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S R 3 V E T p' 1 N'V E tt T 0 J .
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Société dite; BOWDEN (ENGINEERS) MMITED - de nationalité anglaise, Victoria Uoad, Willesden Junotion, Londres NtW<10 - AnglAterre*
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PBRFfIGTIOIUIW±l1EllIs AUX ACCOUPLEMENTS DE TUYAUX.
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Ayant fait l'objet d'Orne demande de brevet en Crande-Bretagne en dates du 10 avril 1940 (demande provisoire) et 9 décembre 1940 (demande définitive).
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La présente invention concerne des pOrtActionneinante dans les accouplements du type dans lequel deux organes creux sont amenés jointifs bout à bout pour former l'un avec l'autre un joint de mé- tal sur métal ou a garniture,
à l'aide d'un écrou fileté coopérant avec une partie filetée d'un organe et entourant une portion de l'autre organe (oi-après dénommé l'organe innéré), par rapport au .. quel il peut tourner mais est maintenu à l'encontre d'un déplace- ment axial pendant que se transmet la pression ou poussée de la vie, semblables accouplements étant employés pour les joints de tuyaux et en particulier pour des conduite ou tuyaux à moyenne et
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haute pressions, par lesquelleé on entend en général des pressions moyennes de 3S à 140 o f em et des pressions plus élevées allant jusque ,p0 à 1400 Kos/cro2.
Se semblables conduits ou tuyaux peuvent être employés pour conduire ou transporter des substances gazeuses, liquides, semi-so-
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lides ou vîqqueuses, sous pression.
Dans des accouplements à vis du genre en question, il est d'u- sage d'établir l'écrou pivotant d'acoola'.eztent en une pièce, qui est filetée intérieurement jusque, ou jusqu'au voisinage d'un épau.. lement interne situé µ. l'extrémité formant chapeau, de l'écrou, cet épaulement venant, lors de l'emploi, en engagement avec un épaulement externe, correspondant, formé sur l'organe inséré, c'est
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à dire sur un tronçon de conduit ou le corps de la tubulure ou rac- cord d'accouplement, dont l'autre extrémité ou queue traverse une ouverture de l'écrou qui est plus étroite que le diamètre du fileta- ge et suffisamment large pour permettre à l'écrou de a'adapter,tout en pouvant se déplacer,
sur cet organe inséré.
Le raccord à vis est serré du fait que l'épaulement de l'écrou d'accouplement appuie contre l'épaulement de l'organe inséré,lors- que cet écrou est vissé sur la partie filetée de l'organe coopérant du raccord à vie.
On observera que comme l'écrou d'accouplement présente, inté- rieurement, à son extrémité formant chapeau, un diamètre moindre que le diamètre externe de l'épaulement de l'organe inséré, il ne peut passer par dessus cet épaulement, mais doit être enfilé à par- tir de l'extrémité opposée de l'organe inséré qui, lorsqu'il consti- tue une tubulure ou raccord, c'est à dire un élément distinct du tuyau, est ultérieurement fixé à celui-ci,
Dans certains cas, comme dans des raccords angulaires, il doit être établi en plus d'une partie à l'effet de recevoir l'écrou.
On se rend oompte par conséquent, que la méthode usuelle de s'opposer à l'action de poussée ou de cisaillement entre l'écrou et l'organe inséré implique des complications dans la fabrication de l'accouplement et des limitations dans sa disposition et sa robus- tesse.
Par suite la demanderesse prévoit d'avoir recours à la dispo- sition d'accouplement dans laquelle une tige est introduite dans un passage annulaire formé par des gorges périphériques ménagées sur les surfaces externes de l'organe inséré et la surface Interne de l'écrou.
Comme l'assemblage par vissage des deux éléments de l'accouple- ment, de manière à constituer un joint capable de supporter des près. sions fluides de l'ordre de celles mentionnées plus haut, implique une poussée en bout ou axiale très importante exercée par l'écrou sur la tige, cette tige doit ttre de section notable afin qu'elle puisse transmettre cette poussée sans cisaillement ou sans 'être écrasée ou déformée, et ceci est également avantageux pour réduire le risque que la tige ne se coince entre l'écrou et l'organe inséré.
