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" Dispositif pour le décolletage des betteraves."
Lors de la récolte des betteraves à sucre et avant leur stockage en vue do leur utilisation ultérieure, il est nécessaire de procéder à leur décolletage, c'est-à-dire à la séparation dos feuilles de la racine par tronçonnage du collet.
Cette opération cst, d'une façon générale, effectuée à la main avec un outil tranchant, après l'arrachage, ce qui la rend lon- gue, compliquée et irrégulière.
La présente invention a tout d'abord pour objet un dispositif qui permet le décolletage mécanique ¯des betteraves avant leur arrachagc, cette opération étant ainsi rendue plus simple, plus rapide et donnant des résultats parfaitement régu- liers, en ce sens que le collet de la betterave est -tranché à une hauteur pratiquement constantc et réglable à volonté.
Cc dispositif comprend principalement un châssis monté sur des organes de roulement, par exemple des roues, sur lequel est articulé librement, autour d'un axe perpendiculaire à l'axe longitudinal dudit châssis,un sabot ou guide, par exemple une plaque de tôle dont le bord inférieur, parallèle à l'axe d'arti- culation, eat susceptible de venir s'appuyer sur le sol, un dis- que tranchant, monté à l'extrémité d'un arbro supporté à rota- tion dans des paliers solidaires du sabot susmentionné et relié aux organes do roulement du châssis par une transmission mécani- que qui transmet le mouvement de rotation des roues au disque tranchant,
étant placé immédiatement derrière le sabot dans un plan légèrement incliné sur le sol lorsque le dispositif repose sur ce dernier et passant à faible distance sous le bord infé- rieur du sabot. En déplaçant le dispositif sur un rayon de bet- teraves, dans le sens de sa longueur, le sabot couche les feuil- les des betteraves et s'appuie par sonbord inférieur sur le som- mot de cos dernières, le disque tranchant venant immédiatement après sectionner leur collet.
Pour faciliter la transmission du mouvement des roues au disque tranchant, l'arbre qui porto ce dernier peut être cons- titué en doux parties faisant entre ellos un angle tel que la partie supérieure soit sensiblement parallèle à l'axe longitudinal du chdssis du dispositif, ces deux parties étant reliées, par exemple, par un renvoi de pignons coniques.
Les organes de transmission du mouvement peuvent alors comprendre un arbre s'é- tendant parallèlement à l'axe du châssis et relié, d'une part, par exemple par l'intermédiaire d'un pignon et d'une couronne @
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dentée, à l'un des arbres dos roues du châssis et) d'autre part, à la partie supérieure do l'arbre portant le disque tranchant, par l'intermédiaire d'une liaison élastique, par exemple une chaîne do Galle munie d'un dispositif tendeur. On évite ainsi toute accélération ou décélération intempestives du mouvement de rotation du disque tranchant lors des déplacements du dispositif décolleteur par rapport à son châssis de support.
Afin do permettre le transport' du dispositif par exemple sur route, sans risquer do le détériorer, l'ensemble constitué par le sabot, le disque tournant et son arbre d'entraî- nomont peut être relevé et maintena dans cette position par un mécanisme de suspension soumis à l'action d'un levier suscepti- ble d'être commandé à la main ou par un mécanisme entraîné par les roues du châssis, avec interposition d'un embrayage à temps de type connu. D'autre part, un mécanisme de débrayage est, de préférence, intercalé sur la transmission reliée aux roues du châssis du dispositif.
Le dispositif de suspension peut, par exemple, 6tre constitué par une chaîne fixée d'une part sur les organes do décolletage propromont dits, au voisinage de leur* extrémité et, d'autre part, sur un secteur solidaire d'un arbre tourillonnant dans le châssis et relié, par un jarde leviers et de bielles, au mécanisme de commande de relevage du dispositif.
Les organes de décolletage sont, de préférence, soumis également à l'action d'un ressort de rappel qui tend à leramener à loir position de travail, afin d'empêcher leur soulèvement intempes- tif. , '
La liaison entre le sabot et le support do l'arbre du disque tranchant est avantageusement réglable de façon à permettre de modifier la distance séparant ces organes, en vue d'obtenir un réglage de la hauteur à laquelle sont décolletées les bette- raves. D'autre part, le disque tranchant peut être surmonté d'ai- lettes, de préférence incurvées, s'étendent le long de l'arbre porto-disque .et qui ont pour rôlo de rejeter les feuilles coupées par le dispositif.
La présonte invention a également pour objet la com- binaison d'un dispositif décolleteur tel que celui qui vient d'être décrit avec un dispositif arrachear de betteraves et un rateau mécanique permettant le déblayage des feuilles coupées par le décolleteur, ces trois dispositifs étant montés les uns derrière les autres sur un châssis mobile commun et le rateau déblayeur de feuilles étant intercalé entre le décolleteur, placé à l'avant, et l'arracheur, placé à l'arrière.
L'arracheur de betteraves est, de préférence, cons- titué par deux socs sensiblement plans, associés sur un bâti commun do façon à former un angle dièdro dont l'aréte, tournée vers le sol et inclinée d'arrière en avant vers ce dernier, est parallèle à l'axe longitudinal du châssis, ces deux socs lais- sant entre eu un intervalle libre allant en se rétrécissant de l'avant, où sa largeur est supérieure au diamètre moyen d'une betterave,jusqu'à l'arrière, où sa largeur est Inférieure au dit diamètre.
Lorsque les socs, dont l'extrémité inférieure pé- nètre dans le sol, sont déplacés en suivant un rayon de bettera- ves, ces dernières s'engagent l'une après l'autre dans l'inter- valle ménagé entre les socs et se trouvent du fait de l'inclinai- son des socs, soulevées et arrachées de terre, les betteraves so repoussant l'une l'autre vers l'arrière des dits socs.
Derrière ce jeu do socs sont avantageusement disposés, entre deux parois latérales et perpendiculairement à l'axe longi- tudinal du châssis, plusieurs hérissons constitués par des arbres sur la périphérie desquels sont fixées des rangées de tiges sail- lantes, par exemple métalliques, de préférence recourbées, dont
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la disposition et la longueur sont telles qu'il y ait interpé- nétration des rangées' de tiges relatives à un hérisson dans cel- les relatives au hérisson voisin, ces hérissons étant montés à rotation et reliés mécaniquement aux roues du châssis'qui porte
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le dispositif, de façon à être entraînées dans le sens ,de'rota-. tion qui fait passer los tiges d'avant en arrière, à leur posi- tion haute.
Les betteraves arrachées.sont ainsi'transportées vers l'arrière tout en étant secouées, co qui los débarrasse do.la ter- ro qui adhère sur elles.. '
Le bâti sur lequel sont montés, avantageusement de fa-
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çon réglable on.hauteur, les socs-arracheurs', est, .de préf,éren-. ce, mobile dans un plan vertical et soumis a l'action d'un dis- positif de rolova.go susceptible d'être actionné par un levier à main ou par les roues au châssis, par l'irtarmédiairo de l'em- brayago à temps susmentionné.
Il est ainsi possible do relever los socs pour le transport de la machine. '
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Quant au rateau mécanique, il est, de préférence, cons- titué par des barres, par exemple au.nombre do quatre, disposées obliquement par rapport à l'axe longitudinal du châssis.du dispo- sitif et munies de dents allongées) de préférence élastiques, los extrémités de cos barres étant articulées., d'une partit on
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des points répartis régu11èrûm3nt sur une circonférence ét cons- titués par les extrémités des bras d'un croisillon monté fou sur un arbre parallèle à l'axe du châssis du dispositif sur un côté do ce dernier ot, d'autre part, en des points analogues d'un
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croisillon solidaire d'un arbre parallèle au précédent, toiiril- lonnant dans un support,
placé de l'autre côté du châssis, et relié mécaniquement aux roues do ce dernier, les points d'arti- culation des barres susmentionnées étant situés dans des plans- perpendiculairos au dit axe longitudinal. Lors de la rotation des croisillons, les barres sont entrafnées et passent suceessi- vement à leur position inférieure extrême tout en restant hori- zontalos; la pointe des dents venant balayer le sol et rejetant sur le côté les fouilles qui s'y trouvent.
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La liaison mécanique du croisillon d'ent,ra:tnemont des barres du rateau avec les roues est telle que les barres passent, à leur position inférieure, dans la direction de leur extrémité placée le plus en arrière sur le châssis du dispositif. Cette
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liaison peut être constituée par une cha±nedo Galle reliant, à un premier pignon, calé sur l'arbro qui porte le dit croisillon,
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un autre pignon calé sur l'arbre parallèle à l'axe lbngîtu- dinal du châssis et déjà utilisé pour i'ontra±nement du disposi- tif décolleteur, avec interposition éventuelle d'un démultiplicateur de vitesse.
Les supports des deux croisillons ou organes de montage des barres du rateau sont avantageusement articulés autour de deux axes parallèles .à. l'axe longitudinal du châssis, l'un de ces supporte étant relié à un organe de relevage, par exemple une chai'ne fixée à son autre extrémité sur un secteur circulaire calé sur le même arbre que les secteurs de relevage du dispôsi- tif décolleteur. On peut ainsi relever le rateau pour permettre le transport, par exemple sur route.
