BE521903A - - Google Patents

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BE521903A
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Classifications

    • HELECTRICITY
    • H01ELECTRIC ELEMENTS
    • H01RELECTRICALLY-CONDUCTIVE CONNECTIONS; STRUCTURAL ASSOCIATIONS OF A PLURALITY OF MUTUALLY-INSULATED ELECTRICAL CONNECTING ELEMENTS; COUPLING DEVICES; CURRENT COLLECTORS
    • H01R4/00Electrically-conductive connections between two or more conductive members in direct contact, i.e. touching one another; Means for effecting or maintaining such contact; Electrically-conductive connections having two or more spaced connecting locations for conductors and using contact members penetrating insulation
    • H01R4/24Connections using contact members penetrating or cutting insulation or cable strands
    • H01R4/2495Insulation penetration combined with permanent deformation of the contact member, e.g. crimping

Landscapes

  • Connections By Means Of Piercing Elements, Nuts, Or Screws (AREA)

Description


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  CONNECTEUR ELECTRIQUE. 



   La présente invention se rapporte à des cosses et bornes permettant de faire des branchements sans soudure par perforation de l'isolant, et plus particulièrement à la forme et la disposition des dents perforatrices de ces cosses. 



   D'ordinaire, les cosses de ce genre sont munies d'une partie formant virole qui entoure et enserre le guipage d'un conducteur électrique et de barbes ou dents qui percent l'isolant et font contact avec l'âme conductrice. Ces cosses suppriment la nécessité de dénuder l'àme de son isolant et d'y souder la cosse ou borne. L'accroissement de la vitesse de production et l'économie qui découlent de l'emploi de telles cosses incite à étendre aussi largement que possible leur domaine d'utilisation. 



   La présente invention a pour objet d'augmenter la résistance à l'arrachement de ces cosses, c'est-à-dire l'effort de traction nécessaire pour détacher la prise du conducteur, et d'améliorer le contact électrique entre eux deux, grâce à quoi un plus grand nombre de possibilités d'utilisation se présentent pour des cosses de ce genre. 



   Ordinairement, la partie formant virole de la cosse est en forme de gouttière et présente des dents qui s'élèvent verticalement du bas et sont destinées à perforer l'isolement. On peut façonner ces dents en pratiquant un trait en forme de V dans la partie formant virole et cintrant vers l'intérieur le métal délimité par le trait. Habituellement, dans les cosses de courant en usage jusqu'ici, les dents étaient pliées de manière à former un angle approximativement normal à un plan tangent au bas de la gouttière formant virole, c'est-à-dire qu'on relevait les dents jusqu'à ce qu'elles se dressent à peu près parallèlement à la direction dans laquelle on abaisse le fil dans la gouttière afin que l'isolant soit perforé par elles.

   Ainsi, dans la construction habituellement, l'extrémité acérée de la dent se trouve 

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 directement au-dessus du vide créé dans la virole par l'enlèvement du métal constituant la dent. Dans de telles cosses la dent ne perfore pas toujours convenablement l'isolant et, presque toujours, lorsque l'assemblage s'effectue à la pince, la dent se déverse vers le vide créé dans la virole par sa formation. Cela provient en partie de ce que la dent n'est pas soutenue dans l'axe de la force exercée sur sa pointe tandis qu'on y empale l'isolant, de sorte qu'il se produit un couple qui tend à recourber la dent vers le vide laissé dans la virole lors de son poinçonnage.

   Ce mouvement de flexion de la dent peut amener sa pointe à glisser en travers de la surface du guipage isolant, tout comme il peut s'accompagner d'un déplacement latéral du conducteur à l'intérieur de la virole. Dans l'un et l'autre cas la liaison électrique obtenue laisse à désirer et il arrive que les dents n'établissent absolument aucun contact avec le conducteur électrique. 



   Suivant la présente invention, la dent est relevée à partir de la portion formant virole et légèrement au-delà de la normale, par exemple de manière que sa pointe se trouve juste au-dessus de la ligne ou elle se raccorde avec la virole, c'est-à-dire,est soutenue par elle. Cette disposition empêche la dent de se rabattre vers le vide laissé par elle dans la virole lorsqu'on presse l'isolant sur elle, de sorte que l'isolant est forcément perforé en même temps qu'un contact électrique satisfaisant est établi avec l'âme conductrice et qu'on obtient un plus fort serrage du conducteur par la cosse, ce qui augmente la résistance à l'arrachement. 



