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La présente invention concerne une bande transporteuse à éléments d'acier articulés, en particulier une bande de ce type pour l'exploitation des mines. Dans les exploitations minières, les conditions particulières imposent aussi des exigences particulières qui, pour les bandes à éléments d'acier articulés, commencent par l'exigence d'une possibilité de transport facile à travers le puits et les excavations étroites jusqu'au point d'uti- li sation.
En outre,le montage et le démontage doivent pouvoir être exécutés le plus simplement possible et sans outils spéciaux. Les pièces détachéesdoivent s'adapter les unes dans les autres avin qu'elles puissent au besoin être échangées sans difficultés. Enfin, la bande achevée doit être d'un fonctionnement sur et, si possible, pouvoir franchir les courbes, donc pouvoir s'y inscrire.
On a déjà proposé de nombreux types de bandes à éléments d'acier articulés qui satisfont plus ou moins à ces exigences. La forme fondamentale antérieure avec galets de support fixes a été récemment largement remplacée par un mode de construction dans lequel les galets de support peuvent être entraînés sur des rails, ces galets ou leurs axes ou essieux étant fixés aux chaînes ou aux auges en tôle ou tôles formant auges, selon l'écartement qui parait favorable.
Il est connu aussi d'employer,) à la place des chaînes à articulations ou chaînes de Galle, qui auparavant étaient les plus employées, des chaînes à chaînons eu maillons ronds et d'adjoindre à chaque paire de maillons, une auge en tôle, les maillons étant fixés de deux en deux à peu près au milieu de la largeur d'une auge en tôle. Pour obtenir la capacité d'inscription dans les courbes, on emploie une chaîne médiane. A ce prppos, on n'a pas reculé devant des modes de construction qui, à des distances déterminées présentent des éléments-auges de forme spéciale à côté des éléments normaux.
Afin de faciliter l'introduction des bandes transporteuses à élé- mente d'acier articulés dans les excavations étroites, la bande proprement dite est composée, depuis des dizaines d'années, de pièces d'environ 2 m. de long, appelées nattes. Ces nattes sont produites à la fabrique et assem- blées sur les lieux d'utilisation.Elles se composent généralement de 12 élé- ments en forme d'auge et les parties de chaîne correspondantes. La longueur de deux mètres des nattes correspondait aussi à peu près à l'écartement des galets de support de position fixe et fur reprise plus tard comme écartement pour les galets de support quise déplacent avec la bande.
Des nattes ayant à peu près la longueur précitée sont aussi em- ployées dansun mode de construction qui comprend des chaines à maillons ronds au lieu des anciennes chaînes à articulations. Ceci implique naturellement qu'à peu près tous les deux mètres, donc aux extrémités de chaque natte, il est prévu des joints de chaîne ou d'autres moyens permettant de relier entre elles les extrémités des chaînes à maillons ronds des différentes nattes.
En passant simplement un tourillon d'articulation à travers la chaîne ordi- naire, comme c'est possible pour une chalne à articulations, on ne crée pas encore une liaison irréprochable pour le but en question.
Selon l'invention, dans une bande à éléments dacier articulés dont les auges en tôle sont portées par des chaînes ordinaires, et dans laquelle deux maillons de chaîner sont prévus pour une auge en tôle et un.3 mail- lon sur deux est fixé à celle-ci, on propose de fixer les maillons de chaîne aux auges en tôle par des goujons ou chevilles de fixation placées transver- salement par rapport à la direction longitudinale, Selon l'invention, on peut employer a cette fin soit des pièces de retenue ou supports qui sont fixés à l'auge en tôle , passent à travers un maillon de chaîne horizontal et sort fixés par rapport à celui-ci par un goujon ou une cheville de serrage, ou bien un maillon ouvert d'un coté et placé debout, ayant la forme connue d' un étrier à oeillets,
a ses deux extrémités en forme d'oeillet fixées cha- cune par un goujon ou cheville de serrage, à une butée ou pièce d'appui pré-
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vue à l'auge en tôle.
L'invention renonce donc à la formation de nattes à assembler.
On obtient ainsi l'avantage que les chaines de grandes longueur, d'une part et les auges en tôle , d'autre part , peuvent être amenées séparémen t. La ré- alisation selon l'invention permet en conséquence-un assemblage avantageux et rationnel également pour une bande à éléments d'acier articulés dont les auges én tôle sont fixées à la chaîne ou aux chaînes au moyen de supports qui sont engagés dans des maillons de chaîne : horizontaux et sont fixés à ceux-ci par des chevilles de serrage, les chaînes étant placées sans les auges en tôle dans la charpente ou chevalet de support., tandis que les au- ges en tôle ne sont posées qu'alors sur les chaînes et fixées à celles-ci par insertion des chevilles de serrage.