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Il est nécessaire également que la tige permette une libre rota- tion réciproque de l'éorou et de l'organe inséré.
Les difficultés d'établir une tige répondant à ces conditions, sont accentuées par le fait qu'en raison des faibles dimensions de pareils accouplements, la tige doit étre recourbée suivant une circonférence qui a. généralement moins de 25, 4 m/m et pratiquement toujours moitié de 38 m/m de diamètre.
La demanderesse a trouvé que pour obtenir Ion meilleurs résul- tata , la tige doit être de section circulaire, et être déformable de façon permanente, Elle a également trouvé que la méthode la plus efficace pour courber pareille tige consiste à faire servir l'orga- ne inséré de point d'appui pour courber successivement des portions de cette tige par l'action conjointe de l'écrou et de l'organe in- aéré, Un jeu suffisant est ménagé que pour permettre à l'organe in- séré de se déplacer par rapport à l'écrou lorsque le point d'appui instantané avance, de sorte que la hauteur du passage an ce point devient notablement plus grande que la moyenne, .En raison de cet agencement,
l'extrémité de la tige qui pénè- tre la première dans le passage, n'est pas courbée, le courbage ne commençant qu'au point ou au voisinage du point reposant sur l'or- gane inséré lorsque l'extrémité de la tige qui a pénétré en premier lieu dans le passage vtent toucher la surface interne de l'écrow, et la demanderesse préfère ..agencer les organes pour que la longueur de cette portion non courbée Boit au moins égale au diamètre de la tige.
S'une façon analogue, la portion de la tige, qui est la der- nière à pénétrer dans le passage, n'est pas pliée, l'étendue de ces parties non courbées étant toutefois moindre que celle de la por- tion médiane qui est courbée de la tige,
Par suite, conformément à la présente invention, on établi un accouplement du genre défini, approprié aux buta décrite, comportant un passage interne conformé en anneau, constitué par des gorges an- nuaaires périphériques formées dans l'écrou et l'organe inséré, pas- sage dans lequel une tige de section circulaire, déformable de fa- aon permanente, établie dans une matière et d'une section telle qu'elle puisse transmettre la pression en bout ou axiale sans ci- saillement,
ou tre écrasée ou déformée par cette pression est lntro-
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duite par une ouverture ou trou dans la paroi du passage, l'écrou, l'organe inséré et la tige étant proportionnés, établis et agencés de manière que l'organe inséré agisse à la façon d'un point d'appui, Mobile par rapport à l'écrou, pour courber des portions successives de la tige, et que l'organe inséré et l'écrou, par leur action con- jointe, déforment la tige de telle façon qu'alors que la portion mé- diane et majeure de la tige est courbée pour se conformer au passa- ge, les extrémités restent rectilignes,
et que la tige ainsi courbée transmette la poussée en bout ou axiale sans entraver notablement la liberté de rotation relative de l'écrou et de l'organe inséré.
Une des raisons pour faire usage d'une tige de faible élasti- cité, c'est à dire d'une tige qui est contrainte au delà de la limi- te élastique, et qui est déformée d'une façon permanente par l'opéra- tion de sa courbure autour du passage, est queute tige d'élasticité plus élevée et de section convenable, tend à a'appliquer ou se col- ler à la paroi de l'écrou, ce qui empêche l'action de point d'appui et rend difficile le courbage et particulièrement le commencement du courbage, et que si l'on utilise un fil de petite section pour obvier à ces difficultés il est difficile, lorsque l'on prévoit les jeux pratiques nécessaires, de garantir l'absence de risque, lors du serrage de l'écrou au degré voulu, de coincement de pareil fil entre l'écrou et l'organe inséré,
et ainsi de faire éclater ou déchirer l'écrou et, ou de refermer ou écraser l'organe inséré. Un fil trop résistant ou trop tenace est également susceptible d'endommager l'é- orou et, ou l'organe inséré.