   Suivant un mode d'exécution préféré de l'invention, on obtient pour la dent la position et la forme désirées .en redressant la dent par une force ou un choc convenable appliqué sur la face de la dent de manière qu'il s'ensuive non seulement un amincissement de la dent mais aussi que dans son ensemble la dent soit écartée de la rainure en V, de manière que le corps de la dent se place, au-dessus d'une aire de la base de la partie formant virole dépassant sensiblement, vers l'extérieur, l'aire définie par la rainure en V taillée dans la base. 



   De plus, on obtient un contact électrique satisfaisant et l'on améliore encore la résistance à l'arrachement au moyen d'une seconde dent située longitudinalement à distance de la première le long de la virole mais déversée en sens opposé, de manière que les pointes des deux dents se trouvent de part et d'autre d'une médiane parallèle à l'axe longitudinal de la virole. 



  Grâce   à   cette disposition alterne des dents le conducteur est à peu près empêché de se dérober latéralement lorsqu'on l'enfonce sur les dents, tout   com-   me on évite que celles-ci soient rabattues vers les vides créés lors de leur formation. 



   Sous une autre forme, l'invention prévoit une cosse dans laquelle la dent   perce-guipage   se présente obliquement par rapport à l'axe longitudinal de la prise de courant afin que, dans sa largeur, la dent se présente parallèlement au sens dans lequel les fils composant l'âme métallique sont torsadés. Cela permet à la dent de se planter plus facilement entre les fils et, de plus, cela diminue la tendance qu'aurait la dent à se plier au lieu de pénétrer dans le toron.

   Deux ou plusieurs dents ainsi disposées obliquement peuvent être disposées en échelon le long de la virole dans le prolongement les unes des autres de manière qu'elles s'implantent entre les mêmes fils constituant le toron, tout comme on peut les échelonner parallèlement les unes aux autres le long de l'axe longitudinal de la virole afin qu'elles s'engagent dans le toron entre des fils différents. 



   On aura une plus nette idée de l'invention et de ses objets à la lecture de la description suivante et   à la   lumière des dessins ci-joints. 



   La fige 1 est une vue perspective d'un ruban destiné à former des cosses. 



   La fig. 2 est une vue perspective d'une cosse façonnée dans le ruban représenté à la fig. l. 



   La fige 3 est une vue en coupe agrandie faite suivant la ligne 3-3 

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 de la fig. 2 et montre les positions relatives des deux dents perce-guipage. 



   La fig. 4 est une vue perspective à échelle agrandie d'une dent perce-guipage et d'une partie de la base d'une ébauche de virole façonnée conformément à la présente invention. 



   La fig. 5 est une vue en plan de la structure représentée à la fige4. 



   La fige 6 est une vue du dessous de la structure représentée à la fig. 5. 



   La fig. 7 est une vue en plan semblable à la fig. 5. et dans la- quelle la dent est relevée de façon antérieurement connue. 



   La fig. 8 est une vue par le dessous de la structure représentée à la   fige     7.   



   La fige 9 est une vue perspective de la cosse représentée à la fig. 2 après assemblage avec un conducteur isolé. 



   La fig. 10 est une vue en coupe agrandie faite suivant la ligne
10-10 de la   fig.   9. 



   La fig. Il est une vue en plan d'une autre cosse et montre une deuxième forme d'exécution de l'invention. 



   La fig. 12 est une vue par le dessous de la cosse représentée à la fig. Il après assemblage avec un conducteur isolé. 



   La fig. 13 est une vue en coupe à échelle agrandie prise suivant la ligne 13-13 de la fig. 12. 



   La fige 14 est une vue en plan montrant une autre forme d'exécution de l'invention. Enfin, 
La figure 15 montre la cosse suivant la fige 14 après son assemblage avec un conducteur torsadé dont on a enlevé le guipage isolant. 



   D'ordinaire, les cosses de ce genre sont fabriquées en longs   ru-   bans, comme on le voit à la fig. 1, dont on alimente des machines automatiques d'assemblage, ou qu'on découpe ultérieurement en cosses séparées comme on le voit à la fig. 2. La cosse représentée à la fig. 2 résulte du   façonnage   du ruban plat représenté à la fig. 1 et comporte une première partie destinée à former la virole, désignée dans son ensemble par 2, et une seconde partie, désignée dans son ensemble par 4 et représentée sous forme d'un raccord   bifur-   qué ou T'en fer de bêche", l'ensemble de la cosse étant fait d'un métal déformable bon conducteur de l'électricité. 



