Groupe de machines de bureau.
Dans les systèmes connus de fiches perforées, les fiches sont perforées de telle manière que la position des trous dans les rangées verticales correspondantes indique
le chiffre considéré ou la nature de la lettre. Les différentes perforations ont entre elles la même grandeur et ont des dimensions telles que dans le système Hollerith par exemple, 1 'les balais de contact peuvent passer à travers les perforations pour atteindre les contacts conjugués situés en-dessous d'elles. En outre, les différentes perforations
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tre pour que deux contacts ne soient pas actionné s simulta- nément. Pour que les fiches restent suffisamment rigides, on est limité dans leur largeur de sorte qu'on peut disposer seulement environ 10 perforations l'une au-dessus de l'autre., Ceci suffit pour des chiffres. S'il faut perforer également des mots, il faut placer toutes les lettres et éventuellement d'autres symboles. On se tire d'affaire dans ce cas en produisant pour chaque signe (nombres, lettres et symboles) deux perforations qui se trouvent suivant le système de combinaisons dans deux rangées verticales voisines, de.sorte que la fiche devient deux fois plus longue, ou bien l'on prévoit des
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sation compliquées.
Le groupe de machines de bureau suivant la présente invention est établi de telle manière que les fiches sont pourvues de perforations qui présentent des dimensions différentes pour chaque symbole. Si par exemple les perforations sont produites sous la forme de fentes rectangulaires verticales, on choisit pour chaque symbole individuellement une longueur déterminée de la fente qui peut différer par exemple d'environ 1 mm. de la fente la plus voisine dans la longueur, suivant la matière de la fiche. En cas de perforations rondes, par exemple circulaires, il en est de même
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placer dans une seule rangée verticale, c'est à dire sur la même surface de la fiche et sans perforations doubles, les trous pour n'importe quel symbole. En cas de perforations rondes dont le diamètre correspond, suivant la présente invention, au symbole considéré, la fiche peut être employée plusieurs fois vu que plusieurs séries de trous trouvent place l'une au-dessus de l'autre.
L'utilisation, telle que l'essai, le classement, l'inscription et la mise en compte (par exemple addition et soustraction) des fiches ainsi perforées se fait au moyen . de baguettes introduites dans les perforations et, qui vont <EMI ID=5.1> inférieure, et pénètrent dans la perforation aussi profondé, ment que la dimension de la perforation le permet. La longueur de la baguette dépassant de la fiche est donc une mesure de la dimension du trou et sert à l'utilisation de la fiche. L'extrémité de la baguette a évidemment une forme différente suivant la.forme du trou, par exemple une pointe en forme de cône ou de coin. A l'aide de cette baguette, c'est à dire à l'aide de la troisième dimension, on effectue alors l'examen, le classement et l'utilisation des fiches perforées.
Les fiches sont faites en une matière de résistance appropriée,par exemple en carton, en papier durci, en bois,
en tôle métallique, en feuilles de matière synthétique, etc.. En même temps*que se fait la perforation, on peut inscrire sur la fiche le symbole considéré.
Le groupe de machines de bureau suivant la présente invention comprend les machines individuelles usuelles, la machine pour perforer les fiches, la machine d'essai, la machine de classement et la machine d'utilisation, qui peuvent naturellement être combinées ensemble dans les détails. D'autres caractéristiques de l'invention résultent de la descrip-
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au dessin, du groupe de machines de bureau suivant l'invention,
La fig. 1 montre une fiche pour l'emploi dans la machine dé bureau suivant la présente invention.
La fig. 2 montre la même fiche dans laquelle tous les symboles se 'présentant sont perforés.
La fig. 3 montre une fiche qui est perforée suivant un exemple se présentant en pratique.
La fig.4 montre une fiche d'un autre genre pour
la présente machiné de bureau, dans laquelle,comme à la fig.2, on a perforé également tous les symboles se présentant.
La fige 5 montre la machine pour perforer les fiches.
La fig. 6 montre une partie de la machine suivant la fig. 5.
La fige 7 montre une baguette qui est destinée
à l'essai des différentes perforations.