Afin d'accélérer encore le travail de décolletage et d'arrachage des betteraves, nn peut disposer, côte à cote sur un même châssis, plusieurs dispositifs décolleteurs tels que celui qui vient d'être décrit et, derrière ces décolleteurs, plusieurs dispositifs d'arrachage, le rateau de déblayage des feuilles et l'ensemble des hérissons étant communs à tous les dispositifs
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décolleteurs et arracheurs.
L'écartement entre axes de deux de ces dispositifs voisins de même nature est égal à l'écartement normal existant entre deux rayons de betteraves, cet écartement étant fixé par celui des socs de semage des semoirs mécaniques,
Un transbordeur, constitué par exemple par un tapis rou- lant sans fin, entraîné par un mécanisme relié aux roues du châs- sis qui porte les divers dispositifs, peut être disposé perpendi- culairement à l'axe longitudinal du châssis et immédiatement der- rière le dernier des hérissons qui fait suite à l'arracheur. Ce transbordeur permet de rassembler sur un seul côté du dispositif les betteraves décolletées, arrachées et débarrassées de la terre qui y adhérait.
L'ensemble du châssis supportant les divers disposi- tifs peut être remorqué par un tracteur ou comporter son propre moteur d'entraînement. Dans un cas comme dans l'autre il est avantageusement muni d'un mécanisme de direction agissant, par exemple, sur un essieu portant deux roues dont l'écartement est tel qu'elles encadrent exactement un rayon de betteraves, le gui- dage de la maohine étant au si rendu plus aisé.
On a représenté, aux dessins annexés, un exemple de'réa- lisation du dispositif décolleteur objet de l'invention et son ap- plication à une machine à décolleter et arracher les betteraves.
Dans ces dessins fig. 1 est une vueen élévation latérale du décolleteur; fig. 2 est une vue de face oorrespondant à la fig. 1; fig. 3 est une vue en élévation latérale, à plue petite échelle, de l'ensemble de la machine décolleteuse arracheuse, le décolleteur et les organes qui y sont rattachés étant représentés en traits forts; fig. 4 est un plan correspondant à la fig. 3; fig. 5 est une vue partielle du décolleteur au travail ; fig. 6 est une vue en plan de la partie arrière de la machine, munie d'un transporteur à vis d'Archimède; fig. 7 est unn coupe par VII-VII de fig. 6; fig. 8 est une vue partielle, par 1-arrière, du trans- porteur à via.
Le déoolleteur repré enté aux fig. 1 et 2 comprend trois dispositifs semblables placés côte à côte, l'écartement entre axes de ces dispositifs étant chaque fois égal à la die- tance séparant deux rayons de betteraves. Ces trois dispositifs sont portés par un même bâti 1 solidaire d'un châssis 2 monté sur roues. Chaoun les dispositifs décolleteurs proprement dits comporte deux fourreaux 3 et 4 réunis entre eux par un voile 5, les axes longitudinaux de ces fourreaux faisant entre eux, dans un plan vertical, un angle d'environ 135 . L'ensemble formé par les fourreaux 3 et 4 est suspendu individuellement au bâti 1 par l'intermédiaire d'équerres 6 articulées librement autour d'axes courts 7 fixés sur les montants du bâti.
Sur le voile 5 est assujetti, par l'intermédiaire de bielles 8 et de tringles 9, dont la longueur est éventuellement réglable, un sabot constitué par une plaque de t8le 10 incurvée à son extrémité inférieure et dont le bord inférieur 11 est décou- pé en arc de air le.
Dans les fourreaux 3 et 4 sont montés à rotation deux arbres 12 et 13 réunis par un renvoi de pignons coniques 14. L'ar- bre 13 porte à son extrémité un disque tranchant 15 légèrement bombé et surmonté d'ailettes incurvées 16 qui en sont solidaires.
D'autre part, l'arbre 12 porte, à son extrémité opposée à celle sur laquelle est calé le pignon 14, un pignon à chaîne 17.
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Une chaîne de Galle 18, qui passe sous les pignons 14 des deux dispositifs décolleteurs la.t6.raux et'sur le pignon 14-
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du dispositif central relie les dits pignons, par l'intermé- diaire d'une roue à chaîne 19, à un arbre 20 entraîné en rotation
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par un mécanisme, non repr'sent6 aux fig 1 et 2, quk emprunte
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son mouvement'à l'essieu solidaire des roues du châssis 2. La
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chaîne 18 est soumise à l'action d'.un dispositif tendeur cons-
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titué par un pignon 21 monte à rotation sur une biellette 22 ar-
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ticulao sur le châssis du dispositif et rappelée contre la chaî-
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ne 19 par un. ressort 23.
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Une chaîne de suspension 2. est assujettie, d'une part, sur le fourreau i. et, d'autre part, .à la partie supérieure d'un
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secteur circulaire à gorge 25 cale sur un arbre 26 commun aux
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secteurs relatifs aux trois dispositifs'déoolleteurs. Sur cet ar-
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bre 26 est également cale un levier 27 à l'extrémité..duquel est articulée une bielle 28 susceptible-d'être déplacée parallèlement à s'on axe longitudinal.'Un ressort de rappel 29 relié, d'une part,
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.au voile . et, d'autre part,,.à..-,:,n crochet 30 fixé sur le çhâssis 1 tend à amener le fourreau 4 et l'axe 13 à la .verticale.
Les fig.' 3 et ç, mont.r'oht''la'.'.combinaison "du di'sposi.tif d6colleteur' conforme à'l'inventiun avec un dispositif arracheur de betteraves et un râteau déblayeur de feuîlles, L'ensemble de ces dispositifs est suppoi,,6,'pa-un-. châssis commun constitué p i? un .cadre 101''en f,3..,P'J:!9#)J;,s;
renforcé par des entretoises 102 est reposant 'sur qûât,r.e.oue.s., Les deux roues, arrière. 103, de grand .ãnèfbe et Munies sur leurs jantes d'éléments .de cornières 101..' et 105 destinés à. assurer leUr,ad#6ren.ce respectivement en long,et'.. en travers,, sont .'montées folles sur un essieu 106' susceptible de..tourillo"n*n,*e" r**"d"à'ns' des pa-
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liers solidaires du cadre 101. 'A chaque extrémité''.'de.''l'essieu
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106 est calée une roue à x chet 10';"orep,éra,nt ,avec un cliquet 108 solidaire. des roues -io3 .et sollicité oôri',re1¯a roué à rochet 107 par un ressort 108â, de telle.sorte que l'essieu 106 .n'est. en- traîne par les roues iO3*qi,-e danp un s'èns de'rotation de ces dernières,..correspondant à la marche de la machine vers llavant.
Sur 1'.essieu 106 est; en oute;'o:.a16. ùh'é"roue dentée 109 engrenant avec un pignon 110 solidaire ..d'un 0.-rbre 111.,,Ce . dernier est relie.,' pa.r :1 in ;ermédi ai;xo, d'tzn e.mbrâyage:' 112 4 type connu commande par.un levier .Ilµ±, .une tringle 7:13'b' et, un . levier, à'ma'in .Ilµ, à un arbre 1-14 sur lequel, sont calées,.d'une 'part, une'couronne conique-dentée 115 et d 1 aù re 'pà':b" une roue . à .cJ;1a:tne 7.16, ..; ', .. "....
L'arbre 111. entraJ:ne Ë)galement,. pàr l'intermédiaire -' .'d'un.embrayage' a .temps. ,117,. de -type connu., uommâhdé'"par un jeu de leviers '118a et il8b reliés', entre eux par une tringle - 118c, 7:e ;levi er ll8b'ént câlé. sur le'même axe qu'un lev:ie,r'.à'lnJ.a.in"" ll8, une blelletté 119 articulée.sur un levier 1198:.-calé.sur 4n arbre 120;Sur..le,,levier 1196. ét au même point que71a'=bie>let'te 118 est également'articulée une bielle '121 dont l'autre extrémi- té est reliée à. un levier 122 'calé lui-même sur un arbre 123 Dans des paliers fixés sur le traverses 102 :ouri7,-' lonne un arbre 12. parallèle à l'axe longitudinal du"6,lias,si,s et relié à l'une'de ses extrém3¯tés, par un pignon donl.4ue lZ5,.'au--- plateau denté 115.calé' sur larbr9 17.1 ..
Les deux roues avant 126 du châssis sont montées à rotation libre sur un essieu 127 relié, par une pièce de raccor-
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dement en T, à un arbre vertical 128 passant dans un manchon 129
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et portant, à son extrémité supérieure, une roue dentée 1 '.
Dans un support 131 solidaire du manchon 129 tourillonne un ar-
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bre 152 terminé par un volant J.33 et sur lequel est calée une vis sans fin 134 coopérant avec la roue 130,
Deux sièges 135.et 136 sont disposes sur le châssis, le premier, à l'avan' , en face du volant 133 et le second, à l'arrière, à portée des leviers 113 et 118.
