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La présente invention concerne une installation de commande à distance et plus particulièrement une installation de commande centrali- sée du trafic pour les chemins de fer. L'installation conforme à la présen- te invention comprend un poste central et plusieurs stations connectés par des fils de ligne, par lesquels des signaux codés à impulsions sont trans- mis pour actionner certains dispositifs destinés pour la plupart à comman- der le trafic et disposés le long de la voie, ainsi que pour indiquer au poste central la position ou l'état de ces dispositifs.
La présente invention est un perfectionnement de l'installa- tion décrite et représentée dans les brevets des Etats-Unis d'Amérique
N 2,411.375 et 2.442.603 respectivement du 19 Novembre 1946 et du 1er Juin
1948. L'installation conforme à la présente invention est donc du type codé à temps, qui utilise des codes d'éléments longs et courts transmis à raison d'un seul à la fois sur un circuit de ligne unique.
Les éléments constituant l'installation conforme à la présen- te invention sont essemblés de préférence sous la forme de groupes de co- dage, d'emmagasinage, et d'extension, qui contiennent chacun un groupe de relais. L'installation utilise un groupe de codage de station à chaque em- placement de station pour transmettre des codes de contrôle et pour receeoir sélectivement des codes de commande; ainsi que des groupes d'extension, suivant les besoins, pour associer les dispositifs à cet emplacement avec le codage de station.
L'équipement du poste central comprend de préférence un panneau individuel de commande pour chaque groupe de dispositifs de commande du trafic, et un groupe de codage qui est connecté par le circuit de ligne au groupe de codage de station pour établir sélectivement la communication entre chaque panneau et le groupe correspondant de station.
Dans la plupart des installations de ce type, utilisées ac- tuellement, y compris celles décrites dans les deux brevets mentionnés plus haut, la longueur de tous les codes de commande et de contrôle est déterminée par un nombre fixe d'impulsions, par exemple 16. Normalement, la première moitié de chaque code est nécessaire pour fournir à chaque station un indicatif d'appel codé et distinct. Cette sélection des stations est nécessaire pour que les codes de commande soient reçus sélectivement par la station appropriée, et pour que les codes de contrôle soient enregistrés sur le panneau convenable du poste central.
Puisque la dernière impulsion du code est nécessaire pour remettre l'installation à zéro, sept impulsions seulement sur les seize impulsions généralement utilisées sont ainsi disponibles pour remplir les fonctions de commande et de contrôle. Si le nombre des dispositifs à commander et à contrôler à une station dépasse sept, il est alors nécessaire d'utiliser un code supplémentaire entier, en affectant un indicatif séparé et codé d'appel de station à chaque groupe supplémentaire de sept fonctions. Il faut aussi prévoir à la station un équipement supplémentaire d'emmagasinage et de sélection.
Dans le passé, sept impulsions de code ont été généralement suffisantes pour remplir les fonptions désirées de commande et de contrôle dans les stations de la plupart des systèmes de commande centralisée du trafic (systèmes désignés par l'abréviation CTC. Cependant, par suite de l'augmentation de la complexité ; des systèmes de signalisation des chemins de fer, le besoin d'impulsions supplémentaires de code aux stations se fait sentir de plus en plus fréquemment particulièrement pour fournir des indications supplémentaires de contrôle dans le but d'augmenter l'efficacité de l'installation.
Puisque le nombre des indicatifs d'appel disponible avec un seul groupe de codage de poste central est limité mathématiquement, ce nombre étant égal à 35 dans un système de codage à seize impulsions, 1' emploi de codes supplémentaires d'identification de station, dans de nom- breuses stations, peut exiger plus d'une section de ligne, là où une seule section aurait pu suffire autrement. Ceci exige un équipement supplémentaire de codage au poste central et en même temps, soit plus de fils de ligne,
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soit un équipement à courant porteur à haute fréquence, toutes choses qui augmentent le prix de l'installation.
Il serait nettement avantageux de pouvoir fournir à une station des impulsions supplémentaires de code comme on le désire, sans être obligé d'utiliser un autre code d'identification de station et avec un équipement supplémentaire minimum. En d'autres termes, la souplesse, qui permettrait d'utiliser à une station le code régulier avec une longueur désirée quelconque, augmenterait le rendement et l'utilité du système de signalisation, tout en diminuant le prix àe l'installation. Il serait désirable aussi de pouvoir utiliser des codes de commande et de contrôle de longueurs àifférentes à une station quelconque, chaque code ne comprenant que le nombre d'impulsions nécessaire pour remplir les fonctions désirées, sans qu'aucun a'eux ne soit limité à un multiple exact d'un nombre de base quelconque tel que huit.
Ainsi, les codes ne seraient pas limités aux longueurs correspon- dant à 16, 24, 32 ou 40 impulsions; de plus, on pourrait transmettre un plus grand nombre de codes par unité de temps, ce qui constituerait un avantage certain dans une installation encombrée.
Cependant, pour maintenir la souplesse des systèmes actuels, la possibilité de moaifier la longueur du code comme on le désire doit être réalisée avec des articles d'équipement qui soient standardisés à toutes les stations; autrement dit, les groupes de codage et l'équipement d'extension de code doivent être d'une conception identique pour toutes les stations, de manière à conserver l'interchangeabilité des pièces.
Si l'on veut réaliser une installation de ce genre, avec des codes dont lalongueur peut être modifiée en fonction des besoins des diffé- rentes stations en campagne, et même avec la possibilité d'obtenir des codes de commande et de contrôle de longueurs différentes pour une station quelconque, on doit disposer aussi d'un moyen quelconque pour synchroniser l'arrêt de l'action de codage. Autrement dit, l'action de codage au poste central doit s'arrêter sur l'impulsion appropriée pour chaque station, quelle que soit la longueur particulière au code. Ceci est vrai en particulier pendant les codes de contrôle, quand il est nécessaire d'arrêter l'action de codage simultanément au poste central et à la station en campagne dans le but de remettre à zéro correctement 1?installation et d'empêcher la perte ou l'enregistrement erroné des codes suivants.
Un tel moyen de synchronisation doit être capable d'effectuer une telle action sur une base sélective suivant la station à laquelle le code est destiné.
La présente invention a donc pour but de réaliser dans une installation de ce genre un procédé pour étendre le code jusqu'à une longueur désirée quelconque, à une station quelconque, dans le but de réaliser des commandes ou des contrôles supplémentaires, et cela sans utiliser des codes supplémentaires de désignation de station.
Pour atteindre ce but, l'invention prévoit d'ajouter des relais aux chaînes de comptage du groupe de codage pour étendre l'action de codage et réaliser ainsi des impulsions supplémentaires de code.
L'invention se propose aussi de réaliser un moyen réglable pour terminer un code sur une impulsion paire quelconque après la sélection de station, grâce à quoi les codes de commande et de contrôle peuvent avoir des longueurs différentes à une station, et en même temps une longueur différente de celle des codes similaires aux autres stations, chaque code ne comprenant que les impulsions suffisantes pour transmettre les fonctions désirées.
L'invention se caractérise par le fait que, pour atteindre ce but, elle prévoit au poste central et à chaque station un moyen pour exciter le dernier relais de la chaîne de comptage dès que toutes les fonctions ont été transmises, en terminant ainsi le code.
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L'invention vise aussi à conserver des éléments d'équipement identiques aux différentes stations tout en réalisant les caractéristiques mentionnées précédemment.
L'installation conforme à l'invention comporte aussi un moyen approprié pour synchroniser la remise à zéro des groupes de codage du pos- te central et de la station à la fin des codes de contrôle, de manière que le groupe au poste central et le groupe de station terminent l'action de codage sur la marne impulsion du code, quelle que soit la longueur du code de contrôle émis par une station quelconque.
Conformément à uno autre caractéristique de l'invention, la livraison de toutes les indications de contrôle au poste central s'effec- tue sans augmenter le nombre des relais intermédiaires d'enregistrement dans le groupe de codage du poste central au-dessus du nombre utilisé dans les installations actuelles.
Une autre caractéristique de l'invention réside dans le fait que tous les groupes de codage de toutes les stations sont identiques, de même que tous les groupes d'extension de code; tous les groupes des postes centraux, dans les applications exigeant plus d'une section de ligne., sont également identiques.
Les autres buts et caractéristiques de l'invention apparaftront dans la description qui va suivre.
On va décrire maintenant un mode de réalisation particulier de l'installation conforme à l'invention.
Certaines caractéristiques de l'installation représentée sur le dessin annexé et décrite plus loin ne font pas partie de l'invention; elles ont été décrites dans la demande de brevet déposée en Belgique ce méme jour par la demanderesse pour "Installation de commande à distance, particulièrement pour commande centralisée du trafic dans les chemins de fer.
Si on considère maintenant le dessin annexé, on voit que les figures la, 1b, 1c et 1d juxtaposées les unes aux autres dans cet ordre, avec la figure 1a à gauche, représentent sous une forme condensée l'équipement de poste central utilisé dans un mode de réalisation de l'installation de commande centralisée du trafic conforme à l'invention. Le dispositif représenté sur les figures la et 1b comprend d'une manière générale le groupe de codage du poste central; il est renfermé dans une armoire connue sous le nom de "groupe de codage de ligne du poste central" et désigné ci-après par la référence OLC. Au contraire, le transformateur d'impulsion RT, les batteries, le filtre passe-bas OLPF et le bouton de déconnexion DB représentés sur la figure 1a sont montés de préférence à l'extérieur du groupe OLC.
Le dispositif représenté à gauche sur la figure 1c comprend une partie du circuit "pyramidal" du poste central. Du coté droit de la figure les on a représenté les circuits et l'équipement servant à augmenter la longueur d'un code quelconque, y compris les connexions réglables permettant de donner aux codes de commande et de contrôle des longueurs différentes pour une station quelconque. La figure 1d représente deux panneaux individuels d' une installation C.T.C., qui contiennent les leviers, boutons-poussoirs, schémas de voies et lampes pour commander et contrôler à une station un groupe de dispositifs de commande du trafic. Les relais sélecteurs servant à associer ces deux panneaux avec le groupe de codage du poste central sont représentés dans la partie inférieure de droite de la figure 1c et dans la partie inférieure de la figure 1d.
Il est bien entendu que chaque panneau ou groupe de panneaux, dans une installation C.T.C., est connecté d'une manière analogue aux groupes OLC, mais au moyen d'une disposition différente des relais de sélection.
Les figures 2a, 2b, 2c, 2d et 2e juxtaposées dans cet ordre,
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avec la figure 2a à gauche, représentent le dispositif correspondant d'une station en campagne caractéristique, dans le cas où on n'a besoin que d'un seul groupe d'extension de code pour actionner à cette station les dispositifs de commande et de contrôle. Le dispositif des figures 2a et 2b et la partie de gauche de la figure 2c comprement le groupe de codage de station. Comme on le voit par les lignes en trait mixte des figures 2a et 2c, la plus grande partie de ce dispositif est généralement renfermée dans 1' armoire d'un groupe de codage de ligne, appelé communément "groupe LC".
Ce groupe LC renferme,le dispositif à droite de la partie en trait mixte de la figure 2a, tout le dispositif de la figure 2b et le dispositif à gauche des traits mixtes analogues de la figure 2c. Dans la partie de droite de la figure 2c, on a représenté un groupe d'extension de code en trait mixte ; ce groupe est ajouté à cette station pour que toutes les commandes et tous les contrôles puissent être exécutés par un seul code. La figure 2d comprend un schéma de voies représentant une installation typique pouvant être commandée par une station. On a représenté schématiquement sur cette figure les aiguilles et les signaux nécessaires pour commander le mouvement des trains à un enclenchement qui est le centre d'une disposition de voies de raccordement "chevauchantes".
Le reste des figures 2d et 2e représente les relais du groupe de station qui peuvent servir à commander et à contrôler les dispositifs typiques de commande du trafic représentés sur le dessin. Il est bien entendu que l'on n'a représenté, pour ce schéma de voies, que les relais et circuits nécessaires pour illustrer le fonctionnement du dispositif de codage, et que les lignes pointillées ont été utilisées conventionnellement pour représenter la liaison des différents dispositifs. Il faut remarquer que l'enclen@@e@@ent, avec ses dispositifs de voie représentés sur la figure 2d, est celui qui est commandé par les panneaux C.T.C. représentés sur la figure 1d.
La figure 3 représente une partie du circuit d'extension de code représenté dans la partie de droite de la figure le. On a ajouté à ces circuits des contacts de relais supplémentaires de sélection de station, avec des connexions réglables correspondantes pour les stations autres que celle représentée sur la figure 2. On facilite ainsi l'explication de la synchronisation des actions d'arrêt du code par le poste central et les stations en campagne, synchronisation permettant de réaliser des codes de différentes longueurs.
La figure 4 est une vue composite des connexions réglables nécessaires aux stations, dont les indicatifs d'appel sont représentés sur la figure 3, pour terminer les codes de contrôle à chaque station sur 1' impulsion qui a été sélectionnée.
Les mêmes caractéres de référence désignent les mêmes parties sur les différentes figures du dessin.
Si l'on se réfère d'abord à la figure la, on voit que les lettres Y et Z désignent deux fils de ligne qui s'étendent du poste central à plusieurs stations en campagne. A la station particulière utilisée pour représenter le fonctionnement de l'installation, ces fils de ligne Y et Z apparaissent sur la figure 2a. Ces deux fils réalisent un circuit de ligne pour l'installation C.T.C. conforme à l'invention et peuvent être utilisés également comme fils téléphoniques et télégraphiques, comme il a été indiqué à propos des fils désignés d'une manière analogue dans le brevet des Etats-Unis d'Amérique N 2.303.875 du 1er Décembre 1942.
Ce circuit de ligne, comme on le voit sur le dessin, est normalement excité par un courant fourni par la batterie 77 du poste central; la bbrne positive de cette batterie est normalement connectée au fil de ligne Y et sa borne négative au fil de ligne Z, par l'intermédiaire des contacts repos b et d d'un relais PC à changement de polarité, de contacts similaires du relais émetteur 01T du poste central et enfin des bobines d'un
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filtre passe-bas approprié OLPF. Les codes ae commande sont transmis en ou- vrant et fermant le circuit de ligne par le fonctionnement périodique au re- lais OIT.
Le circuit de ligne comprend également les résistances Rl et R2 du poste central, et les enroulements primaires d'un transformateur d'im- pulsions RT au moyen desquels le relais OR de ligne du poste central est commandé à la réception, de code de contrôle.
Le relais OR est du type dit "polarisé" ou "à maintien magné- tique" qui a été décrit dans le brevet américain N02.303.875 mentionné plus haut. La disposition de ce relais OR est telle que, quand le courant tra- verse l'un ou l'autre de ses enroulements dans la direction des flèches, son armature passe à sa position normale en fermant ses contacts normaux ou de gauche. Le passage du courant dans le sens opposé, à travers l'un ou l'autre des enroulements, provoque la fermeture des contacts inverse ou de droite. Ainsi, le relais OR répond aux impulsions de polarités alterna- tivement opposées qui sont fournies par le transformateur RT quand le courant de ligne varie par suite du fonctionnement du relais émetteur de sta- tion 1T, représenté sur la figure 2a.
Les codes de contrôle sont transmis en actionnant le relais 1T pour connecter ensemble les fils de ligne périodiquement , par l'intermédiaire d'une impédance relativement faible par comparaison avec l'impédance normale du circuit de ligne. Cette faible impédance comprend les bobines d'un filtre passe-bas LPF analogue à celui du poste central et intercalé entre la ligne et l'appareil de station.
A chaque station, comme on le voit sur la figure 2a, un relais de ligne R à résistance élevée est connecté en dérivation sur les fils y et Z et en série avec une résistance R3; cette connexion comprend normalement les contacts b et d en position repos d'un maitre-relais M et les bobines du filtre passe-bas LPF. Les relais de ligne R des stations sont du type polarisé et sont normalement excités en parallèle par le courant fourni par la batterie de ligne 77 du poste central. Chaque relais R ferme ses contacts de gauche ou normaux !il: et b quand sa borne de gauche est positive, et ferme ses contacts de droite ou "inverses" a et b quand il est excité dans le sens inverse, avec sa borne de droite positive, ou quand il n'est pas excité.
En d'autres termes, quand le courant traverse l'enroulement du courant R dans la direction de la flèche, son armature est actionnée pour fermer ses contacts normaux, c'est-à-dire ses contacts de gauche. Quand le courant traverse l'enroulement du relais dans le sens opposé à la flèche, ou quand aucun courant n'y passe; l'armature du relais est polarisée pour fermer ses contacts de droite ou courants inverses. La connexion de l'appareil de station aux fils de ligne Y et Z est commandée par un relais de "défaut" RPP, d'une manière qui sera expliquée plus loin, mais comme ce relais n'intervient pas dans le fonctionnement normal du système, on peut supposer pour le moment qu'il reste dans sa position normale d'excitation représentée sur le dessin.
Le système conforme à la présente invention est conçu pour utiliser des codes ayant normalement seize impulsions, quand il transmet à une station de campagne courante ou quand il reçoit de cette station, qui n'exige qu'un tel code de longueur standard ou normale. Cependant, ce système permet d'étendre, c'est-à-dire d'allonger les codes, suivant les besoins des stations qui exigent des impulsions supplémentaires de commande ou de contrôle pour transmettre toutes les fonctions nécessaires. On peut également raccourcir les codes en-dessous de seize impulsions, comme on 1' expliquera un peu plus loin.
Dans chaque code de commande fourni par le relais émetteur OT du poste central, le circuit de ligne est ouvert pendant chaque impulsion de numéro impair et fermé pendant chaque impulsion de numéro pair. Le caractère de chaque impulsion de l'émetteur, qui est courte ou longue, est déterminé par l'intervalle de temps pendant lequel le relais émetteur 01T
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est excité ou non excité.
Plus particulièrement, le groupe de codage du poste central est mis en état de transmettre un code de commande en excitant le maître-relais OM de la figure la; ce relais complète les circuits destinés à produire le fonctionnement périodique du relais émetteur associé 01T, dans le but d'ouvrir et de fermer le circuit de ligne et par conséquent d'actionner les relais de ligne R simultanément à toutes les stationsles périodes d'ouverture et de fermeture constituant toutes les deux des éléments du code. Le relais OIT est alternativement excité et remis au repos pour produire des impulsions courtes du code, par les contacts repos des relais de la chaîne de comptage connectés en série. Comme on 1' expliquera un peu plus loin, les impulsions longues et impaires sont produites en maintenant excité le relais 01T par différents circuits de maintien.
On ajoute un deuxième relais émetteur, le relais 02T chargé de participer au réglage des impulsions du code, comme il a été expliqué dans le brevet américain 2.442.603 déjà mentionné plus haut. Le relais 02T est excité quand le relais OIT s'excite lui-même. Quand il est retombé au repos, le relais 01T ne peut pas s'exciter de nouveau tant que le relais 02T n'est pas retombé. Ainsi, la durée des impulsions paires est déterminée par la chute du relais 02T. qui est maintenu excité par des circuits de maintien analogues à ceux du relais 01T pour produire les impulsions longues et paires. A la station en campagne, les relais émetteurs 1T et 2T commandent la transmission des codes de contrôle d'une manière analogue, comme on l'expliquera un peu plus loin.
Quand le circuit de ligne est ouvert pour commencer le premier élément d'un code, chaque relais de ligne R retombe et son contact inverse b ferme un circuit partant de la borne positive B d'une source locale appropriée de courant continu et passant par le fil 174, le contact d en position repos du relais CS, le fil 175, le contact a en position repos du relais 2L, le contact d en position repos du relais LBP, l'enroulement du relais 1L et enfin la borne négative N de la source de courant continu.
L'armature du relais 1L est alors attirée et son contact a en position travail ferme un circuit passant par la borne B, le contact inverse b du relais R, les fils 174 et 175 et le contact repos d du relais CS que l'on vient de décrire, l'enroulement du relais 2L et enfin la borne N, de sorte que l'armature du relais 2L est attitée et ferme un circuit de maintien évident par son propre contact â en position travail. L'excitation du relais 2L ferme également un circuit passant par la borne B, les contacts e en position travail des relais 1L et 2L, l'enroulement du relais LP et la borne N. L'attraction qui en résulte de l'armature du relais LP ferme à son tour un circuit passant par son propre contact a en position travail, pour exciter les relais LB et LBP, dont les armatures sont alors attirées.
Le relais LBP s'excite en tandem avec le relais LB, quand le contact a de celui-ci en position travail se ferme, de sorte que ces relais retombent successivement quand le relais LP n'est plus excité.
Quand l'armature du relais 2L est attirée par la première impulsion d'un code, ses contacts a et d font passer les connexions, aboutissant à l'enroulement du relais 1L, du contact inverse b au contact normal b du relais R, puis le contact d en position travail du relais LBP se ferme pour maintenir cette dernière connexion jusqu'à ce que le code soit terminé. Il s'ensuit que les relais IL et 2L sont excités alternativement, le relais 1L par l'intermédiaire du contact normal b du relais R, et le relais 2L par l'intermédiaire du contact inverse b du relais R, en réponse au fonctionnement périodique de l'armature du relais R.
Les relais IL et 2L restent excités pendant la durée des impulsions courtes du code, le relais 1L .retombant pendant chaque impulsion longue de numéro impair et le relais 2L pendant chaque impulsion longue de numéro pair, Ces relais servent par conséquent à indiquer le caractère du code reçu et aussi, en coopération avec le relais LP, à commander la longueur des impulsions longues d'un code en- gendré par le relais émetteur associé T. Le relais LB et son relais répéti-
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teur LBP sont des relais de transition ; chacun d'eux maintient fermés ses contacts en position travail pendant la durée d'un code; il sert à prépa- ren différents circuits locaux quand le fonctionnement codé du relais R commence et à les ouvrir quand ce fonctionnement cesse.
Le relais de ligne OR du poste central, représenté sur la fi- gure la, commande un groupe analogue de relais temporisé 01L, 02L, OLP,
OLB et OLBP, Ces relais fonctionnent d'une manière analogue à celle qui a été décrite pour la station de campagne. Cependant, le relais OR est nor- malement non excité et, comme un relais du type à maintien magnétique, il peut maintenir ses contacts dans l'une ou l'autre position, dans laquelle ils ont été placés par une impulsion momentanée. Il peut par conséquent être accidentellement inversé. Si ceci se produit, le relais OR est rame- né automatiquement à son état normal par l'action des relais temporisés d'une manière qui sera expliquée plus loin.
On peut par conséquent suppo- ser que le relais OR, bien que non excité, occupe sa position normale cor- respondante à celle du relais R de ligne de station normalement excité quand le système est dans son état normal ou de repos, c'est-à-dire quand aucun code n'est transmis dans l'un ou l'autre sens.
Quand le relais OR reçoit des codes de contrôle;, il est actionné par des impulsions de polaritésalternativement opposées, qui sont fournies par le transformateur RT. Pendant la transmission des codes de commande, le maftre-relais OM (figure la) est maintenu excité et son contact c, court-circuite le secondaire du transformateur RT et le déconnecte du relais OR, qui est alors commandé localement par le relais de transmission 01T.
Quand le relais OM s'excite, le relais OR s'excite également dans le sens normal, comme on le voit sur le dessin, par le circuit passant par le point médian 0 de la batterie locale 78, l'enroulement inférieur du relais, le contact e en positionrepos du relais 01T,le contact e en position travail du relais OM et enfin la borne négative N de la batterie locale.
Le relais OIT s'excite par l'intermédiaire du contact travail d du relais OM. En s'excitant., il ferme son contact travail c et excite ainsi le relais 02T. Ces deux relais sont alors commandés respectivement par les fils 61, 68 et 70 et par les fils 62 et 71 respectivement, d'une manière qui sera expliquée plus loin, afin d'engendrer le code.
Chaque fois que le relais OIT est excitée il ouvre les circuits de ligne à ses contacts b et d en position repos, pour libérer les relais de ligne R aux stations, et il connecte le fil de ligne y au fil de ligne Z par les contacts correspondants en position travail. à travers résistance R4, pour produire le courant de charge de ligne. Cette derniè- re action est spécialement désirable quand la ligne ou une partie quelconque de celle-ci se trouve dans un câble. En même temps, le relais 01T fait passer l'armature du relais OR à sa position inverse par le courant circulant à travers le circuit, qui passe par la borne positive D, le contact e en position travail du relais 01T, l'enroulement inférieur du relais OR dans le sens opposé à la flèche, et enfin la borne 0.
Chaque fois que le relais temporisé 01T laisse retomber son armature, il ferme le circuit de ligne pour faire passer en position normale les armatures des relais de ligne R, et fait passer en même temps l'armature du relais OR en position normale en fermant le circuit qui s'étend à partir de la borne 0 de la source locale à travers l'enroulement du relais OR et passe par le contact e en position travail du relais OM pour aboutir à la borne N. L'ar mature OR fonctionne ainsi simultanément avec les armatures des relais R pendant la transmission des codes de commande.
Chaque relais de ligne commande une chaîne de relais de comptage par des circuits analogues d'une manière générale à ceux du brevet américain déjà mentionné 2.411.375. Ainsi, le relais OR commande, au moyen
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ae son contact a, les relais de chaîne ae comptage 01 à 08 et OCS ae la figure 1b, et les relais de chaîne de comptage d'extension 16, 17-21, 18-22 19-23 et 20 de la figure 1c. Chaque relais R commande une chaine ae comptage analogue.
Quand on n'utilise pas ae groupe d'extension, la chafne de comptage de station comprend seulement les relais 1 à 8 et CS de la figure 2b. Quand on utilise un groupe d'extension, comme celui représenté sur la figure 2c, le relais R commande également les relais a'extension de chaîne de comptage A à 4A inclusivement.
Comme on l'expliquera au cours du reste ae la description, certains des relais de la chaîne de comptage, non seulement comptent une impulsion particulière d'un code, mais ont également un rôle secondaire consistant à préparer des circuits pour ramener en arrière l'action de codage afin d'utiliser de nouveau certains relais de comptage ou d'étenare l'action de codage par l'utilisation de relais d'extension. Ainsi, le relais 08 du poste central et le relais 8 de la station, non seulement comptent la huitième impulsion d'un code, mais préparent aussi des circuits pour ramener en arrière l'action de codage afin d'utiliser de nouveau respectivement les relais 01 à 07 et 1 à 7 et de compter les impulsions 9 à 15.
Le relais 16 du poste central et le relais A d'une station, non seulement comptent la seizième impulsion du coae, mais préparent des circuits pour étendre l'action de codage au-delà ae la seizième impulsion en utilisant respectivement les relais d'extension 17-21 à 20 et lA à 4A. qui comptent les impulsions 17 à 20. Les relais 20 et 4A ont un rôle secondaire analogue à celui des relais 08 et 8, c'est-à-dire la préparation de circuits pour utiliser de nouveau respectivement les relais 17-21 à 19-23 et lA à 3A pour compter les impulsions 21 à 23.
Si l'action de codage doit avoir une durée supérieure à celle de vingt-quatre impulsions, un relais 24 du poste central et le relais A d'un deuxième groupe d'extension de la station fonctionnent comme les relais 16 et A mentionnés ci-dessus. On décrira ci-après le rôle fonctionnement des relais OCS et CS d'arrêt du code, qui deviennent l'un et l'autre le relais final dans la chaîne correspondante ae relais.
Le nombre des relais de chaîne ae comptage à une station varie suivant le nombre maximum d'impulsions nécessaire pour le code ae commande ou le code de contrôle correspondant, comme on l'expliquera plus loin, Au poste central, le nombre des relais de la chaîne de comptage doit égaler le plus grand nombre de relais dans la chaîne similaire a'une station quelconque sur le circuit de ligne.
On remarquera cepenaant que le relais 08 et un relais OCR de répétition de chaîne au poste central, ou le relais 8 et un relais CR de répétition de chaîne à la station sélectionnée, sont excités à la fin du premier cycle ae fonctionnement de la chaîne de comptage du groupe de codage. Les relais répétiteurs de chaîne sont nécessaires, comme il apparaîtra dans le reste de la description, pour préparer différentes actions associées se produisant sur la huitième impulsion et aussi pour participer au retour en arrière de l'action de codage en vue d'un cycle de répétition. Le relais répétiteur de chaîne est maintenu excité pendant le reste du code pour mettre les autres circuits utilisés en état d'étendre l'action de codage et de commander la livraison des aifférentes fonctions.
Des relais répétiteurs analogues de chaîne, le relais OCRA au poste central et le relais CRA à la station, servent à permettre aux circuits de produire une action de répétition de la chaîne de comptage d'extension. Ces relais s'excitent sur la même impulsion que le relais 20 du poste central et le relais 4A de la station en campagne sélectionnée. Une fois excités, ils restent excités pen- dant le reste du code pour participer à une nouvelle extension de l'action de codage et à la livraison des différentes fonctions pendant les impulsions d'extension du code.
Si l'on considère maintenant les figures 2a et 2b, on voit qu' un circuit d'excitation du relais 1 est fermé momentanément en réponse au premier d'une série de fonctionnement du relais R. Ce circuit passe par la
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borne B, le contact inverse au relais R, le fil 171, le contact c en po- sltion repos du relais CS,le fil 172,le contact b en position repos du relais LBP, le contact g en position travail du relais 1L, la résistance
EMI9.1
R7, le fil 156, l'enroulement au relais 1 et enfin la borne N. Le relais 1 s'excite par conséquent sous l'action de la première impulsion d'un code après l'excitation au relais 1l. Quand le relais LBP s'excitel'ouverture ae son contact b en position repos coupe le circuit que l'on vient a'indi- quer et ferme un circuit ae maintien du relais 1.
Ce circuit de maintien passe par la borne B, le contact inverse a au relais R, le fil 171, le con-
EMI9.2
tact e en position repos du relais CS9 le fil 172, le contact b en positicr travail du relais LBP9 la résistance R8 le fil 157, le contact 12 en position repos du relais 2, le contact a en position travail et l'enroulement du relais 1, et enfin la borne N. Quand le relais R passe à sa position normale pour commencer une deuxième impulsion du code, la borne B est déconnectée du relais 1, qui reste cependant excité grâce au circuit de décharge fourni par le redresseur de demi-alternance connecté au fil 157.
Un circuit se trouve maintenant fermé en passant par la bor-
EMI9.3
ne Bd le contact à in position normale au relais Re le contact g en position travail du relais LBP9 la résistance R99 le fil 158. le contact a en position repos du relais 8, le contact travail b du relais 1, l'enroulement du relais 2 et enfin la borne N. Le relais 2 s'excite par conséquent et ferme son circuit ae maintien passant par la borne B, le fil 158, son propre contact!! en position travail et le contact b en position repos du relais 3. Le fonctionnement du contact b du relais 2 déconnecte le relais
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1 du redresseur de dam-alternance et ferme un deuxième circuit de déchar- ge pour le relais 1 à travers l'enroulement du relais 3.
Par conséquente le relais 1 retombe un court instant après que le relais 2 a été excité, mais sans fournir d'étincelle à. son contact a, dont la chute connecte le relais 3 au fil 157 pour mettre ce relais en état de répondre à la troisième impulsion du code. La troisième impulsion commence quand le relais R
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passe de nouveau en position inverse en fermant son cottact a en position inverse, pour alimenter en courant le fil 157 par un circuit défini précédemment comme faisant partie du circuit de maintien du relais 1. Ce circuit passe par le contact a en position repos du relais 1 et le contact b en position travail au relais 2 et traverse l'enroulement du relais 3 pour aboutir à la borne N. Le relais 3 s'excite ainsi.
Les relais 4 à 8 inclusivement sont commandés d'une manière analogue,un par un, par du courant arrivant alternativement dans les fils 157 et 158 en réponse aux impulsions 4 à 8 inclusivement du code. Si les différentes opérations associées à ces impulsions du code,comme-on l'expliquera plus loin,, sont effectuées correctement., un relais CR répétiteur de chaîne est excité par la huitième impulsion.
Ceci prépare pour le relais 1 un circuit d'excitation passant par le contact b en position travail du relais 8, de sorte que le relais 1 fonctionne immédiatement après le relais
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8, ce circuit comprenant aussi le contact g en position travail Cm relais CR et le contact a en position repos du relais 7.Les relais 1 à 7 inclusivement sont alors commandés par l'intermédiaire d'un deuxième cycle sous l'action des impulsions 9 à 15 du code.
Sur la seizième impulsion du code., le premier relais de la chaîne de comptage d'extension, c'est-à-dire le relais A placé dans le groupe d'extension est excité à la place du relais 8. Le circuit d'excitation de ce relais A passe par le fil 158, le contact repos a du relais 6, le con-
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tact travail .!2 du relais 7.gle/ côntact travail h du- tel-7àla CR,le contact repos.g du relais 8j le fil z, l'enroulement du relais A et la borne N. Quand le relais A s'excite il complète un circuit de maintien passant par son
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propre contact ag le fil 158,9 le fil 205 et le contact repos b du relais 1A.
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Quand le relais A ferme ses contacts travail, un circuit est préparé pour exciter le relais 1A sur la dix-septième impulsion du code.
Ce circuit passe par le fil 157, le contact travail g du relais CR, le contact repos a du relais 7, le contact repos b du relais 8, le fil 207; le contact travail b du relais A, l'enroulement du relais lA et la borne N.
Quand le relais 1A s'excite, il établit un circuit de maintien par son propre contact travail a, le contact repos b du relais 2A, le fil 208 et le fil 157. On voit par conséquent que l'excitation du relais lA est analogue à celle du relais 1 sur la neuvième impulsion. L'équipement est maintenant préparé également pour que les autres relais de la chaîne de,comptage du groupe d'extension s'excitent d'une manière analogue aux relais 2, 3 et 4 de la chaîne de comptage du groupe LC. Les relais 2A, 3A et 4A s'excitent respectivement sur les impulsions 18, 19 et 20, d'une manière analogue à celle décrite précédemment, du fait de l'action du relais R qui suit le code.
D'autre part, l'action produite après l'excitation du relais 4A est très analogue à celle obtenue quand le relais 8 s'excite à la fin du premier cycle de fonctionnement de la chaîne de comptage du groupe LC. On a déjà indiqué que le relais CRA s'excite sur la même impulsion que le relais 4A, c'est-à-dire sur l'impulsion 20. En conjonction avec le relais 4A, le relais CRA prépare un circuit de manière que le relais lA suive le relais 4A dans l'action de la chaîne de comptage. Ce circuit passe par le fil 208, le contact travail b du relais CRA, le contact repos a du relais 3A, le contact travail b du relais 4A, l'enroulement du relais lA et la borne N.
Ainsi, quand le relais R passe en position inverse sur la vingt-et-unième impulsion du code, en fermant son contact inverse a, le relais lA s'excite de la même manière que le relais 1 suivant le relais 8 sur la neuvième impulsion du code.
Les relais 2A et 3A suivent le relais lA si l'action de codage continue, en s'excitant respectivement sur la vingt-deuxième et la vingttroisième impulsion du code. Il est évident que l'action de codage de la chaîne de comptage pourrait être étendue indéfiniment en ajoutant des groupes d'extension. Dans un deuxième groupe d'extension, un deuxième relais A s'exciterait sur la vingt-quatrième impulsion du code, au moyen d'un circuit passant par le fil 205, le contact repos a du relais 2A, les contacts travail h et e des relais respectifs 3A et CRA, et le contact repos e du relais 4A. Ceci serait ensuite suivi de l'excitation des relais lA, 2A et 3A du groupe d'extension N 2.
L'opération de codage du groupe de la station en campagne continue jusqu'à ce que, comme on l'expliquera ci-après, le relais OR du poste central reste en position normale et que le relais de station R reste donc également avec ses contacts en position normale. A ce moment, le dispositif est ramené à son état normal de repos. Il n'est pas nécessaire, quand la station reçoit un code de commande, que le relais CS d'arrêt du code soit excité, puisque le dispositif reviendra à son état initial sans fonctionnement de ce relais. On décrira plus loin le fonctionnement du relais CS terminant la transmission d'un code de contrôle à partir de la station.
Si on se réfère maintenant aux figures la, 1b et 1c, on voit que les circuits de chaîne de comptage du poste central sont analogues à ceux que l'on vient de décrire pour la station. Le relais 01 reçoit du courant sur la première impulsion du code par le fil 75 et s'excite. Les autres relais 02 à 08 sont actionnés successivement par le courant fourni alternativement par les fils 98 et 90, en réponse au fonctionnement périodique du relais OR. Le relais répétiteur de chaîne OCR du poste central s'excite sur la huitième impulsion pour préparer des circuits en vue d'exciter de nouveau le relais 01 sur la neuvième impulsion et d'amorcer un cycle répétiteur du fonctionnement des relais 01 à 07.
Le relais OCR prépare également des circuits pour exciter ultérieurement le relais 16, qui est extérieur
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au groupe OLC. Au poste central,, le relais 16 prend la place qu'occupe le relais A à la station. Ce relais 16 fonctionne sur la seizième impulsion pour préparer des circuits en vue d'exciter sur la dix-septième impulsion les relais d'extension 17-21, qui sont également extérieurs au groupe OLC.
Les relais 18-22, 19-23 et 20 suivent dans cet ordre le re- lais 17-21, de la même manière que les relais 02,03 et 04 du groupe OLC suivent dans cet ordre le relais 01. Le relais 20 est aussi analogue au relais 08, en ce sens qu'il comporte un rôle secondaire dans l'action de chaîne de comptage et agit en conjonction avec le relais répétiteur OCRA, qui s'excite également sur l'impulsion 20. Des circuits sont ensuite pré- parés par ces aeux relais ae manière que le relais 17-21 s'excite sur l'im- pulsion 21 à la suite du relais 20. Les relais 17-21, 18-22 et 19-23 répè- tent ainsi dans cet ordre les impulsions 21 à 23.
Il est évident que l'on pourrait prolonger le code d'autant d'impulsions que l'on voudrait, en ajoutant des relais supplémentaires à la chaîne de comptage d'extension. Un relais 24 serait prévu pour s'exciter sur l'impulsion 24, de la même manière que le relais 16. L'excitation du relais 24 serait commandée à partir du fil 90 en passant par le contact re- pos a du relais 18-22, le contact travail h du relais 19-23, le contact travail f du relais OCRA et le contact repos ± du relais 20. L'action de codage continuerait alors et se terminerait quand toutes les fonctions au- aient été reçues ou transmises.
Au poste central, il est nécessaire cependant que le relais OCS d'arrêt du code soit excité sur l'impulsion finale de chaque code, à la fois quand le poste central transmet un code de commande et quand il reçoit un code de contrôle. Un martre-relais répétiteur., le relais OMP, est prévu pour faire la distinction entre ces deux types de code. Comme on l'expliquera plus loin, des circuits sont formés par les contacts travail h des relais 01, 03 ou 05, le contact travail b du relais 07, ou les contacts travail h des relais 17-21 ou 19-23, les contacts travail des relais sélecteurs de station, et un contact travail ou repos du relais OMP suivant qu' il s'agit respectivement d'un code de commande ou d'un code de contrôle, afin d'exciter le relais OCS sur l'impulsion finale d'un code quelconque.
Quand le relais OCS s'excite, l'ouverture de son contact repos µ coupe le circuit de maintien du maître-relais CM. La chute de ce relais provoque la fin d'un code de commande. Pendant un code de contrôle, l'ouverture du contact repos c du relais OCS provoque la chute du relais PC, qui fait revenir à zéro le système tout entier. On donnera plus loin une explication plus détaillée de cette action.
On va décrire maintenant la transmission d'un code de commande pas à pas par le dispositif du poste central (figures la, 1b, 1c et 1d).
Pour commencer un code de commande, l'opérateur appuie momentanément sur un bouton de démarrage 234 STB, représenté sur la figure 1d et identifiant le panneau de commande associé au groupe d'emmagasinage de station auquel le code doit être transmis, afin d'exciter ainsi un relais de démarrage tel que le relais 234 ST. Le circuit d'excitation du relais 234 ST passe par la borne B, le contact maintenant fermé a du bouton de démarrage 234 STB, le fil 67, l'enroulement du relais 234 ST, le contact normalement fermé du bouton d'annulation CB et enfin la borne N. On décrira brièvement l'utilité et l'utilisation du bouton d'annulation CB.
Le relais 234 ST est maintenu excité par un circuit de maintien passant par la borne B, le contact en position repos f d'un relais associé sélecteur de panneau, tel que le relais 234 S, le contact en position travail a du relais 234 ST, l'enroulement de ce relais, le contact du bouton d'annulation CB et enfin la borne N. Ainsi, le relais ST est maintenu excité jusqu'à ce que la sélection désirée ait été effectuée.
Le fil 47 (figure le.) est normalement connecté, par les contacts
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en position repos des différents relais sélecteurs E, F et G, à des dérivations s'étendant jusqu'au contact b du relais de démarrage ST de chaque panneau. La fermeture du contact en position travail b du relais 234 ST établit par conséquent la connexion de la borne B voisine à une dérivation particulière, qui comprend les contacts en position repos g des relais 23G, 2F et E, et aboutit au fil 47. Si le système se trouve à son état normal de repos de sorte que les relais 01L et 02L ne sont pas excités, un circuit est établi par le fil 47, les contacts en position repos b des re- lais 01L et 02L ;
l'enroulementdu relais OM, le fil 17, le contact norma- lement fermé du bouton d'annulation CB et enfin la borne N. Le relais OM s'excite par conséquent en réponse au fonctionnement d'un relais de démarrage quelconque, tel que le relais 234 ST.
Le bouton d'annulation CB mentionné précédemment est prévu pour permettre à l'opérateur de corriger immédiatement une erreur. Quand on appuie sur ce bouton, on déconnecte la borne N d'un relais excité quelconque ST, qui retombe par conséquent à l'état de repos. Le dispositif revient donc à sa position primitive, de sorte que l'opérateur peut corriger son erreur et recommencer l'action de codage en agissant sur le bouton associé de démarrage STB. Puisque la connexion du relais CM à la borne N de la source est réalisée également par le bouton d'annulation et par le fil 17, la manipulation de ce bouton à un instant quelconque du code produit l'interruption du code de commande et la remise de l'appareil en position de départ.
D'autre part, puisque tous les relais ST sont connectés à la borne N par le même bouton d'annulation, l'appareil tout entier du poste central est remis à zéro par la manipulation du bouton d'annulation CB, qui supprime toutes les actions de code et libère tous les relais de démarrage "emmagasinés" c'est-à-dire ayant été excitée pour emmagasiner un code.
L'excitation du relais OM complète un circuit d'impulsion pour le relais 01T d'émission du poste central ; circuit passe par la borne B, le contact repos g du relais 19-23, le contact repos g du relais 17-21, le fil 94, le contact repos e du relais ces, les contacts repos g des relais 07, 05, 03 et 01, le fil 68, le contact travail d du relais OM, le contact repos b dû relais 02T, l'enroulement du relais 01T et la borne N. Le relais OIT s'excite par conséquent pour commencer la première impulsion du code., ses contacts repos b et d ouvrant le circuit de ligne pour faire retomber les relais R de ligne de station, et son contact travail .2 complétant un circuit défini précédemment pour faire passer le relais OR à sa position inverse.
Le deuxième relais émetteur 02T est aussi excité par un circuit simple complété par la fermeture du contact travail c du relais 01T.
Le fonctionnement du relais OR excite la chaîne OL des relais temporisés et le premier relais de comptage 01 comme on l'a déjà expliqué.
Quand les relais OLB et OLBP s'excitent, leurs contacts travail c complètent un circuit de maintien du relais OM. Ce circuit passe par la borne B, le contact repos e du relais OCS, le fil 156, les contacts travail c en parallèle des relais OLB et OLBP, le contact travail a et l'enroulement du relais OM, le fil 17, le bouton de suppression CB et la borne N.
La première impulsion de chaque code de commande est une impulsion longue, de manière à distinguer ce mode d'un code de contrôle, dans lequel la première impulsion est relativement courte. Quand le relais 01T s'excite, suivi par le relais 02T,un circuit de maintien est complété par le contact travail a du relais 01T, le contact travail b du relais 02T, le contact travail d du relais OM, le fil 68 et enfin le circuit d'impulsion décrit précédemment. Quand le relais 01 s'excite sur la première impulsion., son contact repos g ouvre ce circuit d'impulsion du relais 01T, mais celui-ci est maintenu excité par une dérivation pour engendrer la première impulsion longue désirée.
Cette dérivation servant à maintenir excité le relais 01T passe par la borne B, le contact repos g du relais 19-23, le circuit d'impulsion aéfini précédemment, le contact repos g du relais 03,
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le contact travail c au relais 01, le contact repos d a'un relais SP, le fil 61, les contacts travail en parallèle e du relais 01L et b du relais OU', le contact travail a et l'enroulement du relais 01T et enfin la borne
N. Les relais 01L et OLP retombent ensuite successivement, l'ouverture au contact travail b du relais OLP ouvrant le circuit de maintien et provo- quant la chute du relais 01T. La chute au relais 01T, en vue de commencer la deuxième impulsion du code, ferme le circuit de ligne, en excitant les relais de ligne R, et fait passer le relais OR à sa position normale.
Il en résulte que le relais 02 s'excite et que le relais 01 retombe, comme on l'a expliqué précédemment.
La fermeture du contact repos g du relais 01, pendant la deux- ième impulsion, complète le circuit d'impulsion décrit précédemment du re- lais 01T par le fil 68, ce circuit d'impulsion fonctionnant d'une manière répétée de manière à engendrer les impulsions du code. Cependant, le relais
01T ne peut pas s'exciter tant que le relais 02T n'est pas retombé pour fermer son contact repos b. Ainsi, la durée de chute du relais 02T est utili- sée pour déterminer la durée des impulsions courtes et paires du code, puisque les impulsions paires se terminent par l'excitation du relais 01T.
D'une manière analogue, la durée de chute du relais 01T sert à régler la durée des impulsions courtes et impaires du code, puisque les impulsions impaires se terminent quand le relais 01T retombe. La durée d'excitation des relais 01T et 02T n"influe pas sensiblement sur la durée des éléments courts du code, Ceci diffère au fonctionnement du dispositif du brevet américain N 2.411.375 mentionné plus haut et il en résulte une meilleure commande de la durée des impulsions.
Les fils 61 et 70, de même que les fils 62 et 71, fournissent des connexions décrites en aétail un peu plus loin et destinées à maintenir respectivement excités les relais OIT et 02T, afin d'engendrer les impulsions longues au code. Pendant les impulsions 2 à 8 inclusivement, l'arrivée du courant fourni par la borne B s'effectue par les fils 70 et 71 et elle est commandée par les contacts des relais de sélection de la station.
Pendant la huitième impulsion, le relais OCR s'excite, et la commande du courant venant de la borne B s'effectue ensuite par les fils 61'et 62, à partir des contacts des leviers de commande de fonction, at par l'intermédiaire des contacts travail des relais 0-IL, 02L et OLP. Ainsi., la longueur de ces dernières impulsions du code est déterminée directement par la butée de chute du relais OLP. Il faut remarquer cependant que, pendant les impulsions 2 à 8, quand l'excitation des différents relais sélecteurs de station met fin à l'alimentation en courant, qui maintient excités les relais 01T et 02T pendant les impulsions longues du code, le fonctionnement de ces relais sélecteurs de station est commandé par les relais 01L, 02L et OLP comme on l'expliquera ci-après.
Ainsi, les relais de chafne temporisés entrent aussi dans le réglage des impulsions longues du code pendant la partie de sélection de station du code.
Les impulsions de la seconde à la huitième de chaque code peuvent être aisposées suivant l'une quelconque de 35 combinaisons différentes de trois impulsions longues et de quatre impulsions courtes, afin de former des indicatifs d'appel distincts, qui sont identifiés par des nombres de trois chiffres dans lesquels les chiffres représentent les impulsions longues de l'indicatif. Ainsi, le nombre 234 affecté au panneau individuel ae la figure 1d et au groupe correspondant d'emmagasinage de station de la figure 2 constitue un indicatif d'appel dans lequel la deuxième, la troisième et la quatrième impulsion du code sont longues, tandis que les impulsions de la cinquième à la huitième sont courtes.
Les indicatifs du code sont engendrés par des connexions partant de la borne B et du contact travail b des relais de démarrage ST du poste central et aboutissant aux fils 70 et 71; ceux-ci sont aisposés de manière que, quand plusieurs des relais de démarrage sont excités, leurs codes respectifs sont transmis à
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raison d'un seul à la fois dans un ordre de priorité donné. Un élément long a la priorité sur un élément court dans chaque impulsion ; autrementdit,
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1-'irÀdicatîf 234 est le premier au point de vue priorité, 235 est le suivant et ainsi de'suite, l'indicatif 678 étant le dernier.
La sélection du panneau contenant au poste central un relais excité ST est effectuée par l'excitation d'un relais d'entrée E (figure le), en réponse au premier élément du code puis par l'excitation de trois relais successivement au moyen des-trois éléments longs- de l'indicatif d'appelées
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trois relais comprennent un premier relais sélecteur ,un relais sélecteur de groupe G et-un rsla3.ssé.esesccaecâi;is aoat 1zttetttifiée:t.p;lus pertix.iax- àèéq1Ï.XeJ3, aésignant les éléments de code qui provoquent 1-eup fonctionnem.ent..Pr..LexIe relais 2F- "t sensible=BU. ùbumiàtp :elémen1il.e relais 23G au troisième pism'sn'tf oursu.y.3et¯eâ.is aitiéùé BCtion#..e;t la relais 234 &:!:astb1lenati1:q.Uúw1 e:tr1ème'Jélent;'-p}1LWV:nequele relais 23t Gi dt été act.ctQuancerseet.sstLiti.toutsa capaç:I:té,:I.i3.c:
-a.ispositif 1Itilise ei-nq relais z', quinze relais G, et treute-ixq relais S, disposés généralement comme on le -voit sur les figures 2. 3 et 4 du brevet des Etats-Unis t' Apmérzqu 1 2.229t2O9 Qu 21 Janvier 1941. Puisque les relatioais -entre ces différents relais et les connexions associant les ditférents panneaux aux groupes de cotl.ageB:mt'''dfinies dans ce brevet, on n'a représenté ici les circuits que sous une forme condensée, pour plus ae sim- ?licité et on n'a représenté en détail que les circuits d'un seul panneau.
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et d'un seul relais .sélecteur 'de chmpe .
Le relais E est excité par la première impulsion de chaque code au moyen d'un circuit passant par la borne B, le contact a durelais OLBP de la figure la, le fil 60, le contact repos a du relais SP, le contact travail d du relais 01, le fil 21, l'enroulement du relais E et la borne N. Le relais E ferme alors un circuit de maintien par son contact travail a; ce circuit passe par le contact repos m du relais 2F,les contacts repos des relais 3F à 6F, si ceux-ci sont prévus, le fil 29, la résistan-
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ce R139 le contact repos ¯a du relais SP, le fil 60, le contact travail a du relais OLBP et la borne B.