Par l'emploi des chevilles de ser- rage, cet assemblage est possible avec facilité dans la mine sur le lieu de montage, car les chevilles de serrage peuvent être enfoncées ou enle- vées à coups de marteau. Dans les modes de construction analogues connus, les auges en tôle sont soit fixées aux chaînes à maillons ronds de manière non amcvible, ou bien on doit serrer plusieurs vis. Ceci est compliqué et prend beaucoup de temps.
Utilement, les axes ou essieux des gelets de roulement sent également fixés par des goujons ou des chevilles de serrage aux auges en tole ou aux supports. A cette fin, les supports présentent, entre l'auge et la chaîne, des trous ou perforations pour le passage des essieux des galets de roulement. En outre, des forures transversales sont pratiquées pour les goujons ou les chevilles de serrage, par lesquels sont fixés les axes des galets de roulement, lesquels présentent des contre-fcrures cor- respondantes. Ceci présente l'avantage supplémentaire que lors de l'assem- blage, après que les auges en tôle ont été posées sur les chaines et fixées à celles-ci, les essieux des galets de roulement peuvent être introduits chaque fois avec l'écartement désiré et fixés par des goupilles de serrage.
Comme on peut s'en rendre compte, le nombre des pièces détachées différentes dont la bande à éléments en acier articulés est composée est minime. On n'emploie qu'une seule sorte d'auges en tôle. Il y a en outre les essieux identiques des galets de roulement et les parties de chaîne, qui, comme elles sont livrées sans les auges en tôle, peuvent avoir des longueurs relativement grandes et ne nécessitent par conséquent que quel- ques joints de chaîne pour la liaison des partiesde chaîne. Les auges en tôle sont interchange ables elles ont la même forma, qu'elles servent ou non de supports aux essieux des galets de roulement. La même bande est utilisable tant pour¯un mode de construction à galets porteurs de position fixe que pour un. mode de construction avec des galets porteurs circulant avec la bande.
Dans l'exécution avec fixation des auges en tôle à des étriers verticaux à oeillets par des chevilles de serrage, on n'emploie même plus une longue chaîneAu contraire, la chaîne se compose de pièces indépendan- tes forgées en matrice. Il en résulte l'avantage que même le transport de longs tronçons de chaîne dans la mine est supprimée
Avantageusement, la bande à éléments d'acier articulés peut être assemblée au point d'utilisation, à partir du petit nombre de piè- ces détachées différentes, par jonction alternative détriers à oeillets et de maillons de chaîne voisins les uns aux autres ainsi que par la pose des auges en tôle et l'introduction des chevilles de serrage.
Il n'est donc plus nécessaire de livrer de longs tronçons de chaîne, mais seule- ment les étriers à oeillets et les maillons fermés et, séparément de ces pièces, les auges en tôle et également séparément les galets dE-- support avec leurs essieuxo Ce mode de construction offre aussi l'avantage que des machines spéciales ne sont plus nécessaires pour la fabrication de chaînes fermées, puisque les étriers à oeillets et les différents mail- lons de chaîne fermés peuvent être forgés séparément en matrice.
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Lorsqu'on emploie des supports entre l'auge en tôle et le mail- lon horizontal, ces supports peuvent servir en même temps de pièces d'es- pacement afin d'empêcher un rapprochement des maillons les uns des autres faute de tension, par exemple dans le brin inférieur derrière le renvoi de commando. Si l'on emploie des étriers à oeillets verticaux pour la fixation aux auges en tôle, on prévoit utilement sous ces dernières supplémentaire- ment des saillies semblables à des nez, qui,comme pièces d'espacement s' opposant à un rapprochement des maillons, s'engagent dans les maillons hori- zontaux avec un faible jeu par rapport aux éléments voisins.
Selon l'invention, il est proposé en outre, dans le cas où il est prévu une chaîne médiane, de laisser prendre une direction générale droite à la partie du fond de l'auge qui recouvre une partie du fond de l'auge de l'élément voisin, tandis que cette dernière partie recouverte est repliée vers le bas à peu près au-dessus du milieu du maillon situé sous elle, et cela sou un angle qui correspond à l'angle du pas de la roue à chaîne. Ceci est très important pour la possibilité d'inscription dans les courbes,car alors la partie droite recouvrante peut pivoter librement au-dessus de la contre-partie de fond., également latéralement. Malgré cela, grâce au pliage angulaire, il ne se forme pas d'intervalle entre les par- ties 'de fond lorsque la bande passe autour de la roue à chaîne.
Dans les modes de construction connus avec moulures ou nervu- restransversales engagées les unesdansles autres ou avec des extrémités d'auges arrondies d'une manière similaire, des éléments intermédiaires ar- ticulés spéciaux doivent être employés pour l'inscription dans les courbes, ou bien lorsque les moulures sont supprimées et que le fond est lisse, ce qui permet de franchir les courbes sans éléments intermédiaires, l'obtura- tion ou étanchement des intervalles au renvoi ou changement de direction est imparfaite.
