BE477206A - - Google Patents

Description

   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Dispositifs applicables à des machines   da. traitement   du lin ou d'une autre plante textile en vue de régulariser ' la couche ou la nappe de lin. 



   La présente invention se rapporte à des dispositifs. 



    .   applicables à des machines de traitement de lin ou   d'une '   autre plante textile en vue de régulariser la couche ou la nappe de lin. 



   11 est bien connu que, dans les opérations auxquel- les sont soumises successivement les tiges de lin,   on   fait usage de machines ou de dispositifs qui sont conçus de telle manière que les tiges ne soient traitées que sur une moitié ou sur une fraction de-leur longueur et quelles ne soient   soumises   qu'ensuite à un traitement identique sur le restant de leur longueur (égrènage, teillage). 



   D'autre part, on a recours souvent à des trans- porteurs sur lesquels les tiges sont habituellement mainte- 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 nues approximativementen leur partie centrale en vue   d'être   traitées de part et d'autre de celle-ci, on comprend   qu'iL   importe que la position des pieds des tiges soit aussi uni- forme que possible. 



   La présente invention tient compte de cette exigence qui devient de plus en plus impérative en raison de la con- tinuité que l'on cherche à réaliser dans la suite des opé - rations et a pour but notamment de faireen sorte que cette uniformisation puisse   être   obtenue en n'importe quelle phase du traitement, mais de préférence immédiatement après l'ar- rachage. 



     Bile   a pour but également de permettre de lier méca- niquement, tout de suite après l'arrachage et avec la   mène   machine,  sans   qu'aucune intervention manuelle ne soitné- cessaire pour le déplacement des tiges de l'arracheur vers le lieur et de faire en sorte que les tiges soient présentées à ce dernier en une couche mince etuniforme, en étant bien en parallélisme. 



   L'invention consiste donc essentiellement en ce que latéralement   peu   rapport à   la.   nappe   ou à   la couche, on dis- pose un organe   égaliseur   qui agit sur les pieds des tiges en vue d'uniformiser leurs positions. 



   Dans la réalisation pratique de l'invention, divers organes coopèrent avec l'égaliseur et seront décrits ci- après d'une manière plus détaillée en se référant aux des- sins ci-joints qui montrent à titre purement exemplatif quelques applications de l'invention. 



   La. figure 1 est une vue   en élevât ion   et la figure 2 une vue en plan d'une   arracheuse   de lin munie d'un disposi- tif égaliseur conçu conformément a l'invention. 



   La figure 3 est une vue schématique montrant :Les orga.nes de commande de ce   dispositif.   



   Les figures 4 et   4A   sont   destinées   à illustrer le mode d'action de ce dispositif. 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   Les figures 5 et 6 sont relatives à une variante de réalisation dans le cas de l'application du dispositif éga- liseur à une arracheuse. 



   La figure   '7   se rapporte à un mécanisme particulier servant à faciliter l'avancement de la couche de lin sou- mise à l'action du dispositif égaliseur. 



   Les figures 8 à 13 sont des vues'schématiques, se rapportant à un dispositif-utilisable dans le cas où il n'y as pas de lieur en vue de. produire l'évacuation du lin ayant été arraché ou ramassé. 



   La figure 14 estune vue   schéma, tique,   montrant' le mécanisme de commande dans   le:   cas où   11 on   utilise en com- binaison avec l'égallseur les   disposi-tifs   suivant les fi- gures   '7   à   13..   



   La figure 15 montre schématiquement l'application de l'invention à une ramasseuse de lin et   les,-figures   16 à 19, à une égrèneuse. 



   Sur les figures 1   et 2   de ces dessins, 1 désigne l'essieu non rotatif sur lequel tourne une buselure 2 por- tant une ou deux roues pheumatiques 3 de circulation sur le sol. 



