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"Procédé et dispositif pour la destruction des insectes nui- sibles".
Pour la destruction à grande échelle, d'insectes nuisibl- , par exemple de doryphores, on connaît de grands dispositifs, qui sont déplacés par des animaux de trait. Le plus souvent, on monte sur un chsis un récipient en forme de tonneau pouvant contenir une assez grande quantité d'insecticide, une pompe commandée par l'intermédiaire des roues du véhicule chassant l'insecticide du récipient dans un système de tubes et le dis- persant à l'aide de gicleurs. Dans le but de pouvoir arroser -les plus grandes surfaces possible, les supports des gicleurs d'arrosage sont montés à pivotement sur le châssis.
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Ces dispositifs connus ne satisfont pas aux exigences posées aux irrigateurs mobiles pour la destruction d'insectes.
Il faut,, à titre d'exemple, que l'arrosage de la plante ait lieu sur la face supérieure et qur la face inférieure de la feuille, nécessité à laquelle ne satisfont pas les dispositifs connus.
Le produit à distribuer doit être maintenu constamment en mouvement, pour empêcher un dépôt du produit insecticide, se composant généralement de particules de suspension non solubles, qur le fond du réservoir. Dans ce but, des dispositifs agita- teurs à commande mécanique spéciale furent nécessaires jusqu'à présent, dispositifs qui étaient coûteux et exigeaient une for- ce motrice supplémentaire.
En outre, il est souvent désirable, lors de la des- truction d'insectes nuisibles, de faire suivre immédiatement l'arrosage par l'agent insecticide liquide d'une vaporisation d'agents en poudre, parce que le produit insecticide pulvérisé adhère mieux aux plantes fraîchement arrosées et achève, en tant que complément de l'agent liquide, l'effet du traitement.
Ceci n'était pas prévu avec xx les dispositifs connus jusqu'à présent.
Pour la modification de l'écartement des roues du dis- positif en vue de l'adapter aux sillons, on a prévu jusqu'à présent le déplacement d'au moins une roue sur un axe fixe, ce qui produit généralement, lors du rapprochement des roues, l'inconvénient que l'axe fait saillie d'une façon exagérée.
En général, les dispositifs connus sont aussi trop lourds de construction. Si l'on veut les déplacer à l'aide d'un cheval, il faut généralement réduire les dimensions du récipient de liquide et, par conséquent, le rendement de l'appareil en est diminué d'autant.
La présente invention se rapporte à un irrigateur mobile pour la destruction des insectes nuisibles qui, dans l'ensemble, satisfait aux exigences posées et qui ne présente pas les inconvénients des dispositifs connus. Suivant la pré-
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sente invention, un réservoir de liquide de dimensions appro- priées aux besoins et consistant en ordre principal en un ton- neau normal léger, étanche et rond, est supporté par un châs- sis de préférence en profilés légers, dont les deux roues ont un diamètre relativement grand et qui présentera son extré- mité arrière, un dispositif amovible d'arrosage en largeur et également un dispositif de renversement des plantes afin de permettre l'arrosage de la face inférieure des feuilles.
Pour une économie de poids supplémentaire, le cadre ou châssis por- tant est de préférence tubulaire de manière qu'il serte égale- ment à véhiculer le liquide d'arrosage vers et à partir du dispositif d'arrosage.
En outre, suivant la présente invention, le dispositif servant à faire fléchir ou incliner les plantes peut être ré- glable en vue de l'adapter aux conditions du terrain. Ce dis- positif est de préférence divisé dans le sens de la largeur, et les différentes parties peuvent être avantageusement ré- glées indépendamment les unes des autres, à partir du siège du conducteur, par exemple par commande double, des deux côtés du siège, pour éviter, en cas d'inégalités du sol et lorsque les plantes doivent être saisies sur une grande largeur, que ce les-ci ne soient endommagées.
