BE514866A - - Google Patents

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BE514866A
BE514866A BE514866DA BE514866A BE 514866 A BE514866 A BE 514866A BE 514866D A BE514866D A BE 514866DA BE 514866 A BE514866 A BE 514866A
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BE
Belgium
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Publication of BE514866A publication Critical patent/BE514866A/fr

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    • AHUMAN NECESSITIES
    • A44HABERDASHERY; JEWELLERY
    • A44BBUTTONS, PINS, BUCKLES, SLIDE FASTENERS, OR THE LIKE
    • A44B19/00Slide fasteners
    • A44B19/24Details
    • A44B19/26Sliders
    • A44B19/30Sliders with means for locking in position
    • A44B19/306Sliders with means for locking in position in the form of a locking spring member actuated by the pull member

Landscapes

  • Buckles (AREA)

Description

       

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  CURSEUR DE BLOCAGE POUR FERMETURE A TIRETTE. 



   L'invention est relative à des perfectionnements   à-des   eur- seurs pour fermetures à tirette. Elle se rapporte particulièrement à un cur- seur de blocage automatique dans lequel un ressort-de blocage disposé entre une joue supérieure et une anse à poignée porte une goupille de blocage qui s'introduit sous la tension d'un ressort dans l'espace intermédiaire entre deux éléments de la même   chaine   de fermeture à tirette. Cette goupille de blocage bloque par conséquent le curseur en un point désiré quelconque, mais peut être relevé de la position de blocage en   actionnant   la poignée, et, dans ce cas, les pivots d'articulation de la poignée servent généralement de moyen pour soulever la goupille de blocage de la voie des éléments. 



   Un curseur particulièrement efficace, fonctionnant de cette manière, est décrit dans le brevet américain n  2.569.298 du   25   septembre 1951. Ses développements ultérieurs ont montré que ce curseur fonctionnant bien en lui-même est encore susceptible de recevoir des perfectionnements. 



  Tout d'abord, le ressort qui y est représenté ne peut être utilisé que pour un curseur dans lequel l'anse de la poignée est rivée, et ne convient par conséquent pas pour un genre de curseur élargi dans lequel l'encolure du curseur est renfoncée en guise de renforcement et dans lequel la pièce renfoncée, ayant environ la forme d'un U ou d'un V, forme en même temps le coeur du curseur. 



   En outre, la joue supérieure porte dans l'ancien brevet amé- ricain une surface de levée qui nécessite une manoeuvre particulière. 



   La présente invention a pour but en général un perfectionne- ment des curseurs de blocage antérieurs de ce genre, pour faciliter la fa- brication de ces curseurs et utiliser un ressort de blocage pouvant être aisément monté dans tout genre de curseur, en particulier également dans ceux à encolure renfoncée. On aboutit à ce résultat, conformément à l'in-   vention,   du fait que le ressort est introduit par en-dessous à travers une ouverture correspondante de la joue supérieure dans l'espace existant entre 

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 celle-ci et l'anse de la poignée, pendant la fabrication du curseur et avant que les moitiés du curseur ne soient repliées en positions parallèles, et il est serti à cet endroit dans des évidements disposés sur la face intérieu- re de la joue et attenant à cette ouverture. 



   En outre, l'invention a pour but de fixer de fagon assurée le ressort dans le sens trausversal,   c'est-à-dire   d'empêcher un mouvement laté- ral du ressort. Ceci peut s'effectuer directement ou indirectement du fait par exemple qu'une nervure partant de l'anse de la poignée ou bien s'intro- duit dans une fente du ressort ouvert en forme de fourche ou coopère avec les pivots d'articulation de la poignée. 



   Ensuite, l'invention prévoit de construire-la surface de levée proposée dans le brevet antérieur, de manière qu'aucune manoeuvre particuliè- re ne   so.t   nécessaire, notamment du fait qu'elle est constituée par une par- tie du ressort lui-même. Dans ce cas, on donne à cette partie des dimensions telles qu'elle présente une certaine tension de ressort, de manière que le ressort devienne plus rigide et plus facile à manier. 



   Une autre caractéristique de l'invention concerne la construc- tion des pivots   d'articulation   de la poignée, permettant de relever la gou- pille de blocage en deux étages à partir de la position de blocage en manoeu- vrant la poignée. Quand en effet, cette manoeuvre s'effectue en un seul mou- vement rapide, il peut arriver que la pression du ressort de blocage contre un élément de fermeture à tirette devienne suffisamment forte pour que la goupille de blocage s'accroche. En outre, la nouvelle   construction   facilite le retour de la poignée quand elle est libérée, et par conséquent un retour rapide et sûr du goujon de blocage dans la position de blocage. 



   Une autre caractéristique de l'invention est relative au dan- ger qu'une traction intense sur la poignée ne nuise à l'élasticité du ressort. 



  Ceci est particulièrement important parce que, même une déformation minime, permanente du ressort peut avoir une influence notable sur son fonctionne- ment. En outre, le danger existe que, lors du mouvement de la poignée dans le sens de là fermeture, les pivots d'articulation ne restent accrochés dans l'espace existant entre la branche du ressort et l'anse de la poignée et ne puissent plus être libérés que difficilement ou ne peuvent même plus l'être du tout pour une nouvelle manoeuvre du curseur. 



   Une difficulté analogue existe à l'extrémité opposée de l'anse de la poignée dans laquelle pénètrent les pivots d'articulation lors de la manoeuvre de la poignée dans le sens de l'ouverture. Ceci peut aboutir à ce que la goupille de blocage ne revienne pas à la position de blocage et ne joue par conséquent pas son rôle. Suivant l'invention, on évite cet inconvé- nient en prévoyant des moyens qui empêchent un accrochage des pivots d'arti- culation de la poignée dans les deux positions extrêmes et qui guident les pivots d'articulation suivant une ligne droite parallèle à la, joue supérieure du verrou, de manière qu'ils ne puissent en aucune position être suffisamment soulevés pour agir sur le ressort dans une mesure inadmissible. On aboutit à ce résultat, conformément à l'invention, par un mode de construction spé- cial de l'anse de la poignée.

