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BREVET D'IMPORTATION BASE SUR LE BREVET AUTRICHIEN Procédé pour la fabrication de tubes métalliques sans soudure.
La présente invention concerne un procédé pour étirer des tubes sans soudure en métaux durs, en particulier le fer, à partir de la loupe de tube jusqu'à l'épaisseur usuelle de paroisdes tubes à gaz, en une seule opération par le fait que la pièce chauffée portée par un mandrin est refoulée à travers un grand nombre de calibres d'éti- rage formés de cylindres non commandés et placés à la sui- te l'un de l'autre.
uomme alors la force nécessaire pour l'étirage est transmise uniquement à la pièce traitée par le mandrin agissant sur le fond de la loupe du tube, dans
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le cas pu la diminution de section transversale totale à effectuer en une opération est tellement grande que la force nécessaire ainsi que celle pour surmonter la résis- tance de frottement du calibre d'étirage produirait dans la plus petite section de la pièce traitée une sollicitai tion dépassant la limite de déchirement, il devait se produire un déchirement de la pièce dans la section dan- gereuse.
La sollicitation de la section dangereuse ne peut pas pratiquement être diminuée à volonté par le fait qu'on augmente les distances dans lesquelles les calibres d'éti- rage se succèdent au point que du grand nombre de calibres nécessaire pour la réalisation de la section de la diminn- tion poursuivie de section transversale totale, un seul chaque fois ou de peu nombreux calibres agissent simulta- nément sur la pièce. Le banc d'étirage devrait avoir alors une longueur telle au'il en résulterait des difficultés de réalisation pour le banc d'étirage.
En outre, parce que la vitesse de la pièce ne peut pas 'être augmentée à volonté, pendant le temps nécessaire pour le passage à travers toute la rangée de calibres, la pièce se refroidi- rait, avant l'achèvement du traitement, en-dessous de la température nécessaire pour ce traitement.-Le moyen consistant à surmonter la résistance opposée par les ca- libres d'étirage au passage de la pièce par le fait que les calibres sont formés de rouleaux aussi petits que pos- sible ne suffit pas à lui tout seul pour décharger la sec- tion transversale dangereuse d'une manière telle que l'on pourrait renoncer complètement à la commande extérieure des rouleaux ou d'une partie de ceux-ci.
Pour éviter complètement les rouleaux actionnés, il a déjà été proposé de prévoir derrière ou entre les ca- libres d'étirage dont les rouleauxpossèdent au maximum le diamètre double decelui du calibre correspondant, des
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calibres qui p ro duis-ent un frottement élevé par le fait que le diamètre de leur rouleau est plus grand que celui des autres rouleaux et vaut de 1,5 à 4 fois le diamètre du calibre.
On a constaté que toutes les dispositions de ca- libres ne répondent pas au but lorsque les diamètres des rouleaux se trouvent en-dessous des valeurs limites ci- dessus d'au moins 2d au plus grand calibre et, pour cer- tains calibres,dits calibres de frottement, se trouvent entre 1, 5 et 4d et qu'il n'est pas indifférent que les rouleaux de différents diamètres se succèdent dans un certain ordre.-
Les difficultés qui se produisent par la solli- citation à la traction de la pièce traitée, et la né- cessité de prendre des mesures particulières pour diminuer cette sollicitation sont à envisager seulement lorsqu'il N'agit de produire en une seule opération une diminution de section de la matière aussi poussée que possible, à au moins 1/5 - 1/15 et plus encore,
la valeur réciproque de la diminution de section étant appelée facteur d'allonge- ment. Les conditions les plus favorables aussi bien au point de vue de la longueur de construction du banc de poussée que concernant la demande de force motrice s'ob- tiennent lorsqu'on essaie de réaliser l'allongement à pro- duire avec le plus petit nombrepossible de calibres, c' est à dire qu'on produit par calibre un allongement d'environ 20%, même jusque 25% par rapport à la section d'entrée de la pièce dans chaque cas.
Pour un allongement total à 1/5 de la section transversale de la matière, il faut au moins 6, pour un allongement à 1/10 au moins 12 et pour un allongement à 1/15 au moins 15 calibres de rouleaux successifs, c'est . à dire au moins un nombre de calibres égal au facteur d'allongement.