Une autre caractéristique de la:présente invention consiste en ce que le liquide d'arrosage effectue une circula- tion fermée continue et en ce que l'on amène de préférence le liquide sous pression au moyen d'une pompe,du réservoir à la conduite d'arrosage. La puissance de la pompe est telle qu'une partie considérable du liquide est ramenée en jet vers le réservoir de liquide de telle sorte que le liquide effectue un mouvement tourbillonnaire continu.
De cette manière, il est inutile de prévoir des dispositifs agitateurs spéciaux dans le réservoir de liquide.
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Dans une forme de réalisation particulière, on/en outre prévu un dispositif de pulvérisation et, dans ce cas, le système de renversement sert de préférence de système d'adduc- tion pour l'agent insecticide sec, et de support pour le dis- positif de pulvérisation, qui réalise la pulvérisation en dehors de la zone du cône d'arrosage.
La modification de l'écartement des roues s'obtient avantageusement grâce à l'emploi d'un axe creux, dans lequel pénètre l'axe plein sur lequel est montée la roue dont la posi- tion peut être réglée. On évite ainsi une saillie de l'axe en cas de faible écartement. La forme de réalisation préférée du dispositif, suivant la présente invention, prévoit un sys- tème de transmission monté de telle façon sur l'axe du châssis que la pompe puisée être actionné depuis le siège du conduc- teur. Ce type de commande de pompe est d'un poids moins élevé et garantit une sécurité de fonctionnement complète.
La présente invention se rapporte également, dans le sens de l'exposé ci-dessus, à un nouveau procédé de destruc- tion des insectes nuisibles, caractérisé en ce que les plantes sont traitées automatiquement par un insecticide, au cours d'une même opération, sur les faces supérieure et inférieure des feuilles. La face supérieure des feuilles est traitée pen- dant que la plante occupe sa position normale habituelle ; le traitement de la face inférieure, la plante est renversée automatiquement. Selon un mode d'exécution du procédé, on pro- cède de telle sorte que le liquide d'arrosage ou un autre agent de traitement, émis du dispositif en mouvement, quitte celui-ci dans deux directions différentes dans le sens de la marche du véhicule, par exemple sous forme d'un cône double.
Un des cônes est dirigé bers le bas et dans le sens de la marrt et sert au traitement des plantes sur une face des feuilles.
L'autre cône du cône double quitte les ouvertures d'arrodage vers le haut et dans le sens opposé à celui de la marche du
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véhicule. En descendant vers l'arrière, il vient arroser l'autre face des feuilles.
Suivant une autre forme de réalisation du procédé , l'arrosage au moyen d'un agent insecticide liquide a lieu à l'aide d'un simple cône d'arrosage dirigé vers le dessous, qui arrose aussi bien la face supérieure que la face inférieure des feuilles. Selon un autre mode de réalisation du procédé conforme à la présente invention, l'arrosage est combiné avec une pulvérisation d'un agent sec sur les plantes, de préféren- ce au cours de la même opération.
Suivant la présente invention, on transporte sous pression et en cycle fermé, une quantité de liquide d'arrosage toujours supérieure à la quantité nécessaire pour arroser les plantes, et la partie non distribuée du liquide d'arrosage tieu tojours en mouvement la réserve de liquide, ce qui garantit un mélange de régime du liquide d'arrosage dans le réservoir, sans que des dispositifs agitateurs ne doivent être prévus, dispositifs nullement désirables d'ailleurs, vu l'augmenta- tion de poids et les dérangements de fonctionnement qu'ils en- traînent.
Plusieurs formes de réalisation de la présente inven- tion seront décrites avec références aux dessins schématiques ci-annexés.
Les figures 1 et la sont des vues en élévation latéra- le d'une forme de réalisation.
La figure 2 est une vue en plan avec conduite de gi- cleur brisée du côté gauche.
La figure 3 est la vue arrière, coupée du coté droit, avec conduite du gicleur brisée et dispositif de renversement des plantes.
