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" Serrures à secret ou à combinaison!!
La présente invention est relative à un nouveau type de serrure à secret ou à combinaison, c'est-à-dire une serrure sans clef, dans laquelle la combinaison s'effectue par la coïncidence de divers éléments mobiles.
On connaît déjà des serrures à secret ou à combinai- son qui comprennent un certain nombre de disques pouvant tourner indépendamment l'un de l'autre et devant coïncider dans une position déterminée pour que le déplacement du verrou soit possible .
La serrure suivant la présente invention, diffère totalement du type défini ci-dessus et comprend un cer- tain nombre de gardes déplaçables verticalement ou dans un autre sens, chacune de ces gardés étant composée de deux pièces ou parties accouplées entre elles et dont la position relative peut être modifiée à volonté, une des
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deux moitiés ou parties de chaque garde portent une lent ou une crémaillère grâce à laquelle est provoqua à le dépla- cement graduel de la garde complète ou double, et l'entre moitié portant une mortaise en sorte que; lorsque les mortaises de toutes les gardes sont au. même niveau, le verrou, peut être déplacé .
Aux gardes et précisément à la moitié pourvue d'une crémaillère, est associée une dent d'encliquetage destinée à provoquer le déplacement des gardes .Cette dent d'encliquetae peut se déplacer parallèlement à elle-même de façon à venir se placer devant l'une ou l'autre des gardes, grâce à un bouton- poussoir qui, lorsqu'il est actionné, place ladite dent d'encliquetage devant la crémaillère de la première garde, ou bien, lorsqu'il est actionné deux fois devant la seconde garde et ainsi de suite .
La dent d'enclique- tage est également associée à un second poussoir grâce auquel ladite dent d'encliquetage peut se déplacer axiale- ment, en sorte qu'elle s'engage entre deux dents de la crémaillère de la garde choisie et produit l'avancement de la garde d'une quantité correspondant à la distance entre deux dents.
Ainsi une fois le cliquet en face de la crémaillère de la garde qu'on désire mettre en mouvement, le second poussoir est actionné autant de fois que l'on désire faire avencer ladite garde d'une distance séparant deux dents, la garde restant bloquée dans la position désirée grâce à une dent de retenue individuelle.
De cette manière, les gardes se déplacent indé- pendamment l'une de 'l'autre d'une distance désirée et éta- blie à l'avance suivant la combinaison choisie .Une fois qu'elles sont toutes déplacées , on obtient la coïncidence de la mortaise qui permet le déplacement des organes d'actionnement du verrou .
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La serrure comprend également un mécanisme actionné par un troisième poussoir, au moyen duquel toutes les tes gardes et toue les dents d'encliquetage sont libérées, les premières retournant à leur position initiale,en sorte que la combinaison établie s'annule.
Ce mécanisme est actionné à la main par le poussoir aussi souvent qu'on le désire et est également actionné par le verrou même de la serrure, en sorte que, lorsqu'on ouvre la serrure la combinaison s'annule'automatiquement.
Enfin, la serrure comprend également des moyens pour permettra la variation du secret ou de la combinaison aussi souvent qu'on le désire et à cet effet, une des moitiés des gardes est montée sur une plaque. mobile dépla- çable latéralement , qui peut être immobilisée par rapport à cette plaque postérieure de la serrure au moyen d'un écrou ou dispositif de fixation similaire en sorte que,, lorsqu'on relâche ledit dispositif et qu'on provoque le déplacement de la plaque mobile, on peut séparer les deux moitiés des gardes l'une de l'aitre et ensuite établir la nouvelle combinaison, les deux moitiés des alors gardes étant / à nouveau ajustées dans la relation nouvellement établie .
Dans les dessins ci-joints on a représenté, à titre d'exemple, une forme préférée de réalisation de la serrure à secret ou à combinaison , suivant l'in- vention.
La figure 1 est une coupe verticale montrant la disposition des poussoirs d'actionnement.'
La figure 2 est une vue frontale du mécanisme inté- rieur de la serrure, la plaque antérieure du boîtier étant enlevée et la serrure étant fermée .
La figure 3 montre le mécanisme de la serrure après établissement de la combinaison, la serrure étant ouverte.
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La figure 4 est une coupe transversale suivant la li- gne IV-IV de la figure 3.
La figure 5 montre l'envers de la serrure, le verrou étant fermé.
La figure 6 montre également l'envers de la serrure après son ouverture.
La serrure est représentée en entier aux figures 1, 2 et 3. Elle est constituée d'une plaque de base 10 et d'une autre plaque parallèle antérieure 11 maintenue à une distance convenable au moyen de, petites colonnes ou piliers 12 formant une carcasse ou boîtier , dans lequel le mécanisme de la serrure est renfermé*Contre la face intérieure de la plaque 10 est disposée une autre plaque
13 de dimensions moindres, montée de manière à pouvoir subir un léger déplacement latéral , la dite plaque 13 pouvant être fixée en position convenable, au moyen d'un écrou à papillon, 14 engagé pur le tenon fileté 15 , soli- daire de ladite plaque 13.