La demanderesse utilise une tige de section circulaire du fait qu'une tige de section angulaire, c'est à dire rectangulaire est su- jette à déformation, en particulier à se déformer dans sa section, déformation qui doit être maintenue à un minimum. Une section angu- laire accroît également les difficultés d'établissement de l'ouvertu- re d'entrée.
Les exemples donnés par après, montreront qu'elles sont les épaisseurs de tige appropriées et les proportions convenables des or- ganes.
L'invention n'englobe ni ne revendique l'emploi de tiges qui sont chauffées en vue de faciliter le courbage.
La matière de la tige doit posséder une résistande ou ténacité
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suffisante pour empêcher le,bouclage,¯mais cette résistance ne doit pas être tellement élevée qu'elle entrave la courbure de la. tige ou l'aine à mordre ou pénétrer dans l'écrou ou l'organe in- séré. On a constaté qu'un acier doux de résistance à traction
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comprise entre 39 et 63 Koa/mm2 est particulièrement bien appro- prié pour l'usage envisagé.
L'écrou sera généralement formé de la même matière, mais ceci n'est pas essentiel, bien qu'il soit désirable d'éviter l'emploi d'un écrou en une matière plus douce que la tige dans une assure telle que la tige morde dans l'écrou lorsqu'elle est introduite dans le passage, L'organe inséré sera suffisamment dur que pour pouvoir.effectivement former point d'ap-
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pui.Certains métaux non ferreùx peuvent également servir, comme par exemple du laiton, du bronze, du bronze phosphoreux et du bronze-aluminium.
Si un métal non ferreux doit être utilisé pour
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la tige, il sera généralement de résistance à traction moindre que l'acier doux prescrit plus haut, un laiton légèrement recuit
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d'une résistance de 1., zoo/=2 étant approprié. Il n'est pas généralement désirable d'employer un métal non ferreux d'une ré- @
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eiata,aa plus grande que $6 Kos/mm2.
Le jeu de la tige dans l'ouverture d'entrée est de référen- be tel,1 > qge la présence de l'organe inséré raccourcit la corde que la tige pourrait sinon former avec le fond de la gorge exter- ne, de façon à assurer qu'aucune déviation de la tige ne soit ini- tialement nécessaire pour prendre appui sur l'organe interne. L'ou- verture ou trou est de préférence situé quelque peu en dehors de la position tangente à la paroi externe du passage.
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On peatoupplér-entairement faciliter la conformation de la ti- ge en la munissant d'une extrémité sphérique,conique, ou en forme de conoïde. On peut en outre, de cette façon, assurer la saillie nécessaire de la tige au delà du point d'appui sans inutilement accroître les jeux entre l'organe inséré et la paroi de l'ouvertu-
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re de lpëorou.
Saut à réaliser la saillie ou projection minimum nécessaire pour COâ78i1CO' le oourbage de la tige 9t r11E1tt'fj 1. l'organe inséré d'exercer l'action at?llfarl8tx'laE, le jeu entre l'or. gane inséré et l'éorou sera maintenu aussi réduit que possible,
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car un jeu trop marqué peut conduire au ooinqewent de la tige entre
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l'écrou et l'organe inséré et, de ce fait, peut déterminer une poussée radiale capable de rompre ou d'endommager l'écrou ou l'or- gane inséré.
Une autre difficulté rencontrée est l'ovaliaation de la sec- tion de la tige conformée, le grand axe de cette section a'éten- dant parallèlement ou sensiblement parallèlement à l'axe de l'ac- couplement. La demanderesse préfère prévoir des moyens pour que les gorges s'adaptent plus aisément à cette ovalité de la section de la tige, en maintenant les éléments de gorge circulaires maie en les traçant à partir d'un centre situé au milieu du jeu concen- trique entre l'organe inséré et l'éorou.
Ainsi, on évite toute opération contrôlée d'usinage qui se- rait nécessaire pour donner aux gorges une section partiellement elliptique.