La figure 4 est une autre forme de réalisation du châssis tubulaire.
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Les figures 5 à 8 représentent un dispositif avec mpyens d'arrosage et de pulvérisation.
La figure 5 est une vue en élévation latérale d'un dispositif mobile.
La figure 6 représente un détail du dispositif de gi- clage.
La figure 7 est une vue en plan du dispositif de gi- clage en position d'utilisation.
La figure $ est une vue en plan du dispositif de renver- sement des plantes avec le dispositif de pulvérisation, les tubes de pulvérisation et le support du gicleur d'arrodage étant relevés.
La figure 1 représente la vue du dispositif mobile du côté de la pompe. Le réservoir de liquide 1 sur lequel est monté le siège 2 du conducteur est supporté par le châssis 3, qui est déplacé sur les roues 4. Sur le châssis est disposé un timon 5. Le système de transmission 7 de la pompe est monté di- rectement sur l'axe 6 des roues, et peut être commandé à l'aide d'un levier 8, par l'intermédiaire d'un système d'engrenages, à partir du siège du conducteur. A la partie arrière du châssis, un cadre 9 de construction légère porte la conduite de distribu- tion 10, qui présente, à intervalles, des gicleurs d'arrodage 11. Les gicleurs d'arrosage sont de préférence, en vue du régla- ge de la direction d'arrosage, réglables relativement à la lar- geur et à la quantité du jet.
Depuis le siège du conducteur, on peut, à l'aide de leviers de commande 12 disposés du côté droit et du coté gauche et par l'intermédiaire du tringlage de guidage 13, actionner le dispositif de renversement 14,15.
Le dispositif de renversement est représenté à la figure 1 dans une position quelque peu pivotée vers le dessous. Comme l'in- dique la figure, les plantes sont inclinées de façon que la face inférieure des feuilles soit arrosée.
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Dans la vue en plan suivant la figure 2, on reconnaît, en cours de fonctionnement, les dispositifs illustrés à la fi- gure 1. On y a indiqué, en outre, comment le système de trans- mission 7, monté sur l'axe 6 du châssis, actionne, par l'inter- médiaire de l'axe de commande 16, la pompe 17. De plus, on y voit comment on peut déplacer la roue de droite 4, représentée en plan, en vue de réaliser des écartements de roues variables, en faisant pénétrer l'axe 6 dans l'axe tubulaire 19 du châssis et en l'y verrouillant. Pour plus de clarté, le dispositif de renversement n'a pas été représenté à la figure 2.
Comme il ressort de la vue de derrière suivant la fi- gure 3, l'étrier de renversement 14, de préférence en tubes lé- gers et qui peut être pivoté'sur la charnière 18, peut présen- ter des pattes 15, par exemple en cuir ou en une autre matière appropriée, attachées à l'aide d'anneaux. Grâce à ces pattes, les plantes sont renversées avec précaution. En outre, tout le dispositif de renversement peut être écarté du sol d'une plus grande distance pour s'adapter de cette manière aux inégalités du terrain. Le dispositif de renversement est divisé en 41, en une moitié droite et une moitié gauche, qui sont réglables en hauteur indépendamment l'une de l'autre.
Le fonctionnement du dispositif peut être décrit avec référence aux figures 1 à 3, représentant sa position d'utili- sation, de la façon suivante: le liquide d'arrosage, par exemple de l'eau avec en- viron 1 - 4% d'un insecticide, est mélangé dans le réservoir.
Dans l'ajutage de remplissage 20 du récipient 1 se trouve un tamis à grandes mailles, destiné à éliminer les corps étrangers éventuels et prévenir l'obstruction de la conduite d'évacuation.