Contre ladite plaque 13 est disposée une série de gardes, placées l'une contre l'autre et formées,comme il a été dit antérieurement , de deux moitiés 16 et 17.
La plaque 13 porte deux ou plusieurs tenons 18, qui ser- vent de guide aux gardes 16, en étant engagés dans une rainure 19 pratiquée longitudinalement dans lesdites gardes, de façon que ces gardes puissent se mouvoir en direction verticale, comme on le voit aux figures 2 et 3. D'un cautre coté, l'autre moitié 17 des gardes est montée de ma- nière similaire par rapport à des tenons 20 , fixés soli- dairement à la plaque postérieure 10 de la carcasse et pas- sant à travers des fentes appropriées 21 de la plaque 13, lesquelles fentes s'étendent dans le sens horizontal.
Les gardes 16 et 17 sont accouplées l'une à l'autre de façon à se déplacer ensemble et cet accouplement est
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constitué par l'aménagement d'une dent) 22 dans le bord intérieur des gardes 16 et par la disposition d'une dent ou d'une saillie 23 fixée au bord intérieur des gardes 17, laquelle saillie peut s'engager dans l'un quelconque des intervalles entre deux dents de la denture 22 , la hauteur relative des gardes 16 et 17 étant réglable de cette façon . En outre, les gardes 16 présentent dans leur bord extérieur une mortaise 24, dans laquelle peut s'intro- duire une saillie d'une gâchette de retenue du verrou, comme il sera décrit ci-dessus.
D'un autre côté,les gardes 17 présentent dans leur bord extérieur une dent ou une crémaillère 25, de préférence sous forme de dents de scie, grâce à laquelle se produit le déplacement des gardes.
On comprend qu'avec cett'e disposition des gardes, et celles-ci peuvent se déplacer dans un sens ascendant/dans un sens descendant, tout en étant guidées convenablement par les tenons 18 fixés à la plaque 13 et par les tenons 20 fixés à la plaque postérieure 10. Le mouvement des- cendant des gardes est facilité par l'action d'un ressort 28 qui s'étend entre la partie inférieure de la garde et un point fixe 29 de la carcasse.
Parallèlement aux bords dentés 25 des gardes 17, -on a disposé un mécanisme d'encliquetage constitué par une dent 30 pouvant osciller à l'extrémité d'un tenon ou d'une tige 31, qui peut glisser verticalement à l'inté- rieur d'un guide approprié 32 : Ce guide 32 est solidaire d'une broche cylindrique 33 disposée transversalement par rapport à la serrure et de façon à traverser la plaque postérieure 10 et à s'introduire dans un capuchon 34 de dimensions convenables, fixé à ladite paroi postérieure et présentant une cavité'35 qui sert de guide et 'd'appui à la broche 33. Dans ladite cavité est logé un ressort 36,
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qui tend à pousser la broche vers le dehors ou la partie antérieurede la serrure.
La broche 33 présente une nervure 37 qui, lorsqu'on l'introduit dans une rainure appropriée de son support, empêche ladite broche de tourner et, par conséquent, assure une position correcte à la dent d'encliquetage .
La broche 33 présente aussi latéralement une denture 38 qui agit en combinaison avec une dent de retenue 39 montée élastiquement sur un support approprié 40, de façon que cette dent de retenue serve à fixer la position de la broche et, par conséquent, de la dent d'encliquetage, pré- cisément devant la garde qu'on désire mettre en mouve- ment .
La broche 33 .est également pourvue le long de sa génératrice inférieured'une autre denture41 (figure 1) , agencée pour agir en combinaison avec un bouton-poussoir qui émerge-de la serrure, ledit bouton étant constitué par un capuchon 42 solidaire d'une broche 43 qui peut se mouvoir axialement à l'intérieur du manchon 44, qui tra- verse la plaque antérieure 11 de la serrure au-dessous de la broche de manoeuvre 33.
La broche 43 porte à son extré- mité une dent 45, qui reste cachée à l'inférieur du man- chon 44, quand le tenon se déplace vers l'extérieur sous llaction du ressort 46 logé à l'intérieur du capuchon, d'un et qui sort du manchon sous 1'action xu ressort 47. Quand le bouton est poussé de façon que la dent vienne en prise avec une des dents de la denture 41 de la broche 33 et fasse < vancer celle-cide la distance nécessaire pour que la dent de manoeuvre 30 se déplace jusqu'à ce qu'elle arrive devant la garde continue, la broche 33 avance chaque est fois de la distance existant entre deux gardes,
et retenue dans la position désirée par la dent d'encliqueta-
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ge 39 comme il a été dit auparavant.
