BE481711A - - Google Patents

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BE481711A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F23COMBUSTION APPARATUS; COMBUSTION PROCESSES
    • F23BMETHODS OR APPARATUS FOR COMBUSTION USING ONLY SOLID FUEL
    • F23B50/00Combustion apparatus in which the fuel is fed into or through the combustion zone by gravity, e.g. from a fuel storage situated above the combustion zone
    • F23B50/02Combustion apparatus in which the fuel is fed into or through the combustion zone by gravity, e.g. from a fuel storage situated above the combustion zone the fuel forming a column, stack or thick layer with the combustion zone at its bottom
    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F23COMBUSTION APPARATUS; COMBUSTION PROCESSES
    • F23BMETHODS OR APPARATUS FOR COMBUSTION USING ONLY SOLID FUEL
    • F23B2700/00Combustion apparatus for solid fuel
    • F23B2700/011Combustion apparatus for solid fuel with fuel shaft for steam boilers

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Description


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  "PERFECTIONNEMENTS AUX FOYERS A   TUYERE   ET COMBUSTIBLES CALIBRES". 



   L'invention est relative aux foyers comportant au moina une tuyè- re par laquelle de l'air de combustion est introduit, par pression ou dépression, au sein d'une masse d'un combustible solide calibré, no- tamment d'une masse de grains de petit calibre. 



   On sait que dans pareils foyers, et pour la majorité des combus- tibles y utilisés, des mâchefers ont tendance à se former à la tuyère, au voisinage plus ou moins immédiat des passages d'air, machefers qui croissent d'une façon relativement rapide et qui déterminent un ra- lentissement progressif plus ou moins marqué de l'activité du foyer. 



   Pour d'autres raisons, telles que, notamment, des fuites de l'air de combustion difficilement évitables aux extrémités non complètement entourées de combustible d'une tuyère, les foyers du genre en question sont de préférence établis avec une tuyère centrale encerclée par le dit de combustible, ou bien avec une tuyère périphérique encerclant ce lit. 



   Dans   l'un   cas comme dans   l'autre,   lorsque les machefers se for- ment et se développent, ils forment un anneau continu, qu'il faut à certainmoment rompre en un ou plusieurs points pour permettre l'ex- traction des mâchefers et la poursuite du processus de combustion. Ce 

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 décrassage est non seulement difficile et laborieux mais en outre   lent ;   de plus il détruit l'ordonnance du lit de combustible et en- traine des rentrées d'air froid dans le foyer et des pertes en com-    bustible.   



   Bien entendu la combustion forme également des cendres, voire exclusivement des cendres si, à la température de fonctionnement le combustible ne donne pas de mâchefers, dont l'enlèvement, bien que moins laborieux que celui des mâchefers ne comporte pas moins des difficultés notables, et entraine également des rentrées d'air froid et des pertes de temps et, de combustible. 



   L'invention a pour but surtout d'éviter ces inconvénients en réa- lisant un décrassage automatique, périodique ou continu, des mâche- fers et, ou des cendres du foyer, de façon telle que les machefers ne puissent se développer ou les cendres s'accumuler au point de gêner la combustion, en maintenant done le foyer dans un état propre à fournir un rendement de combustion élevé et régulier. 



   A cet effet elle consiste, principalement, à prévoir un rable ou racloir mobile conditionné pour balayer une surface disposée en dessous de la ou des zûnes où les mâchefers ont tendance à se former et, ou sur laquelle ils peuvent venir reposer s'ils sont délogés de ou,  zones   leur zone / de formation et, ou sur laquelle les oendres de la combus- tion ont tendance à s'accumuler, le mouvement du dit rable ou racloir amenant les machefers et ou les cendres dans un espace de dégagement ou une enceinte d'évacuation, et le dit rable ou racloir étant mis en action soit de façon continue en concordance avec la marche du foyer, soit de façon intermittente ou périodique en relation avec les   varia-   tions thermiques de certains organes ou parties du foyer et, ou des résidus évacués de celui-ci. 



   Elle consiste également à établir le rable ou racloir de maniè- ra que par son déplacement il provoque dans le lit de combustible des mouvements internes dans des directions autres que celles de ce dé- placement, notamment des mouvements de direction généralement perpen- diculaire, uu ù peu près, à celle de son déplacement, ces mouvements ayant principalement pour but, et pour effet, de déloger les mache- fers de leur zone ou zones de format'ion et, ou de les séparer des 

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 surfaces sur lesquelles ils pourraient   -s'être   attachés, en leur per- mettant de venir reposer librement sur la surface balayée par le ra- ble ou racloir et leur évaruation. 



   Elle consiste encore, le cas échéant, a organiser l'appareilla- ge et à contrôler les mouvements du rable ou racloir de décrassage, de manière à provoquer l'arrêt de ce dernier lorsque un taux déter- miné de remplissage de l'espace de dégagement ou enceinte d'évacua- tion des machefers et cendres est atteint, l'alimentation en combus- tible du foyer pouvant   Sire   simultanément arrêtée. 



   Si l'enceinte qui reçoit les machefers et cendres évacués est constituée par un organe mobile, le retrait de cet organe de son em- placement normal arrête de toute façon le décrassage et peut comman- der l'arrêt de l'introduction d'air de combustion dans le foyer. 