Un autre perfectionnement consiste, selon l'invention, en ce que dans la cas de la disposition connue de moulures de renforcement dans le fond de l'auge, celles-ci s'étendent aussi sur les tôles latérales des auges en tôle, de sorte que non seulement le fond, mais aussi les parties latérales de l'auge sont raidies et l'on peut employer une tôle d'acier aussi mince que possible. Les moulures de raidi ssage peuvent avantageuse- ment être encore rendues utilisables à une autre fin, si avec un évidement du support pour les maillons horizontaux, qui forme pont sur elles, elles forment une ouverture pour l'introduction des essieux des galets de support.
En cas de disposition d'une chaîne médiane, il est prévu en outre, sur les cotés, des colliers formant également pont sur la moulure par lesquels sont également passés les essieux, qui sont fixés par des che- villes de serrage dans les colliers et/ou dans de support. Dans ce cas, il est possible aussi de réaliser l'essieu des galets porteurs en deux pièces; chacune de ces pièces est alors passée du côté correspondant, à travers le collier, dans le support à peu près jusqu'à contact mutuel de face d'about des demi-essieux, qui sont fixés par des chevilles.
Une autre amélioration est obtenue selon l'invention par le fait que les auges en tôle ont un contour rectangulaire en projection horizon- tale.lequel, du côté recouvert est élargi en un gradin ou épaulement à con- currence de l'épaisseur de la tôle formant les auges majorée du jeu néces- saire, afin de recevoir l'auge en tôle suivante qui la recouvre par l'inté- rieur. L'élargissement s'étend aussi au-delà de la partie formant le fond, de sorte qu'on obtient un épaulement s'étendant sur toute la section trans- versale et ayant un effet de raidissage semblable à celui d'une moulure ou nervure. Cette conformation permet l'emploi de tôles rectangulaires comme matière première, de sorte qu'il y a évidemment peu de déchet.
En contraste avec cela, dans le cas des auges en tôle de la forme connue, qui sont plus ou moins coniques, on doit employer des formes de tôle trapézoïdales qui impliquent un déchet conséquemment plus élevéo
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Plusieurs exemples de réalisation selon l'invention sont repré- sentés schématiquement sur les planches de dessins ci-annexées,
La figure 1 de ces dessins est une vue de côté avec fixation des auges en tôle à des maillons de chaîne horizontaux ;
La figure 2 est également une vue de côté avec fixation à des amillons de chaîne verticaux ; la figure 3 reproduit une coupe transversale par rapport à la figure 1 avec deux brinsou lignes de chaîne; la figure 4 représente un autre possibilité de réalisation ou conformation du mode d'attache de la chaîne aux auges;
la figure 5 est une coupe transversale par rapport à la figure 1 avec une chaîne médiane; la figure 6 est une vue de côté de la bande à éléments d'acier articulés avec la roue à chaîne; la figure 7 est une vue de dessus de deux auges en tôle dans la réalisation selon la figure 6 à une échelle un peu réduite.
1 désigne les tôles-auges ou auges en tôle, auxquelles sont fixés les supports 2 qui sont passés à travers un maillon de chaîne horizontal 3.
L'épaulement 2a du support 2 sert de butée au maillon de chaîne ou chaînon 3 ,et le support 2 a en outre en face des maillonsvoisins 4,qui sont ver- ticaux, des surfaces latérales arrondies, qui seulement avec un faible jeu, servent de pièces d'espacement;, de sorte que les maillons ne peuvent pas se rapprocher en se déplaçant les uns dans les autres si du mou devait se produire.
Chaque maillon 3 est maintenu contre le support correspondant 2 et par conséquent attaché à l'auge en tôle 1 par une goupille de serrage 5 qui est chassée à travers des forures correspondantes du support 2. Selon la figure 4, le support 2 peut aussirecevoir une forme telle qu'il embras- se en plus le maillon 3 des deux côtés. Le support 2 est encore affecté à une autre tâche.
Il est percé d'un trou 6 ainsi que d'une forure transversa- le 7.Le trou 6 forme avec la moulure ou nervure 8, qui lui fait face, une section transversale creuse pour l'essieu 9 des galets de roulement ou roulettes 10,la section transversale des essieux 9 des galets de roule- ment étant, proportionnellement, entourée d'une manière prépondérante par le support 2,de sorte qu'on peut passer à travers la forure 7 et une oon- tre-forure correspondante de l'essieu 9 une cheville de serrage 11 afin de fixer l'essieu. Cette forme de réalisation donne la possibilité de pla- cer les essieux a des distances les uns des autres choisies à volonté. cer les Les essieux 9 sont fixes solidement maigre a simplicité de leur mode de fix ation.
