la présente invention, la présence d'un tréteau de sup. port Q, porté usuellement par le véhicule.
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Ainsi qu'on le voit sur la figure 9, ce tréteau est relié à une commande constituée, par exemple, par une corde Q1 reliée, d'un côté audit téteau et, de l'autre côté, à un levier accessible à l'u- sager, de sorte qu'après avoir établi l'union entre la corde Q1 et le tréteau de support Q, le véhicule peut être introduit dans l'abri A et, apiès l'abaissement du tréteau, le véhicule peut être maintenu en position verticale.
Selon ia variante montrée aux figures 10 à 15, le disposi- tif comporte une base, constituée par deux longerons 10,12 de lon- gueur convenable, correspondant substantiellement à celle du véhicu- le et reliés l'un à l'autre par des traverses 14 qui appuient sur le sol.
Les côtés intérieurs opposés des longerons 10,12 s'nt con- venablement profilés (voir figure 14). de façon à former rainu- re, dont les parois convergent vers.le bas et dont le fond est consti tué par les faces supérieures des traversee 14. Dans cette rainure son... logées et alignées les 'roues B,C du véhicule.
A cette base sont fixées des couples de supports 16,18 convenablement espacés entre eux, dans lesquels sont logés les ar- bres respectifs 20,22...
A l'extrémité de ces arbres sont fixées deux couples de et bras 24/27 dont les bouts sont réunis entre eux de manière articulée à l'aide des tourillons 30,32 et des barres longitudinales 34,36.
Ces parties forment un double système de parallélogrammes articulés et déformables, susceptible de constituer un moyen de sou- lèvement dans le but indiqué dans la suite.
Sur l'arbre antérieur 22( en tenant en considération la po- sition du véhicule montrée à la figure 10) est directement ou indi- rectement fixé un étrier 38, dont la partie moyenne est disposée transversalement par rapport aux longerons 10,12 c'est-à-dire sur le trajet de la 'roue B du véhicule.
En outre, les extrémités de l'étrier 38 comportent des pro- longements 40, de longeur convenable, convenablement pliés pour for-
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mer un angle avec les bras dudit étrier, de façon à prendre la posi tion montrée aux figures 11 et 12.
Les barres longitudinales 34,36 sont prévues de longueur convenable et telles qu'elles puissent entrer en contact avec n'im- porte quelle partie saillissant normalement des deux côtés du véhi- cule.
Dans le cas de motocycles, ces parties peuvent être consti. tuées avantageusement par les appui-pied D, présenté latéralement pcr le véhicule. Il n'est cependant pas à exclure que les barres longitudinales 34,36 (éventuellement combinées avec des organes de support auxiliaires) puissent entrer en contact avec le cadre ou ave les parties inférieures du véhicule, de la façon qui sera expliquée dans la suite.
Le dispositif que nous venons de décrire, est complété par des moyens pour retenir de manière élastique la roue avant B du vé- hicule dans une position alignée avec l'axe longitudinal du véhicu- le, ce qui permet, en même temps, d'obtenir une certaine possibili- té d'ajustage.
Ceci dans le but d'éviter l'effet contraire dû à la proprié. té autoredressante, caractéristique des fourches avant et de direc- tion des véhicules et motocycles en général,
Ainsi qu'on le voit sur la figure 15, ces moyens sont consti- tués par des simples tirants 50,52 dont une extrémité se termine par une boucle 54, pouvant s'engager sur les poignées du guidon F.
Les deux autres extrémités se réunissent entre elles et se relient à l'extrémité d'un moyen élastique 56, par,exemple, un res- sort ou tout autre organe similaire. Cet organe élastique se termi- ne par un crochet éventuellement réglable 58 pouvant être fixé à une des parties arrière du véhicule, par exemple à la selle G.
De 'cette façon, la roue avant B du véhicule est maintenue automatiquement alignée avec la roue arrière C et elle ne peut ef- fectuer que des oscillations limitées.
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Le fonctionnement au dispositif, ou plus exactement le pla- cement et l'extraction du véhicule respectivement dans et de l'abri sont réalisés de la manière suivante.
Le dispositif se trouve normalement dans la position mon- trée à la figure 1, c'est-à-dire, avec l'étrier 38 soulevé et avec les barres longitudinales 34,36 abaissées.
Dans cette position, les prolongements 40 de l'étrier 38 constituent un arrêt, du fait qu'ils sont en contact avec la traverse 14 correspondante.