   D'autres caractéristiques encore et avantages de l'invention ressortiront de la description plus détaillée qui va suivre, de cer- tains modes préférés de réalisation de foyers à tuyères perfectionnés, donnés bien entendu à titre d'exemples seulement et illustrés d'une façon plus ou moins schématique par les dessins annexés sur lesquels : fig. 1 est une vue en élévation, partie en coupe, d'un foyer à tuyère encerclée par le lit de combustible ; figo 2 est un plan en coupe, à échelle réduite, la coupe étant pratiquée sensiblement selon 2-2 de la fige 1 ; fig. 3 montre en plan une forme de rable ou racloir fig, 4 est une vue en élévation et coupe sensiblement suivant 4-4 de la fige 3 ; fige 5 montre en plan une autre forme de rable ou racloir fige b montre d'une manière analogue à la fig. 2, une autre réa- lisation ;

   fig.   @   montre en élévation, partie en coupe, une réalisation dans laquelle la tuyère encercle le lit de combustible ; fig. 8 montre en plan deux demi-coupes d'une variante de foyer à lit de combustible encerclé par la tuyère ; fig. 9 montre, également en plan, une autre varrante. 



   Dans la réalisation des fige* 1 à 5, 1 désigne une enveloppe, de préférence à double paroi et à circulation   d'eau,   dont la section 

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 est sensiblement circulaire, dans laquelle est logée une tuyère à cir- culation d'eau 2, ayant en section horizontale une forme également circulaire, et une sale annulaire 3, dont la périphérie interne débor- de vers l'axe du foyer la périphérie de la tuyère 2o .

   Celle-ci peut recevoir en élévation des profils divers, par exem- ple celui représenté fig. 1, et comprend une surface supérieure coni- que 4, dont l'angle d'inclinaison est quelque peu inférieur à l'angle de talus naturel du combustible utilisé, une surface cylindrique mais de préférence conique, 5, de conicité inverse à celle de la surface 4,et se raccordant par sa grande base à la périphérie de cette sur- face 4, 'l'inclinaison de la surface 5 étant généralement très marquée. 



  Une surface 6, de conformation quelconque, par exemple plane, forme le fond de la tuyère. Il est indiqué de soigner les jonctions des surfaces 4 et 5, et 5 et b, afin d'éviter que les mâchefers ne puis- sent s'y accrocher, et dans ce but, en construction soudée, on pré- voit avantageusement un léger dépassement de la surface 4 par rapport à la surface 5 et de cette dernière par rapport à la surface 6, comme représenté. 



   La circulation d'eau dans la tuyère 2 est assurée par une cana- lisation d'amenée inférieure 7, éventuellement munie d'un organe de réglage 8, et une canalisation de sortie supérieure 9, la canalisation ( étant raccordée a une source d'alimentation d'eau appropriée, non représentée. 



   Si l'enveloppe 1 est à circulation d'eau, cette circulation peut être assurée d'une manière séparée, ou bien elle peut être   oombi-   née avec la circulation de la tuyère. Dans l'exemple, la circulation de l'enveloppe 1 est séparée et assurée par une arrivée inférieure 10 et une sortie supérieure 11, l'une et l'autre raccordées à l'espace compris entre les deux parois de   l'enveloppée.   



   La sôle 3 est soumise, mais pour partie seulement, à un refroi- dissement par circulation, comme en 12, dans le but qui sera indiqué par après, cette circulation étant raccordée à celle de l'enveloppe 1 comme représenté dans la figure, ou bien peut   Atre   combinée avec celle de la tuyère 2. 

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   La partie inférieure de l'enveloppe 1, en dessous de la sole 3, forme un espace clos, dans lequel est aménagé un oendrier 13 qui peut être introduit et retiré par une porte figurée en   14,ce   cendrier étant supporté par des appuis, dont l'un au moins est capable de cé- der lorsque le cendrier se remplit de résidus de combustion évacués du foyer, et par exemple d'une part sur un rail fixe   15   et d'autre part par un rail 16 monté sur une ou des consoles basculantes 17 in-   fluencées   par des ressorts 18. Le but de ce montage ressortira de ce qui suit. 



   A la partie supérieure de l'enveloppe 1 est montée une trémie à combustible 19, que l'on agence avantageusement de manière à pou- voir régler l'épaisseur de la couche de combustible sur la surface 4 de la tuyère et par suite celle du lit de combustible dans le foyers cet agencement consistant soit à munir la partie inférieure de la tré- mie proprement dite d'un manchon cylindrique   o,   analogue en prévoyant des moyens pour soulever et abaisser la dite trémie, soit, comme re- présenté, en un manchon 20 coulissant dans l'ouverture inférieure 21 de la trémie 19, et relié à un étrier 22 prolongé par une tige file- tée 23 traversant une traverse fixe 24 et sur laquelle est engagée un écrou 25 faisant partie d'une manivelle 26 ou d'un volant à main. 