   La forme particulière déjà mentionnée des pi- vots d'articulation eux-mêmes contribue également notablement à ce qu'ils ne puissent pas rester accrochés- dans l'espace étroit entre les deux. bras. du ressort. 



   Un autre objet de l'invention consiste à donner au ressort une forme qui s'adapte à la nouvelle construction de l'anse de la poignée. En outre, l'invention a pour but une construction du ressort qui lui donne une plus grande raideur dans le sens- de sa longueur, sans nuire à sa   flexibili-   té dans le sens transversal. 



   Sur les   dessins : '   
La figure 1 est une vue en plan du curseur de blocage confor- me à l'invention. 

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   La figure 2 est une coupe longitudinale suivant la ligne   2-2   de la fig. 1 avec la goupille en position de blocage. 



   La fig. 3 est une coupe suivant la ligne 3-3 de la figure 1. 



   La figure 4 est une coupe suivant la ligne 4-4 de la figure 3. 



   La figure 5 est une coupe analogue à celle de la figure 2, mais sur laquelle la goupille de blocage est relevée d'un étage. - 
La figure 6 est la même coupe avec la goupille de blocage en position entièrement relevée. 



   La figure 7 est une vue en perspective du ressort de blocage utilisé dans les figures 1 à 6. 



   Les figures 8, 9, 10, 12, 14, 19 et 20 sont des vues en pers- pective de ressorts de blocage   modifiés.   



   Les figures 11 et 13 sont des vues de profil des ressorts re- présentés sur les figures 12 et 14 en position de blocage et en position li- bérée. 



   Les figures 15 et 17 sont des coupes longitudinales utilisant le ressort représenté sur la fig. 19, la figure 15 en position de blocage, la figure 17 en position libérée. 



   La figure 16 est une coupe suivant la ligne 16-16 de la figure 15. 



   La figure 18 est une coupe suivant la ligne 18-18 de la figure 15. 



   La figure   21   est une vue de profil d'un autre curseur conforme à l'invention, dans lequel la poignée, pour une raison de clarté, est légè- rement soulevée. 



   La figure   22   est une coupe transversale suivant la ligne 22- 22 de la fig. 21 et en même temps une vue en plan de la face inférieure .de la joue supérieure du curseur. 



   La figure 23 est une coupe longitudinale à travers le curseur de la fig. 21, tournée de   1800.   



   La figure 24 est une coupe suivant la ligne   24-24   de la figure   23.   



   La figure.25 est une vue en perspective du ressort de blocage utilisé dans les figures précédentes. 



   La figure 26 est une coupe analogue à celle de la figure 23 dans laquelle on représente les pivots d'articulation dans la position cor- respondant à une traction exercée vers le bas sur la poignée. 



   La figure 27 est une coupe analogue, dans laquelle la position des pivots d'articulation est représentée lorsque la poignée est libérée après une traction vers le bas. 



   Les figures 28, 30 et 32 sont des coupes longitudinales, ana- logues à la fig. 23, mais représentent des formes modifiées de ressorts de blocage. 



   Les figures 29, 31 et 33 sont des dessins en perspective des ressorts de blocage utilisés dans les figures 28, 30 et 32. 



   Sur les figures 1 à   7,   10 et 11 représentent la joue supérieure et la joue inférieure d'un curseur, munies des brides latérales usuelles 12, 13. Les deux joues du curseur sont raccordées par une encolure 14 qui, comme le montrent les figures 1 et   4,   est munie, dans un but de renforcement, d'u- ne échancrure profonde 15 qui sert en même temps de coeur du curseur pour sé- parer les éléments lors du mouvement d'ouverture du.curseur. Une anse 16 de poignée est repliée à partir de la joue supérieure, en laissant une ouvertu- re 17, élargie en 17a. Sur les côtés longitudinaux de l'ouverture 17, la joue ' 

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 10 est munie d'évidements 18, 19 dont le but doit encore être expliqué. Dans l'anse 16 est fixée une poignée 20 mobile par l'intermédiaire de'$ picots d'articulation 21, 2la. 



   Dans l'espace compris entre la joue supérieure 10 et l'anse 16 se trouve un ressort de blocage désigné de façon générale par 22, dont la goupille de blocage ou cliquet 23 pénètre dans la partie élargie 17a de l'ouverture 17 en position de repos dans l'espace intermédiaire entre deux éléments,et bloque ainsi le curseur quand on ne manoeuvre pas la poignée. 



  Le ressort de blocage utilisé dans le curseur des fig. 1 à 6 est représente en perspective sur la fig. 7. Il a essentiellement la forme d'un U dont une branche forme la base 24 et présente les parties latérales élargies   25,   26 qui correspondent aux évidements 18, 19 sur les arêtes latérales de l'ouver- turè 17. L'extrémité libre de la base 24 est repliée environ à angle droit vers le haut et forme ainsi une branche 27 disposée à peu près perpendicu- lairement à la base 24. Elle est ensuite de nouveau recourbée en arrière d'un angle de 35-45  et forme ainsi une saillie 29 servant de surface de - levée. L'arête entre les pièces   27   et 29 sert de support à l'autre branche 28 de l'U qui s'appuie sur cette arête sous une tension préalable déterminée. 



  Cette branche, qui agit comme un ressort à lame, est ensuite   recourbée vers   le bas derrière la partie de branche verticale 27, de manière à lui etre à peu près parallèle, et se termine par la goupille de blocage 23. De   préfé-'   rence, la largeur de la goupille de blocage est réduite en 30, pour lui per- mettre de pénétrer dans l'espace intermédiaire entre deux éléments de la même chaîne. La goupille de blocage 23 est renforcée en repliant une de ses arêtes latérales vers l'intérieur (fig. 7) ou vers l'extérieur (fig.   8,   9, 12 et 14). La fig. 10 représente une forme spéciale de renforcement, dans laquelle la goupille de blocage est repliée sur toute sa longueur, pour   abou-   tir à un renforcement particulièrement efficace du cliquet de blocage. 



   Par suite de la forme représentée et de la tension préalable donnée à la branche de ressort 28, celui-ci forme une unité fermée sur elle- même, pouvant être aisément manipulée et montée, et qui est à la fois forte et sûre. 



