BE424570A - - Google Patents

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BE424570A
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    • DTEXTILES; PAPER
    • D04BRAIDING; LACE-MAKING; KNITTING; TRIMMINGS; NON-WOVEN FABRICS
    • D04BKNITTING
    • D04B11/00Straight-bar knitting machines with fixed needles
    • D04B11/26Straight-bar knitting machines with fixed needles specially adapted for producing goods of particular configuration
    • D04B11/28Straight-bar knitting machines with fixed needles specially adapted for producing goods of particular configuration stockings, or portions thereof
    • D04B11/32Straight-bar knitting machines with fixed needles specially adapted for producing goods of particular configuration stockings, or portions thereof welts, e.g. double or turned welts

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Textile Engineering (AREA)
  • Knitting Machines (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Procédé et dispositif pour la fabrication des revers des bas et   dautres.   articles de bonneterie. 



   La présente invention se rapporte   à-     un   procédé de formation des revers lors de la fabrication des bas et autres articles de bonneterie. 



   Les métiers de bonneterie, dénommés Cotton utilisés pour' la fabrication des bas, peuvent faire   les, revers   de ceux-ci au moyen d'une peigne d'accrochage à griffes qui sert également pour effectuer le remontage. Cette double opération se fait manuellement :la. première, 1'accrochage, nécessite l'engagement des aiguilles du peigne raccrochage entre les aiguilles de la fonture du métier afin de cueillir la pre-   mière   rangée de boucles formées du revers. 



   Après avoir tricoté un certain nombre de rangées,   (ce   nombre variant suivant   la   longueur que   l'on   veut donner au revers) il y a lieu d'opérer la fermeture ou le remontage 

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 de celui-ci, opération qui est effectuée également manuelle- ment. 



   Cette façon de faire les revers de bas nécessite de la part de l'ouvrier des tours de main qui ne   sustentèrent   que par une longue pratique. D'autre part, lors de cette dou- ble manoeuvre manuelle qui se fait fonture par fonture, le mé- tier est immobilisé pendant un temps relativement long. Cette perte de temps n'est pas récupérable et est inhérente au pro- cédé manuel actuellement en usage. 



   Outre les ennuis et les inconvénients cités plus haut, il existe le danger que l'ouvrier inexpérimenté ne dé- truise la ligne parallèle des aiguilles de la fonture et la perpendicularité de ces dernières du fait que le peigne d'ac- crochage opère à la partie la plus délicate de l'aiguille c'et-à-dire sur la tête et sur la partie flexible de celle- ci   dénommée   " bec d'aiguille ". Cette détérioration a une in- fluence néfaste sur les opérations de rétrécissement ou de diminution et en outre la consommation d'aiguilles en est augmentée. D'autre part, comme le. peigne d'accrochage doit être   manipulé   pour le remontage, l'ouvrier doit nécessaire- ment appuyer sur le tricot afin de faire glisser les mailles des aiguilles de la fonture sur celles du peigne.

   Si, à ce moment, l'ouvrier a les mains plus ou mains salies, il est à craindre que la partie du revers qu'il a touchée soit souil- 1ée, ce qui, par conséquent, déprécie l'article confectionné, surtout s'ils'agit de bas en fibres telles que la rayonne ou soie. 



   La présente invention a pour but de supprimer ces inconvénients tout en permettant d'effectuer l'accrochage et le remontage ( débarrassage) de façon automatique. 



   Le procédé, objet de   l'invention,   consiste essen- tiellement en ce que l'on forme tout d'abord une rangée de boucles par les moyens habituels, après quoi ces boucles sont recueillies par un peigne d'accrochage dont les platinettes 

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 s'enganent entre les   aiguilles.   et qui reçoit ensuite un léger mouvement de   recul,   pour le dégager des aiguilles et   un   mouve- ment latéral d'une demi jauge afin de ramener les platinettes d'accrochge en face.

   des aiguilles, lebtricogtage s'effectuant ensuite d'une façon normale sur une certaine longueur pen- dant que le peigne d'accrochage exerce une traction sur le tricot, après quoi on dispose sur celui-ci une baguette ou un autre organe   soumis à.   une action de traction jusqu'à ce qu'une longueur suffisante, de tricot correspondant au revers ait été obtenue, Après le tricotage de cette longueur cor-   reppondant   au revers, l'opération de remontage du tricot sur les aiguilles, s'effectue grâce au fait que la fonture reçoit un mouvement spécial qui amène les becs des aiguilles à pro- ximité des platinettes de cueillage et en-dessous des crochets dont ces platinettes sont manies, le bec d'aiguille se pla- cant de ce fait entre les deux ailes des mailles soutenues par les platinettes.

   Par un double mouvement de celles-ci, elles viennent se replacer' entre les aiguilles en engageant les mailles sur- celles-ci après quoi T'aiguille garnie de la double épaisseur de tricot reprend sa position normale de travail. 