   Un ventilateur 27, actionné par une source motrice appropriée, non représentée, est monté de manière à débiter dans l'espace de cendrier en dessous de la sôle 3 ; ou bien la sortie 28 pour les produits gazeux de la combustion est raccordée à une dépression de valeur suffisante, et par exemple racordée à un conduit équipé d'un ventilateur-aspirateur, non représenté. Une porte de visite peut être prévue en 29. 



   Lorsqu'un foyer Gel que jusqu'à présent décrit est chargé de combustible solide calibré, notamment de grains de charbon de petit calibre, ce combustible s'écoule par gravité de la trémie 19, à travers le manchon 20, sur la surface 4 de la tuyère 2 et vient for- mer sur la   sole   3, entre la tuyère 2 et l'enveloppe 1, un lit sensi- blement tel que 30.

   Si dans ce lit on fait arriver de l'air de com- bustion, soit soufflé par le ventilateur 27, soit aspiré à partir de l'espace du cendrier par la dépression appliquée à la sortie 28, 

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 le combustible du lit 30 entre en ignition vive en formant autour de la tuyère 2 un anneau de flammes, avec un très bon rendement de combustion, et se maintient ainsi pendant une période relativement longue, le lit se reformant par écoulement à partir de la réserve de la trémie 19 à mesure que le combustible est consommé dans le foyer. 



    'toutefois,   en raison de la combustion vive, le lit se charge progres- sivement de cendres, et le'plus souvent, en raison des températures élevées atteintes, des mâchefers se forment sur les trajets de plus facile propagation de l'air, et se développent avec une rapidité re- lative, à partir des parois de la tuyère 2, en direction générale de l'enveloppe 1 qui   l'entoure.   



   L'activité de la combustion diminue alors, et naturellement le rendement de chauffage décroit, ce stade pouvant se prolonger plus ou moins longtempsmais avec, inéluctablement cependant, l'obligation d'arrêter le fonctionnement du foyer pour débarrasser le lit des ma- chefers et ou des cendres qui le chargent. 



   Comme ces   mâchefers   et ou cendres forment un anneau continu sur le pourtour de la tuyère, on se rend compte, déjà au seul exa- men de la fig. 1 par exemple, de la difficulté, voire de   l'impossi-   bilité d'effectuer le décrassage du foyer par une porte de visite telle que 29, ou même par une série de portes analogues. 



   Pour remédier à cette situation, suivant l'invention on procède comme suit : 
Sur la spole 3 on fait se déplacer d'une manière continue ou par intermittence, un rable ou racloir 31, de façon telle que, d'une part il balaye la surface de   cane   spole, en particulier un anneau de celle-ci plus ou moins rapproché de sa périphérie interne, et d'au- tre part il provoque dans le lit du combustible des mouvements inter- nes, ces mouvements s'effectuant dans une ou des directions autres que celle du déplacement du   rable   ou   racloir.   



   De cette façon le rable ou racloir pousse devant lui les cen- dres qui se sont déposées sur la sale 3 dans la zône de balayage, et en même temps il déloge les mâchefers de leur emplacement de for- mation, en les détachant le cas échéant des surfaces auxquelles ils pourraient adhérer. De plus, les mouvements internes communiqués 

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 au lit   permettent   de toute façon aux machefers ainsi délogés et, ou détachés de venir reposer sur la sole 3, de sorte qu'ils seront également poussés devant lui par le   rable   ou racloir en déplacement. 



   Si l'on donne alors, au moins au bord avant du   rable   ou racloir, une forme propre à ramener vers le centre les matières qu'il rencontre, par exemple une certaine inclinaison vers l'intérieur, et l'arrière dans le sens du mouvement, les cendres et les machefers recontrés seront amenés à la périphérie interne de la   sale   3 et passeront de là dans l'espace de dégagement ou cendrier 13. 



   Dans les figures 3 à 5 on a montré certaines des conformations que le   rable   ou racloir peut recevoir ; suivant la fige 3, le bord avant du   rable   est incliné vers l'intérieur et l'arrière, d'abord d'une certaine quantité et ensuite plus fortement ; suivant la fig. 



  5 l'inclinaison de la partie centrale est moindre que celle de la partie plus externe. La fig, 4 montre que la surface supérieure du rable ou racloir s'élève   .uis   s'abaisseo Dans ces exemples, le ra- ble ou racloir a reçu une forme svmétrique, ce qui permet de le dé- placer indifféremment dans l'une ou l'autre direction, mais il est bien entendu qu'on pourrait adopter une autre disposition, A ce point de vue, dans certains cas, il peut être avantageux de laisser brusquement retomber le lit de combustible après un soulèvement pro- gressif. On se rend compte que ceci peut s'obtenir en n'utilisant que le demi-profil du   rable   ou racloir représenté dans la fige 4. 



   Le   rable   ou racloir 31 est monté sur un bras 32, la liaison pouvant être assurée de toute manière appropriée, par exemple en en- gageant simplement le   rable   ou racloir 31 sur un pivot fixé au bras 32, ou bien a l'aide d'un prisonnier et d'un écrou 33, comme repré- senté. 