Il est bien entendu que chaque circuit dérivé partant de la borne B et passant par le contact travail b d'un relais de démarrage ST pour aboutir au fil 47 identifie un indicatif d'appel correspondant, comme l'indiquent les références 234 ST à 238 ST inclusivement inscrites près des contacts g à k du relais 23 G. Quand le relais E s'excite, ces dérivations sont toutes déconnectées du fil 47, divisées en plusieurs groupes par les contacts g à k du relais E et connectées aux fils 32 à 36 pour
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préparer des circuits destinés à engendrer les premiers chiffres de 1-' in- dicatif d'appel.
Quand le relais 02 s'excite sur la deuxième impulsion, un circuit est complété pour maintenir excité le relais 02T. Ce circuit de maintien passe par la borne B, le contact travail b du relais 234 ST de la figure 1c, les contacts repos g des relais 23 G et 2 F, le contact travail g du relais E, le fil 32, le contact travail c du relais 02, le fil 71, le
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contact travail a du relais 02T, le contact repos ç du relais 01Tg l'enrou- lement du relais 02T et la borne N en maintenant ainsi excité le relais 02T de manière à engendrer une deuxième impulsion longue.
Les relais 02L et OLP retombent alors, en complétant un circuit passant par la borne B, le contact a du relais OLBP, le fil 60, le contact repos a du relais OCR,
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le fil 58, les contacts repos a des relais OLP et 02L, le fil 6t., les con- tacts repos d des relais OCR et KSP, le contact travail d du relais 02, le fil 22, le contact travail b du relais E, l'enroulement du relais 2F et la
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borne N. Quand le relais 2F s'excites son contact travail a ferme son cir- cuit de maintien passant par les contacts repos a du relais 23 G et des autres relais G du même groupe, les relais 24 G à 27 G, s'ils existent,
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le fil 29, la circuit indiqué précédemment et comprenant le fil 60, et en- fin la borne B.
Le relais 2F s'excitant, les dérivations s'étendant du fil 32 à la borne B par les contacts des relais de démarrage, dont les indicatifs d'appel ont comme premier chiffre le chiffre 2, sont déconnectées du fil
32, divisées en plusieurs groupes par les contacts g à k du relais 2F, et connectées aux fils 33 et 37 afin de préparer des circuits pour engendrer le deuxième chiffre de l'indicatif d'appel.
Du fait que la connexion au fil 71 a été coupée par l'ouver- ture du contact repos g du relais 2F, le relais 02T peut retomber, il en résulte que le circuit d'excitation du relais 01T se ferme et que ce relais s'excite pour commencer la troisième impulsion.
Le relais E retombe en position de repos par suite de l'ouver- ture du contact repos m au relais 2F, et l'ouverture résultante des con- tacts travail h à k inclusivement du relais E déconnecte les circuits dérivés pour engendrer les indicatifs d'appel dans lesquels le premier chiffre est 3, 4, 5 ou 6.
Les relais Es F et G, et certains autres relais décrits un peu plus loin, sont munis d'un circuit de décharge comprenant une résistance à la place du redresseur habituel à aemi-alternance. Ces résistances, dont la valeur est relativement élevée par rapport à la résistance de l'enroulement du relais, réalisent un léger retard conformément aux exigences du circuit et servent également à empêcher les étincelles aux contacts.
Quand le relais 03 s'excite, un circuit s'établit pour maintenir excité le relais 01T de manière à engendrer une impulsion longue. Ce circuit passe par la borne B, le contact travail b du relais 234 ST, le contact repos g du relais 23 G, le contact g du relais 2F, le fil 33, le contact travail e du relais 03, le fil 70, le contact travail a et l'enroulement du relais 01T, et enfin la borne N. Les relais 0-IL et OLP retombent ensuite, en complétant un circuit passant par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, le fil 60, le contact repos a du relais OCR, le fil 58. les contacts repos d des relais OLP et 01L le fil 63, les contacts repos b des relais OCR et KSP, le contact travail à du relais 03,le fil 23, le contact travail b du relais 2F, l'enroulement du relais 23G et la borne N.
Le relais 23G s'excite ainsi et son contact travail a ferme un circuit de maintien passant par les contacts repos a en série des relais associés G, le fil 29, un circuit indiqué précédemment et la borne B.
Quand le relais 23 G s'excite, les circuits dérjvés s'étendant du fil 33 à la borne B, en passant par les contacts des relais de démarrage, dont les deux premiers chiffres des indicatifs d'appel sont 2 et 3, sont déconnectés du fil 33, divisés en plusieurs branches par les contacts g à k au relais 23G et connectés aux fils 34 à 38 pour préparer des circuits chargés d'engendrer respectivement le troisième chiffre des indicatifs d' appel 234 à 238. La connexion au fil 33 étant coupée par suite ae l'ouver- ture du contact repos g du relais 23G, le relais 01T retombe pour commencer la quatrième impulsion.
Le relais 2F retombe en position ae repos par suite ae l'ouverture au contact repos a du relais 23G. L'ouverture aes contacts travail h à k du relais 2F déconnecte les circuits dérivés qui sont commandés par ces contacts., en limitant ainsi la commande au troisième chiffre aux relais de démarrage au groupe 234 à 238 inclusivement.
Quand le relais 04 s'excite, la connexion passant par la borne B, le contact travail b du relais 234 ST, le contact travail g du relais
23G et le fil 34,est étendue en passant par le contact travail c du relais 04, le fil 71 et , comme on l'a expliqué précédemment, par le relais 02T, de manière à maintenir ce relais excité pour engendrer la quatrième
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impulsion longue de l'intérieur d'appel 234.
Quand les relais 02L et OLP retombent,, un circuit se complète par la borne B, le contact travail a au relais OLBP, le fil 60,le contact repos a au relais OCR, le fil 58 les contacts repos gèles relais OLP et 02L,le fil 64, les contacts repos a des relais OCR et KSP, le contact travail D du relais 04, le fil 24, le contact travail b du relais 23 G, l'enroulement du relais 234 S et la borne N. Le relais 234 S s'excite à ce moment. La fermeture du contact travail 3 de ce relais prolonge la connexion partant de la borne B, à la borne de gauche ae son enroulement, jusqu'au fil 30, et de là à travers l'enroulement du relais SP du poste central répétiteur du relais S jusqu'à la borne N, de sorte que le relais SP s'excite également.
Le relais SP complète alors son circuit de maintien passant par le fil 60, son propre contact travail a, son enroulement et la borne N. La fermeture au contact travail a du relais SP ferme également un circuit de maintien pour le relais 234 S ; ce circuit passe par le contact travail a du relais SP, le fil 30, le contact travail a du relais 234 S, l'enroulement de ce relais et la borne N.
Quand le relais SP s'excite, l'ouverture de son contact repos .5!: déconnecte la borne B du fil 29 et fait retomber par conséquent le relais 23G. L'ouverture du contact travail du relais 23G élimine le courant du fil 34, et par conséquent du fil 71, de sorte que le relais 02P retombe. Le relais 01T est alors excité et attire son armature pour terminer la quatorzième impulsion et commencer la quinzième impulsion.
On voit par conséquent que, à la fin de la première impulsion longue, la chute du relais 01T est commandée par l'ouverture d'un contact travail du relais OLP. Cependant, dans le cas des deux premières impulsions longues d'un indicatif d'appel de station ; lefonctionnement des relais 01T et 02T est commandé par l'ouverture des contacts repos des relais sélecteurs respectifs, dont chacun s'excite en réponse à la fermeture d'un contact repos du relais OLP. Ainsi, ces deux impulsions longues sont de la même longueur, qui est légèrement supérieure à celle de le première impulsion. L'impulsion finale d'un indicatif d'appel de station est terminée, non pas par l'excitation du relais S correspondant, mais par la chute au relais G correspondant.
Puisque le relais G ne retombe qu'après que les relais S et SP se sont excités en cascade, ce qui se produit après la chute au relais OLP, l'impulsion longue finale de sélection de station est plus longue que l'une quelconque des deux premières impulsions. Ceci est particulièrement nécessaire quand cette impulsion finale se produit sur la huitième impulsion du code. Si l'impulsion finale de sélection de station se terminant dans ce cas par l'excitation du relais S, on ne disposerait pas d'un temps suffisant avant la neuvième impulsion pour effectuer complètement les quelques autres actions qui doivent se produire sur la huitième impulsion et que l'on décrira brièvement.
Il en résulte également que ces impulsions longues de l'indicatif d'appel de station ont une longueur légèrement supérieure à celle des autres impulsions longues du code, qui sont terminées, comme on l'expliquera un peu plus loin, de la même manière que la première impulsion longue.
L'ouverture des contacts travail 12 à f du relais 23G provoque 1' ouverture des circuits d'excitation du relais 234S et des autres relais analogues 235S à 238S du même groupe, qui ne sont pas représentés. Cepen dant, le relais 234S reste excité, grâce à son circuit de maintien décrit précédemment. L'ouverture des contacts travail h à k du relais 23G empêche l'émission d'éléments codés longs sur les impulsions 5 à 8 quand les contacts travail c des relais ae comptage 05 à 08 inclusivement aboutissant aux fils 35 à 38 se ferment successivement.
Les impulsions 5 à 8 sont par conséquent courtes. Le relais 01T est commandé pendant ces impulsions par son circuit d'impulsion décrit
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précédemment, qui est ouvert ou fermé par les contacts repos respectifs g des relais 05 et 07, et par la chute du relais 02T fermant son contact re- pos b. Quand le relais 08 s'excite, un circuit est complété par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, le fil 60, le contact travail h du re- lais 08, le contact travail b du relais SP, l'enroulement du relais répéti- teur de chaîne OCR du poste central et enfin la borne N. Le relais OCR s' excite par conséquent sur la huitième impulsion, en complétant un circuit de maintien passant par son propre contact travail a et le fil 60.
Puisque le relais OLBP reste excité pendant un code entier, il est évident que le relais OCR, une fois excité, se maintient tel pendant le reste du code.
L'ouverture du contact repos a du relais OCR déconnecte la borne
B du fil 58, et par conséquent des fils 63 et 64, comme on l'a déjà expli- qué. La fermeture du contact travail g du relais OCR prépare un circuit passant par le fil 89, le contact repos a du relais 07, le contact travail b du relais 08, le contact repos b d'un relais RCL, l'enroulement du re- lais 01 et la borne N. Ceci permet au relais 01 d'être actionné à la suite du relais 08. L'excitation du relais OCR ferme également, par ses contacts ± et f, les circuits de commande passant par les fils 61 et 62 et les contacts travail b et c du relais OLP.
Le courant venant de la borne B pour mainte-nir -ensuite excités les relais 01T et 02T pasent,comme on l'expliquera, par les contacts travail des différents relais de chaîne de comptage, et par les fils 39 à 45 ou 102 à 108 venant des différents leviers et boutons-poussoirs de commande prévus sur les panneaux du poste central.
Quand le relais sélecteur 234S s'excite comme on l'a expliqué plus haut, son contact transfère le circuit de maintien du relais de démarrage 234ST, d'une connexion directe à la borne B, à un circuit comprenant le fil 46 et s'étendant à partir de la borne B en passant par le contact repos f au relais 08. Il en résulte que le relais de démarrage actionné, tel que le relais 234ST, retombe en position de repos sur la huitième impulsion du code de commande correspondant. Ceci a l'avantage de permettre d'exciter de nouveau le relais de démarrage d'un panneau quelconque en ac- tionnant momentanément le bouton de démarrage STB correspondant, afin d' emmagasiner un deuxième code destiné à être transmis, morne si on actionne ce bouton avant que le premier code ne soit terminé.
Pendant la réception d'un code de contrôle, le relais 08 et le relais S du panneau choisi sont également excités, comme dans le cas du code de commande décrit, mais pendant la réception le relais OM n'est pas excité et son contact repos g réalise une connexion partant de la borne B et aboutissant au fil 46, afin d' empêcher la chute d'un relais de démarrage "emmagasiné", tel que le relais 234 ST, en réponse au fonctionnement du relais 08.
Les impulsions 9 à 15 du code ont été maintenant rendues disponibles pour commander 7 des dispositifs à la station choisie, conformément aux positions des leviers ou boutons-poussoirs de commande du panneau correspondant, tel que celui représenté du côté gauche de la figure 1d.
Quand le relais 234 S s'excite, la borne B se trouve connectée, par les contacts g à k de ce relais et par les fils 95 à 99 inclusivement, aux contacts de leviers et boutons-poussoirs, et par conséquent aux fils 39 à 45 aboutissant aux contacts travail f des relais 01 à 07. Le relais OCR étant excité, les contacts travail f des relais impairs de la chäne de comptage réalisant des connexions par le contact travail e du relais OCR, le fil 61, les contacts travail e et b en parallèle des relais respectifs 01L et OLP, et le circuit de maintien du relais OIT. Ce relais peut ainsi être maintenu excité jusqu'à ce que les relais OIL et OLP retombent, en engendrant ainsi des éléments codés longs et impairs.
Les contacts f des relais pairs de la chaîne de comptage réalisant des connexions par le contact travail f du relais OCR, le fil 62, les contacts travail c en parallèle des relais 02L et OLP, et le circuit de maintien défini précédemment du relais 02T.Ce dernier relais peut ainsi-être'maintenu excité jusqu'à ce que les relais 02L
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et OLP retombenten engenarant ainsi des éléments codés longs et pairs.
Ces circuits ne sont évidemment disponibles que pendant le deuxième cycle de fonctionnement de la cI aine primaire de comptage du groupe OLC et pendant tout fonctionnement de la chaîne primaire de comptage et d'extension.
Avant de décrire l'action de commande des différents leviers et boutons-poussoirs sur le codage au poste central, on va supposer que l'opé- rateur désire accomplir une série de conditions déterminées. En se référant au schéma des voies de la station, tel qu'il est représenté à la partie supérieure de la figure 2d, on conviendra qu'un train se déplaçant de la droite vers la gauche à travers cette disposition de voies est un train marchant vers l'ouest, et inversement qu'un train se déplaçant de la gauche vers la droite marche vers l'est , On supposera également qu'un train marchant vers l'ouest se rapproche de cette disposition d'enclenchement sur la section de voie 4AT, et que l'opérateur désire faire passer ce train sur la voie de raccordement c'est-à-dire sur la section de voie 2BT.
Il faut pour cela que l'aiguille 3W passe en position inverse et que le signal 4L soit en position d'ouverture. On supposera qu'un train marchant vers l'est se rapproche en même temps sur la section de voie 2AT, mais que l'opérateur désire maintenir ce train sur la ligne principale à l'endroit du signal 2R, de sorte que ce signal doit rester en position de fermeture et que l'aiguil- le 1W doit être placée ou maintenue en position normale.
Si on se réfère maintenant à la figure Ici, et en particulier à la partie supérieure de cette figure, où on a représenté deux panneaux du dispositif de commande au poste central, avec le schéma des voies à la partie supérieure et les lampes d'occupation de voie, on voit que l'opérateur, pour réaliser les mouvements désirés des trains à travers la disposition d'enclenchement considérée, place le levier 1SW de commande d'aiguille dans sa position de gauche ou position normale., c'est-à-dire dans la position représentée sur le dessin. Il place d'autre part le levier 3SW de commande d'aiguille dans sa position inverse, c'est-à-dire de droite. Il fait passer le levier 4SG de commande de signal à sa position de gauche pour ouvrir le signal commandant la marche vers l'ouest.
Le levier 2SG de comma+ de de signal doit rester dans sa position centrale pour maintenir fermé le signal 2R. On suppose que le bouton WZB de commande de chauffage d'aiguille a été actionné précédemment, pour mettre en action les réchauffeurs d' aiguille, et qu'il reste dans cette position, L'opérateur n'agit pas au contraire sur le bouton CHB de commutation ni sur le bouton MCB d'appel, qui restent avec leurs contacts ouverts comme on le voit sur le dessin.
Ayant effectué les opérations nécessaires sur les leviers de commande des aiguilles et des signaux, et sur les différents boutons-poussoirs de commande du trafic, l'opérateur pousse le bouton de démarrage 234 STB à ressort de rappel. On a montré précédemment quelle action de codage se produit pendant les huit premières impulsions, après que l'opérateur a passé le bouton de démarrage 234 STB pour fermer momentanément son contact a.
Sur l'impulsion suivante, c'est-à-dire sur la neuvième impulsion du code de commande, puisque le levier d'aiguillage 1SW est en position normale, la batterie fournit du courant pour maintenir excité le relais OIT afin d'obtenir une impulsion longue du code. Le circuit correspondant passe par la borne B, le contact travail 9 du relais 234S, le fil 95, le contact en position normale ou de gauche du levier d'aiguille 1SW, le fil 39, le contact travail f du relais 01, le contact travail e du relais OCR, le fil 61, les contacts travail en parallèle b et e des relais respectifs OLP et 01L, le contact travail a du relais 01T, l'enroulement de ce relais et la borne N.
Le relais 01T est ainsi maintenu excité jusqu'à ce que le relais OLP retombe pour ouvrir son contact travail b, après quoi le relais 01T retom- be pour mettre fin à la neuvième impulsion longue du code.
Comme on a supposé que le contact a du bouton WZB de commande de
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réchauffage d'ajguille est fermé, la dizième impulsion du code de comman- de sera également longue. Le relais 02T est maintenu excité au moyen d'un circuit passant par la borne B, le contact travail h du relais 234 S, le fil 96, le contact a maintenant fermé du bouton WZB, le fil 40, les con- tacts travail f des relais 02 et OCR, le fil 62, les contacts travail 2 en parallèle des relais 02L et OLP, et enfin le circuit de maintien déjà dé- fini du relais 02T. Quand le relais OLP retombe pendant cette impulsion longue pour ouvrir son contact travail c, le relais 02T perd de nouveau son excitation. Il en résulte que le relais 01T s'excite pour mettre fin à la dixième impulsion du coae de commande.
Puisque le levier d'aiguille 1SW se trouve dans sa position normale et que son contact inverse est par conséquent ouvert, aucun courant n'est fourni pendant la onzième impulsion pour maintenir excité le relais 01T, qui n'est alors commandé que par son circuit d'impulsion. Ainsi, quand le contact repos g du relais 03 s'ouvre, le relais 01T retombe pour terminer cette onzième impulsion. Puisque les boutons CHB et MCB n'ont pas été ac- tionnés, de sorte que leurs contacts a sont ouverts, et puisque le levier d'aiguille 3SW se trouve dans sa position inverse ou de droite, avec son contact de gauche ouvert, les impulsions 12, 13 et 14 du code sont également courtes, aucun courant n'étant fourni maintenir excités les relais 01T et 02T.
Cependant, puisque le contact de droite du levier d'aiguille 3SW est fermé, du courant est fourni penaant la quinzième impulsion pour maintenir excité le relais 01T, de manière à proauire une impulsion longue du coae. Le circuit corresponaant passe par la borne B, le contact travail du relais 234S, le fil 98, le contact de aroite au levier d'aiguille 3SW, le fil 45, le contact travail f du relais 07, le reste au circuit indiqué précédemment au sujet de la neuvième impulsion, et enfin l'enroulement au relais 01T. Quand le relais OLP retombe, pour ouvrir son contact b, le relais 01T retombe ae nouveau pour mettre fin à la quinzième impulsion du code.
Dans les systèmes CTC actuels généralement utilisés, pour transmettre les autres fonctions de commande nécessaires pour mettre en position les différents dispositifs de la station, en vue ae permettre les mouvements désirés des trains, il serait nécessaire de transmettre un code de commande supplémentaire complet constitué par seize impulsions, avec un indicatif d'appel séparé pour chaque station. Grâce à la présente invention, on peut au contraire transmettre ces fonctions supplémentaires de commande en ajoutant des impulsions supplémentaires au code primitif grâce à l'emploi de relais d'extension de chaîne ae comptage.
Pour permettre d'utiliser de tels relais en vue de fournir les impulsions du code 17 à 23 inclusivement, on prévoit un relais 16 (figure qui fonctionne pendant la seizième impulsion du code pour préparer des circuits en vue d'amorcer l'action des relais d'extension. Le relais 16 fonctionne ainsi sur la seizième impulsion, de la même manière que le relais 08 sur la huitième impulsion.
Le circuit servant à exciter le relais 16 penaant la seizième impulsion passe par la borne B, le contact a en position normale du relais OR, la résistance R12, le contact travail à du relais OLBP, le fil 90, le contact repos a au relais 06, le contact travail b du relais 07, le contact travail h du relais OCR, le contact repos g du relais 08, le fil 87, l'enroulement du relais 16 et la borne N. Quana le relais 16 s'excite, il complète un circuit de maintien passant par son contact travail a, le contact repos b au relais 17-21 et le fil 90. La seizième impulsion étant analogue à la huitième impulsion, qui est l'une des impulsions de sélection de station,peut servir à transmettre une fonction de commande.
Cependant, dans le mode de réalisation préféré de l'invention, aucune fonction de commande n'est confiée à l'impulsion 16. On conserve ainsi l'analogie avec le code
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de contrôle aans lequel, pour des raisons qui seront exposées un peu plus loin ; la seizième impulsion ne peut pas servir à transmettre une fonction de contrôle. Puisqu'on n'a aucun besoin de rendre longue l'impulsion 16 d' un coae ae commande aans ce moae de réalisation préféré, cette impulsion est donc toujours courte. Le relais 02T peut ainsi retomber au bout du temps habituel et le relais 01T s'excite alors pour commencer la dix-septième impulsion.
Les circuits nécessaires sont maintenant préparés pour que le relais 17-21 s'excite le premier dans l'ordre de la chaîne de comptage. Comme on l'a expliqué plus haut, son circuit d'excitation passe par la borne B, le contact inverse a au relais OR, la résistance Rll, le contact tra-
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vail b du relais OLBP, le fil 89, le contact travail g du relais OCR, le contact repos a du relais 07, le contact repos b au relais 08, le fil 88, le contact travail b du relais 16,l'enroulement du relais 17-21 et enfin la borne N. Comme on l'a expliqué aéjà, les relais 18-22, 19-23 et 20 suivent aans l'ordre, d'une manière analogue aux relais de la chaîne primaire de comptage au groupe OLC.
Puisque le levier 2SG de commande de signal se trouve en position normale, avec ses deux contacts de gauche et de droite ouverts, aucun courant n'est fourni sur l'impulsion 17 pour maintenir excité le relais 01T en vue de fournir une impulsion longue. Le relais 01T retombe donc de la manière habituelle quana le relais 17-21 s'excite pour couper le circuit d'impulsion à son contact repos g. Cependant, puisque le levier 4SG de commanae ae signal se trouve aans sa position de gauche, un circuit est formé pour maintenir excité le relais 02T, de sorte que l'impulsion 18 est longue.
Ce circuit passe par la borne B, le contact travail n du relais 234 S, le fil 101, le contact de gauche du levier de signal 4 SG, le fil 103, le con-
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tact tcevaid c, du relais- 18-2-2.f le contact re1)OêV dtirnà.ids;:OeiU"i1:.è fil' 92, le contact travail f du relais 0aR,le fil 62,les contacts travail e en paral- lèlè des relais 02L et OLP,et enfin le circuit de maintien du relais 02T.Quand le relais OLP retombe et ouvre son contact travail ±.,le relais 02T re-
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tombe de nouveau en permettpnt.-au relais OIT de s'exciter pour¯c9mmencer la dix-neuvième impulsion au code.
Puisque les contacts de aroite des deux leviers de signal 2 SG et 4 SG sont ouverts, aucun courant n'est fourni pendant les impulsions 19 et 20 pour maintenir excités les relais 01T et 02T et pour renare longue ces impulsions. Ainsi, le relais 01T est commandé par son circuit à' impulsion pendant ces impulsions. Il faut remarquer que le relais OCRA s' excite aussi pendant la vingtième impulsion, comme on l'expliquera plus en détail ultérieurement. Par conséquent, le circuit, servant à maintenir le relais 02T excité pendant le vingtième impulsion, court-circuite les contacts du relais OCRA utilisés dans les autres circuits similaires. Ce circuit partant du fil 105 va directement du contact travail d du relais 20 au fil 92, puis passe par le circuit décrit précédemment pour maintenir le relais 02T excité si du courant arrive aans le fil 105.
Ceci est nécessaire, puisque le relais OCRA n'est pas excité tant que le relais 20 n'a pas lui-même été excité, et il est indispensable d'établir et de maintenir le circuit ae maintien au relais 02T à partir du moment où le relais 20 s'excite.
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Comme on 'vient de 1'inài.quer, le celais OCRA oB" excite quand 1l@ relais 20 s'excite lui-même pendant le reste au code.Le circuit d'excita-ltison au relais OCRA,. qui comprend le contact travail ç du relais 20, a été -décrit précédemment. L'excitation du relais OCRA prépare des circuits pour
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permettre au relais 17-21 de suivre le relais 20. Le relais OCRA transfiérp (également les circuits qui, partant des leviers ou boutons-poussoirs ae,,comnnde,aboutissér.t, a.fâl 9rr3o-:¯92,a'unepefiièrb série de contacts cièsie .ridais. a' extensd.oar; JlI{è. ae.uxièm.e:... érie- .Clte .,C azta.. Par exemple, le> contact c au relais OCRA transfère
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au contact travail c. du relais 17-21 au contact travail à de ce relais la connexion aboutissant au fil 91.
La dernière fonction de commande désirée est transmise à la sta- tion 234 par l'impulsion 20. Ainsi, les impulsions supplémentaires du co- ae ne peuvent être d'aucune utilité, bien que la chaîne d'extension de comp- tage soit préparée pour répéter son cycle de fonctionnement et fournir ces impulsions supplémentaires. Pour économiser le temps du codage, l'inven- tion prévoit un moyen pour terminer l'action ae codage dans un code quel- conque de commande, dès que les impulsions ne sont plus d'aucune utilité.
Pour que l'action de remise à zéro de l'installation se produise pendant la période normale de ligne, l'arrêt du code ne peut s'effectuer que sur les impulsions paires. Puisque l'impulsion finale au code n'est pas dispo- nible pour transmettre une fonction de commande, l'impulsion finale d'un code de commande est donc la première impulsion paire après que toutes les fonctions de commande ont été transmises. Comme on l'expliquera plus loin, la fin d'un code de contrôle est soumise à une restriction analogue. Ainsi, dans le code ae commande décrit ici, l'impulsion finale est la vingt-deux- ième impulsion. La vingt-et-unième impulsion sera donc toujours courte, puisqu'aucune fonction de commande ne doit être transmise sur cette impul- sion.
Pour atteindre ce but, des circuits sont prévus pour exciter le relais OCS d'arrêt du code au poste central (figure lb), en parallèle avec le relais pair de chaîne de comptage qui correspond à la dernière impulsion du code. En réalité, le relais OCS devient le relais final de la chaîne de comptage pendant toute action de codage, quelle que soit la longueur du code. On utilise des contacts du relais sélecteur de station et des connexions réglables pour sélectionner les différentes impulsions finales des différentrés stations, Pour que les codes de commande et de contrôle transmis à la même station et émis par celle-ci puissent avoir, si on le désire, des longueurs différentes, il est nécessaire, au poste central, de distinguer ces aeux coaes, puisque le relais OCS doit être excité pour terminer 1' action de codage aans ces deux codes.
Ainsi, pour les stations où les codes de commande et ae contrôle ont des nombres différents d'impulsions, un circuit séparé doit être prévu pour chaque code afin d'exciter le relais OCS. Par conséquent, un relais répétiteur du maître-relais.. le relais OMP, doit être utilisé pour choisir entre les circuits séparés passant par les contacts du relais sélecteur de station, pour le code de commande et le code de contrôle d'une station quelconque. Le relais OMP est excité pen- ctant la première impulsion d'un code de commande quelconque par un circuit passant par la borne B, le contact travail f du relais OM, le fil 83, lenroulement du relais OMP et la borne N. Ce relais reste acuité pendant le code de commande tout entier, puisqu'il répète le relais OM.
Pour le code de commande considéré ici, le relais OCS doit s'exciter en même temps que le relais 18-22, c'est-à-dire sur la vingt-deuxième impulsion du code. Quand le relais de ligne OR passe à sa position normale au aébut de la vingt-deuxième impulsion, un circuit est complété par la borne B, le contact en position normale a du relais OR, la résistance R12, le contact travail d du relais OLBP, le fil 90, les contacts repos a en série des relais 20 et 16, le contact travail h du relais 17-21, le contact travail e du relais OCRA, une connexion réglable et le contact travail b du relais 234S, le contact travail a du relais OMP, le fil 80, le contact travail j du relais OCR, le fil 74, le contact travail b du relais OLB, le fil 48; l'enroulement du relais OCS et la borne N. Le relais OCS est donc excité.
Bien que le relais 18-22 s'excite également de la manière habituelle, cette action ne produit aucun effet sur la fin du code.
Quand le relais OCS s'excite au début de la vingt-deuxième impulsion, la borne B est déconnectée du fil 56 par le contact repos g du relais OCS, qui supprime l'excitation du relais OM, et le circuit d'impulsion et
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d'excitation du relais 01T est coupé par le contact repos e du relais OCS, avant que le relais 17-21 ne retombe pour fermer son contact repos g. En conséquence,, le relais 01T reste au repos quand le relais 02T retombe, et le relais OR reste alors en position normale. Le relais OM retombe également.
Le relais OR restant en position normale, les relais temporisés 02L, OLP, OLB, OLBP et 01L retombent aans cet ordre. Le relais OCS, qui est maintenu excité., après la chute du relais 17-21, par un circuit de maintien passant par le fil 90, son propre contact travail a, le fil 74, le contact travail b du relais OLB et le fil 48, perd son excitation au moment où le relais OLB retombe. La chute du relais OLBP déconnecte du fil 60 la borne B, en faisant ainsi retomber les relais OCR, SP, OCRA, et les relais sélecteurs actionnés tels que le relais 234S. L'installation se trouve alors en état de recevoir un nouveau code.
Si un autre relais quelconque de démarrage du poste central a été excité pour emmagasiner un code de commande, ce code commencera à être transmis après la chute au relais 01L, qui est le dernier à retomber. La vingt-deuxième impulsion correspond ainsi au retour du circuit de ligne à son état normal de fermeture etreprésente, dans le cas de la transmission de codes successifs une impulsion de fermeture de ligne qui est notablement plus longue que toute autre impulsion quelconque se produisant dans un code.
On va considérer maintenant le fonctionnement du dispositif de station représenté sur les figures 2a, 2b, 2c et 2e, quand ce dispositif reçoit le code de commande que l'on vient de décrire. Il est bien entendu que le relais de ligne R à chaque station et les relais temporisés 1L, 2L, LP et LBP fonctionnent en synchronisme avec les relais correspondants du poste central. Les relais de comptage à chaque station fonctionnent pencant les huit premières impulsions en synchronisme avec les relais de comptage du poste centrai, mais seuls les relais de comptage de la station sélectionnée, où le relais sélecteur de station S est excité, sont actionnés pendant leur deuxième cycle et leurs cycles d'extension.
Sur la première impulsion du code de commande, un relais SR récepteur de station est actionné sélectivement en réponse à la chute du relais -IL provoquée par le caractère long de cette impulsion. Le circuit correspondant passe par la borne B, le contact travail a du relais LEP, le contact repos d du relais 1L, le fil 163,le contact repos b du relais CR, le contact travail c du relais 1,l'enroulement supérieur du relais SR et la borne N. Le relais SR s'excite et complète un circuit de maintien passant par la borne B, le contact travail a du relais LBP, le fil 160, le contact travail a du relais SR,la résistance R14, l'enroulement inférieur àu relais SR, la résistance R15 et la borne N. On expliquera plus loin le rôle de ces deux résistances.
Comme on le voit sur la figure 2c, le groupe de codage de station contient une série de trois relais sélecteurs, FIR, G2R et S, qui peuvent être connectés d'une manière réglable pour répondre à l'un quelconque des trente-cinq indicatifs d'appel, les connexions étant disposées, comme on le voit sur le aessin, pour que le relais S réponde à l'indicatif 234. Comme on l'expliquera plus loin, les relais F1R et G2R ont chacun un double rôle dans l'action de codage. Tout en étant le premier relais sélecteur, le relais F1R est utilisé aussi ultérieurement dans l'action de codage comme relais impair d'enregistrement de fonction. De même., le relais sélecteur de groupe G2Rest ;utilisé ultérieurement dans l'action de codage comme relais pair d'enregistrement de fonction.
En d'autres termes, ces deux relais sont utilisés, pendant la partie suivante au code, pour enregistrer respectivement le caractère des impulsions impaires et des impulsions paires. Comme le montrera la description qui va suivre, ces relais passent de leur premier rôle à leur deuxième rôle par la sélection du relais de station S et par l'excitation du relais CR répétiteur de chaîne.
Les circuits de ces relais, consiaérés comme relais sélecteurs,
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sont analogues d'une manière générale à ceux déjà décrits pour les. relais sélecteurs au poste central. Les circuits, pour les relais sélecteurs qui répondent aux impulsions paires, passent par la borne B, le contact tra- vail a du relais LBP (figure 2a), le contact repos g du relais 2L, le fil
164, le contact repos d àu relais GR, le contact travail à au relais SR, les contacts travail a des relais 2, 4, 6 et 8 aboutissant respectivement aux fils 122, 124, 126 et 128.
Comme on le voit sur le dessin, une conne- xion réglable aboutissant au fil 122 réalise un circuit d'excitation du re- lais F1R sur la seconde impulsion, le relais FIR complètant alors un cir- cuit de maintien passant par la borne B, son propre contact travail a, le contact repos c du relais S, le contact repos g du relais G2R, le fil 160 et le contact travail a au relais LBP. Les circuits,pour les relais sélec- teurs répondant aux impulsions impaires, passent par la borne B, le contact travail a du relais LBP, le contact repos du relais 1L. le fil 163, le contact repos b du relais CR, le contact travail b du relais SR, les contacts travail g des relais 3, 5 et 7 aboutissant respectivement aux fils 123, 125 et 127.
Comme le montre le dessin, une connexion réglable aboutissant au fil 123 établit un circuit passant par le contact travail,2 du relais FIR, pour exciter le relais G2R sur la troisième impulsion. Le circuit de maintien du relais G2R passe par la borne B, le contact travail a du relais LBP, son propre contact travail a, le contact repos g du relais S, et le fil 160. L'ouverture du contact repos g du relais G2R fait retomber le relais F1R. De même, une connexion réglable aboutissant au fil 124 établit un circuit passant pat le contact travail e du relais G2R pour exciter le relais S sur la quatrième impulsion. Le relais S complète un circuit de maintien, qui est connecté directement au fil 160 par son propre contact travail a. L'excitation du relais S fait retomber également le relais G2R.
Il faut remarquer que les différents relais sélecteurs F1R, G2R et S, sont actionnés directement après la chute du relais 1L ou 2L quand le dispositif est en état de réception comme on l'a expliqué; en conséquence, ces relais sont actionnés avant le fin de l'impulsion longue et permettent ainsi de réaliser une certaine marge pour les variations de réglage dans le temps.
Il est bien entendu également que les relais F1R aux différentes stations peuvent être compotes à l'un quelconque des fils 122 à 126, et les relais G2R à l'un quelconque des fils 123 à 127, en-dessous de celui auquel est connecté le relais associé FIR. Il en résulte que, quand l'indicatif d'appel est 234, ces relais F1R connectés au fil 122 répondent à la deuxième impulsion longue, les relais F1R et G2R connectés au fil 123 répondent à la troisième impulsion longue, et les relais FIR et G2R connectés au fil 124 répondent à la quatrième impulsion longue, en même temps que le relais S au groupe de station sélectionné. Cependant, la sélection ne sera normalement complétée pour exciter un relais S qu'à une seule station.
.Aux autres stations, le fonctionnement du relais de comptage se termine avec la huitième impulsion, et seuls le relais de ligne R et les relais temporisés continuent à fonctionner pendant le reste du code.
Il peut arriver qu'une quatrième impulsion longue apparaisse pendant la partie de sélection de station d'un code de commande. Ceci peut être dû à un défaut momentané de ligne, qui efface une partie du code, ou à un fonctionnement défectueux de l'équipement de codage. Puisque les relais F1R et G2R peuvent être sélectionnés pendant un code quelconque à plusieurs stations, comme on l'a expliqué précédemment, une quatrième im- pulsion longue peut avoir pour résultat la sélection du relais S à une ou plusieurs stations en plus de la station désirée. Par exemple, si l'impulsion 7 du présent code était également longue par suite d'un àéfaut, le relais S pourrait être également excité aux stations 237, 247 et 347 et la sélection de ces stations pourrait être terminée.
Ces quatre stations recevraient alors les fonctions de commande transmises, et un fonctionnement
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défectueux et indésirable des dispositifs de voie se produirait aux stations 237, 247 et 347.
L'installation décrite ici neutralise cette sélection incorrecte de station. .si une station quelconque reçoit une impulsion longue ne s'adaptant pas à son indicatif, d'appel, le relais SR est shunté et retombe. Ceci ouvre le circuit aboutissant aux relais d'enregistrement de fonction et se produit même si la sélection de station a déjà. été effectuée. Par exemple, dans le code de commande décrit ici, si l'une quelconque des impulsions restantes du code, avant la neuvième impulsion, est longue, de sorte que le relais IL ou 2L à la station 234 retombe, du courant est appliqué à l'un des fils 125 à 128 inclusivement. Puisque ces fils, à la station 234, sont connectés par des connexions réglables au fil 21, du courant est appliqué à la borne de gauche de l'enroulement inférieur du relais SR.
Ceci shunte l'enroulement inférieur de ce relais et permet au circuit de maintien décrit précédemment de ne plus agir effectivement et de laisser le relais retomber. Cette action est aidée par le faible niveau d'excitation existant dans l'enroulement inférieur du relais SR et dü aux résistances R14 et R15 de limitation du courant qui sont placées dans le circuit de maintien. L'ouverture qui en résulte des contacts travail g et h de ce relais coupe les circuits décrits en détail un peu plus loin et aboutissant aux relais d'enregistrement de fonction par les contacts m et n du relais CR et les contacts travail des différents relais de chaîne.
Ainsi, aucun enregistrement de fonctionne peut se produire à la suite de la sélection incorrecte d'une station par une quatrième impulsion longue se produisant pendant la partie sélectrice d'un code de commande.
En réalité, toutes les stations, à l'exception de la station correctement sélectionnée par les trois impulsions longues de sélection dans un code quelconque correct àe commande, sont empêchées par la chute forcée du relais SR d'enregistrer incorrectement une fonction de commande pendant la première impulsion longue ne s'adaptant pas à la forme de l'indicatif d' appel de la station particulière considérée. Dans l'exemple décrit ci-dessus, que la septième impulsion soit longue ou courte, les relais SR, aux stations 237, 247 et 347, sont forcés de retomber avant l'impulsion 7.
Cette action se produit sur l'impulsion 4 à la station 237, sur l'impulsion 3 à la station 247 et sur l'impulsion 2 à la station 347. Cependant, cette chute du relais SR, à toutes les stations non sélectionnées et pendant un code normal de commande,n'exerce aucune action sur le fonctionnement et peut être négligée. Comme on le montrera plus loin, cette action à une station est différente de l'action au poste central, pendant la réception d'un code de contrôle; quand seule une quatrième impulsion longue de sélection de station peut provoquer le rejet du code de contrôle et forcer l'installation à revenir à zéro.
A la station sélectionnée, le relais S prépare un circuit d'excitation, qui est complété sur la huitième impulsion pour un relais CR de répétition de chaîne. Ce circuit passe par la borne B, le contact travail h du relais S, le fil 146, le contact travail f du relais 8, l'enroulement du relais CR et la borne N. Quand le relais CR s'excite , la fermeture de son contact travail a complète un circuit de maintien passant par la borne B, la résistance R10 et .le fil 160. La fermeture du contact g du relais CR complète également une connexion passant par le fil 157, le contact repos a du relais 7 et le contact travail b du relais 8, pour provoquer le fonctionnement du relais 1 immédiatement après celui du relais 8.
Ainsi, les relais de la chaîne de comptage du groupe LC sont prts à être utilisés de nouveau, comme on l'à déjà expliqué, pour fournir les impulsions 9 à 15. De plus, l'excitation du relais CR, en fermant son contact travail h, complète une connexion passant par le contact repos g du relais 8, pour exciter le relais A d'extension, dans le groupe d'extension nécessaire à cette station, sur la seizième impulsion d'un code, On décrira cette action plus complètement un peu plus loin.
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Le contact travail du relais CR, pendant qu'il est fermé, shun- te une résistance R6 du circuit de maintien du relais 8. La résistance R6 est intercalée dans ce circuit pour diminuer l'excitation du relais 8 aux stations où le relais CR n'est pas excité. Puisque ce relais n'est excité que quand le relais sélecteur de station S est lui-même en état d'excita- tion, le relais 8 retombera plus rapidement, à cause de cette réduction d' excitation, à toutes les stations sauf la station sélectionnée.
S'il n'y avait pas de résistance R6, il pourrait arriver dans certains cas, quand la neuvième impulsion au code est également courte, que le relais 8 soit maintenu excité pendant la neuvième impulsion et qu'il soit excité de nou- veau par son contact travail a, quand le relais 1 retombe au début de la dixième impulsion et ferme son contact repos b, Il en résulterait une hui- tième impulsion longue à cette station particulière. Comme on l'a expliqué précédemment, il peut arriver que les relais F1R et G2R à une station soient excités sans que le relais S le soit, si les aeux relais F1R et G2R sont connectés aux fils représentant des impulsions longues du code.
Si le re- lais 8 excité produit une impulsion longue fausse, il peut en résulter une sélection de station ; autrementdit, le relais S peut être excité sur la dixième impulsion du code. Par exemple, la station 238 peut être sélection- née en même temps que la station 234. Les chaînes de comptage à la station 238 continueraient alors à suivre l'action de codage, mais a deux impul- sions en arrière du code. Cependant, grâce à la résistance R6, on peut main- tenir l'excitation du relais 8 à un niveau si bas que la chute de ce relais pendant une neuvième impulsion courte est réalisée avec certitude aux sta- tions où le relais CR n'est pas excité.
Les impulsions 9 à 15, 17 à 23, et les autres impulsions analogues au code ae commande sont utilisées pour commander un groupe de relais de, commande ae fonction, qui sont pour la plupart du type dit "polarisé" ou à maintien magnétique!', conformément à la position des leviers correspon- dants du poste central. Le fonctionnement de ces relais à maintien magné- tique, quana ils sont excités par un potentiel positif à l'une ou à l'au- tre de leurs bornes, est analogue à celui déjà décrit pour le relais OR, et on ne le décrira pas par conséquent. Les figures 2d et 2e montrent une disposition typique de tels relais, comprenant des relais de commande d' aiguille WS et des relais de commande de signal LHS et RHS.
Ces relais peu- vent être utilisés pour commander les aiguilles et les groupes associés de signaux représentés sur le plan de voies de la partie supérieure de la fi- gure 2d. L'un des relais de commande de fonction représentés, le relais de maintien d'appel MCS, n'est pas du type à maintien magnétique, mais peut être un relais du type neutre ordinaire muni de circuits de maintien. La commande de ces relais par le dispositif de codage sera exposée un peu plus loin.
Il est bien entendu que les circuits, par lesquels les relais de commande de fonction commandent les aiguilles et les signaux, ne font pas partie de la présente invention. Ces circuits peuvent être analogues à ceux décrits en se référant aux figures 8 et 9 du brevet américain N 2.229.249 cité plus haut. Pour des raisons de simplicité, les commandes sont indi- quées ici par des lignes pointillées, entre le relais de commande et l'ap- pareil commandé. On peut remarquer que les circuits, entre les différents dispositifs de voie et les relais correspondants de contrôle, sont égale- ment indiqués par des lignes pointillées.
Les relais à maintien magnétique passent en position normale ou en position inverse, c'est-à-dire sont excités ou retombent, sous l'action d'impulsions fournies par le groupe LC et les fils 149 à 155 inclusivement, et d'impulsions fournies par le groupe d'extension et par les fils 217 à 223 inclusivement. L'arrivée du courant dans ces fils, au moment de l'im- pulsion appropriée du code, est commandée par les différents relais de chai- ne et leurs contacts travail. L'arrivée du courant aux contacts travail des
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relais de ch&fne est connectée par le relais CR et par ses contacts travail m et n . Ceci limite aux impulsions 9 à 15 et aux impulsions suivantes au coae les impulsions fournies aux relais de commande de fonction.
D'autre parts comme on l'a aéjà mentionné, l'arrivée au courant est interrompue par l'ouverture des contacts travail du relais SR, si la station considérée a été incorrectement sélectionnée par suite d'un défaut dans le circuit de ligne.
Les circuits appropriés destinés à actionner les relais de commande de fonction à dispositif de maintien, conformément au caractère long ou court des impulsions 9 à 15, 17 à 23 et des autres groupes correspondants, sont réalisées par le fonctionnement des aeux relais d'enregistrement F1R et G2R. Ces relais passent de leur rôle primitif consistant à sélectionner une station, à ce deuxième rôle d'enregistrement, sous l'action du fonctionnement du relais CR fermant ses contacts travail b et d. La fermeture des contacts travail ±. et d du relais S change également les circuits de maintien de ces relais et les fait passer des circuits de sélection de station aux circuits d'enregistrement.
Si le relais 1L retombe sur une impulsion impaire quelconque des groupes codés mentionnés ci-dessus, un circuit se ferme par la borne B, le contact travail a du relais LBP, le contact repos ci du relais 1L, le fil 163, le contact travail b du relais CR, le fil 129,l'enroulement supérieur du relais F1R et la borne N. Quand le relais F1R s'excite, il est maintenu excité, pendant la durée ae la première impulsion paire suivante, par un circuit de maintien jalonné par la borne B, le contact en position normale a au relais R, le contact travail e du relais LBP, le fil 180, le contact travail c du relais S, le contact travail a et l'enroulement inférieur du relais F1R, et enfin la borne N. Le relais F1R ntombe quand le contact normal a du relais R s'ouvre, au début de l'impulsion impaire suivante.
De même, si le relais 2L retombe sur l'une quelconque des impul- sions paires des groupes codés mentionnés précédemment, le relais G2R s'excite au moyen du circuit comprenant la borne B, le contact travail a du relais LBP, le contact repos ± du relais 2L, le fil 164, le contact travail d au relais CR, le fil 130, l'enroulement supérieur du relais G2R et la borne N.
Quand le relais G2R s'excite, il est maintenu excité, pendant la durée de l'impulsion impaire suivante, pendant laquelle le relais R est en position inverse; son circuit de maintien comprend la borne B, le contact en position inverse a au relais R, le fil 171, le contact repos e du relais GS, le fil 172, le contact travail b du relais LBP, le fil 181, le contact travail d du relais S, le contact travail a et l'enroulement inférieur du relais G2R, et enfin la borne N. Le relais G2R retombe quand le contact inverse a àu relais R est ouvert, au début de la première im- pulsion paire suivante.
Les circuits, que les contacts des relais F1R et G2R réalisent pour la commande des relais à maintien, sont de plusieurs types, dont l'un est représenté par les circuits du relais 1WS à maintien magnétique, qui est commandé conformément à la position du levier d'aiguille 1SW de la figure la. Quand ce levier est en position normale, comme on l'a supposé dans le cas présent, la neuvième impulsion du code de commande est longue et la onzième impulsion est courte. Quand ce levier 1SW est en position inverse, la neuvième impulsion est courte et la onzième impulsion est longue. Quand le levier 1SW esr en position normale, le relais F1R s'excite sur la neuvième impulsion longue, puisque le relais 1L retombe.
Puis, quand le relais R passe en position normale pour commencer la dixième impulsion, son contact a connecte la borne B au circuit de maintien du relais F1R pour maintenir celui-ci excité ; il connecte également par le même circuit la borne B au contact travail b du relais F1R pour compléter momentanément un circuit passant par le fil 184, les contacts travail g et m des relais
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respectifs SR et CR, le contact travail e au relais 1, le fil 149, l'en- roulement supérieur du relais 1WS, le contact travail a d'un relais de ver- rouillage LR et la borne N. Le sens du courant dans ce circuit est dirigé de la gauche vers la droite dans l'enroulement supérieur du relais 1WS, de sorte que les contacts de ce relais passent à leur position de gauche, c'est-à-dire normale.
Le relais 1WS est ainsi excité dans le sens normal, en parallèle avec le relais 2, par une impulsion qui se termine par la chu- te du relais 1. Le relais F1R n'est pas actionné sur la onzième impulsion, puique le relais 1L reste excité. Ainsi, bien que le fil 184 soit connec- té momentanément, au début de la douzième impulsion, aux contacts travail g et m des relais SR et CR, au contact travail 1 du relais 3, au fil 151, à l'enroulement inférieur'du relais lWS, au contact travail a du relais
LR et à la borne N, le relais 1WS n'est pas excité parce que, le relais F1R étant en position de repos, le fil 184 est déconnecté de la borne B.
De même, si le levier 1SW passe en position inverse, de sorte que la neuvième impulsion est courte, le relais F1R au repos et le relais 1WS n'est pas actionné sur la dixième impulsion. Quand la onzième impulsion longue est atteinte, le relais F1R s'excite alors, de sorte que le relais 1WS reçoit une impulsion à travers son enroulement inférieur et de la droite vers la gauche; cette impulsion le fait passer en position inverse pendant la douzième impulsion du code.
Un autre type de circuit de commande est représenté par le circuit du relais WZS, qui est commandé par le bouton poussoir WZB du poste central, de manière à passer en position normale ou en position inverse suivant le caractère court ou long d'une seule impulsion du code. Si la dixième impulsion est courte, de sorte que le relais 2L reste excité, le relais G2R se trouve en position de repos quand le relais R est actionné vers la droite pour commencer la onzième impulsion.
Un circuit se ferme alors momentanément par la borne B, le contact inverse a du relais R, le fil 171, le contact repos e du relais CS, le fil 172, le contact travail b du relais LBP, le fil 181, le contact travail d du relais S, le contact repos b du relais G2R, le fil 229, l'enroulement du relais WZS, le fil 150, le contact travail e du relais 2, les contacts travail n et h des relais CR et SR, le fil 185, le contact repos c du relais G2R, et la borne N. On peut voir que le sens du courant à travers l'enroulement du relais WZS est tel que ce relais passe en position normale ou est maintenu dans cette position . Si la dixième impulsion est longue, comme on l'a supposé pendant le code de commande, le relais G2R est excité et maintenu dans cet état par le relais R pendant la durée de la onzième impulsion.
Ses contacts b et e inversent alors le sens du courant à travers le relais WZS, de sorte que celui-ci passe en position inverse. Le circuit servant à commander le relais CHS sur l'impulsion 12 est commandé d'une manière analogue par le relais G2R.