Ainsi, grâce au bouton-poussoir-42, on amène la dent de manoeuvre 30 devant la garde'qu'on désire mettre en mouvement.
Une fois cette position obtenue, la dent de manoeu- vre est actionnée au moyen d'un bouton-poussoir 50 ,qui, comme celui décrit antérieurement, a la forme d'un capuchon solidaire d'une broche centrale"51, qui peut se déplacer à l'intérieur d'un manchon 52 fixé à la plaque antérieu- re de la serrure . La' broche 51 se termine par un plan incliné 53, qui agit sur une pièce mobile 54 montée con- venablement sur des supports 55, de manière à pouvoir être déplacée en sens vertical . La pièce 54 forme è sa partie supérieure une petite plate-forme 56 sur laquelle la tige 31 de la dent de manoeuvre 30 vient prendre.appui, de sorte que, quelle que soit la position occupée par ladite dent, celle-ci est poussée par la pièce 54 quand cette pièce est déplacée vers le haut par le .bouton 50 .
Il en résulte que chaque fois que ce bouton 50 est actionné, la dent 30 provoque la montée de la garde choisie d'une hauteur correspondant à une dent.Les gardes restent fixées dans la position atteinte grâce aux à des dents de retenue 60 visibles/figures 2 et 3 (une pour chaque plaque), montées de façon à pouvoir osciller sur le pivot 61 et qui, sous l'action d'un res- sort individuel 62 , tendent à s'engager par leur bec 63 dans les dents de la crémaillère 25, empêchant ainsi la descente des gardes.
Un ressort @@ par exemple en spirale 7, tend à pousser la dent de manoeuvre 30 vers le bas , en @@ maintenant la tige 31 qui la porte en contact avec la pièce 54.
Une fois les gardes dans la position désirée, les
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mortaises 24 sont toutes au même niveau et on peut ensuite y introduire la saillie 65 d'une gâchette 66, qui peut pivoter autour d'un pivot 67 et qui est soumise à l'action d'un ressort 68, lequel ressort tend à appliquer la sail- lie 65 contre le bord latéral des gardes et à l'introdui- re dans les rainures 24 aussitôt que celles-ci sont à son niveau .
Lorsqu'on déplace la gâchette de la position indiquée à la figure 3 à la position indiquée àla figure 2, la gâchette 66 exerce une pression latérale sur une broche déplaçable 69, de sorte que, cette broche 69 sort par la face opposée de la. serrure(figure 5) et empêche le déplacement du verrou par suite de la rencontre de la languette 70 du verrou avec la broche 69. D'un autre côté, la broche 69 est soumise à l'action d'un ressort, qui tend à la repousser vers la gâchette 66, en sorte que, dès que la saillie 65 s'introduit dans les mortaises 24, ladite broche est libérée, ce qui permet l'ouverture du verrou .
La languette 70 est montée de façon à pouvoir osciller sur le pivot 71 et est soumise à l'action d'un ressort à lame 72, de sorte que, lors du mouvement de fer- meture du verrou, la gâchette 66 pousse à nouveau la bro- che 69 , qui à son tour repousse ladite languette 70 jusqu'à ce que le verrou soit en position de fermeture.
En servant de butée à l'extrémité de la languette 70, la broche 69 constitue une sûreté qui empêche l'ouverture éventuelle du verrou .
Le mécanisme de la serrure , suivant l'invention, est combiner à une disposition qui permet d'annuler à volon- té ou automatiquement la combinaison effectuée avec les gardes, c'est-à-dire de ramener celles-ci à leur position primitive représentée à la figure 2. Cette particularité peut être utile, si, en actionnant les poussoirs, on commet /
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une erreur et qu'il est nécessaire de refaire la combinai- son depuis le commencement.
A cet effet, on a prévu un troisième bouton-poussoir, situé dans la partie supérieure de la serrure, qui de même que les autres boutons-poussoirs est constitué d'un capuchon 80, solidaire d'une broche 81, qui peut se dépla- cer axialement à l'intérieur d'un manchon 82 fixé à la plaque antérieure 11 de la serrure . La broche 81 se ter- mine à son extrémité intérieure par un plan incliné 83 qui agit sur un bord d'une ouverture 84 pratiquée dans la pièce coulissante 85, qui peut glisser suivant un mouvement ascendant et descendant tout en étant guidée convenablement par des supports 86.
Cette pièce 85 forme à son extrémité inférieure une plate-forme 87 qui vient prendre appui contre la partie postérieure d.e toutes les dents de retenue 60, de façon que, lorsqu'on actionne le bouton-poussoir 80, la pièce 85 se déplace vers le bas et est poussée vers les dents de retenue 60 en les faisant osciller autour de leur axe 61 et en dégageant les dents 63 des gardes. Il en résulte que les dites gardes sont toutes libérées et se déplacent vers leur position inférieure extrême par leur propre poids et par l'action des ressorts 28.