   La partie 2 destinée à former la virole est en forme de gouttière et présente une base 6 et deux paires d'oreilles montantes 8 et 12. Pour l'assemblage de la cosse avec un conducteur isolé 14 (fig. 9 et 10) on place celui-ci dans la gouttière de la partie 2 destinée à former virole et, à mesure qu'on fait pression vers le bas sur le fil, les oreilles 8 et 12 se trouvent incurvées vers l'intérieur et le bas autour de l'extérieur du guipage isolant 16 du conducteur   14.   Une matrice convenant pour l'assemblage de cosses de ce genre est décrite dans la demande déposée en U.S.A. au nom de James 'c MAXY, sous le n  717 842 le 23 décembre   1946.   



   Afin d'établir   -Lui   contact électrique avec les brins 18 de l'âme conductrice du conducteur   14,   on a prévu deux dents /22 et 23 qui s'élèvent       partir de la base de la virole 2. A part que les deux dents 22 et 23 sont redressées en sens contraires, elles sont absolument identiques, et il suffira de décrire en détail l'une d'elles, 22. Il est expédient de produire cette dent 22 par poinçonnage à partir de la   tôle même   qui forme la virole. Dans la base 6 de la portion destinée à formerla virole on découpe une encoche en V et l'on relève la dent comme il est indiqué à la fig. 3.

   Il y a avantage à travailler la dent longitudinalement par refoulement de manière à obtenir à son extrémité une pointe acérée 25 et du même coup à la mettre en place et à la rendre un peu plus longue que le vide 26 dont elle est issue. 

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   Si la barbe 22 m'était coudée que juste ce   qu'il   faut pour son sommet 25 se trouve juste au-dessus de l'ouverture 26, il lui serait difficile de perforer l'isolant 16 et n'établirait pas le contact optimum avec les brins 18 qui constituent   l'âme   conductrice, et l'assemblage conducteurcosse n'aurait pas la même tenue à la traction que si les dents étaient con-   venablement   noyées dans les brins métalliques.

   -En conséquence, on coude la dent 22 légèrement au-delà de sa position habituelle de manière que son extrémité effilée se trouve juste au-dessus du point où la dent se raccorde avec la base de la virole,   c'est-à-dire,   que le sommet 25 de la dent 22 se trouve sur une droite 29 passant par l'intersection de la base avec la dent, ou traversant la base de la partie 2-formant la virole en un point situé à l'opposé de l'ouverture 26 résultant du poinçonnage de la dent, cette ligne étant parallèle à un axe 30 passant par le centre transversal de la base dans une direction perpendiculaire à un point tangent à la base en ce point.

   Ain-   si,   si la partie 2 formant la virole est placée de façon telle que le conducteur isolé 16 se déplace verticalement tandis qu'on l'assemble avec la cosse, une verticale abaissée du sommet de la barbe 25 passera non pas à travers l'ouverture 26 mais à travers une partie pleine de la base formant la virole. 



  II est   expédient   de réaliser cette forme pendant l'opération de refoulement au cours de laquelle une force convenable est appliquée sur la face de la dent voisine de l'ouverture résultant du poinçonnage de fagon que le corps de la dent se trouve au-dessus d'une partie de la base formant virole qui ne soit pas incluse dans la surface définie par l'entaille en V dans ladite base. 



   On se rendra mieux compte de la position et de la forme de la dent 22 en se référant aux figs. 4 à 8. Comme on peut le voir sur les figs.   4   et 5, l'entaille en Y dont est issue la dent 22 ne s'étend que   jusqu?à   un point 32 situé approximativement en avant de la dent et ne se prolonge pas en arrière de celle-ci (l'avant de la dent désignant le côté tourné vers l'ouverture   26).   La   fige   7 montre une dent 22 A du même genre mais façonnée simplement en coudant le métal de l'encoche V 26A vers le haut, l'entaille dans la basse s'étendant jusqu'à un point 34 situé à l'arrière de la dent 22A.