On a décrit dans ce qui précède deux types de circuits pour commander les relais à maintien magnétique. Dans le premier type, illustré par le circuit du relais 1WS, le relais à maintien magnétique n'est excité que si un relais correspondant d'enregistrement F1R ou G2R est excité en réponse à une impulsion longue et ne répond pas si l'impulsion est courte.
Dans le second type, illustré par le circuit du relais WZS, le relais à maintien magnétique est excité dans une seule direction, si l'impulsion correspondante est longue, et dans la direction opposée si cette impulsion est courte. Un troisième type de circuit (non représenté) est également disponible et peut être réalisé en connectant l'un quelconque des relais à maintien magnétique au fil 225 ou 228 aboutissant respectivement au contact repos a du relais F1R ou G2R, au lieu de le connecter au fil 226 ou 229.
Si l'on suppose qu'une borne du relais WZS est connectée au fil 228, au lieu de l'être au fil 229 par exemple, son autre borne étant connectée au fil 185 par le circuit décrit précédemment, on voit que le relais WZS
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n'est excité momentanément par le relais R que dans le cas où l'impulsion correspondante est courte., de sorte que le relais G2R reste au repos. Il
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en 1. 1sulte que l'un quelconque des relais à maintien magnétique peut être disposé pour répondre à une impulsion courte et pour ne pas répondre quand l'impulsion est longue.
Un quatrième type de circuit, pour commander les relais à maintien magnétique est représenté par le circuit associé au relais MCS de la figure 2d. Le relais MCS est un relais neutre à deux enroulements ; sonen- roulement supérieur a une résistance plus petite que son enroulement inférieur de telle sorte que, quand ils sont excités tous les deux à partir de la même source, un courant plus fort traverse l'enroulement supérieur par rapport à l'enroulement inférieur. La position du relais MCS est commandée
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par le bouton-poussoir MCB du poste central (figure 1¯d), les circuits de station étant disposés de telle manière que le relais est excité quand 1' impulsion 14 du code est longue, auquel cas le relais G2R s'excite.
Au début de la quinzième impulsion du code, le relais MCS s'excite à travers son enroulement supérieur au moyen du circuit passant par la borne B, le contact inverse a du relais R, le fil 171, le contact repos e du relais
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OS9 le fil 172, le contact travail b du relais LBP, le fil 181., le contact travail à du relais Ss le contact travail b du relais G2R, le fil 155, les contacts travail h et n des relais respectifs SR et CR, le contact travail
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e du relais 6, le fil 154s l'enroulement supérieur du relais MCS, son propre contact repos .±.11 le fil 230, le contact travail à du relais G2R et la borne N.
Quand le relais MCS s'excite, la connexion à la borne N est maintenue par son contact de continuité b, jusqu'au moment où la nouvelle con-
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nexion à la borne NQ en passant par le contact travail cl du relais G2R, est complétée par le fil 229 et le contact travail b du relais MCS. La fermeture du contact travail a de ce relais complète un circuit direct de maintien passant par la borne B, l'enroulement inférieur de ce relais et
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la borne N. Le signal à'appel MC, réalisé ici par une lampe, est excité par le contact travail c du relais.
Quand on désire faire retomber le relais MCS, on transmet une quatorzième impulsion courte à partir du poste central, de sorte que le relais G2R n'est pas excité pendant cette impulsion. Au début de la quinzième impulsion, un circuit se forme par la borne B, le contact inverse a du relais R, le circuit décrit précédemment et le contact b du relais G2R, mais puisque ce relais se trouve en position de repos, le circuit passe par le contact repos b du relais., le fil 229, le contact travail b du re-
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lais MCS.\! l'enroulement supérieur du relais dans la direction opposée à celle du courant passant dans l'enroulement inférieur à partir du circuit de maintien.!) puis dans l'ordre inverse par le circuit décrit précédemment
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et comprenant le fil 185 enfin par le contact repos ç du relais G2R et la borne N.
L'excitation du relais par le courant passant dans l'enroulement supérieur ou de commande l'emporte sur le courant passant dans l'enroulement inférieur ou de maintien et le relais est forcé de retomber au repos. Après l'ouverture du contact travail b, le circuit de fonctionnement est coupépuisque le contact travail d du relais G2R est ouvert pour déconnecter la borne N du fil 230, de sorte que le relais MCS ne s'excite pas de nouveau quand le circuit de maintien est égaiement interrompu.
Quand un relais tel que MCS se trouve sous l'action d'une impulsion impaire du codes les circuits de commande passent par les fils 226 et 227 et par les
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contacts b..2 et à du relais Folio
Puisque le code de commande transmis par le poste central à cette station 234 a une longueur de vingt-deux impulsions, il est évident que des impulsions supplémentaires doivent être prévues dans l'action de codage à cette station pour égaler la longueur du code transmis. Ceci est réalisé d'une manière analogue à celle utilisée pour l'action du groupe de codage du poste central; autrement dits on ajoute des relais d'extension
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à la chaîne ae comptage pour fournir ces impulsions supplémentaires.
Les impulsions au code sont ajoutées par groupes ae huit, bien qu'une partie seulement de ces impulsions disponibles puisse être utilisée dans certai- nes conditions. Pour chaque groupe possible de huit impulsions ajoutées au code, il faut six relais supplémentaires. Cinq seulement de ces relais sont ajoutés à la chaîne de comptage, le sixième relais étant un relais de répétition de chaîne. Pour réaliser huit impulsions, une partie de la chai- ne de comptage a'extension est utilisée aeux fois à travers son cycle d'ac- tion de codage. Autrement dit, les trois relais 1A, 2A et 3A sont utilisés deux fois, de sorte qu'avec les deux relais restants de la chaîne de comp- tage, huit impulsions sont ajoutées par groupe d'extension.
Le relais ré- pétiteur de chaîne; c'est-à-dire le relais CRA, est utilisé à la fin du premier cycle de la chaîne d'extension, en conjonction avec le relais 4A, d'une manière analogue à celle suivant laquelle le relais CR est utilisé avec le relais 8 dans le groupe LC.
Conformément à l'invention, ces six relais sont inclus dans un groupe appelé "grdupe d'extension" dont un exemplaire est représenté sur la figure 2c. Tous les groupes d'extension sont identiques, avec les fils appropriés branchés aux bornes dans le but de réaliser les connexions dé- sirées pour étendre le code ou le terminer sur une impulsion paire choi- sie. Comme on l'a mentionné, chauqe groupe d'extension d'une station ajou- te huit impulsions à l'action de codage du groupe régulier LC, qu'il s'a- gisse du code de commande ou du code de contrôle. Pendant un code de con- trôle, sept impulsions seulement sont disponibles pour exécuter les fonc- tions de contrôle.
Pour cette raison, comme on l'a déjà indiqué à propos de l'action de codage du poste central, on n'utilise de préférence que les sept premières impulsions pour effectuer les fonctions de commande.
Le relais A du groupe d'extension s'excite sur la seizième impulsion du code, de la même manière que le relais 8 du groupe LC, mais le premier relais A vérifie que les relais 7 et CR sont excités et que le relais 8 est au repos. Puisque le relais CR s'excite après que le relais sélecteur de station S s'est lui-même excité, la station doit avoir été choisie pour que le relais A puisse s'exciter. Quand le relais R passe en position normale au début de la seizième impulsion, de sorte que le fil 158 reçoit du courant, le circuit s'étend, pour exciter le relais A, par le contact repos a du relais 6, le contact travail b du relais 7, le contact travail h du relais CR, le contact repos g du relais 8, le fil 204, l'enroulement du relais A et la borne N.
La fermeture du contact travail a du relais A établit un circuit de maintien de la manière habituelle par le contact repos b du relais lA et les fils 205, 158. L'ouverture du contact repos b du relais A coupe le circuit de maintien du relais 7, qui retombe par conséquent. Il en résulte naturellement que le circuit d'excitation du relais A est coupé, comme on l'a déjà expliqué, mais ce relais est maintenu cependant excité par son circuit de maintien, comme tous les relais de la chaîne. Le circuit de maintien du relais A s'ouvre pendant l'impulsion suivante, quand le contact repos b du relais lA est ouvert.
Les relais au groupe d'extension suivqnt maintenant le code, conformément au fonctionnement du relais R, comme on l'a déjà expliqué, le relais 4A s'exci@ant sur la vingtième impulsion du code. Pendant cette impulsion, si le fonctionnement a été correct, le relais CRA s'excite également, du courant passant par le fil 160, le contact travail c du relais 4A, l'enroulement du relais CRA et la borne N. L'excitation du relais CRA établit un circuit de maintien par son propre contact travail a et par le fil 160; ce relais reste alors excité pendant le reste de l'action de codage. L'excitation du relais CRA prépare également des circuits pour exciter de nouveau le relais lA immédiatement après le relais 4A.
Les relais 4A et CRA fonctionnent ainsi d'une manière analogue à celle des relais 8 et CR dans le groupe LC à la fin du premier cycle de la chaîne de comptage du groupe LC.
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Les relais 1A à 3A répètent alors aans cet ordre leur cycle de fonctionnement. Il est évident qu'on peut étendre encore davantage le code en ajoutant un autre groupe d'extension, le relais A du groupe N 2 s'excitant sur la vingt quatrième impulsion. Le circuit de ce relais vérifierait, dans le groupe N 1, que le relais 3A est excité, que le relais 4A est au repos et que le relais CRA est excité, pour être sur que la vingt-quatrième impulsion est bien l'impulsion appropriée pour exciter ce relais.
La commande des relais ae fonction polarisés, qui sont affectés aux impulsions 17 à 23, est analogue à celle déjà exposée pour les relais affectés aux impulsions 9 à 15. Pendant les impulsions 17 à 20; des circuits sont complétés successivement par les contacts travail des relais 1A à 4A et par les fils respectifs 217 à 220, pour fournir du courant aux relais ae fonction commandés pendant les impulsions correspondantes. Le courant est fourni à ces circuits alternativement par les contacts des relais F1R et G2R et par les fils 186 et 187.. Suivant le type de commande utilisé, les circuits de ces relais de fonction sont complétés, comme on l'a déjà expliqué, par les fils 225 à 230 et par d'autres contacts des relais F1R et G2R.
Il faut remarquer que le courant alimentant les fils 186 et 187 est coupé si les relais CR et SR ne sont pas excités. Pendant les impulsions 21 à 23, le courant venant des fils 186 et 187 est dérivé par des contacts de relais CRA vers des circuits complétés par d'autres contacts travail des relais 1A à 3A et par les fils 221 à 223. Puisque, dans le mode de réalisation préféré de l'invention, les impulsions 16 et 24 ne sont pas utilisées pour transmettre des fonctions de commande, les contacts des relais A, qui sont nécessaires à la station pour l'extension du code, ne sont pas utilisés pour commander l'arrivée du courant dans l'un quelconque des relais polarisés de commande de fonction.
Par exemple, les relais 2LHS et 2RHS sont commandés par le relais F1R de la même manière que le relais WZS, c'est-à-dire chacun par une impulsion momentanée produite au début de l'impulsion du code suivant immédiatement l'impulsion du code qui lui est affectée, autrement dit au début de l'impulsion suivant immédiatement l'impulsion dont le caractère commande le fonctionnement àe chacun de ces relais. On va supposer que la dixseptième. impulsion d'un code de commande, impulsion affectée à la commande du relais 2LHS, est longue; le relais F1R est donc excité.
Au début de la dix-huitième impulsion, un circuit se forme par la borne B, le contact normal a du relais R, le contact travail e du relais LBP, le fil 180, le contact c du relais S, le contact travail b du relais F1R, le fil 184, les contacts travail g et m des relais SR et CR, le fil 187, le contact repos h du relais CRA, le contact travail e du relais lA, le fil 217, l'enroulement supérieur du relais 2LHS de la droite vers la gauche, le fil 226, le contact travail c du relais F1R et la borne N. Le relais 2LHS passe par conséquent à sa position inverse. Si la dix-septième impulsion est courte, de sorte que le relais F1R reste au repos, ses contacts b et c inversent la direction du courant traversant l'enroulement supérieur du relais 2LHS et celui-ci reste en position normale ou passe dans cette position.
Les circuits du relais 2RHS, commandé par le caractère de la dix-neuvième impulsion, apparaissent également sur le dessin. Il faut remarquer que les relais 2LHS et 2RHS comportent également, à travers leurs enroulements inférieurs, un circuit local de rétablissement qui fonctionne, d'une manière que l'on décrira un peu plus loin, pour exciter ces relais dans le sens normal en réponse à la chute du relais de voie 1TR.
Le relais 4LHS est commandé d'une manière analogue par le relais G2R et par le circuit comprenant le fil 184, les contacts travail h et n des relais SR et CR, le fil 186, le contact repos 1 du relais CRA, le contact travail 2 du relais 2A et le fil 229. Puisqu'on a supposé, pendant l' exposé de la transmission du code de commande, que le levier 4GS de commande de signal se trouvait dans sa position de gauche, et que par conséquent l'impulsion 18 était longue, le relais 4LHS passe en position inverse.
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Le relais 4LHS est également commandé par le relais G2R en passant par le fil 186 et un contact travail f du relais 4A. Il faut noter cependant que dans ce circuit, c'est le contact travail j du relais CRA qui fournit du courant au contact travail du relais 4A. Ceci est nécessaire, puisque l'im- pulsion de courant destinée à actionner le relais 4RHS est reçue pendant la vingt-et-unième impulsion du code, au moment où le relais CRA a déjà été excité et se trouve maintenu excité comme on l'a expliqué précédemment.
Puisque le groupe de codage du poste central termine son action et revient à zéro sur la vingt-deuxième impulsion du code, le groupe de co- dage de la station doit en faire autant. Quand la vingt-deuxième impulsion du code de commande est atteinte, les relais de ligne R restent excités et les différents relais temporisés L à chaque station retombent en synchronis- me avec les relais correspondants du poste central. A la station sélection- née, comme on le voit sur la figure 2, la chute du relais LBP provoque cel- le des relais CR, CRA, SR et S, et d'un relais excité, quel qu'il soit, par- mi les relais de la chaîne de comptage. Dans le cas présent, ce relais se- rait le relais 2A. La chute du relais S place le dispositif dans l'état vou- lu pour recevoir un nouveau code.
Le relais IL est le dernier à retomber de tous les relais, et sa chute place le dispositif dans l'état voulu pour amorcer la transmission d'un code de contrôle, en supposant que le relais
SS décrit ci-après n'est pas excité.
Ceci complète la transmission d'un code de commande à partir du poste central et la réception de ce même code à la station sélectionnée.
Comme on l'a expliqué, les désirs de l'opérateur du poste central ont été pleinement satisfaits. Les relais polarisés de commande de fonction ont été actionnés, en réponse à la réception du code de commande, pour faire passer l'aiguille 3W en position inverse et le signal 4L en position d'ouverture, afin de permettre au train marchant vers l'ouest de se déplacer à travers l'enclenchement sur l'itinéraire désiré par l'opérateur. D'autre part, le signal 2R est fermé, de manière à arrêter le train marchant vers l'est et se rapprochant sur la voie 2AT.
Bien que le fonctionnement du relais polarisé de commande ait permis au signal 4L de passer en position d'ouverture, il est bien entendu que l'état de ce signal est aussi commandé en réalité par les conditions de la voie, y compris l'occupation ou la non occupation de la voie en avant et le long de l'itinéraire établi pour le train, ainsi que le fonctionnement et le verrouillage en position inverse de l'aiguille sur lequel le train doit passer. Des vérifications locales sont également effectuées par l'intermédiaire de différents circuits pour s'assurer que les signaux opposés sont en position de fermeture, c'est-à-dire que le signal 4R est fermé alors que le signal 4L est ouvert et que le signal 2RA est également fermé puisque l'aiguille 1W reste en position normale.
Différents autres circuits et différentes vérifications sont également utilisés pour s'assurer d'une manière complète que toutes les conditions de sécurité ont été réalisées sur l'itinéraire déterminé par la position des signaux.
Le dispositif de codage de station de la figure 2 peut également transmettre des codes de contrôle que le dispositif du poste central est capable de recevoir. Chaque code de contrôle comprend un nombre pair d'impulsions, dont la première est relativement courte. Les impulsions 2 à 8 sont disposées suivant différentes combinaisons de trois impulsions longues et de quatre impulsions courtes pour actionner différents relais de sélection F, G et S, au poste central et à la station, conformément aux différents indicatifs déjà décrits. Les impulsions 9 à 15 sont utilisées pour transmettre à partir de la station sept fonctions de contrôle.
L'un des buts de l'invention est de permettre au groupe de codage de station d'étendre l'action de sa cha:tne de comptage, de la même manière que le groupe de codage du poste central, pour fournir des impulsions supplémentaires et transmettre tous les contrôles à partir d'une station et pendant un seul code.
Ainsi, la seizième, la vingt-quatrième et la trente--deuxième impulsions, et
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d'autres impulsions analogues du code, sont utilisées pour étendre l'action de codage, en préparant des circuits permettant l'emploi de chaîna (le comptage d'extension, qui fournissent les impulsions 17 à 23,25 à 31 et d'autres groupes similaires pour transmettre au poste central les indications de contrôle. Les impulsions d'extension ne sont pas disponibles pendant un code de contrôle pour transmettre une fonction, puisque ces impulsions doivent être nécessairement des impulsions longues dans un code de contrôle.
Les impulsions 9 à 15, 17 à 23, 25 à 31, et les impulsions d'autres groupes analogues, peuvent cependant être rendues longues ou courtes pour indiquer l'état des dispositifs mobiles de la station. Le caractère de ces impulsions est enregistré initialement au poste central par un groupe de relais intermédiaires d'enregistrement 1R à 7R, qui sont utilisés de nouveau pendant chaque cycle d'extension de la chaîne de comptage. Les caractères enregistrés des différents groupes d'impulsions sont transférés aux groupes correspondants des relais de contrôle K, sur le panneau sélectionné du poste central, pendant la seizième la vingt-quatrième et les autres impulsions d'extension.
Comme on l'a indiqué précédemment, l'invention se propose également de permettre la sélection de l'impulsion paire suivante, comme impulsion finale du code de contrôle, à la suite du nombre réel des impulsions nécessaires pour transmettre toutes les indications de contrôle désirées. Ainsi, des connexions réglables et des circuits sont prévus, comme on le verra plus loin, pour permettre de terminer l'action de codage de la station et celle du poste central sur cette impulsion sélectionnée.
Un groupe typique des dispositifs de station a été représenté sur les figures 2d et 2e; ces dispositifs consistent en un groupe de relais de contrôle comprenant les relais d'emmagasinage de voie TKSR, les relais d'approche AR, les relais NWP et RWP de répétition d'aiguille en position normale et en position inverse, et les relais LHR et RHR de commande de signal. La commande de ces relais par les conditions de la voie et par les positions des dispositifs de voie peut être réalisée par un moyen quelconque bien connu. Pour plus de simplicité, on a représenté ces commandes par des lignes pointillées puisqu'elles ne font pas partie de l'invention.
Les relais répétiteurs de position d'aiguille sont représen- tés comme étant excités par des circuits complétés par des raccords mobiles, qui sont eux-mêmes commandés directement par la position des pointes d'aiguille.
Le dispositif de station est disposé de manière à amorcer automatiquement un code de contrôle en réponse à un changement de position de 1' un quelconque des relais de contrôle. Chaque code ae contrôle est emmagasiné pour la transmission, quana le circuit de ligne devient disponible, par la chute a'un relais ST de démarrage de station représenté sur la figure 2c. Ce relais ST est normalement maintenu excité par un circuit de maintien passant par la borne B, le contact repos e du relais S , le fil 182, le contact repos c du relais LB, le fil 183, le propre contact en position normale a et l'enroulement au relais ST, le fil 216, un contact b travail ou repos de chacun des différents relais ae contrôle de la figure 2d, le fil 224, un contact travail ou repos b de chacun des différents relais ae contrôle de la figure 2e et la borne N.
Pour garantir la chute du relais de démarrage, pendant la période brève où le circuit est ouvert durant le passage au contact b alun relais ae contrôle d'une position à l'autre position; sans qu'on ait besoin d'un réglage de ce contacts on utilise comme relais de démarrage un relais sensible du type polarisé. De plus, une réactance inductive 190 est connecté aux bornes ae l'enroulement au relais. Le courant emmagasiné dans la bobine de la réactance 190, quana le relais ST est excité, fournit une source ae contact inauit pour faire passer très rapiaement le relais ST à sa position inverse, en vue d'ouvrir son circuit
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de maintien, en réponse à une augmentation soudaine quelconque de la ré- sistance au circuit par suite du déplacement de l'un des contacts b des relais de contrôle.
Cette action se produit, même si un tel contact de re- lais de contrôle ne s'ouvre que pendant un temps presque nul. Ainsi, au- cun réglage de ces contacts n'est nécessaire.
* Pendant une action quelconque de codage à partir du circuit de ligne, l'excitation du relais LB conserve le circuit de maintien du relais
ST passant par la batterie et le contact travail du relais LB. Puisque le contact c du relais LB est un contact du type à continuité, le circuit maintien est continuellement maintenu pendant que le relais est excité ou au repos. Si la station particulière 234 n'a pas été sélectionnée par le code, le relais LB retombe éventuellement pour rétablir le circuit de main- tien défini dans le paragraphe précédent. Si la station 234 a été sélection- née par un code ae commande, de sorte que les relais S et SR ont été exci- tés, le relais LB reste également excité jusqu'à l'impulsion finale de 1' action de codage.
Comme on l'a expliqué précédemment, à propos de la ré- ception d'un code de commande, le relais LB retombe le premier, c'est-à-di- re avant les relais S et SR. Le circuit de maintien du relais ST passe a- lors par la borne de gauche de son enroulement, son propre contact travail a, le fil 183, le contact repos e du relais LB, le fil 182, le contact travail e du relais S, le fil 236, le contact travail c du relais SR et la borne 241. Puisqu'aucun courant n'est fourni à ce circuit de maintien à cet instant, un code de contrôle est emmagasiné automatiquement à la station après la réception d'un code quelconque de commande, puisque le relais ST est au repos.
Si l'on ne désire pas un rappel automatique, c'est- à-dire si l'on ne désire pas transmettre automatiquement un code de contrôle après la réception d'un code de commande à une station, on connecte la borne 241 au contact normal a du relais R par un fil tel que le fil 159 connecté au contact repos c du relais SR. Comme on l'a déjà indiqué, le relais R se trouve en position normale pendant la dernière impulsion du code de commande et le relais ST est maintenu jusqu'à ce que le relais S retombe pour rétablir le circuit de maintien primitif. Puisque le contact e du relais S est aussi un contact à continuité, le courant alimentant le relais ST dans le cas présent n'est pas coupé. Si le relais SR retombait avant le relais S, le fil 159 maintiendrait le circuit de maintien du relais ST jusqu'à la chute du relais S.
La connexion passant par le fil 159 et le contact normal a du relais R est également utilisée, comme on l'expliquera ultérieurement, pendant la remise normale à zéro du groupe LC de la station, à la fin d'un code de contrôle. Un code de contrôle, peut.aus- si être commencé, comme om leoverra plus loin, en transmettant un, code de vappel à partir du poste-central,' ce code permettant au relais ST de retomber après l'ouverture du contact travail c du relais LB.
On va décrire maintenant la transmission d'un code de contrôle par le dispositif représenté sur la figure 2. On suppose que ce code de contrôle est amorcé par le déplacement au-delà du signal 4L du train déjà mentionné et marchant vers l'ouest ; avoir franchi ce signal 4L ou- vert, ce train pénètre dans la section de voie 3T et le relais de voie 3TR se trouvant shunté retombe au repos. On suppose également que ce train marchant vers l'ouest occupe encore la section de voie 4AT au moment de la transmission du code de contrôle. Les positions des autres appareils ont été établies par le code de commande décrit plus haut.
L'ouverture du contact travail a du relais de voie 3TR ouvre le circuit de maintien normalement fermé du relais 3TKSR d'emmagasinage de voie, circuit passant par la borne B et le contact travail a au relais 3TKSR, et elle ouvre également le circuit d'excitation passant par la borne B et le contact travail b d'un relais MSTP. Le relais 3TKSR retombe et son contact b ouvre le circuit de maintien du relais ST, qui retombé par
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conséquent ce la ranière déjà décrite. La chute au relais ST ouvre son contact normal il et coupe ainsi le circuit d'excitation du relais MSTP, qui, est un relais répétiteur au relais de démarrage ST et aussi au maître-relais M.
Le circuit d'excitation au relais MSTP passe par la borne B, le contact repos f au. relais M, le fil 177, le contact normal c au relais ST, le fil 238, l'enroulement du relais MSTP et la borne N. On voit ainsi que le relais MSTP ne peut pas s'exciter de nouveau, une fois qu'il est retombé, tant que le relais M n'est pas retombé, pendant l'impulsion finale au code de contrôle. Il en résulte que le relais 3TKSR ne peut pas non plus s'exciter de nouveau avant l'impulsion finale du code de contrôle. En d'autres termes.9 le relais 3TKSR reste au repos jusqu'à ce que l'indication d' occupation de la voie ait été transmise au poste central. Ceci est nécessaire pour être sür que l'indication d'occupation de la voie est transmise, puisque les sections de voie telles que 3T sont très courtes.
Ainsi, si le circuit de ligne n'est pas disponible immédiatement pour transmettre le code de contrôle, le train peut être sorti de la section de voie 3T et le relais 3TR peut être excité avant que le code de contrôle ait été envoyé.
Cependant comme on l'a expliqué, le relais 3TKSR d'emmagasinage de voie emmagasine l'indication de contrôle jusqu'au moment où elle peut être transmise au poste central. A la station représentée, le relais 1TKSR reste excité par l'intermédiaire des contacts travail du relais de voie qui lui est associé.
Si le circuit de ligne est disponible, un circuit de démarrage est fermé en passant par la borne B, le contact inverse b du relais ST, le contact repos b du relais SS, le fil 147, le contact travail b d'un relais RP, le contact repos a d'un relais thermique de coupure COR, les contacts repos b des relais respectifs 1L et 2L, l'enroulement du relais M et la borne N. Le relais M s'excite, en complétant un circuit temporaire de maintien, qui passe par son propre contact travail a, le fil 166, le contact repos! du relais SR, le fil 167, les contacts repos e et c des relais respectifs LB et LBP, en parallèle avec les contacts repos b des relais -IL et 2L. Les contacts b et 51 du relais M inversent la connexion du relais R aux fils de ligne Y et Z.
Le contact travail d du relais M ferme également une dérivation à faible impédance passant par le contact repos f du relais LBP à partir de la ligne Y et aboutissant à la ligne Z. Les contacts travail b et c du relais M connectent directement les condensateurs du filtre passe-bas LPF sur les lignes, de sorte que ces connexions correspondent pendant la transmission à celles du filtre passe-bas correspondant du poste central. Normalement, l'impédance présentée sur les lignes par l'appareil de station est notablement augmentée, comme cela est désirable, en insérant une résistance élevée en série avec le premier condensateur et en déconnectant l'autre condensateur du circuit de ligne.
L'excitation du relais M complète aussi le circuit d'excitation du relais 1T. Ce circuit passe par la borne B, le contact inverse b du relais ST, le contact repos b du relais SS, le fil 147, le contact travail b du relais RP, le contact repos a au relais COR, le contact repos c du relais LBP, le contact repos f du relais LB, le contact travail e du relais M, le contact repos b du relais 2T, l'enroulement du relais 1T et la borne N. L' excitation du relais 1T commence la première impulsion du code. La fermeture du contact travail c du relais 1T ferme aussi le circuit d'excitation du relais 2T, qui s'excite également.
Quand le circuit de ligne est shunté par le relais M, le relais de ligne R associé retombe. L'augmentation du courant fourni par la batterie 77 au poste central permet aussi au transformateur RT, représenté sur la figure la,, de fournir une impulsion pour faire passer le relais OR en position inverse, sensiblement en synchronisme avec le relais R. Celui-ci actionne les relais temporisés associés et le relais 1. La fermeture du contact travail e du relais LB transfère le circuit temporaire de maintien du relais M et le fait passer par la borne B, le contact travail d du relais
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1T, le fil 178,le contact repos il. du relais S et le fil 179.
Au poste central, le relais OR actionne les relais temporisés OL, le relais 01 et le relais E, comme sur la première impulsion d'un code de commande. De plus, un circuit se forme par la borne B, le contact inverse a du relais OR, le contact repos h du relais OLBP, le contact repos b du relais OM, le fil 65,le contact repos c du relais OCS, le fil 66, l'enrou- lement du relais PC, le fil 17, le contact normalement fermé du bouton d' annulation CB représenté sur la figure le, et enfin la borne N. Le relais
PC s'excite par conséquent et ses contacts b et d inversent la polarité du courant fourni à la ligne, tandis que son contact travail e complète un circuit excitant un relais répétiteur PCP à chute lente.
La variation brusque du courant de ligne, variation due au fonc- tionnement du relais PC qui a changé la polarité de ce courant, n'excerce aucun effet sur le relais OR, et cela pour deux raisons. La première rai- son est que, quand le relais PC s'excite, le secondaire du transformateur RT est momentanément court-circuité par le contact travail c du relais PC et par le contact repos c du relais PCP. La deuxième raison est que l'enroulement inférieur du relais OR est excité dans le sens inverse au moyen du circuit passant par la borne B, le contact repos b du relais PCP, le contact travail 1 du relais PC, les contacts repos e des relais OM et OT, 1'enroulement inférieur du relais OR et la borne 0.
Le relais PC reste excité grâce à un circuit de maintien passant par la borne B, son propre contact travail a, le contact travail h du relais OLBP, la partie restante du circuit d'excitation de ce relais, circuit indiqué précédemment, le contact normalement fermé du bouton d'annulation CB et enfin la borne N. Le relais PC reste donc excité jusqu'à ce que le relais OCS s'excite lui-même sur l'impulsion finale du code.
Le shunt établi en dérivation sur les fils de ligne y et Z par le rdlais M de la station de transmission court-circuite également et fait retomber par conséquent les relais de ligne R aux stations plus éloignées du poste central. Si la station de transmission se trouve à une distance considérable du poste central, il est possible que le voltage entre les fils de ligne, voltage qui varie entre un maximum presque égal au voltage de la batterie 77 du poste central et à peu près zéro à l'endroit où le shunt est appliqué, reste suffisant pour maintenir les relais R excités aux stations voisines du poste central. Cependant, ces relais sont ramenés en position de repos par l'inversion de polarité de ligne effectuée par le relais PC.
Il en résulte que tous les relais de ligne R retombent à peu' près simultanément quand un relais quelconque M s'excite pour commencer un code, chaque relais R actionnant ses relais temporisés L et le premier relais de comptage 1. A chaque station où le relais M n'est pas actionné, le relais R reste au repos, en maintenant le relais 2L excité mais en permettant au relais IL de retomber pour exciter le relais SR; ensuite, les relais LP, LB, LBP, 1 et SR retombent dans cet ordre.
A la station de transmission, la fermeture du contact travail f du relais LB complète le circuit d'impulsion du relais 1T; ce circuit passe par la borne B, le contact repos b du relais CS; le fil 199, les contacts repos il. des relais 3A et lA, le fil 196, les contacts repos g des relais 7, 5, 3 et 1, le fil 168, le contact travail! du relais LB, le contact.!! du relais M, et ensuite, pour exciter le relais 1T, par le contact repos b du relais 2T, l'enroulement du relais 1T et la borne N. Quand le circuit d'impulsion fonctionne comme circuit de maintien du relais 1T, le contact repos b du relais 2T est remplacé par le contact travail b du relais 2T et le contact travail a du relais 1T en série.
r
Le relais 1T transmet un code par le fonctionnement de son contact b, Ce contact est rendu efficace pour transmettre le code de contrôle, quand le relais LBP s'excite sur la première impulsion du code pour
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ouvrir son contact repos! qui est en parallèle avec le contact travail 12 du relais 1T. Chaque fois que le relais 1T s'excite, un shunt à faible ré- sistance. se ferme par la ligne Y, le contact travail b du relais T, le contact travail à au relais M et la ligne Z.
En même temps, le circuit du relais R, qui passe par le fil Z maintenant positif, le contact travail d du relais M, le contact repos b du relais 1T, la résistance R3, l'enroulement du relais R, le contact travail 12 du relais M et le fil Y, est ouvert par le relais 1T au contact repos b de celui-ci; ainsi, le l'étais R retombe plus rapidement que s'il était simplement court-circuité par la fermeture du contact travail b du relais T.
Bien que la première impulsion d'un code de contrôle soit courte par comparaison avec la première impulsion d'un code de commande, elle est dependant légèrement plus longue que les autres impulsions courtes.
Cette première impulsion commence quand le relais M s'excite en fermant son contact travail d; cette fermeture se produit légèrement avant que le relais 1T ne s'excite; cette impulsion se termine quand le relais 1T retombe par suite de l'excitation du relais LB, qui ouvre par son contact repos 1 le circuit initial ne maintien du relais 1T; ceci se produit légèrement après que le relais 1 s'est excité pour ouvrir le circuit normal d'impulsion du relais 1T.
La réponse du dispositif de la station de transmission, réponse nécessaire pour permettre à la transmission de continuer, dépend également des conditions au poste central. Puisque les connexions du relais R à la ligne ont été inversées par le relais M, le relais R ne s'excite, pour commencer la deuxième impulsion, que si le relais PC a été excité pour in- verser la polarité au courant de ligne, en indiquant que le dispositif du poste central se trouve en état de réception, avec le relais OM au repos;
Les impulsions d'appel du code de contrôle sont engendrées par les relais 1T et 2T, ne la même manière que par les relais 01T et 02T pendant le code de commande déjà décrit.
Si l'on suppose que l'indicatif d' appel est 234, la secunde impulsion est prolongée par la fermeture d'un circuit de maintien du relais 2T. Ce circuit passe par la borne B, le contact repos 1 au celais S, le contact repos ± du relais F1R, une connexion réglable, le fil 132, le contact travail c du relais 2, le fil 235, le contact travail a du relais 2T, le contact repos c du relais 1T, l'enroulement du relais 2T et la borne N. Sur la seconde impulsion, le relais F1R s'excite en réponse à la chute des relais 2L et LP, les circuits étant analogues à ceux décrits pour le même relais pendant la réception d'un code de commanae à cette station. On entera cependant que le contact travail d du relais SR, dans le circuit indiqué précédemment, est remplacé maintenant par le contact repos d du relais LP.
Ainsi, l'excitation du relais F1R est retardée au-delà de l'excitation analogue de ce relais pendant la deuxième impulsion du code de commande. Ceci est nécessaire pour permettre des variations de réglage dans le temps entre cette station et le groupe dé codage du poste central, puisque c'est l'excitation du relais F1R qui amorce l'action destinée à mettre fin à cette deuxième impulsion du code.Autrement dit, quand le relais F1R s'excite, son contact repos f coupe le circuit de maintien du relais 2T, qui retombe par conséquent. Cette chute du relais 2T permet au relais 1T de s'exciter par son circuit d' impulsion et de mettre fin à la deuxième impulsion.
La troisième impulsion est ensuite prolongée par le fonctionnement du circuit de maintien du relais 1T. Ce circuit passe par la borne B, le contact repos f du relais S, le contact repos f du relais G2R, une connexion réglable, le fil 133, le contact travail ±. du relais 3, le fil 234,le contact travail a et l'enroulement du relais 1T, et enfin la borne N. Le relais 1T est alora maintenu excité, jusqu'à ce que le relais G2R s'excite à son tour pour ouvrir son contact repos f. Le circuit d'excitation
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du relais G2R est encore analogue au circuit servant à exciter ce relais pendant le code de commande.
Une fois de plus le contact travail 1 du
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reéais SR est remplacé par un contact repos ]2. du relais 1-P, de sorte que l'excitation du relais G2R est retardée pour laisser un temps suffisant à cette impulsion du code. Le relais 1T retombe alors pour terminer la troisième impulsion et pour commander la quatrième impulsion.
Comme la deuxième impulsion., la quatrième impulsion est prolongee par le fonctionnement d'un circuit de maintien du relais 2T. Le circuit servant à engendrer cette quatrième Impulsion de ligne est analogue à celui de la deuxième impulsion de ligne avec cette différence cependant qu'il ne comprend que le contact repos f du relais S, le fil 134 et le contact travail c du relais 4. Pendant la quatrième impulsion, le relais S sélecteur
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de station s'excite, en réponse à la chute des relais 2L et 1,P I,ar iin circuit analogue à celui du relais Finit. Tn s'excitant, le relais S complète un circuit, de maintien passant par son propre contact travail ,, le fil .t0, le contact travail z, du relais LBP et la borne B.
I.'ouverture du con- tact repos f du relais S permet au relais 2T de retomber, et celui-ci per-
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ret au relais IT de s'exciter pour commencer la cinquième impulsion.
Quand le relais S s'excite, son contact g transfère le circuit de maintien du relais M, du deuxième circuit temporaire à la borne B, à l'endroit du contact repos b, du relais CS, par l'intermédiaire du fil 199.Ce circuit de maintien est conservé jusqu'à ce que le relais CS s'exci- te sur la dernière impulsion du code de contrôle pour faire retomber le relais M, comme on l'expliquera un peu plus loin.
Au sujet du deuxième cir-
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cuit temporaire de maintien du relais M, circuit passant par le fil 7'9 et le contact travail , du relais 1T, il faut noter que, quand le relais VIT est retombé pendant le fonctionnement normal des premières impulsions du code da ecntio7 e, le relais R se trouvait dans sa position normale,de sorte Q"13 -:1'.1 courant était fourni au fil 'l719, pour maintenir le relais FUI excité.: er passant par 1e contact normal à du relais R et 1e contact repos d du relais 1T. Si le relais R n'est pas excité pour une raison quel-
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conque., qrard lp relais 1T retombe. le T'étais Fi perd son excitation et retombe X)1'l' 1ntf:rrOI1r>rb le code de contrôle.
Ceci serait appropriée puis- que le relais 1T et le relais R n'étant pas excités, les conditions sur le
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circju c'f ügne ou au poste central ne permettraient pas la réception du code de contrôle.
.Puisque le circuit d'impulsion du relais 1T fonctionne de la meme manière que celui déjà décrit du relais 01T, il est clair que, si le relais S est actionné sur la quatrième Impulsion, les impulsions 5 à 3 sont des impulsions courtes engendrées par le fonctionnement du relais 1T utilisant son circuit normal d'impulsion, en conjonction avec la chute du relais 2T. Le relais CR est excité pendant la huitième impulsion par 1'intermédiaire du circuit passant par la borne B, le contact travail h du relais S, le fil 146, le contact travail ± du relais 8, l'enroulement du relais CR et la borne N.
Le relais CR s'excite en fermant, par son propre
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contact travail a.son circuit de maintien, qui passe par la borne B, le contact travail à du relais LBP, la résistance R7.0 et le fil 160.
Quand le relais CR s'excite, il ferme un circuit d'excitation du relais de démarrage ST ; ce circuit passe par la borne B, le contact
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travail ;L du relais M, le fil 232, le contact travail 2 du relais CR, le contact travail a. du relais 8, le fil 206, l'enroulement du relais ST et la résistance 190 en parallèle, le fil 216, les contacts travail ou repos
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, des différents relais de contrôle représentés sur les figures 2çj, et 2s le fil 224 et la borne N.
Le relais ST s'excite alors et établit un cir-
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cuit temporaire de maintien qui passe par la borne B, le contact travail g., du relais LB, le fil 183, son propre contact en position normale a, l'enroulement du relais, la réactance 190; et qui coïncide ensuite avec le circuit Indiqué plus haut pour aboutir à la borne N.
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L'excitation du relais CR sur la huitième impulsion établit auxsi des circuits pour rendre les sept impulsions suivantes disponibles en vue a'indiquer l'état des appareils de voie ou dispositifs mobiles dont on a parlé précédemment. En fermant ses contacts travail e et f, le relais CR établit les connexions passant par la borne B, les différents contacts a des relais de contrôle de la figure 2d, les fils 139 à 145, et complétées successivement par les contacts travail f des relais 1 à 7 sur les impulsions 9 à 15 du code, afin de maintenir excité le relais 1T ou le relais 2T suivant le cas, jusqu'à la chute du relais LP. Une telle impulsion longue du code peut alors être considérée comme une indication positive, puisque le dispositif mobile està l'état actif.
Par exemple, puisque l'aiguille 1W se trouve aans sa position normale commandée par l'opérateur pendant le coae de commande, la neuvième impulsion du code de contrôle doit être longue pour transmettre ce renseignement au poste central. Le relais 1NWP, représenté sur la figure 2d, est excité, le courant d'excitation étant fourni par la borne B et passant par le raccord mobile associé à cette aiguille, qui occupe maintenant la position représentée sur le dessin, par l'enroulement du relais et. la borne N.
Le circuit destiné à maintenir le relaia 1T excité, dans le but de rendre longue la neuvième impulsion, passe par la borne B, le contact travail a du relais 1NWP, le fil 139, le contact travail! du relais 1, le contact travail e du relais CR, le fil 161, les contacts travail en parallèle c du relais LP et e du relais 1L, le contact travail a et l'enroulement du relais 1T, et enfin la borne N. Le relais 1T est ainsi maintenu excité, jusqu'à ce que le relais LP retombe en engendrant une neuvième impulsion longue.
De même, la quatorzième impulsion est rendue longue en maintenant le relais 2T excité par du courant fourni par la borne B au contact repos a au relais 4AR (figure 2d), ce relais étant shunté et ramené au repos par le train que l'on a supposé occuper la section de voie 4AT. Le circuit de maintien du relais 2T passe par le fil 144, les contacts travail f des relais 6 et CR, le fil 162, les contacts travail e en parallèle des relais 2L et LP, le contact travail a au relais 2T, le contact repos ±. du relais 1T, l'enroulement du relais 2T et la borne N. Le relais 2T reste excité jusqu'à ce que le relais LP retombe et ouvre son contact travail e en engendrant une quatorzième impulsion longue.
La quinzième impulsion doit être également longue pour indiquer que l'aiguille 3W est en position:' inverse commandée 'par l'opérateur pendant le code de commande. Le relais 3RWP représenté sur la figure 2d est excité par du courant fourni par la borne B et passant par le raccord mobile associé à cette aiguille, qui occupe maintenant la position représentée en trait pointillé sur le dessin, ainsi que par l'enroulement ce relais pour aboutir à la borne N. Le circuit de maintien du relais 1T est analogue à celui utilisé pour maintenir excité ce même relais pendant la neuvième impulsion longue, avec cette différence cependant que le contact travail a du relais 3RWP, le fil 145 et le contact travail ! du relais 7 se trouvent dans le circuit.
Les impulsions 10 et 12 de ce code de contrôle seront courtes, puisque les sections de voie respectives 1T et 2AT ne sont pas occupées. Cependant, si le train marchant vers l'est et approchant de l'enclenchement occupait cette section de voie 2AT avant la transmission de la douzième impulsion, l'indication de cette occupation serait transmise avec ce code de contrôle. Si cette indication est transmise, il est possible, comme on l'expliquera dans un instant, qu'un second code soit amorcé par cette indication.
Pour transmettre au poste central les indications de contrôle fournies par les relais représentés sur la figure 2e, il est nécessaire d' étendre l'action de codage au-delà de sa terminaison courante sur la seizième impulsion. Ceci est encore réalisé, comme pour le code de commande, en étendant la chaîne des relais ae comptage. On utilise, pour augmenter
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la longueur du cocte de contrôle, le même groupe d'extension qui a été uti- lisé pour étendre l'action de codage après la réception d'un code de com- mande. Chaque groupe d'extension ajoute encore au code huit impulsions, dont sept sont disponibles pour la transmission d'indications de contrôle.
La seizième et la vingt-quatrième impulsions, ainsi que les impulsions a- nalogues, ne sont pas disponibles pour la transmission des codes, mais ser- vent seulement à préparer des circuits pour les chaînes de comptage d'ex- tension.
Pendant l'impulsion 16 du code, le relais A du groupe d'extension est excité par le même circuit, décrit précédemment, que pendant la récep- tion du code de commande. Ce circuit vérifie que les relais 7 et CR sont excités et que le relais 8 ne l'est pas ; en d'autres termes, il vérifie qu'il s'agit bien de l'impulsion appropriée à l'excitation du relais A.
Cependant, la seizième impulsion d'un code de contrôle doit toujours être longue, à cause d'une certaine action nécessaire de relais au groupe de codage du poste central. Le courant est fourni par la borne B et passe par le contact travail c du relais A, le fil 198, le contact travail f du relais CR, ainsi que par le circuit de maintien précédemment défini du relais 2T. Ce dernier relais est maintenu excité jusqu'à la chute du relais LP. Le relais 2T étant maintenu excité, le relais 1T reste au repos pour engendrer une seizième impulsion longue. Après la chute du relais 2T, le relais 1T s'excite pour commencer la dix-septième impulsion. Comme précédemment, le relais A prépare un circuit pour exciter le relais lA pendant la dix-septième impulsion.
L'action de la chaîne de comptage du groupe d'extension est la même que précédemment. Le relais CRA s'excite sur la vingtième impulsion pour ramener en arrière l'action de codage et pour utiliser de nouveau les relais lA, 2A et 3A. Comme précédemment, si l'on a besoin d'impulsions en supplément des vingt quatre impulsions maintenant disponibles, on prévoit un deuxième groupe d'extension, dont le relais A est excité pendant la vingt-quatrième impulsion par le circuit défini précédemment, qui comprend le contact travail h du relais 3A, le contact travail e du relais CRA, et le contact repos e du relais 4A.
Les impulsions 17 à 23 sont disponibles pour transmettre au poste central les indications supplémentaires émises par la station. Le courant est fourni de nouveau par les contacts travail a des différents relais de contrôle représentés sur la figure 2e, les fils 209 à 215 inclusivement, et les contacts travail des relais lA à 4A. Les contacts f et g du relais CRA servent à différencier les contacts travail des relais lA, à 3A, qui sont utilisés respectivement pendant les impulsions 17 à 19 et 21 à 23. On remarquera que le contact travail d du relais 4A est connecté directement au fil 198.
Ceci est nécessaire puisque le relais CRA s'excite pendant cette vingtième impulsion, de sorte que ses contacts de transfert doivent être court-circuités par le circuit servant à maintenir le relais 2T excité pendant cette impulsion, si l'on désire que l'impulsion soit longue. D'autre part, puisque le relais 4A n'est utilisé à cet effet qu' une seule fois pendant l'action de codage, il n'est pas nécessaire de différencier les deux contacts travail de ce relais.
Quand le signal 4L a été ouvert par le dispatcher pendant le code de commande,par exemple, le relais 2T a été maintenu excité, pendant le code de contrôle suivant immédiatement, par l'intermédiaire de circuit passant par la borne B, le contact travail ± du relais 4LHR représenté sur la figure 2e, le fil 210, le contact travail c du relais 2A, le contact repos du relais CRA, le fil 198, le contact travail 1 du relais CR, et le circuit de maintien précédemment défini du relais 2T. Cependant, quand le train a franchi le signal 4L qui était ouvert, le signal est revenu en position de fermeture et le relais 4LHS est revenu à sa position normale.
Le circuit produisant cette dernière opération passe par la borne B, le
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contact repos c du relais 3TKSP, les enroulements inférieurs en série des relais 4RHS et 4LHS dans le sens de la gauche vers la droite, et enfin la borne N. Le relais 4LHS perd par conséquent son excitation. Ainsi, pendant le code de contrôle que l'on vient de décrire, l'impulsion de code 18 est courte, puisqu'aucun courant n'alimente le circuit de maintien du relais 2T.
La seule impulsion longue du groupe d'extension de code dans le code de contrôle considéré est la vingt-et-unième impulsion, le circuit de voie 3T étant occupé. Le circuit maintenant le relais 1T excité pendant cette impulsion passe par la borne B, le contact repos a du relais 3TKSR, le fil 213, le contact travail d du relais lA, le contact travail f du relais CRA, le fil 197 le contact travail e du relais CR, le fil 161 et le reste du circuit de maintien précédemment défini du relais 1T. Celui-ci reste ainsi excité jusqu'à ce que le relais LP retombe en supprimant l'excitation du relais 1T. Celui-ci retombe par conséquent pour mettre fin à la vingt-et-unième impulsion.
Comme on peut le voir en considérant la figure 2e, on n'a pas besoin à cette station des impulsions 22 et 23, puisqu'il n'y a pas d'autres indications de contrôle à transmettre au poste central. Le code peut donc se terminer après la vingt-et-unième impulsion, de manière à conserver un temps de codage sur le circuit de ligne. Pour remettre correctement à zéro l'équipement du poste central, ainsi que les équipements de cette station et des autres stations, le code doit se terminer encore avec les relais de ligne R en position normale. Cette sujétion limite l'impulsion finale d'un code de contrôle uniquement aux impulsions paires. Ainsi, à la station représentée sur la figure 2, le code de contrôle se termine sur la vingt-deuxième impulsion.
Pour terminer le code de contrôle, le relais d'arrêt de code CS doit être excité sur l'impulsion finale en parallèle avec le relais particulier de chaîne de comptage correspondant à cette impulsion; autrement dit, le relais CS doit devenir le relais final de la chaîne de comptage.
Pour que les groupes de codage soient identiques à toutes les stations, on prévoit des connexions réglables passant par les contacts travail h des relais 1, 3, 5, 1A et 3A, ou par le contact travail b du relais 7 si le code doit se terminer sur la seizième impulsion comme pour l'excitation du premier relais A, afin d'exciter le relais CS sur l'impulsion de code désirée. Puisque le code doit se terminer sur la vingt-deuxième impulsion à cette station,les connexions réglables destinéesà exciter le relais CS sur l'impulsion finale du code sont réalisées de manière à inclure le contact travail h du relais lA.
Quand la vingt-deuxième impulsion est atteinte, le relais R de la station de transmission passe en position normale, en excitant le relais CS au moyen d'un circuit passant par la borne B, le contact normal a du relais R, le contact travail e du relais LBP, la résistance R9, les fils 158 et 205, les contacts repos,!! des relais 4A et A, le contact travail h du relais lA, le contact travail d du relais CRA, une connexion réglable, le fil 200, le contact travail h du relais M. le fil 188, le contact travail .1 du relais CR, le fil 131, le contact travail b du relais LB, le fil 148, l'enroulement du relais CS et la borne N. Quand le relais CS s'excite., il complète un circuit de maintien passant par le fil 148, le contact travail b du relais LB, le fil 131, son propre contact travail a et le fil 158.
Le relais CS ouvre son contact repos b pour déconnecter la borne B du fil 199 et en même temps du fil 178 par l'intermédiaire du contact travail g du relais S. Le relais 1T reste ainsi au repos quand le relais lA retombe pour fermer son contact repos g dans le circuit normal d'impulsion du relais 1T. Le relais M retombe également en inversant les connexions
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de ligne par ses contacts b et d, afin de rendre le relais R sensible main- tenant uniquement au courant de ligne d'une polarité normale.