: Le véhicule est placé sur la plate-forme réalisée par les éléments 10,12,14,et ses roues sont dirigées vers la rainue formée par les longerons 10,12.
Cette opération peut être effectuée par l'usager qui @@ trouve près de l'extrémité arrière du dispositif, c'est-à- e sans qu'il se porte à côté du véhicule prés du guidon F.
Ceci parce que les roues du véhicule sont guidées latérale- ment, soit par les parois inulinées des longerons 10,12, soit par les tirants (figure 15).
En outre, même si le véhicule est abandonné à lui-même il est toujours empêché de se renverser du fait des deux barres longi- tudinales ( en position abaissée), dont l'une s'engagerait avec l'appui-pied du véhicule sur le côté "renversement".
Lorsquela roue avant B du véhicule entre en contact avec la partie moyenne de l'étrier 38 ce dernier est poussé, sous l'effet de la force vive imprimée par l'usager au véhicule, vers le bas dans la position 38 montrée à la figure 12.
On réalise de la sorte la rotation des bras 24,26 et la dé- formation résultante des parallélogrammes articulés, de sorte que les barres longitudinales 34,36 qui constituent le côté supérieur des parallélogrammes, sont soulevées à une hauteur maximum et attei- gnent la position montrée à la figure 12.
Pendant ce déplacement des barres, celles-ci entre en con- tact avec les appui=pied D ou avec toute autre partie équivalente
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du véhicule, de sorte que celui-ci est déplacé en avant, soulevé et retenu en position verticale en vertu de cet engagement.
Le double système de parallélogramme articulés précédemment considéré est maintenu de façon stable en position soulevée, du fait que les bras 24,26 ont dépassé la verticale et que l'étrier 38 entre en contact, en se posant, avec la traverse de tête, afin de garantir automatiquement la stabilité du dispositif, lorsqu'il supporte le véhicule.
Pour faire sortir le véhicule du dispositif, l'usager fera baisser les barres longitudinales 34,36 et agira directement sur le véhicule dans le sens contraire au précédent.
Le système des doubles parallélogrammes se présentera de la sorte déformé dans le sens contraire au précédent et les parallélo- grammes prendront de nouveau la position initialle montrée à la figu- re 11.
Le véhicule s'appuyera alors, par un mouvement combiné d'a- baissement et de recul de ses deux roues, sur le fond de la rainure formée par les longerons 10,12 et donnera ainsi un commencement à la phase de dégagement et d'extraction du dispositif.
Cette opération peut être aussi effectuée en fixant l'extré- mité 58 des tirants 50,52.
Comme pour l'opération de placement du véhicule sur le dis. positif, l'opération de retrait se fait avec la même facilité, l'u- sager se trouvant à l'extrémité arrière du dispositif.
Selon les différentes formes de réalisation dudit disposi- tif spécialement selon les formes illustrées aux figures 1,2,6,8 et , ces variantes du dispositif exigent, pour le bon fonctionnement, d'être complétées par les rênes ou tirants montrés à la figure 15, appelés à retenir la direction du véhicule de manière élastique,
Les figures 16 à 19 illustrent quelques variantes des ti- rantsselon la figure 15.
A la l#gare 16, les organes de retenue élastique ou rêne@ pour le guidon F sont constitués par des tirants 60,62, dont les extrémités sont reliées d'un côté de manière amovible (par exemple
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au moyen de pinces ou agrafes) à la partie médiane du guidon F, @an- dis que les autres extrémités se relient aux coulisseaux 64,66, qui glissent le long des rails 68,70'fixés aux parois latérales de l'h- bri.
Dans la variante selon la figure 17, les tirants 60a,62a se relient d'un côté ( à l'aide de capuchons, pinces, ou organes simi- laires) aux extrémités du guidon F, et de. l'autre côté aux coulis- seaux 64a,66a, qui glissent le long des rails de guidage 68a, 70a, fixés au plafond de l'abris
Dans cette variante sont prévus des contre-tirants 72, 74 qui, prenant naissance respectivement aux coulisseaux 64a,66a, s'at- tachent par leur autre extrémité à la partie médiane du guidon
Il est' évident que, dans ce cas, il peut être prév in seul rail de guidage, disposé dans' une position moyenne par rapport aux deux rails que nous venons deconsidérer,
de façon t elle que ce rail se pose le long de l'axe longitudinal du véhicule.