   .afin de montrer comment ce procédé peut être   réali-   sé en pratique, on décrira ci.-aprèa un métier muni des dis- positifs permettant   l'exécution   du. procédé, objet de   l'inven-   tion.   lees   figures 1, la., 2 2a, 3,   Sa, 4,   5 6, 61, 7,   7a   montrent les organes du métier dans différentes positons successives.. 



   Les figures 8 et Sa représentent d'une manière plus détaillée le dispositif de commande du peigne d'accrochage 
La figure   9   montre le peigne d'accrochage   lorsqu-%il   s'est effacé ppur permettre la continuation du tricotage. 

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   La figure 10 est une vue d'ensemble schématique du mécanisme de commande des différents organes. 



   La figure II montre en détail une platinette   d'accro-   chage. 



   Dans le procédé, objet de l'invention, on commence l'opération de tricotage du bas de la façon habituelle et on forme une première rangée de mailles 1. 



   Conformément à l'invention, à ce moment, un peigne d'accrochage 2 composé d'un certain nombre de platinettes d'accrochage 3 s'avance et les extrémités des platinettes munies de crochets 4 viennent se placer entre les aiguilles 5 et en-dessous des platines 6 de formation ( figure 1). 



   Toutefois, avant que les platinettes du peigne d'ac- crochage sont venues se placer entre les aiguilles 5, le peigne d'abattage ? s'est retiré pour occuper la position indiquée à. la figure 1. 



   A la figure 1, 8 désigne la fonture et 9 le mur de presse. 



   La figure la montre schématiquement et en plan la for- mation de la première rangée de mailles. 



   Après que les différents organes ont été amenés dans la position de la figure 1, la. fonture 8 se déplace vers le bas, les platines formantes 6 se retirent et la rangée de mailles ou boucles 1 entraînée par les aiguilles 5 est dé- posée dans les crochets 4 du peigne d'accrochage 2. 



   La figure 2a montre schématiquement et en plan l'en- gagement des mailles dans les crochets d'accrochage 4. 



   Dès que les mailles ont été déposées dans les crochets d'accrochage, le peigne d'accrochage 2 recule légèrement tout en effectuant un déplacement latéral d'une demi-jauge ( fig.3 et 3a). 

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   ± ce moment, le peigne d'abattage 7 se remet en place entre les aiguilles 5 et   l'opération   normale de tricotage peut alors se poursuivre. Cette opération se continue sur une certaine distance et   lorsqu'une   certaine longueur de tricot a été formée, 1'ovurier dispose sur celui-ci une baguette 10 (figure 4) Pendant l'établissement de cette longueur   L   de tricot, le tricot a été soumis à une action de traction exercée par le peigne d'accrochage 2 qui s'est déplacé.

   A partir de la   positioh   indiquée à la figure. 4, le peigne d'accrochage 2 reste immobile et la baguette 10 est   soumise   à l'action de ressorts qui la sollicitent dans le sens de la flèche   F'   de manière à exercer une traction sur le tricot pendant la continuation de la formation de celui-ci. 11 en résulte que lorsqu'une longueur suffisante de tricot a été obtenue pour former- un,revers, la baguette 10 occupe la position de la figure 5 ;

   à ce moment,. commence l'opération de remontage qui s'effectue, comme montré, aux figures 6, Sa.   7   et 7a, c'est à dire que par suite d'un mouvement spécial donné à la   fonture   8, celle-ci descend et s'incine vers l'avant de manière- à ce que les becs des aiguilles de la fonture viennent se placer exactement en-dessous des crochets d'accrochage   4   et à   l'intérieur   du creux de remontage 11   (   figure 11) De   ce.   fait, les deux ailes 12 et 13 des mailles soutenues par les crochets 4. viennent embrasser les becs d'aiguilles (fig.   6a) .   



   A ce moment, le peigne,d'acrochage 2 est animé   d'un   double mouvement de descente   et.latéral,   de manière à lui per- mettre de venir se placer entre les aiguilles, tout en lais- sant les mailles 1 engagées sur les aiguilles ( fig:   7   et   7a).   



  Le remontage est de ce fait effectué..Le peigne d'accrochage 2 se remet alors dans la position indiquée à la figure 8, le 

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 peigne d'abattage et les platines formantes reprennent leur position de travail afin de poursuivre l'opération de trico- tage de façon normale. A ce moment, le peigne d'accrochage 2 est déplace à la main afin de lui faire occuper la position de la figure 9 et la baguette 10 peut être amenée également dans la position de la figure 9, afin de lui permettre d'exer- cer une traction normale sur le tricot pendant la continua- tion et la terminaison de l'opération de tricotage d'un bas. 



   Les figures 8, 8a, 9 et 10 montrent d'une manière plus détaillée un métier construit en vue de la réalisation du procédé. Ce métier qui est supposé un métier " Cotton" comprend un peigne d'accrochage 2, muni de platinettes d'ac- crochage 3, des aiguilles 5 montées dans une fonture 8; des platines formantes 6, un peigne d'abattage 7 et un mur de presse 9 et un bâti 101 
Parallèlement au bâti 101 et supportéspar celui- ci s'étendent des. arbres 14, 15, 16, 17, 18 et 19. 