L'encombrement en hauteur est faible si la hauteur de construction doit encore être réduite,la moulure 8 peut aussi être fai- te plus profonde. Toutefois, la cheville de serrage 11 doit alors être pas- sée â travers l'auge en tôle 6 pour fixer l'essieuo Il est cependant pos- sible aussi de fixer l'essieu à l'auge en tôle indépendamment du support 2 et de la moulure 8, d'une autre manière, par exemple en-le faisant passer transversalement à travers les côtés de cette tôle, comme il est déjà connu de le faireo
Dans la construction à chaîne médiane selon la figure 5 , il est utilement prévu encore des colliers latéraux 12 pour maintenir l'essieu 9.
Les chevilles de fixation 11 peuvent alors être placées dans ces colliers et/ou aussi dans le support 2 ; comme cela est indiqué en trait interrompu.
Comme cela est également suggéré en trait mixte, l'essieu peut aussi être fait en deux pièces; dans ce cas, une pièce est introduite par la droite et l'autre pièce par la gauche et la fixation se fait de nouveau par des chevilles de serrage 11. On peut cependant adopter aussi tout autre mode de fixation utilisable des galets de roulement ou de leurs essieux ou fusées d'essieu.
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A la figure 6, on voit la roue à chaîne 15 , dont le pas forme un angle[alpha], qui joue un rôle en tant que les différentes auges en tôle pivotent également d'un angle [alpha]lorsqu'elles passent autour de la roue à chaîne dans le mode de construction représentéo
Pour cette raison, la partie de fond recouverte la de chaque au- ge est aussi pliée suivant un angle correspondant, tandis que la partie de fond recouvrante de l'autre extrémité de l'auge est droiteo On obtient ainsi la capacité de pivotement dans le plan horizontal nécessaire à l'inscription en courbe et malgré l'obturation des intervalles entre les auges est assurée.
Comme on peut le voir à la figure 7 , la projection horizontale des différentes auges en tôle est rectagulaireo On peut partir d'une tôle ayant également une section transversale rectangulaire. Ceci est déjà avan- tageux eu égard au faible déchet à l'estampage. ou au découpage. Les moulures nécessaires et la pliure angulaire du fond etc. peuvent être formées dans difficulté, éventuellement par déformation à chaud, et il en est de même de l'élargissement de la partie recouverte formé en vue de la réception de la partie recouvrante des augeso
Outre la moulure 8 déjà décrite, qui est dirigée vers l'intérieur on a représenté une autre moulure ou nervure de raidissage 16.
L'épaulement 17, dirigé vers l'extérieur, forme un élargissement pour recevoir la partie recouvrante de l'auge suivanteo Ces différentes particularités donnent une auge en tôle qui est particulièrement rationnelle, car outre l'adaptation mu- tuelle de forme des auges nécessaire pour le recouvrement, le passage autour de la roue à chaîne et l'inscription en courbe, on obtient avec les mêmes moyens, une résistance mécanique plus grande de l'auge, qui permet l'emploi d'épaisseurs de tôle plus faibles.
Dans le mode de construction selon la figure 2,on emploie, à côté des maillons de chaîne horizontaux 20, des maillons de chaîne verticaux 21, qui affectent la forme d'étriers à oeillets, ouverts d'un cote. La fixation se fait également par deschevilles de serrage 22 , qui, sont chassées @ non seulement à travers les oeillets mais encore à travers des forures correspondantes d'une pièce d'appui 23, qui est fixée à l'auge en tôle 1.
Comme cela a déjà été proposé ailleurs, la distance entre les forures de pièces d' appui 23 peut être un peu plus réduite que la distance entre les forures des oeillets, de sorte que par l'introduction des goujons ou,des chevilles de serrage, il se produit une prétension des étriers à oeillets, 21, à l'encontre de la traction de service de la chaînée 24 désigne despièces semblables à des nez,
qui sont fixées en saillie au fond des auges et sont engagées dans les maillons de chaîne horizontaux 20 et servent de pièces d'espacement pour... empêcher les maillons de la chaîne de se rapprocher les uns des autres lorsque celle-ici n'est éventuellement pas sous tensiono
A la figure 2 , il n'est pas représente de galets de roulement ni leurs essieux porteurso Si on le désire, il est naturellement possible aussi de donner à la pièce d'appui 23 une forme telle que - comme cela ressort des autres figures - un essieu de galets puisse être introduit et fixéo
La bande à éléments d'acier articulés selon l'invention offre une série d'avantages.
Seul un petit nombre de sortes de pièces détachées identiques entre elles sont nécessaires, à savoir; les auges en tole auxquel- les les supports ou les pièces d'appui pour la fixation de la chaîne sont fixésen usine , par exemple par soudage, des tronçons de chaîne de grande longueur ou seulement des étriers à oeillets séparés et des maillons de chaîne fermés séparés, les chevilles de serrage nécessaires et le nombre requis de galet- de roulement avec essieuxo Comme outils, on a besoin uniquement d'un marteau ou d'une pince spéciale respectivement pour l'introduction et l'enlèvement des chevilles de serrageo
On peut employer la même bande pour les écartements les plus divers entre les galets en utilisant les mêmes pièces détachées,
car les essieux des galets peuvent être introduits à volontéo
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Il est donc possible de passer ultérieurement avec une facilité évidente à un autre espacement des galets, Les auges en tôle faussées peu- vent être remplacées facilement., de même que les galets endommagés.
