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Tube métallique doublé de papier, procédé pour'le fabriquer et dispositif pour protéger son contenu
Les tubes métalliques, même ceux faits en étain pur, présentent certains inconvénients. Sans parler des tubes de plomb ordinaires qui sont très toxiques, dont l'aspect s'altère rapidement par oxydation et qui n'ont aucune résistance, même les tubes de plomb étamé et les tubes d'aluminium présentent les inconvénients précités. Parmi ces inconvénients figure aussi le manque d'étanchéité à l'air à l'extrémité d'emplissage età l'extrémité de sortie, qui résulte sans doute en premier
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lieu de la nature métallique de la matière elle-même. On fabrique ces tubes métalliques à la pièce en une série d'o- pérations.
Contrairement à ceci, le tube métallique faisant l'objet de l'invention et décrit ci-après, qui peut-être.fait par exemple en aluminium, réunit en lui tous les avantages connus sans présenter les inconvénients mentionnés. Ce tube métallique est peu coûteux, il a une belle apparence, même notablement plus agréable que celle des tubes d'étain, par exemple du fait qu'il est très simple de fabriquer des tubes dorés et qu'il est possible d'employer divers procédés d'im- pression comme l'impression par formes en creux, l'héliogra- vure et l'impression par formes en relief, ainsi qu'éventuel- lement l'estampage ou repoussage. D'autre part ce tube n'est pas attaqué par les substances y contenues, quelle que soit leur nature, à condition qu'il soit imprégné de manière ap- propriée et sous ce rapport il est aussi supérieur aux tubes d'étain.
Enfin, on fabrique les nouveaux tubes non pas à la pièce, comme les tubes métalliques employés jusqu'ici, mais à partir d'un rouleau sans fin, éventuellement jusqu'à l'achèvement du tube. Toutefois, pour de petits lots, il est aussi possible de procéder à une fabrication à la pièce. Le manque d'étanchéité connu des tubes métalliques employés jusqu'ici n'existe pas non plus dans ce nouveau tube métallique.
A la différence des tubes métalliques employés jusqu'ici, le tube métallique conforme à l'invention se com- pose d'une douille de tôle mince enroulée qui contient une doublure de papier ou autre matière appropriée, également' enroulée, filée ou fabriquée de toute autre manière. Pour fa- briquer ce tube, on peut employer divers procédés dont quel- ques-uns sont décrits ci-après.
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L'invention consiste essentiellement à vernir de manière continue de la tôle mince, par exemple de la tôle d'aluminium, en rouleau, puis à l'imprimer en une ou plusieurs couleurs par tout procédé d'impression voulu, éventuellement aussi la repousser, et à relier, c'est-à-dire coller, ce rou- leau de tôle à une bande de papier sans fin, de préférence préalablement imprégnée, de telle manière que les bords lon- gitudinaux reliés entre eux se recouvrent dans une certaine mesure. Puis on enduit de colle la bande ainsi obtenue et on l'enroule en forme de douille de manière que le papier cons- titue la partie intérieure de la douille.
On peut aussi en- rouler coniquement les douilles ainsi fabriquées, pour s'épar- gner le façonnage à la presse d'un col à épaulement, et dans la même opération ou une opération ultérieure on peut fileter les ouvertures de sortie des différentes douilles comme cela se fait couramment pour les tubes métalliques employés jusqu' ici.
Pour enrouler une douille, on découpe avantageuse- ment en gradin la bande de papier-tôle. La Fig. 1 du dessin annexé montre un pareil découpage en gradin.
Sur la Fig. 1, la référence a désigne la bande mé- tallique et la référence b désigne la bande de papier..2 est le recouvrement collé et d est la découpure en gradin ou cou- dée. Le découpage en gradin de la bande a, c, b donne des feuilles séparées qu'on enroule en douilles. One telle feuille est représentée sur la Fig. 2. A l'extrémité 'supérieure, correspondant au col du tube à façonner, la bande métallique a et le recouvrement collé e forment un dépassant. On peut rabattre ce dépassant pour renforcer la partie amincie du tube. Ce repli est indiqué sur la Fig. 2 par les pointillés x, y. La Fig. 3 montre la douille qu'on obtient en enroulant
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la feuille de la Fig. 2.
Dans le haut la douille est ren- forcée par le repli, tandis que dans le bas elle n'est formée que par le papier dépassant. Ce papier dépassant, constituant l'ouverture d'emplissage, peut être collé après l'emplissa- ge, à l'intérieur et à l'extérieur, ce qui assure au tube une fermeture étanche à l'air en cet endroit.
