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'VETEMENTS.
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ge et les vêtements, et concerne en particulier, mais non exclusivement, les fers à repasser domestiques électriquement chauffés*,
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férentes matières, non seulement des températures différentes sont requises, mais des pressions différentes sont nécessaires. Antérieurement, les fers à repasser domestiques ont été établis avec un poids d'environ 1800 gr, et pour des tissus délicats ou laineux, ce poids peut être excessif tandis que pour d'autres tissus, comme des toiles, ainsi que pour le fin finissage et le pressage à la vapeur, un poids notablement plus important est désirable.
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tique constitue une tache ardue du fait que pour exercer un contrôle convena- ble de la pression de repassage, il est d'ordinaire essentiel de=-se tenir debout à la table de travail ou planche à repasser.
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avec une surface de repassage convenable en matière magnétique, et aménagés de manière à être capables d9accroitre la pression qui est appliquée par le fer sur un objet placé sur la surface, au-delà de celle qui résulte du fer seul.
Conformément à une autre', caractéristique de l'invention, l'attraction magnétique entre le fer et la surface de repassage est ajustable sous le contrôle de l'usager, de façon telle que le poids effectif du fer sur 1"objet repassé puisse être modifié dans un intervalle étendu.
Une telle variation de l'attraction magnétique peut, lorsqu'on
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l'aimant, ou bien encore, lorsque l'aimant est fixé par rapport au corps du fer, en interposant un organe intermédiaire, déformable en épaisseur, entre la surface de repassage magnétique et l'ouvrage, de manière que l'entrefer entre les pôles de l'aimant et la surface soit normalement relativement grand, mais puisse être réduit par une légère pression appliquée au fer, accroissant ainsi de plusieurs fois la pression effective appliquée à l'ouvragé et pro-
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électro-aimant le courant magnétisant peut être modifié sous le contrôle de l'usager par tous moyens appropriés connus.
D'autres caractéristiques de l'invention ressortiront de la description qui suit d'un mode de réalisation de l'invention dans sa forme' la plus simple, donné uniquement à titre d'exemple en référence aux dessins annexés sur lesquels : .. -..
Fig. 1 montre une élévation de côté, partie en coupe, d'un fer domestique à repasser le linge et les vêtements; Fig. 2 est une vue en bout de ce fer; <EMI ID=8.1> Fig. 4 est une coupe de l'entrée de câble montrée fig. 3; Fig. 5 est une vue schématique d'un shunt ou dérivation ajustable pour l'aimant; Fig. 6 montre une table à repasser; Fig. 7 est une section droite suivant la ligne 7-7 de la figure 6; Fig. 8 est une section droite d'une disposition ou forme de surface de repassage; et, Fig. 9 est une disposition ou forme alternative de surface de repassage.
En se référant maintenant aux figures 1 et 2, la plaque de base ou semelle 1 du fer est établie en aluminium ou en un alliage d'aluminium et porte à son extrémité avant le contrôle thermostatique usuel 2 comportant un bouton de contrôle 3 pour régler la température de l'élément chauffant 4 qui peut être du type courant comportant une ouverture centrale.
Un aimant permanent 5 de forme en fer à cheval à ses pièces polaires enrobées dans la semelle 1 de façon telle que les surfaces terminales de ces pièces affleurent la surface de la semelle.
La semelle peut être fabriquée par une opération de moulage en matrice, l'aimant étant moulé "in situ" de manière qu'il constitue une partie de la semelle, les faces des pôles de l'aimant affleurant la surface de repassage ou active polie de la semelle. L'aimant peut être magnétisé avant ou après la dite opération de moulage.
Alternativement, on peut prévoir une paire d'insertions ferreuses, espacées, propres à coopérer avec les pôles de l'aimant, dont les surfaces externes affleurent la surface polie plane de la semelle comme dans la réalisation représentée dans la figure 5 qui sera décrite plus loin.
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ple en aluminium, enferme le thermostat, l'élément de chauffage et l'aimant, et peut être assujetti en place par des vis 7 dont deux engagent une pièce
de pont transversale 8 fixée à la semelle et une engage la dite semelle.