La même bande est cependant utilisable aussi pour les bâtis ou charpentes avec galets proteurs de position fixe, ou elle peut aussi être guidée sur des galets qui reposent dans des supports ou chevalets de posi- tion fixeo Dans les réalisations représentées à chaînes de support placées sous les auges,un guidage spécial du brin inférieur doitnaturellement être crée, car dans ce brin les auges se trouvent sous les chaînes et les galets porteurs de position fixe ne peuvent plus attaquer celles-cio Pour cela,
dans le brin inférieur des galets porteurs de position fixe peuvent cepen- dant attaquer directement les auges à l'intérieur des tôles latérales ou bien les galets porteurs sont placés dans le brin inférieur de telle façon que les auges reposent sur les galets par les bords de leurs tôles latérales situés vers le baso
Le mode de fixation des auges aux chaînes indiqué dans son prin- cipe par l'invention peut cependant aussi être appliqué de telle façon que les chaînes s'étendent à côté des augeso Dans ce but, il suffit que les sup- ports ou les pièces d'appui soient fixés latéralement aux auges ou que leur raccordement au fond des auges soit modifié de façon que les chaînes soient mises en saillie latéralement dans la mesure voulueo Naturellement,
dans ce cas la réalisation doit être telle que la liore course de la chaîne sur les roues à chaîne et son entraînement par celles-ci restent assuréso
REVENDICATIONS.
1. Bande transporteuse à éléments d'acier articulés comprenant une ou deux chaînesordinaires ou à maillons pour les tôles-auges ou auges en tôle, en particulier pour l'exploitation souterraine des mines, la¯ion- gueur de deux maillons de chaîne correspondant à la longueur d'une auge en tôle déduction faite du chevauchement ou recouvrement et les--maillons étant fixés de deux en deux à peu près au milieu de la largeur d'une auge en tôle caractérisée en ce que la fixation des maillons de chaîne aux auges en tôle (I) se fait par des goujons ou deschevilles de serrage (5,22) placés trans- versalement par rapport au sens longitudinal, soit moyennant emploi de sup- ports (2) fixés à l'auge en tôle (1) qui passent à travers un maillon de chaîne horizontal (3)
et sont fixés par rapport à celui-ci par un goujon ou une cheville de serrage (5), soit grace à ce qu'un maillon de chaîne ouvert d'un côté et placé verticalement, ayant la forme connue d'un étrier (21) à oeillets, à chacune de ses deux extrémités en forme d'oeillet fixée, au moyen d'un goujon ou d'un cheville de serrage (22), à une pièce d'appui (23) prévue sur l'auge en tôle (1)
2.
Bande transporteuse à éléments d'acier articulés selon la revendica- tion 1, caractérisée en ce que les essieux ou axes (9) des galets de roulement sent également fixés par des goujons ou des chevilles de serrage (11) aux auges en tôle ou aux supports (2) ou aux pièces d'appui (23), les supports (2) ou les pièces d'appui (23) présentarit à cette fin, entre les auges (1) et la chaîne, des perforations (6) pour le passage des essieux (9) des galets de roulement et des forures transversales (7) pour les goujons ou les che- villes de serrage (11) pour la fixation desdits essieux (9), qui présentent des contre-forures correspo@ dantes.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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The present invention relates to a conveyor belt with articulated steel elements, in particular a belt of this type for mining. In mining operations, special conditions also impose special requirements which, for belts with articulated steel elements, begin with the requirement of a possibility of easy transport through the shaft and narrow excavations to the point of 'use.
In addition, assembly and disassembly should be as easy as possible and without special tools. The spare parts must fit into each other so that they can be exchanged without difficulty if necessary. Finally, the finished tape must be safe and, if possible, be able to cross curves, so be able to register.
Numerous types of bands with articulated steel elements have already been proposed which more or less satisfy these requirements. The earlier basic form with fixed support rollers has recently been largely replaced by a method of construction in which the support rollers can be driven on rails, these rollers or their pins or axles being attached to chains or troughs made of sheet metal or sheet metal. forming troughs, according to the spacing which seems favorable.
It is also known to use,) instead of articulated chains or Galle chains, which were previously the most widely used, chain links with round links and to add to each pair of links, a sheet metal trough, the links being fastened in pairs about the middle of the width of a sheet metal trough. To obtain the capacity of inscription in the curves, one uses a median chain. In this respect, we have not shrunk from methods of construction which, at determined distances, present specially shaped trough elements next to the normal elements.
In order to facilitate the introduction of conveyor belts made of articulated steel elements in narrow excavations, the belt itself has been made up, for decades, of pieces of approximately 2 m. long, called mats. These mats are produced in the factory and assembled at the point of use. They usually consist of 12 trough-shaped elements and the corresponding chain parts. The two meter length of the mats also roughly matched the spacing of the fixed position support rollers and was later taken up as the spacing for the support rollers which move with the belt.
