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BANC A POUSSOIR POUR L'ETIRAGE DE PIECES PERFOREES EN TUBES ET CORPS CREUX-
Dans les bancs à poussoirs pour tubes utilisés jusqu'à présent, 1-'étirage (déformation) de la pièce perforée s'effectue sur des bancs à fi- lière annulaire ou respectivement à calibres à cylindres,
sur lesquels la pièce est dans chaque cas conduite par un mandrin à travers des calibres devenant toujours plus étroitsDans ce mode de travail la matière de la pièce perforée n'a chaque fois la vitesse du mandrin que dans le secteur partant de son fond jusqu?au premier calibre à anneau ou respectivement à cylindres qui le suite Tous les autres secteurs de la pièce travaillée qui dans ce cas se trouve presque toujours simultanément sur plusieurs calibres.9 situés entre les calibres à filière annulaire ou à cylindres, ont une vites- se inférieure à celle du mandrin. Cette différence de vitesse entre le man= drin et la pièce ouvrée est d9 autant plus grande que la déformation produite simultanément est plus élevée dans chaque cas,,
que ce soit parce que un plus grand nombre de calibres à anneaux ou à cylindres effectuent la défor- mation en même temps ou également parce que la diminution de dimensions par calibre est plus élevée. A 1?extrémité ouverte de la pièce ouvrée., la dif- férence de vitesse est la plus grande, et à cet endroit elle est directement proportionnelle à la somme de toutes les déformations réalisées simultané- ment par les différents calibres.
On sait diaprés les phénomènes qui se produisent dans le lamina- ge de pièces à sections pleines,, que les cylindres effectuant la déformation exercent par la pression du cylindre une traction sur la matière laminée qui augmente avec la grandeur des cylindres.La réduction possible de dimensions effectuée par la traction pouvant être atteintes dépend de la grandeur des cylindres Si l'effert de traction nécessaire à la réduction de dimensions dépasse 1-'effort de traction produit par la pression des cylindres et le frottement, c'est-à-dire si on choisit une réduction de dimensions trop
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élevée, les cylindres ne tirent plus la pièce ouvrée dans la fente des cylindres,mais glissento
Sur des bancs à poussoir pour tubes,,
vers lesquels on tend toujours à se rapprocher parce qu'ils garantissent par calibre un travail de déformation notablement plus élevé que les anneaux à filières., les phénomènes de déformation sont cependant essentiellement différents que dans le cas du laminage de pièces à sections pleines sur des laminoirs connus.
La commande a effectivement lieu ici non pas par 1-'intermédiaire des cylin- dres, mais par l'intermédiaire du mandrin qui se trouve dans la pièce ou- vrée elle-même et qui exerce sur le fond de la pièce perforée un effort de traction dans la direction de l'axe de la pièce ouvrée0 Au début de la dé- formation,\) existe dans ce cas une pièce perforée relativement rigide, à parois épaisses, qui pour les petits diamètres de cylindres utilisés jusqu'à présent sur des bancs à poussoir munis de calibres cylindres ne permet que la transmission d'une petite partie seulement de la pression exercée par les cylindres sur le mandrino L'effort nécessaire à la déformation, sur les bancs à poussoirs pour tubes connus, spécialement du côté de l'en- trée, c'est-à-dire aux premiers calibres,
se transmet presqu'exclusivement de la tête de la tige au fond êt à la section de sortie de la pièce perfo- rées de sorte que le nombre des calibres opérant simultanément et la réduc- tion de dimensions par calibre sont limités par l'effort pouvant être sup- porté par la section de sortie.
Vis-à-vis de ce mode opératoire connu d'un banc à poussoir pour tubes munis de petits calibres à rouleaux non-commandés, 1-'invention propo- se, par comparaison aux phénomènes qui se produisent lors du laminage de pièces ouvrées à section pleine de donner aux diamètres des cylindres non commandés dans tous les calibres la grandeur voulue pour que., à partir de la pression de la pièce laminée sur le mandrin et du frottement entre le mandrin et la pièce ouvrée dans chaque calibre, il résulte une force d'en- traînement de la pièce laminée,,
qui soit égale ou approximativement égale à l'effort nécessaire à la réduction de dimensions Des grandes réductions de dimensions produites au début de la déformation résultent des diamè- tres de cylindres de grandeurs correspondantes du calibre d'entrée La section de la pièce perforée devenant chaque fois plus petite, nécessite également une réduction plus petite par calibre., mesurée en mm2.