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Suivant la présente invention, il importe que le diamètre des rouleaux (toujours mesuré à l'endroit le plus profond de la cuvette des rouleaux, c'est à dire le plus petit diamètre) dans le plus grand calibre vale au moins 0,3 fois et dans le plus petit calibre au plus 2,5 fois le diamètre libre correspondant du calibre et que le rapport entre le diamètre des rouleaux et le diamètre de calibre croisse progressivement' du plus Grand calibre vers le plus petit calibre.
Dans la fabrication de tubes inférieurs à envi- ron 100 mm de diamètre, avec 1'épaisseur de paroi usuelle des tubes à gaz (environ 2-3 mm),il faut suivant la pré- sente invention que le diamètre des rouleaux qui dans les limites ci-dessus est plus petit pour le plus grand cali- bre que le diamètre libre du calibre, croisse vers le plus petit calibre progressivement jusqu'à une grandeur située au-dessus de l'ouverture libre de ce calibre.
La grandeur effective des rouleaux du plus petit calibre de- vient avantageusement aussi petite que possible à l'inté- rieur de la valeur d > (où D est le diamètre libre du ca- libre et d le diamètre des rouleaux de ce calibre.), mais est pris suffisamnent grand pour que le rapport d puisse
D être diminué, par gradations qui doivent répondre à des conditions expliquées ci-après, vers le plus grand cali- bre d'étirage, c'est à dire le premier, sans qu'il attei- gne la valeur limite pratiquement non dépassable pour la- quelle d vaut seulement 0,3 de Dr.
Lors de l'allongement d'une loupe de tube de 102 um de diamètre avec un mandrin de 49 mm de diamètre à 55 mm de diamètre extérieur, on obtient de bons résultats avec par exemple 15 calibres successifs danslesquels pour le calibre le plus petit, et est à dire le quinzième calibre, d15 = 1,36 et dans le premier calibre, c'est à dire le D15
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plus grand,d1 = 0,72.
D1
Pour le choix de la grandeur du diamètre des rouleaux des différents calibres ou des gradations de la diminution du diamètre des rouleaux, on peut se reporter aux considétations exposées à l'aide des dessins.
La fig. 1 représente une coupe longitudinale schématique à travers les calibres d'un banc de poussée.
La fig. 2 est une coupe transversale dans un des calibres à plus grande échelle. La fige 3 est une vue de face par- tielle d'un calibre, à une échelle encore plus grande.
Le mandrin b qui porte la loupe de tube a fermée à une extrémité o (fig.l), est refoulé à la vitesse V dans le sens de la flèche à travers les calibres K1 - Kn pla- cés à la suite l'un de l' autre. De ce fait, la section transversale initiale de la pièce traitée Q@ = Do 2#/4 - do 2#/4 (Doest le diamètre extérieur de l'ébauche et dle dia- mètre du mandrin de poussée) doit être allongée à la sec- tion Qn Dn 2#/4 - do 2#/4 On n'a représenté au dessin que le premier et les trois derniers calibres, mais le nombre de ceux-ci vaut, suivant l'allongement, 6-16 et au-delà.
Les calibres K1-Kn sont composés de rouleaux tour- Rait: librement, c'est à dire non actionnés, qui enferment avec leur cuvette la pièce aussi complètement que possi- ble (fig.2). Les cuvettes des rouleaux épousent seulement, comme le montre la f ig. 3, suivant un arc d'environ 30 des deux cotésdu plan médian des rouleaux, la périphérie cir- culaire de la section transversale de la pièce traitée et s'écartent de cette dernière, un peu vers l'extérieur, vers le bord du rouleau. Confie diamètre du rouleau d, il faut prendre celui mesuré au fond de la cuvette, c'est à dire le plus petit diamètre du rouleau.
La section Wo de la piè- ce, qui s'étend depuis la section n-n passant par les axes
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des rouleaux du dernier calibe K n jusqu'à llextrémité fermée .± de la loupe de tube, se meut avec la vitesse V du mandrin dans le sens de l'avancement, de sorte que dans la section n-n il n'y a pas de différence de vitesse entre le mandrin et la pièce traitée, Comme par une aug- mentation du diamètre des rouleaux (pour un même rapport d'allongement, de la section Qn-1 avec laquelle la pièce pénètre dans le calibre Kn, à 1a section de la pièce Qn avec laquelle elle sort 'de ce calibre) la pression per- pendiculaire à la pièce et par conséquent la pression d'application de la pièce sur le mandrin peut 'être augmen- tée,
on peut ainsi augmenter le frottement entre la pièce traitée et le mandrin au point que le fond de la pièce traitée est déchargé de la pression du mandrin de poussée et qu'une partie de la sollicitation par traction de la matière est transmise du fond de celle-ci à la section transversale n-n. Par suite de l'allongement produit par le calibre n la matière s'écoule avec la vitesse an en sens inverse du sens d'avancement du mandrin, vers l'ar- rière , de sorte que la matière entre le dernier calibre Kn et l'avant dernier dalibre Kn-1 se déplacera dans le sens de l'avancement avec la vitesse V - an.
