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Vaporisateur.
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.---------------------- La présente in.vention se rapporte aux appareils dénotes vaporisa-
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teurs et employés couramment en vua dE! projeter sur les cn8veux, zur exemple, un nuage pulverisé de liquide tel que lotion, parfum,
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brillantine, etc, Ces vaporisateurs comportent alune maniera <::11!:::11hle un réservoir de liquida a pulveriser, un organe ue coiprassijij d'air, un moyen pour faire agir l'air comprime sur le liquide st un bec pal- vérisateur pour la sortie du liquida. Généralement, ces appareils
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comportant, comme organe de coulpression d'air, une poil'"" en caoutchouc que l'on presse d'une main.
Ces poires s'usent très rapidement, soit que le caoutchouc se dessèche, soit que :Le liquide venant., pour une
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cause ou une autre, en contact avec le caoutchouc, s.Ltau celui-ci. A ce dernier point de vue, on a propose un système de ve..?oriset.:1u1' ou la poire an caoutchouc, au lieu de refouler l'air dans la chambre a li-
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quida, refoula un jet d'air transversalement a l'axe cxu bec pulvérisa- teur, très légèrement eu-dessus de la sortie de celui-ci : ci jet à' air so,us pression, en lâchant le bec, aetarmine aaos celui-ci, at par consëcjuant dans la chambre à liquide., une aspiration et le liquida ainsi aspiré est projeté en mélange intima avec le jet d'air, capandant, ce
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System nliine pJa le défaut du. caoutchouc de se d2sséc.b.e.c 3t d s' -':::1' aic:
=..xâtz4, t du plus, 1# ne paut empacner, dans la ;ra,i.ue de 2>joz.es 1'e::t.:'ses ::: :i.i.'¯¯\li5a vers la 90ire ari caoutchouc ; enfin, il ¯ w t :. i.5;, ¯ O Sun application M. es flacons d'un type bien Qc: i;erarine : l? >.ir3 de ^3J.CisCif;., ",it...le<3 sa danors ::le l'axe du flacon de patiues a¯...''4.L;;i.3'.îS, #si "':3 yGi ï.-..-1r.'lE.ee cj'G entraîna Ut} ,..an-,,u6 àa stabilité àe --?ns5ble .s.....r"t0t...t .........a:1J le flacon rs presque vide. r.;' lI3VS: Viol3 a pou±. but de ercar an vaporisateur ae jrande stabi- lité, et ne co-uportant aucun oiUgan! susceptible da s'user ou. d'être z,..t.a;"'..ld même par des rantreas cvent1l6.L.....es de -i,u#àe.
Il comporte ëssentiallamant un corps rigide, en métal, matière plast.i.4ù'31 1 3'fa: a large base( îongù?ùr da la base plus grande uae la . ute::4 'tcta.e), dans lequel sont forgeas deux cix*,;ibres tanches sans cc..:..¯anica'tion sntr alles. La chaire antérieure constitua cct;,âr'i:.ten ... li,¯ôià#, ...:,1:1i d'un bGùcnon tanche de remplissage, et d'un bec pulvé- rïSi.;.cî= vertical iCrG2;ti.
Jusqu'au fond de cette chambre; la Ct1?tlt7rG' écsterieurs, a-# châtra de compression coi::porte un piston spécial, .,;.ïa:c w l'in'c.:#v6.D.l:.ion a'uns -;i6e faisane saillie sur la facs posté- r ia;,e du va.i!o::'i3t.-::, la Lite 'ti4 étant an0611Vree par la main; Q1:".ta tÍ 8t la piston sont parées de bout en bout par un conduis axial ouvert aux deux eiïcreuités, et le corps du piston s'appuyé dans la càaainrc, contre un ressort de rappel ; pour la manoeuvre un doigt de la main fer;;.<ni exterieur6fiiant ce canal, repousse le piston a l'encon- tra de l'action du ressort, pour compriJier l'air contenu Clans la chambre et Li refouler a l'extérieur au travers ci'un pulvérisateur ou bec horizontal déboutcnant légèrement au-dessus et tout près de la sortie du nec pulvérisateur da liquide ;
la doigt découvrant ensuite le canal, 1< ressort réagit et. raoeène le piston. La pulvérisation est donc rea- lisee par l'aspiration déterminée dans le pulvérisateur à liquide par le y3' a'air, refoulé au travers du bec horizontal.