   On remarquera sur la fig. 5 que la pointe 25 de la dent 22 est directement audessus d'un point de la base 6 qui se trouve à l'extérieur de la surface définie par l'entaille en V, de sorte qu'elle est solidement supportée par la base 6, tandis que la portion de la base ou dent immédiatement au-dessous de la pointe 25A de la dent   22A   se trouve à l'intérieur de la zone définie par l'entaille en V, de sorte qu'elle   n'est   pas supportée par une partie non   en-   taillée de la base. Pendant l'opération de piquage, tandis que le conducteur exerce une force dirigée suivant l'axe longitudinal de la dent 25A, celle-ci a tendance à être rabattue vers l'ouverture 26A que sa propre formation a créée dans la base 6A.

   Gela résulte en partie du bras de levier, égal à la distance horizontale entre la pointe 25A de la dent et l'intersection de la dent avec la base au point   34,   qui exerce sur la dent un couple qui tend à la rabattre vers l'ouverture   26A.   C'est à cette circonstance, jointe au fait que le métal de la dent ne résiste pas au basculement en direction de sa position initiale autant qu'il résiste à un effort de flexion continu dans le sens opposé, que sont imputables la majeure partie des ennuis qu'on éprouve avec des cosses ou raccords de ce genre. 



   La fig. 6 est une vue par le dessous de la dent 22 représentée à la fige 5 et montre davantage qu'autant dire rien du corps de la dent ne se trouve au-dessus de l'ouverture 26, tandis que suivant la fig. 8, qui est une vue par le dessous de la dent 22A et de la base 6A représentées à la   fig.7,   la presque totalité du corps de la dent 22A se trouve au-dessus de la zone définie par l'entaille formant l'ouverture 26A. 



   La vue de bout qu'est la fig. 3 montre les positions des deux dents 22 et 23 par rapport à la ligne médiane 30 de la partie 2 formant la virole. On produit la dent 23 en pratiquant dans la base une entaille en V identique à celle qui donne naissance à la dent 22, la pointe du "V" étant toutefois dirigée vers le côté opposé de la partie 2 formant la virole.Dans les deux cas la base de l'entaille en V est voisine de l'axe longitudinal de la base 6 de la partie formant la virole, de sorte qu'après coudage vers le 

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 haut des dents 22 et 23 (voir la fig. 3)la pointe de chacune d'elles se trou- ve directement au-dessus du point d'intersection de la dent avec la base 6 et que les pointes de ces dents se trouvent situées de part et d'autre de la mé- diane 30.

   Lorsqu'on asseoit à force le guipage isolant sur les dents celles-ci tendent à maintenir le conducteur dans son axe et l'empêchent de se dérober latéralement. Un tel déplacement latéral du conducteur est très important, parce qu'il y a intérêt à ce que le conducteur reste assez "flottant" entre les oreilles 8 et 12 de la virole.   C'est   parce qu'il est plus facile pour les dents 22 et 23 de pénétrer dans l'isolant lorsqu'il n'est pas encore comprimé; autrement dit, il faut que l'isolant puisse céder librement pendant que s'ef- fectue l'opération de percement. Dès lors que l'isolant se trouve emprisonné sous pression il devient plus dense et il est plus difficile de le percer. 



   La fig. 11 représente une ébauche de virole en forme d'U, désignée dans son ensemble par 34, qui est munie de deux dents 36 et 38 orientées obli- quement par rapport à l'axe longitudinal du raccord, cette obliquité corres- pondant à peu près au pas des brins extérieurs 42   d'un.   conducteur isolé clas- sique indiqué en 44 à la fige 12. Les brins 42 visibles sur la fig. 12 ne re- présentent que les brins extérieurs de l'àme, de fils métalliques qui sont voisins des dents 36 et 38.

   Ces dents 36 et 38 sont semblables aux dents 22
23 sauf qu'elles sont orientées obliquement par rapport à l'axe du raccord et que leurs pointes se trouvent sur une ligne formant avec cet axe le même an- gle que les brins   42.   Lorsque la partie   34   formant la virole est assemblée avec le conducteur 44 (voir les figs. 12 et 13), les dents 36 et 38 perforent l'isolement et s'enfoncent entre les mêmes brins métalliques extérieures, et les oreilles dressées sont rabattues autour de l'isolement du conducteur 44 sensiblement ainsi qu'il a été dit à propos du mode d'exécution précédemment décrit. 



   La position oblique des dents 36 et 38 procure à celles-ci le maximum de facilité pour pénétrer et, du fait que l'effort de tension qui s'exerce sur le raccord en place est parallèle à l'axe longitudinal de ce dernier et, par conséquent, oblique par rapport aux arêtes des dents, celles-ci assurent une grande résistance à l'arrachement. Dans le cas de cet exemple, le raccord 34 est dépourvu d'un raccord secondaire et peut servir comme cosse, tout comme tous deux peuvent être venus de fabrication ou solidarisés aprèscoup. 