Tandis qu'a- lors la pression, produite par .les rouleaux du dernier calibre, de la matière traitée sur le mandrin peut *être aussi grande qu'on le désire, de telle façon que la matiè- re est complètement reliée au mandrin, ceci est inadmissi- ble dans l'avant-dernier calibre Kn-1' de sorte que dans celui-ci les rouleaux doivent recevoir, en rapport avec le diamètre de calibre Dn-l, un plus petit diamètre que dans le dernier calibre, c' est à dire que ¯¯¯¯¯ / Dn
Dn-1 dn De ce fait, par conséquent, le diamètre des rouleaux de l'avant-dernier calibre serait limité vers le haut.
La
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limitation vers le bas est déterminée par le calibre pré- cédent Kn-2 @ K1.D' une part par le fait que pour les rouleaux de tous les calibres précédents, il existe la condition que le rapport d doit être plus petit, dans cha-
D que calibre précédent, que pour le calibre suivant dans d le sens de l'avancement, mais que ce rapport 1 jusqu'au premier calibre K1 ne peut pas descendre en- D1 dessous de 0,5 du dans le cas extrême en-dessous de 0,3.
D'autre part, le diamètre des rouleaux est limité vers le bas également par le fait que la force defrottement entre la matière et le mandrin ne doit pas avoir une grandeur telle qu'elle empêche un reflux avec la vitesse smais doit toutefois, n en-dessous de cette limite, être aussi grand que possible pour provoquer une décharge partielle de la pièce traitée de la sollicitation par traction produite par le mandrin de poussée.
Dans la section W2 entre les calibres Kn-1 et Kn-2' la matière est refoulée vers l'arrière avec la vi- tesse sn-1 par suite de l'allongement provoqué par le calibre Kn-1' de sorte que la matière se meut sous les rouleaux du calibre Kn-2 dans le sens de l'avancement, avec une vitesse qui est plus petite de sn + sn-1 que la vitesse d'avancement V du mandrin. Le diamètre dn-2 des n-2 roulàaux du calibre Kn-2 doit par conséquent être suffisam- ment petit pour que le frottement provenant de la pression . d'application de la matière sur le mandrin n'empêche pas le reflux de la matière et que les rouleaux du calibre puis- sent tourner avec la vitesse V - (sn+ sn-1)/.
Les rouleaux doivent toutefois, pour tenir compte du calibre plus grand suivant vers l'arrière, c' est à dire en sens opposé au sens d'avancement, être aussi plus grand que possible pour provoquer le déchargement partiel, produit par le frotte- ment d'application sur le mandrin, de la matière au point
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de vue de la sollicitation par traction et pour permettre une diminution nouvelle du rapport d vers les plus grands
D calibres se suivant vers l'arrière jusqu'au premier cali- bre K, sans passer en-dessous de la limite inférieure.
Malgré la diminution progressive du rapport d de dn > 1 (au maximum 2,5) à d1/D1 < 1 (pas inférieur à 0,3)D, la Dn @ grandeur absolue du diamètre des rouleaux ne subit pas une diminution trop poussée vu que la valeur D crott progres- sivement du plus petit calibre Kn vers le plus grand cali- bre Kl.
Une autre circonstance qui permet de ne pas devoir diminuer le diamètre des rouleaux trop fortement par rap- port aux rouleaux du calibre voisin plus petit,consiste en ce que la pression radiale admissible dans le calibre pour une plus grande épaisseur de la couche de matière peut être plus grande que pour une couche de matière plus mince sans freiner trop fortement le reflux de la matière sous les rouleaux au point q'il se produise une accumulation dans la section de matière amenée au calibre plus petit voisin. L'augmentation de la pression d'application avec l'augmentation d'épaisseur de la couche de la matière est toutefois nécessaire également pour produire à travers une plus grande épaisseur de paroi de la matière, le frot- tement désiré entre la matière et le mandrin de poussée.