   Suivant une autre caractéristique de l'invention, on monte ce ressort dans la joue supérieure, avant de replier le curseur lors de sa fa- brication,de manière que les surfaces intérieures des joues du curseur soient accessibles sans plus. Dans ce but, la surface inférieure de la joue supérieure 10 est munie sur les arêtes longitudinales 18, 19 de l'ouverture 17, d'évidements 31, 31a. La base 24 du ressort de blocage a des dimensions telles que les parties élargies 25, 26 s'adaptent dans les évidements 31, 31a dans lesquels elles sont assujetties de façon appropriée, par exemple du fait qu'aux points 32,33 (fig. 4), de la matière du curseur est estampée par-des- sus.

   Quand le ressort est ainsi ancré, les joues du curseur sont repliées parallèlement, sans déranger de façon quelconque le ressort monté; de cette manière, la fabrication du curseur est notablement facilitée. 



   Différentes autres formes de ressort sont possibles. Dans la forme modifiée représentée sur la fig. 9, la pièce 29a en saillie est prépa- rée non par pliage mais par   estampage.   Dans les formes des figures 11 et 12, la saillie est entièrement supprimée et est remplacée du fait que la branche 28a est repliée obliquement vers le bas sur une partie 37 à partir d'un   peint   36. La base 24 peut être construite particulièrement longue et les longuemrs excédentes sont repliées en guise de renforcement. La partie supérieure re- pliée 38 augmente notablement la durée de vie du ressort et rend en même temps le ressort plus flexible. Sur les figures 13 et 14, cette pièce 38 est repliée sur   elle-même   en 38a et guidée obliquement vers le haut pour former une surface de levée   29b.   



   Le fonctionnement du curseur se.comprend sans plus. En position de repos, le ressort   22 ,de     blocage.et   la poignée 20 occupent les positions représentées sur la fig.2. Quand on manoeuvre la poignée, pour déplacer le curseur vers la position,  ..ouverte,   lespivots d'articulation se déplacent sui- vant les surfaces de levée 29.   (pu   29a ou   39).-   et lèvent la branche de ressort 

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28, jusqu'à ce qu'elle bute sur la face supérieure inférieure de l'anse 16, en soulevant le cliquet 23 de sa position   -de   blocage.

   Un effet analogue   s'ob-   tient dans les ressorts de blocage des figures 11 et 12, suivant lequel la pièce 37 inclinée obliquement sert de surface de levée pour retirer le cli- quet de sa position de blocage quand on actionne le pivot d'articulation 
21. 



   Le fonctionnement du curseur peut encore être amélioré par une nouvelle construction du pivot à articulation. Dans des curseurs connus, le mouvement du cliquet à partir de sa position de blocage s'effectue d'un coup. Quand ce mouvement s'effectue brusquement, il peut arriver que la goupille de blocage exerce une pression contre l'élément qu'elle bloque' et ainsi s'accroche. Pour exclure cette possibilité, on peut donner au pivot d'articulation une section ovale au lieu de la section circulaire ordinai- re (voir en particulier les figures 2,5 et 6).

   Quand on lève la poignée 20, et encore avant d'exercer sur elle une traction, le pivot   d'articulation   soulève aisément la branche de ressort 28 par suite de sa section ovale, ce qui ne suffit pas à libérer le goujon de blocage   23.   Quand alors on exerce une traction sur la poignée, le pivot d'articulation monte le long de la surface de levée 29, comme on le montre sur la figure 6, et effectue ainsi la libération complète de la goupille de blocage 23. En outre, la forme o- vale est encore avantageuse parce qu'elle facilite le mouvement de retour de la poignée dans sa position de repos. On reviendra encore sur d'autres effets avantageux de la forme ovale des pivots d'articulation à d'autres points de vue'. 



   Suivant une autre caractéristique de l'invention, on empêche un déplacement latéral du ressort de blocage au moyen d'une nervure 34 par- tant de la surface intérieure de l'anse 16. Comme on le montre sur la figure 3, la nervure est décalée par rapport à la ligne médiane de l'anse de la poi- gnée, pour créer un espace suffisant pour le ressort 22 de blocage. La ner- vure se dispose dans un espace compris entre les pivots d'articulation 21, 2la dont le pivot 21 a la plus grande longueur. Du fait qu'elle sert de gui- dage à la poignée, la nervure 34 empêche indirectement un déplacement laté- ral du ressort de blocage. 



   Les fig. 15 à 19 représentent un ressort de blocage qui diffère de ceux décrits jusqu'à présent dans ses détails et dans sa disposition. Le ressort représenté sur la fig. 19 a l'extrémité libre de sa base 24 élargie en 40. Cette partie élargie est introduite dans un évidement 41 de la joue supérieure voisin de son encolure. Le ressort est de nouveau assujetti dans cette position par de la matière estampée par dessus en 42. L'autre extrémi- té de la base 24 est recourbée vers le haut et forme ainsi une partie ver- ticale 43 qui traverse l'ouverture 17 de la joue supérieure 10 et pénètre dans l'espace entre cette dernière et l'anse 16. De là, la branche 44 s'é- tend obliquement vers le haut et repose au-dessus des pivots d'articulation 21 comme le montre la fig, 15. Deux becs de blocage 45,46 sont prévus au voisinage de l'extrémité de la base 24.

   Il est visible que ces becs de blo- cage 45, 46 sont soulevés hors de portée des éléments, quand on actionne la poignée 20, de manière que le pivot d'articulation 21 pénètre dans l'es- pace plus étroit compris entre la base 24 et la branche 44. Pour empêcher que le pivot 21 ne pénètre dans l'espace situé entre la branche 44 et la surface intérieure de l'anse 16, celle-ci est munie d'une surépaisseur 48 qui rend la chose impossible. 



   Au lieu de donner à la partie élargie 40 une forme telle qu'el- le se trouve dans le plan de la base, 24, comme sur la fig. 19, elle. peut également être repliée de manière à se trouver en-dessous de ce plan (fig. 



  10). De cette façon, on gagne plus d'espace entre le coeur du curseur et l'extrémité ancrée du ressort, sans allonger le ressort lui-même. 