   Le bras 32 est conduit circulairement autour de la sole 3, à l'aide, par exemple, d'une paire de pignons coniques 34 et 35, le pignnn 34 comportant un prolongement en forme de manchon 36, monté pour y tourner sur la partie montante du tube 7 d'amenée d'eau de circulation a la tuyère, prolongement sur lequel est fixé, l'extré- mité interne du bras 32, et le pignon 35 étant solidaire d'un arbre 37, tourillonné dans l'enveloppe 1, et pouvant être entrainé en rota- 

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   tien   par une commande convenable, tel le moteur électrique 38, le réducteur de vitesse 39 et l'accouplement par pignons et chaine 40. 



   Il a été dit ci-avant que le rable ou racloir 31 pouvait être déplacé d'une manière continue ou par intermittence. 



   En ce qui concerne le déplacement continu, on peut faire obser- ver que si l'on dispose d'un combustible de caractéristiques réguliè- res, et si la quantité de chaleur demandée au foyer est elle même con-   stante   dans le temps, en raison de la possibilité d'un décrassage permanent procurée par l'invention, la marche du foyer acquiert un de- gré de régularité tel qu'il est possible de coordonner exactement la combustion et le déplacement à communiquer au rable ou racloir dans que l'unité de temps pour/le foyer reste toujours dans un même état de propreté. Ceci est surtout vrai pour les foyers de capacité notable et élevée. 



   Dans d'autres cas, c'est-à-dire, si les caractéristiques du com- bustible sont susceptibles de varier, ou bien si la demande de chaleur varie, on a de préférence recours à un décrassage périodique, qui peut être assuré d'une façon automatique, en particulier de l'une ou l'autre de 3 manières ci-après. 



   En un emplacement approprié de la sole, et notamment sous celle-ci, de préférence dans l'étendue de la zone de décrassage, on aménage un ou des lispositifs sensibles aux variations de tampérature, illustrés dans l'exemple par le dispositif à thermostat 41, conve- nablement branché, par des connexions non figurées, dans le circuit du moteur électrique 38 et réglé pour, dans un écart de températures déterminé, provoquer la mise en marche et l'arrêt de ce moteur. 



   Avec cet agencement, lorsque, par suite de la combustion, des cendres   eu;,   ou des mâchefers, viennent charger la sale 3, la tempéra- ture de celle-ci s'abaisse,   en provoquant   un abaissement de tempéra- ture à l'emplacement du thermostat 41, lequel, lorsque la température minimum pour lequel il est réglé est atteinte, ferme le circuit du moteur 38. Le rable ou racloir 31 est ainsi mis en marche et écarte de la sole 3   de,   cendres et des mâchefers, en permettant à des zones plus chaudes du lit de venir en contact avec cette sole. 

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   L'accroissement de température de la sole qui en résulte, relè- ve également la température à remplacement du thermostat, et lors- que la température maximum pour lequel celui-ci est réglé est attein- te, le dit thermostat, en fonctionnant, ooupe le circuit du moteur, ce qui arrête le mouvement du rable ou racloir et le décrassage, jus- qu'à nouvel abaissement de la température de la sole, et ainsi de   suite.   



   Au lieu de contrôler le fonctionnement du moteur 38 essentielle- ment par les variations de la température de la sole 3, on pourrait également assurer ce contrôle par les radiations des cendreset mâchefers évacués du foyer. Pareil contrôle pourrait être appliqué, par exemple, dans le cas où ces cendres et machefers sont recueillis dans un bac de cendrier, comme dans la réalisation représentée fig. 1. 



  Le thermostat 41 pourrait alors être disposé dans un emplacement où il reçoit directement les radiations calorifiques de ces cendres et machefers, tel l'emplacement qu'il occupe dans la fig. 1, qui répond également à la condition indiquéee 
Dans ce cas, lorsque les cendres et machefers amenés dans le cendrier se refroidissent, l'abaissement de température qui en résul- te à l'emplacement du thermostat déclenche le fonctionnement du moteur 38 et le mouvement du rable ou racloir. Les cendres et machefers plus chauds amenés de ce fait dans le cendrier relèvent la température a l'emplacement du thermostat, lequel coupe le circuit du moteur, et ainsi de suite. 



   Une autre manière encore d'assurer l'automaticité du décrassage, consiste à soumettre le thermostat 41 aux radiations calorifiques du foyer lui même, en le déposant par exemple au voisinage du bord péri-   phérique   interne de la sole 3, mais sous celle-ci de manière à le pro- téger contre les chutes de mâchefers et des cendres. 



   Les   zônes   de combustion intense étant aussi celles où, en même tempsque descendres, desmâchefers se forment   en-abondance,   et la zone comprise entre la périphérie interne de la sole et le bord infé- rieur de la tuyère étant une zône de combustion très intense, on com- prendra que dans l'emplacement sus -.indiqué le thermostat 41 sera sou- mis à des variations thermiques en concordance avec l'encrassement du 

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 foyer, et qui pourront être utilisées de la manière indiquée précédem- ment pour mettre en marche et arrêter le moteur 38 et le décrassage. 



   Bien entendu on pourrait combiner entre elles les manières pré- citées, et en prévoir d'autres encore basées sur le principe de l'é- chauffement et du refroidissement d'un organe ou d'un fluide lorsque le foyer est propre et ,lorsqu'il est encrassé, pour assurer le fonc- tionnement automatique du décrassage. 



