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" Perfectionnements apportés aux systèmes de changement de vi-
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du type continu t1.
L'invention est relative aux systèmes de changement de vitesse du type continu ou progressif, plus spécialement à embiellages, tels que ceux décrits dahs le brevet Belgique N
412.795, déposé le 14 décembre 1935, lesquels systèmes compren- nent, d'une façon générale, en combinaison avec au moins un ar- bre moteur, un certain nombre de dispositifs cinématiques ou trains d''embiellage dont chacun est susceptible de transmet- tre le mouvement dudit arbre moteur, pendant une portion de tour de celui-ci et avec un rapport de trànsmission variable de façon progressive, lesdits trains étant convenablement dé- calés les uns par rapport aux autres de façon qu'on puisse, cô- té réception, reconstituer à l'aide des diverses phases d'en- traînement se succésant dans un ordre convenable, un mouvement 3 substantiellement continu.
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Elle ; pour but, surtout, de rendre ces systèmes tels, qu'ils conduisent à un encombrement moindre que jusqu'à présent.
Elle consiste, principalement, dans les systèmes du genre en question-- au lieu d'associer les divers dispositifs cinématiques ou trains d'embiellage avec autant de manetons disposes en série, par exemple sur un arbre vilebrequin moteur -- à. associer à un même meneton au moins deux trains d'embiel- lage reliés de façon telle, au système récepteur, que les phases d'entraînement correspondant à ces deux trains se suc- cèdent dans un ordre convenable, comme dans la solution usuelle.
Elle comprend, mise à part cette disposition prin- cipale, certaines autres dispositions qui s'utilisent de pré- férence en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après, notamment, une deuxième d'spostion consistant, dans les systèmes du gerre en question, à faire attaquer respectivement, par au moins deux trains d'embiellage, des arbres récepteurs dont les ::louve' ents soient conjugués entre eux, le tout étant de préférence réalisé suivant la disposition susénoncée.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'ap- plication, ainsi que certains modes de réalisation, desdites dispositions; et elle vise, plus particulierement encore et ce à titre de produits industriels nouveaux, les systèmes du genre en question comportant application de ces mêmes disposi- tions, leéléments suéciaux propres à leur établissement, insi que les ensembles, fixes ou mobiles, comprenant de sem- blables systèmes.
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins ci-annexés, lesquels complément et dessins ne sont, bien entendu, donnés surtout qu'à titre d'indication.
Les fig. 1 et 2 montrent, respectivement en éléva- ; tion (projetée perpendiculairement aux axes moteur et récep- @
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teurs supposés parallèles), et en coupe selon II-II fig. 1, l'ensemble d'un arbre moteur et d'un système pour transmettre le mouvement de cet arbre, avec un rapport variable de façon progressive, ledit ensemble étant établi coir,'ormément à l'in- vention.
Les fig. 3 et 4 montrent, en élévation, un ensemble ' deux autres modes de réalisation de du même genre établi conformément à l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement delon ceux de ses modes d'application, ainsi que ceux des 'modes de réali- sation de s es diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant,par exemple d'éta- blir un système de changement de vitesse pour transmettre le mouvement d'un arbre moteur 1, à un arbre récepteur 2, avec un rapport variable de façon progressive,'on s'y prend comme suit ou de façon analogue.
Il existe déjà des systèmes de ce genre, notamment à plusieurs trains d'embiellage ; en particulier, on a décrit, dans le brevet Belgique sus-rappelé, un système comprenant est sentiellement un certain nombre de trains d'embiellage consti- tués chacun, comme reproduit schématiquement sur lesdessins ci-annexés, par une bielle motrice 3 articulée sur un maneton de l'arbre moteur, cette bielle venant attaquer en 4 une mani- velle d'accouplement 5 qui pivote autour.d'un pivot mobile 6, de la position duquel dépend le rapport de transmission, laquel- le manivelle d'accouplement 5 tient entraîner à son tour, par l'intermédiaire d'une bielle réceptrice 7, une manivelle 8 susceptible d'attaquer, par un dispositif d'entraînement par roue libre 9, 10, l'arbre récepteur.
Chaque train ainsi constitué est susceptible de transmettre le mouvement ponçant une fraction de tour de l'ar- bre moteur, par exemple au moins 900,'de sorte que, comme on le conçoit, on peut obtenir, côté réception, un mouvement continu , si l'on adopte un nombre de trains convenable et si on les dé- cale les uns par rapport aux autres (quatre trains décalés de
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dans lecas considéré).
Jusqu'à présent, on a réalisé un tel montage en uti- lisant, d'une part, un vilebrequin moteur comprenant autant de manetons que de irains d'embiellage, ces manetons étant donc montés les uns à la suite des autres et décalés de l'angle convenable, et, d'autre part, un arbre récepteur attaqué par les- dits trains à l'aide d'autant de roues libres.
Otte solution peut, dans certaines applications, conduire à un encombrement exagéré,, du fait que la longueur axiale du méc nisue -- c'est--dire le long de l'arbre moteur -- est égaleà au .soins quatre fois la longueur axiale d'un train d'embiellage.
C'est un des buts de la présente invention de per- mettre de réduire l'encombrement axial.