   Bien entendu, les dents disposées obliquement peuvent être placées dans d'autres positions; par exemple, comme le montrent les figs. 14 et 15, deux dents 42 et 44 sont placées relativement à l'axe longitudinal d'une partie 46 formant la virole suivant le même angle que les dents 36 et 38, mais les pointes des dents 42 et 44 se trouvent sensiblement sur l'axe longitudinal du raccord, de sorte que ces dents se trouveront alignées dans la direction de la couche extérieure de brins métalliques 48 (voir la fig. 15) d'un conducteur de pas normal mais, lors de leur mise en place, pénètreront entre des brins différents de ce conducteur. A part cela, le raccord représenté aux figs. 14 et 15 est le même que celui qu'on voit à la fig. 11. 



   Les dents façonnées d'après la présente invention ont une plus grande force de pénétration, qu'on les emploie sur du fil isolé ou du fil dénudé. La fig. 15 montre le raccord 46 dans son application directe aux brins 48 d'un conducteur 52 qu'on a préalablement dénudé au voisinage de son extrémité. Le raccord relie ainsi solidement les brins 48 et établit entre eux une liaison électrique sure. 



   Bien que les raccords du genre décrit soient avant tout destinés à servir sans dénudation préalable du conducteur, il peut arriver, par   exem-   ple dans le cas d'un conducteur en aluminium., qu'il soit désirable d'utiliser des raccords de ce genre pour établir une liaison à la fois mécanique et électrique avec du fil nu. 