La pièce coulissante 85 porte sur une de ses faces un tenon 90 qui :est engagé dans nne rainure de forme inclinée 91 d'une g'âchette 92 qui oscille autour d'un pivot 93 et ladite gâchette se termine à son autre extrémité par un doigt ou pointe 94 . Ce doigt vient, lors de l'oscillation de la gâchette 92, buter contre un tenon 95 solidaire de la dent 39, en sorte que, lors.de la descente de la pièce 85, ladite gâchette 92 oscille et se sépare de la dent 39, qui fixe la position de la broche 33, lais- sant celle-ci libre de retourner à sa position initiale
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grâce à l'action du ressort 36 pendant que les dents de rete- nue 60 se dégagent des dentures 25 des gardes. Après cette opération, l'ensemble du mécanisme est revenu dans la posi- tion de départ .
Cette même opération d'annulation de la combinaison a lieu automatiquement par la fermeture du verrou . A cet effet, la pièce coulissante 85 est solidaire d'un tenon 100 qui traverse la rainure 101 ménagée dans la paroi pos- térieure 10 de la serrure . Comme montré à la figure 5, le verrou porte une languette 102 occupant une position inclinée et logée dans une ouverture destinéeà la recevoir.
Cette languette pivote en 103 et est soumise à l'action d'un ressort à lame 104 qui'tend à l'appliquer contre la pla- que postérieure 10 de la serrure . Le tenon 100 fait sail-- lie en' avant de l'extrémité de la languette 102 et cette extrémité est coupée en biseau, de sorte que lorsque le verrou exécute son mouvement d'ouverture, la languette est soulevée, en passant au-dessus du tenon 100 et ledit tenon reste, à la fin de l'opération, dans la position représentée à la figure 6, près du bord incliné inférieur de la languette . Quand le verrou se déplace vers sa po- sition de fermeture, dans la direction de la flèche de la figure 6, la languette oblige la tenon 100 à se déplacer versle bas et, par conséquent, tout le fonctionnement décrit de la pièce 85 s'effectue , ce qui annule la com- binaison effectuée avec les gardes.
Le déplacement du verrou agit également sur la gâchette 66 qui fixe les gardes, afin de provoquer le re- tour de cette gâchette à sa position primitive et afin de libérer les gardes . A cet effet, on a fixé, à la face postérieure du verrou, un support 105 qui porte une dent 106 même qui peut pivoter autour du pivot 107 dans le/sens que celui indiqué par la flèche de la figure 5, et qui est maintenue
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dans sa position limite par l'action d'un ressort 108.
D'un autre côté , la plaque postérieure 10 de la serrure porte un tenon 110,qui traverse une.rainure 111 pratiquée dans le verrou et sert de pivot à une gâchette ou pièce
112 . Cette pièce 112 présente une dent 113, qui, dans certaines conditions, peut heurter la dent 106. La gâ- chette 66 porte à son extrémité inférieure un teno.n 114 qui, en traversant une fente 115 de la plaque postérieure de la sessure et une fente 116 de la plaque du verrou, . s'introduit dans une fente 117 pratiquée dans la pièce
112.
Grâce à cette disposition, quand la gâchette 66 pivote autour de son pivot 67 et que la saillie 65 s'introduit 24 dans les mortaises/des gardes, elle entraîne dans son mouve- ment la gâchette 112, qui vient occuper une position sensi- blement verticale à la gauche de la dent 106, pendant leouvement d'ouverture du verrou . Cette dent 106 pivote au- tour du pivot 107 et saute de 1''autre côté de la dent 113, ou bien la gâchette 112 reste à droite de la dent 106, comme on peut le voir à la figure 6.
Ensuite, lorsqu'on provoque le mouvement de fermeture du verrou dans le sens de la flèche de la figuré 6, la dent 106 heurte la dent
113 et fait osciller la pièce 112 qui, à son tour, entraîne le tenon 114, lequel tenon fait mouvoir la gâchette 66, en la dégageant des gardesên ,permettant que la combinaison s'annule ., quand les gardes sont libérées, comme on l'a déjà'indiqué, et se mettant tous les éléments de la serrure dans la position du départ .
La combinaison ou le secret de la serrure peut être modifié à volonté sans qu:Ul soit nécessaire de démonter ladit serrure . Comme il a déjà été dit antérieurement,les gardes 16 sont montées sur une plaque intérieure 13 et cette plaque est solidaire d'un tenon 15 qui traverse la plaque postérieure 10 de la serrure et peut être immo-
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bilisé par rapport à cette plaque au moyen d'un écrou 14, Les gardes 17 sont, par contre, guidées par les tenons 20 solidaires de la plaque postérieure de la serrure, en sorte que lesdites gardes 17 ne subissent pas de déplacement latéral .