Les fig. 8 et 9 montrent un fragment de la machine de classement en vue de face et de dessus.
La fig. 10 montre une partie de la machine de classement, savoir un maillon de la chaîne de la machine de classement, avec une baguette de classement fixée dans celui-ci.
La fig. 11 montre la machine d'utilisation qui peut servir, sous une forme modifiée, comme machine d'essai.
La fig. 12 montre une partie de la fig. 11, savoir la baguette d'utilisation avec le mécanisme compteur et le mécanisme imprimeur conjugués.
On a désigné à.la fig. 1 par 1 une fiche de dimension usuelle. Elle est préparée pour les perforations suivant le présent procédé et cela par le fait qu'elle présente deux rangées de peignes se faisant vis à vis, avec autant de de dents 2 qu'il y a d'endroits à perforer. En outre, la fiche perforée �,est estampée au milieu sur toute sa longueur en 3, comme valeur de marche à vide.
Lors de la perforation, il faut alors seulement, en concordance avec la valeur considérée, trancher les dents à la hauteur correspondante. Les longueurs des différentes dents 2 de la fiche 1 ou des parties médianes vides laissées libres par elles correspondent comme on peut le voir directelebt à la fig. 3, chaque fois à la valeur d'un, chiffre ou d'une lettre déterminée.
La fiche de la fig. 2 est une fiche suivant la fig. 1 dans laquelle toutes les valeurs se présentant sont perforées dans l'ordre alphabétique et ;arithmétique.
La fig. 3 montre un exemple pratique d'une semblable fiche perforée suivant la présente invention. Suivant le mot perforé ou le nombre perforé, les dents 2 de la fiche 1 ont des longueurs différentes.
La fig. 4 montre un autre mode de perforation. Dans ce cas, les fiches sont préparées pour la perforation
de telle manière qu'entre les différentes dents 2 de la fiche 1, on entaille de haut en bas des ponts continus 4. Lors de la perforation, les extrémités antérieures des dents 2 sont découpées en concordance avec la valeur du symbole à perforer. Les ponts 4 restent toutefois intacts comme le montre la fig. 4, sur laquelle tdus les symboles se présentant sont perfo-
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à vide 3. Les ponts 4 ont pour fonction de -servir lors de l'utilisation et de l'examen des fiches décrites ci-après,
au guidage des baguettes tombantes, et lors du classement
des fiches, au guidage de celles-ci. Les lignes de délimitation entre le pont.4 et la dent 2 peuvent également être seulement perforées au lieu d'être découpées. Dans ce cas, lors de la perforation, il faut non seulement séparer la dent mais également trancher les parties pleines restantes entre les trous des petites perforations de séparation. Les dents restent toutefois reliées dans ce cas dans leur partie restante par les parties pleines des petites perforations et sont ainsi raidies.
La machine à perforer suivant les fig. 5 et 6 comporte d'abord le clavier 21 avec toutes les lettres, les symboles et une rangée pour les chiffres positifs et négatifs. Si une touche est.frappée, le poinçon perforateur 23 conjugué sort de son assise 22, passe dans un guidage 24 et frappe
la fiche 1 qui est par exemple maintenue et guidée par des galets 26. En même temps par l'arrière un appui creux 25 est appliqué contre la fiche autant que le permet la butée 29
qui sert en même temps de guidage par la partie 29a. L'appui pénètre alors dans un évidement de la planche à fiches -28, sur laquelle la fiche repose du reste et avec laquelle elle est déplacée vers l'avant. Le poinçon perforateur 23 tranche ainsi les extrémités dès dents 2. (fig. 1) à la hauteur voulue. Les parties découpées 2a tombent dans la cavité de l'appui
25 d'où elles peuvent sortir vers le bas après le retrait
de celui-ci. Les poinçons perforateurs 23 portent en même temps sur un prolongement 27 le caractère imprimé correspondant et inscrivent donc en-dessous de la perforation sur la fiche le symbole correspondant.
La fiche présente avantageusement encore des inscriptions par-dessus les différents groupes de postes.