Lorsque le trou d'entrée est foré dans un éorou hexagonal, on préfère établir le trou dans la portion la plus épaisse de l'é- crou, c'est à dire au voisinage d'un angle de l'hexagone. Des é- crous présentant d'autres contoure peuvent cependant être employés.
La gorge annulaire d'une des parties, savoir de l'organe in- séré peut être établie de largeur suffisante, ou remplacée par un évidenent annulaire pour ménager une ouverture latérale telle dans le passage que, tandis que la paroi du passage transmet la poussée due au vissage de l'écrou, l'éorou puisse se mouvoir axialement par rapport à l'organe inséré.
Pluoieurs formes d'accouplements construite conformément à l'invention èont illustrées dans les dessins annexés, sur lesquels: Fig.l est une élévation en coupe dans une forme d'aocouple- ment, montrant une portion du tuyau assujetti à l'organe inséré de l'accouplement}
Fig.2 est une coupe agrandie d'une forme légèrement Modifiée, la coupe étant pratiquée suivant la ligne 2-2 de la fig.3, laquelle est une vue en coupe, en regardant dans la direction de la flèche A fig.l, montrant la tige lorsqu'elle est refoulée autour du passage, tandis que la fig.4 est une coupe transversale analogue montrant la tige à l'origine de l'introduction dana le passage, prête à re-- cevoir l'effort de conformation;
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Fig. 5 est une vue analogue à la fig. 4, mais Montrant un agen- cement codifié de l'ouverture ou trou d'entrée;
Fig. 6 est une vue en coupe agrandie de la tige dans le passa. ge, montrant le mode préféré d'établissement, dans ce dernier, des gorges correspondantes; Fige' et 8 sont des vues d'une portion d'une forme modifiée de tige; fig. 9 est une élévation longitudinale, partie en coupe,d'une variante de forme de l'accouplement,
Figs 10 à, 17 montrent l'application de la tige de verrouilla. - ge à divorces autres formes d'accouplment.
En se référant à la fig. 1, l'écrou d'accouplement 1 peut être foré ou muni, à l'endroit qui est normalement son extrémité formant chapeau, 2, d'une ouverture 3 suffisamment grande que pour passer par dessus l'extrémité d'accouplement du conduit ou raccord 4(dési- gné dans le présent mémoire par organe inséré avec un jeu tel que décrit ci-après, cette ouverture étant généralement du même diamé- tre que le diamètre interne de la portion filetée de l'écrou, ou lé- gèrement moindre que celui-ci, de manière à laisser subsister un lé- ger épaulement,
Une gorge annulaire interne 6, dont la section transversale est une portion de cercle,
est tournée ou prévue dans la paroi de cette ouverture, et une gorge annulaire 7, de section transversale analogue, cet formée dans la périphérie externe de l'organe inséré 4; ces deux gorges se correspondent de manière à former un passage conformé en anneau, de section transversale circulaire, pour mener dans ce passage à partir de l'extérieur de l'écrou, on fore ou on forme,dans la paroi de l'écrou, une perforation ou trou 8 de section circulaire.
lorsque l'écrou a été mis en place sur l'organe inséré, en le faisant passer par dessus l'extrémité de jonction de cet organe, et que les gorges 6 et 7 ont été amenées en concordance pour former le passage annulaire, une-tige 9, de section circulaire, est introduite et guidée par le trou 8 dans le passage, et déformée pour former un anneau dans le passage, cette tige étant ultérieurement affleurée lorsque l'extrémité antérieure ou menante est venue toucher l'extré- mité Postérieure ou conduite.
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La tige est de préférence insérée dans la direction opposée à celle dans laquelle on fait tourner l'écrou pour former le joint, de manière que l'action ayant pour effet de serrer l'éorou tende à entrainer plus avant la tige dans l'éorou, bien que, comme les por- tions terminales de la tige se touchent, ceci ne puisse réellement se produire.