Mats of about the above length are also employed in a construction which includes round link chains instead of the old hinge chains. This naturally implies that approximately every two meters, therefore at the ends of each mat, chain joints or other means are provided for connecting the ends of the chains with round links of the various mats to one another.
Simply passing a hinge pin through the regular chain, as is possible with a hinge pin, does not yet create a perfect connection for the purpose in question.
According to the invention, in a strip with articulated steel elements, the sheet metal troughs of which are carried by ordinary chains, and in which two chain links are provided for a sheet metal trough and one out of two links is fixed to This, it is proposed to fix the chain links to the sheet metal troughs by studs or fixing pins placed transversely with respect to the longitudinal direction. According to the invention, either retaining pieces can be used for this purpose. or supports which are attached to the sheet metal trough, pass through a horizontal chain link and come out fixed relative to it by a pin or a tightening pin, or a link open on one side and placed upright , having the known shape of an eyelet stirrup,
has its two eyelet-shaped ends each fixed by a dowel or tightening pin, to a stopper or support piece pre-
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view at the sheet metal trough.
The invention therefore dispenses with the formation of mats to be assembled.
The advantage is thus obtained that long chains, on the one hand, and sheet metal troughs, on the other hand, can be fed separately. The embodiment according to the invention consequently allows an advantageous and rational assembly also for a strip with articulated steel elements, the sheet metal troughs of which are fixed to the chain or chains by means of supports which are engaged in links. of chain: horizontal and are fixed to these by tightening pins, the chains being placed without the sheet metal troughs in the frame or support trestle., while the sheet metal troughs are only then placed on chains and fixed to them by inserting tightening pins.
By using the clamping plugs this assembly is easily possible in the mine at the assembly site, since the clamping plugs can be driven in or removed with a hammer. In similar known construction methods, the sheet metal troughs are either fixed to the round link chains in a non-removable manner, or else several screws must be tightened. This is complicated and takes a long time.
Usefully, the axles or axles of the rolling gelets are also fixed by studs or tightening pins to the sheet metal troughs or to the supports. To this end, the supports have, between the trough and the chain, holes or perforations for the passage of the axles of the running rollers. In addition, transverse bores are made for the studs or clamping pins, by which the axes of the running rollers are fixed, which have corresponding counter-cracks. This has the additional advantage that during assembly, after the sheet metal troughs have been placed on the chains and fixed to them, the axles of the track rollers can be inserted each time with the desired spacing. and secured by tightening pins.
As can be seen, the number of different individual parts of which the hinged steel element belt is made up is minimal. Only one kind of sheet metal trough is used. In addition there are the identical axles of the track rollers and the chain parts, which, as they are delivered without the sheet metal troughs, can have relatively long lengths and therefore only require a few chain joints for the assembly. linking of chain parts. The sheet metal troughs are interchangeable and have the same shape, whether or not they serve as supports for the axles of the rollers. The same band can be used for both a fixed position bearing roller construction mode and for one. method of construction with load-bearing rollers circulating with the belt.
In the version with fixing of the sheet metal troughs to the vertical eyelet stirrups by means of tightening pins, a long chain is no longer even used. On the contrary, the chain consists of independent die-forged parts. This results in the advantage that even the transport of long sections of chain in the mine is eliminated.
Advantageously, the strip with articulated steel elements can be assembled at the point of use, from the small number of different spare parts, by alternating junction of eyelets and neighboring chain links to each other as well as by the installation of the sheet metal troughs and the introduction of the tightening pins
It is therefore no longer necessary to deliver long sections of chain, but only the eyebolts and closed links and, separately from these parts, the sheet metal troughs and also separately the support rollers with their axles. This construction method also offers the advantage that special machines are no longer necessary for the production of closed chains, since the eyelet stirrups and the individual closed chain links can be forged separately into a die.
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When supports are used between the sheet metal trough and the horizontal link, these supports can serve at the same time as spacers in order to prevent the links from coming closer to each other for lack of tension, for example. example in the lower section behind the commando return. If stirrups with vertical eyelets are used for fixing to the sheet metal troughs, protrusions similar to noses are usefully provided under the latter additionally, which, as spacers opposing the movement of the links, engage in the horizontal links with little play in relation to neighboring elements.
According to the invention, it is further proposed, in the case where a central chain is provided, to allow the part of the bottom of the trough which covers a part of the bottom of the trough of the trough to take a general straight direction. neighboring element, while this last covered part is bent downwards about above the middle of the link below it, and this at an angle which corresponds to the angle of the pitch of the chain wheel. This is very important for the possibility of inscription in the curves, because then the covering straight part can pivot freely above the bottom counterpart, also laterally. Despite this, thanks to the angular bending, no gap is formed between the bottom parts when the band passes around the chain wheel.