Par le fait que pour le plus petit calibre K , le diamètre des rouleaux ne doit pas être pris tellement grand que par la pression des rouleaux la matière est re- foulée dans l'intervalle entre les rouleaux et que le rap- port entre le diamètre des rouleaux et le diamètre du ca- libre est diminué graduellement vers les plus grands cali- bres, il ne se produira dans aucun calibre une pression tel- lement élevée que la matière refoulée dans la fente entre les rouleaux forme de fortes nervures, au point qu'elles ne peuvent pas être supprimées dans le calibre suivant sans
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laminage, mais d'autre part la pression d'application entre la matière et le mandrin de poussée est suffisante pour que celle-ci répartisse la sollicitation par traction de la matière,
-qui est produit par la force qui est nécessai- re pour provoquer l'allongement de la section initiale
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.1f (Do - do2) à la section finale f (Dn2 - dn 29 sur tous les calibres et intervienne pour que dans aucune section de la pièce il ne puisse se produire une sollicitation dé- passant la limite de déchirement de la matière. Pour la grandeur absolue du diamètre des rouleaux d'un calibre, ily a toutefois une tolérance qui correspond à la force qui est nécessaire pour l'accumulation de la matière dans la section qui est comprise entre le calibre considéré et le calibre plus petit suivant.
A l'intérieur de cette to- lérance on peut, dans le cas d'un nombre suffisamment grand de calibres, s'écarter dans certains calibres de la valeur la plus favorable du rapport d pour qu 'on puisse, pour
D des considérations de construction, dans deux ou plusieurs calibres juxtaposés, employer des rouleaux de même diamètre.
Il est encore à remarquer que par le premier et le dernier calibres mentionnés ci-dessus, il faut toujours comprendre uniquement les calibres d'étirage, o'eat à dire des calibres qui produisent un étirage réel et ne servent pas à d'autres buts, par exemple éventuellement à lisser ou à détacher.
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IMPORT PATENT BASED ON THE AUSTRIAN PATENT Process for the manufacture of seamless metal tubes.
The present invention relates to a method for drawing seamless tubes of hard metals, in particular iron, from the tube burner to the usual wall thickness of gas tubes, in a single operation in that the heated part carried by a mandrel is forced through a large number of drawing gauges formed of uncontrolled cylinders and placed one after the other.
uas then the force necessary for drawing is transmitted only to the part treated by the mandrel acting on the bottom of the tube magnifier, in
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if so, the reduction in total cross-section to be effected in one operation is so great that the force required as well as that to overcome the frictional resistance of the drawing gauge would produce a stress in the smallest section of the part being processed. exceeding the tear limit, a tear must occur in the part in the dangerous section.
The stress on the dangerous section cannot practically be reduced at will by increasing the distances in which the drawing gauges follow one another to the point that the large number of gauges necessary for the realization of the section of With the continued decrease in total cross section, only one each time or a few gauges act simultaneously on the part. The drawing bench should then have such a length that would result in manufacturing difficulties for the drawing bench.
Further, because the speed of the workpiece cannot be increased at will, during the time required to pass through the entire row of gauges, the workpiece would cool, prior to completion of the treatment, in- below the temperature necessary for this treatment.-The means consisting in overcoming the resistance opposed by the drawing calipers to the passage of the part by the fact that the gauges are formed of rolls as small as possible is not sufficient on its own to unload the dangerous cross-section in such a way that the external control of the rollers or part of them could be completely dispensed with.
To completely avoid actuated rollers, it has already been proposed to provide behind or between the drawing tubes, the rollers of which have at most the double diameter of that of the corresponding caliber,
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gauges which provide high friction by the fact that the diameter of their roll is larger than that of other rollers and is 1.5 to 4 times the diameter of the gauge.
It has been found that all the caliber arrangements do not meet the purpose when the diameters of the rollers are below the above limit values by at least 2d at the largest caliber and, for some caliber, called friction gauges, are between 1, 5 and 4d and it is not indifferent that the rollers of different diameters follow one another in a certain order.