   De cet essieu 1 sont en outre rendus solidaires, par exemple par soudure :   1 )   une fourche 4 portant une. petite roue pneumatique 5, également de circulation sur le sol ; 2 ) une tige 6 autour de laquelle. tourne le plateau d'ar- rachage 7 occupant une position inclinée ; une tige 8 portant le bras 9 servant de support no- tamment aux galets de guidage 10,11,12, 13 de la courroie d'arrachage 14 coopérant avec le plateau 7 ; 4 ) deux   tiges 15 et   16 dont le rôl3 sera -exposé --ci-après. 



   Avec la buselure 2 fait corps une roue conique   17   en prise avec une roue conique 18 solidaire d'un man- 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 chon 19 monté autour de la   tige 15,   muni d'un embrayage 191 etportant une roue à chaîne 20 pouvant entraîner par une cha,ine   21   une roue à   chaîne   22 calée sur une buselure   23   montée autour de la tige 6. 



   Cette buselure 23 porte une roue conique 24 en prise avec une roue conique 25 elle-même solidaire d'une buselure 26 pouvant tourner autour   d'une tige   27   solidaire   de l'essieu 1 et portant une cornière 28 pour une   'cule   29 qui sert au guidage des tiges de lin ayant été arrachées. 



   La cornière 28 est supportée également par une barre 30 sur laquelle est fixée un collier 31 prenant autour de l'essieu 1. 



   Sur la buselure 26 est calée une roue à chaîne 32 qui entraîne;, par une   chaîne     33;   une roue a chaîne 34 calée sur une   buselure   35 pouvant tourner autour d'une tige 36 s'emboîtant dans une gaine 37 solidaire du bâti représenté en   38.   



   La buselure 35 porte une poulie 39 sur laquelle cir- cule   une courroie ,?   40 qui est de préférence conçue de ma- nière à donner naissance à des créneaux 41 formés, dans l'exemple représenté, entre des saillies 42. Cette   courroie   passe en outre autour d'une poulie 43 portée par   l'extrémité   recourbée 44 d'un bras 45 constituant lui-même le   prolonge-   ment après repli de la tige 36 environ à 90 . 



   Dans ces conditions, après embrayage en 191, la courroie 40 est entraînée au moyen des roues 3 par l'inter- médiaire dés organes   2,17,18   à 26, 32 à 33 et 39, et on fera en sorte que la. courroie 40 se déplace à la même ou sensi- blement à la même vitesse que le lin arraché. 



   On comprend que,   grâce   à l'intervention de la cour- roie 40, les pieds des Liges de lin   subissant,de   la part de cette courroie, une action d'égalisation et que, en même temps, les tiges de lin sont déplacées et entraînées par      exemple vers l' organe 1leur. 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 



   Ainsi que cela ressort des figures 4 et 4A, une cour- roie du type absolument lisse permet déjà d'obtenir un cer- tain résultat au point de vue de l'églisation, mais il est préférable de munir cette courroie de saillies, étant donné que celles-ci agissent sur le tiges qui dépassent la nappe dans une mesure appréciable, comme représenté en T1 (fig.4A). 



  Cette action se produit dès que la. saillie 42 entre en con- tact avec l'extrémité de la tige dépassante et empêche ainsi que l'extrémitéde la tige de lin ne se plie au contactde la courroie 4U, ce qui est le cas, quand ces saillies   42   n'existent pas, comme représenté en P (fig.4). 



   Cet avantage a surtout de l'importance en cas de lin tombé. 



   Les fonctions de la courroie 40 sont multiples et peuvent être résumées comme   suit :   a) uniformisation de la position des pieds, ce qui présente une très grande importance pour les opérations subséquentes intervenant dans le travail mécanique continu du lin,,-étant donné que les tiges sont souvent   travaillées     sur- ,une   partie seulement de leur longueur et ensuite -sur une autre partie (égrènage, teillage, etc..); b) lestiges sont amenées à l'organe   1 leur,, de   .manière. ,à être bien parallèles entre elles etperpendiculairement à l'organe lieur et à former une couche mince et   dépaisseur   uniforme , ce qui facilite le travail de tassage et l'éloigenement des bottes une fois la ligature   faite...   