Diaprés les enseignements de cette invention, les diamètres des cylindres diminuent par conséquent de façon correspondante dans la direction du laminage, cepen- dant toujours pour autant que dans chaque calibre., résulte de la pression de la matière laminée sur le mandrin et de la force de frottements un ef- fort d'entraînement de la matière à laminer, qui soit égal ou approximati- vement égal à l'effort nécessaire à la réduction de dimensions L'effort nécessaire à la réduction de dimensions se produit alors dans chaque cali- bre même et libère ainsi, des efforts qu'ils devaient supporter le fond et la section de sortie de la pièce perforée, qui déterminaient jusquà présent la réduction de dimensions permise Pour cette raison,
on peut à présent également régler la réduction de dimensions par calibre de manière que le facteur d'étirage soit supérieur au nombre des calibres à cylindres, pour autant qu'il y ait toujours plusieurs calibres fonctionnant simultanément.
On a déjà proposé de construire entre les calibres d'étirage des calibres dits de frottement,9 commandés ou non commandés!9 pour augmen- ter le frottement sur le mandrin et atteindre une réduction de dimensions plus grande dans les calibres d'étirageo Mais dans ce procédé de fabrication de tubes métalliques sans soudures, une action de ce genre n'entre pas en ligne de compte s'il suffit pour obtenir le déplacement d'augmenter le dia- mètre des cylindres mesurés dans la base du calibre par étages dans le sens de l'avancement de la pièce laminée.
Là contrel'invention propose de pro- duire dans chaque calibre individuel le frottement et la pression de mandrin élevés nécessaires à l'entraînement en choisissant des cylindres-de dimen- sions de grandeurs correspondantesoPar ce moyen on réunit donc dans chaque calibre un calibre de frottement et un d'étirage Pour cette raison, on peut
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à présent également obtenir des réductions de dimensions par calibre qui nont pas encore pu être obtenues jusqu'à présente De cette manières il ne se produit pas d aplatissement notable de la pièce ouvrée en particu- lier pas dans le cas où on admets à chaque moment à la section de sorties Inapplication d'une force de traction résiduelle pour laquelle un apla= tissement ne peut pas se produire.
Les cylindres de calibres de grands diamètres, à utiliser con- formément à 19 invention sur un banc à poussoir pour 19 étirage de pièces perforées spécialement du début du banc de calibreurs, représentent ce- pendant une codification complète du genre de construction des calibres à cylindres et de leurs bancs telle quappliquée jusquà présent. Cette mo- dification du mode de construction utilisé habituellement jusqu'à présent,, des bancs de calibres en ce qui concerne les grands diamètres de cylindres, spécialement au début du trajet de déformation, permet en même temps un agrandissement notable des tourillons des cylindres.
La charge des touril- lons sur paliers par cm2 peut par conséquent être maintenue à la valeur correspondant à celle utilisée couramment dans des laminoirs normaux.
On décrit dans ce qui suit et on représente sur les dessins la construction d'un banc à poussoir ainsi conçu et construit., à titre d' exemple
La figure 1 est une vue de profil des calibres à cylindresen partie en coupe en représentation schématiques la figure 2 est une vue en plan d'un banc à poussoir conforme à l'invention; la figure 3 représente à échelle plus grande une coupe suivant la ligne III-III de la figure 2; la figure 4 est une vue de profila en partie en coupe d'une forme de construction modifiée du banc à calibres à cylindreset la figure 5 la vue ..de face correspondante.
Sur l'installation représentée sur les figures 1-3, la pièce ouvrée a formant tout d'abord une pièce perforée de longueur 1, devant être étirée sur -le banc à poussoir,, est guidée à l'aide d'une tige de man- drin b à travers les calibres 1-7 consistant chaque fois en deux cylindres.
Elle quitte le dernier cylindre 7 sous forme d'un tube de longueur L. Les calibres à rouleaux ou à cylindres 2, 4 et 6 du banc à poussoir sont déca- lés de 90 par rapport aux calibres précédents.Le rapport des longueurs L et 1 représente le facteur détirage.
