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ECHAFAUDAGE DE CINTRES POUR LA CONSTRUCTION DE PONTS, etc....
Dans la construction de ponts pleins, il était d'usage à ce jour d'employer des échafaudages en bois, avec intercalation de boisages de cintre de construction particulièrement solide, pour constituer les éléments de sup- ports proprement dits du coffrage. Ces échafaudages étaient généralement for- més en deux parties, à savoir, une partie supérieure décintrable et une par- tie inférieure fixe.
Ces échaufaudages doivent être décintrables, afin de pouvoir être dégagés de l'ouvrage achevé. En outre, et afin d'économiser du bois on a été amené à établir l'échafaudage supérieur en tubes d'acier, tout en conservant les éléments connus, à savoir,. les bois de cintres et les cales d'ajustage en bois préparées spécialement, ces éléments constituant toujours les pièces de support du coffrage et les moyens destinés à déterminer la forme de l'intra- dos du pont,, Toutefois, le résultat de ces mesures en ce qui concerne l'éco- noraie de bois et d'autres matières est minime lorsqu'on considère que les . bois de cintre, notamment, doivent présenter des sections très considérables, vu les charges élevées.
A cela s'ajoute le fait que les bois de cintre ne peuvent pas être utilisés aussi souvent qu'on le voudrait, étant donné la diversité des formes des intrados des ponts.
L'invention élimine complètement cette difficulté par l'emploi d'un échafaudage en tubes d'acier pour la construction de ponts etc..,, écha- faudage qui, tout en ne comportant que peu d'éléments, offre une faculté d'a- daptation très remarquable à n'importe quelle forme de l'ouvrage à construire et, de plus, sa manipulation est tellement simple qu'elle n'exige pratiquement pas de main d'oeuvre qualifiée.
Ceci est réalisé grâce à la caractéristique de l'invention consistant en ce que les extrémités libres d'un échafaudage en tubes d'acier connu en soi sont établies de façon à recevoir des poutres principales en fer appelées à supporter la charge à la place des bois de cintres utilisés à ce jour,poutres sur lesquelles le coffrage peut reposer directe- ment dans le cas d'un intrados droit du pont, tandis que, dans le cas d'un intrados -toué. il est fait usage de bois profilés relativement simples et' de faible section,, en tant qu'éléments de profilage supplémentaire.
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L'échafaudage en tubes d'acier ainsi -établi selon l'invention, est en outre caractérisé en ce que les différents piliers tubulaires de l'é- chafaudage sont ajustables axialement et peuvent être réunis aux poutres principales sous différents angles d'inclinaison. Ceci permet d'adapter aisé- ment le coffrage à la forme finale voulue du pont, y compris le surhaussement nécessaire. Grâce à la possibilité de réglage axial de l'échafaudage, le coffrage peut être tout aussi rapidement enlevé après achèvement de l'ouvrage.
De plus, et suivant la nature du chantier, on peut éliminer dans une grande mesure les échafaudages inférieurs et poser le coffrage sur de simples mon- tants verticaux réunis entre eux diagonalement et transversalement et qui peuvent s'appuyer sur des fondations auxiliaires même très légères.
La possibilité de réglage axial peut être réalisée de diverses manières, par exemple à l'aide d'une broche inférieure constituée par une semelle, un manchon taraudé;réuni rigidement à celle-ci et un mandrin de raccordement dont la partie filetée inférieure se visse dans le taraudage complémentaire du manchon tandis que sa partie à emboîter est adaptée à la section libre du tube à raccorder.-
Un tel élément d'ajustement peut présenter diverses formes; par exemple, on peut supprimer la semelle du manchon taraudé et utiliser seule- ment ce dernier comme élément de raccordement aux poutres d'appui ou même aux poutres principales. Ainsi établi, le mandrin fileté peut être employé aussi bien à l'extrémité supérieure qu'à l'extrémité inférieure, ou aux deux extrémités, des tubes d'acier d'échafaudage.
Dans ce dernier cas, les filets des mandrins, qui émergent des extrémités des tubes, sont vissés dans des manchons supérieurs taraudés que l'on peut réunir, à l'aide d'un pivot d'ar- ticulation assujettissable et sous n'importe quel angle d'inclinaison, aux poutres principales supérieurs ou à une pièce d'appui inférieure.