   Que l'on procède de l'une ou   l'autre   manière, mais surtout si le thermostat 41 est influencé par les variations de température de la   suie   3, cette sôle est de préférence établie métallique, pour lui assurer des variations rapides de température ; il convient toutefois de limiter l'échauffement de cet organe, pour en éviter ou limiter la déformation, et c'est dans ce but que la sole est au moins partiel- lement refroidie par circulation   d'eau.   



   De même, les mouvements du rable ou racloir pouvant amener sur la sole des particules du lit encore combustibles, on ménage avanta- geusement, près du bord interne de la sale, une série de perforations 42 par lesquelles l'air de combustion peut pénétrer pour parfaire la combustion des dites particules et prévenir ainsi 1''évacuation d'im- brulés. 



   Il a été dit précédemment que les cendres et mâchefers étaient amenés par le   rable   ou racloir 31 au bord interne de la sole 3. De là ces cendres et mâchefers peuvent passer dans une fosse, à partir de laquelle ils peuvent être évacués mécaniquement, en continu ou par intermittence, à l'aide de moyens connus, tels que, par exemple, une vis ou autre transporteur, aménagés en tenant compte du mode d'in- troduction de l'air de combustion dans le foyer. 



   Dans les foyers de petite et moyenne capacité, on a généralement recours, pour recueillir les cendres et machefers, à un bac de cen- drier 13 comme dans l'exemple représenté. 



   Le décrassage s'opérant automatiquement et non plus par une inter- vention manuelle périodique, il convient d'éviter les conséquences d'un oubli ou d'une inattention, et le débordement de ce bac, ainsi qu'une évacuation de cendres et machefers du foyer pendant que le bac 

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 -cendrier   est   retiré du foyer pour sa vidange- . 



   A cet effet, ainsi qu'il a été signalé précédemment, le bac- cendrier 13 est monté, au moins d'un coté, sur un support   lb-17   in- fluencé par un organe élastique   18,   de manière telle que lors du remplissage du bac, le dit support aède et vienne, pour le bac plein, ouvrir un contact 43 monté en série, par des connexions non   représen   tées, dans le circuit du moteur 38, en interrompant ainsi le   décras-   sage.

   Simultanément un signal optique ou accustique, non représenté, peut être actionné pour avertir le préposé de l'état prévu de rem- plissage du bac 130 
Dans cet état, et à supposer qu'il n'y soit pas remédié immé-   diatement,   il n'y a pas d'inconvénient à laisser se poursuivre le fonctionnement du foyer, celui-ci pouvant, comme il a été dit plus haut, fonctionner pendant une période de temps étendue alors même que des mâchefers s'y forment, et ce dans des conditions de rende- ment acceptables.' 
Normalement, le signal étant entendu, ou le préposé attentif à l'arrêt du décrassage, le bac 13 sera retiré du foyer, vidangé de son contenu, puis remis en place. 



   Four que cette opération s'effectue dans de bonnes conditions, il importe que pendant son exécution le décrassage ne fonctionne pas et, dans le cas des foyers   soufflés,   que le ventilateur 27 soit arrêtée 
A cet effet divers moyens peuvent être employés. 



   En ce qui concerne le décrassage on pourra, par exemple, agencer le contact 43 de manière qu'il puisse être verrouillé dans sa posi- tion d'ouverture, ce verrouillage pouvant être rendu obligatoire simplement, par exemple, en se permettant le retrait du bac 13 par la porte 14 que lorsque le support mobile 16-17 est abaissé aumaximum. 



   On pourrait toutefois également brancher en série, dans le cir- cuit du moteur 38, un contact supplémentaire 44, formé par exemple par la portion extrême arrière du support 15 et le rebord d'appui 45 du bac 13, de manière telle que la phase initiale du mouvement de re- trait du bac 13 de l'espace du cendrier coupe le courant du moteur 38, la remise en place correcte seule du dit bac rétablissant le circuit du   moteur   de commande du décrassages 

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En ce qui concerne le ventilateur 27, s'il est a commande élec- trique comme c'est le plus souvent le cas, cette commande peut être interrompue et rétablie par ouverture et fermeture du contact 44, ou par fonctionnement de tout autre dispositif de contact capable d'être actionné par l'une des manoeuvres indispensables au retrait du bac 13,

   comme par exemple l'ouverture de la porte 140 
Il est à remarquer que l'ouverture de cette porte interrompt automatiquement l'action de la soufflerie 27 sur le foyer du fait de l'ouverture du cendrier, mais comme la marche du ventilateur Z( peut provoquer des projections de cendres lors du retrait du bac 13, il s'indique d'arrêter la soufflerie, notamment d'une façon automati- que, pendant cette opération, A supposer que le ventilateur 27 soit commandé mécaniquement, on pourra prévoir dans sa commande un embraya- ge, mis hors d'action, par exemple, par l'ouverture de la porte 14, graôe à des moyens en eux mêmes commus, qui n'ont pas été représentéso 
Si on le désirait, l'alimentation de combustible pourrait être arrêtée en ramenant le manchon 20 au contact de la surface supérieure 4 de la tuyère 2 pendant les périodes d'arrêt du décrassage,

   cet arrêt de l'alimentation n'étant pourtant pas essentiel pour la bonne exécu- tion des opérations connexes aux arrêts du décrassage. 