Pour faciliter le courbage initial de la tige, la demanderesse préfère proportionner et agencer les organes comme suit;
Le trou 8 est foré dans une position non tangentielle au fond de la gorge formée dans l'éorou, de façon à recevoir la tige avec un jeu limité et ainsi guider la tige dane le passage, et le jeu entre l'oogane inséré et l'écrou est établi franchement large de manière que la tige puisée être introduite dans le trou, et telle- ment loin dans le passage qu'elle déplace l'organe inséré dans une position très excentrique par rapport à l'éorou (voir fig.), en sorte que la portion terminale de la tige forme une corde dans la partie élargie du passage.
Lorsqu'il est ainsi déplacé, l'organe in- séré forme un point d'appui pour la tige, une longueur notable de la tige s'étendant au delà de ce point d'appui comme montré schéma- tiquement dans la fig.4, La tige peut être amenée dans cette posi- tion sans effort appréciable, c'est à dire peut y être simplement poussée à la main. Lorsque l'effort principal, c'est à dire une série de coups, ou une pression hydraulique, est appliqué' à la ti- ge, la portion terminale peut se courber autour du point d'appui procuré par l'organe inséré, et la conformation subséquente de la tige être poursuivie alors avec une aisance relative.
La longueur de la corde initiale formée par la tige dépendra de la distance qui sépare les fonda des gorges dans l'organe inséré et l'écrou là où la partie menante rectiligne de la tige ee trouve dans le passage, et l'on remarquera que cette distance est au maximum la somme de la profondeur de la gorge externe, de la pofondeur de la gorge interne et de deux fois le jeu entre l'organe inséré et l'é- crou.
Ce jeu par conséquent fait de la distance susdite une quantité variable, la distance étant la plus grande lorsqu'on détermine la longueur de la portion libre de la tige disponible pour le pliage ou courbage initial, mais décroissant lorsque l'organe inséré agit
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comme çontormateure
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." à titre d'sxsraplo on a indiqua 01-apréa 100 proportions des
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parties répondant au but. poursuivi.
La lecture du tableau se fera
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en Pelation avez la tig 2,
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Diamb- ;Rayon :Dia#è- 1 .Diam. : s i... : s niaro. tDiamo s7iam* :0ito. tre d'a: des ;tr de, Á ; B ; 0 : D {d'entrée l éeago igorgast tige i : : : :trou 8 du tuy-t s : au t6 , 7: 9 : : : ,r.rrrramrrr,rrrrrrrrrr.n.""rrm..r,wrswrrrrrr,rr..r.e.rr.rnrrrrrura.rsrrrr.r,w.,sw,raarr.r..n.rww."r en m fm: n J/m: 0n m/ru s an m/m : an m/m ..en m/m -.en mJm s en m jm :on m /m 3,17 : 1,7a : 3t17 : s s 8, 35 : tailla: t i 9,78 à . t t lZ,49 f : .3, 2 3,251 : 1 a, 129 : 9, 9R t : t ,nrrrrr".nrrrarrYwr.rarr.b...h.rr,.rrrra.rrrW Irrnr.yler.ralFrrww.vrwwr.w.A.,r,rrrr.v...,rMr.wqrl.yrwrrr.yll 5, 5 s m , 7#i s t S,17 ,: s s, 55 s s la -7 tll,455 s s x5, 2 t 17,78 i 3,251 1 1 ;11,10 t t f t .¯4¯-¯¯¯--¯.-----------¯.¯-----------------¯.----------------- 9 , b9 s ! , .85 S 1 6, 969 f :
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22, : : t 2,69 = s 4, "3 :22,23 127 t À 12 s s , 98 t : 62 à 59 : s 5, à 2s 4.851 ; t t t27'25 t 5,02 t 37,59 ! -------¯.¯-------¯.-------------*¯--¯-4-.¯¯---.-.-----¯.- 51,78 s , 97 s â. 5â8 t3Lx,54 tJ8,la t !98,94 : t 44 À 57 1 1 51 É 689 : 5, 37.3 t A i à 1 1 : : s 44,50 : 62,07 : --------¯¯¯.¯-4.¯¯¯¯¯--------------¯.¯----------------------------
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En oourbant la. tige de 3,17 m/m de diamètre du premier exemple, en un anneau de :raible diamètre, on a constaté désirable de prévoir le jeu plutôt 4nnsi,céraile indiqua plus haut entre l'crga-ne inséré
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et l'éorou, mais ce jeu peut âtre réduit et l'on peut obtenir enoo.-
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re un bon verrouillage axial ai l'on fait usage d'une tige d'un diamètre de 2,381 m/m.