Vient ensuite l'examen de l'exactitude de la perforation exécutée et de l'inscription des fiches. Il se fait dans une machine qui est construite de façon tout à fait analogue à la machine d'utilisation suivant la fig. 11 et dont il sera question par conséquent lors de la description de celle-ci. On mentionnera aeulement ici ce qui suit : Dans toutes les perforations de valeurs de la fiche et dans les perforations de marche à vide, on fait tomber de préférence simultanément des baguettes amincies vers le bas, dont l'extrémité inférieure correspond à la forme de la perforation. En cas de perforations en forme de fentes, on a par conséquent des baguettes en forme de coins, et en cas de perforations rondes, des baguettes coniques. Elles pénètrent à la profondeur permise par la dimension de la perforation considérée.
La fig. 7 représente une semblable baguette. 1 est la fiche à essayer représentée en coupe transversale. 31 est la baguette d'essai qui est tombée déjà dans une perforation, savoir : d'après la grandeur, celle qui correspond à la lettre
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portant sur leur arête antérieure, l'un en-dessous de l'autre, tous les symboles. Pour ne pas devoir faire les baguettes trop longues et par conséquent trop lourdes, on emploie deux .genres de baguettes, savoir celles qui présentent sur l'arête antérieure tous les chiffres avec valeurs positives et néga- <EMI ID=9.1>
antérieure, toutes les lettres de l'alphabet. Suivant que des endroits de la fiche 1 signifiant des nombres ou des endroits signifiant des lettres doivent être essayés, on insère à l'endroit correspondant de la machine d'essai une baguette portant des nombres ou une baguette portant des lettres. Devant la.rangée des baguettes, on a disposé un écran 33
les recouvrant, qui présente une fente 34 s'étendant sur toute la largeur et ayant une hauteur telle qu'elle correspond à la hauteur d'un symbole. En concordance avec la profondeur de chute, le symbole correspondant apparaît derrière la fente 34. Tous les symboles perforés de la fiche 1 apparaissent donc' en même temps dans la fente 34 et peuvent y être lus et examinés sans difficultés.
La baguette 31 présente en outre une fente 1 ongitudinale 58. Au moyen de cette fente, toutes les baguettes
31 se mettent à cheval sur un support continu disposé parallèlement à l'écran 33 (désigné par 52 à la fig. 11) qui sert au guidage de la baguette 31 lors de la chute et du soulèvement de la baguette après l'examen. La fente 32 est ouverte du bas vu que, comme on l'a mentionné, les baguettes doivent être interchangeables suivant qu'à un endroit déterminé une baguette de lettres ou une baguette de nombres est introduite dans la machine d'essai.
Pour classer alors les fiches de la manière usuelle suivant ce domaine des affaires, on emploie la machine à classer suivant les.fig. 8, 9 et 10. Elle consiste en une chaîne sans fin 62 composée de maillons 42. Chacun des mail-
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suivant la fig. 10. Sur cette figure, qui montre la baguette de classement 41 en vue de face et en coupe transversale avec le maillon de chaîne conjugué 42, on a désigné par 44 un ressort qui presse la baguette 41 contre lemaillon de chaîne
42 et la maintient ainsi. 43 est une came qui, par pression contre le ressort 43a, libère la baguette 41.
On a désigné par 61 aux fige 8 et 9 la pile des
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pour entrer dans la machine à classer. La chaîne est également capable de se déplacer en va-et-vient dans la direction de la longueur du magasin de fiche 61. Elle peut ainsi être .'Lise au point pour la valeur du poste à classer des fiches <EMI ID=12.1>
toutefois disposé de façon mobile, de préférence en-dessous de la chaîne, de sorte qu'il peut être mis au point suivant le poste à classer des fiches.