   Un comprend d'ailleurs aisément que, en   1(absence   d'un tel élément, le lin s'accumulerait et s'enchevêtrerait dans l'espace compris entre le dispositif arracheur et l'organe lieur. 



   De plus, on évite toute intervention de main d'oeuvre pour faire pass.er le lin de l'arracheur au lieur. 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 



   Une autre caractéristique importante de   l'inven-   tion lors de son application aux arracheurs est que l'on prévoit des-moyens par lesquels il est possible d'ootenir les avantages ci-dessus et notamment d'uniformiser la po- sition des pieds, quelle que soit la longueur du lin arra-   ché. il   suffit en effet d'agir à la main sur la tige 36-45- 44 formant dans son ensemble un arbre coudé pour faire pi- voter le transporteur 40 et la poulie 43 de manière à ame- ner ces organes respectivement en 401 et en 431 (fig.2),   ce.   qui permet à la courroie d'exercer une action d'égansa- tion sur des tiges plus courtes que dans le cas de celles représentées à la figure 4. 



   Ce réglage suivant la longueur du lin pendant la marche même de   la   machine évite de devoir déplacer le lieur. 



   Afin de faciliter ce basculement, la tige 45 est prolongée par une barre 46 formant manette et pouvant être fixée en des positions variables grâce à une saillie 47 pou-   va.nt     'pénétrer   dans différents trous 48 d'une plaque 49. 



   Comme montré par la   figure 2,   l'ensemble est rendu rigide grâce à une tige 16 faisant également saillie sur l'essieu et à une barre transversale 161 reliant les tiges 6,15 et   16.   



   Les figures 5 et6 se rapportent à une variante de réalisation dans laquelle le transporteur 40 est rem-   pla.cé   par une simple barre 50 munie d'ergots   51   et animée d'un mouvement de va-et-vient analogue à celui d'une biel- le grâce à ce qu'elle estsolidaire d'un bras 56 prenant sur un bouton de manivelle 52 porté en position excentrée par un plateau 53 calé,comme la poulie 39, sur un manchon 351 mis en rotation autour d'une tige fixe 361 par une   roua   à chaîne 341 laquelle est commandée par les roues pheu-   matiques   de circulation sur le champ de   la.   manièreexpliquée à propos desfigures1à   4.   

 <Desc/Clms Page number 7> 

 



   La barre 50 se prolonge par une tige 54 pouvant se déplacer dans un coulisseau 55 et sur son extrémité située vers la sortie des tiges de lin s'articule   une'tringle   57 i oscillant autour d'un axe fixe   58.   



   L'ensemble 50-57 exécute donc des mouvements qui sont clairement représentés par la figure 6 à l'aide des traits. de chaînette. 



   11 est avantageux de prévoir à la sortie du dispositif , arracheur des guides 60 (fig. 1, 2 et 7) qui sont disposés horizontalement au-dessus de la table 29 et   qui.habituelle-   ment sont fixés au bras 9 de telle sorte..que la hauteur de la nappe se dirigeant vers le lieur est ainsi régularisée et est tassée pendant que s'effectue l'uniformisation de la position des tiges. 



   En outre, l'avancement des tiges est facilité au moyen de poussoirs 61, par exemple: au nombre de quatre (fig.7) qui font saillie dans des fentes 62 de la. table 29   et-.qui   sont montés sur un arbre coudé 63 commandé de l'arbre 361 par l' intermédiaire de deux   roues,   coniques 64   et'. 65'   (fig.9).      



  Chaque poussoir est libre sur   un   maneton de l'arbre coudé et se prolonge par une queue 66 sur laquelle   s'articule.en   67 une tringle 68 elle-même montée à pivot sur un axe fixe 69. 