L'invention est basée sur la proposition suivant laquelle le diamètre D des cylindres non commandés de chacun des calibres 1-7 a une grandeur telle que 1-'effort agissant sur la tige de mandrin b par la pression des cylindres et le frottement.\) pour entraîner la pièce ouvrée a soit égal ou approximativement égal à l'effort nécessaire à la réduction de dimensions à effectuer dans chaque calibre La réduction de dimensions par calibre doit pour cela être réglée à une grandeur telle que le facteur d'étirage L @ 1 soit supérieur au nombre de calibres à cylindres pour autant qu'il y ait toujours plusieurs calibres qui fonctionnent simultanément.
sur le banc représenté sur la figure' 1 muni de sept calibres à cylindres, le facteur d'étirage est par conséquent supérieur à 7. Les cylindres du banc à poussoir conforme à 1-'invention ont, dans le sens de la poussée, un diamètre qui dimi- nue de calibre à calibre. Les diamètres sont dans ce cas notablement plus grands que ceux-des calibres connus,, munis ordinairement de trois ou de quatre cylindres non commandés. Ce fait nécessite une modification essentielle du mode de construction appliqué jusqu'à présent aussi bien aux calibres à cy- lindres eux-mêmes qu'à leurs bancs.
Sur la forme de construction suivant les figures 2 et 3, les ca- libres consistent en deux cylindres 8 et 9 qui reposent dans un corps de support particuliers Chacun de ces supports consiste en une coquille supé-
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rieure 10 et une coquille inférieure 11 maintenues l'une contre 11' autre de façon démontable par de fortes vis 12Les tourillons 13 des cylindres 8 et 9 de chaque support 10, 11, contruits beaucoup plus forts que ce n'était l'habitude jusqu9à présent dans des paliers fermés 14, qui peuvent être lu- brifiés par des raccordements à vis,15, etc...
Chacun des paliers 14 est muni de nervures de refroidissement qui laissent mutuellement entre'elles aussi bien qu'entr'elles et les parois des coquilles 10 et 11 des supports qui s'y raccordent, des espaces creux. On introduit dans ces espaces creux., par des ouvertures 17 et 18 des coquilles 10 et 11 du logements de l'eau de refroidissement qui ressort par des ouvertures 19 et 20 du supporte Le refroidissement extérieur connu des cylindres 8 et 9 s'effectue à l'aide d' une conduite de refroidissement 21.Pour le montage et le démontage des cy- lindres 8 et 9, il suffit seulement., après avoir desserré les vis 12, d'en= lever la coquille supérieure 10; on peut alors placer les cylindres dans la coquille inférieure 11 ou les enlever de celle-ci.
Chacun des supports 10, Ils décrits précédemment, servant à re- cevoir les cylindres des calibres.\) est suivant l'inventions suspendu à des ancrages horizontaux 22 et 23, qui prennent sur le banc à poussoir la place des bancs de calibres utilisés jusqu'à présento Dans ce buts la coquille supérieure porte d'un côté, et la coquille inférieure 11 de l'autre côté de chaque support, chaque fois des crochets 24 et 25, qui pénètrent dans des évidements 26 de la barre d'ancrage correspondante 22, respectivement 23.
Des encoches de ce genre existent sur toute la longueur de chacun des an- crages 22 et 23, de sorte que les supports individuels de calibres et avec eux les calibres à cylindres eux-mêmes peuvent être placés à des distances quelconques les uns des autres Les ancrages 22 et 23 sont disposés un peu au-dessus du centre des cylindrés, c'est-à-dire de la surface de contact des cylindres. 8 et 9. La coquille inférieure 11 de chaque support de calibre est en outre munie d'un chevalet 27 qui pénètre entre les dents d'une tige dentée 28.On absorbe ainsi les moments de basculage qui se produisent dans les supports des calibres individuels.