L'opération de classement s'effectue de la maniére suivante : A l'aide des rouleaux 162, une fiche 1 est glissée de la pile 61 sur le commencement 60a de la planche de classement 60. La chaîne 62 avance alors d'un cran qui correspond à la largeur d'une fiche et cela dans la direction de la flèche. Au-dessus de l'endroit 60a, se trouve disposé l'appui 69 sur lequel passe alors la came 43 du maillon considéré. Cette came est alors abaissée et de ce fait la baguette 41 est libérée et tombe alors dans la perforation de la fiche se trouvant en-dessous, jusqu'à une profondeur correspondant à la grandeur de la perforation. La chaîne avance alors d'un maillon. En même temps, une nouvelle fiche est glissée de la pile dans la machine à classer,
la baguette suivante se trouvant au-dessus est amenée à tomber et ainsi de suite. La chaîne portant les baguettes qui sont tombées et les fiches entraînées par celles-ci continue ainsi à se déplacer par saccades dans la machine à classer.
En-dessous de la planche de classement 60, se trouvent placés à des hauteurs croissantes des dispositifs de déclenchement 63. Le premier dispositif de déclenchement après l'en-droit de chute 60a est placé tellement bas qu'une baguette qui est tombée à la profondeur correspondant à la plus grande perforation et a donc la position la plus basse possible peut tout juste, actionner le dispositif de déclenchement. Le dispositif de déclenchement suivant, espacé du premier, dans la direction de la marche, d'une largeur de fiche, est placé par rapport au premier plus haut d'une quantité telle qu'il peut être actionné par la baguette qui est descendue, à la profondeur correspondant à la seconde grandeur de perforation.
Les baguettes descendues dans les.-fiches se déplacent donc avec celles-ci, au-dessus des dispositifs de déclenchement jusqu'à ce que chaque baguette ait atteint le dispositif de déclenchement correspondant à sa profondeur de chute, par conséquent à la. grandeur du trou et donc de
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la lettre considérée. Lorsqu'une baguette rencontre le dispositif de déclenchement correspondant, l'extrémité- de la baguette écarte un cliquet de blocage 64 et libère ainsi un ressort 65 comprimé et retenu arrêté jusqu'à ce moment; ce ressort repousse alors la baguette vers le haut ou la chasse à une hauteur telle qu'elle quitte la perforation^-*La baguette est maintenue dans sa position supérieure à l'aide du ressort 44 (fdg. 10) dans le maillon- de chaîne. Le ressort
65 est ensuite attiré en arrière de nouveau, par exemple à l'aide de moyens attaquant la tige 66. La fiche est ainsi devenue librement mobile. Elle.peut être transportée par
des cylindres 68 tournant constamment sous la chaîne et est envoyée dans le compartiment de dépôt 67. De cette manière, toutes les fiches:sont classées pas à pas à l'intérieur d'une valeur de poste déterminée suivant la valeur du symbole considéré. Toutes les fiches sont donc classées par exemple .suivant la lettre initiale des noms des clients.' Toutes les <EMI ID=14.1> initiale sont alors classées d'après la seconde lettre du
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en ordre suivant les différents noms des clients.
Alors se produit l'utilisation des fiches, c'est à dire l'inscription, la mise en compte, etc.. Ceci se fait dans la machine d'utilisatiori qui est représentée en vue
de face à la fig. 11, tandis que la fig. 12 montre en vue
de côté une baguette employée dans la machine d'utilisation avec les dispositifs conjugués.
La machine d'utilisation se distingue .comme.on l'a mentionné plus haut, de la machine d'essai seulement par quelques détails. La machine d'utilisation comprend essentiellement le porte-baguettes 52, les baguettes 71 montées sur celui-ci suivant la fig. 12 avec les mécanismes compteur et imprimeur conjugués 57, 54, 55 et un dispositif 73,74 pour le soulèvement de la baguette tombée.
La machine d'utilisation ou la machine d'essai fonctionne de telle manière que la fiche 1 à utiliser ou à essayer est introduite dans la machine. Au-dessus d'elles^, se trouvent autant de baguettes que la fiche possède de postes. Toutes les baguettes.sont libérées et tombent dans les fentes conjuguées et cela à une profondeur qui correspond à la dimension de celles-ci. Dans le cas d'emploi comme machine d'essai, on emploie des baguettes suivant la fig. 7. Des mécanismes imprimeurs et compteurs ne sont naturellement pas néces-
s aires ici. Dans ce cas, comme on l'a mentionné plus haut,
on a disposé devant les baguettes 31 un écran 33 dans la fente transversale 34 duquel les nombres 'ou les mots perforés apparaissent.