La distance entre le plan moyen des roues 103 et le plan de symétrie longitudinal du châssis de la machine est telle que, le susdit plan de symétrie étant à l'aplomb d'un rayon de betteraves, les roues 103 passent exactement chacune entre deux autres rayons. Devant la roue 103 placée à la droite du châssis dans le sens de marche de la machine, est monte un dispositif écarteur de feuilles. ce dispositif est constitue par deux plaques de tôle incurvées 137 se terminant en pointe vers l'avant et enserrant de part et d'autre la jante de la roue 103.
Une troisième plaque de tôle 138, affectant la forme d'un triangle curviligne, réunit les deux tôles 137 à leur partie supérieure et l'écartement de ces dernières vers l'arrière est assure par un voile 139. L'ensemble formé par les deux tôles 137 est arti-
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culé autour d'un axe 1I0 solidaire d'un montant 141 fixé sur le cadre 101. Un levier 142 est assujetti sur la tôle 137 intérieu-
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re et porte, à son extrémité, une ehafne lEµ dont l'autre bout est fixé à l'extrémité d'un levier 144 calé sur l'arbre l' .
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D'autre part, la voie du tro.L, directeur placé à l'a- vant est telle que les deux roues 126 encadrent exactement un rayon de betteraves s'étendant dans l'axe de la machine.
Le décolleteur ci-dessus décrit est placé à l'avant du
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châssis de la machine, le bfi.t,1 1 eant assujetti sur une entre- toise 102 du cadre 101, La roue à chaîne 19 est ici calé'e à l'ex- trémité de l'arbre 121. et les Eecteura 25 de relcvage sont soli- daires de l'arbre 123.
Vers l'arrière du châssis est placé le dispositif arracheur de betteraves. Celui-ci est constitué par troisjeux de
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deux socs 201. Chaque soc, terW né en pointe vers l'avant, est légèrement incurvé et présente; à sa partie arrière, des échan- crures 202. Il est fixé, de façon réglable, par l'intermédiaire
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d'un montant 203, sur une barre transversale 201 commune à tc,; les socs. La liaison entre les montants 203 et la barre 204 est
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assurée, d e façon connue, par ds brides telles que 205 et 206 et des verrous 207 en forme de coin. La barre 20 est guidée, à
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chaque extrémité, par deux pièces de guidage 208-29 solidaires des longerons latéraux du cadre 101 et réunies par une plaque de
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garde 210.
Vers les extrémités de la barre 20., de chaque côté et à l'intérieur du châssis, sont fixés deux fers à U 212 verticaux
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qui s'étendent au-dessus et au-dessous de ladite barre 20L. Cha- que fer 212 est appliqué, par .ses ailes, sur deux galets 213 montés à rotation dans une chape 214 solidaire d'une des entre- toises 102 du cadre 101. D'autre part, sur le fond de chaque fer 212 et dans la partie de ces derniers qui s'étend au-dessus de la barre 204 est fixée une crémaillère 216 qui coopère avec un secteur denté 217 calé sur 1?arbre 120.
Les socs 201 de chaque jeu forment un angle dièdre dont l'arête est inclinée vers le sol d'arrière en avant et ménagent entre eux un intervalle de forme triangulaire allant en se rétré- cissant d'avant en arrière et dont la largeur est, à l'avant, su- périeure au diamètre moyen d'une betterave. L'écartement entre
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axes de deux jeux de ;1.o=s voisins est égal à la distance séparant deux rayons de betteraves, chaque jeu se trouvant placé derrière un des dispositifs décolleeur-3.
Immédiatement derrière les jeux de socs 201 sont dis- posés les uns derrière les autres, dans un plan incliné vers le sol d'arrière en avant, sept hérissons constitués par des ar- bres 219 qui s'étendent transversalement par rapport au châssis sur toute la largeur occupée par les jeux de socs 201 et qui sont munis, sur leur périphérie, de rangées de tiges métalliques 220 recourbées. Ces arbres 219 sont montés à rotation entre deux
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j0ues latérales artioulées, chacune de ces joues comprenant deux éléments 221 et 222.
L'élément arrière 221 est solidaire du Sa- dre 101 et l'élément avant 222 est articulé sur le précédent au- tour de l'arbre 219 du hérisson central lui-même. Les deux élé-
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menti de j-jues 221 et 222 sont légèrement décalés l'un par rap- port à l'autre pour permettre leur déplacement relatif. A latex- trémité de chaque élément de j'cuc ruz22 est fixée une patte 223 articulée sur l'extrémité inférieure du fer à U 212 qui se trouve du côté correspondant...
Chaque héricson est relié à celui qui le sui't par une transmission par pignons dentés 224 et chaînes 225 située alternativement du côté droit ou du côté gauche dela machine. Les pignons portés par les deux hérissons Inférieurs sont de diamètre plus faible que ceux portés par les autres hérissons, et sont
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0:.:atégés par des flasques 22G" L'arbre 220 du s'9::.o::::d. hérisson à nantir de l'arrière porte, de plus, extérieurement au Y:.":lri7 22I du côté gauche, un autre pignon denté 227 sur lequel engrène une cha±ne 228 qui passe également sur un pignon 211) na].é sur un arbre 230 supporté à rotation sur le cadre 101 ctv Ch8:iJs5.s de la machine.
Sur ce même arbre 230 est calé un Xecind. pignon à cl13. :tne 231 relié par une chaîne 232 à la rcue dentée ll6 portée par l'arbre 114 en- train6 par les roues 103.
L râteau mécanique qui a pour rôle de déblayer les feuilles coupées par le déco n8';GU' et qui est disposé entre ce dernier et le dispositif arracheur qui vient d'être décrit,
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est constitué par quatre carras 3(;:. munies de dents formées de tiges métalliques 302 fixées nc;.;: dites barres or leur extrémité supérieure 303 enroulée en :. .sTa.:,'.e de façon à former ressort.
Ces barres 301 sont disposées '?b:..quar.1ent par rapport à l'axe longitu- dinal du châssis de la machine et iewra extrémités, coudées de façon à se trouver dans un plan perpendiculaire à cet axe, com- portent des brides 305 par lesquelles elles sont fixées sur des colliers 306 montés fous sur des axas 307 qui maintiennent éga- lement lesbarres 301 et quisont disposés, pour les extrémités, des barres 301 qui sont situées à gauche par rapport à l'axe longitudinal du châssis, aux extrémités des quatre bras d'un croisillon 308, perpendiculairement à ces bras, et, pour les ex- trémités opposées des barres 301, aux extrémités des quatre bras d'un croisillon 309.
Le croisillon 308 est calé sur un arbre 310 tourillon- nant dans un support 311 articulé librement sur le longeron de gauche du cadre 101 de la machine au moyen d'un axe 312.
Le croisillon 309 est, de son côté, calé sur un arbre
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313 tourillonnant dans un support 31fi. arti.c.ulé, au moyen d'un arbre 315, sur deux consoles 316 solidaires du longeron de droite du cadre 101. L'arbre 315 tourillonne librement à la fois dans le
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support 37.. et dans le consoles 316. Dans un trou taraudé d'un montant 317 solidaire du longeron de droite du cadre 1,Q1 passe @
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une tige filetée 3:L8 uermtnée par 'on carré et qui, s'appuyant sur le support µlE, sert à ce dernier de butée réglable.
Un carter 319, solidaire du support µlE, enveloppe et protège la partie extérieure du croisillon 309,
Sur l'extrémité de l'arbre 313 opposée au croisillon 309 est calée une roue dentée 320 reliée, par une chaîne 321, à
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un pignon 322 solidaire de l'arbre 515, Sur ce dernier >,3t éga- lement calé un pignon 323 relié., par une chaîne 32., à un autre pignon 325 solidaire de 1"ar-bie 12i susmentionné, commandé p:Lr les roues de la machine. Un disposibif tendeur, constitué par un pignon 327 monté à rotation dans une chape 328 articulée sur l'une des entretoises J.02 du cadre 101 et soumis à l'action d'un ressort de rappel 329, s'appuie sur la chai'ne 324.
Enfin, une chaîne 330 est assujettie par l'une de ses extrémités à la partie inférieure du support 314. Cette chaîne 330 passe sur une poulie de renvoi 331 montée dans une chape portée par la susdite entretoise 102 du cadre 101 et son autre extrémité est fixée sur un secteur à gorge 332 calé sur le même arbre 123 que les secteurs 25 de relevage du décolleteur,
A l'arrière du cadre 101 et après le hérisson 219-su- périeur est disposé, transversalement à l'axe longitudinal de la machine, un transporteur comprenant un tapis roulant sans fin 251 tendu à ses extrémités sur deux rouleaux 252 et 253 et encadré latéralement par des cloisons 254 et 255.