Finalement, on peut, grâce à l'intercalation de mandrins filetés à l'extrémité inférieure des piliers tubulaires, faire converger un certain nombre de tubes d'échafaudage,à savoir jusque douze, en un seul appui et de rendre ce dernier réglable en hauteur dans son ensemble à l'aide d'une vis de décintrage, etc. Dans ce cas, l'échafaudage en tubes est susceptible d'un triple réglage en hauteur, à savoir, à l'aide des mandrins filetés prévus aux extrémités supérieure et inférieure de chaque tube d'échafaudage et au moyen de la vis de décintrage qui agit sur une série de mandrins.
L'invention sera décrite ci-après en détail en se reportant à des exemples de réalisation représentés dans les dessins comme suit :
Les figures 1 à 3 montrent en élévation et partiellement en coupe, le raccordement du coffrage à l'échafaudage tubulaire dans des travées à dif- férents rayons de courbure.
La figure 4 est une vue latérale, partie en coupe, d'un mandrin fileté pour le raccordement de l'extrémité supérieure d'un pilier tubulaire aux poutres principales.
La figure 5 est une vue en direction de la flèche A de la figure 4.
La figure 6 est une coupe selon la ligne A-B de la figure 5.
La figure 7 est la broche inférieure à l'état assemblé, partie en coupe
La figure 8 est un plan de la semelle.
. La figure 9 est une vue latérale d'un mandrin fileté.
La figure 10 est une coupe suivant la ligne C-D de'la figure 7-
La figure 11 est une coupe suivant la ligne E-F de la figure 7.
La figure 12 est une vue latérale, partie en coupe, montrant le mandrin fileté utilisable aussi bien dans le haut que dans le bas de l'écha- faudage tubulaire, tel qu'il se présente après assemblage avec les tubes de raccordement et les poutres correspondantes.
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La figure 13 est une vue en direction de la flèche B de la figure 120
La figure 14 est une vue antérieure d'un appui d'échafaudage com- prenant plusieurs tubes d'échafaudage et appuyé sur un dispositif de décintra- ge
La figure 15 est une vue latérale correspondante.
Selon l'invention, les extrémités supérieures des tubes d'acier 1 de l'échafaudage reçoivent les poutres principales de coffrage 2 sur lesquelles, dans le cas d'une surface de coffrage plane, et comme montré dans la figure 3, les banches peuvent être posées directement, ou qui servent à recevoir des élé- ments intermédiaires, par exemple, les blocs de bois 4 (figure 2), qui reçoivent à leur tour les banches 3. Il va de soi que les blocs de bois peuvent être remplacés par des arceaux d'échafaudage 5 en vois sur lesquels on peut poser par exemple, les madriers de coffrage 5' (figure 1).
Il importe de considérer surtout le mode de raccordement entre les piliers tubulaires 1 et la poutre principale 2, étant donné que celui-ci in- fluence dans une large mesure la progression des travaux lors de l'érection de 1'échafaudage.
Selon l'invention, ce raccordement peut s'opérer de deux manières différentes. Une de celles-ci consiste à employer un élément d'accouplement fileté désigné ici comme mandrin supérieur 6 et dont l'extrémité inférieure li- bre s'emboîte dans la section libre de l'extrémité supérieure du tube. Pour faciliter l'insertion de la partie à emboîter du mandrin, celle-ci présente des segments évidés 7 (figure 6). Un élément de renforcement 8 du mandrin re- pose sur l'extrémité supérieure du tube et se prolonge par une pièce de raccor- dement plate 9, de section rectangulaire.
Un forage 10 prévu à la tête du mandrin sert à recevoir un boulon d'articulation ajustable, une vis 11 par exemple, qui sert d'autre part à assembler la poutre principale constituée par les deux cornières 12. Comme montré dans la figure 5, la poutre et le tu- be d'échafaudage peuvent former n'importe quel angle voulu. Dans le cas repré- senté les plans inclinés 13 de l'élément de renforcement 8 permettent une inclinaison de 60 .
Comme les poutres principales présentent des forages appro- priés sur toute leur longueur, leséléments constitués par ces poutres, le man- drin: supérieur et le tube d'échafaudage permettent une manipulation parti-au- lièrement simple et de plus offrent de grandes possibilités d'adaptation à l'ouvrage même.
La figure 7 montre une broche inférieure servant au déplacement axial des fluides et constitués par une semelle 14, un manchon taraudé 15 réuni rigidement à celle-ci et un mandrin fileté dont la partie filetée inférieure 17 se visse dans le taraudage correspondant du manchon 15.