Dana la forme illustrée dans la fig.4, le trou 6 est établi
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sensiblement tangentiel au fond de la gorge formée dans l'organe insère, lorsque ce dernier a été déplacé oontre un oôté de l'ouver-
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ture de le4orou. .a trou fez est foré à traeers l'écrou au voisinage d'une extrémité de la face lez de 1' arou heX8&Onal, et approxima- fixement parallèlement à une :race adjaoente 11 de l'eorou, c'est à dire dans une portion épaisse de 1a paroi de le4orou.' Dans la. ti.5,
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le trou est foré à partir d'un emplacement quelque peu plus rappro- ché de l'extrémité de la face 10 et soue un angle réduit par rapport à la face 11, de façon à obtenir plua d'épaisseur encore de paroi pour y forer le trou.
L'entrée non tangentielle est avantageuse pour mieux p osition. ner la tige pendant l'opération d'introduction et de refoulement, et pour finalement retenir la portion terminal. conduite ou postérieure de la tige d'une façon ferme dans le trou, en vue d'empêcher le gils- sement circulaire de la tige conformée autour de l'ouverture de l'é- orou.
La demanderesse a constaté que le oourbage de la tige suivant un arc de faible rayon, déforme fréquemment la tige en lui communi- quant une section ovale dont le grand aro a s'étend parallèlement ou sensiblement parallèlement à 1$axe de l'accouplement, voir fig.6.
Si les gorges sont établies semi-ciroulaires et de diamètre quelque peu plus grand que celui de la section non déformée de la tige, et sont tracées à partir de oentres b, c, qui ooinoident avec la surface de l'ouverture de l'éorou ou la périphérie de l'organe inséré -- voir les demi-cercles en traita interrompus, d, e, fig. 7 @ cette déforma- tion de section de la tige interférera avec le logement aisé, désiré, de la tige dans la gorge externe, et augemente le risque de liaison entre la tige conformée et l'orgue inséré.
L'élargissement de ces gorges à une section ovale, pour obvier à cette difficulté nécessiterait une opération d'usinage ennuyeuse, et il pourrait en résulter un jeu inutile de la tige dans le passage, La demanderesse remédie à l'inconvénient en traçant le cercle qui délitai- te les gorges annulaires respectives à partir d'un centre commun f, situé au milieu du jeu concentrique entre l'éorou et l'organe inséré, de sorte que ces gorges présentent, d'une manière correspondante, une section moindre qu'un demi cercle, en permettant à la tige conformée d'être logée avec aisance dans la gorge externe et de rester libre par rapport à la gorge interne.
La facilité avec laquelle la tige commence à se déformer est aup- plémentairement assistée en conformant convenablement l'extrémité me- nante de la tige. La demanderesse donne à cette tige une extrémité sphérique, comme représenté dans les figures 3 à 5, et une autre oon-
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formation très utile est illustrée fig. 7, dans laquelle l'extré- mité de la tige est effilée, de préférence avec une oonioité moindre qu'un angle droite c'est à dire avec un angle au sommet de'60 , le sommet étant arrondi.
Une autre conformation avantageu- se est illustrée fig. 8, dans laquelle la tige est pourvue d'une extrémité en forme de oonoide, avec une courbure qui est approxi- mativement la même que celle du fond de la gorge externe.