Dans le cas de la machine d'utilisation, on emploie des baguettes suivant la fig. 12. Ces dernières consistent
en une partie amincie vers le bas 51, en deux lames dentées
56 et 56a, en un mécanisme compteur 57 et en un mécanisme imprimeur 54,55. Les lames dentées et les compteurs conjugués sont naturellement nécessaires seulement pour les baguettes
(baguettes de calcul) qui tombent dans les perforations
de la fiche, lesquelles correspondent à des nombres à mettre en compte. Les deux lames dentées 56 et 56a sont décalées l'une par rapport à l'autre. La lame dentée 56 située le plus à l'intérieur correspond aux nombres positifs, la lame dentée 56a aux nombres.négatifs. Le mécanisme imprimeur
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les de caractères 58 et en un cylindre d'impression 55. Dès que les baguettes sont tombées à la profondeur prescrite par la grandeur du trou, les mécanismes compteurs 57 prévus pour les baguettes de calcul sont avancés et viennent en prise ainsi avec les lames dentées 56 ou 56a de la baguette. En outre, le mécanisme imprimeur est actionné de sorte que les symboles correspondants sont imprimés sur la feuille de papier,tendue sur le cylindre 55. Ensuite, toutes les baguettes sont soulevées simultanément, avec guidage par le� supporta 52. Ceci se fait par exemple à l'aide
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vement, les lames dentées 56 ou 56a font avancer le compteur conjugué 57 d'un nombre de. dents correspondant. D'une manière connue, on obtient, par l'ordre de succession renversé des nombres négatifs par rapport aux nombres positifs et
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tion se transmettent au compteur de la manière correcte malgré le même sens de rotation. Dès que les toutes les baguettes sont parvenues à la partie supérieure et sont ancrées à l'aide d'un dispositif de retenue 59 et 59a, la fiche est libérée et peut être remplacée par une nouvelle, après quoi l'ensemble de l'opération se répète.
Dans ce qui précède, le dispositif suivant la présen- ' te invention, en particulier la machine d'essai ou d'utili-
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que; il va de soi qu'on peut prévoir également à la place de ce mode d'actionnement, un mode de travail fonctionnant par voie photo-électrique. Dans ce cas, la fiche est posée
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cellules que la fiche a de postes. Suivant la grandeur des trous, et par conséquent suivant la valeur et,la nature du symbole, la photo-cellule se trouvant en-dessous est irradiée avec une intensité différente lors de l'éclairage. Les valeurs de courant différentes ainsi obtenues sont alors employées pour l'examen et l'utilisation des fiches.
Group of office machines.
In known systems of punched cards, the cards are punched in such a way that the position of the holes in the corresponding vertical rows indicates
the number considered or the nature of the letter. The different perforations have the same size between them and have dimensions such that in the Hollerith system for example, the contact brushes can pass through the perforations to reach the mating contacts located below them. In addition, the various perforations
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be so that two contacts are not actuated simultaneously. In order for the cards to remain sufficiently rigid, their width is limited so that only about 10 perforations can be placed one above the other. This is sufficient for numbers. If words need to be punched as well, all letters and possibly other symbols must be placed. We get out of the situation in this case by producing for each sign (numbers, letters and symbols) two perforations which are located according to the system of combinations in two neighboring vertical rows, so that the card becomes twice as long, or well we are planning
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complicated situation.
The group of office machines according to the present invention is established in such a way that the cards are provided with perforations which have different dimensions for each symbol. If, for example, the perforations are produced in the form of vertical rectangular slits, a determined length of the slit is chosen for each symbol individually, which may differ, for example, by approximately 1 mm. of the nearest slit in the length, depending on the material of the plug. The same applies to round perforations, for example circular perforations.
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place in a single vertical row, ie on the same surface of the card and without double perforations, the holes for any symbol. In the case of round perforations, the diameter of which corresponds, according to the present invention, to the symbol considered, the card can be used several times since several series of holes are placed one above the other.