   Les exemples précédents sont donnés pour illustrer la présente invention et montrer comment on peut l'appliquer, mais il va sans dire qu'elle ne se limite pas aux formes d'exécution représentées et qu'il en est bien d'autres qui ne sortent pas de son cadre.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS.
    1. Dans une cosse de connexion., une partie pour former la virole, faite d'un métal malléable, comportant une partie formant base et une dent venue de fabrication avec celle-ci, ladite base présentant, au voisinage de la dent, une ouverture de laquelle a été. chassé le métal constituant ladite dent, la pointe de ladite dent étant située immédiatement au-dessus de la base attenante de ladite dent au-delà de ladite ouverture.
    2. Une cosse de connexion comprenant une partie pour former la virole et de multiples dents perce-guipage venues de fabrication avec celle-ci et dirigées vers son intérieur, ladite partie formant virole présentant une ouverture au voisinage de chaque dent, de laquelle le métal formant la dent considérée à été chassé par coudage, la pointe de chaque dent étant disposée directement au-dessus d'une partie de ladite virole au-delà de l'extrémité de son ouverture adjacente, ces dents étant décalées transversalement l'une par rapport à l'autre relativement à l'axe longitudinal de ladite partie formant virole.
    3. Dans une cosse de connexion du type comportant une partie en gouttière destinée à former la virole et à recevoir un conducteur isolé, dans laquelle, à l'assemblage, le conducteur est pressé vers le bas entre les parois de la partie formant la virole, une dent perce-guipage, venue de fabrication avec ladite partie formant virole et dirigée vers l'intérieur, ladite partie formant la virole présentant une ouverture résultant du poinçonnage du métal formant la dent,celle-ci étant placée et façonnée de manière qu'au montage une droite tracée par le sommet de ladite dent parallèlement à la direction de déplacement dudit conducteur passe par un point de ladite partie formant la virole situé de l'autre côté de ladite ouverture par rapport à la dent.
    4. Dans une cosse de connexion du type comportant une partie destinée à former la virole, faite d'un métal malléable et susceptible de recevoir et emprisonner un conducteur isolé, ladite partie étant conçue pour être montée sur ledit conducteur par un mouvement relatif entre lui et ladite partie formant la virole, le perfectionnement qui comprend une dent perce-guipage venue de fabrication avec ladite partie formant la virole et dirigée vers l'intérieur de celle-ci, ladite dent ayant été produite au moins en partie par repoussage vers l'intérieur du métal découpé en "V" dans ladite partie,
    ladite dent étant façonnée et placée de façon telle qu'uneligne droite tracée par le sommet de la dent parallèlement à la direction dudit mouvement relatif passe par un point as ladite partie formant la virole situé au-delà de la zone définie par l'entaille en "v", et cela, dans la direction de la onction entre ladite dent et ladite partie de laquelle elle est issue.
    5. Une cosse de connexion suivant la revendication 4 dans laquelle ladite dent est placée de façon telle que la direction de sa plus grande dimension soit oblique par rapport à l'axe longitudinal de ladite partie formant la virole.
    6. Une cosse de connexion suivant la revendication 4 comprenant une seconde dent sensiblement identique à ladite dent perce-guipage, les directions des plus grandes dimensions de ces dents étant parallèles et obliques par rapport à l'axe longitudinal de ladite partie formant la virole.
    7. Une cosse de connexion suivant la revendication 6 dans laquelle les plus grandes dimensions desdites dents sont dans un même plan.
    8. Dans une cosse de connexion, une partie en métal malléable destinée à former la virole et une base solidaire de ladite partie, dans laquelle estpoinçonnée et relevée une dent façonnée de manière que sa pointe soit dirigée suivant une première ligne droite formant un angle aigu avec une seconde ligne droite passant par ladite pointe perpendiculairement au plan de tangence à la face extérieure de ladite base au joint entre ladite base et ladite <Desc/Clms Page number 7> dent, l'intersection de ces deux droites se trouvant du côté opposé de la mé- diane transversale de cette base partant de ladite pointe.
    9. Dans la fabrication d'une cosse de connexion comportant une par- tie en métal malléable destinée à former la virole, le procédé pour former une dent perce-guipage qui consiste à pratiquer dans ladite partie formant vi- role une entaille en "v", à couder le métal défini par l'entaille pour le dé- gager de ladite partie et former une dent, à refouler le métal de la dent par l'application sur la face de celle-ci d'une force suffisante pour porter au moins une partie appréciable de la base de la dent hors de la zone définie par l'entaille.
    10. Dans une cosse de connexion,une partie destinée à former la vi- role et une partie solidaire de la précédente et présentant deux dents perce- guipage acérées venues de poinçonnage et relevées, les pointes de ces dents étant dirigées suivant des lignes formant de part et d'autre de l'axe transver- sal de symétrie de ladite partie formant la virole des angles aigus avec lui.
    11. Une cosse de connexion comprenant une partie destinée à former la virole et une première et une seconde dents venues de fabrication avec elle et dirigées vers son intérieur, cette partie présentant une ouverture au voi- sinage de chaque dent, de laquelle le métal formant les dents a été coudé vers le haut, la pointe de chaque dent étant située directement au-dessus de la ba- se raccordée de la dent considérée et au-delà de l'extrémité de l'ouverture voisine, lesdites pointes étant décalées transversalement de part et d'autre de l'axe longitudinal de ladite partie formant virole.
    12. Une cosse de connexion perce-guipage sans soudure comprenant une partie destinée à former la virole et à recevoir le conducteur et présentant des oreilles placées face à face et une base, et deux dents perce-guipage rebroussées vers l'intérieur à partir de ladite base entre les oreilles, ces dents étant échelonnées le long de la virole et façonnées de manière que des droites tangentes aux faces des dents respectives soient déportées d'angles légèrement supérieures à 90 tandis que les points de tangence de ces lignes traversent respectivement lesdites dents de leur jonction avec ladite base jusqu'à leurs pointes respectives.
    13. Dans une cosse de connexion, une partie formant la virole, faite d'un métal malléable, présentant une entaille en "v" et une dent perceguipage en saillie sur la surface intérieure de ladite partie et constituée par le métal dégagé de ladite entaille, ladite dent présentant une face antérieure, une face postérieure et des tranches qui se terminent sensiblement au ras de la surface intérieure de ladite partie formant la virole.
    14. Une cosse de connexion sans soudure comprenant une partie formant virole faite d'un métal malléable, présentant une base et des oreil- les dirigées vers le haut et au moins deux dents acérées dirigées vers le haut à partir de la base, les plus grandes dimensions de ces dents étant dirigées parallèlement et formant un angle aigu avec l'axe longitudinal de la partie formant virole.
    15. Une cosse de connexion suivant la revendication 14 dans laquelle la pointe de chaque dent est située dans le plan longitudinal médian de ladite partie formant virole.
    16. Une cosse de connexion suivant la revendication 14 dans laquelle les plus grandes dimensions desdites dents se trouvent dans un même plan.
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