Dans les dispositions. précédemment décrites, la tige ver- rouille l'éorou à l'enoontre d'un déplacement axial dans l'une et l'autre directions le long de l'organe inséré, et ceci peut être avantageux lorsque l'on désira que le démontage du raccord à vis concoure à rompre le joint formé dans le tuyau, mais dans certains cas il peut être désirable de permettre à l'écrou de glisser li- brement, en arrière par dessus l'organe inséré, auquel cas la gor- ge dans l'organe inséré peut recevoir une largeur suffisante que pour permettre cette action (voir 7a, fig. 17) ou, alternativement, la gorge peut être remplacée par un évidement, comme il est mon- tré en 7b dans la fig. 9.
L'effet de ceci est de former une ouverture latérale dans la passage, permettant à l'éorou de se mouvoir le long du raccord ou tubulure, dans une direction, mais n'empêche pas la paroi du passage d'arrêter le mouvement de l'écrou dans l'autre direction.
Dans une disposition d'éorou d'accouplement destiné à être -employé dans des installations de tuyauterie d'engins de locomo- tion aérienne, il est nécessaire de forer un ou des trous, trans- versalement à travers l'angle de l'hexagone, pour y loger un fil de sûreté. Cette opération est toujours relativement couteuse à accomplir et bien qu'elle puisse être exécutée sur l'éorou formant l'objet de¯la présente invention, on préfère, dans une forme de celle-ci, usiner l'extrémité formant chapeau de l'éorou, sur sa face exerne, à la forme d'un anneau 30 s'écartant du filet dans une direction axiale.
L'anneau peut être établi pour procurer un large jeu diamé. tral, intérieurement entre lui même et la portion conjuguée ou coopérante de l'écrou, et des trous 31 peuvent y être aisément fo- rés en direction radiale pour recevoir le fil de sûreté.
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La présente invention permet un perfectionnement dans les accouplements de tuyaux flexibles du type dans lequel une virole ou manohon contracté, d'une matière 15 (fig. 1) propre à être ré- treinte, comme du laiton, duralumin, acier doux, ou bronze phos- phoreux, assujettit le tuyau sur une portion tubulaire interne, rigide, ou organe inséré 16.
Le fait que l'éorou est assujetti à l'organe inséré par une tige de verrouillage, permet d'établir le diamètre de cet organe inséré, là où il est engagé par le manchon, plus grand que la li- mite permise par l'ouverture de l'éorou standard. Une épaisseur supplémentaire de paroi est par suite disponible à l'endroit où le joint doit âtre réalisé entre l'organe inséré et le manohon aura- dit, de sorte que l'on peut obtenir un joint solide, ce qui est particulièrement désirable dans le cas d'accouplements pour moyen- neset hautespressions.
Dans le cas où l'organe inséré doit âtre vissé dans paril manohon, on dispose d'une quantité de métal suffisante pour per- mettre de fileter l'organe inséré derrière un épaulement, en lais- sant encore suffisamment de force la racine du filet que pour résister à la pression interne de travail dans le tuyau et à la pression de contraction radiale fixant le tuyau sur l'organe inséré.
Lorsque l'invention est employée en association avec un acoou- plement de ce genre, l'éorou peut être assujetti à l'organe inséré après que celui-ci a été accouplé au tuyau, et toutes les opérations inhérentes à l'établissement de la liaison entre l'organe Inséré et le tuyau peuvent étre exécutées sans empêchement dû à la présence de l'éorou.
La présente invention permet également de se dispenser de prévoir des brides saillantes sur des tuyaux rigides, car il suffit de ménager d autre manière une gorge ou de tourner ou/un évidement dans l'extrémité de jonction de pareil tuyau et d'enfiler l'éorou d'assemblage selon la présente invention sur le tuyau à partir de eon extrémité de jonotion ainsi que de l'assujettir à l'aide de la tige de verrouillage comme décrit plus haut.
Fig. 10 montre une forme très simple d'assemblage par écrou illustrant cette caractéristique.