   Comme   on'le   comprendra, la rotation.de   1.' arbre, 361.   entraine celle du vilebrequin 63 et grâce à la présence des éléments 66 à 69, les poussoirs restent'en position.droite pendant   que,alternativement,   ils s'effacent sous. la .table 29 et font à nouveau saillie dans la position représentée à la figure 7 de manière à agir sur les tiges de lin. 



   Quand la machine ne comporte pas de lieuse et que l'on veut produire une évacuation de lin, de manière qu'il tombe sur le champ sans avoir été lié en gerbes, on prévoit un dispositif comprenant notamment une planchette   71   qui normalement occupe une position verticale et qui peut basculer 
 EMI7.1 
 lorsqu'un axe transversal 72 sur lequel elle est calée/7est 

 <Desc/Clms Page number 8> 

 mis en rotation (fig.8). 



   Le lin vient se tasser contre cette planchette 71 entre la table 29 et les guides 60 jusqu'à ce.-.que la masse de lin possède une pression suffisante pour la faire basculer et l'amener en 711 (fig.8)   D'autre   part, grâce à une tringle 73fixée à la. plan- chette 71 et à une bielle 74, ce basculement de. la planchette 71 a pour effet de faire pénétrer dans le lin à proximité du dispositif égaliseur une pièce 75 en forme de crochet qui est fixée sur un axe 76 auquel est reliée la bielle 74 et qui normalement est effacée sous la table 29.

   La pièce 75 est conçue de manière à arrêter pendant une ou deux secondes (position 751)   la   lin qui continue à arriver du mécanisme arracheur et cela pendant que, à la suite du basculement de 71, le lin qui s'était tassé est évacué par exemple à l'in-   tervention   du moyen suiva.nt permettant la formation de touf- fes ou de javelles : 
Sur l'axe 72 de la planchette   71   est   calé     un   levier 77 sur lequel s'articule une tringle 78 (fig.11) fixée par l'in- termédiaire d'un ressort 79 à un point fixe 80.

   Cette tringle   78   porte une pièce 81 pouvant pivoter en 82 et se terminant par un crochet 83 qui coopère avec un cliquet 84 pouvant   --'en-   gager dans la denture d'une roue à rochet 85 calée sur un axe 86 qui tourne constamment et qui, à cet effet, est   commande   au moyen de roues 3 du véhicule par l'intermédiaire du man- chon 2, des roues 17 et 18 et d'une roue conique   87   engrenant avec la roue 18 et calée sur l'arbre 86. Sur cet arbre 86 est monté en outre librement à son extrémité un plateau 88 muni d'un ergot 89 sur lequel peut pivoter :Le cliquet 84. 



  Le plateau 88 porte aussi un bouton 90 d'attaché d'une bielle 91 sur laquelle s'articule un bras, 92 s'étendant horizonta- lement a.u-dessus de la table de manière à pouvoir basculer 

 <Desc/Clms Page number 9> 

   amtour   d'un axe vertical fixe 93 situé à coté de la table 29 et à être amené dans'une position 921 (fig.10) en balayant le lin tassé contre la planchette   71.   



   Un comprend en effet que, quand la planchette   71   bas-- cule,   elle   fait tourner son axe 72 et amène les organes 77 et 78 respectivement en 771 et 781, la bielette 78 entraîne la pièce 81 qui en basculant   libère   le cliquet 84 lequel pénètre dans la denture de la roue 85 . De ce fait, le pla- teau 88 est mis en rotation et entraîne par le bouton 90 et la bielle 91 le bras 92 qui, durant une rotation d'un tour du plateau 88, est tout d'abord amené en 921   (fig.10)   puas est ramené en 92. A ce moment, la. cliquet   84 est   à,      nouveau retenu par la pièce 81 et la   plateau,88   est débrayé et mis à l'arrêt.