The difficulties which arise from the tensile stress of the treated part, and the need to take special measures to reduce this stress are to be considered only when it is not a matter of producing a reduction in a single operation. section of the material as deep as possible, at least 1/5 - 1/15 and more,
the reciprocal value of the reduction in section being called the elongation factor. The most favorable conditions both from the point of view of the length of construction of the push bench and with regard to the demand for motive power are obtained when an attempt is made to achieve the extension to be produced with the smallest possible number. of gauges, that is to say that one produces per gauge an elongation of about 20%, even up to 25% with respect to the entry section of the part in each case.
For a total elongation at 1/5 of the cross section of the material, at least 6, for an elongation at 1/10 at least 12 and for an elongation at 1/15 at least 15 successive roll sizes, it is necessary is . ie at least a number of gauges equal to the elongation factor.
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According to the present invention, it is important that the diameter of the rollers (always measured at the deepest point of the bowl of the rollers, that is to say the smallest diameter) in the largest caliber is at least 0.3 times and in the smallest gauge not more than 2.5 times the corresponding free diameter of the gauge and the ratio of roll diameter to gauge diameter gradually increases from the larger gauge to the smaller gauge.
In the manufacture of tubes smaller than about 100 mm in diameter, with the usual wall thickness of gas tubes (about 2-3 mm), it is necessary according to the present invention that the diameter of the rollers which in the limits above is smaller for the larger gauge than the free diameter of the gauge, increases towards the smallest gauge gradually to a magnitude above the free opening of that gauge.
The effective size of the smallest caliber rollers advantageously becomes as small as possible within the value d> (where D is the free diameter of the caliber and d is the diameter of the rollers of that caliber.) , but is taken large enough so that the ratio d can
D be reduced, by gradations which must meet the conditions explained below, towards the greatest drawing caliber, that is to say the first, without reaching the limit value practically not surpassable for where d is only 0.3 of Dr.
When lengthening a 102 µm diameter tube magnifier with a 49 mm diameter mandrel to 55 mm outside diameter, good results are obtained with e.g. 15 successive gauges in which for the smaller gauge, and is to say the fifteenth caliber, d15 = 1.36 and in the first caliber, ie the D15
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larger, d1 = 0.72.
D1
For the choice of the size of the diameter of the rolls of different gauges or of the gradations of the decrease in the diameter of the rolls, reference may be made to the considerations set out with the aid of the drawings.
Fig. 1 shows a schematic longitudinal section through the gauges of a push bench.
Fig. 2 is a cross section in one of the larger scale templates. Fig 3 is a partial front view of a gauge, on an even larger scale.
The mandrel b which carries the tube magnifier a closed at one end o (fig.l), is driven back at speed V in the direction of the arrow through the gauges K1 - Kn placed after one of the other. Therefore, the initial cross section of the workpiece Q @ = Do 2 # / 4 - do 2 # / 4 (Doest the outer diameter of the blank and the diameter of the pushing mandrel) must be lengthened to the section Qn Dn 2 # / 4 - do 2 # / 4 Only the first and the last three gauges have been shown in the drawing, but the number of these is, depending on the elongation, 6-16 and -of the.
The K1-Kn gauges are composed of rollers rotating: freely, that is to say not actuated, which enclose the part with their cup as completely as possible (fig.2). The cups of the rollers match only, as shown in fig. 3, following an arc of about 30 on both sides of the median plane of the rollers, the circular periphery of the cross section of the workpiece and deviating from the latter, a little outwards, towards the edge of the roll . Given the diameter of the roll d, it is necessary to take the one measured at the bottom of the bowl, that is to say the smallest diameter of the roll.
The section Wo of the piece, which extends from the section n-n passing through the axes
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rollers of the last caliber K n up to the closed end. ± of the tube magnifier, moves with the speed V of the mandrel in the direction of advance, so that in section nn there is no difference in speed between the mandrel and the part treated, As by an increase in the diameter of the rollers (for the same aspect ratio, from the section Qn-1 with which the part enters the gauge Kn, to the section of the part Qn with which it comes out of this caliber) the pressure perpendicular to the part and consequently the pressure of application of the part on the mandrel can be increased,
it is thus possible to increase the friction between the treated part and the mandrel to the point that the bottom of the treated part is relieved of the pressure of the pushing mandrel and that part of the tensile stress of the material is transmitted from the bottom of that - here at cross section nn. As a result of the elongation produced by the gauge n the material flows with the speed an in the opposite direction to the direction of advance of the mandrel, towards the rear, so that the material between the last gauge Kn and l The penultimate dalibre Kn-1 will move in the direction of travel with the speed V-an.