The use, such as the testing, classification, recording and counting (for example addition and subtraction) of the cards thus punched is done by means. rods introduced into the perforations and, which go <EMI ID = 5.1> lower, and penetrate the perforation as deep as the size of the perforation allows. The length of the stick protruding from the plug is therefore a measure of the size of the hole and is used in the use of the plug. The end of the rod obviously has a different shape depending on the shape of the hole, for example a tip in the shape of a cone or a wedge. Using this rod, ie using the third dimension, the examination, classification and use of the perforated cards are then carried out.
The plugs are made of a material of suitable strength, for example cardboard, hardened paper, wood,
in metal sheet, in sheets of synthetic material, etc. At the same time as the perforation is made, the symbol in question can be entered on the card.
The group of office machines according to the present invention includes the usual individual machines, the card punch machine, the testing machine, the filing machine and the using machine, which can of course be combined together in detail. Other characteristics of the invention result from the description
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in the drawing, of the group of office machines according to the invention,
Fig. 1 shows a sheet for use in the office machine according to the present invention.
Fig. 2 shows the same card in which all the symbols appearing are perforated.
Fig. 3 shows a card which is perforated according to an example arising in practice.
Fig. 4 shows a plug of another kind for
the present office machine, in which, as in fig.2, all the symbols appearing have also been perforated.
Fig. 5 shows the machine for punching the cards.
Fig. 6 shows part of the machine according to FIG. 5.
Fig. 7 shows a wand which is intended
testing the different perforations.
Figs. 8 and 9 show a fragment of the filing machine in front and top view.
Fig. 10 shows part of the grading machine, namely a link in the chain of the grading machine, with a grading rod fixed therein.
Fig. 11 shows the operating machine which can serve, in a modified form, as a testing machine.
Fig. 12 shows part of FIG. 11, namely the use rod with the counter mechanism and the printing mechanism combined.
It has been designated in fig. 1 by 1 a sheet of usual size. It is prepared for the perforations according to the present process and this by the fact that it has two rows of combs facing each other, with as many teeth 2 as there are places to perforate. In addition, the perforated plug �, is embossed in the middle over its entire length at 3, as idle value.
When perforating, it is only then necessary, in accordance with the value considered, to cut the teeth at the corresponding height. The lengths of the different teeth 2 of the sheet 1 or of the empty middle parts left free by them correspond as can be seen directly in FIG. 3, each time to the value of a given number or letter.
The plug of fig. 2 is a sheet according to FIG. 1 in which all the values occurring are punched in alphabetical and arithmetic order.
Fig. 3 shows a practical example of such a perforated plug according to the present invention. Depending on the perforated word or the perforated number, the teeth 2 of the sheet 1 have different lengths.
Fig. 4 shows another mode of perforation. In this case, the cards are prepared for punching
in such a way that between the different teeth 2 of the sheet 1, continuous bridges 4 are cut from top to bottom. During the perforation, the front ends of the teeth 2 are cut out in accordance with the value of the symbol to be perforated. The bridges 4 however remain intact as shown in FIG. 4, on which all the symbols appearing are perforated
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empty 3. The function of the bridges 4 is to-serve when using and examining the cards described below,
guiding falling rods, and during classification
files, to guide them. The boundary lines between bridge 4 and tooth 2 can also only be punched out instead of being cut out. In this case, during the perforation, it is not only necessary to separate the tooth but also to cut off the solid parts remaining between the holes of the small separating perforations. In this case, however, the teeth remain connected in their remaining part by the solid parts of the small perforations and are thus stiffened.
The perforating machine according to fig. 5 and 6 first comprises the keyboard 21 with all the letters, symbols and a row for positive and negative numbers. If a key is struck, the conjugate perforator punch 23 comes out of its seat 22, passes through a guide 24 and strikes
the plug 1 which is for example held and guided by rollers 26. At the same time from the rear a hollow support 25 is applied against the plug as much as the stop 29 allows.
which serves at the same time as a guide by the part 29a. The support then penetrates into a recess of the sheet board -28, on which the sheet otherwise rests and with which it is moved forward. The perforating punch 23 thus slices the ends of the teeth 2. (FIG. 1) at the desired height. The cut parts 2a fall into the cavity of the support
25 from where they can come out down after removal
of it. The perforating punches 23 carry at the same time on an extension 27 the corresponding printed character and therefore write the corresponding symbol below the perforation on the card.