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ou bien, au lieu de rainurer ou d'évider le tuyau, l'extré- mité de fonction du tube peut, comme montré dans la fig. ll. être rabattue ou munie d'un collet on 32, de manière à former un épaule- ment radial avec lequel la tige vient s'enclencher.
Dans le cas également où il est nécessaire, comme par exemple dans la construction de chaudières, de visser un raccord dans un bossage interne formé sur la paroi de la chaudière, car l'éorou d'accouplement usuel doit âtre engagé aur le raccord par l'extrémi- té postérieure ou de queue de celui-ci, la présente invention pro- cure la possibilité d'établir le raccord sous forme de saillie ex- terne sur la chaudière ou autre objet,, et d'enfiler 1'éorou sur le raccord à partir de son extrémité de jonction, le raccord et l'é- orou étant organisés pour former un assemblage pivotant à. laide d'une tige de verrouillage, comme précédemment décrit.
Cette diapo- aition est illustrée dans la fig. 12, où 18 désigne le bossage ex- terne, qui est pourvu d'une gorge propre à former, avec la gorge correspondante de l'éorou, le passage qui reçoit la tige.
S'une manière analogue pour les coudes, raccords en Y et au- tres équipements ou accessoires de tuyauteries, là où la liaison d'accouplement formée à partir de pareils accessoires impliquait la prévision d'un raccord posé è chaud ou vissé, le branchement d'accouplement d'un tel accessoire peut être rendu plus robuste en augmentant 1'épaisseur de sa paroi, et il peut être ensuite appro- prié à l'assemblage piwwtant d'un écrou d'accouplement à l'aide d'une tige de verrouillage, comme préoédetmaent déorit, Fig. 13 mon- tre l'accouplement de l'invention appliqué à un raccord coudé et la fig.
14 contre l'application à un raccord en Y.
Bien que l'on ait précédemment décrit l'écrou d'accouplement coma établi sous forme d'organe femelle, l'invention peut aussi bien être réalisée avec une forme mâle d'éorou 21, (voit fige 15 et 16), propre à se visser dans un raccord en forme de douille 22 et à rendre le joint étanche, à l'aide d'un anneau de verrouillage 23, soit disposé dans la tête de l'écrou (voir fig. 15) en sorte de suivre le filetage, ou bien au pied de l'écrou (voir fig. 16) de façon à précéder le filetage. Un exemple de ce dernier cas est ce- lui dans lequel l'anneau de verrouillage coopère avec une extrémité
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de jonotion en forme de collet 24 du tuyau.
Bien que l'évidement ou gorge Une l'organe inséré soit généra- lament formé en y prélevant de la matière, il peut étre ménagé en prévoyant une ou des saillies sur la surface de l'organe inséré, ou bien encore la gorge peut être formée en laminant ou en oonfor- mant d'autre manière l' organe inséré, sans réduire l'épaisseur de sa paroi par enlèvement de matière, oomme il est montré en 14 dans la fig.14.
REVENDICATIONS
1, Un accouplement du genre, et approprié aux buts décrits, comportant un passage interne conformé en anneau formé par des gor- ges annulaires périphériques ménagées sur l'écrou et sur l'organe inséré, passage dans lequel une tige de section oiroulaire, défor- mable de façon permanente, établie en une matière et avec une sec- tion lui permettant de transmettre la poussée en bout sans cisaille- ment ou sans être écrasée ou déformée par oelle-oi, est introduite par un trou de la paroi du passage,, l'éorou, l'organe inséré et la tige étant proportionnés, établis et agenoéa de manière que l'orga- ne inséré agisse oomme point d'appui, mobile par rapport à l'éorou,
pour oourber des portions successives de la tige, et que l'organe inséré et l'éorou, par leur action conjointe, déforment la tige de maniàre telle qu'alors que la portion médiane et majeure de cette tige est courbée pour se conformer au passage, les extrémités demeu- rent rectilignes et que la tige, lorsqu'elle est ainsi oourbée, tranemette la poussée en bout sans Interférer avec ou entraver son- siblement la liberté de rotation relative de l'éorou et de l'organe inséré..