Comme le montre la figure 3, les cylindres 8 et 9 de chaque ca- libre dans le support correspondant font un angle de 45 par rapport à 1' horizontale. De cette manière, il est possible sans modificationsde construc- tions, de suspendre les supports aux ancrages 22 et 23 de manière à ce que chaque foisles calibres qui se suivent soient décalés de 90 l'un par rap- port à l'autre (figure 2). Dans ce buts il suffit seulement qu'un support sur deux soit suspendu aux ancrages 22 et 23 dans une position tournée de 180 par rapport à celle de la figure 3 Pour la fabrication de tubes à pa- rois minces, on peut encore éventuellement faire suivre les calibres à cy- lindres d'écrits, de calibres d'étirage et d'arrondissement.
Ces autres cali- bres, qui sont commandés mais peuvent aussi ne pas être commandés,\) ne sont pas représentés sur les dessins parce que leurs disposition et construction sont connues et ne forment pas le but de la présente inventiono Pour la sus- pension des supports de calibres individuels sur les ancrages 22 et 33 ainsi que pour l'enlèvement de la coquille supérieure 10 de chaque supporta des trous 29 sont prévus dans ces derniersdans lesquels on peut fixer à la co- quille -10 un dispositif de levage.
La forme de construction des calibres à cylindres, représentée sur les figures 4 et 5, se distingue de celle décrite en premier lieu du fait que chaque support de calibre consiste en un corps de support unique 30, muni de couvercleslatéraux démontables 31. Pour la fixation démontable des couver- clés latéraux 31 au support 30, on utilise de fortes vis 32. La suspension de cette charpente 30 aux ancrages 22 et 23 à l'aide des crochets 24 et 25 ainsi que l'appui sur la tige dentée 28 à l'aide du chevalet 27 sont les mêmes que dans le 1er exemple de constructiono Les vis 32 sont fixées à des nervures 33 du support 30, entre lesquelles des pièces intermédiaires 34 peuvent être glissées.
Chacune de ces pièces entoure sous forme de palier fermé les touril- lons 13 d'un cylindre de calibre Entre les tourillons des cylindres 13 de chaque cylindre de calibre et la pièce intermédiaire correspondantes sont prévus
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des coussinets de paliers 36, pouvant être lubrifiés de la manière ordinai- reDans chaque support 30 existent trois pièces intermédiaires 34 avec des cylindres 35, parmi lesquels dams la représentation de la figure 4, une piè- ce intermédiaire et le cylindre qui lui appartient, ont été enlevéso
Dans chaque supporta 30 se trouve, entre ses parois extérieures et la pièce intermédiaire 34, une plaque amovible 37, maintenue par des vis 380 Comme le montre le côté droit de la figure 4, chaque plaque 37,
après le desserrage des vis correspondantes 38 peut être retirée latéralement du corps de support 30 sans devoir enlever le couvercle latéral correspondant 31, Les vis 38 servent en même temps à maintenir les pièces intermédiaires 34 et les cylindres 35 en direction radiale,, tandis quelles sont maintenues en place dans le sens du banc ou du cylindre par les couvercles latéraux 31.Par é- change dune plaque 37 contre une autre plaque d'épaisseur différente, la pièce intermédiaire 34 ainsi que son cylindre peuvent par conséquent être réglés exactement en direction radiale.Pour le déplacement des supports., 30, on utilise un anneau fort 39 placé à son sommet., dans lequel peut µSa- dapter un dispositif de levageo
Chaque pièce intermédiaire 34 forme avec le cylindre correspon- dant 35 et le coussinet 36 une unité,
renfermée dans un support 30 ou pouvant en être enlevée Pour la réparation 4'un cylindre 35,on retire par conséquent du support 1-'unité enfermée correspondante, latéralement, après avoir enlevé - un couvercle latéral 31. On place ensuite cette unité au moyen de ses tou- rillons 13 sur un tour approprié. On y maintient les tourillons entre les contre-pointes du tour et on les fait tourner au moyen de chevilles d'entrai- nement ou analogues. En revanche, la pièce intermédiaire 34 est maintenue immobile au moyen d'un talon approprié du tour. Quand le cylindre 35 a été réparé au tour dans la mesure désirée, on introduit à nouveau l'unité fermée en place entre les nervures 33 du support 30 et on la règle dans le sens radial par l'introduction d'une plaque 37 d'épaisseur correspondante.