Au poste central, le relais OR passe en position normale en exci- tant le relais OCS. Celui-ci, en ouvrant son contact repos c, fait retom- ber le relais PC, en rétablissant ainsi la polarité normale de ligne, de sorte que le relais R de cette station reste excité après la chute du relais M.
On décrira plus complètement un peu plus loin cette action de relais au poste central. Il suffit de dire ici que le relais PC fait retomber le re- lais PCP et que le relais OR fait retomber les relais 02L, OLP, OLB, OLBP et 01L dans cet ordre.
Le relais OR reste dans sa position normale et n'est pas affec- té par le fonctionnement du relais PC parce que, quand ce changement de polarité de ligne se produit, le secondaire du transformateur RT est court- circuité par le contact repos,2 du relais PC et par le contact travail c du relais PCP. Le relais OR est aussi maintenu excité dans le sens normal., jusqu'à ce que le relais PCP retombe par l'intermédiaire du circuit pas- sant par la borne 0, l'enroulement inférieur du relais OR, dans le sens de la gauche vers la droite, le contact repos e des relais 01T et OM, le contact repos f du relais PC, le contact travail a du relais PCP et la borne N.
Le rétablissement de la polarité normale de ligne par le relais PC provoque l'excitation des relais de ligne R à toutes les autres stations.
A ces stations, les relais 1L, LP et LBP s'excitent, tandis que les relais 2L, LP, LE, LBP et 1L retombent ensuite dans cet ordre.
A la station de transmission, même si le relais M retombe exac- tement à l'instant où la polarité de ligne redevient normale, le relais R peut être momentanément privé d'excitation. Cependant,puisque le relais CS est excité, ses contacts travail c et d connectent ensemble respectivement, par les fils 170; 171 et 173, 174, les contacts en position normale et en position inverse a et b du relais R, de sorte que les circuits commandés par ce relais restent dans le même état que si le relais R restait excité.
En conséquence, les relais temporisés L de cette station retombent dans l'ordre, sensiblement en synchronisme avec ceux du poste central et légèrement en avance sur ceux des autres stations. Le relais CS est remis en position de repos par l'ouverture de son circuit de maintien au contact travail b du relais LB. Les relais CR, CRA et S retombent quand le contact travail a du relais LBP s'ouvre pour déconnecter du fil 160 la borne B.
On voit, d'après l'exposé précédent, que tous les groupes de codage sont ramenés en position normale et placés dans l'état approprié de réception avant la chute des relais 01L et IL, pour mettre le système en état de transmettre le code suivant.
La chute du relais M complète un circuit d'excitation du relais MSTP représenté sur la figure 2e. Ce relais, qui est un répétiteur des relais M et ST, est excité par un circuit passant par la borne B, le contact repos i du relais M, le fil 177, le contact normal c du relais ST, le fil 238, l'enroulement du relais MSTP et la borne N. Le relais MSTP s'excite et prépare des circuits pour exciter les différents relais TKSR, et plus spécialement le relais 3TKSR dans le cas présent, quand le relais correspondant TR est excité de nouveau. Le circuit d'excitation du relais 3TKSR passe par la borne B, le contact travail b du relais MSTP, le contact travail a du relais 3TR, l'enroulement du relais 3TKSR et la borne N.
Ainsi, quand le train sort de la section de voie 3T, de sorte que le shunt est supprimé et que le relais 3TR s'excite, le relais 3TKSR peut également s' exciter. Ceci fait naturellement retomber de nouveau le relais ST en amor- çant un nouveau code. Si le relais 3TR est déjà excité quand la transmission
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du code ae contrôle est terminée et si le relais MSTP s'excite, le relais 3TKSR s'excite immédiatement. Puisque la chute résultante du relais ST provoque aussi la chute du relais MSTP, on ajoute un condensateur C en parallèle avec 1en.roulement du relais 3TKSR, pour réaliser une réserve d'énergie suffisante et capable ae compléter l'excitation de ce relais aans ces conditions.
Quand le relais 3TKSR est excitée il complète un circuit de maintien passant par la borne B, son propre contact travail a, le contact travail a au relais 3TR, l'enroulement du relais 3TKSR et la borne N. L' emploi de ces relais d'emmagasinage d'indication de voie, tels que le relais 3TKSR, assure la transmission au poste central o@es indications d'occupation de voie pour ces sections courtesdans le but d'enregistrer une telle occupation au poste central au moyen d'aimants inscripteurs prévus couramment dans les installations de ce genre.
Chacun des différents relais TKSR commande aussi un circuit pour ramener en position normale les relais de commande de signaux à maintien magnétique, quand un train pénètre dans une section de voie et fait retomber le relais correspondant TR. On empêche ainsi les signaux de revenir automatiquement en position d'ouverture quand un train évacue une section courte de voies sans avoir besoin de relais répétiteurs supplémentaires.
Les circuits servant à remettre en position normale les relais de commande de signaux et dont l'un a été défini précédemment apparaissent avec évidence sur le dessin.
Un changement de position de l'un des relais de contrôle peut se produire pendant la transmission du code ae contrôle que l'on vient de décrire. Si ceci se produit avant la transmission de l'une quelconque des impulsions de contrôle c'est-à-dire avant la neuvième impulsion, le relais ST s'excite de nouveau sur la huitième impulsion et un seul code est transmis. Puisque le circuit d'excitation du relais ST est ouvert au début de la neuvième impulsions le circuit temporaire de maintien, par lequel le relais ST est maintenu excité, s'ouvre, pour faire retomber de nouveau ce relais si un changement de position de l'un quelconque des relais de contrôle se produit après la transmission de la huitième impulsion. Ainsi, un nouveau code ae contrôle est transmis pour indiquer la nouvelle condition.
Ceci se produit même si la nouvelle indication a été déjà incluse dans le code initiale comme on 1?avait supposédans la description précédente de la transmission de l'indication d'occupation pour la section de voie 2AT sur la douzième impulsion du code.
Comme on l'a indiqué précédemment, quana le relais LB retombe et avant la chute du relais S, le relais ST est maintenu excité par le circuit temporaire de maintien qui passe par la borne B, le contact normal a du relais R, le fil 159, le contact repos c du relais SR, le fil 236, le contact travail e du relais S, le fil 182, le contact repos c du relais LB, le fil 183,le contact normal a et l'enroulement du relais ST, le fil 216, le circuit indiqué précédemment du relais ST et la borne N. Cependant, il peut arriver également que, par suite d'un défaut, la transmission du code de contrôle soit interrompue et qu'en conséquence le groupe de codage du poste central ne termine pas son action de codage en même temps que la fin du code à la station.
Quand le relais CS est excité à la station, pour faire retomber le relais M, le groupe de codage du poste central commence une "chute" normale, avec le reîais PC encore excité. Celui-ci maintient la polarité inverse au circuit de ligne, de sorte que les relais R sont maintenus en position inverse. Ainsi, quand le relais LB retombe, le circuit temporaire de maintien du relais ST est ouvert au contact normal a du relais R, de sorte que le relais ST perd son excitation et retombe pour emmagasiner un autre code de contrôle qui sera transmis dès que le circuit de ligne sera disponible. Si le relais OCS du groupe OLC s'excite en avance sur le relais CS de la station, le relais PC au poste central retombe en rétablissant la polarité normale du circuit de ligne.
Le relais R est ensuite excité avec la polarité inverse par suite de l'inversion de ses
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connexions de ligne effectuée par les contacts du relais M. Le groupe LC de la station ne peut pas terminer son action de codage et s'arrête avec le relais R en position inverse. Quand le relais LB retombe, le circuit temporaire de maintien du relais ST s'ouvre de nouveau et ce relais retom- be pour emmagasiner le code de contrôle. Ainsi, si un défaut de ligne em- pêche les groupes OLC et LC de terminer leur action de codage simultanément, le relais de démarrage de la station retombe pour emmagasiner un au- tre code de contrôle et pour garantir que le code tout entier est reçu au poste central.
Ce n'est que si le groupe LOC complète son action de codage au moment voulu, de manière que le relais PC rétablisse la polarité normale du circuit de ligne, que le refais ST de la station est maintenu excité par le circuit de maintien jusqu'à ce que le relais S retombe pour compléter le circuit permanent de maintien.
On va décrire maintenant le fonctionnement du dispositif du poste central (figure 1) pendant la réception d'un code de contrôle. Il est bien entendu que le relais OR passe, par l'intermédiaire du transformateur RT, en position de droite ou inverse sur chaque impulsion impaire et en position de gauche ou normale sur chaque impulsion paire. Le relais OR actionne ainsi ses relais temporisés et de comptage par l'intermédiaire des impulsions du code, en synchronisme avec les relais correspondants de la station de transmission.
Sur la première impulsion, les relais 01L, 01, E, PC et PCP s' excitent, comme on l'a déjà expliqué, de même que les relais 02L, OLP, OLB et OLBP. Cependant, le relais 01L ne retombe pas parce que la première impulsion est relativement courte. Certains relais sélectionnés, parmi les relais F, G et S du poste central, s'excitent sur les impulsions correspondant aux chiffres de l'indicatif de la station. Dans le cas présent, en réponse à l'indicatif d'appel 234, les relais 2F et 23G sont actionnés sur les impulsions 2 et 3 et les relais 234S et SP sur l'impulsion 4.
Dans les conditions de réception, le contact repos d du relais OLP, dans les circuits de ces relais, est court-circuité par le contact travail f du relais PCP, de sorte que ces relais sont excités sur les impulsions lon- gues, après la fermeture du contact repos 1 des relais respectifs 01L ou 02L.
L'excitation du relais PCP prépare également un circuit passant par la borne B, les contacts travail c des relais 01L et 02L, le contact travail e du relais PCP, le fil 59, le contact travail c du relais SP, 1' enroulement supérieur du relais KSP du poste central répétiteur du relais S et la borne N. Puisque le relais SP est excité par l'intermédiaire d'un contact repos du relais 01L ou 02L, le circuit du relais KSP est maintenu ouvert sur l'impulsion pour laquelle les relais S et SP sont actionnés, et se ferme dès que les relais 0-IL et 02L sont excités tous les deux au début de l'impulsion qui suit le chiffre final de l'indicatif d'appel, c'est-àdire sur la cinquième impulsion quand l'indicatif est 234. Quand le relais KSP s'excite,
il complète un circuit de maintien par son propre contact travail a, son enroulement inférieur, le fil 60, le contact travail a du relais OLBP et la borne B. Ce relais KSP prépare des circuits qu'on défi.... nira un peu plus loin pour interrompre le code de contrôle, si une quatrième impulsion longue est reçue pendant cette portion du code affectée à la sélection de la station, c'est-à-dire pendant les huit premières impulsions, Il prépare également un circuit, qu'on décrira ultérieurement, pour exciter les différents relais de livraison commandant la livraison aux panneaux appropriés du dispositif des indications de contrôle reçues.
Le relais OCR s'excite' sur la huitième impulsion comme on l'a indiqué précédemment. Le contact travail! du relais PCP maintient la connexion passant par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, les contacts repos d des relais 01L et 02L et les fils 63 et 64, après que le relais OCR s'est excité. La fermeture des contacts travail b et d du relais OCR prépare
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des circuits passant par ces fils 63 et 64 et par les contacts travail e des relais 01 à 07 inclusivement, grâce à quoi une série de relais intermédiaires d'enregistrement Rl à R7 sont rendus sensibles au caractère des impulsions 9 à 15 du code.
En d'autres termes, quana la borne B est connectée à l'un quelconque des fils 139 à 145 (figure 2c) par un contact de relais de contrôle, l'impulsion correspondante du code transmis est prolongée, c'est-à-dire qu'une indication positive de contrôle est transmise, et le relais correspondant., parmi les relais R1 à R7, est excité au poste central.
Par exemple, si la neuvième impulsion est longue, comme on l'avait supposé pendant la description du code de contrôle, le relais 01L retombe en fermant ses contacts repos, de manière à compléter un circuit passant par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, le contact travail f du relais PCP, le contact repos d du relais 01L, le fil 63,le contact travail b du -!* relais OCR, le contact travaile du relais 01, l'enroulement du relais Rl et la borne N.
Le relais Rl s'excite et complète un circuit de maintien passant par la borne B, le contact repos b du relais RR représenté sur la figure la$ le contact travail .1. du relais OLBP, le fil 76, le contact travail a et l'enroulement du relais R1 et enfin la borne N.Le relais R1 ferme également son contact travail b pour connecter la borne B au fil 49. Il faut remarquer que le relais RR de remise à zéro de l'enregistrement n'est pas excité avant ce moment, le circuit d'excitation comprenant le relais travail c du relais 16.
Puisque la quatorzième impulsion du code de contrôle a été également supposée longue, le relais R6 s'excite de même sur cette impulsion par un circuit analogue à celui du relais R1, mais comprenant le contact repos d du relais 02Ls le fil 64, le contact travail d du relais OCR et le contact travail e du relais 06. Le circuit de maintien du relais R6 est le même que celui du relais R1, avec cette différence cependant qu'il comprend le contact travail a du relais R6. La quinzième impulsion étant longue, le relais R7 est excité par un circuit analogue à celui du relais Rl et appa- raissant avec évidence sur le dessin.
Sur la seizième impulsion qui est longue, le relais 16 s'excite par le même circuit, que celui décrit précédemment à propos du code de commande, Quand il s'excite le relais 16 ferme un circuit comprenant la borne B, les contacts travail c des relais 01L et 02L, le contact travail e du relais PCP, le fil 59, les contacts travail c des relais OCR et KSP, le fil 93, les contacts travail d des relais 234S et 16, le fil 109, l'enroulement du relais de livraison associé 234D et la borne N. Le relais 234D s'excite par conséquent pour permettrele fonctionnement des relais de contrôle k, du groupe qu'il commande, conformément aux positions des relais d'enregistrement Rl à R7.
Le relais 234D ouvre les circuits de maintien de ces relais K par ses contacts repos a à g inclusivement, et prépare les circuits d'excitation de ces relais par l'interméniaire des contacts travail similaires. Ces circuits d'excitation passent par les fils 49à 55, les contacts travail b des relais respectifs Rl à R7 et la borne B, les positions de ces derniers relais indiquant la position des relais de contrôle de station du groupe commanaant la transmission du-code, On a déjà expliqué par exemple que le relais Rl se trouve en position d'excitation, puisque la neuvième impulsion est longue. Un circuit se forme alors par la borne B, le contact travail b du relais R1, le fil 49, le contact travail a du relais 234 D, l'enroulement du relais 1NWK et la borne N.
Puisque les relais R6 et R7 sont également excités, les relais 4AK et 3RWK s'excitent par des circuits analogues.
Quand certains relais quelconques de contrôle de la figure 1d sont excités, comme on vient de l'expliquer, ils provoquent l'allumage de lampes sur le panneau du poste central pour fournir une indication visuelle des contrôles positifs transmis par la station. Par exemple, l'excitation des relais 1NWK produit respectivement l'allumage des lampes 1NWE et
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3RWE. De même, l'excitation du relais 4AK allume la lampe 4AE dans le schéma des voies. Les circuits fournissant le courant aux lampes par les contacts travail des relais de contrôle apparaissent avec évidence sur le dessin. L'opérateur est ainsi prévenu que l'aiguille 1W est en position norma- le, que l'aiguille 3W est en position inverse et que la section de voie 4AT est occupée.
Le système des relais de contrôle et des lampes indicatrices représenté sur la figure 1d est un système typique de signalisation de telles indications. Il est évident qu'on peut utiliser à cet effet d'autres procédés. On peut également ajouter des indications de contrôle et des en-
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registremea1s supplémentaires, comme on le voit sur la figure le. du bre- vet américain 2.411.375 mentionné plus haut. On voit sur ce dessin des styles enregistreurs, des sonnettes et des vibreurs fournissant des indica- tions audibles ou un enregistrement permament. Ces dispositifs peuvent aus- si être utilisés dans l'installation conforme à la présente invention.
Puisque ces circuits indicateurs ne font pas partie de l'invention, on les a représentés aussi simplement que possible ; le seul but de montrer le résultat final des codes et le fonctionnement des groupes de codage représentés ici.
Il faut remarquer que le circuit d'excitation du relais 234D passe d'abord par le contact travail 51 du relais 234S et ensuite par le contact travail 51 du relais 16. De cette manière, le circuit représenté sur la figure le est simplifié. Cependant, dans la pratique actuelle, la position de ces deux contacts est généralement inversée de manière à réduire le nombre des contacts nécessaires sur le relais 16. Puisque chacune des trente-cinq stations possibles sur un circuit de ligne doit être représen- tée par un relais D, trente-cinq circuits analogues d'excitation peuvent être nécessaires au poste central.
Il devient alors plus simple de connecter le fil 93 au talon du contact à du relais 16, ce contact en position travail au contact travail d de chacun des trente-cinq relais S possibles, doivent être prévus de toute façon pour la sélection des stations, et enfin ces derniers contacts à l'enroulement du relais correspondant D. Pour les stations exigeant des codes de contrôle d'une longueur considérable, un contact travail g d'un relais 24 et éventuellement un contact d'un relais 32 doivent être connectés chacun en parallèle avec le contact travail d du relais 16,afin de fournir des circuits d'excitation pour les relais DA et DB de ces stations.
Par exemple, quand le poste central reçoit un code de contrôle de la station 267,dont les codes de contrôle ont une longueur de vingt-six impulsions, comme on le montrera un peu plus loin à propos des circuits d'arrêt du code, un circuit se forme sur la vingt-quatrième impulsion ; ce circuit est analogue à celui déjà Indiqué pour le relais 234 D et comprend le fil 93, le contact travail d du relais 24, un contact travail d'un relais 267S, l'enroulement du relais 267 DA et la borne N. Le relais 267D s'excite et complète des circuits pour livrer les indications reçues pendant les impulsions 17 à 23. Comme on l'a montré pour la station 234, le relais 234DA s'excite cependant sur la dernière impulsion du code de contrôle, comme on le verra un peu plus loin.
Puisque l'impulsion 16 du code de contrôle est longue, le relais 02L retombe. L'ouverture du contact travail c du relais 02L ouvre le circuit d'excitation du relais 234 D qui retombe par conséquent. IL en résulte que les différents relais de contrôle sont déconnectés des contacts travail des relais Rl à R7 inclusivement. Les différents relais de contrôle K, qui ont été excités par les contacts travail du relais 234D, se main-
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tie:oent-lIlàimtenmrt l exci:t#-s"1}!1à:t'll'1!ê mt' pasBo-e pr '.:bIt"':'oorJ1llEf'iirr""'let13 propres contacts travail,-et les contacter repos corr 3s'>fin,rel&iOa 234D. Il-,en tésulte.-que les :S...ndfucatio118 de co:Rtr<31e, reçues.. de la S1;erU. sont maintanues.
Puisque le code de contrôle transmis par la station 234 comprend plus de seize impulsions, des impulsions supplémentaires doivent être éga-
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lement prévues au poste central, de manière à recevoir ce code de contrôle particulier. Ceci est réalisé de la même manière que pour l'addition d'impulsions pendant le code de commande. Le groupe ae codage du poste central utilise encore les relais 16, 17-21, 18-22, 19-23 et 20 pour ajouter des impulsions, ces relais étant ajoutés à la chaîne de comptage du groupe OLC.
Ces relais s'excitent dans l'ordre après le relais 16. Le relais 20 complète un circuit d'excitation du relais OCRA, et les relais 20 et OCRA provoquent alors une action de répétition des relais 17-21, 18-22 et 19-23.
L'action de codage de ces relais d'extension fournit les impulsions 17 à 23.
Au début de l'impulsion 17, quand le relais de ligne R passe en position inverse, un circuit se forme pour exciter le relais RR de remise
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à zéro de l'enregistrement. Ce circuit comprend la borne Balé6stmt brvàsé du relais R, le fil 81, le contact travail e du relais 16, le fil 82, 1' enroulement supérieur du relais RR et la borne N. Quand le relais RR s'excite, il complète un circuit de maintien passant par son enroulement inférieur, son propre contact travail a, les contacts travail c des relais 01L et 02L et enfin la borne B. L'ouverture du contact repos b du relais RR coupe le circuit de maintien des relais intermédiaires d'enregistrement Rl à R7, qui retombant. Le relais RR retombe ensuite pendant la première impulsion longue du code suivant son excitation, y compris l'impulsion 17.
Quand le relais 01L ou 02L retombe pendant cette impulsion longue, l'ouverture du contact travail e du relais en position de repos coupe le circuit de maintien du relais RR qui retombe. Dans le code décrit ici, l'impulsion 21 est la première impulsion longue du groupe d'extension. Ainsi, le relais RR perd son excitation quand le relais 01L retombe pendant cette impulsion longue, et il retombe aussitôt à son tour.
Il faut remarquer que, si un code de contrôle a une longueur dépassant vingt-quatre impulsions, le relais RR est également excité au début de l'impulsion 25. Son circuit d'excitation est analogue à celui dé-
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crit plus haut, le contact..vill,g,:è1ú. relais z,6, ét1!- :rémp1acé.:.pa:r:1tm:ontact travail du relais 24. En pratique, les contacts travail de ces relais, tels que 16, 24, 32, etc...,contacts nécessaires à l'installation, sont connectés en parallèle dans le circuit d'excitation du relais RR, de sorte que celui-ci est excité au début des impulsions 17, 25, 33, etc...
La chute des relais intermédiaires d'enregistrement prépare ceuxci à être utilisés de nouveau pendant les impulsions 17 à 23. Pendant ces impulsions, ces relais sont excités par les contacts travail des relais 17- 21 à 20 inclusivement. On a spécifié par exemple en exposant la transmission du code de contrôle, que l'impulsion 21 était longue. Par conséquent, le relais R5 est excité par le circuit passant par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, le contact travail f du relais PCP, le contact repos d du relais 1L, le fil 63,le contact travail b du relais OCR, le fil 111, le contact travail g du relais OCRA, le contact travail f du relais 17-21, le fil 117, l'enroulement du relais R5 et la borne N.
Après son excitation, le relais R5 complète un circuit de maintien passant par son propre contact travail a, le fil 76, le contact repos b maintenant fermé du relais RR, le contact travail ..1.du relais OLBP et la borne B, ce circuit est identique aux circuits de maintien de ces relais pendant les impulsions 9 à 15.
Pendant les impulsions 17 à 23,le relais OCRA différencie les contacts travail des relais 17-21, 18-22 et 19-23 utilisés respectivement pendant les impulsions 17 à 19 et 21 à 23. Il faut remarquer que le circuit d'excitation du relais R4, qui comprend le contact travail e du relais 20, comprend également le contact travail h du relais OCRA. Ceci est possible, puisque ces deux relais sont excités, en fermant leur contact travail, avant la chute du relais 02R, de manière à compléter le circuit d' excitation du relais R4.
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Cependant, la station 234,comme on l'a indiqué précédemment, ne transmet que vingt-deux impulsions dans son code de contrôle. Le groupe de codage du poste central doit par conséquent revenir également à zéro sur la vingt-deuxième impulsion en marne temps que la Station. Ceci est néces- saire pour que le circuit de ligne puisse revenir correctement à son état normal de repos. Pour terminer l'action du groupe de codage du poste central, il est nécessaire d'exciter le relais OCS. Le procédé utilisé est analogue à celui déjà expliqué et servant à terminer le code de commande.
Cependant, puisque le code de contrôle de quelques stations a une longueur différente de celle du code de commande, un circuit légèrement différent est nécessai- re pour exciter le relais OCS pendant les codes de contrôle. Comme on le voit sur la figure le, des connexions réglables sont prévues à cet effet au poste central. Un contact repos du relais OMP est également inclus dans le circuit pour le différencier du circuit analogue du code de commande, quand un contact travail du relais OMP est utilisé. Ce relais reste au re- pos pendant un code de contrôle entier, puisque son circuit d'excitation est ouvert par le contact travail 1 du relais OM.
Le circuit servant à exciter le relais OCS sur la vingt-deuxiè- me impulsion du code de contrôle passe par la borne B, le contact normal a du relais OR, la résistance R12, le contact travail 51 du relais OLBP, le fil 90, les contacts repos a des relais 20 et 16; le contact travail h du relais 17-21, le contact travail e du relais OCRA, une connexion réglable, le contact travail c du relais 234S, le contact repos , du relais OMP, le fil 80, le contact travail j du relais OCR, le fil 74, le contact travail b du relais OLB, le fil 48, l'enroulement du relais OCS et la borne N. Le relais OCS s'excite donc et complète un circuit de maintien passant par le fil 90, le fil 48, le contact travail b du relais OLB, le fil 74 et son propre contact travail a.
La fermeture du contact travail b du relais OCS complète un circuit comprenant la borne B, les contacts travail c des relais 01L et 02L, le contact travail e du relais PCP, le fil 59, les contacts travail.± des relais OCR et KSP, le contact travail b du rélais OCS, le fil 79, le contact travail e du relais 234S, le fil 110, l'enroulement du relais 234DA et la borne N. Le relais 234DA s'excite donc et complète un circuit pour exciter les relais de contrôle K du groupe final. Ces derniers relais sont donc excités sur la dernière impulsion du code, par l'intermédiaire des contacts travail du relais 234DA et des fils 49 à 55,suivant les relais qui sont excités dans le groupe d'enregistrement Rl à R7, les circuits correspondants apparaissant clairement sur le dessin.
Dans le cas présent, le relais R5 est excité, de sorte que le relais 3TK l'est également et attire son armature. Il en résulte que la lampe indicatrice 3TKE s'allume en faisant savoir à l'opérateur que la section de voie correspondante est occu- pée.
L'ouverture du contact repos c du relais OCS fait retomber le relais PC, qui provoque à son tour la chute du relais PCP. Il en résulte de la chute du relais PC que la polarité de ligne redevient normale, le relais OR étant maintenu en position normale par un circuit décrit précédemment, qui comprend le contact repos! du relais PC et le contact travail a du relais PCP, jusqu'à ce que le relais PCP retombe. Les relais temporisés du poste central retombent alors successivement dans l'ordre normal, le relais 01L étant le dernier à retomber. La chute du relais 02L supprime l'excitation du relais 234DA, et la chute de celui-ci, en fermant ses contacts repos a à g, rétablit les circuits de maintien des relais de contrôle K du groupe final qui étaient excités. La chute du relais OLB coupe le circuit de maintien du relais OCS, qui retombe.
L'ouverture du contact travail .4 du relais OLBP supprime l'excitation des relais OCR, KSP, OCRA,, SP et 234S. L'ouverture du contact travail . du relais OLBP fait retomber les relais excités du groupe Rl à R7. Ceci termine la remise à zéro de 1'
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équipement de codage au poste central, et puisque la station qui a transmis le code ae contrôle revient en même temps à zéro, l'installation tout entière se trouve maintenant dans sa position normale de repos et est prête par conséquent pour la transmission des codes supplémentaires.
Ceci termine la transmission d'un code de contrôle par une station et sa réception par le groupe de codage du poste central. On a montré que les indications concernant la position ou l'état de tous les dispositifs de voie représentés sur la figure 2d, indications qui déterminent la position des relais de contrôle des figures 2d et 2e, ont été transmises au poste central et enregistrées sur les panneaux appropriés, qui dans le cas présent sont représentés sur la figure 1d. Un seul code utilisant un seul indicatif d'appel a été nécessaire pour transmettre le renseignement. On a vu ensuite que le renseignement apparaissant sur les panneaux fournit au dispatcher un enregistrement continu des conditions de la station en campagne.
On a exposé aans les paragraphes précédents, en même temps que le fonctionnement général des groupes de codage, les circuits et les fonctionnements de relais déterminant la longueur des deux codes de commande et de contrôle. On avait indiqué précédemment que, grâce à une caractéristique de l'équipement, ou pouvait terminer un code sur une impulsion paire
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que1eoDqueaen,eommençant¯parô la dixième lmpt,lgib7a.A, lai station' particulière représentée, c'est-à-dire à la station 234, les deux codes de commande et de contrôle se terminent sur la vingt-deuxième impulsion. Cependant, on a montré que les longueurs des codes de commande et de contrôle sont relativement indépendantes l'une de l'autre et que les connexions réglables du poste central et de la station déterminent la longueur des codes.
Ce sont uniquement les nombres des fonctions de commande et de contrôle de la station 234 qui ont exigé que les deux codes de cette station aient une longueur de vingt-deux impulsions. Comme on le montrera dans un instant, les codes de commande et de contrôle à une station peuvent contenir des nombres d'impulsions différents.
Pour illustrer cette caractéristique de l'invention permettant de terminer le code comme on le désire, on décrira maintenant plusieurs exemples de terminaison de code à différentes stations, dont les codes ont des longueurs différentes. Si l'on se réfère maintenant aux figures 3 et 4, on y voit des circuits servant à terminer le code pour plusieurs stations, dont les codes ont des longueurs différentes. Dans un but de clarté, les indicatifs d'appel sélectionnés sur le dessin sont 234, 267,
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235, 245s 256 et 278.
A l'exception des stations 234 et 235,1.eçCOdèssd8 Cammader3 de dond1e"ônt-étdem%nt-uBs/%e%ueunwùnffér'enleafl"ehsme 1rtl!!.tÍO:D:;O''lf''supposera que les- OJIg\1lEmrS- 1Sleâaoàea1 àomtl Ctéâ.oo.iqKé.èe dans le tableau suivant: Longueur des codes
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<tb>
<tb> Station <SEP> COMMANDE <SEP> CONTROLE
<tb> 234 <SEP> 22 <SEP> 22
<tb> 267 <SEP> 18 <SEP> 26
<tb> 235 <SEP> 16 <SEP> 16
<tb> 245 <SEP> 12 <SEP> 14
<tb> 256 <SEP> 20 <SEP> 18
<tb> 256
<tb> 278 <SEP> 16 <SEP> 24
<tb>
Les longueurs des codes à la station 234 sont les mêmes sur le tableau que celles indiquées précédemment à propos de cette station. On réalise ainsi une continuité entre l'exposé précédent de l'action de codage et les exemples de terminaison des différents codes.
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Les circuits du poste central nécessaires pour réaliser les ter- minaisons de code énumérées dans les paragraphes précédents ont été re- présentés sur la figure 3. On utilisera cette figure à la place de la par- tie supérieure de droite de la figure le. pendant l'exposé qui va suivre.
Les terminaisons aes différents fils représentées à la gauche de la figu- re 3 servant à raccorder cette figure au reste de la figure le,. On a re- présenté les contacts travail des relais S sélecteurs de station pour les différentes stations utilisées sur cette représentation. On n'a pas re- présenté les enroulements des relais, ni les circuits de commande de ceux-, ci. La commande et l'excitation de ces relais sont identiques à celles représentées et décrites précédemment pour le relais 234S; il n'est donc pas utile de les répéter ici.
Comme on l'a déjà expliqué, il est nécessaire, pour terminer le code de commande ou le poste de contrôle au poste central, d'eciter le celais OCS, de manière qu'il mette fin à l'action de codage. Ainsi, le contact travail b du relais 2545, quand il est fermé, établit une connexion en- tre les fils 85 et 80, en passant par le contact travail a du relais OMP, afin d'exciter le relais OCS sur la douzième impulsion et de terminer ainsi le code de commande transmis à cette station. Le contact travail du relais OMP dans ce circuit détermine qu'il s'agit d'un code de commande, et comme on l'a déjà indiqué, le contact travail du relais OCR, dans le circuit entre le fil 80 et l'enroulement de ce relais, empêche le relais OCS de s'exciter sur la quatrième impulsion du code.
De même, le contact travail c du relais 245S établit une connexion entre les fils 86 et 80, en passant par le contact repos a du relais OMP, pour exciter le relais OCS sur la quatorziène impulsion'd'un coda-de contrôle. Le contact repos du relais OMP dans ce circuit établit encore le fait que le poste central reçoit un code de contrôle, et le contact travail du relais OCR empêche le relais OCS de s'exciter sur la sixième impulsion du code, Cette action synchronise la remise à zéro du grou- pe de codage du poste central avec celle du groupe de codage de la station 245, et les deux groupes terminent leur action de codage pendant le code de contrôle sur la même impulsion, de la manière déjà exposée.
De même, le contact travail b du relais 235S établit une connexion directe'entre les fils 87 et 80. Ainsi, les codes de commande et de contrôle de cette station se terminent sur la seizième impulsion. Aucun contact du relais OMP n'est utile, puisque les deux codes se terminent sur la même impulsion. Le code de commande de la station 218 se termine aussi sur la seizième impulsion, mais puisque le code de contrôle est plus long dans ce cas, les connexions destinées à terminer ce code de commande s'étendent à partir du fil 87 par le contact travail b du relais 278S et le contact travail a du relais OMP jusqu'au fil 80.
Puisque les codes de commande et de contrôle des stations 234, 267 et 256, et le code de contrôle seulement pour la station 278, ont tous une longueur supérieure à la longueur normale correspondant à seize impulsions, il est nécessaire d'utiliser les relais de la chaîne de comptage d'extension pendant l'action de codage vers ces stations ou à partir de ces stations. L'excitation du relais OCS est donc commandée par l'intermédiaire des contacts de ces relais de la chaîne d'extension. Par exemple, dans le cas de la station 234, le courant d'excitation du relais OCS est commandé par le contact travail h du relais 17-21, comme on l'a indiqué plus haut à propos de l'action de codage au poste central. Le circuit se prolonge par le contact travail e du relais OCRA, le contact travail b du relais 234S, le contact travail du relais OMP et le fil 80.
Ce circuit provoque l'excitation du relais OCS sur la vingt-deuxième impulsion. Comme on le voit sur le dessin, un circuit analogue est utilisé pour terminer l'action de codage du code de contrôle, avec cette différence qu'on utilise le contact travail c du relais 234S et le contact repos
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a du relais OMP. On pourrait utiliser, si on le désire, une disposition des circuits analogue à celle utilisée pour la station 235; dans ce dernier cas, on n'utilise qu'un seul contact travail du relais S, puisque les deux codes se terminent sur la même impulsion; autrement dit, les contacts du relais OMP sont court-circuités par une connexion passant par un contact travail unique du relais S et aboutissant directement au fil 80.
Comme pour la station 256, le courant alimente le relais OCS pendant le code de commande en passant par le contact travail h du relais 19-23, le contact repos f du relais OCRA, le contact travail 12 du relais 256S, le contact travail !: du relais OMP et le fil 80. Il en résulte que le relais OCS s'excite sur la vingtième impulsion. Puisque ce relais établit alors immédiatement un circuit de maintien, l'excitation du relais OCRA pendant l'impulsion 20 ne produit par conséquent aucun effet sur le relais OCS.
A cette station, le code de contrôle est plus court que le code de commande, puisqu'il se termine sur la dix-huitième impulsion. Le circuit alimentant alors le relais OCS passe par le contact travail h du relais 17-21, le contact repos e du relais OCRA, le contact travail e du relais 256, le contact repos a du relais OMP et le fil 80. Ainsi, on voit que le code de contrôle peut être plus court que le code de commande transmis à une station, si les dispositifs de voie exigent plus de fonctions de commande que de fonctions de contrôle.
Pour la station 267, le code de commande se termine sur la dix-huitième impulsion, le circuit étant analogue à celui que l'on vient de décrire pour la terminaison du code de contrôle de la station 256, avec cette différence que le contact travail b du relais 267S et le contact travail a du relais OMP sont utilisés aans le circuit. Le code de contrôle de la station 278 exige vingt-quatre impulsions. Ici le circuit d'excitation du relais OCS passe par le contact travail h du relais 19-23, le contact travail f du relais OCRA, le contact repos 1: du relais 20, le contact travail c du relais 278S, le contact repos a du relais OMP et le fil 80. Le contact repos f du relais 20 est nécessaire dans ce circuit pour empêcher le relais OCS de s'exciter sur la vingtième impulsion.
En effet, sauf quand le contact repos f du celais 20 est ouvert, les contacts travail du relais 19-23 sont encore fermés pendant un temps suffisant pour exciter le relais OCS, après que le relais OCRA a été excité pendant la vingtième impulsion.
On a supposé que le code de contrôle de la station 267 avait une longueur supérieure à vingt-quatre impulsions, et qu'il exigeait vingt-six impulsions. Ainsi, il est alors nécessaire d'ajouter au poste central des relais de chaîne de comptage d'extension. On a indiqué précédemment que ces relais sont ajoutés d'une manière analogue à ceux déjà représentés sur la figure 1. Pour terminer le code de contrôle sur la vingt-sixième impulsion, le circuit normal d'excitation du relais OCS passe par le contact travail h d'un relais 25-29, le contact repos e d'un relais OCRB, le contact travail e du relais 267 S, le contact repos a du relais OMP et le fil 80.
Le relais 25-29 est le premier relais de la chaiae supplémentaire de comptage et d'extension, le relais OCRB servant à préparer des circuits afin de produire l'action de répétition du relais 25- 29 pour l'impulsion 29. Cependant, si aucun autre code du circuit de ligne particulier'considéré n'exigeait plus de vingt-huit impulsions ou plus de vingt-six impulsions comme indiqué ici, on pourrait éliminer le relais OCRB, puisqu'on n'aurait besoin d'aucune action de répétition de la deuxième chaîne de comptage ou chaîne d'extension. Le circuit d'excitation du relais OCS serait alors connecté directement du contact h du relais 25-29 au contact travail du relais S, cette connexion étant indiquée en trait pointillé sur la figure 3.
Si l'on considère maintenant la figure 4, on y voit un système composite de circuits représentant les connexions de terminaison de
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code aux différentes stations énumérées ci-dessus. Le aessin de la figu- re 4 est analogue à la partie supérieure de droite de la figure 2c. Les bornes représentées à la partie supérieure de gauche de la figure 4 servant à raccorder cette figure à la figure 2c. Les connexions nécessaires pour terminer les codes de contrôle sur l'impulsion appropriée sont in@i- quées par un pointillé épais entre le fil 200 d'une part et d'autre part les fils 201 à 204 ou les fils venant des différents contacts des relais CRA.
Les nombres de références associée aux différentes connexions représentées servent à désigner les stations auxquelles aboutissent les connexions, étant bien entendu que la figure 4 est un dessin composite de plusieurs stations et ne représente pas les circuits d'une seule station quelconque.
Comme on l'a expliqué précédemment, le relais CS est excité à une station de manière à ne terminer l'action de codage que sur un code contrôle. Il n'est pas nécessaire d'exciter le relais CS pendant le code de commande, puisque l'action de remise à zéro dans ce cas ne dépend pas de ce relais. Au contraire, le courant doit être fourni au fil 200 pendant un code de contrôle., de manière que le relais CS puisse s'exciter et produire ainsi l'action appropriée de remise à zéro à la station.
A la station 235 une connexion est réalisée entre les fils 204 et 200 pour permettre au relais CS de s'exciter sur la seizième impulsion et de terminer ainsi le code de contrôle. Bien que le code de commande se termine également sur la seizième impulsion à cette station, le relais CS n'est pas excité sur l'impulsion finale du code de commande à cause du contact travail h du relais M, qui est inclus dans le cireuit du relais CS comme on l'a indiqué précédemment. Puisque le relais M reste au repos pendant le code de commande, ce contact est ouvert pour couper le circuit d'excitation du relais CS. A la station en campagne 245,une connexion est rétablie entre les fils 203 et 200 pour provoquer l' excitation du relais CS sur la quatorzième impulsion et terminer ainsi le code de contrôle sur cette impulsion.
Le contact travail j déjà mentionné du relais CR, contact qui se trouve dans le circuit d'excitation du relais CS, empêche l'excitation de ce relais pendant la sixième impulsion. Il faut noter également que, si l'on désire donner au code de commande destiné à cette station 245 une longueur de seize impulsions, au lieu de douze impulsions comme on l'avait supposé, le contact travail 11 du relais M, contact se trouvant dans le circuit d'excitation du relais CS, permet la terminaison correcte dû code de contrôle et empêche en même temps l'action de codage de se terminer trop tôt pendant le code de commande.
On voit que le code de commande destiné à une station peut être plus long que le code de contrôle, si on le désire, même si les deux codes ont une longueur égale ou inférieure à seize impulsions.
A la station 256, le courant alimente le fil 200 pendant un code de contrôle;, en passant par le contact travail h du relais 1A-1 et le contact repos a du relais CRA-1, afin d'exciter le relais CS sur la dix-auitième impulsion. A la station 234, on désire exciter lelais CS sur la vingt-deuxième impulsion du code de contrôle. Le courant alimente ainsi le fil 200 en passant par le com@@nt travail h du relais lA-1 et le contact travail d du relais CRA-1, comme on l'a déjà expliqué à propos du code de contrôle complet.
A la station 278, le relais CS s'excite sur la vingt-quatrième impulsion, et le courant alimente le fil 200 et l'enrou- lement de ce relais en passant par le contact travail h du relais 3A-1, le contact travail 2 du relais CRA-1 et le contact repos e du relais 4A-1.
Le contact repos e du relais 4A-1 est compris dans ce circuit pour empêcher le relais CS d'être excité sur la vingtième impulsion, puisque le relais CRA-1 s'excite pendant cette impulsion, tandis que les contacts travail du relais 3A-1 sont encore fermés, comme on l'a expliqué dans le cas analogue du groupe de codage du poste central.
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On a supposé que le code de contrôle de la station 267 devait comporter nécessairement vingt-six impulsions. Il faut donc utiliser à cette station un deuxième groupe d'extension, le groupe N 2 représenté sur la figure 4. Le circuit d'excitation du relais CS sur la vingt-sixième impulsion passe par le contact travail h du relais lA-2, le contact re- pos à du relais CRA-2 et la connexion réglable aboutissant au fil 200 et par conséquent à l'enroulement du relais CS. Il est désirable que tous les groupes d'extension ajoutés aux stations soient identiques en ce qui concerne le câblage intérieur et les connexions extérieures.
Ainsi, même si le relais CRA-2 n'est jamais excité à cette station, il n'est pas possible de supprimer le contact de ce relais dans le circuit du relais CS à la station 267, comme on l'a fait au poste central, où les relais ne sont ajoutés que pour satisfaire les besoins de la chaîne de comptage d'extension.
On a donc montré que l'action de codage à une station quelcon- que peut être terminée sur une impulsion paire quelconque, comme on le désire, sans tenir compte de la longueur du code aux autres stations.
Les codes de commande et de contrôle à une station peuvent aussi avoir des longueurs différentes, comme on le désire, ces longueurs étant choisies en fonction de la nécessité de transmettre les fonctions de commande et les indications de contrôle, entre le poste central et la station en campagne. En utilisant un système de connexions réglables, il est possible d'utiliser des groupes de codage et des groupes d'extension identiques à toutes les stations. La longueur désirée du code est alors déterminée par l'installation appropriée de barres de jonction entre les différentes bornes prévues pour établir les différentes connexions réglables.
Au poste central, la longueur du code et la synchronisation entre le poste central et la station pendant un code de contrôle ne dépendent pas du groupe de codage du poste central, mais de relais et de connexions extérieures que l'on complète suivant les besoins pour réaliser le fonctionnement désiré et terminer les différents codes. On peut ainsi installer un système très souple de commande à distance, utilisant des éléments standard d'équipement, pour réaliser un fonctionnement désiré à chaque station.
On va expliquer maintenant comment l'installation est rétablie à l'état normal dans le cas d'un défaut de fonctionnement.
Un code de commande peut être terminé sur une impulsion impaire par suite d'un défaut, le relais 01T étant maintenu par exemple excité par l'intermédiaire au fil 68. Le relais OR est alors maintenu en position inverse,jusqu'à ce que les relais temporisés 01L, OLP, OLB et OLBP retombent, le relais 02L restant excité. Le relais OLBP fait alors retomber le relais OM et ouvre les circuits des relais de comptage et de sélection. La chute du relais OM, avec le relais OR en position inverse, permet au relais PC de s'exciter et celui-ci provoque l'excitation du relais PCP. La chute du relais CM supprime aussi l'excitation du relais 01T, qui retombe presque immédiatement.
A chaque station, le relais R reste au repos et les relais temporisés retombent dans le même ordre, le relais 2L restant excité. Le relais LBP ouvre les circuits des relais de comptage et de sélection pour empêcher la réception de continuer. La chute du relais 01T ferme le circuit de ligne, mais les relais R ne s'excitent pas parce que la polarité de ligne a été inversée par le relais PC.
Quand le relais PCP s'excite, le relais OR passe en position normale, grâce au circuit comprenant la borne 0,son enroulement inférieur, les contacts repos e des relais 01T et OM, les contacts travail f et b des relais PC et FGP respectivement, le contact repos 1 du relais OLBP, le contact travail! du relais 02L, le contact repos f du relais 01L et
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la borné N. Les relais temporisés du poste central sont ainsi excites de nouveau et le relais PC perd son excitation; ce dernier retombe avant que son circuit de maintien ne soit complété par l'excitation du relais
OLBP. La chute du relais PC supprime l'excitation du relais PCP.
Les re- 5 lais temporisés du poste central retombent alors dans l'ordre normal par suite de la suppression de l'excitation du relais 02L, le relais 01L é- tant le dernier à retomber.
Quand le relais PC retombe, il rétablit la polarité normale de la ligne, de sorte que tous les relais de ligne R reviennent simultané- ment à l'état normal, légèrement après le relais OR, en excitant de nou- veau leurs relais temporisés. Ceux-ci retombent alors à chaque station dans l'ordre normal, du fait que le rélais'2L n'est plus excité, le re- lais IL étant le dernier à retomber.
Si un code de commande se termine sur une impulsion paire avant l'impulsion finale désirée, du fait que le relais 01T a été défaillant pour s'exciter, le relais OR est maintenu à l'état normal et les relais temporisés retombent dans l'ordre normal, le relais OLBP faisant retom- ber les circuits des relais de comptage et de sélection, ainsi que le relais OM. Comme d'habitude, le relais 01L retombe le dernier. Les re- lais R de ligne de station restent excités et leurs relais à temps re- tombent dans l'ordre normal; comme à la fin d'un code complet, le relais
IL étant le dernier à retomber. Cette action est analogue à celle qui se produit quand on termine intentionnellement un code de commande sur une impulsion paire choisie, avec cette différence que le relais OCS ne s'excite pas.
Si un code de contrôle se termine sur une impulsion impaire, comme par exemple dans le cas où le relais 1T resterait excité par sui- te d'un défaut, le relais OR reste en position inverse jusqu'à ce que le relais OLBP retombe, le relais 02L restant excité. Le relais OR revient en position normale après la fermeture du contact repos! du relais OLBP, grâce au circuit indiqué précédemment et comprenant les contacts travail PC, PCP et 02L, et les contacts repos 1: des relais OLBP et 01L.
A la station de transmission, le relais R reste au repos, et les relais temporisés IL, LP, LB et LBP retombent. L'ouverture du con- tact travail !! du relais LB fait retomber le relais M, qui fait retom- ber à son tour le relais 1T. Il en résulte la suppression du shunt de ld- gne appliqué par le contact b du relais T, tandis que les contacts b et g du relais M inversent les connexions de ligne du relais R, de aorte que celui-ci reste au repos, puisque le relais PC du poste central est encore excité.
Ainsi, l'équipement se place dans le même état qu'aux au- tres stations, où le relais R et les relais temporisés restent au repos, avec le relais 2L excité,
Quand le relais OR est ramené à l'état normal, les relais temporisés du poste central sont excités, tandis que le relais PC perd son excitation et retombe avant que le relais OLBP ne s'excite. Les relais temporisés du poste central retombent ensuite dans l'ordre normal, le relais 01L étant le dernier à retomber. Quand le relais PC retombe, il rétablit la polarité normale de la ligne, de sorte que tous les relais de ligne R s'excitent simultanément en excitant de nouveau leurs relais temporisés. Ceux-ci retombent alors à choque station dans l'ordre normal, le relais IL étant le cernier à retomber.
Si un code de contrôle se termine sur une Impulsion paire autre que l'impulsion choisie, par suite de la défaillance du relais 1T qui ne s'excite pas, le relais OR reste à l'état normal jusqu'à la chutte des relais temporisés 02L, OLP, OLB et OLBP. La fermeture du contact repos f du relais OLBP complète un circuit destiné à faire passer le relais OR en position inverse ; ce circuit passe par la borne B, le contact
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travail d du relais PCP, les contacts repos! des relais 02L et OLBP, le contact travail b du relais PCP, le contact travail 1 du relais PC, les contacts repos e des relais OM et OT, l'enroulement inférieur du relais OR et la borne 0.
A la station de transmission, le relais R reste excité et les relais temporisés 2L, LP et LB retombent. Le relais LB fait retomber le relais M qui inverse les connexions du relais R. Celui-ci passe en position inverse . puisque la polarité de ligne est encore inversée, et il excite de nouveau les relais temporisés, qui retombent ensuite dans l'ordre 1L, LP, LE et LBP, l'équipement se trouvant dans le même état qu'aux autres stations,où le relais R et les relais temporisés restent au repos, avec le relais 2L excité.
Au poste centrale puisque le relais OR est passé en position inverse après la chute du relais OLBP, le circuit d'excitation du relais PC se ferme quand son circuit de maintien s'ouvre, de sorte que ce relais reste excité. Les relais temporisés du poste central sont excités de nouveau et retombent ensuite dans l'ordre 01L, OLP OLB et OLBP, le relais 02L restant excité. Le relais OR est ramené à sa position normale, quand le contact repos f du relais OLBP se ferme de nouveau par un circuit in- diqué précédemment qui comprend les contacts travail des relais PC, PCP et 02L, et les contacts repos des relais OLBP et 01L.
Quand le relais OR est revenu à sa position normale, les relais temporisés du poste central sont excités de nouveau et le relais PC perd son excitation, en retombant avant que le relais OLBP ne s'excite. Les relais temporisés du poste central retombent alors dans l'ordre normal, comme dans les exemples précédents. Le relais PC ramène la polarité de la ligne à la normale pour exciter les relais de ligne de station, les relais temporisés de station étant alors réexcités et libérés dans l'ordre normal, comme dans les exemples précédents.
On voit que dans tous les cas, quelles que soient leurs positions initiales les relais de ligne OR et R sont tous ramenés à la position normale sensiblement en même temps, de sorte que chacun d'eux fait retomber ses relais temporisés dans l'ordre normal de manière à placer tous les groupes de codage dans l'état approprié de réception, avant que le relais 01L ou l'un quelconque des relais 1L en retombe, en vue de permettre le début du code suivant. D'une manière générale, il y a des chances pour que le poste central transmette le code suivant, parce que le relais 01L retombe légèrement avant les relais IL.