La Fig. 4 montre le tube prêt à être empli. La Fig. 5 montre le tube rempli, la partie de la douille, com- posée exclusivement de papier qui dépasse vers le bas, étant d'abord rabattue et collée. Pour exécuter ce collage, qu'on peut opérer à l'intérieur et à l'extérieur, on peut chauffer les organes de pliage du dispositif de fermeture, si ce chauffage facilite le collage ou sert à fondre un adhésif.
D'après ce qui précède, on obtient grâce au découpage en gra- din un notable avantage à deux points de vue. Comme largeurs à donner à titre d'exemple ou de préférence aux deux bandes, on envisage pour la bande métallique le périmètre de la douille plus un certain recouvrement et pour la bande de papier le double périmètre de la douille.
Cette fabrication des tubes métalliques permet l'em- ploi de tôles d'aluminium minces qui, à l'état laminé, sont notablement plus ductiles que par exemple le métal des douil-* les d'aluminium étirées. Naturellement, on peut aussi employer des tôles d'étain minces sans risquer qu'en cas de déchire- ment ou de percement du tube son contenu en sorte, étant don- né qu'il est retenu par la doublure de papier intérieure.
D'autre part, on peut réaliser de nouvelles présentations, assurant ainsi une amélioration et un embellissement notables.
En enroulant la douille de papier on peut procéder de manière à bien l'enrouler définitivement, mais à ne pas la coller jusqu'au bout, afin qu'on puisse insérer la tôle
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dans la fente laissée ouverte et l'y coller, ce qui assure une tenue très ferme.
Comme procédés convenant particulièrement pour la fabrication du nouveau tube on indiquera les deux suivants:
1.- La fabrication à partir d'un rouleau, la plus ra- tionnelle;
2.- Le travail en partant d'une feuille, pour de petits lots.
Pour la fabrication a partir d'un rouleau, on com- mence par exemple par vernir sur une machine à vernir un ruban de tôle très mince, en rouleau, ayant la largeur d'une spire plus le recouvrement collé, c'est-à-dire environ 85 mm pour un tube de .25 mm de diamètre ou un multiple de ces 85 mm, sans couleurs ou avec des couleurs couvrantes. (On emploie celles-ci pour fabriquer par exemple des tubes ayant un fond blanc sur lequel on fait des impressions en couleurs). Puis on imprime le ruban et on le gaufre éventuellement, et on relie ce ruban ainsi verni, imprimé et éventuellement gaufré, ayant une largeur de 85 mm, à une bande de papier de 2 fois 85 mm (soit deux spires = 170 mm), par le bord, avec un re- couvrement de 5 à 8 mm de large. On procède ensuite au col- lage et à l'enroulement du tube.
On opère le découpage sur la machine à enrouler les douilles par incisions rectilignes faisant un angle de 90 avec la direction de l'avancement de la bande. On emploie avantageusement dans cette opéra- tion le découpage en gradin précité.
Pour la fabrication en partant de feuilles, on peut opérer selon les procédés suivants : a) On enroule une douille de tôle à environ une spire et demie - on pourrait aussi opérer cette fabrication d'une douille à partir d'un ruban de tôle en rouleau - et on
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colle la douille. Dans cette douille de tôle on insère une douille de papier produite préalablement. Pour atteindre ce but, on enfile la douille de papier sur un mandrin (ou sur une sorte de pince) qui est creusé d'une rainure; une lan- guette infléchit la douille de papier dans la rainure de l'extérieur à l'intérieur, de sorte que le diamètre de la douille diminue.
On peut alors insérer sans peine dans la douille métallique la douille de papier amincie, qu'on enduit préalablement d'adhésif, après quoi on relisse à l'aide d'un dispositif simple l'enfléchissement produit par la languette, de sorte que la douille de papier est alors solidement tenue dans la douille métallique et adhère à celle- ci. b) On prend une feuille métallique ayant les dimen- sions du tube, c'est-à-dire une spire plus le recouvrement, ou (pour s'en tenir à l'exemple précité d'un tube de 25 mm de diamètre et 10 cm.
de longueur) une feuille métallique de 85 mm de large et 100 mm de longueur plus le repli au col d'en- viron 10 mm (soit 110 mm de longueur totale), et on la colle au bord à une feuille de papier de 2 fois le périmètre, c'est-à-dire 2 fois 85 mm = 170 mm de large et 100 mm de longueur plus un dépassant d'environ 10 mm à l'endroit de l'ouverture d'emplissage (soit 110 mm de longueur totale).