   Simultanément, la planchette   71   a été mise à nouveau dans la position en traits pleins à la figure 8 et le crochet 75 s'est effacé sous la table de sorte que le lin qui était retenu par ce crochet est libéré et avance. sous l'effet des poussoirs 61 pour s'accumuler devant la plan- chette   'Il.   une particularité du dispositif est que., lorsqu'il se      déplace vers la droite, le bras 92 glisse sur une rampe 94 en forme d'arc de cercle ets'inclinant à partir   d'un   sup- port 95 de sorte que le bras 92 s'abaisse quand il se meut vers l'extérieur de. la,,-,table. 



   A son extrémitélibre, le bras 92 porte une griffe 95      qui en fin de course de retour.du bras 92, pénètre dans le lin en étant guidée à ce moment par le- cmochet 75   dintro-     duant   dans le lin en sens inverse et portant une rigole 96 dans laquelle glisse la griffe 95. 



   La figure   15   montre l'application du dispositif éga- liseur à une ramasseuse de lin. 



   Sur cette figure, on a représenté en 100 la roue mo- trice habituellement pneumatique de circulation sur le sol, en   lui   le plateau occupant une position verticale ou sensi- 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 blement verticale et avec lequel coopère la courroie faisant partie du dispositif de ramassage et passant autour d'une poulie 102 commandée par la roue motrice 100. La poulie 102 est montée sur un arbre 103 portant d'autre part une roue à chaîne 104 entraînant par une chaîne 105, une roue 106 calée sur un arbre   107   d'entraînement du lieur représenté schéma- ti'quement en   108.   



   Suivant l'invention, on prévoi lateralement par rapport à la table 291 sur laquelle se déplace le lin sortant du dispositif ramasseur., une plaque 109 occupant une position verticale un peu au-dessus du niveau de la table 291 etfixee à l'extrémité d'une bielle   110   fixée sur un bouton 111 porté excentriquement par un plateau 112 équivalent au plateau   53   de la figure 6. Ce plateau 112 est calé sur un arbre 113 disposé verticalement et mis en rotation au moyen de l'arbre   107   par l'intermédiaire de deux roues coniques 114 et 1141. 



   Dans ces conditions, la rotation de l'arbre 113 produit celle du plateau 112 qui, par la oielle 110, détermine, ppur la plaque¯109, un mouvement de va-et-vient au cours du- quel elle s'éloigne et se rapproche successivement des pieds des tiges de lin et exerce une légère pression sur les extré- mités des tiges en produisant une uniformisation de la posi- tion de ces pieds. 



   Dans une telle ramasseuse, on peut aussi prévoir des poussoirs 61 montés sur un arbre coudé 631 entraîné par   l'arbre-113;tout   comme à la figure 9, l'arbre 63 est commandé par l'arbre 361 (roues coniques 1131 et  1132).   



   Les figures   16,17,18   et 19 montrent l'application du dispositif égaliseur .à une égrèneuse par exemple du type décrit et revendiqué par le brevetbelge n   427.744   du 23 avril 1938 basé sur l'utilisation d'une roue pneumatique 115 dont une partie de la périphérie   est   parcourue par une cour- roie 116 guidée par des poulies 1161 et avec laquelle coopère 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 des galets de pression 11'7 sans ressorts agissant sur le brin inférieur de la courroie.      



   Au-dessus de la, table de sortie 118.de l'égrèneuse sont disposés horizontalement des barres 602 d'égalisation de la hauteur de la couche. 



   En outre, des poussoirs 119   (fig.6)'facilitant     l'avan- .   cement du lin sont montés sur un arbre coudé 120 portant une roue' à chaîne   121   en traînapar 1'intermédiaire de la chaîne   IL'2   par une roue 123 calée sur l'arbre 124 de la roue pheu- matique 115. 



   Tout comme à la figure 7, chaque poussoir   119   est muni d'une queue 661 sur laquelle s'articule en 671 une tringle . 



  681 pouv ant pivoter en 691. 



   Enfin, les. tiges sortantes (paille) peuvent   être.sou-   mises à l'action d'un dispositif   .égaliseur   constitué par une planchette 125 placée de champ latéralement -par rapport à la couche de lin en mouvement sur la table 118. 