Grâce à cette disposition, si on desserre l'é- crou 14, la plaque 13 peut se déplacer vers la gauche (figure 4) en entraînant les gardes 16.A ce moment, celles- ci se déconnectent des gardes 17, c'est-à-dire que les dents 23 se séparent des crémaillères on dentures 22, la position relative des gardes pouvant ensuite être midifiée g volónté.
Ainsi pour changer la combinaison, il suffit d'ou- vrir la serrure . Une fois cette serrure ouverte,quand toutes les gardes 16 sont posées les unes contre les
14 autres, l'écrou/est desserré et les gardes 16 sont dé- placées vers la gauche (figure 4), de manière à les désac- coupler des gardes 17 .' Ensuite, on annule la combinai- son, en poussant le bouton 80.Les gardes 17 sont alors amenées jusqu'à leur position inférieure extrême, et on réalise ensuite la nouvelle combinaison désirée au moyen des boutons 42 et 50.
Une fois cette nouvelle com- binaison établie, les gardes 16sont accouplées à nouveau aux gardes 17 dans la nouvelle position relative de celles-ci, et maintenues dans cette position par un nouveau serrage de l'écrou 14. La serrure reste prête à fonctionner avec la nouvelle combinaison. Cornue on ,le voit, tout cela s'effectue sans qu'il soit nécessaire de démonter la serrureou un de ses organes.
La. serrure suivant l'invention, peut être construite également de manière que les poussoirs ne dépassent pas la paroi frontale de la serrure, et tout le mécanisme susceptible de se présenter sous une forme réduite et compacte , convient spécialement pour toutes les
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applications'dans lesquelles 'il est intéressant de dis- poser d'une serrure dé sécurité, telles que les portes d'appartement, de coffres-forts, etc.
La description précédente se rapporte uniquement à une forme préférée d'exécution de la serrure à secret ou à combinaison suivant l'invention, mais il est évident qu'on peut y apporter toutes les variantes de construc- tion ou de détail qui. ne modifient pas les caractéristiques essentielles, faisant l'objet des revendications ci- après.
REVENDICATIONS.
--------------- '1. Serrure à secret ou à combinaison,caractérisée en ce qu'elle comprend un certain nombre de gardes placées les unes contre les autres de manière à pouvoir se dépla- cer latéralement ou dans un autre sens, chacune de ces gardes étant composée de'deux pièces oà parties accouplées entre elles et, dont les positions relatives peuvent être modifiées à volonté, une des parties des gardes présentant une denture ou crémaillère sur laquelle agit une dent d'encliquetage actionnée à volonté , laquelle dent produit le déplacement graduel. de la garde complète ou double, tandis que l'autre moitié ou partie de la garde com- porte une mortaise latérale, en sorte que, quand les mor- taises de toutes' les gardes sont au même niveau, une gâ- chette , qui permet l'actionnement du verrou de fermeture pour l'ouverture de la serrure, est déplacée .
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.
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"Secret or combination locks !!
The present invention relates to a new type of secret or combination lock, that is to say a keyless lock, in which the combination is carried out by the coincidence of various mobile elements.
Secret or combination locks are already known which comprise a certain number of disks which can rotate independently of one another and which must coincide in a determined position so that the movement of the lock is possible.
The lock according to the present invention differs completely from the type defined above and comprises a certain number of guards movable vertically or in another direction, each of these guards being made up of two parts or parts coupled together and whose position relative can be modified at will, one of the
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two halves or parts of each guard carry a slow or a rack thanks to which is caused to the gradual displacement of the complete or double guard, and between half carrying a mortise so that; when the mortises of all the guards are at. same level, the lock, can be moved.
To the guards and precisely to the half provided with a rack, is associated a ratchet tooth intended to cause the movement of the guards. This ratchet tooth can move parallel to itself so as to come to be placed in front of the one or the other of the guards, thanks to a push-button which, when it is actuated, places the said ratchet tooth in front of the rack of the first guard, or, when it is actuated twice in front of the second guard And so on .
The ratchet tooth is also associated with a second pusher thanks to which said ratchet tooth can move axially, so that it engages between two teeth of the rack of the chosen guard and produces the advancement of the guard by an amount corresponding to the distance between two teeth.
Thus, once the pawl is in front of the rack of the guard which one wishes to set in motion, the second pusher is actuated as many times as one wishes to advance said guard by a distance separating two teeth, the guard remaining blocked. in the desired position thanks to an individual retaining tooth.
In this way the guards move independently of each other a desired and predetermined distance according to the chosen combination. Once they are all moved, the coincidence is obtained. the mortise which allows the movement of the actuators of the lock.