On a déjà expliqué que, si un code de contrôle est interrompu par suite d'un défaut après que le relais ST de démarrage de station a été excité de nouveauté relais ST retómbe de nouveau par suite de la-chute du relais LB, avant que le relais S ne retombe lui-même. Il est clair par conséquent que chaque code de contrôle interrompu sera retransmis en totalité quand la ligne sera devenue de nouveau utilisable. Ceci n'est vrai d' un code de commande que dans le cas où l'interruption se produit avant la chute du relais ST de démarrage du poste central, chute qui se produit sur la huitième impulsion de l'indicatif d'appel, Autrement, il faut nécessairement actionner une deuxième fois le bouton de démarrage STB.
Il peut arriver aussi que le relais OR soit actionné par une ou plusieurs impulsions d'un courant étranger, ou par suite d'une ouverture ou d'un court-circuit temporaire sur la ligne quand le système se trouve dans son état normal de repos. Dans ce cas, la première inversion du relais OR excite le relais PC, en inversant la polarité de ligne et en faisant retomber les relais de ligne R pour empêcher l'amorçage d'un code par une station quelconque. Quand le trouble de fonctionnement est terminé, le système revient de lui-même à l'état normal, de la même ma- nière que dans le cas décrit ci-dessus de l'interruption d'un code de contrôle.
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On va décrire maintenant le moyen utilisé pour empêcher toute interférence et pour transmettre les codes à raison d'un seul à la fois Gans l'orare désirée lorsque deux ou plusieurs émetteurs ont des codes emmagasinés en vue de la transmission. L'inclusion des contacts repos b des relais IL et 2L dans le circuit d'excitation de chaque relais M, et dans le circuit similaire au relais OM, empêche l'amorçage d'un code, sauf dans le cas où la ligne est libre, comme on l'a déjà expliqué, mais il peut arriver facilement que le poste central et une ou plusieurs stations amorcent des codes sensiblement au même instant.
Si le relais OM s'excite, le code de commande l'emporte, puisque le contact repos b du relais eN ouvre le circuit au relais PC, et que l'impulsion longue engen- drée par le relais 01T maintient les relais de ligne R au repos pour exciter le relais récepteur SR à chaque station comme dans le code de commande déjà décrit. A une station quelconque, où le relais M a été excité pour commencer un code de contrôlece relais est remis au repos par 1' ouverture au contact repos fdu relais SR. En conséquence, tous les groupes de codage ae station se trouvent en état de recevoir le code de commanae sur la première impulsion, les codes de contrôle étant emmagasinés en vue d'une transmission ultérieure.
Dans le cas où les groupes de codage de deux ou plusieurs stations commencent des codes ae contrôle au même instant et placent par leur action combinée le groupe de codage au poste central en état de réception, les shunts appliqués à la ligne par le relais 1T qui est le plus proche du poste central règlent le fonctionnement des relais de ligne R aux stations plus éloignées en même temps qu'à la station considérée. Les relais 1T fonctionnent simultanément tant que les impulsions correspondantes des indicatifs d'appel respectifs ont le même caractère. Quand un relais 1T applique un shunt à la ligne pour engendrer une impulsion longue et impaire, il fonctionne par priorité sur un relais quelconque 1T qui retombe à une station plus éloignée pour laquelle l'indicatif exige une impulsion courte.
Quand le relais 1T de 1 station plus rapprochée s'excite pour appliquer un shunt à la ligne, en' terminant.une impulsion courte et paire, il fonctionne par priorité sur tout relais 1T quelconque qui est maintenu au repos par le relais 2T à une station plus éloignée, comme cela est nécessaire pour une impulsion longue et paire. Dans l'un et 1' autre cas, les relais R et 1T à la station plus éloignée occupent simultanément leurs positions de repos sur l'une des impulsions de l'indicatif d'appel, c'est-à-dire avant la sélection du relais local S.
Ceci interrompt le circuit temporaire de maintien du relais M, circuit qui comprend la borne B, le contact normal a du relais R, le contact repos d du relais 1T, le fil 179, le contact repos g du relais S, le fil 178, le contact travail e au relais LB, le contact repos f du relais SR, le con- tact travail a et l'enroulement du relais M, et enfin la borne N. Le relais M retombe par conséquent et inverse les connexions de ligne du relais R.
Puisque la ligne est alimentée maintenant en courant de polarité inverse, la chute du relais M rend le relais associé R de la station in-
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férieure insensible au reste du code, en faisant, ntumb13t> .ar..,isntmporisés L,-et 1.err1J!lais ëxc.ténù^arêiaxet d:cou,:tageE,-à6td6e a$a<tlejjxe doiat le cOdecesctremmagasné pou(/." 8tr.e tranomts 1 ultérieuremegtgne 13.0r&L VeCIUVenUe b:ne.l< .Ll.é"nr::> sera eev .!.J.1Jt'e.
En ce qui concerne l'action de la ligne, on voit par conséquent qu'une impulsion longue et impaire agit par priorité sur une impulsion courte et qu'une impulsion courte et paire agit par priorité sur une impulsion longue. Pour cette raison, il est désirable d'affecter les indicatifs d'appel à plusieurs stations dans un ordre géographique, de manière que chaque indicatif soit supérieur au point de vue priorité aux indicatifs des stations plus éloignées et soit au contraire inférieur aux indicatifs des stations plus rapprochées du poste central.
En ce qui concerne l'action de la ligne, l'ordre de priorité des indicatifs d'appel
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est indiqué par le tableau suivants aans lequel chaque indicatif est supérieur à ceux qui se trouvent en-dessous aans la même colonne et à tous, ceux qui se trouvent à sa aroite aans les autres colonnes.
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<tb>
<tb>
357 <SEP> 368 <SEP> 578 <SEP> 458 <SEP> 235 <SEP> 257 <SEP> 268
<tb> 358 <SEP> 345 <SEP> 567 <SEP> 456 <SEP> 237 <SEP> 258 <SEP> 245
<tb> 356 <SEP> 347 <SEP> 568 <SEP> 478 <SEP> 238 <SEP> 256 <SEP> 247
<tb> 378 <SEP> 348 <SEP> 678 <SEP> 467 <SEP> 236 <SEP> 278 <SEP> 248
<tb> 367 <SEP> 346 <SEP> 457 <SEP> 468 <SEP> 234 <SEP> 267 <SEP> 246
<tb>
Il faut noter qu'un ordre ae priorité différent prévaut quana les codes sont transmis de la même station, auquel cas une impulsion lon- gue a la priorité sur une impulsion courte. Par exemple, si tous les boutons de démarrage au poste central ont été actionnés en même temps, l'ineicatif 234 estle premier à être transmis et l'indicatif 678 est le dernier transmis.
Pour s'assurer une sécurité supplémentaire contre la transmission simultanée des codes de contrôle à partir de deux stations, dans le cas d'un défaut, on prévoit au poste central un circuit supplémentaire comprenant le relais XS d'arrêt et de synchronisation. Le relais XS sert à interrompre la transmission dans le cas où on reçoit un indicatif d'appel comprenant plus de trois chiffres. On peut supposer par exemple qu' une station transmet l'indicatif d'appel 235 et qu'une autre station transmet en même temps l'indicatif 245. Si ceci se produit, le relais sélecteur 234S est actionné sur la quatrième impulsion pour sélectionner un panneau qui n'appartient à aucune station, et le relais KSP est actionné sur l'impulsion suivante, la cinquième dans le cas présent, comme on l'a déjà expliqué.
Quand le relais KSP s'excite, ses contacts b et d transfèrent aes contacts d des relais de comptage au fil 57, les connexions des fils 63 et 64. Si la cinquième impulsion est longue, un circuit se forme, quand le relais 01L retombe,en passant par la borne B, le contact travail a du relais OLBP, le contact travail f du relais PCP, le contact repos d du relais 01L, le fil 63, le contact repos b du relais OCR, le contact travail b du relais KSP, le fil 57,l'enroulement du relais XS et la borne N. Le relais XS s'excite et complète un circuit de maintien passant par son contact travail a, le contact travail k du relais OLBP et la borne B. Le relais XS s'excite également sur la septième impulsion par le circuit défini plus haut si cette impulsion constitue le quatrième chiffre de l'indicatif reçu.
Le relais XS peut être excité de même sur la sizième impulsion par le circuit comprenant la borne B, le courant travail a du relais OLBP, le contact repos d du relais 02L, le fil 64, le contact repos d du relais OCR, le contact travail d du relais KSP et le fil 57. Sur la huitième impulsion, le relais OCR s'excite, en ouvrant les circuits indiqués ci-dessus, pour empêcher le relais XS de fonctionner pendant le deuxième cycle de fonctionnement des relais de comptage OLC.
Cependant, dans le cas où cette huitième impulsion est la quatrième impulsion longue d'un indicatif d'appel reçu., le relais OCR prépare, pour exciter le relais XS, un circuit passant par le fil 64, le contact travail d du relais OCR, le contact travail e du relais 08, le contact travail d du relais KSP, le fil 57,l'enroulement du relais XS et la borne N.
Il en résulte que, si le poste central reçoit un indicatif d' appel contenant plus de trois impulsions longues, le relais XS est excité sur la quatrième de ces impulsions longues reçues. Quand le relais XS s' excite.,, il complète un circuit pour exciter le relais 01T. Ce circuit passe par la borne B, le contact travail b du relais XS, le contact repos d du relais OM, le contact repos b du relais 02T, l'enroulement du relais 01T et la borne N. Le relais 01T ouvre le circuit de ligne par ses contacts repos b et à pour faire retomber les relais de ligne R aux stations
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de transmission si ces relais sont excités, et pour interrompre le code de contrôle.
A ce moment, suivant que la quatrième impulsion longue est reçue sur une impulsion paire ou impaire, l'action est analogue à la re- mise à zéro et à la synchronisation décrites précédemment, qui ont lieu quand un code de contrôle est interrompu par un défaut quelconque.
Il est clair, d'après ce qui précède, qu'aucune interférence ne se produit quand plusieurs relais ST de démarrage du poste central et des stations sont actionnés en même temps ou quand la ligne est occupée; il est clair également que les codes sont transmis dans ce cas à raison d'un seul à la fois dans un ordre conforme aux priorités relatives de leurs indicatifs d'appel respectifs.
L'installation conforme à l'invention prévoit aussi des dispo- sitions pour empêcher les stations ayant des indicatifs de priorité de monopoliser l'utilisation de la ligne dans des conditions de trafic in- tense, ou dans le cas où le relais ST de démarrage de station ne s'excite pas par suite d'un défaut à la fin d'un code. Ceci est réalisé en prévoyant un relais SS de séquence de station dans chaque groupe de codage de station. Le relais SS sert à empêcher l'amorçage d'un deuxième code par un groupe quelconque de codage de station qui a transmis un code, tant qu'un autre quelconque de codage de station a un code emmagasiné en vue d'une transmission ultérieure.
Si on considère la figure 2, on voit que le relais SS est excité pendant un code ae contrôle sur une impulsion représentant le troisième chiffre de L'indicatif d'appel. Le courant est fourni par la borne B, le contact travail f du relais 1L ou le contact travail f du relais 2L, le fil 165, le contact repos e du relais SR, le fil 169; le contact travail b du relais S, l'enroulement du relais SS et la borne N.
Il faut noter que pendant l'action de codage l'un ou l'autre des relais 1L et 2L est toujours excité de manière que du courant alimente continuellement ce circuit. Quana le relais S retombe pendant l'impulsion finale d'un code, le relais SS est maintenu excité par un circuit de maintien comprenant le contact repos b du relais S, son propre contact travail a, le fil 165, les contacts travail f des relais IL et 2L et la borne B. Ce circuit de maintien est ouvert par le relais 1L quand l'équipement revient à son état normal de repos à la fin d'un code.
Le relais SS est à chute retardée et son contact repos b maintient ouvert le circuit de démarrage pendant un intervalle de temps supplémentaire; pendant cet intervalle, une autre station peut commencer un code et maintenir ainsi le relais SS excité, puisque le relais 2L reste lui-même excité pendant l'action de codage à une autre station. Par conséquent, quand le relais SS a été excité, le groupe de codage de station est rendu incapable de commencer un deuxième code, tant que la ligne n'est pas libre pendant un temps plus long que l'intervalle de temps normal entre les codes successifs. Chaque groupe de codage de station, qui a un code emmagasiné et dans lequel 1 le relais SS n'a 'pas. été actionné,, peut accéder à la ligne après la chute du relais 1L à la fin d'un code.
En conséquence, chacun de ces groupes de codage transmet un seul code pendant lequel son relais SS devient excité. A la fin de cette série de codes, une période plus longue s'écoule pour permettre aux relais SS de retomber, après quoi les groupes station sont remis de nouveau en état de transmettre des codes succès,sifs.
Dans le cas où un code de commande est intercalé dans une suite de codes de contrôle, comme on l'a expliqué ci-dessus, dans le but de commander un dispositif particulier, et où le relais SS du groupe de codage de station commandant ce dispositif a été excité, ce relais SS est remis au repos par le fonctionnement du relais SR récepteur de station et du relais S sélecteur de station en réponse au code de commande. Autrement dit, quand le relais S, à la station choisie par le code de com-
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mande, s'excite et coupe le circuit de maintien du relais SS par son contact repos b, le circuit normal d'excitation du relais SS, qui était complété par le contact travail b du relais S, est maintenant ouvert par le contact repos e du relais SR, de sorte que le relais SS perd son excitation et retombe éventuellement avant la fin du code de commande.
Le groupe de codage de cette station est donc mis ainsi en état d'indiquer plus rapidement la condition dans laquelle se trouve le dispositif actionné.
Il est évident également que chaque relais SS sert aussi à empêcher l'amorçage continu de codes incomplets par un groupe d'emmagasinage de station., à la suite d'un défaut, si d'autres groupes ont des codes emmagasinés en vue de leur transmission. Ceci est vrai pourvu que le défaut ne soit pas de nature à empêcher l'excitation du relais SS, comme ce serait le cas par exemple si le code transmis par un groupe de codage de station ayant un indicatif supérieur ne progressait pas assez loin pour exciter le relais S à cette station.
Pour éviter cet inconvénient et d'autres conditions périodiques ae aémarrage, on prévoit un relais thermique de coupure COR disposé comme le montre la figure 2a. Le relais COR est excité;, toutes les fois qu'un code de contrôle est amorcé par le groupe de codage, depuis l'instant où le relais de démarrage ST retombe pour commencer le code jusqu'au moment où le code a été entièrement transmis. Tant que le relais SS n'est pas excité par le relais S sur l'impulsion de sélection de station, le relais COR est excité par le circuit comprenant la borne B, le contact inverse b du relais ST, le contact repos b du relais SS, le fil 147, le contact travail b du relais RP, le contact repos a et l'élément de chauffage du relais COR, et enfin la borne N.
Quand le relais M s'excite, il réalise une connexion passant par la borne B et son propre contact travail g pour exciter le relais COR jusqu'à la fin du code.
Le temps pendant lequel le relais COR est excité peut dépasser le temps nécessaire pour transmettre un code à partir du groupe ae codage associés même s'il n'existe aucun défaut, avec, entre des deux temps, une différence égale au temps nécessaire pour transmettre un code à partir de chaque groupe de codage ayant un indicatif d'appel supérieur. D'autre parts dans le cas d'un défaut empêchant le relais ST de s'exciter de nouveau, le relais COR s'excite à peu près continuellement. On rend le relais COR sensible sélectivement à un défaut en le réglant de manière à ouvrir son contact as après l'excitation du relais,pendant un intervalle de temps d'environ deux minutes l'ouverturp de ce contact coupant l'alimentation de son élément de chauffage ainsi que le circuit d'excitation du relais M.
Le contact a du relais COR est du type à déclic et reste ouvert pendant environ deux minutes ; quand il s'est refermé, si la borne B reste connectée au fil 147,il fonctionne d'une manière cyclique avec des périodes de fermeture d'une minute et des périodes d'ouverture de deux minutes approximativement. Le relais COR fonctionne donc de manière à empêcher l'émetteur défectueux d'accéder à la ligne pendant deux minutes environ pour chaque intervalle ae trois minutes tant que le défaut persiste.
L'installation conforme à l'invention comprend aussi un relais de défaut RPP, au moyen duquel un groupe quelconque de codage de station peut être facilement isolé de la ligne. Ceci est utile par exemple dans le cas d'un court-circuit se produisant dans les connexions de ligne, dans le cas d'un fonctionnement défectueux dù à un voltage anormalement faible de la batterie locale,ou encore pour terminer le fonctionnement cyclique au relais COR. Cette caractéristique a été décrite dans le brer vet américain N 2.376.569 du 22 Mai 1945. Le relais RPP est un relais à chute lente,qui est maintenu normalement excité par un relais répétiteur de maintien RP du relais de ligne R. Le relais RP est commandé conformément au fonctionnement codé au relais R, tant que le relais RPP reste
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excité.
Dans 1 fonctionnement courant du système, le relais R peut res- ter au repos pendant une durée maxima de six secondes environ, ce temps étant nécessaire pour transmettre un code de contrôle à trente-deux im- pulsions d'une station à une autre station. On fait retomber le relais
RPP assez lentement, pour coiffer cet intervalle de temps, en connectant à ses bornes la résistance-capacité de retard. L'énergie emmagasinée dans le condensateur C2 réalise une période de chute de 10 à 15 secondes, de sorte que le relais RPP ne retombe pas,à moins que les relais R et RP restent au repos pendant une durée anormale, comme ce serait le cas si un court-circuit se produisait par exemple entre les contacts travail et repos a du relais M.
Le relais RPP de chaque station peut être mis au repos à la main à partir du poste central en appuyant sur le bouton de déconnexion DB de la figure la,, pendant un temps approprié., égal par exemple à quinze se- condes. On excite ainsi le relais 01T par l'intermédiaire du contact re- pos g du relais OM et du contact repos b du relais 02T. Il en résulte que le circuit de ligne est ouvert par les contacts repos b et d du relais 01T, en faisant retomber successivement les relais R, RP etRPP. Quand le re- lais RPP retombe, son contact repos b court-circuite la résistance R3 en série avec le relais R. En même temps, le contact travail du relais RPP s'ouvre pour introduire une résistance similaire R5 dans le circuit du relais R, en un point adjacent aux fils de ligne y et Z.
Il en résulte que, si le système ne peut plus fonctionner par suite d'un court-circuit dans le groupe de codage., le défaut de ligne est supprimé par l'introduction a'une résistance relativement élevée en série avec le groupe, les résistances R3 et R5 ayant généralement en pratique une valeur de l'ordre de 10.000 ohms chacune. La partie de transmission du groupe de codage est ainsi isolée effectivement du système. En même temps, le circuit de démarrage comprenant le fil 147 est ouvert par le contact travail b du relais RP pour empêcher les refais COR et M de rester excités.
A chaque station où n'existe aucun défaut, le relais R s'excite en réponse à la libération du bouton de déconnexion DB, puisque l'effet de la chute du relais RPP, en ce qui concerne le relais R, est de remplacer tout simplement la résistance R3 par une résistance équivalente R5 dans son circuit. Cependant, les relais RP et RPP restent au repos après que le relais R s'est excité., le circuit de maintien du relais RP étant ouvert par le contact travail c du relais RPP et celui du relais RPP étant ouvert par le contact travail a au relais RP.
L'opérateur du poste central peut maintenant remettre le système en fonctionnement, tout en laissant un ou plusieurs groupes de codage ae station isolés, en transmettant successivement des codes de commande aux différents groupes de codage qu'il désire inclure dans l'installation remise en fonctionnement. Quand le relais sélecteur de station S est excité sur l'impulsion d'un code de commande, comme on l'a expliqué précédemment, une connexion passant par le contact travail e au relais G2R, le fil 176 et l'enroulement inférieur du relais RP, fournit un circuit d'excitation du relais RP. La fermeture du contact travail a du relais RP excite le relais RPP pour compléter le circuit de maintien du relais RP et pour remettre le groupe de codage en fonctionnement normal.
Il est évident qu'un code ae commande n'est pas reçu par une station où le relais R est court-circuité par exemple, et qu'une telle station reste par conséquent isolée.
Pour faciliter le rétablissement de l'installation comme on vient de l'expliquer, on prévoit au poste central un bouton-poussoir de rappel RCB (fig.lb), au moyen duquel l'opérateur peut envoyer un code spécial de rappel à une station quelconque sans actionner aucun dispositif de cette station. Ce code de rappel se termine après la transmission de la partie au code qui sert à sélectionner la station, c'est-à-dire sur la neuvième
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impulsion. Le code de rappel sert également à amorcer la transmission a' un code de contrôle à partir de la station sélectionnée et permet ainsi à 1'opérateur d'obtenir de nouvelles indications de contrôle sans produire aucun changement dans les conditions des dispositifs de la station.
Four amorcer un code de rappel, l'opérateur appuie sur le bouton de rappel RCB et aussi sur le bouton de démarrage STB au panneau de commande de la station à laquelle le code doit être envoyé ; il excite ainsi le relais ae démarrage correspondante tel que le relais 234ST. C'elui-ci excite à son tour le relais OM comme on l'a déjà expliqué, et il se ferme alors un circuit passant par la borne B, le contact travail! du relais OM, le fil 83, le contact maintenant fermé a au bouton-poussoir RCB, l'enroulement au relais RCL de maintien de rappel et la borne N. Le relais RCL s'excite, en complétant un circuit de maintien passant par son contact travail a, le fil 72, le contact travail e du relais OLBP et la borne B.
Le bouton-poussoir RCB peut alors être lâché et la transmission continue pendant huit impulsions, durant lesquelles le relais sélecteur 234S du poste central et le relais correspondant S de la station sélectionnée s'excitent comme dans le code de commande déjà décrit. Quand la neuvième impulsion est atteinte, le relais 01 ne s'excite pas, son deuxième circuit d'excitation étant ouvert par le contact repos b du relais RCL. En conséquence, le relais 01T est maintenu excité par le fil 68, jusqu'à la chute au relais OLBP au poste central et du relais LBP de la station sélectionnée.
A cette station, quand le relais LB retombe, le circuit de maintien au relais ST passant par le fil 183 est transféré de la borne B, près au contact travail c du relais LB, à la borne 241, et passe par le contact repos ±. du relais LB, le fil 182, le contact travail e du relais S,
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le fil -236 -et le cOl1tact...:travai:I ±. - dtr':reIais .SR.fü:iBq1Ïe le reh.1s. R::est. passé EU position inverse sur la neuvième impulsion, ce circuit de maintien est ouvert par la chute du relais LB, que la borne 241 soit ou ne soit pas connectée au contact normal a du relais R comme on l'a expliqué plus haut.
Puisque les deux relais SR et S sont excités, le relais SS est déjà retombée s'il était excité précédemment, et la chute du relais ST place par conséquent le groupe de codage de station en état de commencer un code de contrôle dès que la ligne sera libre de nouveau. On voit que, sur la neuvième impulsion du code de rappel:. le relais RCL est remis au repos par le relais OLBP et que l'installation se trouve alors dans le même état que dans le cas où un code de commande est interrompu sur une impulsion impaire par suite d'un défaut. Il en résulte que l'installation est rétablie dans son état normal par la même suite d'opérations que celle décrite précédemment, pour cette condition.
Dans la description précédente de la transmission d'un code de commande par l'installation conforme à l'invention, on a souligné le fait que tous les signaux, aiguilles et autres dispositifs d'un enclenchement, tel que celui représenté sur la figure 2d; peuvent être commandés à distance à partir d'un poste central en ne transmettant qu'un seul code n' exigeant qu'un seul indicatif de sélection de station.
De même, on a montré que les indications relatives à la position des signaux et des aiguilles, à l'occupation ou la non occupation des sections de voies, à l'état des autres dispositifs, peuvent être toutes transmises de la station au poste central pendant un seul code de contrôle, en n'utilisant seulement
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quytan seul indicatif d'appel et de sélection, pour être silr que les indi- cations sont affichées sur le groupe approprié des panneaux du poste cen- tral. Ces codes peuvent avoir une longueur quelconque désirée ou nécessaire pour transmettre les fonctions nécessaires. Les codes de commande et de contrôle pour une station quelconque peuvent également comporter des nombres différents d'impulsions.
Dans les installations généralement utilisées actuellement pour
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réaliser une telle commanae à distance, la longueur aes codes est fixée généralement à seize impulsions, à la fois pour le code de commande et le code de contrôle. Ainsi, pour faire fonctionner l'installation de la figure 2d, deux codes comportant chacun seize impulsions seraient néces- saires dans chaque direction. D'autre part, deux indicatifs d'appel et de sélection seraient indispensables pour sélectionner les différents grou- pes de dispositifs à commander par chaque code. Ceci réduit le nombre total des stations que peut commander un seul groupe de codage du poste central.
Du fait que certains des indicatifs d'appel disponibles ne peu- vent pas être combinés à une station sans prévoir un équipement supplé- mentaire considérable, la position géographique d'une station éloignée, telle que la station représentée, peut empêcher l'emploi économique des indicatifs qui doivent suivre normalement dans l'ordre de la séquence du système. Il en résulte encore de ce fait une nouvelle réduction du nom- bre des stations que l'on peut affecter à un groupe de codage du poste central.
Dans les systèmes anciens, dans lesquels tous les codes comprenaient le même nombre d'impulsions, l'action de synchronisation des remises à zéro du poste central et de la station, à la fin d'un code, était relativement facile et se réalisait principalement en maintenant dans tous les groupes de codage le même temps de chute pour les différents relais. Quand les différentes stations ont des longueurs de code différentes, le problème que pose l'arrêt de l'action de codage du poste central sur l'impulsion appropriée est plus difficile. Gomme on l'a montré, cette action est effectuée par l'utilisation nouvelle de connexions réglables permettant d'obtenir une sélection variable de l'impulsion sur laquelle doit s'arrêter l'action de codage, et aussi par l'emploi au poste central d'un relais qui différencie deux connexions réglables pour une seule station quelconque.
Ainsi, en intercalant dans chaque connexion réglable de cette station les contacts du relais sélecteur de station du poste central, on peut arrêter l'action de codage des groupes du poste central et de la station, en particulier pendant les codes de contrôle, sur la même impulsion du code, de sorte qu'il devient possible de synchroniser les actions de remise à zéro au poste central et à la station.
L'installation conforme à l'invention, même si on prévoit des impulsions supplémentaires dans le code de contrôle, n'exige pas un ou plusieurs groupes supplémentaires de relais intermédiaires d'enregistrement au poste central pour enregistrer les indications positives reçues avant leur livraison aux relais de contrôle. Le groupe unique de relais intermédiaires d'enregistrement est remis à zéro, au moyen d'une nouvelle disposition de circuits comprenant un seul relais, à la fin de chaque groupe de huit impulsions qui transmet les fonctions de contrôle et ce groupe de relais est utilisé de nouveau pendant le groupe suivant d'impulsions similaires.
L'installation conforme à l'invention présente par conséquent plusieurs avantages particuliers par rapport aux installations analogues utilisées actuellement. D'abord, les codes de commande et de contrôle peuvent avoir une longueur désirée quelconque nécessaire pour transmettre en un seul code toutes les fonctions de commande ou de contrôle correspondant à une station. Ceci permet naturellement de commander un plus grand nombre de stations au moyen d'un seul groupe de codage du poste central, puisqu'un seul indicatif d'appel de station est nécessaire pour chaque station. Tout en procurant ces avantages, l'invention permet en outre d'utiliser à une station un équipement supplémentaire moins important qu'avec les anciennes installations.
La synchronisation entre le poste central et les stations est maintenue, bien que les longueurs des codes puissent être différentes, grâce à des connexions réglables et à un relais de synchronisation. Avec tous ces avantages, les différents
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éléments d'équipement utilisés sont cependant maintenus identiques pour toutes les stations.
On a représenté et décrit ici un seul mode de réalisation de l' invention, mais il est bien entendu qu'on peut apporter différentes modifications à l'installation décrite sans éloigner pour cela de l'esprit de l'invention et sans sortir de son domaine.
REVENDICATIONS
1 ) Installation de commande à distance, en particulier pour commander le trafic des chemins de fer, caractérisée par le fait qu'elle comprend un poste central et plusieurs stations connectés par un circuit de ligne, le poste central et chaque station étant équipés d'émetteursrécepteurs de code pour transmettre et recevoir des codes sélectifs entre le poste central et une station particulière quelconque, chaque code comprenant une première partie composée de plusieurs impulsions formant un indicatif d'appel distinctif pour sélectionner une station particulière, et une deuxième partie formée de plusieurs impulsions pour commander certains dispositifs de la station considérée ou pour indiquer au poste central l'état de ces dispositifs,
la deuxième partie d'un code comportant un nombre d'impulsions différent à chaque station et des nombres différents d'impulsions pour le code de commande et le code de contrôle de la station particulière considérée ; chaque émetteur-récepteur comprenant un maître-relais qui occupe une première position quand le groupe émetteurrécepteur exécute une émission et une deuxième position quand ce groupe effectue une réception, une chaîne de relais de comptage pour produire les impulsions, et un relais d'arrêt du ocde qui, quand il est excité, arrête l'action de codage de la chaîne de relais de comptage ;
le poste central comprenant également un relais sélecteur pour chaque station, ce relais sélecteur étant actionné pendant la première partie des codes entre le poste central et la station particulière considérée, un moyen pour synchroniser l'arrêt de l'action de codage de l'émetteur-récepteur du poste central, à la fin d'un code, avec l'arrêt de l'action similaire de codage de l'émetteur-récepteur de ladite station, quelle que soit la longueur de la deuxième partie du code;
ledit moyen comprenant un circuit, en parallèle avec le circuit de commande d'un relais particulier de ladite chaîne de comptage qui correspond à l'impulsion finale désirée, ce circuit du moyen de synchronisation comprenant un contact en position commandée d'un autre relais de ladite chaîne de comptage, en avance d'un rang sur ledit relais particulier, un contact en position commandée dudit relais sélecteur pour ladite station particulière, un contact en première ou seconde position du maître-relais dudit émetteur-récepteur du poste central suivant que le code est un cade,de commande ou de contrôle, et l'enroulement dudit relais d'arrêt de code audit émetteur récepteur du poste central,
grâce à quoi ledit relais d'arrêt de code au poste central est excité pendant l'impulsion finale d'un code quelconque de ladite station particulière et l'action de codage du poste central cesse en même temps que celle de la station.
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The present invention relates to a remote control installation and more particularly to a centralized traffic control installation for railways. The installation according to the present invention comprises a central station and several stations connected by line wires, through which pulse coded signals are transmitted to actuate certain devices intended mostly for controlling traffic and arranged along the track, as well as to indicate to the central station the position or the state of these devices.
The present invention is an improvement of the plant described and shown in the patents of the United States of America.
N 2,411,375 and 2,442,603 of November 19, 1946 and June 1, respectively
1948. The installation according to the present invention is therefore of the time-coded type, which uses long and short element codes transmitted only one at a time on a single line circuit.
The elements constituting the installation according to the present invention are preferably assembled in the form of coding, storage and extension groups, which each contain a group of relays. The installation uses a station coding group at each station location to transmit control codes and to selectively receive control codes; as well as expansion groups, as required, to associate the devices at this location with the station coding.
The central station equipment preferably comprises an individual control panel for each group of traffic control devices, and a coding group which is connected by the line circuit to the station coding group to selectively establish communication between each. panel and the corresponding group of stations.
In most installations of this type currently in use, including those described in the two patents mentioned above, the length of all command and control codes is determined by a fixed number of pulses, for example 16 Normally, the first half of each code is needed to provide each station with a coded and distinct call sign. This selection of stations is necessary for the control codes to be selectively received by the appropriate station, and for the control codes to be stored on the correct panel of the central station.
Since the last pulse of the code is necessary to reset the installation to zero, only seven pulses of the sixteen pulses generally used are thus available to fulfill the command and control functions. If the number of devices to be controlled and monitored at a station exceeds seven, then it is necessary to use an entire additional code, assigning a separate, coded station call code to each additional group of seven functions. Additional storage and selection equipment should also be provided at the station.
In the past, seven code pulses have generally been sufficient to fulfill the desired command and control functions in the stations of most centralized traffic control systems (systems designated by the abbreviation CTC. However, as a result of the Increasing complexity of railway signaling systems, the need for additional code pulses at stations is increasingly felt particularly to provide additional control indications with the aim of increasing efficiency of the installation.
Since the number of call signs available with a single central station coding group is mathematically limited, this number being equal to 35 in a sixteen pulse coding system, the use of additional station identification codes, in many stations, may require more than one section of line, where one section might otherwise have been sufficient. This requires additional coding equipment at the central station and at the same time, either more line wires,
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or high-frequency carrier current equipment, all of which increases the cost of the installation.
It would be clearly advantageous to be able to provide a station with additional code pulses as desired, without having to use another station identification code and with minimum additional equipment. In other words, the flexibility, which would allow a station to use the regular code with any desired length, would increase the efficiency and utility of the signaling system, while lowering the cost of the installation. It would also be desirable to be able to use command and control codes of different lengths at any station, each code comprising only the number of pulses necessary to fulfill the desired functions, without any of them being limited to. an exact multiple of any base number such as eight.
Thus, the codes would not be limited to lengths corresponding to 16, 24, 32 or 40 pulses; moreover, one could transmit a greater number of codes per unit of time, which would constitute a definite advantage in a congested installation.
However, to maintain the flexibility of current systems, the ability to change the code length as desired must be realized with items of equipment that are standardized at all stations; that is, coding groups and code extension equipment must be of identical design for all stations, so as to maintain the interchangeability of parts.
If we want to achieve an installation of this kind, with codes whose length can be modified according to the needs of the different stations in the field, and even with the possibility of obtaining command and control codes of different lengths. for any station, some means must also be available to synchronize the termination of the coding action. In other words, the coding action at the central station must stop on the appropriate pulse for each station, regardless of the particular length of the code. This is especially true during control codes, when it is necessary to stop the coding action simultaneously at the central station and at the field station in order to properly reset the installation and prevent loss. or incorrect registration of the following codes.
Such synchronization means must be capable of performing such an action on a selective basis depending on the station for which the code is intended.
The object of the present invention is therefore to provide, in an installation of this type, a method for extending the code to any desired length, at any station, in order to carry out additional commands or controls, and this without using additional station designation codes.
To achieve this goal, the invention provides for adding relays to the counting chains of the coding group in order to extend the coding action and thus to produce additional code pulses.
The invention also proposes to provide an adjustable means for terminating a code on any even pulse after station selection, whereby the command and control codes can have different lengths at a station, and at the same time a different length from that of codes similar to other stations, each code comprising only sufficient pulses to transmit the desired functions.
The invention is characterized by the fact that, to achieve this goal, it provides at the central station and at each station a means for energizing the last relay of the counting chain as soon as all the functions have been transmitted, thus terminating the code. .
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The invention also aims to keep items of equipment identical to the different stations while achieving the characteristics mentioned above.
The installation according to the invention also comprises an appropriate means for synchronizing the resetting of the coding groups of the central station and of the station at the end of the control codes, so that the group at the central station and the group of stations terminate the coding action on the code pulse marl, regardless of the length of the control code transmitted by any station.
In accordance with a further feature of the invention, the delivery of all control indications to the central station takes place without increasing the number of intermediate registration relays in the central station coding group above the number used. in current installations.
Another characteristic of the invention resides in the fact that all the coding groups of all the stations are identical, as are all the code extension groups; all central station groups, in applications requiring more than one line section, are also identical.
The other objects and characteristics of the invention will appear in the description which follows.
A particular embodiment of the installation according to the invention will now be described.
Certain characteristics of the installation shown in the accompanying drawing and described below do not form part of the invention; they have been described in the patent application filed in Belgium on the same day by the applicant for "Remote control installation, particularly for centralized control of traffic in railways.
If we now consider the accompanying drawing, we see that Figures la, 1b, 1c and 1d juxtaposed to each other in this order, with Figure 1a to the left, show in a condensed form the central station equipment used in a embodiment of the centralized traffic control installation according to the invention. The device shown in Figures la and 1b generally comprises the central station coding group; it is enclosed in a cabinet known under the name of "central station line coding group" and hereinafter referred to by the reference OLC. On the contrary, the pulse transformer RT, the batteries, the low pass filter OLPF and the disconnect button DB shown in figure 1a are preferably mounted outside the OLC group.
The device shown on the left in FIG. 1c comprises part of the "pyramid" circuit of the central station. The right side of the figure shows the circuits and the equipment used to increase the length of any code, including the adjustable connections to give the command and control codes different lengths for any station. Figure 1d shows two individual panels of a C.T.C. installation, which contain the levers, pushbuttons, track diagrams and lamps for commanding and controlling a group of traffic control devices at a station. The selector relays used to associate these two panels with the central station coding group are shown in the lower right part of figure 1c and in the lower part of figure 1d.
It is understood that each panel or group of panels, in a C.T.C. installation, is connected in a similar way to the OLC groups, but by means of a different arrangement of the selection relays.
Figures 2a, 2b, 2c, 2d and 2e juxtaposed in this order,
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with figure 2a on the left, represent the corresponding device of a characteristic field station, in the case where only one code extension group is needed to activate the command and control devices at this station. control. The device of Figures 2a and 2b and the left part of Figure 2c comprises the station coding group. As seen by the phantom lines in Figures 2a and 2c, most of this device is generally enclosed in the cabinet of a line coding group, commonly referred to as an "LC group".
This LC group includes, the device to the right of the phantom part of FIG. 2a, the entire device of FIG. 2b and the device to the left of similar phantom lines of FIG. 2c. In the right part of FIG. 2c, a code extension group is shown in phantom; this group is added to this station so that all commands and controls can be executed by a single code. FIG. 2d includes a diagram of channels showing a typical installation which can be controlled by a station. This figure shows schematically the needles and the signals necessary to control the movement of the trains to an interlocking which is the center of an arrangement of "overlapping" connecting tracks.
The remainder of Figures 2d and 2e show the station group relays which can be used to command and control the typical traffic control devices shown in the drawing. Of course, for this channel diagram, only the relays and circuits necessary to illustrate the operation of the coding device have been shown, and that the dotted lines have been conventionally used to represent the connection of the various devices. . Note that the interlock @@ e @@ ent, with its track devices shown in Fig. 2d, is the one controlled by the C.T.C. shown in Figure 1d.
Figure 3 shows part of the code extension circuit shown in the right-hand part of Figure 1c. Additional station selection relay contacts have been added to these circuits, with corresponding adjustable connections for stations other than that shown in Figure 2. This facilitates the explanation of the timing of the code stop actions by. the central station and the stations in the field, synchronization making it possible to produce codes of different lengths.
Figure 4 is a composite view of the adjustable connections required at stations, whose call signs are shown in Figure 3, to complete control codes at each station on the pulse that has been selected.
The same reference characters designate the same parts in the different figures of the drawing.
If we first refer to Figure la, we see that the letters Y and Z designate two line wires which extend from the central station to several stations in the field. At the particular station used to represent the operation of the installation, these Y and Z line wires appear in Figure 2a. These two wires make a line circuit for the C.T.C. in accordance with the invention and can also be used as telephone and telegraph wires, as has been indicated with regard to the wires designated in a similar manner in United States Patent No. 2,303,875 of December 1, 1942.
This line circuit, as seen in the drawing, is normally excited by a current supplied by the battery 77 of the central station; the positive terminal of this battery is normally connected to the line wire Y and its negative terminal to the line wire Z, through the rest contacts b and d of a polarity change PC relay, similar contacts of the emitter relay 01T from the central station and finally the coils of a
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appropriate OLPF low pass filter. Control codes are transmitted by opening and closing the line circuit by periodic operation to the OIT relay.
The line circuit also comprises the resistors R1 and R2 of the central station, and the primary windings of a pulse transformer RT by means of which the line relay OR of the central station is controlled on reception, of control code .
The OR relay is of the so-called "polarized" or "magnetically-held" type which was described in US Pat. No. 02,303,875 mentioned above. The arrangement of this OR relay is such that, when the current passes through one or the other of its windings in the direction of the arrows, its armature passes to its normal position by closing its normal or left contacts. The flow of current in the opposite direction, through one or the other of the windings, causes the closing of the reverse or right-hand contacts. Thus, the OR relay responds to pulses of alternately opposite polarities which are supplied by the transformer RT when the line current varies as a result of the operation of the station transmitter relay 1T, shown in FIG. 2a.
The control codes are transmitted by operating the 1T relay to connect the line wires together periodically, through a relatively low impedance compared to the normal impedance of the line circuit. This low impedance comprises the coils of an LPF low-pass filter similar to that of the central station and interposed between the line and the station apparatus.
At each station, as seen in Figure 2a, a high resistance R line relay is tap-connected across wires y and Z and in series with resistor R3; this connection normally comprises contacts b and d in the rest position of a master relay M and the coils of the low-pass filter LPF. The line relays R of the stations are of the polarized type and are normally excited in parallel by the current supplied by the line battery 77 of the central station. Each relay R closes its left or normal contacts! Il: and b when its left terminal is positive, and closes its right or "reverse" contacts a and b when it is energized in the opposite direction, with its right terminal positive, or when he's not excited.
In other words, when the current passes through the winding of the current R in the direction of the arrow, its armature is actuated to close its normal contacts, that is to say its left contacts. When current flows through the relay winding in the opposite direction to the arrow, or when no current is flowing through it; the armature of the relay is polarized to close its right-hand contacts or reverse currents. The connection of the station device to the Y and Z line wires is controlled by an RPP "fault" relay, in a manner which will be explained later, but as this relay does not intervene in the normal operation of the system. , it can be assumed for the moment that it remains in its normal excitation position shown in the drawing.
The system according to the present invention is designed to use codes normally having sixteen pulses, when transmitting to a current field station or when receiving from that station, which requires only such a code of standard or normal length. However, this system makes it possible to extend, that is to say to lengthen the codes, according to the needs of the stations which require additional command or control pulses to transmit all the necessary functions. It is also possible to shorten the codes below sixteen pulses, as will be explained a little later.
In each command code supplied by the central station transmitter relay OT, the line circuit is open during each odd-numbered pulse and closed during each even-numbered pulse. The character of each transmitter pulse, which is short or long, is determined by the time interval during which the transmitter relay 01T
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is excited or not excited.
More particularly, the central station coding group is enabled to transmit a control code by energizing the master-relay OM of FIG. 1a; this relay completes the circuits intended to produce the periodic operation of the associated transmitter relay 01T, with the aim of opening and closing the line circuit and consequently to activate the line relays R simultaneously at all the stations during the opening periods and closure both constituting elements of the code. The OIT relay is alternately energized and put back to rest to produce short pulses of the code, by the rest contacts of the counting chain relays connected in series. As will be explained a little later, the long and odd pulses are produced by keeping the relay 01T energized by different holding circuits.
A second transmitter relay is added, the 02T relay responsible for participating in the setting of the code pulses, as was explained in US patent 2,442,603 already mentioned above. The 02T relay is energized when the OIT relay energizes itself. When it has fallen back to rest, the 01T relay cannot be energized again until the 02T relay has dropped out. Thus, the duration of the even pulses is determined by the fall of relay 02T. which is kept energized by holding circuits analogous to those of relay 01T to produce the long and even pulses. At the station in the field, the transmitting relays 1T and 2T control the transmission of the control codes in a similar manner, as will be explained a little later.
When the line circuit is opened to start the first element of a code, each line relay R drops out and its reverse contact b closes a circuit from the positive terminal B of an appropriate local source of direct current through the wire 174, contact d in the rest position of relay CS, wire 175, contact a in rest position of relay 2L, contact d in rest position of relay LBP, the winding of relay 1L and finally the negative terminal N of the direct current source.
The armature of relay 1L is then attracted and its contact a in the working position closes a circuit passing through terminal B, the reverse contact b of relay R, wires 174 and 175 and the rest contact d of relay CS which is has just described, the winding of the relay 2L and finally the terminal N, so that the armature of the relay 2L is energized and closes an obvious holding circuit by its own contact â in the working position. Excitation of relay 2L also closes a circuit passing through terminal B, the contacts e in the working position of relays 1L and 2L, the winding of relay LP and terminal N. The resulting attraction of the armature of the LP relay in turn closes a circuit passing through its own contact a in the working position, to energize the LB and LBP relays, whose armatures are then attracted.
The LBP relay is energized in tandem with the LB relay, when the contact of the latter in the working position closes, so that these relays drop successively when the LP relay is no longer energized.
When the armature of relay 2L is attracted by the first pulse of a code, its contacts a and d pass the connections, resulting in the winding of relay 1L, from the reverse contact b to the normal contact b of relay R, then contact d in the working position of the LBP relay closes to maintain this last connection until the code is terminated. It follows that the relays IL and 2L are energized alternately, the relay 1L via the normal contact b of the relay R, and the relay 2L via the reverse contact b of the relay R, in response to periodic operation. of the armature of relay R.
Relays IL and 2L remain energized for the duration of the short pulses of the code, relay 1L dropping during each long pulse of odd number and relay 2L during each long pulse of even number.These relays are therefore used to indicate the character of the code received and also, in cooperation with the LP relay, to control the length of the long pulses of a code generated by the associated transmitting relay T. The LB relay and its repeating relay
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tor LBP are transition relays; each of them keeps its contacts closed in the working position for the duration of a code; it is used to prepare different local circuits when the coded operation of relay R begins and to open them when this operation ceases.
The line relay OR of the central station, shown in figure la, controls an analogous group of timing relays 01L, 02L, OLP,
OLB and OLBP These relays operate in a manner analogous to that which has been described for the field station. However, the OR relay is normally not energized and, like a magnetic hold type relay, it can hold its contacts in either position, in which they were placed by a momentary pulse. It can therefore be accidentally reversed. If this happens, the OR relay is automatically brought back to its normal state by the action of the time relays in a manner which will be explained later.
It can therefore be assumed that the OR relay, although not energized, occupies its normal position corresponding to that of the station line relay R normally energized when the system is in its normal or idle state, it is that is, when no code is transmitted in either direction.
When the OR relay receives control codes, it is actuated by pulses of alternately opposite polarities, which are supplied by the transformer RT. During the transmission of the control codes, the master relay OM (figure la) is kept energized and its contact c, bypasses the secondary of the transformer RT and disconnects it from the relay OR, which is then locally controlled by the transmission relay 01T.
When the OM relay energizes, the OR relay also energizes in the normal direction, as seen in the drawing, through the circuit passing through the midpoint 0 of the local battery 78, the lower winding of the relay, contact e in the rest position of relay 01T, contact e in working position of relay OM and finally the negative terminal N of the local battery.
The OIT relay is energized via the work contact d of the OM relay. By getting excited, it closes its work contact c and thus energizes relay 02T. These two relays are then controlled respectively by the wires 61, 68 and 70 and by the wires 62 and 71 respectively, in a manner which will be explained later, in order to generate the code.
Whenever the OIT relay is energized it opens the line circuits at its contacts b and d in the rest position, to release the line relays R at the stations, and it connects the line wire y to the line wire Z through the contacts correspondents in working position. through resistor R4, to produce the line load current. This latter action is especially desirable when the line or any part of it is in a cable. At the same time, relay 01T switches the armature of relay OR to its reverse position by the current flowing through the circuit, which passes through the positive terminal D, contact e in the working position of relay 01T, the lower winding of the OR relay in the opposite direction to the arrow, and finally terminal 0.
Each time the 01T time delay relay lets its armature drop, it closes the line circuit to switch the armatures of the R line relays to the normal position, and at the same time switches the armature of the OR relay to the normal position by closing the circuit which extends from terminal 0 of the local source through the winding of relay OR and passes through contact e in the ON position of relay OM to end at terminal N. The mature ar OR thus operates simultaneously with the armatures of the R relays during the transmission of the command codes.
Each line relay controls a chain of counting relays by circuits generally analogous to those of the already mentioned American patent 2,411,375. Thus, the OR relay controls, by means of
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ae its contact a, chain relays ae count 01 to 08 and OCS ae in figure 1b, and extension count chain relays 16, 17-21, 18-22 19-23 and 20 in figure 1c. Each relay R controls an analog counting chain.
When the extension group is not used, the station count chain only includes relays 1 to 8 and CS in figure 2b. When using an extension group, such as the one shown in Figure 2c, relay R also controls counting chain extension relays A through 4A inclusive.
As will be explained during the remainder of the description, some of the relays in the counting chain not only count a particular pulse of a code, but also have a secondary role consisting of preparing circuits to bring back the count. coding action in order to use certain counting relays again or to extend the coding action by using extension relays. Thus, the central station relay 08 and the station relay 8 not only count the eighth pulse of a code, but also prepare circuits to bring back the coding action in order to use the relays respectively again. 01 to 07 and 1 to 7 and count the pulses 9 to 15.
The central station relay 16 and the station relay A not only count the sixteenth pulse of the coae, but prepare circuits to extend the coding action beyond the sixteenth pulse by using the extension relays respectively. 17-21 to 20 and 1A to 4A. which count the pulses 17 to 20. The relays 20 and 4A have a secondary role similar to that of the relays 08 and 8, that is to say the preparation of circuits to use again respectively the relays 17-21 to 19- 23 and 1A to 3A to count the pulses 21 to 23.
If the coding action is to have a duration longer than twenty-four pulses, a relay 24 of the central station and the relay A of a second extension group of the station function as the relays 16 and A mentioned above. above. The function of the OCS and CS code stopping relays, which both become the final relay in the chain corresponding to the relay, will be described below.
The number of counting chain relays at a station varies according to the maximum number of pulses necessary for the command code or the corresponding control code, as will be explained later, At the central station, the number of relays of the Count chain should match the largest number of relays in the similar chain to any station on the line circuit.
Note, however, that relay 08 and an OCR chain repeat relay at the central station, or relay 8 and a CR chain repeat relay at the selected station, are energized at the end of the first cycle of the operation of the chain. counting of the coding group. Chain repeater relays are needed, as will become apparent from the remainder of the description, to prepare for various associated actions occurring on the eighth pulse and also to participate in the rollback of the coding action for a cycle of. repetition. The chain repeater relay is kept energized for the remainder of the code to put other circuits in use to extend the coding action and to control delivery of the various functions.
Analogue chain repeater relays, the OCRA relay at the central station and the CRA relay at the station, are used to allow the circuits to produce a repeat action of the extension count chain. These relays are energized on the same pulse as relay 20 of the central station and relay 4A of the selected field station. Once energized, they remain energized for the remainder of the code to participate in a further extension of the coding action and delivery of the various functions during code extension pulses.
If we now consider Figures 2a and 2b, we see that an excitation circuit of relay 1 is momentarily closed in response to the first of a series of operations of relay R. This circuit passes through the
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terminal B, reverse contact to relay R, wire 171, contact c in rest position of relay CS, wire 172, contact b in rest position of relay LBP, contact g in working position of relay 1L, resistance
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R7, wire 156, the winding to relay 1 and finally terminal N. Relay 1 therefore energizes under the action of the first pulse of a code after energizing at relay 1l. When the LBP relay is energized, opening ae its contact b in the rest position cuts off the circuit just indicated and closes a circuit holding relay 1.