Les évidements 18 en forme de segments,, (figure 10) prévus dans la partie supérieure à emboîter du mandrin servent ici également à faciliter l'in- troduction de celui-ci dans l'intérieur de l'extrémité inférieure du tube.
La bague de renforcement 19, dont le forage 20, (figure 7), peut recevoir un fer rond ou analogue agissant à la manière d'un levier et servant à produire la rotation du mandrin lors de l'ajustement de l'échafaudage, transmet la charge du pilier tubulaire au mandrin. Il va de soi que la broche inférieure peut être d'une autre construction. Bien entendu, la broche inférieure peut être remplacée par un vérin hydraulique, etc. La broche prévue à l'extrémité inférieure de chaque pilier tubulaire individuel facilite extrêmement l'ajus- tement et peut en outre servir à décintrer le coffrage après achèvement de l'ouvrage.
Un autre mode de raccordement, aux applications encore plus nom- breuses entre les tubes 1 et les poutres principales 2 ou l'appui inférieur 21 est représenté dans 'les figures 12 à 15. Ici, le mandrin fileté (comparer fi- gure 9) consiste également en une partie filetée 17 et une partie à emboîter 16. Les deux parties sbnt réunies par une pièce de raccordement cylindrique 19 qui présente un forage transversal 20 destiné à recevoir l'outil d'ajuste- ment, par exemple un fer rond. Dans ce mode d'exécution, Impartie filetée 17 se visse dans le taraudage du manchon 22 d'un élément supérieur 23, tandis que la pièce à emboîter 16 s'adapte dans l'extrémité lisse du pilier tubulaire
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La tête 23 se raccorde à son tour par l'intermédiaire du boulon 11, à la poutre principale constituée par les deux cornières 12.
Les mandrins filetés (figure 9) peuvent être intercalés non seulement à l'extrémité supérieure, mais aussi à l'extrémité inférieure, ou aux deux extrémités, des tubes 1, assurant ainsi une possibilité de réglage particulière en hauteur.
Dans la figure 14 on a représente la réunion de plusieurs tubes 1 dans un seul appui 21. On reconnaît ici les mandrins filetés 17 engagés d'une part dans les manchons 22 et d'autre part, par leur partie à emboîter 16, dans les extrémités inférieures des tubes 1, et qui sont réglés pour différentes hauteurs et différents angles d'inclinaison. Les manchons in- férieurs 22 sont réunis aux deux cornières 21 à l'aide de tronçons aplatis 23 et 'de boulons 11 comme dans la figure 15. Un dispositif de décintrage 24 peut alors servir à régler simultanément la hauteur de tous les tubes 1 con- centrés sur l'appui 21, tandis que les mandrins filetés engagés dans les extré- mités inférieures et supérieures des différents tubes 1 permettent un réglage individuel de ceux-ci.
Dans l'ensemble,l'échafaudage de cintre selon l'invention, ainsi que ses éléments forment un moyen extrêmement simple pour établir rapidement. et avec un emploi d'une quantité très réduite ou nulle de bois,des coffrages pour ponts dits pleins, tout en permettant Inapplication du coffrage en acier connu en soi,de sorte que pratiquement cet échafaudage et ce coffrage peuvent être considérés dans leur ensemble comme des accessoires de construction éta- blis purement -en acier.
Si cette caractéristique représente le progrès essentiel réalisé grâce à l'invention, les éléments individuels de celle-ci, par exemple l'emploi de poutres principales en acier même dans les échafaudages de cintres en bois utilisés à ce jour, offrent déjà par eux-mêmes des avantages remarquables, mais qui, comme indiqué plus haut, sont mis considérablement en valeur par l'emploi des autres éléments de l'invention.
L'échafaudage selon l'invention n'est pas limitée à son applica- tion à la construction de ponts pleins, mais peut s'appliquer tout aussi bien dans d'autres constructions.
REVENDICATIONS.
1.- Echafaudage de cintres, destiné à la construction de ponts, etc., caractérisé en ce que des poutres¯principales en fer (2), destinées à recevoir le coffrage sont réunies aux extrémités libres 'd'un échafaudage, sur lequel ils s'appuient..
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SCAFFOLDING OF HANGERS FOR THE CONSTRUCTION OF BRIDGES, etc ...
In the construction of solid bridges, it was customary to date to use wooden scaffolding, with interposing of particularly solid construction arch timberings, to constitute the actual support elements of the formwork. These scaffolds were generally formed in two parts, namely, an upper part which could be broken down and a lower part fixed.