Après placement du couvercle 31 et sa fixation par serrage des vis 32 correspon- dantes, ainsi qu'après serrage des vis correspondantes 38, 1?unité citée est assujettie dans tous les sens dans sa position dans le support 300 REVENDICATIONS .
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PUSH BENCH FOR STRETCHING PERFORATED PARTS IN TUBES AND HOLLOW BODIES-
In the pushbuttons for tubes used up to now, the stretching (deformation) of the perforated part is carried out on benches with annular thread or respectively with cylinder gauges,
on which the part is in each case driven by a mandrel through ever-narrower gauges In this working mode, the material of the perforated part has each time the speed of the mandrel only in the sector starting from its bottom up to the first ring gauge or respectively cylinder gauge which follows All the other sectors of the workpiece which in this case is almost always found simultaneously on several gauges. 9 located between the ring die or cylinder gauges have a lower speed to that of the mandrel. This difference in speed between the man = drin and the workpiece is d9 as much as the deformation produced simultaneously is higher in each case ,,
whether this is because a greater number of ring or cylinder gauges perform the deformation at the same time or also because the decrease in dimensions per gauge is greater. At the open end of the workpiece, the difference in speed is greatest, and there it is directly proportional to the sum of all the deformations performed simultaneously by the different gauges.
It is known from the phenomena which occur in the rolling of parts with solid sections, that the rolls effecting the deformation exert by the pressure of the roll a traction on the rolled material which increases with the size of the rolls. dimensions achieved by the traction that can be achieved depends on the size of the cylinders If the tensile force necessary for the reduction of dimensions exceeds 1-'tensile force produced by the pressure of the cylinders and the friction, that is to say if we choose a reduction of dimensions too
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high, the cylinders no longer pull the workpiece into the cylinder slot, but glissento
On pusher benches for tubes,
towards which one always tends to approach because they guarantee by caliber a work of deformation notably higher than the rings with dies., the deformation phenomena are however essentially different than in the case of the rolling of parts with full sections on known rolling mills.
The control actually takes place here not by 1-intermediary of the rolls, but by the intermediary of the mandrel which is located in the workpiece itself and which exerts on the bottom of the perforated part a force of traction in the direction of the axis of the workpiece0 At the start of the deformation, \) there is in this case a relatively rigid perforated part, with thick walls, which for the small diameters of rolls used up to now on Push benches fitted with cylinder gauges only allow the transmission of only a small part of the pressure exerted by the cylinders on the mandrino The force necessary for the deformation, on the push benches for known tubes, especially on the side of the 'entry, that is to say to the first calibers,
is transmitted almost exclusively from the head of the rod to the bottom and to the exit section of the perforated part so that the number of gauges operating simultaneously and the reduction in dimensions per gauge are limited by the force that can be be supported by the outlet section.
With respect to this known operating mode of a pusher bed for tubes fitted with small gauges with uncontrolled rollers, 1-'invention proposes, by comparison with the phenomena which occur during the rolling of workpieces to solid section to give the diameters of the cylinders not ordered in all gauges the desired size so that, from the pressure of the rolled part on the mandrel and the friction between the mandrel and the workpiece in each gauge, there results a driving force of the rolled part ,,
which is equal or approximately equal to the force necessary for the reduction of dimensions Large reductions in dimensions produced at the beginning of the deformation result from the diameters of cylinders of corresponding sizes of the input caliber The section of the perforated part becoming each times smaller, also requires a smaller reduction per caliber., measured in mm2.
According to the teachings of this invention, the diameters of the rolls therefore correspondingly decrease in the direction of rolling, however still so far as in each gauge, results from the pressure of the rolled material on the mandrel and the force. of friction a force to drive the material to be rolled, which is equal or approximately equal to the force necessary for the reduction of dimensions The force necessary for the reduction of dimensions then occurs in each caliber even and thus frees from the forces that they had to withstand the bottom and the outlet section of the perforated part, which until now determined the reduction in dimensions allowed. For this reason,
it is now also possible to adjust the size reduction per gauge so that the draw factor is greater than the number of cylinder gauges, provided that there are always several gauges operating simultaneously.