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The lock also includes a mechanism operated by a third pusher, by means of which all your guards and all the ratchet teeth are released, the former returning to their initial position, so that the established combination is canceled.
This mechanism is actuated by hand by the pusher as often as desired and is also actuated by the latch itself of the lock, so that when the lock is opened the combination is canceled automatically.
Finally, the lock also comprises means for allowing the variation of the secret or of the combination as often as desired and for this purpose, one of the halves of the guards is mounted on a plate. movable laterally displaceable, which can be immobilized with respect to this rear plate of the lock by means of a nut or similar fixing device so that, when said device is released and the movement of the lock is caused. movable plate, one can separate the two halves of the guards one of the aster and then establish the new combination, the two halves of the guards then being / again adjusted in the newly established relation.
In the accompanying drawings there is shown, by way of example, a preferred embodiment of the secret or combination lock, according to the invention.
Figure 1 is a vertical section showing the arrangement of the actuating pushers.
Figure 2 is a front view of the internal mechanism of the lock with the front plate of the housing removed and the lock closed.
Figure 3 shows the mechanism of the lock after establishment of the combination, the lock being open.
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Figure 4 is a cross section taken along line IV-IV of Figure 3.
Figure 5 shows the back of the lock with the lock closed.
Figure 6 also shows the back of the lock after it has been opened.
The lock is shown in full in Figures 1, 2 and 3. It consists of a base plate 10 and another front parallel plate 11 maintained at a suitable distance by means of small columns or pillars 12 forming a frame. or box, in which the lock mechanism is enclosed * Against the inner face of the plate 10 is placed another plate
13 of smaller dimensions, mounted so as to be able to undergo a slight lateral displacement, said plate 13 being able to be fixed in a suitable position, by means of a wing nut, 14 engaged by the threaded pin 15, integral with said plate 13.
Against said plate 13 is arranged a series of guards, placed one against the other and formed, as has been said previously, of two halves 16 and 17.
The plate 13 carries two or more tenons 18, which serve as a guide for the guards 16, being engaged in a groove 19 made longitudinally in said guards, so that these guards can move in a vertical direction, as seen in figures 2 and 3. On the other hand, the other half 17 of the guards is mounted in a similar manner with respect to tenons 20, fixed securely to the rear plate 10 of the carcass and passing through suitable slits 21 of the plate 13, which slits extend in the horizontal direction.
The guards 16 and 17 are coupled to each other so as to move together and this coupling is
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constituted by the arrangement of a tooth) 22 in the inner edge of the guards 16 and by the provision of a tooth or a projection 23 fixed to the inner edge of the guards 17, which projection can engage in one any of the intervals between two teeth of toothing 22, the relative height of guards 16 and 17 being adjustable in this way. In addition, the guards 16 have in their outer edge a mortise 24, into which can be inserted a projection of a latch retaining trigger, as will be described above.
On the other hand, the guards 17 have in their outer edge a tooth or a rack 25, preferably in the form of saw teeth, thanks to which the guards move.
It is understood that with this arrangement of the guards, and they can move in an upward direction / in a downward direction, while being suitably guided by the tenons 18 fixed to the plate 13 and by the tenons 20 fixed to the rear plate 10. The downward movement of the guards is facilitated by the action of a spring 28 which extends between the lower part of the guard and a fixed point 29 of the carcass.
Parallel to the toothed edges 25 of the guards 17, there is disposed a latching mechanism consisting of a tooth 30 which can oscillate at the end of a tenon or a rod 31, which can slide vertically inside. a suitable guide 32: This guide 32 is integral with a cylindrical pin 33 arranged transversely with respect to the lock and so as to pass through the rear plate 10 and to be introduced into a cap 34 of suitable dimensions, fixed to said rear wall and having a cavity'35 which serves as a guide and 'support for the pin 33. In said cavity is housed a spring 36,
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which tends to push the spindle out or the front part of the lock.
The spindle 33 has a rib 37 which, when introduced into a suitable groove in its support, prevents said spindle from rotating and, therefore, ensures a correct position for the ratchet tooth.
The spindle 33 also has laterally a toothing 38 which acts in combination with a retaining tooth 39 resiliently mounted on a suitable support 40, so that this retaining tooth serves to fix the position of the spindle and, therefore, of the tooth. click, precisely in front of the guard that one wishes to set in motion.
The pin 33. Is also provided along its lower generatrix with another toothing 41 (FIG. 1), arranged to act in combination with a push-button which emerges from the lock, said button being constituted by a cap 42 integral with a pin 43 which can move axially inside the sleeve 44, which passes through the front plate 11 of the lock below the operating pin 33.