A cet effet et s elon la disposition principale de ladite invention, on vient associer, à un même maneton de l'arbre moteur 1, au moins deux trains d'embiellage, que l'on combine à un système récepteur tel que, bien entendu, on puisse assurer la transmission correcte des mouvements des- dits trains.
Il suffira, pour réaliser ces conditions -- et selon une autre disposition de l'invention susceptible, le cas éché- ant, d'être utilisée isolément-- de faire coagir les deux susdits trains d'embiellage (ou davantage) respectivement avec des arbres récepteurs correspondants tels que 21, 2, arbres dont on conjugue les mouvements par tous moyens appropriés en- grenages, chaînes, comme représenté en 15 fig. 2, bielles d'ac- couplement, etc.)
De préférence, l'ensemble sera -rait tel que les di- vers arbres récepteurs soient entraînés à la même vitesse, les trains d'embiellage étant donc identiques et les déplacements de-leurs pivots 6 étant bien entendu commandés en conséquence.
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Dans le cas où l'on se contente (dans l'hypothèse ' de quatre trains d'embiellage), d'attaquer deux trains par un même maneton (fig. 1 et 2), on voit déjà que l'encombrement axial (fig. 2) est réduit de moitié, l'arbre vilebrequin ne comprenant plus que deux manetons.
Maison pourrait encore le réduire en attaquant les quatre trains pa un même maneton, comme représenté sur la fig.
4; l'encombrement n'est plus alors que de la longueur axiale d'un train, et l'arbre moteur ne comprend que ledit maneton.
Bien entendu, les dispositions respectives des divers-arbres récepteurs peuvent être modifiées, pourvu que les effets cinématiques et mécaniques soient respectés; c'est ainsi que, supposant qu'on attèle deux trains sur un même mane- ton,'on pourra les disposer, par exemple, soit à 180 (fig.l .'et 2), soit à 90 (fig. 3) .
On pourrait également, partant encore de la disposi- tion des fig. 1 et 2, avec quatre trains d'embiellage combinés à deux arbres récepteurs à 180 , ou de celle de-la fige 3, avec quatre semblables trains combinés à deux arbres récepteurs à
90 , multiplier l'ensemble de façon à prévoir, par exemple, si huit trains d'embiellage sont utilisés, quatre arbres ré- cepteurs aux quatre points cardinaux, lesquels quatre arbres on conjugue, soit tous ensemble, soit deux à deux, l'ensemble pouvant, si on le désire, s'atteler à deux manetons seulement sur l'arbre moteur de sorte que, ici encore, l'encombrement axial de l'ensemble puisse se réduire à deux fois 1'encombre- ment d'un train d'embiellage.
Un tel ensemble, si l'on conjugue seulement deux à deux les arbres récepteurs, est équivalent à deux groupes ré- depteurs complets pour lesquels on peut, éventuellement et se- lon une disposition, décrite dans une demande déposée concur- remment. et aux mêmes noms, commander indépendamment les rapports ; de transmission.
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Pour ce qui est, dans chaque cas, des moyens pour commander les déplacements des pivots ô des embiellages appar- tenant 8. un même groupe récepteur -- déplacements qui sont par exemple faits circulaires, les pivots étant portés par des le- viers 13 articulés autour d'axes 121 122 eux-mêmes convenable- '.ent décalas -- on peut les réaliser à l'aide de commandes mécaniques, pneumatiques, hydrauliques, électriques ou autres, et on s'arrange bien entendu pour que les vitesses transmises aux arbres récepteurs conjugués demeurent constantes ou de même rapport.
Prenant.par exemple le cas des fig. 1 et 2, ou 3, il suffira que les leviers13 reçoivent tous le même mouvement, étant par exemple portés par les arbres 121, 122 reliésentre eux par des liaisons cinématiques illustrées sur le dessin- en 16, 17.
Enfin, concernant les dispositif d'entraînement, uni- latéral, indi qués avec quelques détails sur la fig. 1, où ils sont supposés réalisés selon les dispositions déjà anté- rieure ent basses par liesdemandeurs et à utiliser de préfé- re .ce, ils consistent essentiellement, chacun, en deux surfa- ces de roulement 9, 10, susceptibles de rouler l'une sur l'au- tre dans un sens ou dans l'autre, selon le sens du mouvement alternatifde la mani.ve le 8,
l'une de ces surfaces 10 étant susceptible d'chtraîner l'arbre récepteur correspondant grâce à l'int rposition d'obstacles ou cales14 s'opposant au rou- lement des ites surfaces, pour l'un des deux sens de roule- :lent.
Selon la réalisation représentée, chaque manivelle 8 coagit avec deux surfaces 10 respectivement poitées par des coulonnes 11 calées sur l'arbre récepteur; ainsi que visible sur la fig. 2, deux surfaces 10 coagissant avec deux embiella- ges voisins d'un même t.c'8,:;¯n réceJ:lteur peuvent.être prévus sur une même couronne 11.
En suite de quoi, quel que soit le mode de réalisa-
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't'ion adopté, on obtient un ensemble dont le fonctionnement est suffisamment évident pour qu'il soit inutile d'insister à son sujet et qui présente, par rapport aux systèmes du genre en question déjà existants, de nornbreus avantages, notamment celui de réduire l'encombrement au minimum.
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux deses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation'de ses diverses parties, ayant été plus spécia-, lement envisagés ; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.
RÉSUMÉ.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.