Après l'enclenchement du levier de commande 8 et le démarrage, la pompe 17 entre en action. Le liquide d'arrosage est transpor- té du réservoir 1 par la conduite de vidange 21, le robinet
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d'évacuation 21a et le filtre 22, par la pompe 17, dans la conduite de pression 23 et de là, dans la conduite de giclage 10, d'où il est distribué par les gicleurs 11. Le surplus,, du liquide d'arrosage est renvoyé dans le réservoir à travers la conduite de retour 24, et l'on peut régler, à l'aide des deux soupapes de réglage 25, le degré d'arrosage et la mesure du liquide qui retourne au réservoir.
La pompe peut, par exemple, envoyer le liquide sous une pression de 3 atm. dans la condui- te de pression en vue de sa distribution .Par un réglage appro- prié des soupapes 25 des gicleurs 11, on peut réaliser une pression approximativement constante pour le retour du liquide.
Les jets de retour dans le réservoir provoquent donc, immédia- tement après la mise en marche de la pompe, un tourbillonnement continu du liquide d'arrosage de sorte que ce dernier est tou- jours mélangé suffisamment et prêt à la distribution.
Il se produit ainsi une circulation continue en cycle fermé du liquide d'arrosage, le nombre et les dimensions des gicleurs d'arrosage et le nombre et les dimensions des gicleurs de retour étant de préférence tels qu'une pression de liquide constante d'environ 3 atm. règne dans le système.
La position des gicleurs de pulvérisation et le ré- glage du dispositif de renversement doivent toujours être tels que l'insecticide soit distribué sur les plantes à l'endroit désiré. Dans ce but, la position des gicleurs de pulvérisation est variable par rapport à l'horizontale ou à la verticale et l'angle du cône d'arrosage peut être réglé de façon telle que, suivant les dimensions des plantes et la hauteur relative du dispositif de renversement il se produit aussi, à côté du trai- tement des faces supérieures des feuilles, un arrosage efficace de leurs faces inférieures. Les figures 1 et la représentent plusieurs possibilités-de réalisation répondant à ce but.
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Suivant la figure 1, le dispositif de renversement est placé de façon telle que ce soient d'abord les faces inférieures des feuilles des plantes qui soient arrosées par le liquide d'ar- rosage descendant du cône d'arrosage dirigé vers l'arrière et vers le haut et que les faces supérieures des feuilles soient ensuite arrosées par le cône d'arrosage dirigé vers l'avant et vers le bas. Pour la position du dispositif de renversement suivant la figure la, la succession des opérations de traite- ment des faces supérieure et inférieure des feuilles est dans l'ordre inverse.
Comme pour raison d'économie de poids et de prix de revient, la pompe suivant la présente invention est ac- tionnée de préférence par un simple système de transmission sans embrayage ni accouplement, l'enclenchement ayant lieu par exemple à l'aide d'un engrenage pivotant double dans le systè- me de transmission lui-même, la pompe envoie toujours, pour une vitesse d'avancement constante du véhicule la même quanti- té de liquide.
La variation désirée de la quantité de liquide d'arrosage ou de la puissance d'arrosage est obtenue en ne par distribuant pax les gicleurs qu'une fraction déterminée de li- quide sur les plantes, et en faisant retourner le restant du liquide au réservoir à travers deux conduites de retour 24,25 pouvant être mises en circuit séparément.Si, par exemple, on veut distribuer une grande quantité de liquide et en laisser retourner moins au réservoir, on étrangle les gicleurs de re- tour 25 de façon correspondante, Si l'on veut distribuer une faible quantité de xxx liquide et qu'il se produit par consé- quent un retour de liquide plus fort, on ouvre les gicleurs de retour 25 dans la mesure appropriée.
Dans chaque cas, on peut garantir par un réglage convenable des gicleurs de retour un jet suffisamment puissant qui provoquera des tourbillons dans le réservoir.
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Après l'enclenchement du dispositif d'arrosage, on place, suivant les conditions du sol, les deux moitiés du dis- positif de renversement à l'aide des deux leviers de commande 12 à des niveaux tels que les plantes puissent être inclinées et que la face inférieure de leurs feuilles puisse être arro- sée.