Dans ce cas, les extrémités supérieures des tirants 60a,62a seront reliées à un seul coulisseau, et il sera prévu également un seul contre-tirant 72.
Il est évident que les rails de guidage 68a,70a, pourront être (danc ce cas aussi) inclinés vers le bas de façon correspondan- te à l'ouverture d'accès de l'abri, en vue de faciliter l'introduc- tion du véhicule dans celui-ci, et de maintenir le véhicule soulevé du sol, lorsqu'il est introduit dans l'abri.
La figure 18 montre un système de tirants à double triangu- lati on.
Les tirants 60b, 62b comportent à leurs extrémités, d'un cô- té, une pince ou agrafe 58b, qui peut être fixée à la selle G et, de l'autre coté, des capuchons 54b pouvant être enfilés sur les extré- mités du guidon F.
A ces capuchons sont aussi reliées les extrémités des contre. tirants 72b,74b disposé de manière à se croiser et se terminant à
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leur autre extrémité par des coulisseaux 64,66b coagissant avec les rails respectifs de guidage 68b,70b.
Il s'ensuit que le véhicule est retenu de façon stable et peut glisser dans l'abri le long des guides formés par les rails prêt cédemment considérés.
Dans la variante selon la figure 19, les organes de coordi- nation et de stabilisation du guidon sont constitués par une traver- se 71, munie de pinces 74, pour fixer le guidon.
La traverse 71 est fixée, à ses deux extrémités, aux deux priions parallèles 76 d'une corde sans fin qui s'enroule sur les couples de poulies 78,80,82, disposées de manière que les deux por- tions 76 se déplacent dans le même sens.
Les tourillons des poulies que nous venons de considérer sont parallèles et sont fixés au plafond de l'abri, de ma ere à ne pas entraver les mouvements du véhicule.
Il est à remarquer que les organes d'ajustement du guidon selon les figures 16 à 19 permettent d'éliminer totalement l'action de soutien de la partie du dispositif qui entre en contact avec les appui- pied ou avec les roues du véhicule, du fait que les tirants que nous venons de décrire maintiennent le véhicule en position ver- ticale tout en maintenant l'alignement par rapport à l'axe longitu- dinal du véhicule lui-même.
Les avantages pouvant être réalisés par le dispositif dé. crit ci-avant et illustré aux dessins sont évidents. En dehors de la possibilité d'abriter le véhicule dans un espace fort limité en hau- teur et en largeur, on a l'avantage que les roues du véhicule ne se trouvent pratiquement pas en contact avec le sol, tandis que les amor tisseurs et le système des ressorts du véhicule sont en grande par- tie déchargés du poids du véhicule.
D'autres variantes et modifications sont applicables au dis, positif'en question. Ainsi, par exemple, ce dispositif pourra être constitué par deux bras 24 ou 26 seulement (figures 11 à 14), rele entre eux par un tourillon articula Les extrémités libres de ces
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bras sont façonnées de manière à entrer en contact avec .Les ar@@ pied du véhicule.
La commande du double système des parallélogrammes peut, êtr- réalisée par des moyens hydrauliques ou mécaniques, disposés en posi- tion convenable par rapport au dispositif. Ce système de paralléle- grammes peut être éventuellement monté directement sur le sol et non pas sur la base formée par les longerons 10,12 et par les traversée 14, du fait que les tirants de la figure 6 pourraient se charger tout seuls de maintenir alignées les roues du véhicule pendant la ma- i,oeuvre
Selon les caractéristiques constructives du véhicule, la le gueur des bras 21F,26 ou la hauteur des barres 34,36 peut être modi- fiée en vue d'obtenir les conditions voulues pour la retenue de vé- hicule.
L'étrier 38, qui commande automatiquement le parallélogram- me déformable, peut être constitué, de manière équivalente, par un plan incliné monté à charnière à l'extrémité avant de la base et re- lié au moyen de renvois à da partie mobile dudit parallélogramme.
De cette façon, lorsque la roue du véhicule entre en contact avec le plan incliné, celui-ci s'abaisse dans le sens propre à son aligne- ment avec le plan de la base et actionne de la sorte le parallélo- gramme.
En outre, le dispositif peut être incorporé dans un abri de dimensions fort limitées,permettant seulement l'entrée du véhicule, tandis que les opérations de retrait et d'introduction de celui-ci dans ledit abri peuvent être faites par l'usager, qui se trouve l'extérieur de cet abri..
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