   Cette, plaque 125 est animée d'un mouvement de va-et- vient comme indiqué par la figure   1.7. et   à cet effet-elle est portée par l'extrémitéé d' une tringle 126 .oscillant autour d'un pivot fixe 127 porté par une traverse fixe 128 du   bâti.-   Cette tringle 126 s'articule en 129 sur un bras 130 monté .sur un bouton   131   porté en position   excentrée..par   un plateau 132 calésur un arbre 133 entraîné par l'arbre   134.,de.   commande des peignes 135.

Claims (1)

1. De préférence, la planchette 125 se prolongé du .côté . de l'arrivée des tiges (sortant du transporteur pneumatique) par une barre inclinée vers. l'extérieur et portant une surface crénelée 137 sur les. tiges de lin T2 dont les..pieds dépasse- raient dans une mesure appréciable.' R e v e n d i c a t i o n s.

   1.- Dispositif applicable à des machines de traitement de lin ou d'une autre plante. textile (arracheuses, ramasseuses, égrèneuses, etc..) en vue de régulariser la couche ou la <Desc/Clms Page number 12> nappe de lin, caractérisé en ce que, latéralement à la nappe ou à la couche, on dispose un organe égaliseur qui agit sur les pieds des tiges en vue d'uniformiser leurs positions.

   2.- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe égaliseur est constitué par une courroie continue du genre d'une bande transporteuse, placée de champ et dont un brin agit sur les pieds en vue d'uniformiser leur position.

   3.- Dispositif suivant les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que la courroie possède des saill@es donnant lieu entre elles à la formation de créneaux.

   4.- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que l'organe égaliseur est constitué par une plaque ou par une planchette. disposée de champ et recevant un mouvement alternatif par lequel il peut agir sur'les pieds en vue de les uniformiser en pos ition.

   5.- Dispositifsuivant la revendication 1, caractérisé en ce que, dans le cas d'une arracheuse ou d'une ramasseuse, l'organe- égaliseur est disposé à las sortie des organes arra- cheurs ou ramasseurs et en ce qu'il peut intervenir pour faire en sorte que les tiges arrachées soient présentées au lieur dans une direction perpendiculaireà celui-ci.

   6.- Dispositif suivant les revendications 1 et 5, caractérisé en ce que l'on prévoit des moyens par lesquels la position de l'organe d'uniformisation de la position des pieds peut, suivant la longueur des tiges de lin, être modlliée à la main et pendant l'arrachage ou le ramassage afin de permettre à cet organe d'exercer son action, quelle que soit la longueur des tiges de lin.

   7.- Dispositif suivant les revendications 1,5 et 6, carac- térisé par sa coopération avec un dispositif arracheur dans lequel un plateau d'arrachage, incliné et le bras portant les <Desc/Clms Page number 13> galets ou d'autres organes de guidage d'une courroie arracheuse sont montés par simple/emboîtement sur des saillies (8-6) por- tées par un arbre et par exemple par un essieu (1).

   8.- Dispositif suivant les revendications 1 et 5, caractérisée en ce que l'organe, d'uniformisation des tiges est commandé par une poulie (39) actionnée elle-même à partir des roues (3) de circulation sur le sol.

   9. - Dispositif suivant les revendications 1,5 et 8, caracté- risé en ce que la poulie (39) de commande de l'organe. (40) de transport et d'uniformisation des tiges est solidaire d'un manchon (35) qui peut tourner autour d'une: tige (36) fixée au bâti et qui est muni de moyens d'entraînement à partir des roues de circulation sur le sol.

   10.- Dispositif suivant les-revendications 1 et. 5,, caractérisé en ce que l'organe qui agit sur les tiges de lin en vue.de les déplacer et d'uniformiser les. pieds est constitué par une barfe (50) munie de saillies (51) et recevant un mouvement de va-et-vient à la façon d'une bielle, cette barre exerçant son action sur les. tiges par des secousses exercées'suc- cessivement sur les pieds et des. moyens -étant prévus par les- quels on peut modifier l'inclinaison de la barre dans sa tra- jectoire produisant l'avancement et 1'uniformisation des tiges.