   Pour empêcher le déplacement latéral du ressort, l'anse est munie d'une nervure   49,   et la branche 44 est fourchue, de manière à possé- der une fente 44a. Comme on le montre particulièrement dans les figures 15 et 18, la nervure 49 disposée sur la ligne longitudinale médiane de l'anse 

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 16 pénètre dans la fente 44a et rend ainsi impossible tout déplacement . latéral ou angulaire du ressort. On remarquera en 'outre que la nervure 49 assure le mouvement dans le plan correct de l'extrémité du ressort portant la   goupille   de blocage 45, 46 et présente ainsi un dispositif de fixation de l'extrémité libre et non assujettie du ressort. 



   Le curseur représenté sur les fig. 21 à   27   comprend une joue supérieure 50, une joue inférieure 51, munies toutes deux de brides laté- rales 52,53, une encolure 54 portant une échancrure 55 en forme d'U, une poignée 56 dans l'anse 57 provenant de la joue supérieure, de manière à former une ouverture 58 portant une partie élargie 58a destinée à recevoir un ressort de blocage 59. Le ressort 59 est également introduit dans la joue supérieure 50 par   en-dessous,   et est assujetti par les prolongements latéraux 60, 61 disposés en-dessous de la branche- inférieure 62 du ressort, dans des évidements 63, 64 de la joue supérieure. La branche 62 du ressort agit par conséquent comme ressort à lame et est disposée essentiellement dans le plan de la joue supérieure 50. 



   Comme on le voit le mieux sur les figures 22 et 25, l'extré- mité libre de la branche de ressort 62 à 65 est élargie, et est repliée sur elle-même vers le haut dans cette partie élargie de manière à former une branche 66 montant obliquement, qui pénètre dans l'espace compris en- tre la joue supérieure 50 et l'anse de la poignée 57. Cette branche 66 a sa largeur fortement réduite et est décalée par rapport à la ligne médiane longitudinale de la base et par conséquent par rapport à la ligne médiane longitudinale   du- curseur.   La branche 62 porte une goupille de blocage 67 qui -comme d'ordinaire- pénètre dans l'espace intermédiaire entre deux élé- ments, dans la position de repos. 



   La poignée 66 est articulée au corps du curseur au moyen de pivots d'articulation   69,70   qui pénètrent dans l'anse 57 en sens opposés. 



  La poignée est également mobile sur le curseur dans une mesure limitée dans le sens longitudinal. On voit d'après la fig. 24 que la branche 66 du res- sort de blocage 59 repose au-dessus d'un des pivots d'articulation de la poignée, ici le pivot 69, de manière que, quand on exerce une traction sur la poignée 56 dans le sens de l'ouverture, la branche 66 du ressort est soulevée par le pivot 69 et ainsi la goupille 67 de blocage est libérée de sa position de blocage. 



   Comme on l'a déjà dit, il est désirable que le pivot d'arti- culation de la poignée ait un mouvement longitudinal limité suivant une ligne essentiellement droite dont le tracé est parallèle à la joue supé- rieure du curseur, de manière que les pivots 69, 70 ne puissent jamais s'é- carter suffisamment de la surface supérieure du curseur pour exercer un ef- fort notable sur le ressort 59. Pour aboutir à ce but, l'espace entre la joue supérieure et l'anse de la poignée est subdivisé en deux chambres sui- vant sa longueur et cela 'au moyen d'une nervure 72 partant de la face inté- rieure de l'anse 57. Une de ces chambres, celle située à gauche de la   ner-   vure 72 sur la fig. 24, a une profondeur normale, et peut ainsi recevoir la branche 66 du ressort de blocage et le pivot 69 qui se trouve en-dessous. 



  L'autre chambre, c'est-à-dire celle située à droite de la nervure 72 a, en revanche, une profondeur réduite, et n'est que légèrement plus haute que là plus grand diamètre du pivot   70.   Alors donc que la poignée 56 peut être le- vée et abaissée à volonté, le pivot 70 et par conséquent également le pivot 69 sont empêchés de s'écarter de fagon notable de la joue supérieure 50. On aboutit à ce but en donnant à l'anse de la poignée une épaisseur plus grande à droite de la nervure 72 de manière que la surface intérieure de l'anse y forme un toit 73 disposé parallèlement à la joue supérieure 50 et écarté de la surface extérieure de la joue supérieure à une distance correspondant en- viron au plus grand diamètre du pivot   70.

   Alors   donc que le pivot 70 peut se mouvoir librement dans le sens longitudinal dans la chambre de droite, son mouvement vers le haut est arrêté par le toit   73.   



   La chambre dont la profondeur est plus petite joue encore un autre rôle. Elle empêche en effet les pivots d'articulation 69,70 de pénétrer, 

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 par suite de leurs dimensions minimesdans l'espace compris entre l'extré- mité de la branche 66 et l'anse de la poignée, et de s'y accrocher. 



   Pour empêcher que les pivots d'articulation ne s'accrochent dans l'espace angulaire existant entre les branches 72 et 66 du ressort, on utilise de nouveau deux pivots 69 et 70 à section ovale, dans lesquels le grand axe se trouve dans le plan de la poignée, comme on le voit le mieux sur les figures 26 et 27. Quand, par conséquent, on exerce sur la poignée une traction vers le bas, pour déplacer le curseur dans le sens de l'ouverture, le pivot 69 se meut dans l'espace angulaire compris entre les branches du ressort de blocage et provoque un soulèvement de la goupille de blocage de la façon habituelle. Par suite de sa section ovale, le pivot 69 ne peut pas s'accrocher et rester figé dans cet espace, comme on le re- connait en examinant la fig. 26.

   Quand donc on interrompt la traction vers le bas, le pivot retourne à sa position normale (fig. 27) sous l'action de la branche 62 du ressort. Cet effet est facilité du fait que l'axe du pivot 69 est disposé quelque peu plus bas que celui du pivot 70, de sorte que, quand on exerce une traction sur la poignée, celle-ci se soulève légèrement à distance de la joue supérieure avec le résultat que le pivot 69 ne touche pas la joue supérieure. 



   La raison pour laquelle la branche 66 du ressort de blocage 59 est décalée d'un côté par rapport à la ligne médiane longitudinale du verrou est donc claire, puisque cette branche ne peut agir que dans la chambre de gauche (fig. 24). 