On enroule alors en douille, sur une machine à enrouler, cette feuille double analogue à celle de la Fig. 2, naturellement de manière que la bande de papier vienne à l'intérieur et la bande métallique à l'extérieur. Puis on rabat le rebord de la bande métallique, situé au-dessus, pour assurer au col la rigidité requise. Toutefois on peut aussi opérer ce collage
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de la manière suivante :
On relie des bandes métalliques ayant par exemple 85 mm de large, mais une longueur multiple (par exemple 1000 mm plus 100 mm pour le repli = 1100 mm) à une bande de papier de 170 mm de large et également de 10 fois 110 mm = 1100 mm de longueur, et on constitue de ces bandes doubles une grande feuille (fig.6).
On peut alors imprimer les feuilles de ce genre sur l'ensemble de leur surface, puis les découper par piles entières sur une cisaille en petites feuilles comme sur la Fig. 2, par découpure en gradin. Le travail ultérieur s'opère alors de la manière indiquée ci- dessus. Pour assurer un meilleur collage, on peut recou- vrir de papier la face inférieure de la tôle ou superposer un côté de la tôle à la bande de papier ou à la grande feuille de papier. Au lieu de recouvrir la tôle de papier, on peut aussi la recouvrir d'un autre produit approprié ou la garnir d'un enduit de produit liquide.
Les récipients de toute nature, notamment les tubes, présentent le grand inconvénient d'avoir des fer- metures non étanches à l'air. Le risque que le contenu sèche, que l'arôme se volatilise, que.la poussière s'infil- tre et qu'on en retire frauduleusement ou en falsifie le contenu, que celui-ci se détériore, et autres risques ana- logues, constituent de grands inconvénients qu'il faut chercher à écarter.
Ainsi, par exemple avec des substances de rem- plissage qui s'épaississent ou sèchent facilement, comme par exemple la pâte dentifrice, la moutarde, le lait conden-
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sé, etc..., il se forme facilement à l'ouverture de sortie une sorte de bouchon qui non seulement provoque une perte de matière, mais qui encore, avant tout, fait perdre du temps, cause des ennuis et éventuellement provoque un éclatement du tube, lorsqu'on le presse trop fort, ou fait sortir la matière de remplissage par l'autre extrémité du tube. Pour cette raison, des tubes ou autres récipients ne peuvent rester longtemps sans être vendus ou utilisés, ce qui constitue un grand inconvénient et a pour effet de limiter les affaires et de causer des pertes.
Le désir de tourner ces difficultés a conduit à de nombreuses constructions de fermetures, sans que cel- les-ci eussent trouvé un débouché général, probablement faute d'une solution vraiment satisfaisante.
La présente invention permet de tourner de maniè- re simple les difficultés susmentionnées grâce à une fer- meture qu'on peut adapter sur l'ouverture de sortie des récipients sans y apporter de changements coûteux.
Les Figs. 7 et 8 du dessin annexé montrent deux exemples d'exécution de la fermeture conforme à l'inven- tion, appliquée à un tube métallique et à un tube non-mé- tallique.
La fig. 7 est une coupe d'un tube métallique à capuchon protecteur collé à l'intérieur.
La fig. 8 est une coupe d'un tube non-métallique à capuchon protecteur inséré entre le corps du tube et le col fileté collé.
Suivant l'invention, on garnit le tube métallique a' (Fig.7) d'un capuchon protecteur b' en papier, cellophane
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ou autre matière appropriée, qu'on engage jusqu'au col fileté et qu'on y colle éventuellement. De préférence, ce capuchon b' est pourvu d'un rebord qui porte contre la paroi intérieure du tube et qu'on colle au besoin afin que lorsqu'on remplit le tube la substance de remplissage ne déplace pas le capuchon protecteur.
Il est avantageux de signaler encore spécialement de manière quelconque la présence du capuchon, soit par une différence de couleur, soit en cas d'ouvertures relati- vement grandes par impression ou repoussage, pour attirer d'une part l'attention sur la présence du capuchon et pour empêcher d'autre part toute possibilité de falsifica- tion.
Dans le cas de tubes non-métalliques à fermeture rapportée (Fig. 8), il est très avantageux d'intercaler le capuchon protecteur b' entre la pièce de fermeture rapportée c' et le corps de tube proprement dit a' et éga- lement de le coller.