These scaffolds must be able to be broken down, so that they can be released from the finished work. In addition, and in order to save wood, it was necessary to establish the upper scaffolding in steel tubes, while retaining the known elements, namely. specially prepared wooden hangers and adjusting wedges, these elements always constituting the supporting parts of the shuttering and the means intended to determine the shape of the interior of the bridge, However, the result of these measurements as regards the eco-range of timber and other materials is minimal when one considers that the. Bentwood, in particular, must have very considerable sections, given the high loads.
Added to this is the fact that the arch timbers cannot be used as often as one would like, given the variety of shapes of the lower surfaces of the bridges.
The invention completely eliminates this difficulty by the use of a scaffolding made of steel tubes for the construction of bridges etc., scaffolding which, while comprising only a few elements, offers the possibility of a- very remarkable adaptation to any form of the work to be constructed and, moreover, its handling is so simple that it practically does not require skilled labor.
This is achieved by virtue of the feature of the invention consisting in that the free ends of a steel tube scaffolding known per se are established so as to receive main iron girders called upon to bear the load instead of hanger woods used to date, beams on which the formwork can rest directly in the case of a right soffit of the bridge, while, in the case of a soffit - knotted. Relatively simple and small section profiled timbers are used as additional profiling elements.
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The steel tube scaffolding thus established according to the invention is further characterized in that the various tubular pillars of the scaffolding are axially adjustable and can be joined to the main beams at different angles of inclination. This makes it possible to easily adapt the formwork to the desired final shape of the bridge, including the necessary raising. Thanks to the possibility of axial adjustment of the scaffolding, the formwork can be removed just as quickly after completion of the work.
In addition, and depending on the nature of the site, the lower scaffolding can be largely eliminated and the formwork placed on simple vertical uprights joined together diagonally and transversely and which can be supported on even very light auxiliary foundations. .
The possibility of axial adjustment can be achieved in various ways, for example using a lower spindle consisting of a flange, a threaded sleeve; rigidly joined to it and a connection mandrel whose lower threaded part is screwed on. in the complementary thread of the sleeve while its part to be fitted is adapted to the free section of the tube to be connected.
Such an adjustment element can have various shapes; for example, the flange of the threaded sleeve can be omitted and the latter only be used as a connection element to the support beams or even to the main beams. Thus established, the threaded mandrel can be used on both the upper end and the lower end, or both ends, of scaffold steel tubes.
In the latter case, the threads of the mandrels, which emerge from the ends of the tubes, are screwed into upper threaded sleeves which can be joined together with the aid of a securing pivot and under any which angle of inclination, to the upper main beams or to a lower supporting part.
Finally, it is possible, thanks to the insertion of threaded mandrels at the lower end of the tubular pillars, to converge a certain number of scaffolding tubes, namely up to twelve, in a single support and to make the latter adjustable in height. as a whole using a decalcification screw, etc. In this case, the tube scaffolding is capable of a triple height adjustment, namely, by means of the threaded mandrels provided at the upper and lower ends of each scaffold tube and by means of the offset screw which acts on a series of mandrels.
The invention will be described below in detail with reference to exemplary embodiments shown in the drawings as follows:
Figures 1 to 3 show in elevation and partially in section, the connection of the formwork to the tubular scaffolding in spans with different radii of curvature.
Figure 4 is a side view, partly in section, of a threaded mandrel for connecting the upper end of a tubular pillar to the main beams.
Figure 5 is a view in the direction of arrow A in Figure 4.
Figure 6 is a section taken on line A-B of Figure 5.
Figure 7 is the lower spindle in assembled state, part in section
Figure 8 is a plan of the sole.
. Figure 9 is a side view of a threaded mandrel.
Figure 10 is a section taken on line C-D of figure 7-
Figure 11 is a section taken along the line E-F of Figure 7.
Figure 12 is a side view, partly in section, showing the threaded mandrel usable both at the top and at the bottom of the tubular scaffolding, as it appears after assembly with the connecting tubes and the beams corresponding.
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Figure 13 is a view in the direction of arrow B in Figure 120
Figure 14 is a front view of a scaffolding support comprising several scaffolding tubes and resting on a release device.
Figure 15 is a corresponding side view.
According to the invention, the upper ends of the steel tubes 1 of the scaffolding receive the main formwork beams 2 on which, in the case of a flat formwork surface, and as shown in Figure 3, the formwork can be placed directly, or which serve to receive intermediate elements, for example, the wooden blocks 4 (figure 2), which in turn receive the formwork 3. It goes without saying that the wooden blocks can be replaced by 5 scaffolding arches on which can be placed for example, the formwork beams 5 '(Figure 1).