The pin 43 carries at its end a tooth 45, which remains hidden at the bottom of the sleeve 44, when the tenon moves outwards under the action of the spring 46 housed inside the cap, therefore. one and which comes out of the sleeve under the action of a spring 47. When the button is pushed so that the tooth engages with one of the teeth of the toothing 41 of the spindle 33 and causes the latter to advance the necessary distance to that the operating tooth 30 moves until it arrives in front of the continuous guard, the spindle 33 advances each time by the distance existing between two guards,
and retained in the desired position by the ratchet tooth.
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ge 39 as it was said before.
Thus, thanks to the push-button 42, the actuating tooth 30 is brought in front of the guard which one wishes to set in motion.
Once this position has been obtained, the operating tooth is actuated by means of a push-button 50, which, like that described previously, has the form of a cap integral with a central pin "51, which can be attached. move inside a sleeve 52 fixed to the front plate of the lock. The pin 51 terminates in an inclined plane 53, which acts on a movable part 54 suitably mounted on supports 55, of so as to be able to be moved in the vertical direction. The part 54 forms at its upper part a small platform 56 on which the rod 31 of the operating tooth 30 comes to bear, so that, whatever the position occupied by said tooth, the latter is pushed by the part 54 when this part is moved upwards by the button 50.
As a result, each time this button 50 is actuated, tooth 30 causes the chosen guard to rise from a height corresponding to one tooth. The guards remain fixed in the position reached thanks to the visible retaining teeth 60. Figures 2 and 3 (one for each plate), mounted so as to be able to oscillate on the pivot 61 and which, under the action of an individual spring 62, tend to engage through their beak 63 in the teeth of the rack 25, thus preventing the descent of the guards.
A spring @@ for example spiral 7, tends to push the operating tooth 30 downwards, by @@ maintaining the rod 31 which carries it in contact with the part 54.
Once the guards are in the desired position, the
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mortises 24 are all at the same level and we can then introduce the projection 65 of a trigger 66, which can pivot around a pivot 67 and which is subjected to the action of a spring 68, which spring tends to apply the projection 65 against the side edge of the guards and to introduce it into the grooves 24 as soon as the latter are at its level.
When moving the trigger from the position shown in Figure 3 to the position shown in Figure 2, the trigger 66 exerts a lateral pressure on a movable pin 69, so that, this pin 69 comes out the opposite face of the. lock (Figure 5) and prevents the movement of the lock due to the meeting of the tongue 70 of the lock with the pin 69. On the other hand, the pin 69 is subjected to the action of a spring, which tends to push it back towards the trigger 66, so that, as soon as the projection 65 enters the mortises 24, said pin is released, which allows the opening of the lock.
The tongue 70 is mounted so as to be able to oscillate on the pivot 71 and is subjected to the action of a leaf spring 72, so that, during the closing movement of the latch, the trigger 66 pushes the lock again. pin 69, which in turn pushes said tab 70 back until the latch is in the closed position.
By serving as a stopper at the end of the tongue 70, the pin 69 constitutes a security which prevents the possible opening of the lock.
The mechanism of the lock, according to the invention, is combined with an arrangement which makes it possible to cancel voluntarily or automatically the combination made with the guards, that is to say to return them to their original position. shown in figure 2. This feature can be useful if, by actuating the push-buttons, one commits /
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an error and that it is necessary to redo the combination from the beginning.
For this purpose, a third push button is provided, located in the upper part of the lock, which like the other push buttons consists of a cap 80, integral with a pin 81, which can be moved. - Cer axially inside a sleeve 82 fixed to the front plate 11 of the lock. Pin 81 terminates at its inner end in an inclined plane 83 which acts on an edge of an opening 84 in the sliding part 85, which can slide in an upward and downward movement while being suitably guided by supports. 86.
This part 85 forms at its lower end a platform 87 which comes to bear against the rear part of all the retaining teeth 60, so that, when the push-button 80 is actuated, the part 85 moves towards the rear. down and is pushed towards the retaining teeth 60 by making them oscillate about their axis 61 and disengaging the teeth 63 from the guards. As a result, said guards are all released and move to their extreme lower position by their own weight and by the action of the springs 28.
The sliding part 85 carries on one of its faces a tenon 90 which: is engaged in an inclined groove 91 of a trigger 92 which oscillates around a pivot 93 and said trigger terminates at its other end with a finger or point 94. This finger comes, during the oscillation of the trigger 92, abut against a tenon 95 integral with the tooth 39, so that, during the descent of the part 85, said trigger 92 oscillates and separates from the tooth 39 , which fixes the position of spindle 33, leaving it free to return to its initial position
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by the action of the spring 36 while the retaining teeth 60 disengage from the teeth 25 of the guards. After this operation, the whole mechanism is returned to the starting position.