   Il.- Dispositif suivant les revendicatiàns 1 et 5, ,caractérisé en ce que certains des organea de commande de IL'organe d'uni- formisation et plus particulièrement un embrayage (19') sont également emboîtés sur une saillie (15) portée par un arbre, par exemple par un essieu.

   12.- Dispositif suivant la revendication 1,.caractérisé en ce que, outre, le dispositif égaliseur' des tiges, on prévoit des organes qui ont comme, fonction de faciliter l'avancement du lin, ces organes étant constitués par exemple par des pous- soirs recevant un mouvement alternatif de manière à pouvoir <Desc/Clms Page number 14> faire saillie dans des fentes de la table et à s'effacer sous cette dernière.

   13.- Dispositif suivant les revendications 1 et 12, carac- térisé en ce que les poussoirs sont montés sur les mane- tons d'un arbre coudé et coopérant avec des moyens servant à les maintenir en position relevée pendantla rotation de l'arbre coudé.

   14. - Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé par la disposition au-dessus de la couche de lin en mouve- ment de guides disposés horizontalement et d'une manière. perpendiculaire aux tiges.

   15.- Dispositif suivant les revendications 1 et 5, carac- térisé en ce que, en bas d'absence de lieuse, le lin s'ac- cumule. devant une planchette ou autre organe basculant jusqu'à ce que, par la pression résultant de son accumula- tion, il fasse basculer cette planchette- qui, par une trin- glerie appropriée, prpvoque la mise en position d'une pièce habituellement en forme de crochet, susceptible d'arrêter le lin continuant à arriver.

   16.- Dispositif suivant les revendications 1 à 15, caracté- risé en ce qu'un bras javeleur à mouvementalternatif pro- duit l'évacuation du lin qui s'est accumulé devant la plan- chette basculante et en ce que les mouvements de ce bras sont mis sous la dépendance de ceux de la planchette bas- culante.

   17.- Dispositif suivant les revendications 1 et16, carac- térisé en ce que, pour son mouvement de basculement, le bras javeleur est commandé des roues du véhicule par l'in- termédiaire d'un arbre à rotation continue qui porte un or- gane produisant le basculement du bras lorsqu'il a été em- brayé par un organe placé sous la dépendance des mouvements de la planchette basculante. <Desc/Clms Page number 15>

   18.- Dispositif suivant les revendications 1 à'15, caractérisé en ce que le bras javeleur porte à son extrémité libre une griffe qui, en fin de course,de retour, pénètre dans le lin en étant guidée à ce moment par le crochet de. retenue, du lin qui, à ce moment, s'introduit dans lelin en sens inverse et pouvant porer à cet effet une rigole dans laquelle glisse. cette griffe.

   19.- Dispositif suivant la revendication 1, caractérisé en ce que, dans le cas de son application à une ramasseuse, l'or- gane égaliseur comprend une plaque à mouvement alternatif oc- cupant une position verticale et fixée à l'extrémité d'une bielle fixée sur un bouton porté excentriquement par un pla- teau calé sur un arbre mis en rotation par le :Lieur et pouvant commander un arbre coudé ou une autre pièce portant des pous- soirs d'avancement du lin.

   20. - Dispositif suivant la revendication 1,.caractérisé en ce que, dans le cas d'une ëgrèneuse, l'organe égaliseur est ,porté par une bielle s'étendant vers le haut,pivotant autour d'un point fixe du bâti et reliée à une tringle montée- sur un bou- ton porté excentriquement par un plateau à rotation continue commandé par les organes de commande des. peignes.' 21.- Dispositif suivant les revendications 1 et 20, caracté- risé en ce que l'organe égaliseur comprend une plaque lisse qui se prolonge du coté de l'arrivée des tiges par une barre inclinée vers l'extérieur et portant une surface crénelée.