   Dans le mode de réalisation décrit ci-dessus, la tuyère 2 est de forme circulaire en plan, et le dispositif de décrassage reçoit un mouvement circulaire. 



   Cette conformation de la tuyère et cet agencement du dispositif de décrassage ne sont toutefois pas indispensables. 



     C'est   ainsi que des fonctionnement et résultats en tous points analogues pourront être obtenus avec une réalisation telle que celle de la fig. b, dans laquelle la tuyère 2 est de forme allongée, tandis que le rable ou racloir 31 est conduit sur la sole 3 par un mécanisme capable de s'acommoder de la dite conformation de la tuyère, et com- prenant, par exemple, une chaine ou un cable continu 46, passant sur desroues à   chaine   ou poulies 47, dont l'une au moins est commandée en rotation. Les autres parties, organes et agencements peuvent être analogues a eaux décrits en référence à la figo 1, mais bien entendu adaptés à la conformation générale, allongée, du foyer. 



    @   

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 il est en outre évident que la forme allongée de la tuyère et du foyer   n'est   pas limitative, et que l'on pourrait adopter en plan   tout    autre forme, par exemple polygonale, comme plus ou moins car- rée, rectangulaire ou autre, dès lors   qu'il   n'y a pas incompatibili- té entre cette forme et le fonctionnement décrit du foyer. 



   Dans la fige 7, au lieu que le lit de combustible entoure la tuyère, c'est   colle   dernière qui entoure un lit de combustible for- mant en plan un tracé fermé, lequel dans cette réalisation a la for- me d'un anneau circulaire, Tout sissi bien, cet anneau pourrait être allongé pour constituer un ovale, une éllipse ou semblable. 



   Avec pareil agencement, tous les dispositifs décrits en réfé- rence à la fige 1 sont utilisables, sauf que le bac-cendrier 13, pourrait, le cas échéant, devoir être exécuté en plusieurs tronçons disposés   jointivement   sur le pourtour de l'ouverture centrale de la sole 3. un observera également que l'agencement permet de loger dans l'espace central interne au lit de combustible une unité de chaudière ou autre échangeur thermique tel que   51   avec un minimum de perte par radiation. Similairement l'espace central pourrait être occupé par un foyer selon la   figo   6. 



   La fige 8 montre une réalisation du même genre que la fige 7, la forme générale en plan du lit de combustible   éant   polygonale et, dans l'exemple, sensiblement carrée, cette configuration n'étant na-   turellement   pas limitative. 



   En pareil cas, comme dans la fig. 6, le rable ou racloir 31 sera   conduit   par des moyens se prêtant à la dite configuration, comme par exemple un dispositif à chaine ou à cable, 46-47. Suivant l'importan- ce du foyer, plusieurs rables ou racloirs 31 peuvent être prévus* 
Enfin dans la fige 9, le   foyerprésente   en plan un tracé ouvert notamment rectiligne. Bien que cette disposition ne soit pas avanla-   geuse   en raison des fuites d'air susceptibles de se produite aux   extré-   mités libres du foyer, elle peut être utile dans certains cas   d'appli-   cation. 



   Dans pareil agencement, le déplacement de sens unique du rable ou rachoir 31 peut être conservé, et organisé à la manière indiquée pour la fige 6, ou bien remplacé par un mouvement de va et vient de cet organe, d'une extrémité à l'autre du foyer. 

 <Desc/Clms Page number 14> 

 



   Pareil mouvement peut être obtenu, par exemple, en montant le râblé ou racloir sur une chaîne sans fin 46 passant sur desroues à chaînes 47, comme dans le cas de la fige 6, mais en faisant com-   porter   a la chaine deux taquets 48, dont l'un peut faire partie du rable ou racloir ou de sa monture, et en déplaçant la chaine 46 progressivement par un dispositif à cliquet, dont le cliquet 49 est réversible et actionné par un dispositif à manivelle 50 entrainé en rotation continue par le moteur   38.   Dans ces conditions, le cli- quet agit pour déplacer la chaine dans une direction jusqu'au moment où l'un des baquets 48 vient le heurter et inverse son sens d'action,

   et dans la   direction   opposée jusqu'au moment ou l'autre taquet 48 heurte le cliquet pour inverser à nouveau son sans   d'actiono   
Il suffit que les taquets soient convenablement placés sur la chaîne pour obtenir le déplacement désiré du rable ou racloir. 



   Le fonctionnement de cet agencement est également analogue à celui déjà décrit, sauf que l'on obtient une nappe ou rideau de flam- me, qui pourra être   rectiligne   ou suivre toutetracé' désirable ou né- cessaire pour l'application envisagée. 



   Comme on l'a déjà laissé entendre, l'invention n'est pas limitée aux réalisations ni aux détails d'exécution décrits ou illustrés, mais elle englobe au contraire les variantes et les équivalents. 



    REVENDICATIONS.   