In known modes of construction with moldings or transverse ribs engaged in one another or with the ends of troughs rounded in a similar manner, special articulated intermediate elements must be employed for the inscription in the curves, or else when the moldings are removed and the bottom is smooth, which makes it possible to cross the curves without intermediate elements, the obturation or sealing of the gaps on return or change of direction is imperfect.
Another improvement consists, according to the invention, in that in the case of the known arrangement of reinforcing moldings in the bottom of the trough, these also extend over the side plates of the sheet metal troughs, so that not only the bottom, but also the side parts of the trough are stiffened and one can use a steel sheet as thin as possible. The stiffening moldings can advantageously still be made usable for another purpose, if with a recess in the support for the horizontal links, which forms a bridge over them, they form an opening for the introduction of the axles of the support rollers.
In the case of a central chain arrangement, there is also provided, on the sides, collars also forming a bridge on the molding through which the axles are also passed, which are fixed by clamping pins in the collars and / or in support. In this case, it is also possible to make the axle of the carrier rollers in two pieces; each of these parts is then passed from the corresponding side, through the collar, into the support approximately until mutual contact of the end face of the half-axles, which are fixed by pegs.
Another improvement is obtained according to the invention by the fact that the sheet metal troughs have a rectangular contour in horizontal projection. Which, on the covered side, is widened into a step or shoulder to match the thickness of the sheet. forming the troughs plus the necessary clearance, in order to receive the next sheet trough which covers it from the inside. The widening also extends beyond the part forming the bottom, so that a shoulder is obtained extending over the entire cross-section and having a stiffening effect similar to that of a molding or rib. . This conformation allows the use of rectangular sheets as raw material, so that there is obviously little waste.
In contrast to this, in the case of sheet metal troughs of the known shape, which are more or less conical, trapezoidal sheet metal shapes must be used which imply a consequent higher waste.
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Several exemplary embodiments according to the invention are shown schematically on the accompanying drawing boards,
Figure 1 of these drawings is a side view with attachment of the sheet metal troughs to horizontal chain links;
Figure 2 is also a side view with attachment to vertical chain links; Figure 3 shows a cross section with respect to Figure 1 with two strands or lines of warp; FIG. 4 shows another possible embodiment or configuration of the mode of attachment of the chain to the troughs;
Figure 5 is a cross section with respect to Figure 1 with a center chain; FIG. 6 is a side view of the strip of steel elements articulated with the chain wheel; FIG. 7 is a top view of two sheet metal troughs in the embodiment according to FIG. 6 on a somewhat reduced scale.
1 designates the plate troughs or sheet metal troughs, to which are fixed the supports 2 which are passed through a horizontal chain link 3.
The shoulder 2a of the support 2 serves as a stop for the chain link or link 3, and the support 2 has in addition, opposite the neighboring links 4, which are vertical, rounded side surfaces, which only with a small clearance, serve. spacers ;, so that the links cannot move closer together if slack should occur.
Each link 3 is held against the corresponding support 2 and therefore attached to the sheet metal trough 1 by a tightening pin 5 which is driven through corresponding holes in the support 2. According to figure 4, the support 2 can also receive a shape such that it also embraces link 3 on both sides. Support 2 is still assigned to another task.
It is drilled with a hole 6 as well as a transverse bore 7. The hole 6 forms with the molding or rib 8, which faces it, a hollow cross section for the axle 9 of the rollers or rollers. 10, the cross section of the axles 9 of the running rollers being, proportionally, surrounded in a preponderant way by the support 2, so that it is possible to pass through the bore 7 and a corresponding borehole of the axle 9 a tightening pin 11 in order to fix the axle. This embodiment gives the possibility of placing the axles at distances from each other chosen at will. Cer les The axles 9 are solidly fixed with a simple way of fixing them.
The overall height is small if the building height has to be further reduced, the molding 8 can also be made deeper. However, the clamping pin 11 must then be passed through the sheet metal trough 6 to fix the axle. It is however also possible to fix the axle to the sheet metal trough independently of the support 2 and the molding 8, in another way, for example by passing it transversely through the sides of this sheet, as is already known to do.
In the middle chain construction according to figure 5, there are also useful side collars 12 to hold the axle 9.
The fixing pegs 11 can then be placed in these collars and / or also in the support 2; as indicated in broken lines.
As also suggested in phantom, the axle can also be made in two pieces; in this case, one part is introduced from the right and the other part from the left and the fixing is again done by clamping pins 11. However, it is also possible to adopt any other method of fixing which can be used for the running rollers or their axles or stub axles.
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In figure 6, we see the chain wheel 15, the pitch of which forms an angle [alpha], which plays a role as the various sheet metal troughs also rotate by an angle [alpha] as they pass around. the chain wheel in the construction mode shown
For this reason, the covered bottom part la of each trough is also bent at a corresponding angle, while the overlapping bottom part of the other end of the trough is straight. This gives the swiveling capacity in the trough. horizontal plane necessary for the inscription in curve and despite the closing of the intervals between the troughs is ensured.