This holding circuit goes through terminal B, reverse contact a to relay R, wire 171, con-
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tact in rest position of relay CS9 wire 172, contact b in working position of relay LBP9 resistor R8 wire 157, contact 12 in rest position of relay 2, contact a in working position and relay winding 1, and finally terminal N. When relay R goes to its normal position to start a second pulse of the code, terminal B is disconnected from relay 1, which however remains energized thanks to the discharge circuit provided by the half rectifier. alternation connected to wire 157.
A circuit is now closed passing through the bor-
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ne Bd the contact in the normal position of the relay Re the contact g in the working position of relay LBP9 the resistor R99 the wire 158. the contact a in the rest position of relay 8, the working contact b of relay 1, the relay winding 2 and finally the N terminal. Relay 2 therefore energizes and closes its ae maintenance circuit passing through terminal B, wire 158, its own contact !! in working position and contact b in rest position of relay 3. Operation of contact b of relay 2 disconnects the relay
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1 of the half-wave rectifier and closes a second discharge circuit for relay 1 through the winding of relay 3.
Consequently, relay 1 drops out for a short time after relay 2 has been energized, but without providing a spark to. its contact a, the drop of which connects relay 3 to wire 157 to put this relay in a state to respond to the third pulse of the code. The third pulse begins when the relay R
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goes back to the reverse position by closing its cottact a in the reverse position, to supply current to wire 157 via a circuit previously defined as forming part of the holding circuit of relay 1. This circuit passes through contact a in the rest position of the relay 1 and contact b in the working position for relay 2 and crosses the winding of relay 3 to end at terminal N. Relay 3 is thus energized.
Relays 4 through 8 inclusive are controlled in an analogous manner, one at a time, by current flowing alternately into wires 157 and 158 in response to pulses 4 through 8 inclusive of the code. If the various operations associated with these code pulses, as will be explained later, are performed correctly, a chain repeater CR relay is energized by the eighth pulse.
This prepares for relay 1 an excitation circuit passing through contact b in the working position of relay 8, so that relay 1 operates immediately after relay
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8, this circuit also comprising the contact g in the working position Cm relay CR and the contact a in the rest position of the relay 7. The relays 1 to 7 inclusive are then controlled by means of a second cycle under the action of the pulses 9 to 15 of the code.
On the sixteenth pulse of the code., The first relay of the extension counting chain, that is to say the relay A placed in the extension group, is energized in place of the relay 8. The circuit of this relay A is energized through wire 158, the rest contact a of relay 6, the con-
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working contact.! 2 of relay 7.gle/ working contact h of tel-7 to CR, resting contact g of relay 8j wire z, the winding of relay A and terminal N. When relay A is on energizes it completes a holding circuit passing through its
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own contact ag wire 158.9 wire 205 and rest contact b of relay 1A.
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When relay A closes its make contacts, a circuit is prepared to energize relay 1A on the seventeenth pulse of the code.
This circuit passes through wire 157, the work contact g of relay CR, the rest contact a of relay 7, the rest contact b of relay 8, wire 207; the working contact b of relay A, the winding of relay lA and terminal N.
When relay 1A is energized, it establishes a holding circuit by its own work contact a, the rest contact b of relay 2A, wire 208 and wire 157. It can therefore be seen that the excitation of relay lA is analogous. to that of relay 1 on the ninth pulse. The equipment is now also prepared so that the other relays of the counting chain of the extension group are energized in a manner analogous to relays 2, 3 and 4 of the counting chain of the LC group. The relays 2A, 3A and 4A are energized respectively on the pulses 18, 19 and 20, in a manner analogous to that described above, due to the action of the relay R which follows the code.
On the other hand, the action produced after energizing relay 4A is very similar to that obtained when relay 8 energizes at the end of the first operating cycle of the LC group counting chain. It has already been indicated that the CRA relay energizes on the same pulse as the 4A relay, that is to say on the 20 pulse. In conjunction with the 4A relay, the CRA relay prepares a circuit so that the relay lA follows relay 4A in the action of the counting chain. This circuit passes through wire 208, the working contact b of the CRA relay, the rest contact a of the 3A relay, the working contact b of the 4A relay, the winding of the lA relay and the N terminal.
Thus, when relay R switches to the reverse position on the twenty-first pulse of the code, by closing its reverse contact a, relay lA is energized in the same way as relay 1 following relay 8 on the ninth pulse code.
Relays 2A and 3A follow relay 1A if the coding action continues, energizing on the twenty-second and twenty-third pulse of the code, respectively. It is obvious that the coding action of the count string could be extended indefinitely by adding extension groups. In a second extension group, a second relay A would be energized on the twenty-fourth pulse of the code, by means of a circuit passing through wire 205, the rest contact a of relay 2A, the working contacts h and e respective relays 3A and CRA, and the rest contact e of relay 4A. This would then be followed by the energization of relays 1A, 2A and 3A of extension group N 2.
The field station group coding operation continues until, as will be explained below, the OR relay of the central station remains in the normal position and the station relay R therefore also remains with its contacts in normal position. At this time, the device is returned to its normal state of rest. When the station receives a command code, it is not necessary for the code stop relay CS to be energized, since the device will return to its initial state without operation of this relay. The operation of the CS relay terminating the transmission of a control code from the station will be described later.
If we now refer to Figures la, 1b and 1c, we see that the central station counting chain circuits are similar to those just described for the station. Relay 01 receives current on the first pulse of the code through wire 75 and is energized. The other relays 02 to 08 are actuated successively by the current supplied alternately by the wires 98 and 90, in response to the periodic operation of the relay OR. The central station OCR chain repeater relay energizes on the eighth pulse to prepare circuits to re-energize relay 01 on the ninth pulse and initiate a repeater cycle of operation of relays 01 through 07.
The OCR relay also prepares circuits to subsequently energize the relay 16, which is external
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to the OLC group. At the central station, relay 16 takes the place occupied by relay A at the station. This relay 16 operates on the sixteenth pulse to prepare circuits for energizing on the seventeenth pulse the extension relays 17-21, which are also external to the OLC group.
Relays 18-22, 19-23 and 20 follow in this order the relay 17-21, in the same way that the relays 02,03 and 04 of the OLC group follow in this order the relay 01. The relay 20 is also analogous to relay 08, in that it has a secondary role in the counting chain action and acts in conjunction with the OCRA repeater relay, which also energizes on pulse 20. Circuits are then pre - prepared by these two relays so that relay 17-21 is energized on pulse 21 following relay 20. Relays 17-21, 18-22 and 19-23 repeat as follows in this order pulses 21 to 23.
Obviously, one could extend the code as many pulses as one wanted by adding additional relays to the extension count chain. A relay 24 would be provided to be energized on the pulse 24, in the same way as the relay 16. The energization of the relay 24 would be controlled from the wire 90 passing through the resting contact a of the relay 18- 22, the work contact h of relay 19-23, the work contact f of the OCRA relay and the rest contact ± of relay 20. The coding action would then continue and end when all the functions have been received or transmitted.
At the central station, however, it is necessary that the OCS code stop relay be energized on the final impulse of each code, both when the central station transmits a command code and when it receives a control code. A repeater marten-relay, the OMP relay, is provided to distinguish between these two types of code. As will be explained later, circuits are formed by the make contacts h of relays 01, 03 or 05, the make contact b of relay 07, or the make contacts h of relays 17-21 or 19-23, the contacts work of the station selector relays, and a work or rest contact of the OMP relay depending on whether it is respectively a command code or a control code, in order to energize the OCS relay on the final pulse any code.
When the OCS relay is energized, the opening of its rest contact µ cuts the holding circuit of the master relay CM. The fall of this relay causes the end of a command code. During a control code, the opening of the rest contact c of the OCS relay causes the PC relay to drop, which returns the entire system to zero. A more detailed explanation of this action will be given later.
We will now describe the transmission of a control code step by step by the device of the central station (Figures la, 1b, 1c and 1d).
To start a control code, the operator momentarily presses a start button 234 STB, shown in Figure 1d and identifying the control panel associated with the station storage group to which the code is to be transmitted, in order to activate thus a starting relay such as relay 234 ST. The 234 ST relay drive circuit goes through terminal B, the now closed contact a of the 234 STB start button, wire 67, the coil of the 234 ST relay, the normally closed contact of the CB cancel button and finally the N terminal. The utility and use of the CB cancel button will be briefly described.
Relay 234 ST is kept energized by a holding circuit passing through terminal B, the contact in rest position f of an associated panel selector relay, such as relay 234 S, the contact in working position a of relay 234 ST , the winding of this relay, the contact of the cancel button CB and finally the terminal N. Thus, the relay ST is kept energized until the desired selection has been made.
Wire 47 (figure le.) Is normally connected, by the contacts
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in the rest position of the various E, F and G selector relays, with branches extending to contact b of the start relay ST of each panel. Closing the contact in the on position b of relay 234 ST consequently establishes the connection of the neighboring terminal B to a particular branch, which includes the contacts in the off position g of relays 23G, 2F and E, and ends at wire 47. If the system is in its normal idle state so that the 01L and 02L relays are not energized, a circuit is established by the wire 47, the contacts in the idle position b of the 01L and 02L relays;
the winding of the OM relay, wire 17, the normally closed contact of the CB cancel button and finally the N terminal. The OM relay therefore energizes in response to the operation of any starting relay, such as the 234 ST relay.
The previously mentioned CB cancel button is provided to allow the operator to immediately correct an error. When this button is pressed, the N terminal of any energized relay ST is disconnected, which consequently falls back to the idle state. The device therefore returns to its original position, so that the operator can correct his error and restart the coding action by acting on the associated start button STB. Since the connection of the CM relay to the N terminal of the source is made also by the cancel button and by the wire 17, the manipulation of this button at any time of the code produces the interruption of the command code and the reset. of the device in the starting position.
On the other hand, since all the ST relays are connected to terminal N by the same cancel button, the entire central station device is reset by manipulating the CB cancel button, which removes all code actions and releases all "stored" start relays that are to say, having been energized to store a code.
The activation of the OM relay completes a pulse circuit for the 01T transmission relay of the central station; circuit passes through terminal B, rest contact g of relay 19-23, rest contact g of relay 17-21, wire 94, rest contact e of relay ces, rest contacts g of relays 07, 05, 03 and 01, wire 68, work contact d of relay OM, rest contact b due to relay 02T, the winding of relay 01T and terminal N. The relay OIT therefore energizes to start the first pulse of the code. , its rest contacts b and d opening the line circuit to drop the station line relays R, and its work contact .2 completing a circuit defined previously to switch the OR relay to its reverse position.
The second transmitter relay 02T is also energized by a simple circuit completed by the closing of the work contact c of relay 01T.
The operation of the OR relay energizes the OL chain of time relays and the first counting relay 01 as has already been explained.
When the OLB and OLBP relays are energized, their work contacts c complete a circuit for maintaining the OM relay. This circuit passes through terminal B, the rest contact e of the OCS relay, wire 156, the work contacts c in parallel with the OLB and OLBP relays, the work contact a and the winding of the OM relay, wire 17, the button CB suppression and terminal N.
The first pulse of each control code is a long pulse, so as to distinguish this mode from a control code, in which the first pulse is relatively short. When relay 01T energizes, followed by relay 02T, a holding circuit is completed by work contact a of relay 01T, work contact b of relay 02T, work contact d of relay OM, wire 68 and finally the pulse circuit described above. When relay 01 is energized on the first pulse, its rest contact g opens this pulse circuit of relay 01T, but the latter is kept excited by a bypass to generate the desired first long pulse.
This bypass used to keep relay 01T energized goes through terminal B, the rest contact g of relay 19-23, the pulse circuit defined previously, the rest contact g of relay 03,
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the work contact c to relay 01, the break contact of a relay SP, wire 61, the work contacts in parallel e of relay 01L and b of relay OR ', the work contact a and the winding of relay 01T and finally the terminal
N. The 01L and OLP relays then drop out successively, opening on the working contact b of the OLP relay opening the holding circuit and causing the 01T relay to drop. The fall to relay 01T, in order to start the second pulse of the code, closes the line circuit, energizing the line relays R, and switches the OR relay to its normal position.
As a result, relay 02 is energized and relay 01 drops out, as explained previously.
The closing of the rest contact g of relay 01, during the second pulse, completes the previously described pulse circuit of relay 01T via wire 68, this pulse circuit operating repeatedly so as to generate code pulses. However, the relay
01T cannot be energized as long as relay 02T has not dropped to close its rest contact b. Thus, the relay 02T drop time is used to determine the duration of the short and even pulses of the code, since the even pulses end with the energization of the 01T relay.
Similarly, the 01T relay drop time is used to set the duration of the short, odd code pulses, since odd pulses end when 01T relay drops out. The energization time of the 01T and 02T relays does not have a significant influence on the duration of the short elements of the code. This differs from the operation of the device of US Patent No. 2,411,375 mentioned above and this results in better control of the duration. impulses.
The wires 61 and 70, as well as the wires 62 and 71, provide connections described in detail a little later and intended to keep the relays OIT and 02T respectively energized, in order to generate the long pulses in the code. During pulses 2 to 8 inclusive, the arrival of the current supplied by terminal B is effected by wires 70 and 71 and is controlled by the contacts of the station selection relays.
During the eighth pulse, the OCR relay energizes, and the control of the current coming from the terminal B is then effected by the wires 61 'and 62, from the contacts of the function control levers, and through the intermediary work contacts of relays 0-IL, 02L and OLP. Thus, the length of these last pulses of the code is determined directly by the drop stop of the OLP relay. Note however that, during pulses 2 to 8, when the excitation of the various station selector relays ends the current supply, which keeps relays 01T and 02T energized during the long code pulses, the operation of these station selector relays is controlled by the 01L, 02L and OLP relays as will be explained below.
Thus, the timed chain relays also enter into the setting of the long code pulses during the station selection portion of the code.
The second through eighth pulses of each code can be arranged in any of 35 different combinations of three long pulses and four short pulses, to form separate call signs, which are identified by numbers. three digits in which the digits represent the long pulses of the callsign. Thus, the number 234 assigned to the individual panel ae in figure 1d and to the corresponding station storage group of figure 2 constitutes a call sign in which the second, third and fourth pulse of the code are long, while the impulses of the fifth to the eighth are short.
The codes for the code are generated by connections starting from terminal B and work contact b of the central station starter relays ST and ending at wires 70 and 71; these are arranged so that when more than one of the starter relays are energized, their respective codes are transmitted to
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only one at a time in a given order of priority. A long element takes precedence over a short element in each pulse; in other words,
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1-'irÀdicatîf 234 is the first in terms of priority, 235 is next and so on, the code 678 being the last.
The selection of the panel containing at the central station an excited relay ST is performed by the energization of an input relay E (figure le), in response to the first element of the code then by the energization of three relays successively by means of the -three long elements- of the callsign
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three relays include a first selector relay, a group G selector relay and a rsla3.ssé.esesccaecâi; is aoat 1zttetttified: tp; lus pertix.iax- àèéq1Ï.XeJ3, denoting the code elements that cause 1-eup to operate. ent..Pr..LexIe relay 2F- "t sensitive = BU. ùbumiàtp: elémen1il.e relay 23G to the third pism'sn'tf oursu.y.3et¯eâ.is aitiéùé BCtion # .. e; t relay 234 &:!: astb1lenati1: q.Uúw1 e: tr1ème'Jélent; '- p} 1LWV: nequele relay 23t Gi dt been act.ctQuancerseet.sstLiti.toutsa capacity: I: té,: I.i3.c:
-a. device 1 Uses ei-nq relays z ', fifteen relays G, and treute-ixq relays S, generally arranged as seen in Figures 2.3 and 4 of the United States patent t' Apmérzqu 1 2.229t2O9 Qu January 21, 1941. Since the relations between these different relays and the connections associating the various panels with the cotl.ageB: mt '' 'groups defined in this patent, the circuits have only been represented here in a condensed form, for simplicity and only the circuits of a single panel have been shown in detail.
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and a single relay. selector of chmpe.
Relay E is energized by the first pulse of each code by means of a circuit passing through terminal B, the contact has the OLBP relay in figure la, wire 60, the rest contact has the SP relay, the working contact d of relay 01, wire 21, the winding of relay E and terminal N. Relay E then closes a holding circuit through its work contact a; this circuit passes through the rest contact m of relay 2F, the rest contacts of relays 3F to 6F, if these are provided, wire 29, the resistor
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this R139 the rest contact ¯a of the SP relay, wire 60, the work contact a of the OLBP relay and terminal B.
It is understood that each branch circuit starting from terminal B and passing through the work contact b of a starting relay ST to end at wire 47 identifies a corresponding call sign, as indicated by references 234 ST to 238 ST inclusive inscribed near contacts g to k of relay 23 G. When relay E energizes, these branches are all disconnected from wire 47, divided into several groups by contacts g to k of relay E and connected to wires 32 to 36 for
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prepare circuits intended to generate the first digits of the call sign.
When relay 02 energizes on the second pulse, a circuit is completed to keep relay 02T energized. This holding circuit passes through terminal B, work contact b of relay 234 ST in figure 1c, idle contacts g of relays 23 G and 2 F, work contact g of relay E, wire 32, work contact c of relay 02, wire 71,
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work contact has relay 02T, the open contact ç of relay 01Tg the winding of relay 02T and terminal N, thus keeping relay 02T energized so as to generate a second long pulse.
The 02L and OLP relays then drop out, completing a circuit passing through terminal B, contact a of the OLBP relay, wire 60, the rest contact a of the OCR relay,
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wire 58, the rest contacts has OLP and 02L relays, wire 6t., the rest contacts d of OCR and KSP relays, work contact d of relay 02, wire 22, work contact b of relay E , the winding of the 2F relay and the
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terminal N. When relay 2F is energized, its work contact has closed its holding circuit passing through the rest contacts a of relay 23 G and other relays G of the same group, relays 24 G to 27 G, s' they exist,
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wire 29, the circuit indicated above and including wire 60, and finally terminal B.
With relay 2F energizing, the branches extending from wire 32 to terminal B by the contacts of the start relays, whose call signs have the number 2 as the first digit, are disconnected from the wire.
32, divided into several groups by contacts g to k of relay 2F, and connected to wires 33 and 37 in order to prepare circuits to generate the second digit of the call sign.
Due to the fact that the connection to wire 71 has been cut by the opening of the rest contact g of relay 2F, relay 02T may drop, as a result the excitation circuit of relay 01T closes and this relay s to start the third impulse.
Relay E drops back to the rest position following the opening of the rest contact m at relay 2F, and the resulting opening of work contacts h to k inclusive of relay E disconnects the branch circuits to generate the codes d 'call in which the first digit is 3, 4, 5 or 6.
The relays Es F and G, and certain other relays described a little further on, are provided with a discharge circuit comprising a resistor in place of the usual half-wave rectifier. These resistors, the value of which is relatively high compared to the resistance of the relay winding, realize a slight delay in accordance with the requirements of the circuit, and also serve to prevent sparks at the contacts.
When relay 03 is energized, a circuit is established to keep relay 01T energized so as to generate a long pulse. This circuit passes through terminal B, work contact b of relay 234 ST, rest contact g of relay 23 G, contact g of relay 2F, wire 33, work contact e of relay 03, wire 70, work contact a and the winding of relay 01T, and finally terminal N. The 0-IL and OLP relays then drop out, completing a circuit passing through terminal B, work contact a of the OLBP relay, wire 60, the rest contact a of the OCR relay, wire 58. the rest contacts d of the OLP and 01L relays wire 63, the rest contacts b of the OCR and KSP relays, the open contact of relay 03, wire 23, the work contact b of relay 2F, the winding of relay 23G and terminal N.
Relay 23G is thus energized and its work contact has closed a holding circuit passing through the rest contacts a in series with associated relays G, wire 29, a circuit indicated above and terminal B.
When relay 23 G energizes, the branch circuits extending from wire 33 to terminal B, passing through the contacts of the start relays, of which the first two digits of the call signs are 2 and 3, are disconnected. of wire 33, divided into several branches by contacts g to k to relay 23G and connected to wires 34 to 38 to prepare circuits responsible for respectively generating the third digit of call signs 234 to 238. Connection to wire 33 being cut as a result of the opening of the rest contact g of relay 23G, relay 01T drops out to start the fourth pulse.
Relay 2F drops back to the rest position following opening to the rest contact a of relay 23G. The opening of the make contacts h to k of relay 2F disconnects the branch circuits which are controlled by these contacts, thus limiting the command to the third digit to the starting relays of group 234 to 238 inclusive.
When relay 04 is energized, the connection passing through terminal B, work contact b of relay 234 ST, work contact g of relay
23G and wire 34, is extended through the work contact c of relay 04, wire 71 and, as explained previously, by relay 02T, so as to keep this relay energized to generate the fourth
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long pulse from inside call 234.
When the 02L and OLP relays drop, a circuit is completed by terminal B, the work contact has to the OLBP relay, wire 60, the rest contact has to the OCR relay, wire 58 the frozen rest contacts OLP and 02L relays, wire 64, the rest contacts has OCR and KSP relays, work contact D of relay 04, wire 24, work contact b of relay 23 G, the winding of relay 234 S and terminal N. Relay 234 S gets excited at this moment. The closing of the working contact 3 of this relay extends the connection starting from terminal B, to the left terminal with its winding, up to wire 30, and from there through the winding of the relay SP of the central station repeater of the relay S to terminal N, so that the SP relay also energizes.
The relay SP then completes its holding circuit passing through wire 60, its own work contact a, its winding and terminal N. Closing at the work contact a of relay SP also closes a holding circuit for relay 234 S; this circuit passes through the work contact a of the SP relay, wire 30, the work contact a of the 234 S relay, the winding of this relay and the N terminal.
When the SP relay is energized, the opening of its break contact .5 !: disconnects terminal B of wire 29 and consequently drops relay 23G. Opening the on contact of relay 23G eliminates the current from wire 34, and consequently from wire 71, so that relay 02P drops out. The 01T relay is then energized and attracts its armature to complete the fourteenth pulse and start the fifteenth pulse.
It can therefore be seen that, at the end of the first long pulse, the fall of relay 01T is controlled by the opening of a work contact of the OLP relay. However, in the case of the first two long pulses of a station call sign; The operation of the 01T and 02T relays is controlled by the opening of the closed contacts of the respective selector relays, each of which is energized in response to the closing of a closed contact of the OLP relay. Thus, these two long pulses are of the same length, which is slightly longer than that of the first pulse. The final pulse of a station call sign is terminated, not by energizing the corresponding S relay, but by dropping to the corresponding G relay.
Since relay G does not drop until after the S and SP relays have cascaded energized, which occurs after the drop to the OLP relay, the final long station select pulse is longer than any of the first two pulses. This is especially necessary when this final pulse occurs on the eighth pulse of the code. If the final station selection pulse in this case ends with the energization of relay S, there would not be sufficient time before the ninth pulse to completely perform the few other actions that must occur on the eighth pulse and which will be described briefly.
It also follows that these long pulses of the station call sign have a length slightly greater than that of the other long pulses of the code, which are terminated, as will be explained a little later, in the same way as the first long pulse.
The opening of the make contacts 12 to f of the relay 23G causes the opening of the excitation circuits of the relay 234S and of the other analog relays 235S to 238S of the same group, which are not shown. However, the 234S relay remains energized, thanks to its holding circuit described above. The opening of the work contacts h to k of relay 23G prevents the emission of long coded elements on pulses 5 to 8 when the work contacts c of counting relays 05 to 08 inclusive ending in wires 35 to 38 close successively.
Pulses 5 to 8 are therefore short. The 01T relay is controlled during these pulses by its described pulse circuit
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previously, which is opened or closed by the respective rest contacts g of relays 05 and 07, and by the fall of relay 02T closing its rest contact b. When relay 08 is energized, a circuit is completed by terminal B, the working contact a of the OLBP relay, the wire 60, the working contact h of the relay 08, the working contact b of the SP relay, the winding of the central station OCR chain repeater relay and finally the N terminal. The OCR relay therefore energizes on the eighth pulse, completing a holding circuit passing through its own work contact a and wire 60.
Since the OLBP relay remains energized for an entire code, it is evident that the OCR relay, once energized, remains energized for the remainder of the code.
The opening of the rest contact a of the OCR relay disconnects the terminal
B of yarn 58, and therefore of yarns 63 and 64, as already explained. Closing the work contact g of the OCR relay prepares a circuit passing through wire 89, the open contact a of relay 07, the working contact b of relay 08, the closed contact b of an RCL relay, the winding of the re- lais 01 and terminal N. This allows relay 01 to be actuated after relay 08. Excitation of the OCR relay also closes, through its ± and f contacts, the control circuits passing through wires 61 and 62 and the working contacts b and c of the OLP relay.
The current coming from terminal B to keep the 01T and 02T relays energized, as will be explained, through the work contacts of the various counting chain relays, and through wires 39 to 45 or 102 to 108 from the various control levers and push buttons provided on the central station panels.
When the 234S selector relay energizes as explained above, its contact transfers the 234ST starter relay hold circuit, from a direct connection to terminal B, to a circuit comprising wire 46 and s' extending from terminal B through the closed contact f to relay 08. As a result, the actuated start relay, such as relay 234ST, drops back to the neutral position on the eighth pulse of the corresponding command code. This has the advantage of making it possible to re-energize the start relay of any panel by momentarily activating the corresponding STB start button, in order to store a second code intended to be transmitted, dull if this is activated. button before the first code is completed.
During reception of a control code, relay 08 and relay S of the selected panel are also energized, as in the case of the described control code, but during reception the OM relay is not energized and its contact is closed. g makes a connection starting at terminal B and terminating at wire 46, in order to prevent the fall of a "stored" start relay, such as relay 234 ST, in response to the operation of relay 08.
Pulses 9 to 15 of the code have now been made available to control 7 of the devices at the chosen station, according to the positions of the control levers or pushbuttons of the corresponding panel, such as that shown on the left side of Figure 1d.
When relay 234 S energizes, terminal B is connected, by contacts g to k of this relay and by wires 95 to 99 inclusive, to the lever and push button contacts, and consequently to wires 39 to 45 leading to the ON contacts f of relays 01 to 07. The OCR relay being energized, the ON contacts f of the odd counting relay relays making connections through the ON contact e of the OCR relay, wire 61, the working contacts e and b in parallel with respective relays 01L and OLP, and the holding circuit of the OIT relay. This relay can thus be kept energized until the OIL and OLP relays drop out, thus generating long and odd coded elements.
The contacts f of the even-numbered relays of the counting chain making connections via the work contact f of the OCR relay, wire 62, the work contacts c in parallel with the 02L and OLP relays, and the previously defined holding circuit of the 02T relay. This last relay can thus be kept energized until the 02L relays
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and OLP fall back, thus generating long and even coded elements.
These circuits are obviously only available during the second operating cycle of the primary counting chain of the OLC group and during any operation of the primary counting and extension chain.
Before describing the control action of the various levers and pushbuttons on the coding at the central station, it will be assumed that the operator wishes to fulfill a series of determined conditions. Referring to the station track diagram, as shown at the top of Figure 2d, it will be understood that a train moving from right to left through this track arrangement is a walking train. west, and conversely that a train moving from left to right is moving east, It will also be assumed that a train moving west is approaching this interlocking arrangement on the track section 4AT, and that the operator wishes to make this train pass on the connecting track, that is to say on the section of track 2BT.
For this, the 3W needle must go to the reverse position and the 4L signal must be in the open position. Assume that an eastbound train is approaching at the same time on section of track 2AT, but that the operator wishes to keep this train on the main line at the location of signal 2R, so this signal must remain in the closed position and the 1W needle must be placed or maintained in the normal position.
If we now refer to the figure here, and in particular to the upper part of this figure, where two panels of the control device at the central station have been shown, with the diagram of the tracks at the top and the occupancy lamps track, it is seen that the operator, to achieve the desired movements of the trains through the considered interlocking arrangement, places the needle control lever 1SW in its left position or normal position., that is to say - say in the position shown in the drawing. On the other hand, it places the needle control lever 3SW in its reverse position, that is to say to the right. He shifted the 4SG signal control lever to its left position to open the signal controlling westward travel.
The 2SG signal control lever must remain in its central position to keep the 2R signal closed. It is assumed that the needle heating control button WZB has been actuated previously, to activate the needle heaters, and that it remains in this position, the operator does not act on the CHB button on the contrary switch or the MCB call button, which remain with their contacts open as can be seen in the drawing.
Having performed the necessary operations on the turnout and signal control levers, and on the various traffic control pushbuttons, the operator pushes the start button 234 STB with return spring. It has been shown previously what coding action occurs during the first eight pulses, after the operator has passed the start button 234 STB to momentarily close his contact a.
On the next pulse, i.e. on the ninth pulse of the command code, since the 1SW switch lever is in the normal position, the battery supplies current to keep the OIT relay energized in order to obtain a long pulse of code. The corresponding circuit passes through terminal B, work contact 9 of relay 234S, wire 95, the contact in the normal or left position of the needle lever 1SW, wire 39, the work contact f of relay 01, the contact working e of the OCR relay, wire 61, the working contacts in parallel b and e of the respective OLP and 01L relays, the working contact a of the 01T relay, the winding of this relay and the N terminal.
The 01T relay is thus kept energized until the OLP relay drops back to open its work contact b, after which the 01T relay drops out to end the ninth long pulse of the code.
As it has been assumed that the contact a of the WZB control button
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Ajguille heating is closed, the tenth pulse of the control code will also be long. Relay 02T is kept energized by means of a circuit passing through terminal B, work contact h of relay 234 S, wire 96, contact has now closed of button WZB, wire 40, work contacts f 02 and OCR relays, wire 62, work contacts 2 in parallel with 02L and OLP relays, and finally the already defined holding circuit of 02T relay. When the OLP relay drops during this long pulse to open its work contact c, the 02T relay again loses its excitation. As a result, relay 01T is energized to terminate the tenth pulse of the control coae.
Since the 1SW needle lever is in its normal position and its reverse contact is therefore open, no current is supplied during the eleventh pulse to keep the 01T relay energized, which is then only controlled by its circuit. impulse. Thus, when the rest contact g of relay 03 opens, relay 01T drops to complete this eleventh pulse. Since the CHB and MCB buttons have not been pressed, so that their contacts a are open, and since the needle lever 3SW is in its reverse or right position, with its left contact open, the pulses 12, 13 and 14 of the code are also short, no current being supplied to keep the 01T and 02T relays energized.
However, since the right contact of the 3SW needle lever is closed, current is supplied during the fifteenth pulse to keep the 01T relay energized, so as to generate a long pulse of the coae. The corresponding circuit passes through terminal B, the on contact of relay 234S, wire 98, the contact on the needle lever 3SW, wire 45, the on contact f of relay 07, the rest on the circuit indicated previously in about the ninth pulse, and finally winding to relay 01T. When the OLP relay drops, to open its contact b, the 01T relay drops again to terminate the 15th pulse of the code.
In the current CTC systems generally used, to transmit the other control functions necessary to position the various devices of the station, in order to allow the desired movements of the trains, it would be necessary to transmit a complete additional control code consisting of sixteen pulses, with a separate call sign for each station. Thanks to the present invention, it is on the contrary possible to transmit these additional control functions by adding additional pulses to the primitive code thanks to the use of counting chain extension relays.
To allow the use of such relays in order to supply the pulses of the code 17 to 23 inclusive, a relay 16 is provided (figure which operates during the sixteenth pulse of the code to prepare circuits in order to initiate the action of the relays The relay 16 thus operates on the sixteenth pulse, in the same way as the relay 08 on the eighth pulse.
The circuit used to energize relay 16 for the sixteenth pulse passes through terminal B, contact a in the normal position of relay OR, resistor R12, work contact to relay OLBP, wire 90, rest contact a to relay 06, work contact b of relay 07, work contact h of OCR relay, idle contact g of relay 08, wire 87, the winding of relay 16 and terminal N. When relay 16 is energized, it completes a holding circuit passing through its work contact a, the idle contact b to relay 17-21 and wire 90. The sixteenth pulse being analogous to the eighth pulse, which is one of the station selection pulses, can be used to transmit a control function.
However, in the preferred embodiment of the invention, no control function is entrusted to the pulse 16. The analogy with the code is thus retained.
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of control in which, for reasons which will be explained a little later; the sixteenth pulse cannot be used to transmit a control function. Since there is no need to make the pulse 16 of a control coil long in this preferred embodiment, this pulse is therefore always short. The 02T relay can thus drop out after the usual time and the 01T relay is then energized to start the seventeenth pulse.
The necessary circuits are now prepared for relay 17-21 to energize first in the order of the count chain. As explained above, its excitation circuit passes through terminal B, the reverse contact has to relay OR, resistor Rll, contact tr.
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vail b from OLBP relay, wire 89, work contact g of OCR relay, rest contact a of relay 07, rest contact b of relay 08, wire 88, work contact b of relay 16, the winding of the relay 17-21 and finally terminal N. As explained above, relays 18-22, 19-23 and 20 follow in sequence, in a manner analogous to the relays of the primary metering chain in the group OLC.
Since the signal control lever 2SG is in the normal position, with its two left and right contacts open, no current is supplied to pulse 17 to keep relay 01T energized to provide a long pulse. Relay 01T therefore drops out in the usual way when relay 17-21 is energized to cut the pulse circuit at its rest contact g. However, since the signal control lever 4SG is in its left position, a circuit is formed to keep relay 02T energized, so that pulse 18 is long.
This circuit goes through terminal B, the work contact n of relay 234 S, wire 101, the left contact of signal lever 4 SG, wire 103, the con-
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tact tcevaid c, from relay- 18-2-2.f the contact re1) OêV dtirnà.ids;: OeiU "i1: .è wire '92, the working contact f of relay 0aR, wire 62, the working contacts e parallel to the 02L and OLP relays, and finally the 02T relay holding circuit. When the OLP relay drops out and opens its working contact ±., the 02T relay re-opens.
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falls again allowing the OIT relay to energize to start the nineteenth pulse at the code.
Since the aroite contacts of the two signal levers 2 SG and 4 SG are open, no current is supplied during the pulses 19 and 20 to keep the relays 01T and 02T energized and to reset these pulses long. Thus, relay 01T is controlled by its pulse circuit during these pulses. Note that the OCRA relay is also energized during the twentieth pulse, as will be explained in more detail later. Therefore, the circuit, used to keep relay 02T energized during the twentieth pulse, short circuits the contacts of the OCRA relay used in other similar circuits. This circuit starting from wire 105 goes directly from the work contact d of relay 20 to wire 92, then passes through the circuit described previously to keep relay 02T energized if current arrives in wire 105.
This is necessary, since the OCRA relay is not energized as long as the relay 20 has not itself been energized, and it is essential to establish and maintain the holding circuit at the 02T relay from the moment when relay 20 is energized.
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As just mentioned, the OCRA oB celais energizes when relay 20 energizes itself during the remainder of the code. The OCRA relay energizer circuit, which includes the contact work ç of relay 20, has been previously described. The energization of the relay OCRA prepares circuits for
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allow relay 17-21 to follow relay 20. Relay OCRA transfiérp (also circuits which, starting from levers or pushbuttons ae ,, comnnde, culmin.t, a.fâl 9rr3o-: ¯92, a'unepefiièrb series of contacts cièsie .ridais. a 'extensd.oar; JlI {è. ae.uxièm.e: ... érie- .Clte., C azta .. For example, the> contact c to the OCRA relay transfers
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in contact with work c. from relay 17-21 to the work contact to from this relay the connection leading to wire 91.
The last desired control function is transmitted to station 234 by pulse 20. Thus, the additional pulses of the coil cannot be of any use, although the count extension chain is prepared. to repeat its operating cycle and provide these additional pulses. To save coding time, the invention provides a means of terminating the coding action in any control code, as soon as the pulses are no longer of any use.
In order for the installation to reset to zero during the normal line period, the code can only be stopped on even pulses. Since the final code pulse is not available to transmit a control function, the final pulse of a control code is therefore the first even pulse after all control functions have been transmitted. As will be explained later, the end of a control code is subject to a similar restriction. Thus, in the command code described here, the final pulse is the twenty-second pulse. The twenty-first pulse will therefore always be short, since no control function must be transmitted on this pulse.
To achieve this goal, circuits are provided to energize the OCS code stop relay at the central station (figure lb), in parallel with the even counting chain relay which corresponds to the last pulse of the code. In reality, the OCS relay becomes the final relay in the counting chain during any coding action, regardless of the length of the code. The station selector relay contacts and adjustable connections are used to select the different final impulses of the different stations, So that the command and control codes transmitted to the same station and transmitted by it can have, if desired , different lengths, it is necessary, at the central station, to distinguish these two coaes, since the relay OCS must be energized to complete the action of coding aans these two codes.
Thus, for stations where the command and control codes have different numbers of pulses, a separate circuit must be provided for each code in order to energize the OCS relay. Therefore, a repeater relay of the relay master, the OMP relay, must be used to choose between the separate circuits passing through the contacts of the station selector relay, for the control code and the control code of any station. . The OMP relay is energized during the first pulse of any control code through a circuit passing through terminal B, the work contact f of the OM relay, wire 83, the winding of the OMP relay and terminal N. This relay remains sharp during the entire command code, since it repeats the OM relay.
For the command code considered here, the OCS relay must energize at the same time as the relay 18-22, that is to say on the twenty-second pulse of the code. When the line relay OR goes to its normal position at the start of the twenty-second pulse, a circuit is completed by terminal B, the contact in normal position has the OR relay, resistor R12, the working contact d of the OLBP relay , wire 90, the normally closed contacts has relays 20 and 16 in series, the working contact h of relay 17-21, the working contact e of the OCRA relay, an adjustable connection and the working contact b of the 234S relay, the working contact a of the OMP relay, wire 80, work contact j of the OCR relay, wire 74, the work contact b of the OLB relay, wire 48; the winding of the OCS relay and the N terminal. The OCS relay is therefore energized.
Although relay 18-22 also energizes in the usual way, this action has no effect on the end of the code.
When the OCS relay energizes at the start of the twenty-second pulse, terminal B is disconnected from wire 56 by the rest contact g of the OCS relay, which removes the energization of the OM relay, and the pulse circuit and
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relay 01T excitation is cut by the rest contact e of the OCS relay, before relay 17-21 drops to close its rest contact g. Consequently, the 01T relay remains at rest when the 02T relay drops out, and the OR relay then remains in the normal position. The OM relay also drops out.
With the OR relay remaining in the normal position, the 02L, OLP, OLB, OLBP and 01L time relays drop in this order. The OCS relay, which is kept energized., After the fall of the relay 17-21, by a holding circuit passing through the wire 90, its own work contact a, the wire 74, the work contact b of the OLB relay and the wire 48, loses its excitement when the OLB relay drops out. The fall of the OLBP relay disconnects from wire 60 the terminal B, thus dropping the OCR, SP, OCRA relays, and actuated selector relays such as the 234S relay. The installation is then ready to receive a new code.
If any other central station start relay has been energized to store a control code, that code will begin to be transmitted after the drop to relay 01L, which is the last to drop. The twenty-second pulse thus corresponds to the return of the line circuit to its normal closed state and represents, in the case of the transmission of successive codes, a line closing pulse which is notably longer than any other impulse occurring in a coded.
We will now consider the operation of the station device shown in Figures 2a, 2b, 2c and 2e, when this device receives the control code just described. It is understood that the line relay R at each station and the time relays 1L, 2L, LP and LBP operate in synchronism with the corresponding relays of the central station. The counting relays at each station operate biasing the first eight pulses in synchronism with the central station counting relays, but only the counting relays of the selected station, where the station selector relay S is energized, are actuated during their second. cycle and their extension cycles.
On the first pulse of the control code, a station receiver SR relay is selectively actuated in response to the fall of the -IL relay caused by the long character of this pulse. The corresponding circuit passes through terminal B, work contact a of relay LEP, rest contact d of relay 1L, wire 163, rest contact b of relay CR, work contact c of relay 1, the upper winding of the SR relay and terminal N. The SR relay energizes and completes a holding circuit passing through terminal B, the work contact has the LBP relay, wire 160, the work contact has the SR relay, resistor R14, l The lower winding of the SR relay, resistor R15 and terminal N. The role of these two resistors will be explained later.
As seen in Figure 2c, the station coding group contains a series of three selector relays, FIR, G2R and S, which can be connected in an adjustable manner to respond to any of the thirty-five callsigns. call, the connections being arranged, as can be seen in the drawing, so that the relay S responds to the code 234. As will be explained later, the F1R and G2R relays each have a dual role in the coding action. As well as being the first selector relay, the F1R relay is also used later in the coding action as an odd function register relay. Likewise, the group selector relay G2Rest; used later in the coding action as an even function registration relay.
In other words, these two relays are used, during the following part of the code, to record respectively the character of the odd pulses and of the even pulses. As the description which follows will show, these relays pass from their first role to their second role by selecting the station relay S and by energizing the chain repeater relay CR.
The circuits of these relays, considered as selector relays,
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are generally similar to those already described for. selector relays at the central station. The circuits, for the selector relays which respond to even pulses, pass through terminal B, the work contact a of the LBP relay (figure 2a), the rest contact g of the relay 2L, the wire
164, the closed contact of the GR relay, the working contact of the SR relay, the working contacts has relays 2, 4, 6 and 8 respectively terminating in wires 122, 124, 126 and 128.
As can be seen in the drawing, an adjustable connection terminating at wire 122 provides an excitation circuit for relay F1R on the second pulse, the FIR relay then completing a holding circuit passing through terminal B, its own work contact a, the break contact c of relay S, the break contact g of relay G2R, wire 160 and the work contact a to relay LBP. The circuits for the selector relays responding to odd pulses pass through terminal B, the work contact a of the LBP relay, the open contact of the 1L relay. wire 163, rest contact b of relay CR, work contact b of relay SR, work contacts g of relays 3, 5 and 7 respectively terminating in wires 123, 125 and 127.
As shown in the drawing, an adjustable connection terminating at wire 123 establishes a circuit passing through the NO contact, 2 of the FIR relay, to energize the G2R relay on the third pulse. The G2R relay holding circuit passes through terminal B, the work contact a of the LBP relay, its own work contact a, the rest contact g of the S relay, and wire 160. The opening of the rest contact g of the G2R relay drops the F1R relay. Likewise, an adjustable connection terminating at the wire 124 establishes a circuit passing through the work contact e of the relay G2R to energize the relay S on the fourth pulse. Relay S completes a holding circuit, which is connected directly to wire 160 by its own work contact a. Energizing relay S also drops relay G2R.
It should be noted that the various selector relays F1R, G2R and S are actuated directly after the drop of relay 1L or 2L when the device is in the state of reception as explained above; consequently, these relays are activated before the end of the long pulse and thus make it possible to achieve a certain margin for the adjustment variations over time.
It is of course also understood that the F1R relays at the different stations can be compotes to any of the wires 122 to 126, and the G2R relays to any of the wires 123 to 127, below the one to which the associated FIR relay. As a result, when the call sign is 234, those F1R relays connected to wire 122 respond to the second long pulse, the F1R and G2R relays connected to wire 123 respond to the third long pulse, and the FIR and G2R connected to wire 124 respond to the fourth long pulse, along with relay S to the selected station group. However, the selection will normally only be completed to energize an S relay at only one station.
.At other stations, the counting relay operation ends with the eighth pulse, and only the R line relay and the time relays continue to operate for the rest of the code.
It may happen that a fourth long pulse appears during the station selection portion of a control code. This may be due to a momentary line fault, which erases part of the code, or to faulty operation of the coding equipment. Since the F1R and G2R relays can be selected for any code at several stations, as explained previously, a fourth long pulse may result in the selection of the S relay at one or more stations in addition to the station. desired. For example, if pulse 7 of this code was also long due to a fault, relay S could also be energized at stations 237, 247 and 347 and the selection of these stations could be completed.
These four stations would then receive the transmitted control functions, and an operation
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defective and unwanted track devices would occur at stations 237, 247 and 347.
The installation described here overrides this incorrect station selection. . If any station receives a long pulse that does not match its call sign, the SR relay is bypassed and drops out. This opens the circuit leading to the function registration relays and occurs even though the station selection already has. been carried out. For example, in the command code described here, if any of the remaining pulses of the code, before the ninth pulse, are long, so that the IL or 2L relay at station 234 drops out, current is applied to the 'one of the sons 125 to 128 inclusive. Since these wires, at station 234, are connected by adjustable connections to wire 21, current is applied to the left terminal of the lower coil of the SR relay.
This bypasses the lower winding of this relay and allows the holding circuit described above to no longer act effectively and to let the relay drop. This action is aided by the low level of excitation existing in the lower winding of the SR relay and by the current limiting resistors R14 and R15 which are placed in the holding circuit. The resulting opening of the normally open contacts g and h of this relay cuts off the circuits described in detail a little later and ending in the function recording relays via the m and n contacts of the CR relay and the normally open contacts of the various relays. chain.
Thus, no operation registration can occur as a result of the incorrect selection of a station by a fourth long pulse occurring during the selecting portion of a control code.
In reality, all stations, except the station correctly selected by the three long selection pulses in any code correct at command, are prevented by the forced fall of the SR relay from incorrectly registering a command function during the command. first long pulse not adapting to the form of the call sign of the particular station considered. In the example described above, whether the seventh pulse is long or short, the SR relays, at stations 237, 247 and 347, are forced to drop off before pulse 7.
This action occurs on pulse 4 at station 237, pulse 3 at station 247, and pulse 2 at station 347. However, this drop of the SR relay, at all unselected stations and for a normal command code, has no effect on the operation and can be neglected. As will be shown later, this action at a station is different from the action at the central station, during reception of a control code; when only a fourth long station selection pulse can cause the control code to be rejected and force the installation to return to zero.
At the selected station, relay S prepares an excitation circuit, which is completed on the eighth pulse for a chain repeat relay CR. This circuit passes through terminal B, the working contact h of relay S, wire 146, working contact f of relay 8, the winding of relay CR and terminal N. When relay CR is energized, the closing of its work contact a completes a holding circuit passing through terminal B, resistor R10 and wire 160. Closing contact g of relay CR also completes a connection passing through wire 157, the rest contact a of relay 7 and the working contact b of relay 8, to cause operation of relay 1 immediately after that of relay 8.
Thus, the relays of the LC group counting chain are ready to be used again, as already explained, to supply the pulses 9 to 15. In addition, the energization of the relay CR, by closing its contact. work h, complete a connection passing through the rest contact g of relay 8, to energize extension relay A, in the extension group required for this station, on the sixteenth pulse of a code, This action will be described more completely a little further.
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The working contact of relay CR, while it is closed, shuts a resistor R6 of the holding circuit of relay 8. Resistor R6 is interposed in this circuit to reduce the excitation of relay 8 at the stations where relay CR is not excited. Since this relay is energized only when the station selector relay S itself is energized, relay 8 will drop out more quickly, due to this reduction in excitation, at all stations except station. selected.
If there was no resistor R6, it could happen in certain cases, when the ninth pulse to the code is also short, that relay 8 is kept energized during the ninth impulse and that it is energized again. by its work contact a, when relay 1 drops off at the start of the tenth pulse and closes its idle contact b, an eighth long pulse would result at this particular station. As explained previously, it can happen that the F1R and G2R relays at a station are energized without the S relay being energized, if the two F1R and G2R relays are connected to the wires representing long code pulses.
If the energized relay 8 produces a false long pulse, a station selection may result; in other words, the relay S can be energized on the tenth pulse of the code. For example, station 238 may be selected at the same time as station 234. The count chains at station 238 would then continue to follow the coding action, but two pulses back from the code. However, thanks to the resistor R6, the excitation of relay 8 can be maintained at such a low level that the drop of this relay during a ninth short pulse is achieved with certainty at stations where the relay CR is not. not excited.
Pulses 9-15, 17-23, and other control code-like pulses are used to control a group of functional control relays, which are mostly of the so-called "polarized" or magnetically held type! , according to the position of the corre- sponding levers of the central station. The operation of these magnetic holding relays, quana they are excited by a positive potential at one or the other of their terminals, is analogous to that already described for the OR relay, and will not be described. not therefore. Figures 2d and 2e show a typical arrangement of such relays, comprising needle control relays WS and signal control relays LHS and RHS.
These relays can be used to control the turnouts and associated groups of signals shown on the track plan at the top of Figure 2d. One of the function control relays shown, the MCS call hold relay, is not of the magnetic hold type, but may be an ordinary neutral type relay with hold circuits. The control of these relays by the coding device will be explained a little later.
It is understood that the circuits, by which the function control relays control the hands and the signals, do not form part of the present invention. These circuits can be similar to those described with reference to Figures 8 and 9 of US Pat. No. 2,229,249 cited above. For reasons of simplicity, the commands are indicated here by dotted lines, between the command relay and the controlled device. It can be seen that the circuits, between the different track devices and the corresponding control relays, are also indicated by dotted lines.
Magnetically held relays switch to normal or reverse position, that is to say, are energized or drop out, under the action of pulses provided by the LC group and wires 149 to 155 inclusive, and of pulses supplied by the extension group and by wires 217 to 223 inclusive. The arrival of current in these wires, at the time of the appropriate pulse of the code, is controlled by the various chain relays and their make contacts. The arrival of current at the work contacts of the
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ch & fne relay is connected by the CR relay and by its working contacts m and n. This limits the pulses supplied to the function control relays to pulses 9 to 15 and subsequent pulses to the coae.
On the other hand, as has already been mentioned, the current supply is interrupted by the opening of the work contacts of the SR relay, if the station in question has been incorrectly selected as a result of a fault in the line circuit.
The appropriate circuits for actuating the holding device function control relays, according to the long or short character of the pulses 9 to 15, 17 to 23 and other corresponding groups, are realized by the operation of the two F1R recording relays. and G2R. These relays pass from their primitive role consisting of selecting a station, to this second recording role, under the action of the operation of the relay CR closing its work contacts b and d. The closing of the working contacts ±. and d of relay S also changes the holding circuits of these relays and passes them from the station selection circuits to the recording circuits.
If relay 1L drops off on any odd pulse of the coded groups mentioned above, a circuit closes via terminal B, the working contact a of the LBP relay, the closed contact ci of the 1L relay, wire 163, the working contact b of relay CR, wire 129, the upper winding of relay F1R and terminal N. When relay F1R is energized, it is kept energized, for the duration of the first following even pulse, by a staked holding circuit via terminal B, the normal position contact a to relay R, working contact e of relay LBP, wire 180, working contact c of relay S, working contact a and the lower winding of relay F1R, and finally terminal N. Relay F1R drops out when normal contact a of relay R opens, at the start of the next odd pulse.
Likewise, if relay 2L drops off on any of the even pulses of the coded groups mentioned above, relay G2R is energized by means of the circuit comprising terminal B, the work contact has of the LBP relay, the rest contact ± from relay 2L, wire 164, work contact d to relay CR, wire 130, the upper winding of relay G2R and terminal N.