L'extrémité du trans- porteur, qui déborde sur la gauche de la machine d'une longueur sensiblement égale à quatre fois 1'intervalle séparant deux rayons de betteraves, est soutenu par des roues 256 et un ten:eur
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257 assure la rigidité de 1 ren;i.:
b'o, Le rouleau 253, qui entraîne le tapis 251 de droite à gauche par rapport à !-axe 1-ongi'lludJ.-al du cadre 101, est relié, par un renvoi de pignons coniques 258, à un arbre 259 qui reçoit son mouvement, par l'intermédiaire d'une transmission à cardans 260, de l'arbre 219 du hérisson supérieur,
La cloison latérale 254 est interrompue derrière les hérissons et une plaque 261, dans laquelle sont ménagées des échancrures 262 destinées à laisser passer les tiges 220 du dernier hérisson, est dispocée au niveau du tapis 251. Dans la cloison latérale 255 sont pratiquées deux ouvertures 263 obturables
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par des portes 261. Derrière 1; Ol;Ver'"1.=.r'e 263 la plus rapprochée de l'axe longitudinal du cadre 101 est placée une glissière 265 en arc de cercle.
Les portes 264 s'ouvrent vers le tapis 251 et
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sont suffisamment longues pour venir s"1,nterposer en biais sur toute la largeur du dit tapis en s'appuyant sur la paroi 254.
Les distances entre l'extrémité de déversement du transporteur
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et la charnière de la première poi,.,e 261, d'une part, et entre cette charnière et le bord de la glissière 265, d'autre part, sont sensiblement égales entre elles et légèrement supérieures chacune au double de 1'intervalle séparant deux rayons de bette- raves.
Dans la position de repos de la machine, la biellette
119 et la bielle 121 sont repoussées vers l'avant, ainsi que les leviers 119a et 122. Le secteur denté 217 et la crémaillère 216 maintiennent relevée la barre 204 qui supporte les socs 201. De même, les secteurs à gorge 25, tendant; les chaînes 24, maintien- nent les décolleteurs dans leur position haute et le secteur à gorge 332, par l'intermédiaire de la chaîne 330, retient en l'air le support 314 du rateau, ce dernier se trouvant également relevé.
Aucun des dispositifs ne peut entrer en contact avec le sol.
L'embrayage 112 est débrayé et les roues 103 peuvent tourner sans entra±ner l'arbre 114.
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Pour récolter lesbetteraves; on procède de la façon suivante :
La machine, attelée derrière un tracteur, est amenée sur le champ de betteraves, les roues 126 à cheval sur le second rayon et l'extrémité débordante du transbordeur tournée vers l'extérieur du champ, En agissant sur le levier à main 118, on libère la biollette 119 et la bielle 121. Les leviers 119a et
122 se rabattent d'avant en arrière et les divers dispositifs, à savoir les disques tranchants 15, les dents 302 du rateau et les socs 201 viennent en contact avec le sol.
Enfin, on rend so- lidaires les arbres 114 et 111 au moyen de l'embrayage 112, La machine, préte à fonctionner, est alors mise en marche, le con- ducteur assis sur le siège 135 veillant à la maintenir exactement dans l'axe du rayon de betteraves chevauché par les roues 126 de l'essieu avant.
Le sabot 10, en arrivant contre une betterave, couche ses feuilles et, s'appuyant sur le sommet du collet, soulève l'ensemble du dispositif décolleteur qui pivote légèrement autour de ses axes 7 en surmontant Inaction du ressort 29. Le disque tranchant 15, entraîné à rotation à grande vitesse par l'arbre 124 et par l'intermédiaire de la roue 19, delà chaîne 18 et des pignons 17, sectionne alors le collet de la betterave, les ailet- tes incurvées 16 rejetant immédiatement les feuilles coupées (fig.
5). Grâce au guidage réalisé par le sabot 10 et au mouvement de bascule du décolleteur, ce dernier découpe toujours une tranche du collet d'épaisseur rigoureusement constante et égale à l'in- tervalle séparant le bord 11 du sabot 10 et le tranchant du dis- que 15, quelle que soit la hauteur de la betterave au-dessus du sol. Le tendeur 21 permet (Le maintenir constante la tension,de la chafne 18 malgré les déplacements des pignons 17 sur la verti- cale,
Les trois dispositifs décolleteurs travaillent parallè- lement, chacun sur un rayon, le disque tranchant 15 du dispositif médian tournant en sens inverse des disques des dispositifs ex- trêmes.
Le pignon 325, calé également sur l'arbre 124, entraîne en rotation, par l'interm@@iaire de la transmission à chaînes et pignons 324-323-322-321-320, l'arbre 313 qui supporte le croisil- lon 309 du rateau mécanique. La rotation'du croisillon 309 en- traîne lesbarres 301 qui passent tour à tour, de droite à gauche de la machine, à leur position inférieure extrême, le croisillon 308 reproduisant le mouvement du croisillon 309. Dans ce mouvement des barres 301, les dents 302 balayent le sol et repoussent peu à peu vers la gauche de la machine les fouilles coupées qui jonchept le sol derrière le décolleteur, préparant ainsi le terrain pour l'arrachage qui suit immédiatement.
La roue 103 de droite se déplaçant entre deux rayons de betteraves non encore décolletées et arrachées risquerait d'écra- ser les feuilles de ces dernières, ce qui nuirait au bon fonction- nement des décolleteur-s. Cet inconvénient est évité grâce au sabot placé devant la dite roue 103 dont la pointe s'engage entre les deux rayons et relève les feuilles des betteraves, qui ne retom- bent qu'après le passage de la roue.
Dans le mouvement d'avancement de la machine, chacun des jeux de socs 201 s'enfonce légèrement en terre en se déplaçant le long d'un rayon de betteraves. Celles-ci se trouvent prises dans l'ouverture triangulaire ménagée entre les socs 201 d'un même jeu et sont arrachées du sol. Les nouvelles betteraves qui se présen- tent entre les socs 201 repoussent en arrière celles qui viennent @
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d'être arrachées, qui son', aussitôt saisies par les doigts 220 des hérissons 219. Ceux-ci sont entraînes en rotation par l'inter- médiaire des jeux de chai'nes et de pignons 224 et 225, soumis à l'action de la transmission 227 à 232, qui les rlie à la roue 116 portée par l'arbre 114.
Les doigts 220, passant d'avant en arrière à leur posi- tion haute, font monter les betteraves arrachées par les socs 201 jusqu'au tapis roulant 251 qui se déplace sous ltaction du rouleau 253 entraîné, par l'intermédiaire de la transmission 258-259-260, par le hérisson supérieur. Pendant leur passage sur les hérissons, les betterave. sont violemment secouées et débar- rassées ainsi de la terre qui y adhère.
Lors de l'arrachage des trois premiers rayons, on ou- vre la porte 264 la plus rapp ochéede l'axe de la machine, Les betteraves arrachées sont transportées par le tapis 251 jusqu'à cette porte qui forme barrage et sont conduites à la glissière 265 d'où elles tombent sur le sol en formant un tas on ligne pa- rallèle aux rayons.
Lorsque l'arrachage des trois premiers rayons est ter- miné, on procède de la môme manière à celui dos trois rayons sui- vants, la partie débordante du transporteur étant toujours tour- née vers l'extérieur du champ. On a soin, pour cette opération, de refermer la porte 264 la plus proche de ].'-axe de la machine et d'ouvrir la suivante:. Le? behteraves arrachées tombent alors par l'ouverture 263 correspondante, sensiblement sur le tas qui a été fait lors de l'arrachage des trois premiers rayons.
Do même, pour les trois rayons suivants, on forme la porte 264 précédemment ouverte et les betteraves arrachées sor- tent à l'extrémité du tapis 251, er tombant sur le même tas.
On obtientainsi un tas unique en ligne continue pour neuf rayons arrachés, ce qui simplifie considérablement l'opéra- tion de ramassage des bettereaves arrachées.
En poursuivant letravail de façon identique, on pro- cède au décolletage et à 1'arrachage simultanés des betteraves par trois rayons à la fols, en formant un tas linéaire do bette- raves arrachées tous les neuf rayons.
Si, lors de manoeuvres de virage, par exemple, les roues 103 viennent à reculer ou. à prendre des vitesses de rota- tion différentes, la roue qui ne déplace d'arrière en avant ou qui est animée d'une plus grande vitesse agira seule sur le mé- canisme d'entraînement des divers dispositifs, grâce aux enc que- tages 107-108.
Lorsque le travail est terminé, en enclanche l'embraya- ge à temps 117 en agissant sur le levier à main 118 et l'on fait avancer la machine. La bielle 119 estentraînée vers l'avant, ce qui a pour effet de faire basculer d'arrièreen avant les le- viers 119 et 221. L'arbre 120 pivote en entraînant, d'une part, les secteurs dentés 217 qui, agissant sur les crémaillères, relè- vent la barre 204 du support der. s@ss 201 et, d'autre part, le levier 144 qui, par la chaîne 143, fait pivoter le sabot 137 autour de l'axe 140, en relevant sa pointe. L'arbre 123 pivote également en entraînant les secteurs 25 et 332.
Ceux-ci agissent respecti- vement sur les chaînes 24 et330 qui soulèvent, d'une part, les dispositifs décolleteurs et, d'autre part, le râteau do déblayage des feuilles. L'embrayage à temps cesse de fonctionner automati- quement lorsque les dispositifs Dont entièrement relevés, co qui
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évite toute rupture ou détérioration des organes de relevage.
Cette opération s'effectue donc sans aucun effort et la machine peut ainsi être transportée, sur route par exemple, l'embrayage 112 ayant été auparavant débrayé en désolidarisant les arbres 111 et 114.