This same operation of canceling the combination takes place automatically by closing the lock. For this purpose, the sliding part 85 is integral with a tenon 100 which passes through the groove 101 formed in the rear wall 10 of the lock. As shown in Figure 5, the lock carries a tab 102 occupying an inclined position and housed in an opening intended to receive it.
This tongue pivots at 103 and is subjected to the action of a leaf spring 104 which tends to apply it against the rear plate 10 of the lock. The tenon 100 protrudes forward of the end of the tongue 102 and this end is bevelled so that when the latch performs its opening movement the tongue is raised, passing over it. of the tenon 100 and said tenon remains, at the end of the operation, in the position shown in FIG. 6, near the lower inclined edge of the tongue. As the latch moves to its closed position, in the direction of the arrow in Figure 6, the tab forces the tenon 100 to move downward and, therefore, all of the described operation of part 85 occurs. performs, which cancels the combination made with the guards.
The movement of the lock also acts on the trigger 66 which fixes the guards, in order to cause this trigger to return to its original position and in order to release the guards. To this end, a support 105 has been fixed to the rear face of the lock, which carries a tooth 106 even which can pivot around the pivot 107 in the / direction as that indicated by the arrow in FIG. 5, and which is maintained
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in its limit position by the action of a spring 108.
On the other hand, the rear plate 10 of the lock carries a tenon 110, which passes through a groove 111 made in the lock and serves as a pivot for a trigger or part.
112. This part 112 has a tooth 113, which, under certain conditions, can strike the tooth 106. The trigger 66 carries at its lower end a teno.n 114 which, passing through a slot 115 of the posterior plate of the sessure and a slot 116 in the lock plate,. enters a slot 117 made in the room
112.
Thanks to this arrangement, when the trigger 66 pivots around its pivot 67 and the projection 65 is introduced 24 into the mortises / guards, it drives in its movement the trigger 112, which comes to occupy a position appreciably vertical to the left of tooth 106, during the latch opening movement. This tooth 106 pivots around the pivot 107 and jumps to the other side of the tooth 113, or the trigger 112 remains to the right of the tooth 106, as can be seen in Figure 6.
Then, when the closing movement of the lock is caused in the direction of the arrow in FIG. 6, the tooth 106 hits the tooth
113 and oscillates the part 112 which, in turn, drives the tenon 114, which tenon moves the trigger 66, disengaging it from the guards, allowing the combination to cancel., When the guards are released, as one l 'has already' indicated, and putting all the elements of the lock in the starting position.
The combination or the secret of the lock can be changed at will without it being necessary to disassemble said lock. As has already been said previously, the guards 16 are mounted on an internal plate 13 and this plate is integral with a tenon 15 which passes through the rear plate 10 of the lock and can be immobilized.
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bilised relative to this plate by means of a nut 14, the guards 17 are, on the other hand, guided by the tenons 20 integral with the rear plate of the lock, so that said guards 17 do not undergo lateral displacement.
Thanks to this arrangement, if the nut 14 is loosened, the plate 13 can move to the left (figure 4), pulling the guards 16. At this moment, these disconnect from the guards 17, it is that is to say that the teeth 23 separate from the toothed racks 22, the relative position of the guards then being able to be midified g volónté.
So to change the combination, all you have to do is open the lock. Once this lock is open, when all the guards 16 are placed against each other
14 others, the nut / is loosened and the guards 16 are moved to the left (figure 4), so as to disconnect them from the guards 17. ' Then, the combination is canceled by pushing button 80. The guards 17 are then brought to their extreme lower position, and the new desired combination is then made by means of buttons 42 and 50.
Once this new combination is established, the guards 16 are coupled again to the guards 17 in the new relative position thereof, and held in this position by a new tightening of the nut 14. The lock remains ready to operate with the new combination. As we can see, all this is done without the need to dismantle the lock or one of its components.
The lock according to the invention can also be constructed so that the pushers do not protrude beyond the front wall of the lock, and the entire mechanism capable of being in a reduced and compact form is especially suitable for all types of lock.
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applications 'in which' it is advantageous to have a security lock, such as apartment doors, safes, etc.
The foregoing description relates only to a preferred embodiment of the secret or combination lock according to the invention, but it is obvious that it is possible to provide all the variants of construction or of details which. do not modify the essential characteristics, which are the subject of the claims below.
CLAIMS.
--------------- '1. Secret or combination lock, characterized in that it comprises a number of guards placed against each other so as to be able to move sideways or in another direction, each of these guards being composed of two parts oà parts coupled to one another and, the relative positions of which can be changed at will, one of the parts of the guards having a toothing or rack on which acts a ratchet tooth actuated at will, which tooth produces the gradual displacement. full or double guard, while the other half or part of the guard has a lateral mortise, so that, when the mortises of all 'guards are at the same level, a trigger, which allows the actuation of the closing bolt to open the lock, is moved.
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