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JOINT D'ETANCHEITE.
La présente invention est relative à un joint étanche pour pièces tournantes et essentiellement pour éviter les infiltrations le long d'un axe.
D'une manière générale, l'on a déjà fait usage de joints en caoutchouc pour assurer l'étanchéité autour d'un axe, notamment par exemple des axes qui commandent les batteurs, hélices et autres dans les cuves des machines à laver.
L'étanchéité est obtenue par une bague encastrée dans un logement prévu dans le fond de la cuve et pressant contre l'axe.
La pratique montre que le caoutchouc est beaucoup plus résistant que l'acier de l'axe (même dans le cas d'aciers spéciaux), et il s'ensuit une usure très rapide de l'axe, provoquant une perte d'étanchéité et donc un passage de liquide.
La présente invention a pour but d'obvier à ces inconvénients et réside essentiellement en ce que le joint d'étanchéité est constitué de deux bagues, l'une rendue solidaire de l'élément fixe dans lequel se meut la pièce tournante, tel un arbre, l'autre bague enserrant l'arbre d'une manière étanche, les deux bagues étant maintenues en contact l'unie de l'autre, sous la pression désirée, par un ressort.
Au dessin annexé est représenté, à titre d'exemple, un mode de réalisation de la présente invention.
Suivant la forme de réalisation représentée au dessin, l'arbre 1 est maintenu, ainsi qu'il est connu, dans la cage à roulement 2 sur laquelle vient se glisser le fourreau 3.
Le fourreau 3 est pourvu d'une collerette 4 destinée à assurer la fixation de l'ensemble sur la face inférieure du fond de la cuve (non représentée) .
L'arbre 1 fait saillie du fourreau pour présenter son extrémité
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filetée 1' dans la cuve.
Sur l'arbre 1 est glissé à frottement un anneau 5, de préférence en caoutchouc., et maintenu écarté de la cage à roulement par des ergots 6.
Une bague 7 est chassée de force dans un évidement 8 du fourreau 3, de sorte à assurer l'étanchéité entre la bague et le fourreau, mais non entre la dite bague et l'arbre 1, c'est-à-dire que la lèvre 9 de la bague 7 n'est pas en contact sous pression avec l'arbre, évitant ainsi toute détérioration de l'arbre 1.
La bague 7 présente à sa partie inférieure une surface de contact 10 contre laquelle vient prendre appui, sous l'effet d'un ressort 11, une surface de contact 12 d'une bague d'étanchéité 13.
La bague d'étanchéité 13 est glissée à frottement dur sur l'arbre 1, c'est-à-dire qu'elle assure l'étanchéité entre l'arbre et la dite bague.
Un ressort de serrage 14 peut être prévu pour assurer le maintien avec serrage de la bague 13 sur l'arbre 1.
Suivant l'invention, toute usure de l'arbre est rendue impossible du fait que l'étanchéité est assurée par le contact des bagues 7 et 13 et le frottement se produisant uniquement entre les surfaces de contact 10 et 12. De plus, si une légère usure se produit, elle est automatiquement rattrapée par l'effet du ressort 11.
L'invention a été décrite et illustrée à titre purement indicatif et nullement limitatif, et il va de soi que de nombreuses modifications peuvent être apportées à ses détails sans s'écarter de son esprit.
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SEAL.
The present invention relates to a tight seal for rotating parts and essentially for preventing infiltration along an axis.
In general, use has already been made of rubber gaskets for sealing around an axis, in particular for example axes which control the beaters, propellers and the like in the tanks of washing machines.
The seal is obtained by a ring embedded in a housing provided in the bottom of the tank and pressing against the axis.
Practice shows that rubber is much stronger than axle steel (even in the case of special steels), and this results in very rapid wear of the axle, causing loss of tightness and therefore a passage of liquid.
The object of the present invention is to obviate these drawbacks and resides essentially in that the seal consists of two rings, one made integral with the fixed element in which the rotating part moves, such as a shaft. , the other ring enclosing the shaft in a sealed manner, the two rings being kept in contact with one another, under the desired pressure, by a spring.
In the accompanying drawing is shown, by way of example, an embodiment of the present invention.
According to the embodiment shown in the drawing, the shaft 1 is held, as is known, in the rolling cage 2 on which the sleeve 3 slides.
The sleeve 3 is provided with a collar 4 intended to secure the assembly on the underside of the bottom of the tank (not shown).
The shaft 1 protrudes from the sleeve to present its end
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thread 1 'in the tank.
A ring 5, preferably made of rubber, is frictionally slid on the shaft 1, and kept apart from the rolling cage by lugs 6.
A ring 7 is forcibly driven into a recess 8 of the sleeve 3, so as to ensure the seal between the ring and the sleeve, but not between said ring and the shaft 1, that is to say that the lip 9 of ring 7 is not in contact under pressure with the shaft, thus preventing any damage to shaft 1.
The ring 7 has at its lower part a contact surface 10 against which bears, under the effect of a spring 11, a contact surface 12 of a sealing ring 13.
The sealing ring 13 is slid with hard friction on the shaft 1, that is to say it ensures the seal between the shaft and said ring.
A clamping spring 14 may be provided to ensure the clamping maintenance of the ring 13 on the shaft 1.
According to the invention, any wear of the shaft is made impossible due to the fact that the seal is ensured by the contact of the rings 7 and 13 and the friction occurring only between the contact surfaces 10 and 12. Moreover, if a slight wear occurs, it is automatically taken up by the effect of the spring 11.
The invention has been described and illustrated purely as an indication and in no way limiting, and it goes without saying that numerous modifications can be made to its details without departing from its spirit.