   Pour augmenter la flexibilité du ressort 59, en direction trans- versale et sa rigidité dans le sens longitudinal, on dispose en-dessous de la branche 22 du ressort les élargissements 60, 61 dans les évidements 63, 64 de la joue supérieure, comme on le montre sur la figure 25. Ce résultat est également atteint par la construction du ressort suivant les figures 28 à 33. Dans le ressort suivant la figure 29, utilisé dans le curseur re- présenté sur la figure 28, la branche 62a-présente une double pliure, qui la relie aux pièces transversales 60a, 61a. Dans le ressort suivant la fig. 



  31, utilisé dans le curseur suivant la fig. 30, la branche 62b est repliée autour des pièces 60b, 61b, qui s'étendent sur le côté. Finalement, la for- me suivant les figs. 33, 32 est également possible, dans laquelle la bran- che 62c est raccordée aux pièces 60c, 61c par un repli disposé verticalement, de manière que les pièces 60c, 61c se trouvent dans le plan de la branche 62c du ressort à lame. 



   REVENDICATIONS. 



   1.- Curseur de blocage-pour fermetures à tirette, muni d'un ressort qui pénètre entre les éléments, en position de repos, par une ou plusieurs goupilles de blocage,  caractérisé   en ce que,le ressort est con- struit essentiellement en forme d'U, dont une branche est fixée par en-des- sous dans la joue supérieure du curseur, alors que l'autre branche pénètre dans l'espace compris entre la joue supérieure et l'anse de la poignée, en traversant une ouverture de la joue supérieure, et permet un soulèvement de goupilles de leurs position de blocage en coopération avec les pivots d'ar- ticulation de la poignée.



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  LOCKING SLIDER FOR ZIPPER CLOSURE.



   The invention relates to improvements to drawers for zippers. It relates in particular to an automatic locking slider in which a locking spring disposed between an upper cheek and a handle handle carries a locking pin which is introduced under the tension of a spring in the intermediate space. between two elements of the same zipper chain. This locking pin therefore locks the slider at any desired point, but can be raised from the locked position by operating the handle, and in this case the hinge pins of the handle generally serve as a means to lift the handle. element track locking pin.



   A particularly efficient slider, operating in this way, is described in US Pat. No. 2,569,298 of September 25, 1951. Its subsequent developments have shown that this slider, working well in itself, is still open to improvement.



  First of all, the spring shown therein can only be used for a slider in which the handle shackle is riveted, and therefore not suitable for a kind of enlarged slider in which the slider neck is recessed by way of reinforcement and in which the recessed piece, having approximately the shape of a U or a V, at the same time forms the heart of the cursor.



   In addition, the upper cheek in the old US patent has a lifting surface which requires special handling.



   The object of the present invention is in general an improvement of previous locking sliders of this type, to facilitate the manufacture of these sliders and to use a locking spring which can be easily mounted in any type of slider, in particular also in those with a deep neckline. This result is achieved, in accordance with the invention, because the spring is introduced from below through a corresponding opening in the upper cheek into the space between

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 this and the handle shackle, during the manufacture of the slider and before the slider halves are folded into parallel positions, and it is crimped at this point in recesses arranged on the inner face of the cheek and adjoining this opening.



   In addition, the object of the invention is to securely fix the spring in the transverse direction, that is to say to prevent lateral movement of the spring. This can be done directly or indirectly because, for example, a rib extending from the shackle of the handle or else is introduced into a slot of the open fork-shaped spring or cooperates with the articulation pivots of the handle. the handle.



   Next, the invention provides for constructing the lifting surface proposed in the prior patent, so that no particular maneuver is necessary, in particular because it consists of part of the spring. -even. In this case, this part is given dimensions such that it has a certain spring tension, so that the spring becomes more rigid and easier to handle.



   Another feature of the invention relates to the construction of the hinge pins of the handle, enabling the locking pin to be raised in two stages from the locked position by operating the handle. When, in fact, this maneuver is effected in a single rapid movement, it may happen that the pressure of the locking spring against a pull-tab closure member becomes strong enough for the locking pin to catch. In addition, the new construction facilitates the return of the handle when it is released, and therefore a quick and safe return of the locking pin to the locking position.



   Another characteristic of the invention relates to the danger that intense traction on the handle will harm the elasticity of the spring.



  This is particularly important because even minimal, permanent deformation of the spring can have a noticeable influence on its operation. In addition, the danger exists that, during the movement of the handle in the direction of closure, the articulation pivots do not remain hooked in the space existing between the branch of the spring and the handle of the handle and can no longer can only be released with difficulty or even not at all for a new operation of the cursor.



   A similar difficulty exists at the opposite end of the handle of the handle into which the hinge pins enter when the handle is maneuvered in the opening direction. This may result in the locking pin not returning to the locking position and therefore not playing its role. According to the invention, this drawback is avoided by providing means which prevent the hinge pins of the handle from catching in the two extreme positions and which guide the hinge pins along a straight line parallel to the. upper cheek of the lock, so that they cannot in any position be sufficiently lifted to act on the spring to an inadmissible extent. This result is achieved, according to the invention, by a special method of construction of the handle handle.

   The already mentioned particular shape of the hinge pins themselves also contributes significantly to that they cannot get caught in the narrow space between the two. arms. spring.



   Another object of the invention is to give the spring a shape which adapts to the new construction of the handle shackle. Furthermore, the invention aims at a construction of the spring which gives it greater stiffness in the direction of its length, without adversely affecting its flexibility in the transverse direction.



   In the drawings: '
Figure 1 is a plan view of the locking slider according to the invention.

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   FIG. 2 is a longitudinal section taken along line 2-2 of FIG. 1 with the pin in the locked position.



   Fig. 3 is a section taken on line 3-3 of Figure 1.



   Figure 4 is a section taken on line 4-4 of Figure 3.



   FIG. 5 is a section similar to that of FIG. 2, but on which the locking pin is raised by one stage. -
Figure 6 is the same cross section with the locking pin in the fully raised position.



   Figure 7 is a perspective view of the locking spring used in Figures 1 to 6.



   Figures 8, 9, 10, 12, 14, 19 and 20 are perspective views of modified locking springs.