Si un arrosage des faces inférieures des feuilles des plantes n'est pas nécessaire, le dispositif de renversement est relevé ou bien détaché grâce, à un dispositif à déclic du châssis, et rangé.
Après que le réservoir a été vidé, le levier de com- mande 8 du système de transmission est mis dans sa position d'arrêt et la pompe est ainsi mise hors service. Pour l'avance- ment à vide du véhicule, on fait pivoter le dispositif d'arro- sage et de renversement de la façon suivante : d'abord, on relève par pivotement le cadre de support 9, avec le tube d'arrosage 10, autour de la charnière 26 et ce cadre 9 est ensuite, avec le cadre intérieur 27, appliqué contre le réservoi 1 autour des charnières 28. Ensuite, le dispositif de renver- sement est mis à son niveau le plus élevé à l'aide des leviers de commande 12. Les éléments articulés extérieurs du cadre tu- bulaire 14 sont pivotés vers l'intérieur autour des charnières 18 et le dispositif peut alors circuler sur la rue.
La figure 4 représente une forme d'exécution du châssi tubulaire 3, permettant de réaliser des économies supplémentai- res de poids et de prix de revient, d'autant plus que le châs- sis tubulaire lui-même sert directement au transport du liqui- de d'arrosage. C'et ainsi que du réservoir 1, le liquide passe dans le. longeron 29 et de là dans la traverse 30, puis dans le filtre 22, d'où, par la pompe 17, il va dans la traverse extérieure 31 et, par la conduite d'adduction 23, dans la con- duite des gicleurs. Le retour a lieu ensuite à travers la con-
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duite 24, dans la traverse extérieure 32 et de là,,à travers les soupapes 25, au réservoir. Les parties du châssis tubulaire non utilisées pour le passage du liquide sont fermées par des bouchons 23.
Pour le dispositif combiné d'arrosage et de pulvérisa- tion suivant les figures 5 à 8, la vue en élévation latérale suivant la figure 5 représente la conduite d'adduction 51 pour le liquide d'arrosage, qui passe dans la conduite des gicleurs 52 et de là, aux gicleurs 53. Le cône d'arrosage, dirigé obliè quement vers le bas, arrose la face inférieure des plantes in- clinées par le dispositif de renversement 54, en arrodant, en même temps, sur leur face supérieure les plantes suivantes qui sont redressées. Sur le dispositif de renversement 54 sont dis- posées des branches de pulvérisation 56 pour l'insecticide sec, ces branches se terminant par des têtes de pulvérisation 57.
Les branches de pulvérisation 56, telles qu'indiquées à la figures 5 en traits mixtes, peuvent pivoter autour des articula- tions 55 de manière que la même branche de pulvérisation puisse servir pour les faces supérieures et les faces inférieures des feuilles. On peut également prévoir une disposition telle que les branches de pulvérisation dirigées alternativement vers le haut et vers le bas soient disposées le long du dispositif de renversement. Il faut observer dans ce cas que, grâce au ré- glage du dispositif de renversement 54 à des inclinaisons dif- férentes, la hauteur du dispositif de pulvérisation 56,57 peut être réglée simultanément. Un autre réglage compensatoire en hau teur peut avoir lieu à l'aide des articulations 55.
Les branches de pulvérisation dirigées vers le bas sont disposées de préférence un peu au-dessus du niveau des plantes ; les branches dirigées vers le haut sont disposées à une courte distance du sol.
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La figure 6 représente une autre position des gicleurs avec des cônes d'arrosage dirigés vers le haut. Puisque le réglage des gicleurs peut se faire d'une part, par pivotement de la conduite 52 des tuyères à l'intérieur du collier de fi- xation 58 et d'autre part, par détachement de la vis de régla- ge 59 et pivotement de la conduite de pulvérisation % donc en une position quelconque, on pemt obtenir de cette manière, en cas de besoin, un arrosage très étendu.