En appliquant l'invention de manière appropriée à l'extrémité inférieure du tube, c'est-à-dire à l'ouverture d'emplissage, on réduit au minimum le risque que le conte- nu du tube sèche en cet endroit. A cet effet, suivant l'invention, on introduit simplement dans l'ouverture d'em- plissage du tube une rondelle avec ou sans bord relevé et on l'y colle.
Après introduction, on peut alors appliquer par soufflage ou gonflage la rondelle ou le capuchon formé par la rondelle à bord relevé, contre la substance rem- plissant le tube et le bord de celui-ci, afin de chasser l'air et d'assurer un meilleur contact, ce qui en même temps
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empêche le contenu du tube de sortir par l'ouverture d'emplissage lorsqu'on presse maladroitement le tube en l'écrasant de manière à exercer une poussée de haut en bas vers l'ouverture d'emplissage au lieu de l'exercer de bas en haut vers l'ouverture de sortie.
Tant le capuchon de l'ouverture de sortie que la rondelle ou le capuchon de l'ouverture d'emplissage ne doivent pas être faits nécessairement en une matière solide; ils peuvent aussi être faits en un liquide soli- difié.
On peut aussi introduire et coller la rondelle ou le capuchon dans l'ouverture d'emplissage sur une ma- chine à emplir et à fermer les tubes, pourvue d'un plateau tournant; il suffit d'aménager sur le plateau tournant quelques postes de plus.
Sur cette machine on peut aussi, éventuellement, tremper le tube, définitivement rempli et fermé, dans le liquide capable de se solidifier, en ne l'immergeant qu'à l'extrémité inférieure, jusqu'un peu au-delà du repli.
Sur la machine à remplir et à fermer, on peut éventuellement chauffer les organes de repliage pour faire fondre, au besoin, le bord relevé du capuchon et le coller ainsi à la paroi du tube. Au lieu de la rondelle, pourvue éventuellement d'un bord relevé, on peut n'employer en cet endroit qu'une bandelette (par exemple en caoutchouc) ou coller cette bandelette déjà pendant l'enroulement du tube (notamment dans le cas de tubes non-métalliques), ou encore cette bandelette peut être appliquée pendant le travail du rouleau.
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Metallic tube lined with paper, process for manufacturing it and device for protecting its contents
Metal tubes, even those made of pure tin, have certain drawbacks. Not to mention ordinary lead tubes which are very toxic, whose appearance deteriorates rapidly by oxidation and which have no resistance, even tinned lead tubes and aluminum tubes have the aforementioned drawbacks. Among these drawbacks is also the lack of airtightness at the filling end and at the outlet end, which probably results in the first
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instead of the metallic nature of matter itself. These metal tubes are made individually in a series of operations.
Contrary to this, the metal tube forming the subject of the invention and described below, which perhaps made for example of aluminum, combines all the known advantages without having the mentioned disadvantages. This metal tube is inexpensive, it has a beautiful appearance, even noticeably nicer than that of tin tubes, for example because it is very simple to make gold tubes and it is possible to use various printing processes such as intaglio printing, gravure printing and relief printing, as well as optionally embossing or embossing. On the other hand, this tube is not attacked by the substances contained therein, whatever their nature, on condition that it is appropriately impregnated and in this respect it is also superior to tin tubes.
Finally, the new tubes are manufactured not individually, like the metal tubes used up to now, but from an endless roll, possibly until the completion of the tube. However, for small batches, it is also possible to carry out a piecemeal production. The known lack of tightness of the metal tubes used hitherto does not exist in this new metal tube either.
Unlike the metal tubes hitherto employed, the metal tube according to the invention consists of a casing of coiled thin sheet metal which contains a liner of paper or other suitable material, also coiled, spun or made of. any other way. In order to manufacture this tube, various methods can be employed, a few of which are described below.
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The invention essentially consists in continuously varnishing thin sheet, for example aluminum sheet, on a roll, then printing it in one or more colors by any desired printing process, possibly also repelling it, and to connect, that is to say glue, this sheet roll to an endless paper strip, preferably previously impregnated, in such a way that the longitudinal edges connected to each other overlap to a certain extent . The strip thus obtained is then coated with glue and rolled up in the form of a sleeve so that the paper constitutes the inner part of the sleeve.
It is also possible to conically wind the sleeves thus produced, to avoid the pressing of a shoulder neck, and in the same operation or a subsequent operation the outlet openings of the different sleeves can be threaded as this is commonly done for metal tubes used heretofore.