   FIGS. 11 and 13 are side views of the springs shown in FIGS. 12 and 14 in the locked position and in the released position.



   Figures 15 and 17 are longitudinal sections using the spring shown in fig. 19, Figure 15 in the locked position, Figure 17 in the released position.



   Figure 16 is a section taken on line 16-16 of Figure 15.



   Figure 18 is a section taken on line 18-18 of Figure 15.



   FIG. 21 is a side view of another slider according to the invention, in which the handle, for the sake of clarity, is slightly raised.



   Figure 22 is a cross section taken on line 22-22 of fig. 21 and at the same time a plan view of the lower face of the upper cheek of the slider.



   FIG. 23 is a longitudinal section through the cursor of FIG. 21, tour of 1800.



   Figure 24 is a section taken on line 24-24 of Figure 23.



   Figure 25 is a perspective view of the locking spring used in the previous figures.



   FIG. 26 is a section similar to that of FIG. 23 in which the articulation pivots are shown in the position corresponding to a pull exerted downwards on the handle.



   Figure 27 is a similar sectional view, in which the position of the hinge pins is shown when the handle is released after pulling down.



   Figures 28, 30 and 32 are longitudinal sections, analogous to FIG. 23, but show modified forms of locking springs.



   Figures 29, 31 and 33 are perspective drawings of the locking springs used in Figures 28, 30 and 32.



   In Figures 1 to 7, 10 and 11 show the upper cheek and the lower cheek of a slider, provided with the usual side flanges 12, 13. The two slider cheeks are connected by a neckline 14 which, as shown in the figures 1 and 4, is provided, for the purpose of reinforcement, with a deep notch 15 which at the same time serves as the heart of the slider to separate the elements during the opening movement of the slider. A handle loop 16 is folded back from the upper cheek, leaving an opening 17, enlarged at 17a. On the longitudinal sides of the opening 17, the cheek '

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 10 is provided with recesses 18, 19, the purpose of which has yet to be explained. In the handle 16 is fixed a movable handle 20 by means of '$ articulation pins 21, 2la.



   In the space between the upper cheek 10 and the shackle 16 there is a locking spring generally designated by 22, the locking pin or pawl 23 of which penetrates into the widened part 17a of the opening 17 in position of rest in the intermediate space between two elements, and thus blocks the cursor when the handle is not being operated.



  The locking spring used in the slider in fig. 1 to 6 is shown in perspective in FIG. 7. It has essentially the shape of a U, one branch of which forms the base 24 and has the widened lateral parts 25, 26 which correspond to the recesses 18, 19 on the lateral edges of the opening 17. The free end of the base 24 is bent at about a right angle upwards and thus forms a branch 27 disposed approximately perpendicular to the base 24. It is then again bent back at an angle of 35-45 and thus forms a projection 29 serving as a lifting surface. The ridge between the parts 27 and 29 serves as a support for the other branch 28 of the U which rests on this ridge under a determined preliminary tension.



  This branch, which acts as a leaf spring, is then bent downward behind the vertical branch portion 27, so as to be approximately parallel to it, and terminates with the locking pin 23. Preferably. , the width of the locking pin is reduced at 30, to allow it to penetrate into the intermediate space between two elements of the same chain. The locking pin 23 is reinforced by bending one of its side edges inwards (fig. 7) or outwards (fig. 8, 9, 12 and 14). Fig. 10 shows a special form of reinforcement, in which the locking pin is folded over its entire length, resulting in particularly effective reinforcement of the locking pawl.



   As a result of the shape shown and the pre-tension given to the spring branch 28, the latter forms a closed unit on itself, which can be easily handled and mounted, and which is both strong and secure.



   According to another characteristic of the invention, this spring is mounted in the upper cheek, before folding the slider during its manufacture, so that the interior surfaces of the slider cheeks are accessible without more. For this purpose, the lower surface of the upper cheek 10 is provided on the longitudinal edges 18, 19 of the opening 17, with recesses 31, 31a. The base 24 of the locking spring has dimensions such that the widened parts 25, 26 fit into the recesses 31, 31a in which they are suitably secured, for example because at points 32,33 (fig. 4), the cursor material is stamped on top.

   When the spring is thus anchored, the slider cheeks are folded in parallel, without disturbing in any way the mounted spring; in this way, the manufacture of the slider is notably facilitated.



   Various other forms of spring are possible. In the modified form shown in FIG. 9, the protruding part 29a is prepared not by folding but by stamping. In the shapes of Figures 11 and 12, the protrusion is entirely eliminated and is replaced by the fact that the branch 28a is bent obliquely downwards over a part 37 from a painted 36. The base 24 can be constructed particularly long and the excess lengths are folded back for reinforcement. The bent upper part 38 significantly increases the life of the spring and at the same time makes the spring more flexible. In Figures 13 and 14, this part 38 is folded back on itself at 38a and guided obliquely upwards to form a lifting surface 29b.



   The operation of the cursor is understandable. In the rest position, the spring 22, locking. And the handle 20 occupy the positions shown in fig.2. When the handle is operated, to move the cursor to the open position, the articulation pins move along the lifting surfaces 29. (pu 29a or 39) .- and lift the spring branch.

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28, until it abuts on the upper lower face of the shackle 16, lifting the pawl 23 from its locking position.

   A similar effect is obtained in the locking springs of Figures 11 and 12, whereby the obliquely inclined part 37 serves as a lifting surface for removing the pawl from its locking position when the articulation pivot is actuated.
21.



   The operation of the slider can be further improved by a new construction of the articulated pivot. In known sliders, the movement of the pawl from its locking position is carried out suddenly. When this movement takes place abruptly, it may happen that the locking pin exerts pressure against the element which it locks and thus becomes hooked. To exclude this possibility, the articulation pivot can be given an oval section instead of the ordinary circular section (see in particular Figures 2, 5 and 6).

   When the handle 20 is raised, and again before exerting a traction on it, the articulation pivot easily lifts the spring branch 28 owing to its oval section, which is not sufficient to release the locking pin 23. When then pulling on the handle, the articulation pivot rises along the lifting surface 29, as shown in Fig. 6, and thereby effects the complete release of the locking pin 23. Further, the oval shape is still advantageous because it facilitates the return movement of the handle to its rest position. We will come back to other advantageous effects of the oval shape of the articulation pivots from other points of view.