As can be seen in Figure 7, the horizontal projection of the various sheet metal troughs is rectagular. It is possible to start from a sheet also having a rectangular cross section. This is already advantageous in view of the low stamping waste. or cutting. The necessary moldings and the angular fold of the bottom etc. can be formed with difficulty, possibly by hot deformation, and it is the same for the widening of the covered part formed for the reception of the covering part of the troughs
In addition to the molding 8 already described, which is directed inwards, another stiffening molding or rib 16 has been shown.
The shoulder 17, directed outwards, forms an enlargement to receive the covering part of the following trough. These different features give a sheet metal trough which is particularly rational, since in addition to the mutual adaptation of the shape of the troughs necessary for the covering, the passage around the chain wheel and the inscription in curve, one obtains with the same means, a greater mechanical resistance of the trough, which allows the use of lower sheet thicknesses.
In the construction mode according to FIG. 2, next to the horizontal chain links 20, vertical chain links 21 are used, which take the form of eyelet stirrups, open on one side. The fixing is also effected by clamping pins 22, which are driven @ not only through the eyelets but also through corresponding bores of a support piece 23, which is fixed to the sheet metal trough 1.
As has already been proposed elsewhere, the distance between the bores of the supporting pieces 23 can be a little smaller than the distance between the bores of the eyelets, so that by the introduction of the studs or, the clamping pins, there is a pretension of the eyelet calipers, 21, against the service traction of the chain 24 designates parts similar to noses,
which are fixed projecting to the bottom of the troughs and are engaged in the horizontal chain links 20 and serve as spacers to ... prevent the chain links from coming closer to each other when this one is not possibly not under voltage
In Figure 2, it is not shown running rollers or their carrying axles. If desired, it is naturally also possible to give the support piece 23 a shape such that - as is apparent from the other figures - a roller axle can be introduced and fixed
The strip with articulated steel elements according to the invention offers a series of advantages.
Only a small number of kinds of spare parts identical to each other are needed, namely; steel troughs to which the brackets or supporting parts for chain fastening are attached at the factory, for example by welding, long chain sections or only separate eyelet brackets and closed chain links separate, the necessary clamping dowels and the required number of running rollers with axleso As tools, only a hammer or special pliers are needed for the insertion and removal of the clamping dowels respectively
The same band can be used for the most diverse spacings between the rollers by using the same spare parts,
because the axles of the rollers can be inserted at will
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It is therefore possible to switch later with obvious ease to a different spacing of the rollers. Warped sheet metal troughs can be replaced easily, as can damaged rollers.
However, the same band can also be used for frames or frames with fixed position protector rollers, or it can also be guided on rollers which rest in fixed position supports or trestles o In the embodiments shown with support chains placed under the troughs, a special guide of the lower strand must of course be created, because in this strand the troughs are located under the chains and the bearing rollers of fixed position can no longer attack them.
in the lower run, however, fixed position carrier rollers can directly attack the troughs inside the side plates or the carrier rollers are placed in the lower run in such a way that the troughs rest on the rollers by the edges of their side panels located towards the baso
The method of fixing the troughs to the chains indicated in its principle by the invention can however also be applied in such a way that the chains extend next to the troughs. For this purpose, it is sufficient that the supports or the parts support are fixed laterally to the troughs or their connection to the bottom of the troughs is modified so that the chains are protruding laterally to the extent required o Of course,
in this case the realization must be such that the liore course of the chain on the chain wheels and its drive by these remain assured.
CLAIMS.
1. Conveyor belt with articulated steel elements comprising one or two ordinary chains or links for troughs or sheet troughs, in particular for underground mining, the length of two chain links corresponding to the length of a sheet metal trough less the overlap or overlap and the - links being fixed two by two approximately in the middle of the width of a sheet metal trough characterized in that the attachment of the chain links to the sheet metal troughs (I) is made by studs or tightening pins (5,22) placed transversely with respect to the longitudinal direction, or by using supports (2) fixed to the sheet metal trough (1) which pass through a horizontal chain link (3)
and are fixed relative to it by a stud or a tightening pin (5), either by means of a chain link open on one side and placed vertically, having the known shape of a stirrup (21 ) with eyelets, at each of its two ends in the form of an eyelet attached, by means of a stud or a tightening pin (22), to a support piece (23) provided on the sheet trough (1)
2.
Conveyor belt with articulated steel elements according to claim 1, characterized in that the axles or pins (9) of the track rollers are also fixed by studs or clamping pins (11) to the sheet troughs or to the supports (2) or to the support pieces (23), the supports (2) or the support pieces (23) present for this purpose, between the troughs (1) and the chain, perforations (6) for the passage of the axles (9) of the rolling rollers and of the transverse holes (7) for the studs or the clamping bolts (11) for the fixing of the said axles (9), which have corresponding counter-holes.
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