It has already been proposed to construct so-called friction gauges between the drawing gauges, 9 controlled or not controlled! 9 in order to increase the friction on the mandrel and to achieve a greater reduction in dimensions in the drawing gauges. this process of manufacturing metal tubes without welds, an action of this kind is not taken into account if it suffices to obtain the displacement to increase the diameter of the cylinders measured in the base of the gauge by stages in the direction of advancement of the rolled part.
Against the invention, it is proposed to produce in each individual gauge the high friction and mandrel pressure necessary for the drive by choosing cylinders of corresponding sizes. By this means, therefore, a friction gauge is combined in each gauge. and a stretching For this reason, we can
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now also to obtain reductions in dimensions by caliber which have not yet been possible to obtain until now. In this way there is no noticeable flattening of the workpiece, especially not in the case of admitting at all times to the output section Failure to apply a residual tensile force at which flattening cannot occur.
Large diameter gauge rolls, to be used in accordance with the invention on a push bench for drawing 19 punched parts especially from the beginning of the gauge bench, however represent a complete codification of the type of construction of cylinder gauges. and their benches as applied to date. This modification of the construction method usually used heretofore, of the gauge banks with regard to large cylinder diameters, especially at the start of the deformation path, at the same time allows a noticeable enlargement of the cylinder journals.
The load of the bearing journals per cm 2 can therefore be maintained at the value corresponding to that commonly used in normal rolling mills.
The construction of a push bench thus designed and constructed is described in the following and shown in the drawings., By way of example
Figure 1 is a side view of the cylinder gauges partly in section in schematic representation; Figure 2 is a plan view of a push bench according to the invention; FIG. 3 represents on a larger scale a section taken along the line III-III of FIG. 2; Figure 4 is a partly sectional side view of a modified form of construction of the cylinder gauge bench and Figure 5 the corresponding front view.
In the installation shown in Figures 1-3, the workpiece a first forming a perforated part of length 1, to be stretched on -the pusher bench, is guided using a rod. chuck b through calibers 1-7 each time consisting of two cylinders.
It leaves the last cylinder 7 in the form of a tube of length L. The roller or cylinder gauges 2, 4 and 6 of the push bench are offset by 90 compared to the previous gauges. The ratio of the lengths L and 1 represents the stretch factor.
The invention is based on the proposition that the diameter D of the uncontrolled cylinders of each of the gauges 1-7 has a magnitude such that the force acting on the mandrel shank b by the pressure of the cylinders and the friction. ) to drive the workpiece a is equal or approximately equal to the force necessary for the reduction of dimensions to be carried out in each gauge The reduction of dimensions by gauge must for this be set to a quantity such that the draw factor L @ 1 is greater than the number of calibers with cylinders, provided that there are always several calibers operating simultaneously.
on the bench shown in Figure '1 provided with seven cylinder gauges, the draw factor is therefore greater than 7. The cylinders of the push bed according to 1-'invention have, in the direction of the thrust, a diameter which decreases from caliber to caliber. The diameters are in this case notably larger than those of known calibers, usually provided with three or four uncontrolled cylinders. This fact necessitates an essential modification of the method of construction applied hitherto both to the cylinder gauges themselves and to their beds.
In the form of construction according to Figures 2 and 3, the calipers consist of two cylinders 8 and 9 which rest in a particular support body. Each of these supports consists of an upper shell.
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upper 10 and a lower shell 11 held against each other in a removable manner by strong screws 12 The journals 13 of the cylinders 8 and 9 of each support 10, 11, built much stronger than was usual until present in closed bearings 14, which can be lubricated by screw connections, 15, etc ...
Each of the bearings 14 is provided with cooling ribs which leave hollow spaces between them as well as between them and the walls of the shells 10 and 11 of the supports which connect thereto. Is introduced into these hollow spaces., Through openings 17 and 18 of the shells 10 and 11 of the housing of the cooling water which emerges through openings 19 and 20 of the support. The known external cooling of the cylinders 8 and 9 takes place at using a cooling pipe 21.For assembly and disassembly of cylinders 8 and 9, it suffices only., after loosening screws 12, to lift the upper shell 10; one can then place the cylinders in the lower shell 11 or remove them therefrom.