Au lieu d'Être constitué par un tapis roulant sans fin, le transbordeur peut être du type à vis d'Arohimède, ainsi qu'il est représenté aux fig.. 6 à 8. Dans ce cas, une auge 266 est disposée à l'arrière du châssis 101, transversalement à l'axe longitudinal de ce dernier. Cette auge, qui déborde sur la gauche de la machine de la même longueur que le transporteur susmentionné, repose à son extrémité extérieure, comme co dernier, sur des roues 256, un tendeur 257 assurant la rigidité de l'ensemble. De plus, des pattes de support 267, reliant le bord arrière de l'auge 266 au châssis 101 évitent la déformation de cette dernière. La plaque 261,'per- mettant le passage dos dents du dernier hérisson, est fixée sur le bord antérieur de l'auge.
Dans l'auge 266 est disposée une hélice 268 dont les spires sont fixées sur un arbre 269 supporté en trois points, do façon connue, par des coussinets fixés dans des étriers 270 (fige 7) eux-mêmes assujettis sur des barres 271 réunissant les deux bords de l'auge. L'entraînement de l'hélice peut être réalisé soit à l'aide d'une roue dentée 272 calée sur l'extrémité de l'arbre 269 qui se trouve vers la gauche de la machine, cette roue étant reliée par une chaîne 273 à une autre roue 274 calée sur l'extrémité de l'arbre 259, soit à l'aide d'une roue dentée 275 calée sur l'autre extrémité de l'arbre 269 et reliée par une chaîne 276, passant par une échancrure 277 pratiquée dans l'auge 266, à une roue 278 calée sur l'arbre 219 du hérisson le plus proche de l'arriére de la machine,
soit par ces deux moyens simultanément, ces modes d'entraînement n'étant cités qu'à titre d'exemple.
Dans la partie inférieure de l'auge 266, auge ouverte à son extrémité située vers la gauche de la machine, sont pratiquées des ouvertures 279 et 280 correspondant aux ouvertures 263 pratiquées dans la paroi latérale 255 du transporteur ci-dessus décrit. Ces ouvertures peuvent être obturées par des portes 281, articulées sur luge 266 à l'aide-de charnières 282 et munies en 283 d'un dispositif de fermeture.
Lors de l'arrachage des trois premiers rayons de betteravos, on ouvre la porte 281 obturant l'ouverture 279.
Les betteraves arrachées sont déversées, par dessus la plaque 261, dans l'auge 266 et se trouvent entrafnées par l'hélice jusqu'à l'ouverture 279 à travers laquelle ellestombent sur le sol en formant un tas en ligne parallèle aux rayons.
Pour les trois rayons suivants, on ferme la porte 281 précédemment ouverte et l'on ouvre celle qui obturait l'ouverture 280. Les betteraves arrachées franchissent alors l'ouverture 279 et viennent tomber par l'ouverture 280, sensiblement sur le tas déjà formé. Enfin, pour les trois rayons suivants, les deux portes 281 sont fermées et les betteraves viennent jusqu'à l'extrémité de l'auge 266 d'où elles tombent toujours sur le même tas. Ici aussi, on obtient un seul tae de betteraves en ligne tons les neuf rayons arrachés.
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On voit que, grâce à la machine qui vient d'être décrite, l'opération d'arrachage des betteraves peut être réalisée de façon extrêmement rapide et dans les meilleures conditions possibles, aussi bien du point do vue régularité du décolleta go que du point de vue facilité de ramassage des betteraves arrachées ou dos feuilles coupées, ces dernières se trouvant réunies en un tas linéaire tous les trois rayons.
La machine conforme à l'invention permet d'effec- tuer,avec trois conducteurs, à savoir, un pour le tracteur et deux pour la machine, le même travail que 30 hommes opérant à la main, les betteraves pouvant être décolletées, arrachées ot nettoyées à la cadence d'environ 10 à 20 à la seconde.
- REVENDICATIONS -
1. Dispositif pour le décolletage des betteraves, caractérisé par un châssis (1-2) monté sur des organes de roulement, par exemple des roues, sur lequel est articulé librement, autour d'un axe (7) perpendiculaire à 1 axe lon- gitudinal du dit châssis (2), un sabot ou guide (10), par exemple une plaque de tôle dont le bord inférieur (11), parallèle à l'axe d'articulation (7), est susceptible do ve- nir s'appuyer sur le sol, un disque tranchant (15), monté à l'extrémité d'un arbre (12-13) supporté à rotation dans des paliers (3, 4) solidaires du sabot (10) susmentionné et re- lié aux organes de roulement du châssis par une transmission mécanique (17, 18,19, 20) qui transmet le mouvement de ro- tation dos roues au disque tranchant (15), étant placé im- médiatement derrière le sabot (10)
dans un plan légèrement incliné sur le sol lorsque le dispositif repose sur ce dor- nier et passant à faible distance sous le bord inférieur (11) du sabot.
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"Device for turning beets."
When the sugar beets are harvested and before their storage for their subsequent use, it is necessary to remove them, that is to say, to separate the leaves from the root by cutting the collar.
This operation is generally carried out by hand with a sharp tool, after pulling out, which makes it long, complicated and irregular.
The present invention first of all relates to a device which allows the mechanical turning of the beets before their tearing, this operation thus being made simpler, faster and giving perfectly regular results, in the sense that the collar of the beet is sliced at a practically constant height and adjustable at will.
This device mainly comprises a frame mounted on running elements, for example wheels, on which is freely articulated, around an axis perpendicular to the longitudinal axis of said frame, a shoe or guide, for example a sheet metal plate, the lower edge, parallel to the articulation axis, is capable of coming to rest on the ground, a cutting disc, mounted at the end of a shaft rotatably supported in integral bearings the aforementioned shoe and connected to the running gear of the chassis by a mechanical transmission which transmits the rotational movement of the wheels to the cutting disc,
being placed immediately behind the shoe in a slightly inclined plane on the ground when the device rests on the latter and passing a short distance under the lower edge of the shoe. By moving the device on a beet shelf, in the direction of its length, the shoe layers the beet leaves and rests by its lower edge on the top of the last cos, the cutting disc coming immediately after cut off their collar.
To facilitate the transmission of the movement of the wheels to the cutting disc, the shaft which carries the latter can be made up of soft parts forming between ellos an angle such that the upper part is substantially parallel to the longitudinal axis of the frame of the device, these two parts being connected, for example, by a return of bevel gears.
The movement transmission members can then comprise a shaft extending parallel to the axis of the chassis and connected, on the one hand, for example by means of a pinion and a crown @
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toothed, to one of the shafts of the chassis wheels and) on the other hand, to the upper part of the shaft carrying the cutting disc, by means of an elastic connection, for example a Galle chain fitted with 'a tensioning device. This prevents any untimely acceleration or deceleration of the rotational movement of the cutting disc during the movements of the bar turning device relative to its support frame.
In order to allow the device to be transported, for example on the road, without risking damaging it, the assembly consisting of the shoe, the rotating disc and its drive shaft can be raised and maintained in this position by a locking mechanism. suspension subjected to the action of a lever capable of being controlled by hand or by a mechanism driven by the wheels of the chassis, with the interposition of a time clutch of known type. On the other hand, a clutch mechanism is preferably interposed on the transmission connected to the wheels of the frame of the device.
The suspension device may, for example, be constituted by a chain fixed on the one hand on the so-called propromont bar turning members, in the vicinity of their * end and, on the other hand, on a sector integral with a journaling shaft in the frame and connected, by a jarde levers and connecting rods, to the lifting control mechanism of the device.
The bar turning members are preferably also subjected to the action of a return spring which tends to bring it back to its working position, in order to prevent their inadvertent lifting. , '
The connection between the shoe and the support of the cutting disc shaft is advantageously adjustable so as to allow the distance separating these members to be modified, with a view to obtaining an adjustment of the height at which the beetroots are cut off. On the other hand, the cutting disc can be surmounted by fins, preferably curved, extending along the port-disc shaft. And which have the role of rejecting the leaves cut by the device.
The object of the present invention is also the combination of a bar turning device such as that which has just been described with a device for pulling beets and a mechanical rake allowing the clearing of the leaves cut by the bar turning machine, these three devices being mounted. one behind the other on a common mobile frame and the leaf mucking rake being interposed between the bar turning machine, placed at the front, and the puller, placed at the rear.
The beet puller is preferably made up of two substantially flat coulters, associated on a common frame so as to form a dihedral angle, the edge of which is turned towards the ground and inclined from rear to front towards the latter. , is parallel to the longitudinal axis of the chassis, these two coulters leaving between a free gap narrowing from the front, where its width is greater than the average diameter of a beet, to the rear , where its width is less than said diameter.
When the coulters, the lower end of which penetrates into the ground, are moved along a beet radius, the latter engage one after the other in the gap between the coulters and Because of the inclination of the coulters, they are raised and torn from the earth, the beets pushing each other back towards the rear of the so-called coulters.
