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Machine à aiguiser les outils. priorité de la demande de brevet correspondante en Allemagne,
Les machines à aiguiser les outils,connues jusqu'à, pré- sent, sont presque toutes conçues comme suit: en regard d'une meule à aiguiser, montre de manière fixe, se trouve une table horizontale qui peut se déplacer dans la direction de l'axe de la meule à aiguiser et qui porte le palier ou lit, rotatif sur un axe vertical, d'un chariot horizontal. Ge chariot est facilement mobile sur le lit dans le sens longitudinal et por- te les divers organes de fixation susceptibles de se déplacer de différentes manières et notamment, aussi sur un axe vertical de l'outil qui doit être aiguisé.
Quand on doit aiguiser, sur
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ces mschines, des -pièces cylindriques, par exemple des alésoirs, il. est nécessaire que leur axe soit exactement parallèle à la direction du mouvement du chariot horizontal, car dèsque l'on s'écarte le moins du monde de ce pa rallélis- me, ces pieees prennent de la conicité à l'aiguisage. On ne peut pratiquement vérifier l'exactitude de ce,réglage qu'avec des instruments de mesure, par exemple à l'aide d'indicateurs de contact, ce qui est incommdeet demande du temps.
Ensuite, ce réglage, qui convient pour les pièces cylindriques, doit être modifié pour l'aiguisage des pièses d'autres formes. par exemple des pièces; coniques, de sorte qu'il n'est pa s ,parexemple, possible/de l'établir une fois pour toutes avec la précision requise, un autre inconvénient des réalisations effectuées jusqu'à présent est que le chariot et les organes de fixation qui s'y trouvent montés constituent une masse relativement grande, qu'il faut entraîner lors du déplacement de la pièce d'ouvrage en sens longitudinal,, ce qui réduit la sensibilitz de ce mouvement.
Selon l'invention, on porte remède à ces inconvénients par le fait que, sur le chariot, qui peut pivoter sur un axe vertical (dans le trein des divers organes de réglage de la pièce d'ouvrage, suivant'les/organee de réglage qui comportent'd'au- tres axes de rotation verticaux) se trouve un autre chariot qui peut se mouvoir facilement dans le sens de sa longueur.
Quand on doit aiguiser des pièces d'ouvrage oylindriques, il faut les fixer à l'aide d'organes de fixation appropriés, de manière queleur axe soit parallèle au sens longitudinal du second chariot, et il faut caler le premier chariot de maniè- re que seul le second soit mobile. On arrive par un moyen simple à obtenir la position précitée des pièces d'ouvrage par rapport à ce chariot, en ne faisant agir entre le chariot et la pièce d'ouvrage que les organes de réglage et de fixa-
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/ nécessaire tion qui assurent le .parallélisme ;.et qui ne modifient pas ce dernier quand on les déplace.
Comme la masse du second chariot et des quelques organes de fixation se trouva nt dessus est peu considérable,on obtient, avec ce genre de construction , une bonne, sensibilitén lors du déplacement des pièces d'ouvrage en sens longitudinal.
Le dessin montre schématiquement un exemple de réalisa- tion de l'invention.
Le figure 1 est une vue latérale d'une machine à aigui- ser les coutils conforme à l'invention;
La figure 8 est une vue en plan de dessus de la même.
Sur une plaque d'assise 1 est fixé un bâti 2, dans le- quel est menthe, suivant le mode connu, l'axe de la meule à aiguiser 3. Comme instrument daiguisage, on se sert, en l' oc -currence, d'une meule à aiguiser 4 en forme de @%peau. Les éléments. destinés à recevoir la pièce d'ouvrage,se trouvent également sur la plaque d'assise!;
ils consistent tout d'a- bord en une table. 5 qui peut se mouvoir dans la direction de l'axe de la meule et qui sert à donner à la pièce d'ouvrage la position horizontale par rapport à la meule à aiguiser. sur cette table se trouve un dispositif rotatif 6. qui est conçu sous forme de palier 6a pour un chariot 7 destina à permettre le mouvement en sens longitudinal de la pièce d'ouvrage et qui permet en même temps de donner à ce chariot une inclinaison sur l'axe de la meule à aiguiser, sur le chariot 7, qui peut être calé dans une position quelconque sur le palier 6a grâce à des buttes mobiles 27 et une saillie 28, se trouve le colonne 8 dont la partie supérieure peut se déplacer sur un axe vertical par rapport à son pied 8a,
pour permettre l'aiguisage des outils coniques. La colonne peut, en outre, tre déplacée dans le sens longitudinal du chariot 7, pour
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le cas oà la longueur des pièces à aiguiser dépasse la zone de déplacement du chariot 7.
Sur un guide de coulissement vertical de la colonne 8 est monté un support 9, dont le hauteur peut être réglée avec exactitude à l'aide d'une broche 11 engageant un écrou fixe 10 et d'un volant 12. sur ce support est montée (en vue d'incliner les pièces d'ouvrage sur l'horizontale) un corps 13 qui peut se déplacer sur un axe horizontel 14 et qui tient, par l'intermédiaire d'un axe 15, le palier 16 du porte-pièce proprement dit 17, qui est conçu sous forme de second chariot. Ce chariot peut aussi, grâce à des butées amovibles 37 et une saillie 38. être calé' dans une posi- tion quelconque par repport au palier 16.
Sur le porte-pièce 17 se trouvent prévus, de manière connue, un dispositif de .par exemple, fixation rotatif 18 et une poupée 19, entre lesquels/se trouve un alésoir 20. pour aiguiser des pièces d'ouvrage oylindriques, on doit tout d'abord caler le chariot 7 à l'aide des butées 27 et, ensuite, à l'aide des dispositifs rotatifs 6 ou 8a, régler l'axe de la pièce d'ouvrage de manière qu'il forme, avec la surfs ce d'aiguisage 4a de la meule à aiguiser,l'an- gle désiré, qu'il soit donc à peu près parallèle à oelle-oi.
Ainsi que le montre la figure 2, le position du chariot 7 est alors indifférente. La figure 2 montre, en outre, que pour obtenir un aiguisage parfaitement cylindrique des piè- ces d'ouvrage, la seule condition prédominante est l'exacti- tude avec la quelle l'axe de la pièce l'ouvrage est réglé pa- rallèlement à la direction du mouvement du chariot 17. cette exactitude peut être obtenue et maintenue en permanence en donnant, lors de la fabrication, de la précision aux par- ties 16 à 19 et par la présences sur ces parties, de faces car rapportées ou de dispositions analogues./ces parties ne doi- vent pas être amovibles en soi.
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pour aiguiser des pièces coniques, il faut, inverse- ment, caler le chariot 7 et effectuer le mouvement longitu- dinal des pièces d'ouvrage à l'aide du chariot 7.