La figure 7 représente, vue en plan, la conduite d'ad- duction 51 et la conduite des gicleurs 52,qui peut pivoter au- tour des articulations 60. La conduite des gicleurs 52 peut tourner dans des colliers de fixation 58 de telle sorte que l'on peut obtenir déjà de cette manière, un réglage angulaire des gicleurs d'une étendue de 360 . Après détachement des colliers de fixation 58, on peut encore réaliser, comme on le voit en comparant les figures 5 et 7, un pivotement de la conduite 52 autour de la partie extérieure de la conduite d'adduction 51.
Par l'action combinée de ces deux possibilités de réglage, une zone de réglage très étendue est assurée ; peut, par exemple, obtenir une certaine position de pivotement de la conduite de gicleurs 52 à l'aide des articulations 60, sans influencer pour cela la direction désirée des cônes d'arrosage. vue
La figure 8 montre,/en plan, la conduite 52 avec les gicleurs d'arrosage 53 et les articulations de pivotement 60.
On y voit, en outre, le dispositif de renversement 54, qui sert également dans le cas présent à l'amenée de la poudre de vapo- risation et qui est alimenté par la conduite d'adduction 61.
A certains intervalles, les articulations 55 relient des dispo- sitifs de pulvérisation 56,57 au dispositif de renversement en tubes.
Mais on peut également prévoir, sur le dispositif de renversement, une conduite de distribution propre aux dispositif de pulvérisation 56,57 qui peut, le cas échéant, être suppor-
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tée par des articulations du dispositif de renversement.
La conduite d'adduction 61 de la poudre insecticide est dirigée vers le réservoir supplémentaire fixé sur le véhi- cule, avec soufflerie ( non représentée).
Les cercles de pivotement indiqués en traits mixtes à la figure $ représentent les possibilités de pivotement de la conduite 52 des gicleurs et du dispositif de renversement 54, pour la position de transport du dispositif.
D'autres détails se rapportant au fonctionnement et à la commande de tout le dispositif ressortent de la descrip- tion du dispositif avec référence aux figures 1 à 4.
A l'aide du dispositif selon les figures 5 à 8, il plantes est possible d'arroser les xxxxxxxx à traiter-simultanément sur la face inférieure et sur la face supérieure des feuilles, à l'aide d'un simple cône d'arrosage d'un agent liquide et de réaliser, au cours de la même opération l'arrosage au moyen d'un insecticide liquide et la xxxxxxxxxx vaporisation d'un insec= ticide en poudre, le réglage des dispositifs de glicleurs d'ar- rosage et de vaporisation pouvant chaque fois se faire de façon arbitraire, en combinaison avec le dispositif de renversement des plantes. Il est évident que l'emploi isolé du dispositif d'arrosage ou du dispositif de vaporisation peut avoir lieu selon les nécessités.
La forme de réalisation, conforme à la présente invention, du dispositif de destruction dés insectes nuisibles assure en plus d'un meilleur rendement, une économie considé- rable de matières et de main-d'oeuvre. Entre autres, l'emploi d'une simple pompe légère, actionnée par l'intermédiaire d'un système d'engrenage à partir de l'axe, est particulièrement avantageux, des boîtes de changement de vitesse pour le réglage de la puissance de la pompe étant ainsi superflues. Etant don- né que le liquide d'arrosage en excès retourne, par quantités
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réglables, au réservoir, avec formation d'un jet de liquide, une puissance constante de la pompe, d'une part et un tour- billonnement intense du liquide.d'arrosage d'autre part sont assurés de sorte qu'un dispositif agitateur spécial dans le résor voir est superflu.
Par l'emploi d'une construction légère pour la fabri- cation des différentes pièces du véhicule, le poids du dispo- sitif complet peut être maintenu dans les limites requises de sorte que la force d'un cheval est suffisante aussi bien pour vaincre les frottements du roulage du véhicule dans les montées que pour actionner la pompe.
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