Behind this set of coulters are advantageously arranged, between two side walls and perpendicular to the longitudinal axis of the chassis, several beaters formed by shafts on the periphery of which are fixed rows of protruding rods, for example metal, of preferably curved, of which
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the arrangement and the length are such that there is interpenetration of the rows' of rods relating to a hedgehog in those relating to the neighboring hedgehog, these hedgehogs being rotatably mounted and mechanically connected to the wheels of the frame which carries
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the device, so as to be driven in the direction, de'rota-. tion which passes the rods back and forth to their high position.
The torn beets are thus 'transported to the rear while being shaken, thus removing the soil which adheres to them.'
The frame on which are mounted, advantageously fa-
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çon adjustable on.height, the plowshares', est, .de pref, eren-. this, mobile in a vertical plane and subjected to the action of a rolova.go device capable of being actuated by a hand lever or by the wheels on the chassis, by the irtarmédiairo of the em- brayago at the above-mentioned time.
It is thus possible to raise the coulters for transporting the machine. '
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As for the mechanical rake, it is preferably constituted by bars, for example four in number, arranged obliquely with respect to the longitudinal axis of the frame. Of the device and provided with elongated teeth) preferably elastic, the ends of cos bars being articulated., on the one hand
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points distributed regularly on a circumference and constituted by the ends of the arms of a spider mounted idle on a shaft parallel to the axis of the frame of the device on one side of the latter and, on the other hand, at points analogues of a
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a spider attached to a shaft parallel to the previous one, hanging in a support,
placed on the other side of the frame, and mechanically connected to the latter's wheels, the points of articulation of the aforementioned bars being situated in planes perpendicular to said longitudinal axis. During the rotation of the braces, the bars are driven and pass sucessively to their extreme lower position while remaining horizontal; the tip of the teeth sweeping the ground and throwing to the side the excavations which are there.
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The mechanical connection of the entry cross, ra: tnemont of the rake bars with the wheels is such that the bars pass, at their lower position, in the direction of their end placed furthest back on the frame of the device. This
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connection can be constituted by a chain ± nedo Galle connecting, to a first pinion, wedged on the shaft which carries the said cross,
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another pinion wedged on the shaft parallel to the culminating axis of the chassis and already used for driving the bar turning device, with the possible interposition of a speed reduction gear.
The supports of the two braces or members for mounting the rake bars are advantageously articulated around two axes parallel .à. the longitudinal axis of the chassis, one of these supports being connected to a lifting member, for example a chain fixed at its other end to a circular sector wedged on the same shaft as the lifting sectors of the device bar turning machine. We can thus raise the rake to allow transport, for example on the road.
In order to further accelerate the work of turning and pulling the beets, it is possible to place, side by side on the same frame, several turning devices such as the one just described and, behind these turning devices, several turning devices. pulling, the rake for clearing the leaves and all the hedgehogs being common to all the devices
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bar turners and pullers.
The spacing between axes of two of these neighboring devices of the same nature is equal to the normal spacing existing between two beet spokes, this spacing being fixed by that of the sowing coulters of the mechanical seed drills,
A transporter, consisting for example of an endless conveyor belt, driven by a mechanism connected to the wheels of the frame which carries the various devices, can be placed perpendicular to the longitudinal axis of the frame and immediately behind. the last of the hedgehogs that follows the puller. This transporter makes it possible to collect on one side of the device the beets, which have been removed, torn off and free of the soil which adhered to them.
The entire frame supporting the various devices can be towed by a tractor or have its own drive motor. In either case, it is advantageously provided with a steering mechanism acting, for example, on an axle carrying two wheels, the spacing of which is such that they exactly frame a radius of beets, the guidance of the maohine being so made easier.
The accompanying drawings show an example of an embodiment of the turning device which is the subject of the invention and its application to a machine for removing and pulling beets.
In these drawings fig. 1 is a side elevational view of the bar turning machine; fig. 2 is a front view corresponding to FIG. 1; fig. 3 is a side elevational view, on a smaller scale, of the entire lifting machine, the bar turning machine and the members attached to it being shown in solid lines; fig. 4 is a plan corresponding to FIG. 3; fig. 5 is a partial view of the bar turning machine at work; fig. 6 is a plan view of the rear part of the machine, provided with an Archimedean screw conveyor; fig. 7 is a section through VII-VII of fig. 6; fig. 8 is a partial view, from 1-rear, of the transporter at via.
The deoolleteur represented in fig. 1 and 2 comprises three similar devices placed side by side, the spacing between the axes of these devices being each time equal to the die separating two beet combs. These three devices are carried by the same frame 1 integral with a frame 2 mounted on wheels. Chaoun the actual bar turning devices comprises two sleeves 3 and 4 joined together by a veil 5, the longitudinal axes of these sleeves forming between them, in a vertical plane, an angle of approximately 135. The assembly formed by the sleeves 3 and 4 is suspended individually from the frame 1 by means of brackets 6 freely articulated around short pins 7 fixed to the uprights of the frame.
On the web 5 is secured, by means of connecting rods 8 and rods 9, the length of which is optionally adjustable, a shoe consisting of a t8le plate 10 curved at its lower end and the lower edge 11 of which is cut out. in the air arc.
In the sleeves 3 and 4 are mounted to rotate two shafts 12 and 13 joined by a reference of bevel gears 14. The shaft 13 carries at its end a cutting disc 15 slightly domed and surmounted by curved fins 16 which are therefor. united.
On the other hand, the shaft 12 carries, at its end opposite to that on which the pinion 14 is wedged, a chain pinion 17.
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A Galle chain 18, which passes under the pinions 14 of the two la.t6.raux bar-turning devices and on the pinion 14-
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of the central device connects said pinions, through the intermediary of a chain wheel 19, to a shaft 20 driven in rotation
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by a mechanism, not shown in figs 1 and 2, which borrows
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its movement 'to the axle integral with the wheels of the chassis 2. The
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chain 18 is subjected to the action of a tensioning device
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titué by a pinion 21 rotatably mounted on a rod 22 ar-
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ticulao on the frame of the device and recalled against the chain
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do 19 by one. spring 23.
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A suspension chain 2. is secured, on the one hand, to the sheath i. and, on the other hand,. to the upper part of a
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circular sector with groove 25 wedges on a shaft 26 common to
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sectors relating to the three stripper devices. On this ar-
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bre 26 is also hold a lever 27 at the end of which is articulated a connecting rod 28 capable of being moved parallel to its longitudinal axis. A return spring 29 connected, on the one hand,
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. to the veil. and, on the other hand ,,. to ..-,:, n hook 30 fixed on the frame 1 tends to bring the sleeve 4 and the pin 13 to the vertical.
Figs. ' 3 and ç, mont.r'oht''la '.'. Combination "of the decolleteur device 'in accordance with' the invention with a beet pulling device and a leaf mucking rake, All of these devices is suppoi ,, 6, 'pa-un-. common frame constituted pi? a .frame 101' 'in f, 3 .., P'J:! 9 #) J;, s;
reinforced by spacers 102 is based on qûât, r.e.oue.s., Both wheels, rear. 103, large .ãnèfbe and provided on their rims with elements .de angles 101 .. 'and 105 intended for. ensure theUr, ad # 6ren.ce respectively in length, and '.. across ,, are.' mounted crazy on an axle 106 'likely to..tourillo "n * n, * e" r ** "d" to 'ns' of pa-
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ties integral with the frame 101. 'At each end' '.' of. '' the axle
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106 is wedged a x chet wheel 10 '; "orep, éra, nt, with a pawl 108 integral with the wheels -io3. And solicited oôri', re1¯a ratchet 107 by a spring 108â, of such kind that the axle 106 is not driven by the wheels iO3 * qi, -e in a rotation of the latter, .. corresponding to the forward motion of the machine.
On the axle 106 is; in addition; 'o: .a16. ùh'é "toothed wheel 109 meshing with a pinion 110 integral with a 0.-rbre 111. ,, The latter is connected., 'pa.r: 1 in; ermédi ai; xo, d'tzn e .mbrâyage: '112 4 known type controlled by.a lever .Ilµ ±, .a rod 7: 13'b' and, a. lever, at'ma'in .Ilµ, to a shaft 1-14 on which, are wedged, .on the one hand, a conical-toothed crown 115 and d 1 aù re 'pà': b "a wheel. to .cJ; 1a: tne 7.16, ..; ', .. "....
The tree 111. entails: ne Ë) also ,. for the intermediary - '.' of a. time. , 117 ,. of known type., uommâhdé '"by a set of levers' 118a and il8b connected', between them by a rod - 118c, 7: e; levi er ll8b'ént wedged. on the same axis as a lev: ie, r'.à'lnJ.a.in "" ll8, a blelletté 119 articulated.on a lever 1198: .- wedged.on 4n shaft 120; On..le ,, lever 1196. and at the same point as 71a ' = bie> the'te 118 is also 'articulated a connecting rod' 121 whose other end is connected to a lever 122 'itself wedged on a shaft 123 In bearings fixed on the sleepers 102: ouri7, - 'lonne a shaft 12. parallel to the longitudinal axis of "6, lias, si, s and connected to one' of its extremes, by a pinion donl.4ue lZ5,. 'to the --- toothed plate 115.calé 'on larbr9 17.1 ..