When the G2R relay is energized, it is kept energized for the duration of the next odd-numbered pulse, during which the R relay is in the reverse position; its holding circuit comprises terminal B, the contact in reverse position a to relay R, wire 171, rest contact e of relay GS, wire 172, work contact b of relay LBP, wire 181, work contact d of relay S, work contact a and the lower winding of relay G2R, and finally terminal N. Relay G2R drops out when reverse contact a to relay R is open, at the start of the first following even pulse.
The circuits, which the contacts of the F1R and G2R relays realize for the control of the holding relays, are of several types, one of which is represented by the circuits of the 1WS magnetic holding relay, which is controlled in accordance with the position of the lever needle 1SW of Figure la. When this lever is in the normal position, as assumed in the present case, the ninth pulse of the control code is long and the eleventh pulse is short. When this 1SW lever is in the reverse position, the ninth pulse is short and the eleventh pulse is long. When the 1SW lever is in the normal position, the F1R relay energizes on the ninth long pulse, since the 1L relay drops out.
Then, when the relay R goes to the normal position to start the tenth pulse, its contact a connects terminal B to the holding circuit of relay F1R to keep the latter energized; it also connects terminal B to the work contact b of relay F1R via the same circuit to temporarily complete a circuit passing through wire 184, work contacts g and m of the relays
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respective SR and CR, the working contact e to relay 1, wire 149, the upper coil of relay 1WS, the working contact a of a locking relay LR and terminal N. The direction of the current in this circuit is directed from left to right in the upper winding of the 1WS relay, so that the contacts of this relay go to their left position, that is, normal.
Relay 1WS is thus energized in the normal direction, in parallel with relay 2, by an impulse which ends with the drop of relay 1. Relay F1R is not actuated on the eleventh impulse, but relay 1L. stay excited. Thus, although wire 184 is momentarily connected, at the start of the twelfth pulse, to work contacts g and m of relays SR and CR, to work contact 1 of relay 3, to wire 151, to the lower winding ' from lWS relay, to work contact to relay
LR and at terminal N, relay 1WS is not energized because, with relay F1R in the rest position, wire 184 is disconnected from terminal B.
Likewise, if the 1SW lever goes to the reverse position, so that the ninth pulse is short, the F1R relay at rest and the 1WS relay is not actuated on the tenth pulse. When the eleventh long pulse is reached, the F1R relay then energizes, so that the 1WS relay receives a pulse through its lower winding and from right to left; this pulse causes it to go into the reverse position during the twelfth pulse of the code.
Another type of control circuit is represented by the WZS relay circuit, which is controlled by the WZB pushbutton on the central station, so as to switch to the normal or reverse position depending on whether a single pulse is short or long. code. If the tenth pulse is short, so that relay 2L remains energized, relay G2R is in the off position when relay R is actuated to the right to start the eleventh pulse.
A circuit then closes momentarily via terminal B, reverse contact a of relay R, wire 171, rest contact e of relay CS, wire 172, work contact b of relay LBP, wire 181, work contact d of relay S, the rest contact b of relay G2R, wire 229, the winding of relay WZS, wire 150, work contact e of relay 2, work contacts n and h of relays CR and SR, wire 185, the rest contact c of relay G2R, and terminal N. It can be seen that the direction of the current through the winding of the WZS relay is such that this relay switches to the normal position or is maintained in this position. If the tenth pulse is long, as assumed during the command code, relay G2R is energized and held in this state by relay R for the duration of the eleventh pulse.
Its contacts b and e then reverse the direction of the current through the WZS relay, so that the latter switches to the reverse position. The circuit for controlling relay CHS on pulse 12 is controlled in an analogous manner by relay G2R.
Two types of circuits have been described above for controlling magnetic holding relays. In the first type, shown by the 1WS relay circuit, the magnetic holding relay is energized only if a corresponding F1R or G2R registration relay is energized in response to a long pulse and does not respond if the pulse is short.
In the second type, illustrated by the circuit of the WZS relay, the magnetic holding relay is energized in only one direction, if the corresponding pulse is long, and in the opposite direction if this pulse is short. A third type of circuit (not shown) is also available and can be achieved by connecting any one of the magnetically held relays to wire 225 or 228 respectively terminating at the normally closed contact a of the F1R or G2R relay, instead of connecting it to the wire 226 or 229.
If we assume that one terminal of the WZS relay is connected to wire 228, instead of being connected to wire 229 for example, its other terminal being connected to wire 185 by the circuit described previously, we see that the WZS relay
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is momentarily energized by relay R only if the corresponding pulse is short., so that relay G2R remains at rest. he
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As a result, any of the magnetic holding relays can be arranged to respond to a short pulse and not to respond when the pulse is long.
A fourth type of circuit for controlling the magnetic holding relays is represented by the circuit associated with the MCS relay of FIG. 2d. MCS relay is a two-winding neutral relay; its upper winding has a smaller resistance than its lower winding so that when they are both excited from the same source, a stronger current flows through the upper winding relative to the lower winding. The position of the MCS relay is controlled
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by the MCB pushbutton of the central station (figure 1¯d), the station circuits being arranged in such a way that the relay is energized when the code pulse 14 is long, in which case the G2R relay energizes.
At the start of the fifteenth pulse of the code, the MCS relay energizes through its upper winding by means of the circuit passing through terminal B, the reverse contact has of the relay R, the wire 171, the rest contact e of the relay
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OS9 wire 172, work contact b of relay LBP, wire 181., work contact of relay Ss work contact b of relay G2R, wire 155, work contacts h and n of respective relays SR and CR, work contact
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e of relay 6, wire 154s the upper winding of the MCS relay, its own neutral contact. ± .11 wire 230, the working contact of relay G2R and terminal N.
When the MCS relay energizes, the connection to terminal N is maintained by its continuity contact b, until the new connection.
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connection to the NQ terminal via the working contact cl of the G2R relay, is completed by wire 229 and the working contact b of the MCS relay. The closing of the work contact a of this relay completes a direct holding circuit passing through terminal B, the lower winding of this relay and
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terminal N. The MC inrush signal, produced here by a lamp, is energized by the working contact c of the relay.
When it is desired to drop the MCS relay, a fourteenth short pulse is transmitted from the central station, so that the G2R relay is not energized during this pulse. At the start of the fifteenth pulse, a circuit is formed by terminal B, the reverse contact a of relay R, the circuit described previously and contact b of relay G2R, but since this relay is in the rest position, the circuit passes by the rest contact b of the relay, wire 229, the work contact b of the
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lais MCS. \! the upper winding of the relay in the opposite direction to that of the current flowing through the lower winding from the holding circuit.!) and then in reverse order by the circuit described previously
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and comprising the wire 185 finally by the rest contact ç of the relay G2R and the terminal N.
The energization of the relay by the current flowing in the upper or control winding overrides the current flowing in the lower or holding winding and the relay is forced to de-energize. After opening of the working contact b, the operating circuit is cut off since the working contact d of the G2R relay is open to disconnect the N terminal of wire 230, so that the MCS relay does not energize again when the maintenance is also interrupted.
When a relay such as MCS is under the action of an odd code pulse the control circuits pass through wires 226 and 227 and through
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contacts b..2 and à of the Folio relay
Since the control code transmitted from the central station to this station 234 is twenty-two pulses in length, it is evident that additional pulses must be included in the encoding action at this station to match the length of the transmitted code. This is done in a manner analogous to that used for the action of the central station coding group; in other words we add extension relays
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to the counting chain to provide these additional pulses.
Pulses to the code are added in groups of eight, although only a portion of these available pulses can be used under some conditions. For each possible group of eight pulses added to the code, six additional relays are required. Only five of these relays are added to the count chain, with the sixth relay being a chain repeat relay. To achieve eight pulses, part of the extension count chain is used twice through its coding action cycle. In other words, the three relays 1A, 2A and 3A are used twice, so that with the two remaining relays in the count chain, eight pulses are added per extension group.
The chain repeater relay; i.e. the CRA relay, is used at the end of the first cycle of the extension chain, in conjunction with the 4A relay, in a manner analogous to that in which the CR relay is used with the relay 8 in the LC group.
In accordance with the invention, these six relays are included in a group called an "extension group", an example of which is shown in FIG. 2c. All extension groups are identical, with the appropriate wires connected to the terminals in order to make the desired connections to expand the code or terminate it on a chosen even pulse. As mentioned, each extension group of a station adds eight pulses to the coding action of the regular LC group, whether it is the control code or the control code. During a control code, only seven pulses are available to perform the control functions.
For this reason, as already indicated in connection with the coding action of the central station, preferably only the first seven pulses are used to perform the control functions.
The relay A of the extension group is energized on the sixteenth pulse of the code, in the same way as the relay 8 of the group LC, but the first relay A checks that the relays 7 and CR are energized and that the relay 8 is at rest. Since the CR relay energizes after the station selector relay S has energized itself, the station must have been chosen for the relay A to energize. When the relay R goes to the normal position at the start of the sixteenth pulse, so that the wire 158 receives current, the circuit extends, to energize the relay A, by the closed contact a of the relay 6, the working contact b of relay 7, work contact h of relay CR, rest contact g of relay 8, wire 204, the winding of relay A and terminal N.
Closing of the work contact a of relay A establishes a holding circuit in the usual way by the open contact b of relay lA and wires 205, 158. The opening of the open contact b of relay A cuts the holding circuit of the relay. 7, which therefore falls. As a result, of course, the excitation circuit of relay A is cut, as has already been explained, but this relay is however kept energized by its holding circuit, like all the relays in the chain. The holding circuit of relay A opens during the next pulse, when the rest contact b of relay lA is open.
The relays in the extension group now follow the code, in accordance with the operation of relay R, as already explained, relay 4A being activated on the twentieth pulse of the code. During this pulse, if the operation was correct, the CRA relay is also energized, with the current flowing through wire 160, the work contact c of relay 4A, the winding of the CRA relay and terminal N. CRA relay establishes a holding circuit by its own work contact a and by wire 160; this relay then remains energized during the remainder of the coding action. Driving the CRA relay also prepares circuits to re-energize the 1A relay immediately after the 4A relay.
The relays 4A and CRA thus operate in a manner analogous to that of the relays 8 and CR in the LC group at the end of the first cycle of the LC group counting chain.
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Relays 1A to 3A then repeat their operating cycle in this order. It is obvious that the code can be further extended by adding another extension group, relay A of group N 2 energizing on the twenty-fourth pulse. The circuit of this relay would check, in group N 1, that the 3A relay is energized, that the 4A relay is at rest and that the CRA relay is energized, to be sure that the twenty-fourth pulse is indeed the appropriate pulse. to energize this relay.
The control of the relays ae function polarized, which are assigned to the pulses 17 to 23, is analogous to that already explained for the relays assigned to the pulses 9 to 15. During the pulses 17 to 20; circuits are completed successively by the work contacts of the relays 1A to 4A and by the respective wires 217 to 220, to supply current to the function relays controlled during the corresponding pulses. The current is supplied to these circuits alternately by the contacts of the F1R and G2R relays and by the wires 186 and 187 .. Depending on the type of control used, the circuits of these function relays are completed, as has already been explained, by wires 225 to 230 and by other contacts of relays F1R and G2R.
Note that the current supplying wires 186 and 187 is cut if the CR and SR relays are not energized. During pulses 21 to 23, current from wires 186 and 187 is diverted through CRA relay contacts to circuits supplemented by other work contacts of relays 1A to 3A and wires 221 to 223. Since in the preferred embodiment of the invention, the pulses 16 and 24 are not used for transmitting control functions, the contacts of the relays A, which are required at the station for code extension, are not used for controlling the arrival of current in any of the polarized function control relays.
For example, the 2LHS and 2RHS relays are controlled by the F1R relay in the same way as the WZS relay, i.e. each by a momentary pulse produced at the start of the code pulse immediately following the pulse of the code. code that is assigned to it, in other words at the start of the pulse immediately following the pulse whose character controls the operation of each of these relays. We will assume that the seventeenth. pulse of a control code, pulse assigned to control the 2LHS relay, is long; the F1R relay is therefore energized.
At the start of the eighteenth pulse, a circuit is formed through terminal B, normal contact a of relay R, working contact e of relay LBP, wire 180, contact c of relay S, working contact b of relay F1R, wire 184, work contacts g and m of relays SR and CR, wire 187, rest contact h of relay CRA, work contact e of relay lA, wire 217, the upper winding of relay 2LHS from right to left, wire 226, work contact c of relay F1R and terminal N. Relay 2LHS therefore goes to its reverse position. If the seventeenth pulse is short, so that the F1R relay remains at rest, its contacts b and c reverse the direction of the current flowing through the upper winding of the 2LHS relay and the latter remains in the normal position or goes into this position .
The circuits of the 2RHS relay, controlled by the character of the nineteenth pulse, also appear in the drawing. It should be noted that the 2LHS and 2RHS relays also include, through their lower windings, a local recovery circuit which operates, in a manner which will be described a little later, to energize these relays in the normal direction in response. when the 1TR channel relay drops.
The 4LHS relay is controlled in a similar way by the G2R relay and by the circuit comprising the wire 184, the working contacts h and n of the SR and CR relays, the wire 186, the rest contact 1 of the CRA relay, the working contact 2 of relay 2A and wire 229. Since it was assumed, during the discussion of the transmission of the control code, that the signal control lever 4GS was in its left position, and therefore the pulse 18 was long, the 4LHS relay switches to the reverse position.
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The 4LHS relay is also controlled by the G2R relay passing through wire 186 and a work contact f of the 4A relay. It should be noted however that in this circuit, it is the working contact j of the CRA relay which supplies current to the working contact of the 4A relay. This is necessary, since the current pulse intended to actuate the 4RHS relay is received during the twenty-first pulse of the code, when the CRA relay has already been energized and is kept energized as it is. explained previously.
Since the central station coding group ends its action and returns to zero on the twenty-second code pulse, the station coding group must do the same. When the twenty-second command code pulse is reached, the R line relays remain energized and the various L timing relays at each station drop in synchrony with the corresponding relays at the central station. At the selected station, as can be seen in figure 2, the fall of the LBP relay causes that of the CR, CRA, SR and S relays, and of an energized relay, whatever it may be, by- mi the relays of the counting chain. In this case, this relay would be relay 2A. The drop of relay S places the device in the desired state to receive a new code.
The IL relay is the last to drop out of all relays, and its drop places the device in the state required to initiate transmission of a control code, assuming the relay
SS described below is not excited.
This completes the transmission of a control code from the central station and the reception of this same code at the selected station.
As explained, the wishes of the central station operator have been fully met. The function control polarized relays were actuated, in response to receipt of the control code, to change the 3W needle to the reverse position and the 4L signal to the open position, in order to allow the moving train to move forward. west to move through the interlocking on the route desired by the operator. On the other hand, signal 2R is closed, so as to stop the train moving eastward and approaching on track 2AT.
Although the operation of the polarized control relay allowed the 4L signal to go into the open position, it is understood that the state of this signal is also actually controlled by the conditions of the track, including occupancy. or the non-occupation of the track ahead and along the route established for the train, as well as the operation and locking in the reverse position of the switch on which the train is to pass. Local checks are also performed through different circuits to ensure that the opposite signals are in the closed position, i.e. the 4R signal is closed while the 4L signal is open and the signal 2RA is also closed since the 1W needle remains in the normal position.
Different other circuits and different checks are also used to fully ensure that all the safety conditions have been met on the route determined by the position of the signals.
The station encoding device of Figure 2 can also transmit control codes that the central station device is capable of receiving. Each control code consists of an even number of pulses, the first of which is relatively short. The pulses 2 to 8 are arranged in different combinations of three long pulses and four short pulses to actuate different selection relays F, G and S, at the central station and at the station, in accordance with the various codes already described. Pulses 9 to 15 are used to transmit from the station seven control functions.
One of the aims of the invention is to allow the station coding group to extend the action of its count chain, in the same way as the central station coding group, to provide additional pulses. and transmit all controls from a station and during a single code.
So the sixteenth, twenty-fourth and thirty-second impulses, and
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other similar pulses of the code, are used to extend the coding action, by preparing circuits allowing the use of chains (the extension counting, which provide the pulses 17 to 23,25 to 31 and others similar groups for transmitting control indications to the central station Extension pulses are not available during a control code to transmit a function, since these pulses must necessarily be long pulses in a control code.
Pulses 9 to 15, 17 to 23, 25 to 31, and pulses of other similar groups, however, can be made long or short to indicate the status of mobile devices in the station. The character of these pulses is initially recorded at the central station by a group of intermediate recording relays 1R to 7R, which are used again during each extension cycle of the count chain. The recorded characters of the different groups of pulses are transferred to the corresponding groups of the K control relays, on the selected panel of the central station, during the sixteenth, twenty-fourth and other extension pulses.
As indicated above, the invention also proposes to allow the selection of the next even pulse, as the final pulse of the control code, following the actual number of pulses necessary to transmit all the desired control indications. . Thus, adjustable connections and circuits are provided, as will be seen later, to enable the coding action of the station and that of the central station to be terminated on this selected pulse.
A typical group of station devices has been shown in Figures 2d and 2e; these devices consist of a group of control relays comprising the TKSR track storage relays, the AR approach relays, the NWP and RWP switch point relays in normal and reverse position, and the LHR and RHR signal control. The control of these relays by the conditions of the track and by the positions of the track devices can be achieved by any well known means. For simplicity, these commands have been represented by dotted lines since they do not form part of the invention.
The needle position repeater relays are shown as being energized by circuits supplemented by movable connectors, which are themselves controlled directly by the position of the needle tips.
The station device is arranged to automatically initiate a control code in response to a change in position of any of the control relays. Each control code is stored for transmission, when the line circuit becomes available, by dropping to a station start relay ST shown in Figure 2c. This ST relay is normally kept energized by a holding circuit passing through terminal B, the rest contact e of relay S, wire 182, the rest contact c of relay LB, wire 183, its own contact in normal position a and the winding to relay ST, wire 216, a contact b work or rest of each of the different control relays ae control of figure 2d, wire 224, a work or rest contact b of each of the different control relays ae control of figure 2e and terminal N.
To ensure that the starting relay drops, during the brief period when the circuit is open during switching to contact b alum relay ae control from one position to another position; without needing to adjust this contact, a sensitive relay of the polarized type is used as a starting relay. In addition, an inductive reactance 190 is connected across the winding to the relay. The current stored in the coil of the reactance 190, when the relay ST is energized, provides a source of an inauit contact to quickly switch the relay ST to its reverse position, in order to open its circuit.
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holding, in response to any sudden increase in circuit resistance due to the displacement of one of the contacts b of the control relays.
This action occurs even if such a control relay contact only opens for almost no time. Thus, no adjustment of these contacts is necessary.
* During any coding action from the line circuit, the energization of the LB relay keeps the relay holding circuit
ST passing through the battery and the working contact of the LB relay. Since contact c of relay LB is a continuity type contact, the holding circuit is continuously maintained while the relay is energized or at rest. If the particular station 234 has not been selected by the code, relay LB eventually drops to re-establish the maintenance circuit defined in the previous paragraph. If station 234 has been selected by a command code so that relays S and SR have been energized, relay LB also remains energized until the final impulse of the coding action.
As explained previously, in connection with the reception of a control code, the LB relay drops out first, that is, before the S and SR relays. The holding circuit of relay ST then passes through the left terminal of its winding, its own work contact a, wire 183, the rest contact e of relay LB, wire 182, the work contact e of relay S, wire 236, the working contact c of the SR relay and terminal 241. Since no current is supplied to this holding circuit at this time, a control code is automatically stored at the station after reception of a code any command, since relay ST is at rest.
If you do not want an automatic callback, that is to say if you do not want to automatically transmit a control code after receiving a control code at a station, connect terminal 241 to the normal contact a of relay R by a wire such as wire 159 connected to the rest contact c of relay SR. As already indicated, relay R is in the normal position during the last pulse of the control code and relay ST is held until relay S drops out to re-establish the primitive hold circuit. Since contact e of relay S is also a continuity contact, the current supplying relay ST in this case is not cut. If the SR relay were to drop before the S relay, wire 159 would hold the ST relay hold circuit until the S relay dropped.
The connection passing through wire 159 and the normal contact a of relay R is also used, as will be explained later, during the normal reset of the station LC group, at the end of a control code. A control code, can also be started, as om leoverra below, by transmitting a call code from the central station, 'this code allowing the ST relay to drop after the opening of the work contact c of the LB relay.
The transmission of a control code by the device shown in FIG. 2 will now be described. It is assumed that this control code is initiated by the movement beyond the signal 4L of the train already mentioned and moving towards the west; having passed this open 4L signal, this train enters the 3T track section and the 3TR track relay, which is bypassed, drops to idle. It is also assumed that this westward train still occupies the section of track 4AT at the time of transmission of the control code. The positions of the other devices have been established by the order code described above.
The opening of the make contact a of the 3TR track relay opens the normally closed holding circuit of the 3TKSR track storage relay, circuit passing through terminal B and the make contact a to the 3TKSR relay, and it also opens the d circuit. excitation passing through terminal B and work contact b of an MSTP relay. The 3TKSR relay drops out and its contact b opens the ST relay holding circuit, which drops out by
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therefore it is the rider already described. The fall to the ST relay opens its normal contact il and thus cuts the excitation circuit of the MSTP relay, which is a repeater relay to the start relay ST and also to the master relay M.
The excitation circuit at the MSTP relay passes through terminal B, the open contact f au. relay M, wire 177, normal contact c to relay ST, wire 238, the winding of the MSTP relay and terminal N. It is thus seen that the MSTP relay cannot be energized again, once it has dropped, as long as relay M has not dropped, during the final pulse to the control code. As a result, the 3TKSR relay cannot energize again before the final pulse of the control code either. In other words. 9 the 3TKSR relay remains idle until the channel busy indication has been transmitted to the central station. This is necessary to be sure that the track occupancy indication is transmitted, since track sections such as 3T are very short.
Thus, if the line circuit is not immediately available to transmit the control code, the train can be pulled out of the 3T track section and the 3TR relay can be energized before the control code has been sent.
However, as explained, the 3TKSR track storage relay stores the control indication until such time as it can be transmitted to the central station. At the station shown, the 1TKSR relay remains energized via the work contacts of the channel relay associated with it.
If the line circuit is available, a starting circuit is closed passing through terminal B, the reverse contact b of the ST relay, the rest contact b of the SS relay, wire 147, the working contact b of an RP relay , the closed contact a of a thermal cut-off relay COR, the closed contacts b of the respective relays 1L and 2L, the winding of relay M and terminal N. The relay M is energized, completing a temporary holding circuit , which passes through its own work contact, wire 166, the idle contact! of relay SR, wire 167, the rest contacts e and c of the respective relays LB and LBP, in parallel with the rest contacts b of relays -IL and 2L. Relay M contacts b and 51 reverse the connection of relay R to line wires Y and Z.
The make contact d of relay M also closes a low impedance bypass passing through the rest contact f of the LBP relay from line Y and terminating at line Z. The make contacts b and c of relay M directly connect the capacitors of the relay. LPF low-pass filter on the lines, so that these connections correspond during transmission to those of the corresponding low-pass filter at the central station. Normally, the impedance presented on the lines by the station apparatus is significantly increased, as desired, by inserting a high resistance in series with the first capacitor and disconnecting the other capacitor from the line circuit.
The excitation of relay M also completes the excitation circuit of relay 1T. This circuit passes through terminal B, the reverse contact b of the ST relay, the rest contact b of the SS relay, wire 147, the working contact b of the RP relay, the closed contact a to the COR relay, the closed contact c of the relay LBP, the rest contact f of the LB relay, the work contact e of the M relay, the rest contact b of the 2T relay, the winding of the 1T relay and the terminal N. The energization of the 1T relay starts the first pulse of the code. Closing the work contact c of relay 1T also closes the excitation circuit of relay 2T, which is also energized.
When the line circuit is bypassed by relay M, the associated line relay R drops out. The increase in the current supplied by the battery 77 to the central station also allows the transformer RT, represented in FIG. 1a, to supply a pulse to switch the relay OR to the reverse position, substantially in synchronism with the relay R. ci activates the associated time relays and relay 1. Closing the working contact e of relay LB transfers the temporary holding circuit of relay M and passes it through terminal B, the working contact d of the relay
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1T, wire 178, the contact rest there. relay S and wire 179.
At the central station, the OR relay activates the OL time relays, relay 01 and relay E, as on the first pulse of a command code. In addition, a circuit is formed by terminal B, the reverse contact a of the OR relay, the rest contact h of the OLBP relay, the rest contact b of the OM relay, wire 65, the rest contact c of the OCS relay, wire 66, the winding of the PC relay, wire 17, the normally closed contact of the cancel button CB shown in figure le, and finally the N terminal.
PC is therefore energized and its contacts b and d reverse the polarity of the current supplied to the line, while its working contact e completes a circuit energizing a slow-drop PCP repeater relay.
The abrupt variation of the line current, variation due to the operation of the PC relay which has changed the polarity of this current, has no effect on the OR relay, for two reasons. The first reason is that, when the PC relay energizes, the secondary of the transformer RT is momentarily short-circuited by the work contact c of the PC relay and by the idle contact c of the PCP relay. The second reason is that the lower winding of the OR relay is energized in the opposite direction by means of the circuit passing through terminal B, the rest contact b of the PCP relay, the work contact 1 of the PC relay, the rest contacts e of the relays. OM and OT, the lower winding of the OR relay and terminal 0.
The PC relay remains energized thanks to a holding circuit passing through terminal B, its own work contact a, the work contact h of the OLBP relay, the remaining part of the excitation circuit of this relay, circuit indicated above, the contact normally closed of the CB cancel button and finally the N terminal. The PC relay therefore remains energized until the OCS relay energizes itself on the final code pulse.
The shunt established as a bypass on the line wires y and Z by the relay M of the transmission station also short-circuits and consequently causes the line relays R to fall to the stations more distant from the central station. If the transmitting station is at a considerable distance from the central station, it is possible that the voltage between the line wires, voltage which varies between a maximum almost equal to the voltage of the battery 77 of the central station and about zero at the place where the shunt is applied, remains sufficient to keep the relays R energized at the stations close to the central station. However, these relays are returned to the rest position by the line polarity reversal carried out by the PC relay.
As a result, all the line relays R drop more or less simultaneously when any relay M energizes to start a code, each relay R activating its timing relays L and the first counting relay 1. At each station where the relay M is not actuated, relay R remains at rest, keeping relay 2L energized but allowing relay IL to drop to energize relay SR; then the LP, LB, LBP, 1 and SR relays drop in that order.
At the transmitting station, closing the work contact f of relay LB completes the pulse circuit of relay 1T; this circuit passes through terminal B, the rest contact b of relay CS; wire 199, the contacts rest there. relays 3A and 1A, wire 196, the rest contacts g of relays 7, 5, 3 and 1, wire 168, the working contact! of relay LB, the contact. !! of relay M, and then, to energize relay 1T, by the rest contact b of relay 2T, the winding of relay 1T and terminal N. When the pulse circuit operates as a holding circuit of relay 1T, the contact rest b of the 2T relay is replaced by the work contact b of the 2T relay and the work contact a of the 1T relay in series.
r
The 1T relay transmits a code by the operation of its contact b.This contact is made effective to transmit the control code, when the LBP relay is energized on the first pulse of the code for
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open your rest contact! which is in parallel with the work contact 12 of relay 1T. Each time the 1T relay energizes, a low resistance shunt. closes with line Y, work contact b of relay T, work contact at relay M and line Z.
At the same time, the circuit of the relay R, which passes through the now positive Z wire, the working contact d of the M relay, the closed contact b of the 1T relay, the resistor R3, the winding of the R relay, the working contact 12 relay M and wire Y, is opened by relay 1T at the rest contact b thereof; thus, the prop R falls back more quickly than if it were simply short-circuited by the closing of the working contact b of relay T.
Although the first pulse of a control code is short compared to the first pulse of a control code, it is depending slightly longer than the other short pulses.
This first pulse begins when the relay M is energized by closing its work contact d; this closing occurs slightly before the 1T relay is energized; this pulse ends when the 1T relay drops out following the energization of the LB relay, which opens through its rest contact 1 the initial circuit which does not maintain the 1T relay; this happens slightly after relay 1 energized to open the normal relay 1T pulse circuit.
The response of the transmitting station device, which is necessary to allow transmission to continue, also depends on the conditions at the central station. Since the connections of the R relay to the line have been reversed by the M relay, the R relay only energizes, to start the second pulse, if the PC relay has been energized to reverse the polarity to the line current, by indicating that the central station device is in reception state, with the OM relay at rest;
The control code call pulses are generated by the 1T and 2T relays, in the same way as by the 01T and 02T relays during the command code already described.
Assuming the call sign is 234, the second pulse is extended by closing a 2T relay hold circuit. This circuit passes through terminal B, the normally closed contact 1 to celais S, the closed contact ± of relay F1R, an adjustable connection, wire 132, work contact c of relay 2, wire 235, the working contact a of the relay 2T, the rest contact c of relay 1T, the winding of relay 2T and terminal N. On the second pulse, relay F1R is energized in response to the drop of relays 2L and LP, the circuits being analogous to those described for the same relay while receiving a command code at that station. However, it will be understood that the work contact d of the SR relay, in the circuit indicated above, is now replaced by the idle contact d of the LP relay.
Thus, the energization of relay F1R is delayed beyond the analog energization of this relay during the second pulse of the control code. This is necessary to allow adjustment variations over time between this station and the coding group of the central station, since it is the excitation of relay F1R which initiates the action intended to terminate this second pulse of the code. In other words, when relay F1R is energized, its rest contact f cuts off the holding circuit of relay 2T, which consequently drops out. This drop of the 2T relay allows the 1T relay to be energized by its pulse circuit and to terminate the second pulse.
The third pulse is then extended by the operation of the holding circuit of relay 1T. This circuit passes through terminal B, the rest contact f of relay S, the rest contact f of relay G2R, an adjustable connection, wire 133, the working contact ±. of relay 3, wire 234, work contact a and the winding of relay 1T, and finally terminal N. Relay 1T is then kept energized, until relay G2R is energized in turn to open its rest contact f. The excitation circuit
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relay G2R is again analogous to the circuit used to energize this relay during the command code.
Once again the working contact 1 of the
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reéais SR is replaced by an idle contact] 2. relay 1-P, so that the excitation of relay G2R is delayed to allow sufficient time for this code pulse. Relay 1T then drops to terminate the third pulse and to control the fourth pulse.
Like the second pulse, the fourth pulse is extended by the operation of a 2T relay holding circuit. The circuit used to generate this fourth line pulse is similar to that of the second line pulse with this difference, however, that it only includes the rest contact f of relay S, wire 134 and work contact c of relay 4. During the fourth pulse, the selector relay S
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station is energized, in response to the drop of relays 2L and 1, P I, ar iin circuit analogous to that of relay Finit. When Tn is energized, relay S completes a holding circuit passing through its own work contact, wire .t0, work contact z, of the LBP relay and terminal B.
I. opening the idle contact f of relay S allows relay 2T to drop, and the latter allows
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keep the IT relay energized to start the fifth pulse.
When relay S energizes, its contact g transfers the holding circuit of relay M, from the second temporary circuit to terminal B, at the location of the rest contact b, of relay CS, via wire 199. This holding circuit is maintained until the CS relay energizes on the last pulse of the control code to drop the M relay, as will be explained a little later.
About the second cir-
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temporary cooked for maintaining relay M, circuit passing through wire 7'9 and the work contact, of relay 1T, it should be noted that, when the VIT relay has dropped during normal operation of the first impulses of the code da ecntio7 e, the relay R was in its normal position, so Q "13 -: 1'.1 current was supplied to wire 'l719, to keep relay FUI energized: st passing through the normal contact to relay R and the rest contact d of relay 1T. If relay R is not energized for some reason
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conch., qrard lp relay 1T drops out. the T'est Fi loses its excitation and falls back X) 1'l '1ntf: rrOI1r> rb the control code.
This would be appropriate since relay 1T and relay R are not energized, the conditions on the
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circju c'f ügne or at the central station would not allow reception of the control code.
Since the pulse circuit of relay 1T works in the same way as that already described for relay 01T, it is clear that if relay S is actuated on the fourth pulse, pulses 5 to 3 are short pulses generated by the operation of the 1T relay using its normal pulse circuit, in conjunction with the drop of the 2T relay. The relay CR is energized during the eighth pulse through the circuit passing through terminal B, the make contact h of relay S, wire 146, the make contact ± of relay 8, the winding of relay CR and terminal NOT.
The CR relay is energized by closing, by its own
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work contact has its holding circuit, which passes through terminal B, the work contact to the LBP relay, resistor R7.0 and wire 160.
When the CR relay energizes, it closes an energizing circuit of the ST start relay; this circuit passes through terminal B, the contact
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work; L of relay M, wire 232, work contact 2 of relay CR, work contact a. of relay 8, wire 206, the winding of relay ST and resistor 190 in parallel, wire 216, the on or off contacts
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, the various control relays shown in Figures 2çj, and 2s wire 224 and terminal N.
The ST relay then energizes and establishes a cir-
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temporary hold which passes through terminal B, work contact g., of relay LB, wire 183, its own contact in normal position a, the relay winding, reactance 190; and which then coincides with the circuit Indicated above to end at terminal N.
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The energization of the relay CR on the eighth pulse establishes circuits to make the next seven pulses available to indicate the state of the switches or mobile devices discussed above. By closing its work contacts e and f, the relay CR establishes the connections passing through terminal B, the various contacts a of the control relays in figure 2d, wires 139 to 145, and completed successively by the work contacts f of the relays 1 to 7 on pulses 9 to 15 of the code, in order to keep the 1T relay or the 2T relay energized, as the case may be, until the LP relay drops. Such a long code pulse can then be considered as a positive indication, since the mobile device is in the active state.
For example, since the 1W needle is in its normal position commanded by the operator during the command coae, the ninth pulse of the control code must be long to transmit this information to the central station. The 1NWP relay, shown in figure 2d, is energized, the excitation current being supplied by terminal B and passing through the movable connector associated with this needle, which now occupies the position shown in the drawing, by the winding of the relay and. terminal N.
The circuit intended to keep the 1T relaia energized, in order to make the ninth pulse long, goes through terminal B, the work contact has the 1NWP relay, wire 139, the work contact! of relay 1, work contact e of relay CR, wire 161, work contacts in parallel c of relay LP and e of relay 1L, work contact a and the winding of relay 1T, and finally terminal N. The relay 1T is thus kept energized, until relay LP drops out, generating a ninth long pulse.
Likewise, the fourteenth pulse is made long by keeping relay 2T energized by the current supplied by terminal B to the rest contact a to relay 4AR (figure 2d), this relay being shunted and brought back to rest by the train that is being assumed to occupy track section 4AT. The 2T relay holding circuit passes through wire 144, the work contacts f of relays 6 and CR, wire 162, the work contacts e in parallel with relays 2L and LP, the work contact has to relay 2T, the rest contact ±. of relay 1T, the winding of relay 2T and terminal N. Relay 2T remains energized until relay LP drops out and opens its working contact, generating a fourteenth long pulse.
The fifteenth pulse must also be long to indicate that the 3W hand is in the position: 'reverse commanded' by the operator during the command code. The 3RWP relay represented in FIG. 2d is excited by the current supplied by terminal B and passing through the mobile connection associated with this needle, which now occupies the position shown in dotted lines in the drawing, as well as by the winding of this relay to end at terminal N. The 1T relay holding circuit is analogous to that used to keep this same relay energized during the ninth long pulse, with this difference however that the make contact has the 3RWP relay, wire 145 and the contact job ! of relay 7 are in the circuit.
The pulses 10 and 12 of this check code will be short, since the respective track sections 1T and 2AT are not occupied. However, if the eastbound train approaching interlocking occupied this section of track 2AT before the transmission of the twelfth pulse, the indication of this occupation would be transmitted with this control code. If this indication is transmitted, it is possible, as will be explained in a moment, for a second code to be initiated by this indication.
To transmit to the central station the control indications supplied by the relays shown in FIG. 2e, it is necessary to extend the coding action beyond its current termination on the sixteenth pulse. This is again achieved, as with the command code, by extending the chain of counting relays. We use, to increase
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the length of the control code, the same extension group that was used to extend the coding action after receiving a control code. Each extension group adds eight more pulses to the code, seven of which are available for the transmission of control indications.
The sixteenth and twenty-fourth pulses, as well as the analogous pulses, are not available for code transmission, but are only used to prepare circuits for the extension count strings.
During code pulse 16, relay A of the extension unit is energized by the same circuit, described previously, as during reception of the command code. This circuit checks that relays 7 and CR are energized and that relay 8 is not; in other words, it checks that it is indeed the appropriate impulse to energize relay A.
However, the sixteenth pulse of a control code must always be long, due to some necessary relay action at the central station coding group. The current is supplied by terminal B and passes through the work contact c of relay A, wire 198, the work contact f of relay CR, as well as through the previously defined holding circuit of relay 2T. This last relay is kept energized until the LP relay drops. The 2T relay being kept energized, the 1T relay remains at rest to generate a sixteenth long pulse. After the 2T relay drops, the 1T relay energizes to start the seventeenth pulse. As before, relay A prepares a circuit to energize relay 1A during the seventeenth pulse.
The action of the extension group count chain is the same as before. The CRA relay energizes on the twentieth pulse to reverse the coding action and to use relays 1A, 2A and 3A again. As before, if pulses are needed in addition to the twenty four pulses now available, a second extension group is provided, the relay A of which is energized during the twenty-fourth pulse by the circuit defined above, which comprises the working contact h of relay 3A, the working contact e of the CRA relay, and the rest contact e of the 4A relay.
Pulses 17 to 23 are available to transmit to the central station the additional indications sent by the station. The current is supplied again by the make contacts a of the various control relays shown in FIG. 2e, the wires 209 to 215 inclusive, and the make contacts of the relays 1A to 4A. The contacts f and g of the CRA relay are used to differentiate the work contacts of the relays lA, to 3A, which are used respectively during the pulses 17 to 19 and 21 to 23. Note that the work contact d of the relay 4A is connected directly to the thread 198.
This is necessary since the CRA relay energizes during this twentieth pulse, so that its transfer contacts must be short-circuited by the circuit used to keep the 2T relay energized during this pulse, if it is desired that the pulse be long. On the other hand, since the relay 4A is only used for this purpose once during the coding action, it is not necessary to differentiate the two make contacts of this relay.
When the 4L signal was opened by the dispatcher during the control code, for example, the 2T relay was kept energized, during the next control code immediately, through the circuit passing through the terminal B, the make contact ± of relay 4LHR shown in figure 2e, wire 210, work contact c of relay 2A, rest contact of relay CRA, wire 198, work contact 1 of relay CR, and the previously defined holding circuit of the relay 2T. However, when the train passed the 4L signal which was open, the signal returned to the closed position and the 4LHS relay returned to its normal position.
The circuit producing this last operation passes through terminal B, the
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contact c of the 3TKSP relay, the lower series windings of the 4RHS and 4LHS relays in the direction from the left to the right, and finally terminal N. The 4LHS relay consequently loses its excitation. Thus, during the control code which has just been described, the code pulse 18 is short, since no current supplies the holding circuit of relay 2T.
The only long pulse of the code extension group in the considered control code is the twenty-first pulse, with channel 3T busy. The circuit keeping relay 1T energized during this pulse goes through terminal B, the rest contact a of the 3TKSR relay, wire 213, the work contact d of the relay lA, the work contact f of the CRA relay, wire 197 the work contact e of relay CR, wire 161 and the rest of the previously defined holding circuit of relay 1T. The latter thus remains energized until the LP relay drops out, removing the excitation of the 1T relay. This therefore falls to end the twenty-first impulse.
As can be seen by considering FIG. 2e, there is no need at this station for pulses 22 and 23, since there are no other control indications to be transmitted to the central station. The code can therefore end after the twenty-first pulse, so as to conserve a coding time on the line circuit. To correctly reset the central station equipment, as well as the equipment of this station and other stations, the code must still end with the R line relays in the normal position. This subjection restricts the final pulse of a control code to only even pulses. Thus, at the station shown in Figure 2, the check code ends on the twenty-second pulse.
To terminate the control code, the CS code stop relay must be energized on the final pulse in parallel with the particular count chain relay corresponding to that pulse; in other words, the CS relay must become the final relay in the count chain.
So that the coding groups are identical to all the stations, adjustable connections are provided which pass through the open contacts h of relays 1, 3, 5, 1A and 3A, or through the open contact b of relay 7 if the code must be end on the sixteenth pulse as for energizing the first relay A, in order to energize the CS relay on the desired code pulse. Since the code must end on the twenty-second pulse at this station, the adjustable connections for energizing the CS relay on the final code pulse are made to include the working contact h of the 1A relay.
When the twenty-second pulse is reached, the relay R of the transmitting station switches to the normal position, energizing the relay CS by means of a circuit passing through the terminal B, the normal contact a of the relay R, the working contact e of the LBP relay, resistor R9, wires 158 and 205, rest contacts, !! relays 4A and A, work contact h of relay lA, work contact d of CRA relay, an adjustable connection, wire 200, work contact h of relay M. wire 188, work contact .1 of relay CR , wire 131, work contact b of relay LB, wire 148, the coil of relay CS and terminal N. When relay CS is energized., it completes a holding circuit passing through wire 148, the work contact b of relay LB, wire 131, its own work contact a and wire 158.
Relay CS opens its rest contact b to disconnect terminal B from wire 199 and at the same time from wire 178 via the working contact g of relay S. Relay 1T thus remains at rest when relay lA drops to close its rest contact g in the normal pulse circuit of relay 1T. Relay M also drops out by reversing the connections
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line by its contacts b and d, in order to make relay R sensitive now only to line current of normal polarity.
At the central station, the OR relay switches to the normal position by energizing the OCS relay. This, by opening its rest contact c, causes the PC relay to drop again, thus re-establishing the normal line polarity, so that the relay R of this station remains energized after the drop of the relay M.
This relay action at the central station will be described more fully a little later. It suffices to say here that the PC relay drops the PCP relay and the OR relay drops the 02L, OLP, OLB, OLBP and 01L relays in that order.
The OR relay remains in its normal position and is not affected by the operation of the PC relay because, when this change in line polarity occurs, the secondary of the transformer RT is short-circuited by the closed contact, 2 of the PC relay and by the work contact c of the PCP relay. The OR relay is also kept energized in the normal direction., Until the PCP relay drops out via the circuit passing through terminal 0, the lower winding of the OR relay, in the left direction to the right, the rest contact e of the 01T and OM relays, the rest contact f of the PC relay, the work contact a of the PCP relay and terminal N.
The reestablishment of the normal line polarity by the PC relay causes the excitation of the R line relays at all the other stations.
At these stations, relays 1L, LP and LBP energize, while relays 2L, LP, LE, LBP and 1L then drop in that order.
At the transmitting station, even if the relay M drops out exactly at the instant when the line polarity returns to normal, the relay R may be momentarily deprived of excitation. However, since the relay CS is energized, its working contacts c and d connect together respectively, through the wires 170; 171 and 173, 174, the contacts in normal position and in reverse position a and b of relay R, so that the circuits controlled by this relay remain in the same state as if the relay R remained energized.
Consequently, the time relays L of this station fall back in order, substantially in synchronism with those of the central station and slightly ahead of those of the other stations. Relay CS is returned to the rest position by opening its work contact maintenance circuit b of relay LB. The CR, CRA and S relays drop when the make contact a of the LBP relay opens to disconnect terminal B from wire 160.
It can be seen, from the previous description, that all the coding groups are returned to the normal position and placed in the appropriate state of reception before the fall of the relays 01L and IL, to put the system in a state to transmit the code. next.
The fall of the M relay completes an excitation circuit of the MSTP relay shown in Figure 2e. This relay, which is a repeater of relays M and ST, is energized by a circuit passing through terminal B, the rest contact i of relay M, wire 177, normal contact c of relay ST, wire 238, the winding of the MSTP relay and the N terminal. The MSTP relay energizes and prepares circuits to energize the various TKSR relays, and more especially the 3TKSR relay in this case, when the corresponding TR relay is energized again. The 3TKSR relay excitation circuit passes through terminal B, open contact b of the MSTP relay, open contact a of the 3TR relay, the winding of the 3TKSR relay and the N terminal.
So when the train comes out of the 3T track section, so that the shunt is removed and the 3TR relay energizes, the 3TKSR relay can also energize. This naturally causes the ST relay to drop again by starting a new code. If the 3TR relay is already energized when the transmission
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of the control code is finished and if the MSTP relay energizes, the 3TKSR relay energizes immediately. Since the resulting fall of the ST relay also causes the fall of the MSTP relay, a capacitor C is added in parallel with the winding of the 3TKSR relay, to achieve a sufficient energy reserve and able to complete the excitation of this relay in these cases. conditions.
When the 3TKSR relay is energized, it completes a holding circuit passing through terminal B, its own work contact a, the work contact a to relay 3TR, the winding of relay 3TKSR and terminal N. The use of these relays d lane indication storage, such as the 3TKSR relay, provides transmission to the central station of lane occupancy indications for these short sections for the purpose of recording such occupancy at the central station by means of writing magnets commonly provided in installations of this type.
Each of the individual TKSR relays also controls a circuit to return the magnetically held signal control relays to the normal position when a train enters a section of track and drops the corresponding TR relay. This prevents the signals from automatically returning to the open position when a train clears a short section of track without the need for additional repeater relays.
The circuits used to return the signal control relays to their normal position, one of which has been defined previously, appear prominently in the drawing.
A change in the position of one of the control relays may occur during the transmission of the control code just described. If this occurs before the transmission of any of the control pulses i.e. before the ninth pulse, the ST relay energizes again on the eighth pulse and a single code is transmitted. Since the excitation circuit of the ST relay is open at the start of the ninth pulse, the temporary holding circuit, by which the ST relay is kept energized, opens, to drop this relay again if a change of position of l Any of the control relays occurs after the transmission of the eighth pulse. Thus, a new control code is transmitted to indicate the new condition.
This occurs even if the new indication has already been included in the initial code as assumed in the previous description of the transmission of the busy indication for the track section 2AT on the twelfth pulse of the code.
As indicated previously, when relay LB drops out and before relay S drops, relay ST is kept energized by the temporary holding circuit which passes through terminal B, normal contact a of relay R, the wire 159, rest contact c of relay SR, wire 236, work contact e of relay S, wire 182, rest contact c of relay LB, wire 183, normal contact a and the winding of relay ST, wire 216, the previously indicated circuit of the ST relay and terminal N. However, it can also happen that, due to a fault, the transmission of the control code is interrupted and that consequently the coding group of the station central does not complete its coding action at the same time as the end of the code at the station.
When the CS relay is energized at the station, to drop the M relay, the central station coding group begins a normal "drop", with the PC relay still energized. This maintains the reverse polarity to the line circuit, so that the R relays are kept in the reverse position. Thus, when the relay LB drops out, the temporary holding circuit of the ST relay is open to the normal contact a of the R relay, so that the ST relay loses its excitation and drops again to store another control code which will be transmitted as soon as the line circuit will be available. If the OCS relay of the OLC group is energized in advance over the CS relay of the station, the PC relay at the central station drops out, restoring the normal polarity of the line circuit.
The relay R is then energized with the reverse polarity due to the inversion of its
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line connections made by the contacts of relay M. The LC group of the station cannot complete its coding action and stops with relay R in the reverse position. When the LB relay drops out, the temporary ST relay holding circuit opens again and that relay drops out to store the control code. Thus, if a line fault prevents the OLC and LC groups from completing their coding action simultaneously, the station start relay drops to store another control code and to ensure that the entire code is received. at the central station.
It is only if the LOC group completes its coding action at the desired time, so that the PC relay re-establishes the normal polarity of the line circuit, that the station ST remake is kept energized by the holding circuit until until relay S drops to complete the permanent holding circuit.
We will now describe the operation of the central station device (Figure 1) during reception of a control code. It is understood that the OR relay passes, through the intermediary of the transformer RT, in the right or reverse position on each odd pulse and in the left or normal position on each even pulse. The OR relay thus actuates its timing and counting relays by means of code pulses, in synchronism with the corresponding relays of the transmission station.
On the first pulse, the 01L, 01, E, PC and PCP relays are energized, as already explained, as do the 02L, OLP, OLB and OLBP relays. However, the 01L relay does not drop because the first pulse is relatively short. Certain selected relays, among relays F, G and S of the central station, are energized on the pulses corresponding to the digits of the station code. In this case, in response to call sign 234, relays 2F and 23G are actuated on pulses 2 and 3 and relays 234S and SP on pulse 4.
Under reception conditions, the closed contact d of the OLP relay, in the circuits of these relays, is short-circuited by the open contact f of the PCP relay, so that these relays are energized on long pulses, after the closing of the break contact 1 of the respective relay 01L or 02L.
The excitation of the PCP relay also prepares a circuit passing through terminal B, the work contacts c of the 01L and 02L relays, the work contact e of the PCP relay, wire 59, the work contact c of the SP relay, the upper winding relay KSP of the central repeater station of relay S and terminal N. Since relay SP is energized by means of a closed contact of relay 01L or 02L, the circuit of relay KSP is kept open on the pulse for which the S and SP relays are actuated, and closes as soon as the 0-IL and 02L relays are both energized at the start of the pulse following the final digit of the call sign, i.e. on the fifth pulse when the code is 234. When the KSP relay energizes,
it completes a holding circuit with its own work contact a, its lower winding, wire 60, the work contact a of the OLBP relay and terminal B. This KSP relay prepares circuits that will be defined ... further to interrupt the control code, if a fourth long pulse is received during this portion of the code assigned to the selection of the station, that is to say during the first eight pulses, It also prepares a circuit, which in order to energize the various delivery relays controlling the delivery to the appropriate panels of the device, the control indications received will be described later.
The OCR relay energizes on the eighth pulse as previously indicated. Contact work! of the PCP relay maintains the connection passing through terminal B, the work contact a of the OLBP relay, the closed contacts d of the 01L and 02L relays and wires 63 and 64, after the OCR relay has energized. Closing the NO contacts b and d of the OCR relay prepares
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circuits passing through these wires 63 and 64 and through the work contacts e of the relays 01 to 07 inclusive, whereby a series of intermediate recording relays Rl to R7 are made sensitive to the character of the pulses 9 to 15 of the code.
In other words, when terminal B is connected to any one of wires 139 to 145 (figure 2c) by a control relay contact, the corresponding pulse of the transmitted code is extended, i.e. say that a positive control indication is transmitted, and the corresponding relay, among relays R1 to R7, is energized at the central station.
For example, if the ninth pulse is long, as had been assumed during the description of the control code, relay 01L drops out by closing its normally-closed contacts, so as to complete a circuit passing through terminal B, the working contact has of the OLBP relay, the working contact f of the PCP relay, the rest contact d of the 01L relay, the wire 63, the working contact b of the -! * OCR relay, the working contact of the 01 relay, the winding of the Rl relay and the terminal N.