Les bornes 9 pour la fixation du câble électrique peuvent être prévues sur une plaque 10, et convenablement isolées de celle-ci, en même temps que la lampe témoin usuelle 11, la plaque 10 formant un prolongement de la plaque de serrage 12 à l'aide de laquelle 19,élément chauffant 4 est
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re de la poignée 15. Cette poignée est de préférence établie de manière ' qu'elle puisse être confortablement saisie par la main de l'usager lorsqu'il
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dans une position sensiblement horizontale au lieu de verticale comme d'ordinaire lorsqu'un fer normal est utilisé dans la position debout de l'opéra teur.
La poignée est également inclinée suivant un angle propre à
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d'être progressivement détaché (à la manière d'une pellicule) de la surface magnétique coopérante, pour faciliter l'enlèvement du fer de l'ouvrage.
Le câble porte-courant 16 est attaché au fer à l'aide d'une buselure élastique 17 qu'il traverse et qui, à une extrémité, a la forme d'un double renflement engageant une paroi latérale du logement 13 (fig.2).
A l'effet d'adapter le fer à l'utilisation par des personnes droitières et gauchères, la buselure élastique 17 peut affecter la forme représentée dans les figures 3 et 4. Les deux parois latérales du logement 13 sont perforées comme il est montré en 18 et la buselure présente la forme représentée figo 4. Les conducteurs électriques sont amenés par l'ouverture transversale 19 pour être fixés aux bornes 9 et la buselure est retenue en place par le couvercle 14. Dans la figure 3 le câble est représenté dans
la position convenant à un droitier, mais pour un gaucher il suffit d'enle- , ver le couvercle 14 et d'inverser la buselure. La buselure est établie de manière telle qu'elle se trouve dans un état légèrement tendu lorsqu'elle est en place et ceci, joint au fait que les conducteurs électriques sont recourbés à angle droit à l'emplacement où ils sortent de la buselure, et que le couvercle 14 applique une pression additionnelle sur la buselure, a pour effet que les conducteurs sont verrouillés en place dans la buselure de sorte qu'aucune tension ne sera appliquée aux liaisons avec les bornes par une traction quelconque raisonnable appliquée au câble.
Par le choix de métaux légers par exemple d'aluminium, pour la semelle, le couvercle et les autres parties du fer, le poids de celui-ci peut être maintenu à une faible valeur de sorte que le fer sera aisément manipulé. L'aimant permanent 5 est de préférence en un alliage magnétique tel que l'un des alliages aluminium nickel bien connus, de sorte qu'un accroissement virtuel considérable de poids peut être réalisé à l'aide d'un aimant de faible poids réel lorsque le fer est utilisé en association avec une surface de repassage appropriée, qui doit naturellement être propre à permettre une attraction magnétique entre elle-même et le fero
Dans la disposition de fer décrite en référence aux figs. 1 et
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Dans une disposition alternative qui va maintenant être décrite en référence à la figure 5, l'usager peut modifier l'attraction magnétique. Sur le dessin, les pôles de l'aimant sont maintenus en contact avec des pièces formant pôles 20 fixées dans et affleurant la surface de repassage ou active de la semelle.
Un shunt ou dérivation 22, en matière magnétisable, est monté à pivotement sur une cheville 21, et est propre dans une position extrême
à former pont entre les pièces polaires 20 et, dans l'autre position extrême, à occuper un emplacement à mi=distance entre elles. Le shunt ou dériva'-tion 22 porte une cheville de pivotement 23 sur laquelle prend appui une
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de la biellette 24 est établi pour coopérer avec le coulisseau 27 de manière à maintenir la biellette en engagement avec la cheville de manoeuvre 25. -
La poignée 15 prend à son tour appui sur le pivot 28 monté'au sommet du logement 13, et l'agencement des parties est tel qu'une pression
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vation des pièces polaires en accroissant ainsi l'attraction effective four- nie par l'aimant.