The two front wheels 126 of the chassis are mounted for free rotation on an axle 127 connected by a connecting piece.
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T-shaped, with a vertical shaft 128 passing through a sleeve 129
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and carrying, at its upper end, a toothed wheel 1 '.
In a support 131 integral with the sleeve 129, an ar-
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bre 152 terminated by a flywheel J.33 and on which is wedged a worm 134 cooperating with the wheel 130,
Two seats 135. And 136 are arranged on the chassis, the first, at the front, opposite the steering wheel 133 and the second, at the rear, within reach of the levers 113 and 118.
The distance between the mean plane of the wheels 103 and the longitudinal plane of symmetry of the frame of the machine is such that, the aforesaid plane of symmetry being directly above a spoke of beets, the wheels 103 each pass exactly between two others rays. In front of the wheel 103 placed to the right of the frame in the direction of travel of the machine, a leaf spreader device is mounted. this device is constituted by two curved sheet metal plates 137 ending in a point towards the front and enclosing on either side the rim of the wheel 103.
A third sheet metal plate 138, taking the shape of a curvilinear triangle, brings together the two sheets 137 at their upper part and the separation of the latter towards the rear is ensured by a web 139. The assembly formed by the two sheet 137 is arti-
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abutment around an axis 1I0 integral with an upright 141 fixed to the frame 101. A lever 142 is secured to the internal plate 137
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re and carries, at its end, an ehafne lEµ, the other end of which is fixed to the end of a lever 144 wedged on the shaft l '.
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On the other hand, the track of the tro.L, director placed at the front is such that the two wheels 126 exactly frame a radius of beets extending in the axis of the machine.
The above described bar turning machine is placed at the front of the
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frame of the machine, the bfi.t, 1 1 being secured to a spacer 102 of the frame 101, the chain wheel 19 is here wedged at the end of the shaft 121. and the Eecteura 25 of recovery are integral with tree 123.
Towards the rear of the frame is placed the beet harvester device. This is made up of three games
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two coulters 201. Each coulter, born in a forward point, is slightly curved and present; at its rear part, notches 202. It is fixed, in an adjustable manner, by means of
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an upright 203, on a transverse bar 201 common to tc; the coulters. The connection between the uprights 203 and the bar 204 is
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ensured, in known manner, by flanges such as 205 and 206 and bolts 207 in the form of a wedge. Bar 20 is guided, at
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each end, by two guide pieces 208-29 integral with the side members of the frame 101 and joined by a
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guard 210.
Towards the ends of bar 20., on each side and inside the frame, are fixed two vertical U-shaped irons 212
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which extend above and below said bar 20L. Each iron 212 is applied, by its wings, to two rollers 213 mounted for rotation in a yoke 214 integral with one of the spacers 102 of the frame 101. On the other hand, on the bottom of each iron 212 and in the part of the latter which extends above the bar 204 is fixed a rack 216 which cooperates with a toothed sector 217 wedged on the shaft 120.
The coulters 201 of each set form a dihedral angle, the edge of which is inclined towards the ground from rear to front and leave between them a triangular-shaped interval which narrows from front to rear and whose width is, at the front, greater than the average diameter of a beet. The gap between
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axes of two neighboring sets of; 1.o = s is equal to the distance separating two beet combs, each set being placed behind one of the peeler-3 devices.
Immediately behind the sets of coulters 201 are arranged one behind the other, in a plane inclined towards the ground from rear to front, seven beaters formed by shafts 219 which extend transversely with respect to the frame over the entire length. the width occupied by the sets of coulters 201 and which are provided, on their periphery, with rows of curved metal rods 220. These 219 shafts are rotatably mounted between two
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articulated side j0ues, each of these cheeks comprising two elements 221 and 222.
The rear element 221 is integral with the Sa- dre 101 and the front element 222 is articulated on the preceding one around the shaft 219 of the central hedgehog itself. The two elements
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lied to j-jues 221 and 222 are slightly offset from each other to allow their relative displacement. A latex- end of each element of J'cuc ruz22 is fixed a tab 223 articulated on the lower end of the iron at U 212 which is on the corresponding side ...
Each hericson is connected to the one which follows it by a transmission by toothed gears 224 and chains 225 located alternately on the right side or on the left side of the machine. The gables carried by the two Lower hedgehogs are smaller in diameter than those carried by the other hedgehogs, and are
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0:.: Atégés by flanges 22G "The tree 220 of s'9 ::. O :::: d. Hedgehog to be secured from the rear door, moreover, outside the Y:.": Lri7 22I of on the left side, another toothed pinion 227 on which meshes a chain 228 which also passes over a pinion 211) na] .é on a shaft 230 rotatably supported on the 101 ctv Ch8: iJs5.s frame of the machine.
On this same tree 230 is mounted a Xecind. pinion to cl13. : tne 231 connected by a chain 232 to the toothed chain ll6 carried by the shaft 114 driven by the wheels 103.
The mechanical rake whose role is to clear the leaves cut by the decoration n8 '; GU' and which is placed between the latter and the pulling device which has just been described,
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is constituted by four carras 3 (;:. provided with teeth formed of metal rods 302 fixed nc;.;: say bars or their upper end 303 wound in: .sTa.:, '. e so as to form a spring.
These bars 301 are arranged '? B: .. quar.1ent with respect to the longitudinal axis of the frame of the machine and iewra ends, bent so as to lie in a plane perpendicular to this axis, comprise flanges 305 by which they are fixed on collars 306 mounted loosely on axas 307 which also hold the bars 301 and which are arranged, for the ends, bars 301 which are located to the left with respect to the longitudinal axis of the frame, at the ends of the four arms of a spider 308, perpendicular to these arms, and, for the opposite ends of the bars 301, at the ends of the four arms of a spider 309.
The spider 308 is wedged on a shaft 310 pivoting in a support 311 freely articulated on the left side member of the frame 101 of the machine by means of a pin 312.
The spider 309 is, for its part, wedged on a tree
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313 journaling in a support 31fi. arti.c.ulé, by means of a shaft 315, on two consoles 316 secured to the right side member of the frame 101. The shaft 315 pivots freely both in the
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support 37 .. and in the consoles 316. In a tapped hole of an upright 317 integral with the right side member of the frame 1, Q1 passes @
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a threaded rod 3: L8 uermtnée by 'on square and which, resting on the support µlE, serves the latter as an adjustable stop.
A casing 319, integral with the µlE support, envelops and protects the outer part of the spider 309,
On the end of the shaft 313 opposite the spider 309 is wedged a toothed wheel 320 connected, by a chain 321, to
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a pinion 322 secured to the shaft 515, On the latter>, 3t also wedged a pinion 323 connected., by a chain 32., to another pinion 325 secured to 1 "ar-bie 12i mentioned above, ordered p: The wheels of the machine. A tensioning device, consisting of a pinion 327 rotatably mounted in a yoke 328 articulated on one of the spacers J.02 of the frame 101 and subjected to the action of a return spring 329, is based on chain 324.
Finally, a chain 330 is secured by one of its ends to the lower part of the support 314. This chain 330 passes over a return pulley 331 mounted in a yoke carried by the aforesaid spacer 102 of the frame 101 and its other end is attached to a grooved sector 332 wedged on the same shaft 123 as the lifting sectors 25 of the bar turning machine,
At the rear of the frame 101 and after the hedgehog 219-upper is disposed, transversely to the longitudinal axis of the machine, a conveyor comprising an endless conveyor belt 251 stretched at its ends over two rollers 252 and 253 and framed. laterally by partitions 254 and 255.
The end of the carrier, which protrudes on the left of the machine by a length substantially equal to four times the interval between two beet spokes, is supported by wheels 256 and a ten: eur
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257 ensures the rigidity of 1 ren; i .:
b'o, The roller 253, which drives the belt 251 from right to left with respect to! -axis 1-ongi'lludJ.-al of the frame 101, is connected, by a reference of bevel gears 258, to a shaft 259 which receives its movement, via a cardan transmission 260, from the shaft 219 of the upper hedgehog,
The side wall 254 is interrupted behind the hedgehogs and a plate 261, in which are formed notches 262 intended to allow the rods 220 of the last hedgehog to pass through, is arranged at the level of the carpet 251. In the side partition 255 are made two openings 263 closable
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through doors 261. Behind 1; Ol; Ver '"1. =. R'e 263 closest to the longitudinal axis of the frame 101 is placed a slide 265 in an arc of a circle.
Doors 264 open to carpet 251 and
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are long enough to come s "1, interpose obliquely over the entire width of said mat, resting on the wall 254.
The distances between the discharge end of the conveyor
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and the hinge of the first poi,., e 261, on the one hand, and between this hinge and the edge of the slide 265, on the other hand, are substantially equal to each other and each slightly greater than twice the interval separating two rays of beetroot.
In the machine's rest position, the connecting rod
119 and the connecting rod 121 are pushed forward, as well as the levers 119a and 122. The toothed sector 217 and the rack 216 keep the bar 204 which supports the coulters 201 raised. Similarly, the groove sectors 25, tending; the chains 24 hold the bar turners in their upper position and the grooved sector 332, by means of the chain 330, retains the support 314 of the rake in the air, the latter also being raised.