The sheet advantageously still has inscriptions over the different groups of positions.
Then comes the examination of the accuracy of the perforation performed and the registration of the cards. It is carried out in a machine which is constructed in a completely analogous fashion to the operating machine according to FIG. 11 and which will therefore be discussed in the description thereof. The following will only be mentioned here: In all the perforations of values of the plug and in the idling perforations, preferably simultaneously thinned rods are dropped downwards, the lower end of which corresponds to the shape of the perforation. In the case of perforations in the form of slots, there are therefore wedge-shaped rods, and in the case of round perforations, conical rods. They penetrate to the depth permitted by the dimension of the perforation considered.
Fig. 7 represents a similar rod. 1 is the plug to be tested shown in cross section. 31 is the test rod which has already fallen into a perforation, namely: according to the size, that which corresponds to the letter
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bearing on their anterior edge, one below the other, all the symbols. To avoid having to make the chopsticks too long and therefore too heavy, two types of chopsticks are used, namely those which present on the anterior edge all the figures with positive and negative values - <EMI ID = 9.1>
previous, all letters of the alphabet. Depending on whether places of sheet 1 signifying numbers or places signifying letters are to be tested, a rod bearing numbers or a rod bearing letters is inserted at the corresponding place of the test machine. In front of the row of chopsticks, we have placed a screen 33
covering them, which has a slot 34 extending over the entire width and having a height such that it corresponds to the height of a symbol. In accordance with the depth of fall, the corresponding symbol appears behind the slot 34. All the perforated symbols of the card 1 therefore appear at the same time in the slot 34 and can be read and examined there without difficulty.
The rod 31 also has a longitudinal slot 1 58. By means of this slot, all the rods
31 are placed astride a continuous support arranged parallel to the screen 33 (designated by 52 in FIG. 11) which serves to guide the rod 31 during the fall and the lifting of the rod after the examination. The slot 32 is open from the bottom since, as mentioned, the sticks must be interchangeable depending on whether a letter stick or a number stick is introduced into the testing machine at a specific location.
To then classify the files in the usual way according to this field of business, the classifying machine is used according to fig. 8, 9 and 10. It consists of an endless chain 62 made up of links 42. Each of the mail-
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according to fig. 10. In this figure, which shows the filing rod 41 in front view and in cross section with the conjugate chain link 42, 44 is designated a spring which presses the rod 41 against the chain link.
42 and keeps it that way. 43 is a cam which, by pressure against the spring 43a, releases the rod 41.
We denote by 61 in figs 8 and 9 the stack of
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to enter the filing machine. The chain is also able to move back and forth in the direction of the length of the record store 61. It can thus be read in point for the value of the item to classify records <EMI ID = 12.1>
however disposed in a movable manner, preferably below the chain, so that it can be developed according to the station to classify files.
The classification operation is carried out as follows: Using the rollers 162, a record 1 is slipped from the stack 61 onto the beginning 60a of the classification board 60. The chain 62 then advances one notch which corresponds to the width of a form and this in the direction of the arrow. Above the location 60a, there is disposed the support 69 on which then passes the cam 43 of the link in question. This cam is then lowered and therefore the rod 41 is released and then falls into the perforation of the plug located below, to a depth corresponding to the size of the perforation. The chain then advances by one link. At the same time, a new card is slipped from the stack into the filing machine,
the next rod above it is caused to drop and so on. The chain carrying the chopsticks which have fallen and the cards driven by them thus continues to move jerkily in the classifying machine.