   According to another characteristic of the invention, lateral displacement of the locking spring is prevented by means of a rib 34 extending from the interior surface of the shackle 16. As shown in FIG. 3, the rib is offset from the center line of the handle shackle, to create sufficient space for the locking spring 22. The rib is placed in a space between the articulation pivots 21, 2a, the pivot 21 of which has the greatest length. Because it serves as a guide for the handle, the rib 34 indirectly prevents lateral displacement of the locking spring.



   Figs. 15 to 19 show a locking spring which differs from those heretofore described in detail and arrangement. The spring shown in fig. 19 at the free end of its base 24 widened at 40. This widened part is introduced into a recess 41 of the upper cheek adjacent to its neckline. The spring is again secured in this position by material stamped from above at 42. The other end of the base 24 is bent upwards and thus forms a vertical portion 43 which passes through the opening 17 of the spring. the upper cheek 10 and penetrates into the space between the latter and the handle 16. From there, the branch 44 extends obliquely upwards and rests above the articulation pivots 21 as shown in FIG. 15. Two locking jaws 45,46 are provided in the vicinity of the end of the base 24.

   It is visible that these locking jaws 45, 46 are lifted out of reach of the elements, when the handle 20 is actuated, so that the articulation pivot 21 enters the narrower space between the base 24 and the branch 44. To prevent the pivot 21 from entering the space between the branch 44 and the inner surface of the handle 16, the latter is provided with an extra thickness 48 which makes this impossible.



   Instead of giving the enlarged part 40 a shape such that it lies in the plane of the base, 24, as in fig. 19, she. can also be folded up so that it is below this plane (fig.



  10). In this way, more space is saved between the heart of the slider and the anchored end of the spring, without extending the spring itself.



   To prevent lateral displacement of the spring, the shackle is provided with a rib 49, and the branch 44 is forked, so as to have a slot 44a. As shown particularly in Figures 15 and 18, the rib 49 disposed on the median longitudinal line of the handle

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 16 enters the slot 44a and thus makes any movement impossible. lateral or angular of the spring. It will also be noted that the rib 49 ensures the movement in the correct plane of the end of the spring carrying the locking pin 45, 46 and thus has a device for fixing the free and unsecured end of the spring.



   The cursor shown in FIGS. 21 to 27 comprises an upper cheek 50, a lower cheek 51, both provided with side flanges 52, 53, a neckline 54 carrying a U-shaped notch 55, a handle 56 in the handle 57 coming from the handle. upper cheek, so as to form an opening 58 carrying a widened part 58a intended to receive a locking spring 59. The spring 59 is also introduced into the upper cheek 50 from below, and is secured by the lateral extensions 60, 61 arranged below the lower branch 62 of the spring, in recesses 63, 64 of the upper cheek. The branch 62 of the spring therefore acts as a leaf spring and is disposed essentially in the plane of the upper cheek 50.



   As best seen in Figures 22 and 25, the free end of the spring branch 62-65 is widened, and is folded back on itself upwardly in this widened part so as to form a branch. 66 rising obliquely, which penetrates into the space comprised between the upper cheek 50 and the handle of the handle 57. This branch 66 has its greatly reduced width and is offset with respect to the longitudinal center line of the base and by therefore with respect to the longitudinal center line of the cursor. The branch 62 carries a locking pin 67 which -as usual- enters the intermediate space between two elements, in the rest position.



   The handle 66 is articulated to the body of the slider by means of articulation pivots 69,70 which penetrate into the handle 57 in opposite directions.



  The handle is also movable on the slider to a limited extent in the longitudinal direction. It can be seen from FIG. 24 that the branch 66 of the locking spring 59 rests above one of the articulation pivots of the handle, here the pivot 69, so that, when a traction is exerted on the handle 56 in the direction of opening, the branch 66 of the spring is lifted by the pivot 69 and thus the locking pin 67 is released from its locking position.



   As already stated, it is desirable that the hinge pivot of the handle should have limited longitudinal movement along a substantially straight line the course of which is parallel to the upper cheek of the slider, so that the pivots 69, 70 can never move away sufficiently from the upper surface of the slider to exert a noticeable force on the spring 59. To achieve this goal, the space between the upper cheek and the handle of the handle. handle is subdivided into two chambers along its length and this by means of a rib 72 extending from the inside face of the handle 57. One of these chambers, the one located to the left of the rib 72 on fig. 24, has a normal depth, and can thus receive the branch 66 of the locking spring and the pivot 69 which is located below.



  The other chamber, that is to say the one located to the right of the rib 72 has, on the other hand, a reduced depth, and is only slightly higher than the larger diameter of the pivot 70. So that the handle 56 can be raised and lowered at will, the pivot 70 and therefore also the pivot 69 are prevented from deviating significantly from the upper cheek 50. This is achieved by giving the handle of the handle. handle a greater thickness to the right of the rib 72 so that the inner surface of the handle forms therein a roof 73 disposed parallel to the upper cheek 50 and spaced from the outer surface of the upper cheek at a corresponding distance of approximately at the largest diameter of the pivot 70.

   So that the pivot 70 can move freely in the longitudinal direction in the right chamber, its upward movement is stopped by the roof 73.



   The smaller depth chamber plays yet another role. It prevents the articulation pivots 69,70 from penetrating,

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 owing to their minimal dimensions in the space between the end of the branch 66 and the handle handle, and to hang onto it.



   To prevent the articulation pivots from catching in the angular space existing between the branches 72 and 66 of the spring, again two pivots 69 and 70 with oval section are used, in which the major axis is in the plane. of the handle, as best seen in Figures 26 and 27. When, therefore, the handle is exerted a downward pull, to move the slider in the open direction, the pivot 69 moves in the angular space between the branches of the locking spring and causes the locking pin to rise in the usual way. As a result of its oval section, the pivot 69 cannot catch and remain frozen in this space, as can be seen by examining FIG. 26.

   When therefore the downward traction is interrupted, the pivot returns to its normal position (fig. 27) under the action of the branch 62 of the spring. This effect is facilitated by the fact that the axis of the pivot 69 is disposed somewhat lower than that of the pivot 70, so that, when traction is exerted on the handle, the latter rises slightly away from the upper cheek. with the result that the pivot 69 does not touch the upper cheek.