None of the devices can come into contact with the ground.
The clutch 112 is disengaged and the wheels 103 can turn without driving the shaft 114.
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To harvest the beetroots; we proceed as follows:
The machine, coupled behind a tractor, is brought onto the beet field, the wheels 126 straddling the second spoke and the projecting end of the transporter facing the outside of the field. By acting on the hand lever 118, we releases the biollette 119 and the connecting rod 121. The levers 119a and
122 folds back and forth and the various devices, namely the cutting discs 15, the teeth 302 of the rake and the coulters 201 come into contact with the ground.
Finally, the shafts 114 and 111 are made solid by means of the clutch 112.The machine, ready to operate, is then started, the driver seated on the seat 135 taking care to keep it exactly in the axis of the beet spoke overlapped by the wheels 126 of the front axle.
The shoe 10, arriving against a beet, layers its leaves and, leaning on the top of the collar, lifts the whole of the bar turning device which pivots slightly around its axes 7, overcoming the inaction of the spring 29. The cutting disc 15 , rotated at high speed by the shaft 124 and by means of the wheel 19, chain 18 and pinions 17, then cuts the neck of the beet, the curved fins 16 immediately rejecting the cut leaves ( fig.
5). Thanks to the guidance provided by the shoe 10 and to the rocking movement of the bar turning machine, the latter always cuts a slice of the collar of rigorously constant thickness and equal to the interval separating the edge 11 of the shoe 10 and the cutting edge of the disc. than 15, regardless of the height of the beet above the ground. The tensioner 21 allows the tension of chain 18 to be kept constant despite the movements of the pinions 17 on the vertical,
The three turning devices work in parallel, each on a radius, the cutting disc 15 of the middle device rotating in the opposite direction to the discs of the end devices.
The pinion 325, also wedged on the shaft 124, drives in rotation, through the intermediary of the chain and pinion transmission 324-323-322-321-320, the shaft 313 which supports the cross member. 309 of the mechanical rake. The rotation of the spider 309 causes the bars 301 which pass in turn, from right to the left of the machine, to their extreme lower position, the spider 308 reproducing the movement of the spider 309. In this movement of the bars 301, the teeth 302 sweep the ground and gradually push back to the left of the machine the cut excavations which litter the ground behind the bar turning machine, thus preparing the ground for the uprooting which immediately follows.
The wheel 103 on the right moving between two spokes of beets which have not yet been turned off and torn off would run the risk of crushing the leaves of the latter, which would be detrimental to the proper functioning of the bar turners. This drawback is avoided by virtue of the shoe placed in front of said wheel 103, the point of which engages between the two spokes and raises the beet leaves, which do not fall until after the wheel has passed.
In the movement of advance of the machine, each of the sets of coulters 201 sinks slightly into the ground while moving along a radius of beets. These are caught in the triangular opening formed between the coulters 201 of the same set and are torn from the ground. The new beets which come between coulters 201 push back those which come @
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to be torn off, which is immediately seized by the fingers 220 of the hedgehogs 219. These are driven in rotation by the intermediary of sets of chains and pinions 224 and 225, subjected to the action of the transmission 227 to 232, which links them to the wheel 116 carried by the shaft 114.
The fingers 220, passing from front to back in their high position, cause the beets torn by the coulters 201 to rise up to the conveyor belt 251 which moves under the action of the driven roller 253, via the transmission 258. -259-260, by the superior hedgehog. During their passage over hedgehogs, beets. are violently shaken and thus freed of the soil which adheres to it.
When pulling out the first three combs, the door 264 closest to the axis of the machine is opened. The pulled beets are transported by the belt 251 to this door which forms a barrier and are led to the slide 265 from which they fall to the ground, forming a pile in a line parallel to the shelves.
When the pulling out of the first three combs is completed, the procedure is the same as for pulling out the next three combs, the projecting part of the conveyor still being turned towards the outside of the field. Care is taken, for this operation, to close the door 264 closest to the axis of the machine and to open the following one :. The? torn behteraves then fall through the corresponding opening 263, substantially on the heap which was made during the tearing of the first three combs.
Likewise, for the next three shelves, the previously opened door 264 is formed and the torn beets come out at the end of the belt 251, falling on the same pile.
There is thus obtained a single pile in a continuous line for nine torn combs, which considerably simplifies the operation of collecting the torn beets.
Continuing the work in an identical fashion, the beets are removed and pulled simultaneously by three combs in a row, forming a linear pile of beets torn off every nine combs.
If, during cornering maneuvers, for example, the wheels 103 come back or. to take different rotational speeds, the wheel which does not move back and forth or which is driven at a greater speed will act alone on the drive mechanism of the various devices, thanks to the encquements 107-108.
When the work is finished, engage the clutch in time 117 by acting on the hand lever 118 and the machine is moved forward. The connecting rod 119 is driven forwards, which has the effect of causing the levers 119 and 221 to swing back and forth. The shaft 120 pivots by driving, on the one hand, the toothed sectors 217 which, acting on the racks, raise the bar 204 of the support der. s @ ss 201 and, on the other hand, the lever 144 which, by the chain 143, rotates the shoe 137 around the axis 140, by raising its point. Shaft 123 also pivots, driving sectors 25 and 332.
These act respectively on the chains 24 and 330 which lift, on the one hand, the turning devices and, on the other hand, the rake for clearing the sheets. The clutch in time stops working automatically when the devices Including fully raised, co which
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prevents any breakage or deterioration of the lifting members.
This operation is therefore carried out without any effort and the machine can thus be transported, on the road for example, the clutch 112 having been previously disengaged by separating the shafts 111 and 114.
Instead of being constituted by an endless conveyor belt, the conveyor can be of the Arohimedes screw type, as shown in Figs. 6 to 8. In this case, a trough 266 is arranged at the top. rear of the frame 101, transversely to the longitudinal axis of the latter. This trough, which protrudes on the left of the machine of the same length as the aforementioned conveyor, rests at its outer end, as the last co, on wheels 256, a tensioner 257 ensuring the rigidity of the assembly. In addition, support legs 267, connecting the rear edge of the trough 266 to the frame 101 prevent deformation of the latter. Plate 261, allowing passage of the teeth of the last hedgehog, is fixed to the front edge of the trough.
In the trough 266 is disposed a propeller 268, the turns of which are fixed on a shaft 269 supported at three points, in a known manner, by bearings fixed in stirrups 270 (fig 7) themselves secured to bars 271 bringing together the two edges of the trough. The propeller can be driven either by means of a toothed wheel 272 wedged on the end of the shaft 269 which is to the left of the machine, this wheel being connected by a chain 273 to another wheel 274 wedged on the end of the shaft 259, or using a toothed wheel 275 wedged on the other end of the shaft 269 and connected by a chain 276, passing through a notch 277 made in the trough 266, to a wheel 278 wedged on the shaft 219 of the hedgehog closest to the rear of the machine,
or by these two means simultaneously, these drive modes being cited only by way of example.
In the lower part of the trough 266, the trough open at its end located towards the left of the machine, there are openings 279 and 280 corresponding to the openings 263 made in the side wall 255 of the conveyor described above. These openings can be closed by doors 281, articulated on the sledge 266 with the aid of hinges 282 and provided at 283 with a closing device.
When the first three combs of beet are pulled out, the door 281 is opened, closing the opening 279.
The torn beets are poured over the plate 261 into the trough 266 and are entrafnn by the helix to the opening 279 through which they fall to the ground forming a pile in a line parallel to the shelves.
For the next three shelves, the previously opened door 281 is closed and the one which closed the opening 280 is opened. The torn beets then pass through the opening 279 and fall through the opening 280, substantially on the already formed pile. . Finally, for the next three shelves, the two doors 281 are closed and the beets come to the end of the trough 266 from where they always fall on the same pile. Here, too, we obtain a single tae of beets in a row, all nine rays torn off.
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It can be seen that, thanks to the machine which has just been described, the beet pulling operation can be carried out extremely quickly and in the best possible conditions, both from the point of view of the regularity of the neckline and from the point of view. easy to collect beets torn or back cut leaves, the latter being gathered in a linear pile every three shelves.
With the machine according to the invention, it is possible to carry out, with three drivers, namely one for the tractor and two for the machine, the same work as 30 men operating by hand, the beets being able to be cut, torn or torn. cleaned at a rate of about 10 to 20 per second.
- CLAIMS -
1. Device for the turning of beets, characterized by a frame (1-2) mounted on running elements, for example wheels, on which is articulated freely, around an axis (7) perpendicular to 1 axis lon- gitudinal of said frame (2), a shoe or guide (10), for example a sheet metal plate, the lower edge (11) of which, parallel to the hinge axis (7), is capable of coming to s' press on the ground, a cutting disc (15), mounted at the end of a shaft (12-13) rotatably supported in bearings (3, 4) integral with the aforementioned shoe (10) and connected to the components of the chassis by a mechanical transmission (17, 18,19, 20) which transmits the rotational movement of the back wheels to the cutting disc (15), being placed immediately behind the shoe (10)
in a slightly inclined plane on the ground when the device rests on this dolly and passing at a short distance under the lower edge (11) of the shoe.