While then the pressure, produced by the late caliber rollers, of the material being processed on the mandrel can be as great as desired, so that the material is completely bonded to the mandrel, this is inadmissible in the penultimate gauge Kn-1 'so that in this one the rollers must receive, in relation to the gauge diameter Dn-l, a smaller diameter than in the last gauge, c 'i.e. ¯¯¯¯¯ / Dn
Dn-1 dn Therefore, therefore, the diameter of the rollers of the penultimate caliber would be limited upwards.
The
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downward limitation is determined by the previous size Kn-2 @ K1. On the one hand by the fact that for rolls of all previous sizes there is the condition that the ratio d must be smaller, in each -
D that the previous caliber, that for the following caliber in the direction of advance, but that this ratio 1 up to the first caliber K1 cannot fall below D1 below 0.5 du in the extreme case below of 0.3.
On the other hand, the diameter of the rollers is also limited downwards by the fact that the frictional force between the material and the mandrel must not be of such a magnitude as to prevent back flow with the speed but must, however, not be. below this limit, be as large as possible to cause a partial discharge of the workpiece from the tensile stress produced by the pushing mandrel.
In the section W2 between the gauges Kn-1 and Kn-2 'the material is forced backwards with the speed sn-1 due to the elongation caused by the gauge Kn-1' so that the material moves under the Kn-2 caliber rollers in the forward direction, with a speed that is sn + sn-1 smaller than the forward speed V of the mandrel. The diameter dn-2 of the n-2 rollers of gauge Kn-2 must therefore be small enough for the friction arising from the pressure. application of the material on the mandrel does not prevent the back flow of the material and that the caliber rollers can rotate with the speed V - (sn + sn-1) /.
The rollers must however, in order to take account of the next larger caliber towards the rear, that is to say in the direction opposite to the direction of advance, be as large as possible to cause the partial unloading, produced by the friction. application on the mandrel, from the material to the point
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view of the tensile stress and to allow a further reduction of the ratio d towards the largest
D calibers following each other back to the first K caliber, without going below the lower limit.
Despite the gradual decrease in the ratio d from dn> 1 (maximum 2.5) to d1 / D1 <1 (not less than 0.3) D, the Dn @ absolute magnitude of the diameter of the rollers does not undergo too much reduction since the value D gradually increases from the smallest caliber Kn to the largest caliber Kl.
Another circumstance which makes it possible not to have to reduce the diameter of the rollers too greatly compared to the rollers of the neighboring smaller caliber, consists in that the radial pressure admissible in the caliber for a greater thickness of the material layer can be larger than for a thinner layer of material without too strongly slowing the reflux of material under the rollers to the point that there is an accumulation in the section of material brought to the neighboring smaller gauge. The increase in the application pressure with increasing thickness of the material layer is, however, also necessary to produce through a greater wall thickness of the material the desired friction between the material and the material. thrust chuck.
By the fact that for the smallest gauge K, the diameter of the rollers must not be taken so large that by the pressure of the rollers the material is pushed back into the gap between the rollers and the ratio between the diameter of the rollers and the diameter of the caliber is gradually reduced towards the larger caliber, there will not be such a high pressure in any caliber that the material forced into the gap between the rollers forms strong ribs, to the point that they cannot be deleted in the next caliber without
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rolling, but on the other hand the application pressure between the material and the thrust mandrel is sufficient for the latter to distribute the tensile stress of the material,
-which is produced by the force which is required to cause the elongation of the initial section
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.1f (Do - do2) at the final section f (Dn2 - dn 29 on all gauges and intervene so that in no section of the part there can be no stress exceeding the tearing limit of the material. the absolute magnitude of the diameter of the rolls of a gauge, there is however a tolerance which corresponds to the force which is necessary for the accumulation of the material in the section which is between the gauge considered and the next smaller gauge.
Within this tolerance it is possible, in the case of a sufficiently large number of sizes, to deviate in certain sizes from the most favorable value of the ratio d so that one can, for
D for construction considerations, in two or more juxtaposed gauges, use rollers of the same diameter.
It is still to be noticed that by the first and the last gauges mentioned above, one should always understand only the drawing gauges, o'eat to say gauges which produce an actual stretching and are not used for other purposes. , for example possibly to smooth or detach.