   The reason why the branch 66 of the locking spring 59 is offset on one side with respect to the longitudinal center line of the lock is therefore clear, since this branch can only act in the left chamber (fig. 24).



   In order to increase the flexibility of the spring 59, in the transverse direction and its rigidity in the longitudinal direction, the widenings 60, 61 are arranged below the branch 22 of the spring in the recesses 63, 64 of the upper cheek, as is the case. shown in figure 25. This result is also achieved by the construction of the spring according to figures 28 to 33. In the spring according to figure 29, used in the slider shown in figure 28, the branch 62a has a double fold, which connects it to the cross pieces 60a, 61a. In the spring according to fig.



  31, used in the cursor according to fig. 30, the branch 62b is folded around the parts 60b, 61b, which extend to the side. Finally, the shape according to figs. 33, 32 is also possible, in which the branch 62c is connected to the pieces 60c, 61c by a bend arranged vertically, so that the pieces 60c, 61c lie in the plane of the branch 62c of the leaf spring.



   CLAIMS.



   1.- Locking slider-for pull-tab fasteners, provided with a spring which penetrates between the elements, in rest position, by one or more locking pins, characterized in that, the spring is constructed essentially in the form U, one branch of which is fixed from below in the upper cheek of the slider, while the other branch penetrates into the space between the upper cheek and the handle handle, passing through an opening of the upper cheek, and enables the pins to be lifted from their locking position in cooperation with the pivot pins of the handle.


    

Claims (1)

2. - Curseur de blocage suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'une des branches de l'U est assujettie dans un évidement de la surface inférieure de la joue supérieure du curseur. 2. - Locking slider according to claim 1, characterized in that one of the branches of the U is secured in a recess in the lower surface of the upper cheek of the slider. 3. - Curseur de blocage suivant la revendication 2, caractérisé en ce que la branche de l'U présente des prolongements latéraux assujettis dans des prolongements correspondants de l'évidement de la joue supérieure. 3. - Locking slider according to claim 2, characterized in that the branch of the U has lateral extensions secured in corresponding extensions of the recess of the upper cheek. 4. - Curseur de blocage suivant les revendications 1 à 3, carac- térisé en ce que le ressort présente entre la joue supérieure et l'anse de la poignée une inclinaison qui coopère avec les pivots d'articulation de la poignée pour faciliter le soulèvement des goupilles de leur position de blo- cage, <Desc/Clms Page number 8> 5. - Curseur de blocage suivant la revendication 4, caracté- risé en ce que la pente est disposée sur la branche du'ressort qui porte la goupille de blocage. 4. - Locking slider according to claims 1 to 3, charac- terized in that the spring has between the upper cheek and the handle of the handle an inclination which cooperates with the hinge pins of the handle to facilitate lifting. pins from their locking position, <Desc / Clms Page number 8> 5. - Locking slider according to claim 4, characterized in that the slope is disposed on the branch of the spring which carries the locking pin. 6.- Curseur de blocage suivant la revendication 4, caracté- risé en ce que la branche de ressort assujettie dans la joue supérieure présente un prolongement recourbé en avant et en arrière, dont l'extrémité libre est inclinée obliquement vers le haut. 6. A locking slider according to claim 4, characterized in that the spring branch secured in the upper cheek has an extension curved forward and backward, the free end of which is inclined obliquely upwards. 7. - Curseur de blocage suivant les revendications 1 à 6, ca- ractérisé en ce que l'anse de la poignée présente des nervures dirigées vers l'intérieur pour empêcher un mouvement latéral du ressort. 7. - Locking slider according to claims 1 to 6, charac- terized in that the handle of the handle has ribs directed inwards to prevent lateral movement of the spring. 8.- Curseur de blocage suivant la revendication 7, caractéri- sé en ce que la nervure pénètre dans les espaces existant entre les pivots d'articulation de la poignée. 8. A locking slider according to claim 7, charac- terized in that the rib penetrates into the spaces existing between the hinge pins of the handle. 9. - Curseur de blocage suivant la revendication 7', caractéri- sé en ce que la nervure pénètre dans une fente d'une des branches du res- sort. 9. - Locking slider according to claim 7 ', charac- terized in that the rib penetrates into a slot in one of the branches of the spring. 10. - Curseur de blocage suivant la revendication 1, caractéri- sé en ce que les goupilles de blocage sont disposées sur la branche du res- sort assujetti à la joue supérieure du verrou. 10. - Locking slider according to claim 1, charac- terized in that the locking pins are arranged on the branch of the spring secured to the upper cheek of the lock. 11.- Curseur de blocage suivant la revendication 1, caractéri- sé en ce que les pivots d'articulation de la poignée ont une section ovale. 11. A locking slider according to claim 1, charac- terized in that the hinge pins of the handle have an oval section. 12.- Curseur de blocage suivant la revendication 1, caractéri- sé en ce que la branche de ressort qui pénètre dans l'espace compris entre @ la joue supérieure et l'anse de la poignée est décalé par rapport à la ligne médiane longitudinale du curseur de manière qu'il ne repose que sur un des pivots d'articulation de la poignée. 12. A locking slider according to claim 1, charac- terized in that the spring branch which penetrates into the space between @ the upper cheek and the handle of the handle is offset with respect to the longitudinal center line of the handle. slider so that it rests only on one of the hinge pins of the handle. 13. - Curseur de blocage suivant la revendication 12, caracté- risé en ce que l'espace compris entre la joue supérieure et l'anse de la poignée est subdivisé par une nervure en deux chambres dont l'une a une pro- fondeur correspondant environ au diamètre du pivot articulé de sorte que les deux pivots d'articulation doivent se déplacer suivant une ligne droite parallèle à la joue supérieure et disposée contre elle. en annexe 7 dessins. 13. - Locking slider according to claim 12, charac- terized in that the space between the upper cheek and the handle of the handle is subdivided by a rib into two chambers, one of which has a corresponding depth. approximately the diameter of the articulated pivot so that the two articulation pivots must move along a straight line parallel to the upper cheek and placed against it. in appendix 7 drawings.
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