In order to wind up a sleeve, the paper-sheet strip is advantageously cut in steps. Fig. 1 of the appended drawing shows such a step division.
In Fig. 1, the numeral a designates the metal strip and the reference b designates the paper strip. 2 is the glued cover and d is the stepped or angled cutout. Cutting the strip a, c, b in steps gives separate sheets which are rolled up into sleeves. One such sheet is shown in FIG. 2. At the upper end, corresponding to the neck of the tube to be shaped, the metal strip a and the glued cover e form a protrusion. This protrusion can be folded back to reinforce the thinned part of the tube. This fold is shown in Fig. 2 by the dotted lines x, y. Fig. 3 shows the sleeve obtained by winding
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the sheet of FIG. 2.
At the top, the sleeve is reinforced by the fold, while at the bottom it is formed only by the protruding paper. This protruding paper, constituting the filling opening, can be glued after filling, inside and outside, which ensures the tube an airtight seal at this location.
Fig. 4 shows the tube ready to be filled. Fig. 5 shows the filled tube, the part of the sleeve, composed exclusively of paper which protrudes downwards, being first folded back and glued. To perform this bonding, which can be carried out inside and outside, the folding members of the closure device can be heated, if this heating facilitates the bonding or serves to melt an adhesive.
From the foregoing, a notable advantage is obtained from two points of view by virtue of the grading. As the widths to be exemplified or preferably given to the two bands, for the metal band the perimeter of the sleeve plus a certain overlap is envisaged and for the paper band the double perimeter of the sleeve.
This manufacture of metal tubes allows the use of thin aluminum sheets which, in the rolled state, are notably more ductile than, for example, the metal of the drawn aluminum bushes. Of course, thin sheets of tin can also be used without risking that if the tube is torn or punctured, its contents will come out, since it is retained by the inner paper liner.
On the other hand, new presentations can be made, thus ensuring a noticeable improvement and embellishment.
By rolling up the paper sleeve, you can proceed in such a way as to roll it up definitively, but not to stick it to the end, so that the sheet can be inserted.
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in the slit left open and stick it there, which ensures a very firm hold.
As methods particularly suitable for the manufacture of the new tube, the following two should be indicated:
1.- Manufacture from a roll, the most rational;
2.- Work starting from one sheet, for small batches.
For production from a roll, one begins for example by varnishing on a varnishing machine a very thin sheet of sheet metal, in a roll, having the width of one turn plus the glued covering, that is to say - say about 85 mm for a tube of .25 mm in diameter or a multiple of these 85 mm, without colors or with covering colors. (These are used to make, for example, tubes with a white background on which color prints are made). Then the ribbon is printed and possibly embossed, and this ribbon thus varnished, printed and possibly embossed, having a width of 85 mm, is connected to a strip of paper 2 times 85 mm (i.e. two turns = 170 mm), by the edge, with an overlap 5 to 8 mm wide. The tube is then bonded and wound up.
The cutting is carried out on the machine for winding the sleeves by rectilinear incisions making an angle of 90 with the direction of advance of the strip. The aforementioned step cutting is advantageously used in this operation.
For the manufacture starting from sheets, one can operate according to the following methods: a) One rolls up a sheet metal sleeve with approximately one and a half turns - one could also carry out this manufacture of a sleeve starting from a sheet of sheet metal in roll - and we
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glue the socket. In this sheet metal sleeve is inserted a paper sleeve produced previously. To achieve this goal, we thread the paper sleeve on a mandrel (or on a kind of pliers) which is hollowed out with a groove; a tongue bends the paper sleeve in the groove from the outside to the inside, so that the diameter of the sleeve decreases.
The thinned paper sleeve, which has been coated with adhesive beforehand, can then be easily inserted into the metal sleeve, after which the bending produced by the tongue is resurfaced using a simple device, so that the The paper sleeve is then securely held in the metal sleeve and adheres to the latter. b) We take a metal sheet having the dimensions of the tube, that is to say a turn plus the covering, or (to stick to the above example of a tube 25 mm in diameter and 10 cm.
length) a metal sheet 85 mm wide and 100 mm long plus the fold at the neck of about 10 mm (i.e. 110 mm total length), and glued at the edge to a sheet of paper 2 times the perimeter, i.e. 2 times 85 mm = 170 mm wide and 100 mm in length plus one protruding by about 10 mm at the location of the filling opening (i.e. 110 mm in length total).