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. ---------------------------- 1. Perfectionnements aux foyers du type comportant au moins une de tuyère par laquelle/l'air de combustion est introduit, par pression ou dépression, au sein d'une masse d'un combustible solide calibré, qui consistent à assurer l'enlèvement des cendres et machefers qui peuvent s'y former en prévoyant un rable ou racloir mobile oondition- né pour balayer une surface disposée en dessous de la ou les zones où les mâchefers ont tendance à se former et, ou sur laquelle ils peuvent venir reposer s'ils sont délogés de leur zone ou zonesde formation et, ou sur laquelle les cendres de la combustion ont ten- dance à s'accumuler, et dont le mouvement amène les mâchefers et, ou les cendres, dans un espace de dégagement ou une enceinte d'évacua- tion, le dit rable ou racloir étant mis en action,
    soit de façon con- tinue en concordance avec la marche du foyer, soit de façon intermit- <Desc/Clms Page number 15> tente ou périodique en relation, avec les variations thermiques de certains organes ou parties du foyer et, ou des résidus évacués de celui-ci.
    2. Perfectionnements selon la revendication 1, caractérisés par le fait que dans le but de déloger les machefers de leur zone ou zonesde formation et, ou de lesséparer dessurfaces sur lesquelles ils pourraient s'être attachés, en leur permettant de venir reposer librement sur la surface balayée par le rable ou racloir et d'être évacués à partir de celle-ci, on communique à la masse combustible de- mouvements internes dans des directions autres que celle de dépla4 cernent du râblé ou racloir, en particulier dans une direction généna- lement perpendiculaire, ou à peu près, à celle de ce déplacements 3.
    Perfectionnements selon la revendication 2, caractérisés par le fait que la face du rable ou racloir opposée à sa face d'appui sur la surface balayée est établie avec des surélévations, celles-ci pou- vant croitré et décroître progressivement, ou croitre progressivement et décroitre brusquement à partir du bord d'entrée ou menant du rable ou racloir dans sa direction de déplacement-* 4. Perfectionnements selon l'une des revendications 1 à 3, caractérisés en ce que les déplacements intermittents du rable ou racloir sont contrôlés par les variations thermiques de la surface balayée.
    5. Perfectionnements selon l'une des revendications 1 à 4, carac- térisés en ce que les déplacements intermittents du rable ou racloir sont contrôlés par des variations dans des radiations calorifiques directes du foyer lui-même* 6. Perfectionnements selon l'une des revendications 1 à 5, caractérisés en ce que les déplacements intermittents du rable ou ra- cloir sont contrôlés par des variations dans les radiations calorifi- ques des cendres et, ou mâchefers évacués du foyero 7, Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés par une mise en action ou hors d'action du rable ou racloir, contrôlée par le taux de remplissage de l'espace de dégagement ou enceinte d'évacuation des cendres et, ou mâchefers. <Desc/Clms Page number 16>
    8. Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés par un réglage par tout ou rien de l'ali- mentation en combustible du foyer, contrôlé par le taux de remplis- sage del'espase de dégagement ou enceinte d'évacuation des cendres et, ou des mâchefers.
    9. Perfectionnements selon la revendication 7 ou la revendica- tion 8, caractérisés par le fait que lorsque l'enceinte qui reçoit les mâchefers et cendres évacués est constituée par un organe mobile, le retrait de cet organe de son emplacement normal arrête de toute façon le décrassage, et peut, le cas échéant, arrêter également l'introduction d'air de combustion dans le foyer.
    10. Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés en ce que la surface balayée par le rable ou racloir est constituée à quelque distance d'un bord de cette sur- face,de décharge des cendres et, ou machefers, et caractérisés en outre par des amenées d'air de combustion entre la dite zône et le dit bord.
    Il* Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés par le fait que les surfaces d'appui du lit de combustible comportent un bord de décharge des cendres et, ou machefers, et que le bord avant, et le cas échéant le bord arrière du rable ou racloir, dans la direction de son déplacement, est ou sont inclinés sur la normale à ce borda 12. Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés par une surface d'appui du lit de oombusti- ble dont une portion constitue la surface balayée par le rable ou racloir, et qui est formée par un organe métallique,en particulier partiellement refroidi par circulation d'eau.
    13, Perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, caractérisés en ce que les déplacements du rable ou racloir sont commandés par un moteur électrique et l'intermédiaire d'un ré- ducteur ou 1 Suivaient, les mises en action et hors d'action du moteur étant contrôlées par thermostat. <Desc/Clms Page number 17>
    14. Des modes de réalisation des perfectionnements selon l'une quelconque des revendications précédentes, dans lesquels le foyer comporte une tuyère d'introduction d'air centrale, de forme circu- laire, allongée ou polygonale en plan, encerclée par un lit de combustible de largeur sensiblement constante qui suit le contour de la tuyère.
    15. Bes modes de réalisation des perfectionnements selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, dans lesquels le foyer compor- te une tuyère d'introduction d'air périphérique, de forme circulaire, allongée ou polygonale en plan, encerclant un lit de combustible de largeur sensiblement constante qui suit le contour interne de la tuyère.