L'invention coiùporte dans une telle combinaison caractéristique, la particularité que le piston a un diamètre plus grand que la longueur ue la cojrse perùxise a ce piston, et. que sa surface cylindrique en contact avec la paroi cylindrique da la chambra posterieure est armée d'une série de rainures cbrconférencielles peu profondes et très fines, Il en résulta la formation dans ces rainures de bourrelets d'
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air qui, à chaque course de refoulement, tendent, à passer a l'arrière du piston, mais ne peuvent y réussir grâce à la petitesse de ces rainu- res et à la faible course du piston par rapport à son diamètre ;
ces bourrelets d'air, ainsi retenus, formant bourrelets d'etanchéité, de sorte qu'un tel piston reste parfaitement etancne, même après des mois de fonctionnement, sans devoir employer de garnitures d'etancheité toujours soumises à l'usure et sujettes aux attaques du liquida rantrant accidentellement quand 1' opérateur laisse revenir le piston sans libérer ld canal central.
Afin que l'invention soit bien comprise, on a représente au dessin annexe : fig.l une vue extérieure de l'appareil, en une forme préférée mais non limitative de réalisation, et fig.2 une coupe verticale longituoinale, par l'axe ae la tuyère à liquide.
1 désigne le corps du vaporisateur, .lui peut présenter coûte autre forme que celle représentée, mais posséda d'une manière générale une large base de sustentation et une faible Hauteur, afin d'en assurer la parfaite stabilité quand il est posé à plat, même quand la réserve de liquide est presque épuisée. Ce corps est en touts matière quelconque moulée, coulée ou autrement façonnée. A l'avant, l'appareil comporta une chambre 2 à liquide, de hauteur plus petite que la chambre posté- rieurs 3 ou chambra de compression.
La chambra 2 est étanchement sépa- rée de la chambra 3 ; elle est remplie grâce à un bouchon 4 à visser, et elle comporte un bec pulvérisateur vertical 5, vissé dans la paroi supérieure de la chambre, et solidaire d'un tube plongeur @ s'eten- . dant jusqu'au fond de la chambre.
La chambre 3 est de section interne cylindrique ; dans cette cham- bre est étanchément logé un piston 7 dont la tige 8 traverse la paroi postérieure de la chambre et se prolonge extérieurement pour consti- tuer l'organe de manoeuvre, cette- tige 8 et son piston 7 sont munis d' un forage axial 9 ouvert aux deux bouts, et le piston est sollicité par le ressort 10 logé dans la chambre 3, les dimensions de la chambre et du piston étant calculées de telle sorte que la diamètre du piston soit plus grand que la course maximum qu'il peut décrire dans la cham-
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bre 3.
La paroi antérieure de la chambre 3 porte un petit bec pulvérisa- teur 11 monte horizontalement dans sa partie supérieure, l'axe de ce bec coupant l'axe du bac 5 légèrement au-dessus de l'orifice de sortie du bec 5 de maniera que, comme dans les systèmes connus a deux becs, le courant d'air refoulé au travers de 11 détermine une aspiration en 5 et dans la chambre 2, ce qui a pour résultat une montée du liquide e t une pulvérisation de celui-ci en mélange avec la courant d'air refoulé.
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Dans l'exemple représenté, le cOilipartimant 2 est fermé supérieure- ment et étancnément par uns paroi lu fixée par vis ou rivets, et qui porte les deux becs 5 et 11, ainsi que le bouchon 4. Le bec 11 est ici
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muni c' afe ti#e ou queue 13 traversant la patte 14 solidaire de la paroi 12 et passes au travers de la paroi antérieure de la chambre 3.
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La surface dylindriue du piston est équipée d'une série de rines rainures oireonférentialles 15. pour la manoeuvre, le corps de l'appareil étant tenu en main, on. boucha, par un doigt (le pouce par exemple) le canal 9 et on enfonce
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le piston, en comprimpnt le ressort ; l'air est refoule ..:-,ar le bec 11 ; il t-?nd paiement à s'échapper vers l'arrière du piston, mais il en est 6tllpêché-grâce a la faible amplitude de la course du piston par rap- port a son âia...e re - par les bourrelets d'air emprisonnés dans les rainures 15 et qui agissant comme éléments d'étanchéité.
En fait donc, il n'y a aucune usure possible des éléments d'étanchéité, ceux-ci - les bourrelets d'air - sa renouvelant automatiquement.
Même ans rentrée accidentelle de liquida dans la chambre 3 n'a aucune influence, ce liquide restant emprisonné dans cette chambre
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cu finissant par passer aux rainures 15 pour y former cate.las d' étanchcité qui ne peut âtre que favorable surtout quand il s'agit de liquide gras, comme c'est généralement le cas.
L'appareil est donc pratiquement inusable et d'un fonctionnement parfait pour un temps illimité.