Underneath the filing board 60, there are placed at increasing heights the trigger devices 63. The first trigger device after the fall end 60a is placed so low that a stick which has fallen to the ground. depth corresponding to the largest perforation and therefore in the lowest possible position can just actuate the trigger device. The next trigger device, spaced from the first, in the direction of travel, by a plug width, is placed relative to the first higher by an amount such that it can be actuated by the rod which is lowered, at the depth corresponding to the second size of perforation.
The rods lowered in les.-plugs therefore move with them, above the triggering devices until each rod has reached the triggering device corresponding to its depth of fall, therefore to the. size of the hole and therefore
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the letter considered. When a rod encounters the corresponding trigger device, the end of the rod pushes aside a locking pawl 64 and thus releases a spring 65 compressed and held stopped until that moment; this spring then pushes the rod upwards or flushes it to a height such that it leaves the perforation ^ - * The rod is held in its upper position by means of the spring 44 (fdg. 10) in the link- of chain. The spring
65 is then drawn back again, for example using means attacking the rod 66. The plug has thus become freely movable. It can be transported by
cylinders 68 constantly rotating under the chain and is sent to the deposit compartment 67. In this way, all the files: are classified step by step within a station value determined according to the value of the symbol considered. All the files are therefore classified, for example. Following the initial letter of the names of the customers. ' All initial <EMI ID = 14.1> are then ordered according to the second letter of the
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in order according to the different names of the customers.
Then occurs the use of the cards, that is to say the registration, the entry into account, etc. This is done in the user machine which is represented in view.
facing in fig. 11, while fig. 12 shows in view
aside a wand used in the use machine with the conjugate devices.
The operating machine is distinguished, as mentioned above, from the testing machine only in a few details. The machine for use essentially comprises the chopsticks holder 52, the chopsticks 71 mounted thereon according to FIG. 12 with the counter and printer mechanisms combined 57, 54, 55 and a device 73, 74 for lifting the fallen rod.
The operating machine or the testing machine operates in such a way that the plug 1 to be used or tested is inserted into the machine. Above them, there are as many rods as the card has positions. All the rods are released and fall into the conjugated slots and this to a depth which corresponds to the dimension of these. In the case of use as a testing machine, sticks are used according to fig. 7. Printing and counting mechanisms are naturally not required.
s areas here. In this case, as mentioned above,
a screen 33 has been placed in front of the rods 31 in the transverse slot 34 from which the numbers' or the perforated words appear.
In the case of the operating machine, sticks are used according to fig. 12. The latter consist
in one part thinned down 51, in two toothed blades
56 and 56a, in a counter mechanism 57 and in a printing mechanism 54,55. Toothed blades and conjugate counters are naturally needed only for rods
(calculating sticks) that fall into the perforations
of the form, which correspond to numbers to be taken into account. The two toothed blades 56 and 56a are offset from one another. The innermost toothed blade 56 corresponds to the positive numbers, the toothed blade 56a to the negative numbers. The printing mechanism
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the characters 58 and in a printing cylinder 55. As soon as the rods have fallen to the depth prescribed by the size of the hole, the counter mechanisms 57 provided for the calculation rods are advanced and thus come into engagement with the toothed blades 56 or 56a of the wand. Furthermore, the printing mechanism is actuated so that the corresponding symbols are printed on the sheet of paper, stretched over the cylinder 55. Then all the rods are lifted simultaneously, with guidance by the � supporta 52. This is done for example using
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Eventually, the toothed blades 56 or 56a advance the conjugate counter 57 by a number of. matching teeth. In a known manner, we obtain, by the reverse order of succession, negative numbers with respect to positive numbers and
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tion are transmitted to the meter in the correct way despite the same direction of rotation. As soon as all the rods have reached the top and are anchored using a retainer 59 and 59a, the plug is released and can be replaced with a new one, after which the entire operation repeating itself.
In the foregoing, the device according to the present invention, in particular the testing machine or
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than; It goes without saying that one can also provide instead of this mode of actuation, a working mode operating by photoelectric means. In this case, the plug is placed
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cells that the form has positions. Depending on the size of the holes, and therefore depending on the value and the nature of the symbol, the photo-cell located below is irradiated with a different intensity during lighting. The different current values thus obtained are then used for the examination and use of the plugs.