It is important to consider especially the method of connection between the tubular pillars 1 and the main beam 2, since this influences to a large extent the progress of the work during the erection of the scaffolding.
According to the invention, this connection can take place in two different ways. One of these is to employ a threaded coupling member referred to herein as the upper mandrel 6 and the loose lower end of which fits into the free section of the upper end of the tube. To facilitate the insertion of the part to be fitted of the mandrel, the latter has recessed segments 7 (FIG. 6). A reinforcing element 8 of the mandrel rests on the upper end of the tube and is extended by a flat connection piece 9 of rectangular section.
A borehole 10 provided at the head of the mandrel serves to receive an adjustable articulation bolt, a screw 11 for example, which also serves to assemble the main beam formed by the two angles 12. As shown in FIG. 5, the beam and the scaffolding tube can form any desired angle. In the case shown, the inclined planes 13 of the reinforcing element 8 allow an inclination of 60.
As the main beams have suitable boreholes over their entire length, the elements made up of these beams, the upper chuck and the scaffolding tube allow particularly simple handling and moreover offer great possibilities of adaptation to the work itself.
FIG. 7 shows a lower spindle serving for the axial displacement of the fluids and constituted by a sole 14, a threaded sleeve 15 rigidly joined to the latter and a threaded mandrel whose lower threaded part 17 is screwed into the corresponding thread of the sleeve 15.
The segment-shaped recesses 18 (FIG. 10) provided in the upper interlocking part of the mandrel also serve here to facilitate the insertion of the latter into the interior of the lower end of the tube.
The reinforcing ring 19, the bore 20 of which (FIG. 7), can receive a round iron or the like acting as a lever and serving to produce the rotation of the mandrel during the adjustment of the scaffolding, transmits the load of the tubular abutment to the mandrel. It goes without saying that the lower spindle can be of another construction. Of course, the lower spindle can be replaced by a hydraulic cylinder, etc. The spindle provided at the lower end of each individual tubular pillar greatly facilitates adjustment and can furthermore be used to de-bend the formwork after completion of the work.
Another method of connection, with even more numerous applications between the tubes 1 and the main beams 2 or the lower support 21 is shown in figures 12 to 15. Here, the threaded mandrel (compare figure 9) also consists of a threaded part 17 and a plug-in part 16. The two parts are joined by a cylindrical connecting piece 19 which has a transverse bore 20 for receiving the adjustment tool, for example a round iron. In this embodiment, threaded Impartie 17 is screwed into the tapping of the sleeve 22 of an upper element 23, while the piece to be fitted 16 fits into the smooth end of the tubular pillar.
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The head 23 is connected in turn via the bolt 11, to the main beam formed by the two angles 12.
The threaded mandrels (FIG. 9) can be inserted not only at the upper end, but also at the lower end, or at both ends, of the tubes 1, thus ensuring a particular possibility of height adjustment.
In Figure 14 we show the union of several tubes 1 in a single support 21. Here we recognize the threaded mandrels 17 engaged on the one hand in the sleeves 22 and on the other hand, by their part to fit 16, in the lower ends of the tubes 1, and which are adjusted for different heights and different angles of inclination. The lower sleeves 22 are joined to the two angles 21 by means of flattened sections 23 and of bolts 11 as in FIG. 15. A de-bending device 24 can then be used to simultaneously adjust the height of all the tubes 1 con. - centered on the support 21, while the threaded mandrels engaged in the lower and upper ends of the various tubes 1 allow individual adjustment of the latter.
All in all, the hanger scaffolding according to the invention, together with its elements, forms an extremely simple means of establishing quickly. and with the use of a very small or no quantity of wood, formwork for so-called solid bridges, while allowing the non-application of the steel formwork known per se, so that practically this scaffolding and this formwork can be considered as a whole as purely steel construction accessories.
If this characteristic represents the essential progress achieved by the invention, the individual elements thereof, for example the use of main steel beams even in the scaffolding of wooden hangers used to this day, already offer by them- even remarkable advantages, but which, as indicated above, are considerably enhanced by the use of the other elements of the invention.
The scaffolding according to the invention is not limited to its application to the construction of solid bridges, but can be applied just as well in other constructions.
CLAIMS.
1.- Scaffolding of hangers, intended for the construction of bridges, etc., characterized in that the main iron beams (2), intended to receive the formwork are joined at the free ends of a scaffolding, on which they lean ..