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rivation de venir se placer de lui-même en ligne avec les pièces polaires peut être contrecarrée dans toute mesure désirée par des moyens élastiques, comme un ressort, qui auront pour effet d'aider à l'enlèvement du fer dé la surface de repassage par le mouvement instinctif de soulèvement de la poignée.
Cette caractéristique peut acquérir une plus grande importance lorsqu 9 on utilise un ou des aimants très puissants, par exemple pour un fer à repasser ou de pressage industriel.
La variation de l'attraction magnétique au lieu d'être contrôlée en permanence par le mouvement de la poignée, peut être préalablement réglée, par exemple en reliant la biellette d'actionnement du shunt ou dérivation, par une tringlerie appropriée, à un organe de contrôle séparé, de manière que le poids effectif du fer puisse être ajusté à une valeur désirée par l'usager, valeur qu'il conservera jusqu'au moment où l'organe de contrôle est déplacé dans une nouvelle position.
Dans la figure 6 on a montré une table ou support de repassage 29 de la forme usuelle, mais dans le présent cas la table possède une surface 30 en matière magnétisable, par exemple une pièce d'acier en forme
de plaque. Cette plaque est couverte d'un tissu ou couverture de repassage
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te matière appropriée, mais il est préférable d'utiliser une matière déformable en épaisseur et d'élasticité normale telle qu'elle n'est pas déformée
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plication d'une faible pression qui peut être due uniquement au poids de la main et du bras de l'usager amènera alors le fer à se rapprocher plus complètement de la plaque d'acier par déformation du tissu, et l'attraction magnétique s'accroîtra dans une mesure beaucoup plus grande en procurant ain-
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Un emplacement de repos ou appui 32 pour le fer peut être prévu à l'extrémité de la table 29, et cet appui est de préférence constitué en matière magnétisable telle qu9une feuille d'acier et il est pourvu d'un rebord périphérique comme il est montré dans la figure 7 de manière que le fer puisse être "parqué" en sûreté.
Dans la figure 8 on a représenté en coupe une disposition ou forme alternative de surface de repassage. La plaque 33 en matière magnéti-
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mension et en espacement vers une extrémité de la plaque, de manière que l'attraction magnétique soit moindre à cette extrémité et plus forte à l'autre extrémité Une matière absorbante et élastique 34, comme du coton laineux, est utilisée comme doublure ou fond pour la plaque et insérée dans les ouvertures de manière à permettre à la table de "respirer" lorsqu'on exécute
un pressage à la vapeur. La plaque et le tampon peuvent être enfermés dans
ou retenus sur la table de repassage 35 par une couverture amovible 36 de préférence en matière textile, retenue en place par des rubans ou des fils
37.
Dans la figure 9 on a représenté en coupe une autre disposition ou forme de table de repassage. Dans cette disposition, la plaque 38 qui est en matière magnétisable comme de l'acier a ses grands bords roulés de manière à procurer un bord en forme de rebord ou bourrelet, 39, et la couverture de tissu 36 est fortement tendue sur les rebords ou bourrelets par le ruban ou fil de retenue 37, de manière à procurer la serve-action nécessaire dont il a été question plus haut. De plus, une mince couche de matière formant tampon 14, comme du coton laineux, peut être insérée entre
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D'autres moyens propres à procurer cette action apparaîtront aisément aux gens de métier; par exemple la couverture de repassage peut
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table de repassage décrites plus haut, du fait que d'autres dispositions apparaîtront aisément aux gens de métier; par exemple la couverture de repassage peut être une matière tissée composite constituée d'un matériau textile et de fils d'un métal magnétisable comme du fer doux, de manière à permettre son enroulement lorsqu'elle n'est pas utilisée.
REVENDICATIONS.
1.- Un fer à repasser ou presser comprenant des moyens magnétiques, comme un aimant permanent, propres à coopérer avec une surface de repassage appropriée en matière magnétique, et agencés de manière à être capables d'accroître la pression appliquée par le fer sur un objet placé sur la surface de repassage, au-delà de celle résultant du poids du fer seul.
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