    16. Des modes de réalisation selon la revendication 14, ou 15, dans lesquels le support pour le lit de combustible, ou sole, com- prenant la surface balayée, est de largeur sensiblement uniforme et suit le contour de la tuyère.
    17. Des modes de réalisation selon la revendication 14, ou 15, ou 16, dans lesquels le rable ou racloir mobile est conduit en dé- placement par un mécanisme à bras tournant, ou un mécanisme à chaine ou a cable, en substance comme décrite 18. Des modes de réalisation selon la revendication 15, ou 16, ou 17, dans lesquels l'espace central, interne au lit de combustible, du foyer, est occupé par un générateur de vapeur ou autre échangeur thermique, ou - par un foyer, par exemple à tuyère centrale selon la revendication 14.
    19. un mode de réalisation des perfectionnements selon l'une quelconque des revendications 1 à 13, dans lequel la tuyère est de forme allongée et le lit de combustible est de même forme et disposé d'un seul côté de la tuyère, ce lit formant un tracé ouvert.
    20. Un mode de réalisation selon la revendication 19, dans lequel le mécanisme de déplacement du rable ou racloir exécute un mouvement de va et vient.
    21. Un mode de réalisation selon la revendication 20, dans le- quel le mécanisme de déplacement du rable ou raoloir, est constitué <Desc/Clms Page number 18> par une chaine sans fin à taquets et un dispositif à cliquet réver- sible, animé d'un mouvement alternatif par un mécanisme à manivelle, excentrique, ou semblable.
    22. Des modes de réalisation selon l'une quelconque des revendi- cations 14 à 21, dans lesquels l'organe mobile formant l'enceinte de dégagement des cendres et, ou des machefers est supporté, au moins d'un coté, par un appui mobile, par exemple un appui basculant, in- fluencé élastiquement, déprimé par remplissage de l'enceinte.
    23. Des modes de réalisation selon la revendication 22, dans les- quels l'appui mobile de l'enceinte de dégagement commande, à fond de course de dépression, la mise hors d'action du rable ou racloir, par exemple par l'intermédiaire d'un contact branché en série dans le circuit du moteur de commande de mouvement du rable ou racloir* 24. Des modes de réalisation selon la revendication 22 ou 23, dans lesquels, à fond de course de dépression, l'appui mobile de 1'enceinte de dégagement commande un signal'optique ou acoustique, 25. Des modes de réalisation selon l'une des revendications 22 à 24, dans lesquels le retrait de l'enceinte de dégagement commande la mise hors d'action du rable ou racloir, par l'intermédiaire d'un contact branché en série dans le circuit du moteur de commande de mou- vement du rable ou racloir, 26.
    Des modes de réalisation selon l'une quelconque des râvendi- cations 22 à 25, dans lesquels le foyer est à x'oufflerie, et dans les- quels la soufflerie est arrêtée lors du retrait de l'enceinte de déga- gement des cendres et, ou machefers, par exemple par l'ouverture de un la porte de cendrier et un contact ou/mécanisme de débrayage actionné par cette porte, en substance comme décrite 27s Des modes de réalisation selon l'une quelconque des revendi- cations précédentes, dans lesquels le combustible est fourni au foyer par gravité à partir d'une trémie, et dans lesquels la trémie est mo- bile, ou bien comporte un manchon mobile permettant de régler et, le cas échéant, d'arrêter l'alimentation en combustible du foyero 28,
    Desmodes de réalisation selon l'une quelconque des reverdi- cations 13 à 27, dans lesquels le thermostat de contrôle est placé sous la surface d'appui du lit de combustible ou sole, sensiblement dans l'étendue de la zOne balayée par le rable ou raoloir. <Desc/Clms Page number 19>
    29. Des modes de réalisation selon l'une quelconque des revendi- oations 13 à 28, dans lesquels le thermostat de contrôle est placé sous la surface d'appui da lit de combustible ou sole, dans le champ des radiations directes du foyer, en partioulier près du bord de dégagement des cendreset, ou mâchefers.
    30. Des modes de réalisation selon l'une quelconque des reven- dioations 13 à 29, dans lesquels le foyer comporte un organe mobile formant l'enceinte de dégagement pour les cendres et, ou machefers, et dans lesquels le thermostat de contrôle est place dans le champ des radiations directes des cendres et, ou mâchefers occupant cette enceinte, par exemple sous la surface d'appui du lit de combustible ou sole.
    31. Des modes de réalisation selon l'une quelconque des revendi- cations précédentes, dans lesquels la tuyère est à circulation d'eau etcomporte une surface supérieure inclinée, d'angle d'inclinaison quelque peu moindre que celui du talus naturel du combustible ¯utilisé, une surface latérale fortement inclinée, dans le sens opposé à celui de la surface supérieure, et une surface inférieure qui peut être plane ou bombée vers le haut ou le bas, et dans lesquels les jonctions des surfaces supérieure,, latérale et inférieure ne présentent pas d'aspérités, 320 Des modes de réalisation selon la revendication 31, dans lesquels la surface supérieure et la surface latérale de la tuyère débordent légèrement, respectivement sur la surface latérale et sur la surface inférieure.
    33. Les perfectionnements aux foyers à tuyère et combustibles calibrés, et les foyers à tuyère et combustibles calibrés perfection- nés, en substance comme décrit, ou ainsi que décrit en référence et comme illustré dans les dessins annexés.
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