This double sheet, similar to that of FIG. 1, is then wound into a sleeve on a winding machine. 2, naturally so that the paper strip comes inside and the metal strip comes out. Then the edge of the metal strip, located above, is folded back to provide the neck with the required rigidity. However we can also operate this bonding
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as follows :
We connect metal strips having for example 85 mm wide, but a multiple length (for example 1000 mm plus 100 mm for the fold = 1100 mm) to a paper strip 170 mm wide and also 10 times 110 mm = 1100 mm long, and from these double strips a large sheet is formed (fig. 6).
We can then print the sheets of this kind over their entire surface, then cut them in whole stacks on a shears into small sheets as in Fig. 2, by cutting in steps. Subsequent work then takes place in the manner indicated above. To ensure better bonding, the underside of the sheet can be covered with paper or one side of the sheet can be superimposed on the paper strip or large sheet of paper. Instead of covering the sheet with paper, it can also be covered with another suitable product or covered with a coating of liquid product.
Containers of all kinds, in particular tubes, have the great drawback of having non-airtight closures. The risk that the content will dry, that the aroma will volatilize, that the dust will infiltrate and that the contents are fraudulently removed or tampered with, that the latter deteriorate, and other similar risks, constitute great drawbacks which must be avoided.
Thus, for example with fillers which thicken or dry easily, such as, for example, toothpaste, mustard, condensed milk.
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Sé, etc ..., a kind of plug forms easily at the outlet opening which not only causes a loss of material, but which also, above all, wastes time, causes trouble and possibly causes bursting from the tube, when squeezed too hard, or when filling material is released from the other end of the tube. For this reason, tubes or other containers cannot go long without being sold or used, which is a great inconvenience and has the effect of limiting business and causing losses.
The desire to overcome these difficulties has led to numerous constructions of closures, without these having found a general outlet, probably for lack of a truly satisfactory solution.
The present invention enables the above-mentioned difficulties to be overcome in a simple manner by means of a closure which can be fitted to the outlet opening of the containers without making costly changes thereto.
Figs. 7 and 8 of the accompanying drawing show two exemplary embodiments of the closure according to the invention, applied to a metal tube and to a non-metal tube.
Fig. 7 is a section through a metal tube with a protective cap glued inside.
Fig. 8 is a sectional view of a nonmetallic, protective cap tube inserted between the tube body and the bonded threaded neck.
According to the invention, the metal tube a '(Fig. 7) is lined with a protective cap b' made of paper, cellophane
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or other suitable material, which is engaged up to the threaded neck and possibly glued to it. Preferably, this cap b 'is provided with a rim which bears against the inner wall of the tube and which is glued if necessary so that when the tube is filled the filler substance does not move the protective cap.
It is also advantageous to indicate in any particular way the presence of the cap, either by a difference in color or in the case of relatively large openings by printing or embossing, in order on the one hand to draw attention to the presence of the cap. cap and on the other hand to prevent any possibility of tampering.
In the case of non-metallic tubes with added closure (Fig. 8), it is very advantageous to insert the protective cap b 'between the added closure part c' and the actual tube body a 'and also to paste it.
By appropriately applying the invention to the lower end of the tube, ie the filling opening, the risk of the tube contents drying out at that point is minimized. To this end, according to the invention, a washer with or without a raised edge is simply introduced into the packing opening of the tube and glued thereto.
After introduction, it is then possible to apply by blowing or inflation the washer or the cap formed by the washer with the raised edge, against the substance filling the tube and the edge thereof, in order to expel the air and ensure better contact, which at the same time
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prevents the contents of the tube from coming out of the filling opening when the tube is squeezed awkwardly by squeezing it so as to exert up and down thrust towards the filling opening instead of exerting it from the bottom up to the outlet opening.
Both the cap of the outlet opening and the washer or the cap of the filling opening need not necessarily be made of a solid material; they can also be made into a solidified liquid.
It is also possible to introduce and stick the washer or the cap in the filling opening on a machine for filling and closing the tubes, provided with a rotating plate; it suffices to fit a few more stations on the turntable.
On this machine it is also possible, if necessary, to soak the tube, permanently filled and closed, in the liquid capable of solidifying, by immersing it only at the lower end, up to a little beyond the fold.
On the filling and closing machine, the folding members can optionally be heated to melt, if necessary, the raised edge of the cap and thus stick it to the wall of the tube. Instead of the washer, possibly provided with a raised edge, one can use in this place only a strip (for example rubber) or glue this strip already during the winding of the tube (in particular in the case of tubes non-metallic), or this strip can be applied while the roller is working.