Each of the supports 10, They described above, serving to receive the gauges cylinders. \) Is according to the invention suspended from horizontal anchors 22 and 23, which take the place of the gauge benches used up to 'Now For this purpose the upper shell carries on one side, and the lower shell 11 on the other side of each support, each time hooks 24 and 25, which penetrate into recesses 26 of the corresponding anchor bar 22, 23 respectively.
Such notches exist along the entire length of each of the anchors 22 and 23, so that the individual gauge supports and with them the cylinder gauges themselves can be placed at any distances from each other. Anchors 22 and 23 are arranged a little above the center of the cylinders, that is to say the contact surface of the cylinders. 8 and 9. The lower shell 11 of each gauge holder is further provided with a trestle 27 which penetrates between the teeth of a toothed rod 28. The tilting moments which occur in the holders of the individual gauges are thus absorbed. .
As shown in Figure 3, the cylinders 8 and 9 of each chamber in the corresponding holder are at an angle of 45 to the horizontal. In this way, it is possible, without modifications of construction, to suspend the supports to the anchors 22 and 23 so that each time the gauges which follow one another are offset by 90 with respect to the other (figure 2). For this purpose it suffices only that one support in two is suspended from the anchors 22 and 23 in a position rotated by 180 with respect to that of FIG. 3 For the manufacture of thin-walled tubes, it is also possible, if necessary, to follow written cylinder gauges, drawing and rounding gauges.
These other sizes, which are ordered but also may not be ordered, are not shown in the drawings because their arrangement and construction are known and do not form the object of the present invention. brackets of individual gauges on the anchors 22 and 33 as well as for the removal of the upper shell 10 from each bracket, holes 29 are provided in the latter in which a lifting device can be attached to the shell -10.
The form of construction of cylinder gauges, shown in Figures 4 and 5, differs from that first described in that each gauge holder consists of a single support body 30, provided with removable side covers 31. For fixing removable from the side covers 31 to the support 30, strong screws 32 are used. The suspension of this frame 30 from the anchors 22 and 23 using hooks 24 and 25 as well as the support on the toothed rod 28 to the 'using the easel 27 are the same as in the 1st example of construction. The screws 32 are fixed to ribs 33 of the support 30, between which intermediate pieces 34 can be slid.
Each of these parts surrounds in the form of a closed bearing the journals 13 of a caliber cylinder. Between the journals of the cylinders 13 of each caliber cylinder and the corresponding intermediate part are provided
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bearings 36, which can be lubricated in the usual way. In each support 30 there are three intermediate pieces 34 with cylinders 35, among which, as shown in figure 4, an intermediate piece and the cylinder which belongs to it, have been kidnapped
In each supporta 30 is, between its outer walls and the intermediate piece 34, a removable plate 37, held by screws 380 As shown on the right side of Figure 4, each plate 37,
after loosening the corresponding screws 38 can be removed laterally from the support body 30 without having to remove the corresponding side cover 31, The screws 38 serve at the same time to hold the intermediate pieces 34 and the cylinders 35 in the radial direction, while they are held in place in the direction of the bench or the cylinder by the side covers 31. By exchanging a plate 37 against another plate of different thickness, the intermediate piece 34 as well as its cylinder can therefore be adjusted exactly in the radial direction .For the movement of the supports., 30, a strong ring 39 placed at its top is used., In which can µSa- adapt a lifting device.
Each intermediate piece 34 forms with the corresponding cylinder 35 and the bearing 36 a unit,
enclosed in a holder 30 or removable therefrom For the repair of a cylinder 35, the corresponding enclosed unit is therefore removed from the holder 1 laterally after removing a side cover 31. This unit is then placed by means of the holder. of its journals 13 on an appropriate turn. The journals are held there between the counter-points of the lathe and are rotated by means of driving pins or the like. On the other hand, the intermediate piece 34 is held stationary by means of an appropriate heel of the lathe. When the cylinder 35 has been rotated to the desired extent, the closed unit is again inserted in place between the ribs 33 of the support 30 and adjusted in the radial direction by the introduction of a plate 37 of corresponding thickness.
After placing the cover 31 and its fixing by tightening the corresponding screws 32, as well as after tightening the corresponding screws 38, the cited unit is secured in all directions in its position in the support 300.