Relay Rl is energized and completes a holding circuit passing through terminal B, rest contact b of relay RR shown in figure la $ work contact .1. OLBP relay, wire 76, work contact a and the winding of relay R1 and finally terminal N. Relay R1 also closes its work contact b to connect terminal B to wire 49. Note that relay RR recording reset is not energized before this moment, the excitation circuit comprising the working relay c of relay 16.
Since the fourteenth pulse of the check code was also assumed to be long, relay R6 also energizes on this pulse by a circuit similar to that of relay R1, but including the rest contact d of relay 02Ls wire 64, contact work d of relay OCR and work contact e of relay 06. The holding circuit of relay R6 is the same as that of relay R1, with the difference, however, that it includes work contact a of relay R6. The fifteenth pulse being long, the relay R7 is energized by a circuit similar to that of the relay Rl and appearing clearly in the drawing.
On the sixteenth pulse, which is long, relay 16 is energized by the same circuit, as that described previously with regard to the control code, When it is energized, relay 16 closes a circuit comprising terminal B, the working contacts c of relays 01L and 02L, the work contact e of the PCP relay, wire 59, the work contacts c of the OCR and KSP relays, wire 93, the work contacts d of the relays 234S and 16, wire 109, the winding of the associated delivery relay 234D and terminal N. The relay 234D is therefore energized to allow the operation of the control relays k, of the group which it controls, in accordance with the positions of the recording relays Rl to R7.
Relay 234D opens the holding circuits of these relays K through its rest contacts a to g inclusive, and prepares the excitation circuits of these relays by the intermediary of similar make contacts. These excitation circuits pass through wires 49 to 55, the work contacts b of the respective relays Rl to R7 and terminal B, the positions of these latter relays indicating the position of the station control relays of the group controlling the transmission of the code. , It has already been explained for example that the relay Rl is in the excitation position, since the ninth pulse is long. A circuit is then formed by terminal B, work contact b of relay R1, wire 49, work contact a of relay 234 D, the winding of relay 1NWK and terminal N.
Since relays R6 and R7 are also energized, relays 4AK and 3RWK are energized by analog circuits.
When any of the control relays of Figure 1d are energized, as just explained, they cause lamps to light on the central station panel to provide a visual indication of positive controls transmitted by the station. For example, the energization of the 1NWK relays produces respectively the ignition of the 1NWE and
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3RWE. Likewise, energizing the 4AK relay turns on the 4AE lamp in the channel diagram. The circuits supplying the current to the lamps by the work contacts of the control relays are clearly shown in the drawing. The operator is thus warned that the needle 1W is in the normal position, that the needle 3W is in the reverse position and that the track section 4AT is occupied.
The system of control relays and indicator lamps shown in Figure 1d is a typical system for signaling such indications. It is obvious that other methods can be used for this purpose. It is also possible to add control indications and
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additional registremea1s, as seen in figure le. of US Patent 2,411,375 mentioned above. In this drawing we see recording styles, bells and vibrators providing audible indications or a permanent recording. These devices can also be used in the installation according to the present invention.
Since these indicator circuits do not form part of the invention, they have been represented as simply as possible; the sole purpose of showing the end result of the codes and the operation of the coding groups represented here.
It should be noted that the excitation circuit of relay 234D first passes through the on contact 51 of relay 234S and then through the on contact 51 of relay 16. In this way, the circuit shown in FIG. 1c is simplified. However, in current practice, the position of these two contacts is usually reversed so as to reduce the number of contacts required on relay 16. Since each of the thirty-five possible stations on a line circuit must be represented by a relay D, thirty-five analog excitation circuits may be required at the central station.
It then becomes simpler to connect wire 93 to the heel of the contact to relay 16, this contact in the working position with the working contact d of each of the thirty-five possible relays S, must be provided anyway for the selection of stations, and finally these last contacts to the winding of the corresponding relay D. For stations requiring control codes of considerable length, a work contact g of a relay 24 and possibly a contact of a relay 32 must each be connected. in parallel with the work contact d of relay 16, in order to provide excitation circuits for the DA and DB relays of these stations.
For example, when the central station receives a control code from station 267, whose control codes are twenty-six pulses long, as will be shown a little later in connection with the code stop circuits, a circuit is formed on the twenty-fourth pulse; this circuit is analogous to that already indicated for relay 234 D and includes wire 93, the work contact d of relay 24, a work contact of a 267S relay, the winding of relay 267 DA and terminal N. The relay 267D energizes and completes circuits to deliver the indications received during pulses 17 to 23. As shown for station 234, relay 234DA however energizes on the last pulse of the control code, as shown. will see a little further.
Since the control code pulse 16 is long, relay 02L drops out. The opening of the working contact c of relay 02L opens the excitation circuit of relay 234 D which therefore drops out. The result is that the various control relays are disconnected from the work contacts of relays Rl to R7 inclusive. The various K control relays, which have been energized by the NO contacts of relay 234D, are maintained.
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tie: oent-lIlàimtenmrt l exci: t # -s "1}! 1à: t'll'1! ê mt 'pasBo-e pr'.: bIt" ':' oorJ1llEf'iirr "" 'let13 own working contacts, -and contact them rest corr 3s'> end, rel & iOa 234D. It-, in tésulte.-que les: S ... ndfucatio118 de co: Rtr <31st, received .. from S1; erU. are maintained.
Since the control code transmitted by station 234 comprises more than sixteen pulses, additional pulses must also be
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also provided at the central station, so as to receive this particular control code. This is done in the same way as for adding pulses during the command code. The central station coding group still uses relays 16, 17-21, 18-22, 19-23 and 20 to add pulses, these relays being added to the OLC group count chain.
These relays are energized in the order after relay 16. Relay 20 completes an excitation circuit of relay OCRA, and relays 20 and OCRA then cause a repeat action of relays 17-21, 18-22 and 19. -23.
The coding action of these expansion relays provides pulses 17 to 23.
At the start of pulse 17, when the line relay R switches to the reverse position, a circuit is formed to energize the reset relay RR
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to zero of the record. This circuit includes the Balé6stmt brvàsé terminal of relay R, wire 81, the working contact of relay 16, wire 82, the upper winding of relay RR and terminal N. When relay RR energizes, it completes a holding circuit passing through its lower winding, its own work contact a, the work contacts c of relays 01L and 02L and finally terminal B. The opening of the break contact b of relay RR cuts the holding circuit of the intermediate relays of registration Rl to R7, which falling. The RR relay then drops off during the first long pulse of the code following its excitation, including pulse 17.
When relay 01L or 02L drops during this long pulse, opening the working contact of the relay in the rest position cuts the holding circuit of the RR relay which drops. In the code described here, pulse 21 is the first long pulse of the extension group. Thus, the RR relay loses its excitation when the 01L relay drops during this long pulse, and it drops again immediately.
Note that if a check code is longer than twenty-four pulses, the RR relay is also energized at the start of pulse 25. Its excitation circuit is analogous to that of.
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written above, the contact..vill, g,: è1ú. relay z, 6, ét1! -: replaced.:. pa: r: 1tm: working ontact of relay 24. In practice, the working contacts of these relays, such as 16, 24, 32, etc ..., necessary contacts to the installation, are connected in parallel in the excitation circuit of the RR relay, so that the latter is energized at the start of the pulses 17, 25, 33, etc ...
The fall of the intermediate recording relays prepares them for use again during pulses 17-23. During these pulses, these relays are energized by the make contacts of relays 17-21-20 inclusive. It was specified, for example, by stating the transmission of the control code, that the pulse 21 was long. Consequently, relay R5 is energized by the circuit passing through terminal B, work contact a of relay OLBP, work contact f of relay PCP, idle contact d of relay 1L, wire 63, work contact b of OCR relay, wire 111, work contact g of relay OCRA, work contact f of relay 17-21, wire 117, the winding of relay R5 and terminal N.
After its energization, relay R5 completes a holding circuit passing through its own work contact a, wire 76, the normally closed contact b of the RR relay, the work contact ..1. Of the OLBP relay and terminal B, this circuit is identical to the holding circuits of these relays during pulses 9 to 15.
During pulses 17 to 23, the OCRA relay differentiates the work contacts from relays 17-21, 18-22 and 19-23 used respectively during pulses 17 to 19 and 21 to 23. Note that the excitation circuit of the relay R4, which includes the work contact e of relay 20, also includes the work contact h of the OCRA relay. This is possible, since these two relays are energized, by closing their work contact, before relay 02R drops, so as to complete the excitation circuit of relay R4.
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However, station 234, as previously indicated, only transmits twenty-two pulses in its control code. The central station coding group must therefore also return to zero on the twenty-second pulse at the same time as the Station. This is necessary for the line circuit to properly return to its normal idle state. To end the action of the central station coding group, it is necessary to energize the OCS relay. The method used is similar to that already explained and used to terminate the command code.
However, since the control code of some stations has a different length than the control code, a slightly different circuit is required to energize the OCS relay during control codes. As can be seen in FIG. 1c, adjustable connections are provided for this purpose at the central station. A NO contact of the OMP relay is also included in the circuit to differentiate it from the analog circuit of the control code, when a NO contact of the OMP relay is used. This relay remains idle for an entire control code, since its excitation circuit is opened by the NO contact 1 of the OM relay.
The circuit used to energize the OCS relay on the twenty-second pulse of the control code goes through terminal B, the normal contact a of the OR relay, resistor R12, work contact 51 of the OLBP relay, wire 90, the rest contacts have relays 20 and 16; the work contact h of relay 17-21, the work contact e of the OCRA relay, an adjustable connection, the work contact c of the 234S relay, the break contact of the OMP relay, wire 80, the work contact j of the OCR relay, wire 74, the working contact b of the OLB relay, wire 48, the winding of the OCS relay and terminal N. The OCS relay is therefore energized and completes a holding circuit passing through wire 90, wire 48, the work contact b of the OLB relay, wire 74 and its own work contact a.
Closing the work contact b of the OCS relay completes a circuit comprising terminal B, the work contacts c of the 01L and 02L relays, the work contact e of the PCP relay, wire 59, the work contacts. ± of the OCR and KSP relays, the work contact b of the OCS relay, wire 79, the work contact e of relay 234S, wire 110, the winding of relay 234DA and terminal N. The relay 234DA therefore energizes and completes a circuit to energize the relays control K of the final group. These latter relays are therefore energized on the last pulse of the code, via the work contacts of relay 234DA and wires 49 to 55, depending on the relays which are energized in the recording group Rl to R7, the corresponding circuits appearing. clearly in the drawing.
In this case, the R5 relay is energized, so that the 3TK relay is energized too and attracts its armature. As a result, the 3TKE indicator light comes on, letting the operator know that the corresponding section of track is occupied.
Opening the rest contact c of the OCS relay causes the PC relay to drop, which in turn causes the PCP relay to drop. As a result of the fall of the PC relay, the line polarity returns to normal, the OR relay being maintained in the normal position by a circuit described previously, which includes the idle contact! of the PC relay and the work contact a of the PCP relay, until the PCP relay drops out. The time relays of the central station then drop successively in the normal order, relay 01L being the last to drop. The fall of relay 02L removes the excitation of relay 234DA, and the fall of the latter, by closing its rest contacts a to g, re-establishes the holding circuits of the control relays K of the final group which were energized. The fall of the OLB relay cuts the holding circuit of the OCS relay, which drops out.
The opening of the work contact .4 of the OLBP relay removes the excitation of the OCR, KSP, OCRA ,, SP and 234S relays. The opening of work contact. of the OLBP relay drops the energized relays of the group Rl to R7. This completes the reset of 1 '
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coding equipment at the central station, and since the station which transmitted the control code at the same time returns to zero, the entire installation is now in its normal rest position and is therefore ready for the transmission of additional codes .
This completes the transmission of a control code by a station and its reception by the central station coding group. It has been shown that the indications concerning the position or the state of all the track devices shown in figure 2d, indications which determine the position of the control relays of figures 2d and 2e, have been transmitted to the central station and recorded on the suitable panels, which in the present case are shown in figure 1d. A single code using a single call sign was required to transmit the information. We then saw that the information appearing on the panels provides the dispatcher with a continuous recording of the conditions of the station in the field.
In the preceding paragraphs, together with the general operation of the coding groups, the circuits and the relay operations determining the length of the two command and control codes have been explained. It was previously indicated that, thanks to a feature of the equipment, or could terminate a code on an even pulse
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que1eoDqueaen, starting with the tenth lmpt, lgib7a.A, the particular station shown, that is, at station 234, both command and control codes end on the twenty-second pulse. However, it has been shown that the lengths of the command and control codes are relatively independent of each other and that the adjustable connections of the central station and the station determine the length of the codes.
It was only the numbers of the command and control functions of station 234 that required the two codes for that station to be twenty-two pulses in length. As will be shown in a moment, the command and control codes at a station may contain different numbers of pulses.
To illustrate this feature of the invention making it possible to terminate the code as desired, several examples of code termination at different stations, the codes of which have different lengths, will now be described. Referring now to Figures 3 and 4, there are seen circuits for terminating the code for several stations, the codes of which have different lengths. For clarity, the selected call signs in the drawing are 234, 267,
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235, 245s 256 and 278.
With the exception of stations 234 and 235,1.eçCOdèssd8 Cammader3 de dond1e "ônt-étdem% nt-uBs /% e% ueunwùnffér'enleafl" ehsme 1rtl !!. TÍO: D:; O''lf''s will assume that les- OJIg \ 1lEmrS- 1Sleâaoàea1 àomtl Ctéâ.oo.iqKé.èe in the following table: Length of codes
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<tb>
<tb> Station <SEP> ORDER <SEP> CONTROL
<tb> 234 <SEP> 22 <SEP> 22
<tb> 267 <SEP> 18 <SEP> 26
<tb> 235 <SEP> 16 <SEP> 16
<tb> 245 <SEP> 12 <SEP> 14
<tb> 256 <SEP> 20 <SEP> 18
<tb> 256
<tb> 278 <SEP> 16 <SEP> 24
<tb>
The code lengths at station 234 are the same in the table as those shown previously for that station. Continuity is thus achieved between the preceding description of the coding action and the examples of termination of the various codes.
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The central station circuits necessary to achieve the code terminations enumerated in the preceding paragraphs have been shown in figure 3. This figure will be used in place of the upper right part of figure le. during the presentation which follows.
The terminations of the various wires shown to the left of FIG. 3 serving to connect this figure to the rest of FIG. 1c. The work contacts of the station selector relays S for the various stations used have been shown in this representation. The windings of the relays, nor the control circuits of these, have not been shown. The control and the excitation of these relays are identical to those represented and described previously for the relay 234S; there is therefore no need to repeat them here.
As has already been explained, in order to terminate the command code or the control station at the central station, it is necessary to ecite the OCS celais, so that it terminates the coding action. Thus, the work contact b of relay 2545, when it is closed, establishes a connection between wires 85 and 80, passing through the work contact a of the OMP relay, in order to energize the OCS relay on the twelfth pulse and thus terminating the command code transmitted to this station. The NO contact of the OMP relay in this circuit determines that it is a command code, and as already indicated, the NO contact of the OCR relay, in the circuit between wire 80 and the winding of this relay, prevents the OCS relay from energizing on the fourth pulse of the code.
Likewise, the work contact c of relay 245S establishes a connection between wires 86 and 80, passing through the rest contact a of the OMP relay, in order to energize the OCS relay on the fourteenth pulse of a control coda. The rest contact of the OMP relay in this circuit again establishes the fact that the central station receives a control code, and the working contact of the OCR relay prevents the OCS relay from energizing on the sixth pulse of the code, This action synchronizes the reset to zero of the central station coding group with that of the station coding group 245, and both groups complete their coding action during the check code on the same pulse, as already explained.
Likewise, the make contact b of relay 235S establishes a direct connection between wires 87 and 80. Thus, the command and control codes of this station end on the sixteenth pulse. No OMP relay contact is useful, since both codes end on the same pulse. The command code for station 218 also ends on the sixteenth pulse, but since the control code is longer in this case, the connections to terminate this command code extend from wire 87 through the work contact. b from relay 278S and the work contact a from relay OMP up to wire 80.
Since the command and control codes for stations 234, 267 and 256, and the control code only for station 278, are all longer than the normal length corresponding to sixteen pulses, it is necessary to use the control relays. the extension count chain during the coding action to or from these stations. Excitation of the OCS relay is therefore controlled via the contacts of these relays in the extension chain. For example, in the case of station 234, the excitation current of relay OCS is controlled by the work contact h of relay 17-21, as indicated above with regard to the coding action at station central. The circuit is extended by the working contact e of the OCRA relay, the working contact b of the 234S relay, the working contact of the OMP relay and wire 80.
This circuit causes the OCS relay to be energized on the twenty-second pulse. As can be seen in the drawing, an analog circuit is used to terminate the coding action of the control code, with the difference that the work contact c of relay 234S and the break contact are used.
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a from the OMP relay. A circuit arrangement similar to that used for station 235 could be used, if desired; in the latter case, only one working contact of relay S is used, since the two codes end on the same impulse; in other words, the contacts of the OMP relay are short-circuited by a connection passing through a single make contact of the S relay and leading directly to wire 80.
As for station 256, the current supplies the OCS relay during the command code, passing through the work contact h of relay 19-23, the rest contact f of the OCRA relay, the work contact 12 of relay 256S, the work contact! : from the OMP relay and wire 80. As a result, the OCS relay is energized on the twentieth pulse. Since this relay then immediately establishes a hold circuit, energizing the OCRA relay during pulse 20 therefore has no effect on the OCS relay.
At this station, the control code is shorter than the control code, since it ends on the eighteenth pulse. The circuit then supplying the OCS relay passes through the work contact h of relay 17-21, the rest contact e of the OCRA relay, the work contact e of relay 256, the rest contact a of the OMP relay and wire 80. Thus, we sees that the control code may be shorter than the control code transmitted to a station, if the track devices require more control functions than control functions.
For station 267, the control code ends on the eighteenth pulse, the circuit being analogous to that just described for the termination of the control code of station 256, with the difference that the contact works b of relay 267S and work contact a of relay OMP are used in the circuit. The control code for station 278 requires twenty-four pulses. Here the OCS relay excitation circuit passes through the work contact h of relay 19-23, the work contact f of the OCRA relay, the break contact 1: of relay 20, the work contact c of relay 278S, the break contact a OMP relay and wire 80. The normally closed contact f of relay 20 is required in this circuit to prevent the OCS relay from energizing on the twentieth pulse.
In fact, except when the rest contact f of celais 20 is open, the work contacts of relay 19-23 are still closed for a time sufficient to energize the OCS relay, after the OCRA relay has been energized during the twentieth pulse.
It was assumed that the control code for station 267 was greater than twenty-four pulses in length, and required twenty-six pulses. Thus, it is then necessary to add extension counting chain relays to the central station. It was previously indicated that these relays are added in a manner analogous to those already represented in FIG. 1. To terminate the control code on the twenty-sixth pulse, the normal circuit for energizing the OCS relay passes through the work contact. h of a relay 25-29, the closed contact e of an OCRB relay, the working contact e of the 267 S relay, the closed contact a of the OMP relay and wire 80.
Relay 25-29 is the first relay in the additional counting and expansion chaiae, the OCRB relay used to prepare circuits to produce the repeat action of relay 25-29 for pulse 29. However, if no other code in the particular line circuit under consideration required more than twenty-eight pulses or more than twenty-six pulses as shown here, the OCRB relay could be eliminated, since no repeating action would be needed of the second count chain or extension chain. The OCS relay excitation circuit would then be connected directly from contact h of relay 25-29 to the work contact of relay S, this connection being indicated by a dotted line in Figure 3.
Turning now to Figure 4, it shows a composite system of circuits representing the termination connections of
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code to the various stations listed above. The drawing of figure 4 is analogous to the upper right part of figure 2c. The terminals shown at the top left of Figure 4 serving to connect this figure to Figure 2c. The connections necessary to terminate the control codes on the appropriate pulse are indicated by a thick dotted line between the wire 200 on the one hand and on the other hand the wires 201 to 204 or the wires coming from the various contacts of the terminals. CRA relay.
The reference numbers associated with the various connections shown serve to designate the stations to which the connections lead, it being understood that FIG. 4 is a composite drawing of several stations and does not represent the circuits of any single station.
As explained previously, the CS relay is energized at a station so as to end the coding action only on a control code. It is not necessary to energize the CS relay during the command code, since the reset action in this case does not depend on this relay. Rather, current must be supplied to wire 200 during a check code, so that the CS relay can energize and thereby produce the appropriate reset action at the station.
At station 235 a connection is made between wires 204 and 200 to allow relay CS to energize on the sixteenth pulse and thus terminate the control code. Although the command code also ends on the sixteenth pulse at this station, the CS relay is not energized on the final command code pulse because of the working contact h of the M relay, which is included in the circuit. of the CS relay as indicated previously. Since relay M remains inactive during the command code, this contact is opened to cut the relay CS field circuit. At field station 245, a connection is reestablished between wires 203 and 200 to cause the CS relay to energize on the fourteenth pulse and thereby terminate the check code on that pulse.
The already mentioned working contact of the CR relay, which is in the energizing circuit of the CS relay, prevents the energizing of this relay during the sixth pulse. It should also be noted that, if one wishes to give the command code intended for this station 245 a length of sixteen pulses, instead of twelve pulses as had been supposed, the work contact 11 of the relay M, contact located in the CS relay excitation circuit, allows the correct termination of the control code and at the same time prevents the coding action from terminating too early during the control code.
It can be seen that the control code intended for a station can be longer than the control code, if desired, even though both codes are sixteen pulses or less in length.
At station 256, current is supplied to wire 200 during a control code;, passing through the work contact h of relay 1A-1 and the closed contact a of relay CRA-1, in order to energize relay CS on tenth impulse. At station 234, it is desired to energize the CS relay on the twenty-second pulse of the control code. The current thus feeds the wire 200 passing through the working com @@ nt h of the relay lA-1 and the working contact d of the CRA-1 relay, as has already been explained with regard to the complete control code.
At station 278, the CS relay is energized on the twenty-fourth pulse, and the current feeds the wire 200 and the winding of this relay passing through the work contact h of the relay 3A-1, the work contact 2 of relay CRA-1 and the rest contact e of relay 4A-1.
The rest contact e of relay 4A-1 is included in this circuit to prevent relay CS from being energized on the twentieth pulse, since relay CRA-1 energizes during this pulse, while the open contacts of relay 3A- 1 are still closed, as explained in the analogous case of the central station coding group.
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It was assumed that the control code of station 267 must necessarily consist of twenty-six pulses. It is therefore necessary to use at this station a second extension group, group N 2 represented in figure 4. The excitation circuit of relay CS on the twenty-sixth pulse passes through the work contact h of relay lA-2, the contact rests at the CRA-2 relay and the adjustable connection terminating at the 200 wire and consequently the coil of the CS relay. It is desirable that all expansion groups added to stations be identical with regard to interior wiring and exterior connections.
Thus, even if the CRA-2 relay is never energized at this station, it is not possible to remove the contact of this relay in the circuit of the CS relay at station 267, as was done at station central, where relays are added only to meet the needs of the extension metering chain.
It has therefore been shown that the coding action at any station can be terminated on any even pulse as desired, regardless of the code length at other stations.
The command and control codes at a station can also have different lengths, as desired, these lengths being chosen according to the need to transmit the command functions and control indications, between the central station and the station. in campaign. By using an adjustable connection system, it is possible to use identical coding groups and extension groups at all stations. The desired length of the code is then determined by the appropriate installation of junction bars between the various terminals provided to establish the various adjustable connections.
At the central station, the length of the code and the synchronization between the central station and the station during a control code do not depend on the coding group of the central station, but on relays and external connections that are completed as needed for perform the desired operation and complete the various codes. A very flexible remote control system can thus be installed, using standard pieces of equipment, to achieve a desired operation at each station.
We will now explain how the installation is restored to the normal state in the event of an operating fault.
A command code can be terminated on an odd pulse following a fault, relay 01T being maintained for example by means of wire 68. Relay OR is then maintained in the reverse position, until the 01L, OLP, OLB and OLBP timing relays drop, relay 02L remaining energized. The OLBP relay then drops the OM relay and opens the circuits of the counting and selection relays. The fall of the OM relay, with the OR relay in the reverse position, allows the PC relay to be energized and this causes the PCP relay to be energized. The drop of the CM relay also suppresses the excitation of the 01T relay, which drops out almost immediately.
At each station, relay R remains at rest and the timing relays drop in the same order, relay 2L remaining energized. The LBP relay opens the circuits of the count and select relays to prevent reception from continuing. Falling relay 01T closes the line circuit, but the R relays do not energize because the line polarity has been reversed by the PC relay.
When the PCP relay is energized, the OR relay switches to the normal position, thanks to the circuit comprising terminal 0, its lower winding, the rest contacts e of the 01T and OM relays, the working contacts f and b of the PC and FGP relays respectively , the OFF contact 1 of the OLBP relay, the working contact! of relay 02L, the rest contact f of relay 01L and
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the N terminal. The time relays of the central station are thus energized again and the PC relay loses its energization; the latter drops out before its holding circuit is completed by energizing the relay
OLBP. The drop of the PC relay removes the excitation of the PCP relay.
The central station time relays then drop out in the normal order following removal of the 02L relay energization, the 01L relay being the last to drop.
When the PC relay drops out, it restores the normal polarity of the line, so that all the R line relays simultaneously return to the normal state, slightly after the OR relay, energizing their time relays again. These then fall back to each station in the normal order, because the 2L relay is no longer excited, the IL relay being the last to drop.
If a command code ends on an even pulse before the desired final pulse, due to the 01T relay failing to energize, the OR relay is held in the normal state and the time relays drop out. normal order, the OLBP relay deactivating the counting and selection relay circuits, as well as the OM relay. As usual, relay 01L drops out last. The station line R relays remain energized and their time relays drop in the normal order; as at the end of a complete code, the relay
IT being the last to fall. This action is analogous to that which occurs when intentionally terminating a command code on a chosen even pulse, with the difference that the OCS relay does not energize.
If a control code ends on an odd pulse, as for example in the case where the 1T relay remains energized following a fault, the OR relay remains in the reverse position until the OLBP relay drops out, relay 02L remaining energized. The OR relay returns to its normal position after the closed contact! of the OLBP relay, using the circuit indicated above and comprising the PC, PCP and 02L work contacts, and the rest contacts 1: of the OLBP and 01L relays.
At the transmitting station, relay R remains at rest, and timing relays IL, LP, LB and LBP drop out. The opening of the work contact !! relay LB drops relay M, which in turn drops relay 1T. This results in the removal of the ldgne shunt applied by contact b of relay T, while contacts b and g of relay M reverse the line connections of relay R, so that the latter remains at rest, since the central station PC relay is still energized.
Thus, the equipment is placed in the same state as at the other stations, where relay R and the time relays remain at rest, with relay 2L energized,
When the OR relay is returned to the normal state, the central station time relays are energized, while the PC relay loses its energization and drops out before the OLBP relay energizes. The time relays of the central station then drop in the normal order, relay 01L being the last to drop. When the PC relay drops, it restores the normal polarity of the line, so that all R line relays energize simultaneously by energizing their time relays again. These then fall back to each station in the normal order, the IL relay being the cernier to fall.
If a control code ends on an even pulse other than the chosen pulse, due to the failure of the 1T relay which does not energize, the OR relay remains in the normal state until the time relays drop. 02L, OLP, OLB and OLBP. Closing of the rest contact f of the OLBP relay completes a circuit intended to switch the OR relay to the reverse position; this circuit passes through terminal B, the contact
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working of the PCP relay, the contacts rest! of the 02L and OLBP relays, the working contact b of the PCP relay, the working contact 1 of the PC relay, the neutral contacts e of the OM and OT relays, the lower winding of the OR relay and terminal 0.
At the transmitting station, relay R remains energized and time relays 2L, LP and LB drop out. Relay LB drops relay M which reverses the connections of relay R. This switches to the reverse position. since the line polarity is still reversed, and it energizes the time relays again, which then drop in the order 1L, LP, LE and LBP, the equipment being in the same state as at the other stations, where the relay R and the time relays remain at rest, with relay 2L energized.
At the central station, since the OR relay has changed to the reverse position after the OLBP relay has dropped, the PC relay excitation circuit closes when its holding circuit opens, so that this relay remains energized. The time relays of the central station are energized again and then drop in the order 01L, OLP OLB and OLBP, the relay 02L remaining energized. The OR relay is returned to its normal position, when the rest contact f of the OLBP relay closes again by a circuit indicated previously which includes the work contacts of the PC, PCP and 02L relays, and the rest contacts of the OLBP and 01L.
When the OR relay has returned to its normal position, the time relays of the central station are energized again and the PC relay loses its excitation, falling back before the OLBP relay energizes. The time relays of the central station then drop in the normal order, as in the previous examples. The PC relay returns the line polarity to normal to energize the station line relays, the station time relays then being re-energized and released in the normal order, as in the previous examples.
It can be seen that in all cases, whatever their initial positions, the OR and R line relays are all returned to the normal position approximately at the same time, so that each of them drops its time relays in the normal order. so as to place all the coding groups in the appropriate receive state, before relay 01L or any of the relays 1L drops out, in order to allow the start of the next code. In general, there is a chance that the central station will transmit the following code, because the 01L relay drops slightly before the IL relays.
It has already been explained that if a control code is interrupted due to a fault after the station start relay ST has been energized again, the ST relay drops again due to the fall of the LB relay, before relay S does not drop itself. It is therefore clear that each interrupted control code will be retransmitted in full when the line becomes usable again. This is only true of a control code in the case where the interruption occurs before the drop of the central station start relay ST, which drop occurs on the eighth pulse of the call sign. , you must press the STB start button a second time.
It may also happen that the OR relay is actuated by one or more pulses of a foreign current, or as a result of a temporary opening or short-circuit on the line when the system is in its normal state of rest. . In this case, the first inversion of the OR relay energizes the PC relay, reversing the line polarity and dropping the R line relays to prevent the initiation of a code by any station. When the malfunction is over, the system automatically returns to the normal state, in the same way as in the case described above of interrupting a check code.
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A description will now be given of the means used to prevent interference and to transmit the codes only one at a time in the desired range when two or more transmitters have codes stored for transmission. The inclusion of the rest contacts b of relays IL and 2L in the excitation circuit of each relay M, and in the circuit similar to the OM relay, prevents the initiation of a code, except in the case where the line is free , as has already been explained, but it can easily happen that the central station and one or more stations initiate codes substantially at the same time.
If the OM relay is energized, the command code wins, since the rest contact b of the eN relay opens the circuit to the PC relay, and the long pulse generated by the 01T relay maintains the line relays R at rest to energize the receiving relay SR at each station as in the command code already described. At any station, where relay M has been energized to start a control code, this relay is reset by opening the closed contact of the SR relay. As a result, all of the station coding groups are in a condition to receive the control code on the first pulse, the control codes being stored for subsequent transmission.
In the event that the coding groups of two or more stations start control codes at the same instant and by their combined action place the coding group at the central station in reception state, the shunts applied to the line by relay 1T which is the closest to the central station regulate the operation of the R line relays at the more distant stations at the same time as at the considered station. The 1T relays operate simultaneously as long as the corresponding pulses of the respective call signs have the same character. When a 1T relay applies a shunt to the line to generate a long, odd pulse, it operates by priority on any 1T relay that drops to a more distant station for which the callsign requires a short pulse.
When the 1T relay of 1 nearest station energizes to apply a shunt to the line, terminating a short, even pulse, it operates by priority on any 1T relay whatsoever which is held idle by the 2T relay at a more distant station, as needed for a long, even pulse. In either case, the R and 1T relays at the more distant station simultaneously occupy their idle positions on one of the call sign pulses, i.e. before selection. local relay S.
This interrupts the temporary holding circuit of relay M, a circuit which includes terminal B, normal contact a of relay R, rest contact d of relay 1T, wire 179, rest contact g of relay S, wire 178, the working contact e to the LB relay, the closed contact f of the SR relay, the working contact a and the winding of the relay M, and finally the terminal N. The relay M therefore drops out and reverses the line connections of the relay R.
Since the line is now supplied with current of reverse polarity, the fall of the relay M makes the associated relay R of the station inoperative.
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lower insensitive to the rest of the code, by doing, ntumb13t> .ar .., isntmporized L, -and 1.err1J! left ëxc.ténù ^ arêiaxet d: cou,: floorE, -à6td6e a $ a <tlejjxe doiat le cOdecesctremmagasné pou (/. "8tr.e tranomts 1 lateremegtgne 13.0r & L VeCIUVenUe b: ne.l <.Ll.é "nr ::> will be eev.!. J.1Jt'e.
With regard to the action of the line, it can therefore be seen that a long and odd pulse acts by priority over a short pulse and that a short and even pulse acts by priority over a long pulse. For this reason, it is desirable to assign call signs to several stations in a geographical order, so that each call sign is higher in priority than the codes of more distant stations and, on the contrary, is lower than the codes of stations. closer to the central station.
Regarding line action, the order of priority of the call signs
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is indicated by the following table in which each code is greater than those found below in the same column and all those found at its aroite in the other columns.
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<tb>
<tb>
357 <SEP> 368 <SEP> 578 <SEP> 458 <SEP> 235 <SEP> 257 <SEP> 268
<tb> 358 <SEP> 345 <SEP> 567 <SEP> 456 <SEP> 237 <SEP> 258 <SEP> 245
<tb> 356 <SEP> 347 <SEP> 568 <SEP> 478 <SEP> 238 <SEP> 256 <SEP> 247
<tb> 378 <SEP> 348 <SEP> 678 <SEP> 467 <SEP> 236 <SEP> 278 <SEP> 248
<tb> 367 <SEP> 346 <SEP> 457 <SEP> 468 <SEP> 234 <SEP> 267 <SEP> 246
<tb>
Note that a different order of priority prevails when codes are transmitted from the same station, in which case a long pulse has priority over a short pulse. For example, if all of the start buttons at the central station have been pressed at the same time, the idle code 234 is the first to be transmitted and the code 678 is the last transmitted.
To ensure additional security against the simultaneous transmission of control codes from two stations, in the event of a fault, an additional circuit is provided at the central station comprising the stop and synchronization relay XS. The XS relay is used to interrupt the transmission in the event that a call sign comprising more than three digits is received. Suppose, for example, that one station transmits the call sign 235 and that another station simultaneously transmits the code 245. If this occurs, the selector relay 234S is actuated on the fourth pulse to select a call sign. panel which does not belong to any station, and the KSP relay is actuated on the next pulse, the fifth in this case, as has already been explained.
When the KSP relay energizes, its contacts b and d transfer to the contacts d of the counting relays to wire 57, the connections of wires 63 and 64. If the fifth pulse is long, a circuit is formed, when relay 01L drops out. , passing through terminal B, the work contact a of the OLBP relay, the work contact f of the PCP relay, the open contact d of the 01L relay, wire 63, the open contact b of the OCR relay, the work contact b of the relay KSP, wire 57, the winding of relay XS and terminal N. The relay XS energizes and completes a holding circuit passing through its work contact a, the work contact k of the OLBP relay and terminal B. The relay XS is also excited on the seventh pulse by the circuit defined above if this pulse constitutes the fourth digit of the code received.
The XS relay can be energized in the same way on the sixteenth pulse by the circuit comprising terminal B, the working current a of the OLBP relay, the rest contact d of the 02L relay, wire 64, the rest contact d of the OCR relay, the contact KSP relay d work and wire 57. On the eighth pulse, the OCR relay energizes, opening the circuits shown above, to prevent the XS relay from operating during the second duty cycle of the OLC count relays.
However, in the case where this eighth pulse is the fourth long pulse of a received call sign., The OCR relay prepares, to energize the XS relay, a circuit passing through the wire 64, the work contact d of the OCR relay , the working contact e of relay 08, the working contact d of the KSP relay, wire 57, the winding of relay XS and terminal N.
As a result, if the central station receives a call sign containing more than three long pulses, the XS relay is energized on the fourth of these received long pulses. When relay XS energizes, it completes a circuit to energize relay 01T. This circuit passes through terminal B, work contact b of relay XS, rest contact d of relay OM, rest contact b of relay 02T, the winding of relay 01T and terminal N. Relay 01T opens the relay circuit. line by its idle contacts b and to to drop the line relays R to the stations
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transmission if these relays are energized, and to interrupt the control code.
At this point, depending on whether the fourth long pulse is received on an even or odd pulse, the action is analogous to the reset and synchronization described previously, which takes place when a check code is interrupted by a any fault.
It is clear from the above that no interference occurs when several ST start relays of the central station and stations are actuated at the same time or when the line is busy; It is also clear that the codes are transmitted in this case only one at a time in an order according to the relative priorities of their respective call signs.
The installation in accordance with the invention also provides for arrangements to prevent stations having priority codes from monopolizing the use of the line under heavy traffic conditions, or in the event that the starting relay ST station is not energized due to a fault at the end of a code. This is achieved by providing a station sequence SS relay in each station coding group. The SS relay serves to prevent the initiation of a second code by any station coding group which transmitted a code, as long as any other station coding group has a code stored for subsequent transmission.
If we consider Figure 2, we see that the SS relay is energized during a control code on a pulse representing the third digit of the call sign. The current is supplied by terminal B, the work contact f of relay 1L or the work contact f of relay 2L, wire 165, the rest contact e of relay SR, wire 169; the working contact b of relay S, the winding of relay SS and terminal N.
It should be noted that during the coding action one or the other of the relays 1L and 2L is always energized so that current is continuously supplied to this circuit. When relay S drops during the final pulse of a code, relay SS is kept energized by a holding circuit comprising the rest contact b of relay S, its own work contact a, wire 165, the work contacts f of the relay IL and 2L and terminal B. This holding circuit is opened by relay 1L when the equipment returns to its normal idle state at the end of a code.
The SS relay has a delayed fall and its normally closed contact b keeps the starting circuit open for an additional time interval; during this interval, another station can start a code and thus keep relay SS energized, since relay 2L itself remains energized during the coding action at another station. Therefore, when the SS relay has been energized, the station coding group is made unable to start a second code, as long as the line is not free for a time longer than the normal time interval between codes. successive. Each station coding group, which has a stored code and in which 1 the SS relay does not have. been activated, can access the line after the 1L relay drops at the end of a code.
As a result, each of these coding groups transmits a single code during which its SS relay becomes energized. At the end of this series of codes, a longer period of time elapses to allow the SS relays to drop, after which the station groups are reset again to transmit successful codes.
In the case where a control code is interposed in a sequence of control codes, as explained above, for the purpose of controlling a particular device, and where the SS relay of the station coding group controlling this device has been energized, this SS relay is reset by the operation of the station receiver relay SR and the station selector relay S in response to the command code. In other words, when the relay S, at the station chosen by the dialing code
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activates, energizes and cuts the SS relay holding circuit via its closed contact b, the normal SS relay excitation circuit, which was completed by the working contact b of the S relay, is now open by the closed contact e of the SR relay, so that the SS relay loses its excitation and eventually drops out before the end of the command code.
The coding group of this station is thus enabled to indicate more quickly the condition in which the actuated device is found.
It is also evident that each SS relay also serves to prevent the continuous initiation of incomplete codes by a station storage group., Following a fault, if other groups have codes stored for their storage. transmission. This is true provided that the fault is not such as to prevent the SS relay from being energized, as would be the case, for example, if the code transmitted by a station coding group having a higher code did not progress far enough to energize relay S at this station.
To avoid this drawback and other periodic conditions ae ae starting, a thermal cut-off relay COR is provided, arranged as shown in FIG. 2a. The COR relay is energized ;, whenever a control code is initiated by the coding group, from the moment the start relay ST drops to start the code until the moment the code has been fully transmitted . As long as the SS relay is not energized by the S relay on the station selection pulse, the COR relay is energized by the circuit comprising terminal B, the reverse contact b of the ST relay, the rest contact b of the relay SS, wire 147, the working contact b of the RP relay, the closed contact a and the heating element of the COR relay, and finally the N terminal.
When relay M is energized, it makes a connection passing through terminal B and its own work contact g to energize relay COR until the end of the code.
The time during which the relay COR is energized may exceed the time required to transmit a code from the associated coding group even if there is no fault, with, between the two times, a difference equal to the time required to transmit one code from each coding group having a higher call sign. On the other hand, in the event of a fault preventing the ST relay from energizing again, the COR relay energizes more or less continuously. The COR relay is selectively sensitive to a fault by setting it so as to open its contact as after the relay has been energized, for a time interval of about two minutes the opening of this contact cutting off the power to its element. heating circuit as well as the relay M.
Contact a of the COR relay is of the click type and remains open for about two minutes; when it has closed, if terminal B remains connected to wire 147, it operates in a cyclical fashion with closing periods of one minute and opening periods of approximately two minutes. The COR relay therefore operates in such a way as to prevent the faulty transmitter from accessing the line for approximately two minutes for each three minute interval as long as the fault persists.
The installation according to the invention also comprises an RPP fault relay, by means of which any station coding group can be easily isolated from the line. This is useful for example in the case of a short circuit occurring in the line connections, in the case of a faulty operation due to an abnormally low voltage of the local battery, or to terminate the cyclic operation at the relay. HORN. This characteristic was described in the American Brer vet N 2.376.569 of May 22, 1945. The RPP relay is a slow-drop relay, which is kept normally energized by a repeating relay RP of the line relay R. The RP relay is controlled according to the coded operation of relay R, as long as the RPP relay remains
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excited.
In the normal operation of the system, the relay R may remain inactive for a maximum period of about six seconds, this time being necessary to transmit a control code with thirty-two pulses from one station to another station. . We drop the baton
RPP slowly enough, to cap this time interval, by connecting the delay resistor-capacitor to its terminals. The energy stored in capacitor C2 achieves a drop period of 10 to 15 seconds, so that the RPP relay does not drop out, unless the R and RP relays remain idle for an abnormal period of time, as would be the case. if a short-circuit occurs, for example between the make and break contacts a of relay M.
The RPP relay of each station can be put to rest by hand from the central station by pressing the disconnect button DB in figure 1a, for an appropriate time, for example equal to fifteen seconds. The 01T relay is thus energized via the rest contact g of the OM relay and the rest contact b of the 02T relay. As a result, the line circuit is opened by the rest contacts b and d of relay 01T, by releasing relays R, RP and RPP successively. When the RPP relay drops out, its rest contact b short-circuits the resistor R3 in series with the relay R. At the same time, the work contact of the RPP relay opens to introduce a similar resistor R5 in the circuit of the relay R , at a point adjacent to the y and Z line wires.
As a result, if the system can no longer operate due to a short circuit in the coding group, the line fault is cleared by introducing a relatively high resistance in series with the group, resistors R3 and R5 generally having in practice a value of the order of 10,000 ohms each. The transmission part of the coding group is thus effectively isolated from the system. At the same time, the starting circuit comprising the wire 147 is opened by the work contact b of the RP relay to prevent the COR and M remakes from remaining energized.
At each station where no fault exists, the relay R energizes in response to the release of the disconnect button DB, since the effect of the fall of the RPP relay, with regard to the relay R, is to replace all simply resistor R3 by an equivalent resistor R5 in its circuit. However, the RP and RPP relays remain at rest after the R relay has energized, the RP relay holding circuit being opened by the working contact c of the RPP relay and that of the RPP relay being opened by the working contact a to the RP relay.
The operator of the central station can now put the system back into operation, while leaving one or more coding groups at the station isolated, by successively transmitting control codes to the various coding groups he wishes to include in the restored installation. operation. When the station selector relay S is energized on the impulse of a command code, as explained previously, a connection passing through the make contact e to the relay G2R, wire 176 and the lower winding of the relay RP, provides an excitation circuit for the RP relay. Closing the make contact a of the RP relay energizes the RPP relay to complete the RP relay holding circuit and to return the coding group to normal operation.
It is obvious that a command code is not received by a station where the relay R is short-circuited for example, and that such a station consequently remains isolated.
To facilitate the restoration of the installation as explained above, an RCB callback push-button is provided at the central station (fig.lb), by means of which the operator can send a special callback code to a station. any without activating any device of this station. This callback code ends after the transmission of the part to the code used to select the station, i.e. on the ninth
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impulse. The callback code also serves to initiate transmission to a control code from the selected station and thus allows the operator to obtain new control indications without causing any change in the conditions of the station devices.
In order to initiate a recall code, the operator presses the RCB recall button and also the STB start button on the control panel of the station to which the code is to be sent; it thus energizes the corresponding start-up relay such as the 234ST relay. This in turn energizes the OM relay as we have already explained, and a circuit then closes passing through terminal B, the working contact! from the OM relay, wire 83, the now closed contact a to the RCB pushbutton, the winding to the return hold RCL relay and terminal N. The RCL relay is energized, completing a holding circuit passing through its work contact a, wire 72, work contact e of the OLBP relay and terminal B.
The RCB push-button can then be released and transmission continues for eight pulses, during which the selector relay 234S of the central station and the corresponding relay S of the selected station are energized as in the command code already described. When the ninth pulse is reached, relay 01 is not energized, its second excitation circuit being opened by the rest contact b of the RCL relay. As a result, the 01T relay is kept energized by wire 68, until the OLBP relay at the central station and the LBP relay of the selected station drop.
At this station, when relay LB drops, the holding circuit to relay ST passing through wire 183 is transferred from terminal B, near to the work contact c of relay LB, to terminal 241, and passes through the rest contact ± . of relay LB, wire 182, work contact e of relay S,
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the wire -236 -and the cOl1tact ...: work: I ±. - dtr ': reIais .SR.fü: iBq1Ïe le reh.1s. R :: is. passed EU reverse position on the ninth pulse, this holding circuit is opened by the drop of relay LB, whether or not terminal 241 is connected to the normal contact a of relay R as explained above.
Since both SR and S relays are energized, the SS relay has already dropped if it was previously energized, and the fall of the ST relay therefore places the station coding group in a state to start a control code as soon as the line will be free again. We see that, on the ninth pulse of the callback code :. the RCL relay is reset by the OLBP relay and the installation is then in the same state as in the case where a control code is interrupted on an odd pulse following a fault. As a result, the installation is restored to its normal state by the same series of operations as that described above, for this condition.
In the previous description of the transmission of a control code by the installation according to the invention, it has been emphasized that all the signals, hands and other devices of an interlocking, such as that shown in FIG. 2d ; can be controlled remotely from a central station by transmitting only one code requiring only one station selection code.
Likewise, it has been shown that the indications relating to the position of signals and points, to the occupation or non-occupation of track sections, to the state of other devices, can all be transmitted from the station to the central station. during a single control code, using only
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quytan only call sign and selection sign, to make sure that the signs are displayed on the appropriate group of central station panels. These codes can be of any length desired or necessary to convey the necessary functions. The command and control codes for any station may also have different numbers of pulses.
In installations currently generally used for
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To achieve such a remote command, the length of the codes is generally fixed at sixteen pulses, for both the command code and the control code. Thus, in order to operate the installation of FIG. 2d, two codes each comprising sixteen pulses would be necessary in each direction. On the other hand, two call and selection signs would be essential to select the different groups of devices to be controlled by each code. This reduces the total number of stations that can be controlled by a single central station coding group.
Because some of the available call signs cannot be combined with a station without providing considerable additional equipment, the geographical position of a remote station, such as the station shown, may prevent economic use. codes which should normally follow in the order of the system sequence. This further results in a further reduction in the number of stations which can be assigned to a central station coding group.
In older systems, in which all codes included the same number of pulses, the action of synchronizing the resets of the central station and the station at the end of a code was relatively easy and was carried out mainly by maintaining the same decay time for the different relays in all coding groups. When the different stations have different code lengths, the problem of stopping the coding action of the central station on the appropriate pulse is more difficult. As has been shown, this action is carried out by the new use of adjustable connections making it possible to obtain a variable selection of the pulse on which the coding action must stop, and also by use at the station. central relay that differentiates two adjustable connections for any single station.
Thus, by inserting in each adjustable connection of this station the contacts of the station selector relay of the central station, it is possible to stop the coding action of the groups of the central station and of the station, in particular during the control codes, on the same pulse of the code, so that it becomes possible to synchronize the reset actions at the central station and at the station.
The installation according to the invention, even if additional pulses are provided in the control code, does not require one or more additional groups of intermediate recording relays at the central station to record the positive indications received before their delivery to the central station. control relay. The single group of recording intermediate relays is reset, by means of a new circuit arrangement comprising a single relay, at the end of each group of eight pulses which transmits the control functions and this group of relays is used again during the next group of similar pulses.
The installation in accordance with the invention consequently has several particular advantages over similar installations currently used. First, the command and control codes can be of any desired length necessary to transmit in a single code all the command or control functions corresponding to a station. This naturally allows a greater number of stations to be controlled by means of a single central station coding group, since only one station call sign is required for each station. While providing these advantages, the invention also makes it possible to use at a station less additional equipment than with old installations.
Synchronization between central station and stations is maintained, although code lengths may be different, thanks to adjustable connections and a synchronization relay. With all these advantages, the different
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items of equipment used are, however, kept identical for all stations.
A single embodiment of the invention has been shown and described here, but it is understood that various modifications can be made to the installation described without thereby departing from the spirit of the invention and without departing from its scope. field.
CLAIMS
1) Remote control installation, in particular for controlling railway traffic, characterized by the fact that it comprises a central station and several stations connected by a line circuit, the central station and each station being equipped with code transceivers for transmitting and receiving selective codes between the central station and any particular station, each code comprising a first part consisting of several pulses forming a distinctive call sign for selecting a particular station, and a second part consisting of several pulses to control certain devices of the station in question or to indicate to the central station the status of these devices,
the second part of a code comprising a different number of pulses at each station and different numbers of pulses for the control code and the control code of the particular station considered; each transceiver comprising a master relay which occupies a first position when the transceiver group performs transmission and a second position when this group performs reception, a counter relay chain for producing the pulses, and a stop relay of the ocde which, when energized, stops the encoding action of the count relay chain;
the central station also comprising a selector relay for each station, this selector relay being actuated during the first part of the codes between the central station and the particular station considered, a means for synchronizing the stopping of the coding action of the transmitter -receiver of the central station, at the end of a code, with the stop of the similar coding action of the transceiver of said station, regardless of the length of the second part of the code;
said means comprising a circuit, in parallel with the control circuit of a particular relay of said counting chain which corresponds to the desired final pulse, this circuit of the synchronization means comprising a contact in the controlled position of another control relay. said counting chain, one row ahead of said particular relay, a contact in the commanded position of said selector relay for said particular station, a contact in the first or second position of the master-relay of said transceiver of the central station depending on whether the code is a cade, command or control, and the winding of said code stop relay to said central station transceiver,
whereby said code stop relay at the central station is energized during the final pulse of any code from said particular station and the coding action of the central station ceases together with that of the station.