   Le peigne d'abattage 7 est supporté comme connu par un parallélogramme articulé composé des tringles   20,,   21 22 et 23. 



   Les tringles 21 et 22 sont articulées sur l'arbre 17 et prolongées par des leviers 24 et 25 munies à leurs ex- trémités de galets 26 et 27 qui coopèrent avec des cames 28 montées sur l'arbre 1 et dont le profil détermine les dif- férents mouvements du peigne d'abattage pendant l'opération de tricotage. 



   La   fonture   est commandée   également   comme connu par un jeu de tringles et leviers comprenant une tringle 29 fi- xée par articulation à la fonture et s'articulant à son au- tre extrémité sur un levier 30 oscillant sur l'axe 15 et portant à son autre extrémité un galet 31 coopérant avec une came 32 montée sur l'arbre 19. 

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   D'utre part, la fonture est soutenue et commandée dans son mouvement vertical par un levier coudé 33 pivotant sur Marbre 14 et portant à son autre. extrémité un galet 34 coo- pérant avec une came 35 montée également sur l'arbre 19 
Il faut remarquer que dans la machine décrite, la fonc- ture d'aiguilles fonctionne comme dans les. métiers habituels mais quelle reçoit un mouvement spécial au moment de l'ac- crochage, grâce au fait qu'à ce moment les galets   31 - 34   sont déplacés- horizontalement pour se présenter devant des cames de profil spécial tournant également sur l'axe. 19. Ce mauve- ment spécial est celui représenté aux figures. 6 et   7,   lors- que les becs d'aiguilles se présentent devant les creux de . remontage des platinettes d'accrochage 2. 



   Les figures 8, Sa et 9 représentent plus endétail le montage et la commande du peigne d'accrochage 2. 



   Sur ces. figures, 36 représente un des deux bras de sup- port du peigne 2 bras qui oscillent autour   d'un   tourillon   37.   Celui-ci est formé par une tringle 38 qui traverse des supports 39 faisant partie du bâti et présentant une ouver- ture 40 en forme de glissière.. La tringle 38 porte en   outre   une partie de section carrée. 41 coopérant avec une fourche 42 qui se trouve, à 1'extrémité d'un levier de commande 43. 



  Immédiatement à coté de la fourche 42, est disposé un pla- teau-came 44 solidaire de 1'arbre   38 et   présentant une rampe 45 Avec laxame 44 coopère une autre came 46 également munie d'une rampe 47 et tournant librement sur l'arbre 38. La came   46   est munie en outre d'un bouton de manivelle   48   actionné par une tringle   49.   Les. cames 44-46 sont appliquées l'une contre l'autre par un ressort 50 se trouvant entre la pièce   37   et un épaulement 51 du tourillon 37 

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Les deux bras 36 d'un peigne d'accrochage 2 sont re- liés par une tringle 52. Aux deux extrémités de celle-ci, et à l'extérieur des supports   36)est   montée par articulation une tringle de commande 53.

   Le levier de commande coudé 43 s'articule sur l'arbre 16 et porte à son autre extrémité un galet 54 coopérant avec une came 55 portée par l'arbre 19. 



  La tringle 53 porte à son extrémité inférieure une   boutonniè -   re 56 dans laquelle s'engage l'extrémité d'un levier 57 qui pivote également sur l'arbre 16 et qui porte à son autre ex- trémité un galet 58 coopérant avec une came 59 et portée par l'arbre 19. 



   Ce métier fonctionne de la manière suivante : 
Le métier commence par former une rangée de boucles (figure 1) par les moyens habituels c'est à dire par la coopération des platinas   formantes   6 et des aiguilles 5. 



   A ce moment, la came 55 est dans une position telle qu'elle agit sur le galet 54 en soulevant celui-ci, ce qui a pour effet d'imprimer un léger mouvement de rotation au levier 43 de sorte que par la fourche 42, ce levier 43 pro- voque un déplacement horizontal du peigne d'accrochage 2. 



  Les platinettes de ce peigne s'introduisent donc entre les aiguilles 5 comme indiqué aux figures 1 et la. 



   Par les moyens habituels du métier, les platines for- mantes 6 s'effacent et la fonture 8 avec les aiguilles 5 reçoit un mouvement de descente dans le plan vertical au moyen du levier coudé. 33, du galet 34 et de la came 35. 



   En descendant, les aiguilles 5 ont entrainé les bou- cles et les ont déposées dans les crochets des platinettes d'accrochage 3   (   fig. 2 et 2a). 



   Le peigne 2 reçoit alord un léger mouvement de re - cul ( flèche   Fil   ( fig. 3) grâce au levier 43, au galet 54 et à la came 55 ; en même temps, le peigne 2 reçoit un mouvement 

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 de déplacement latéral d'une valeur d'une demi-jauge comme représenté à la figure 3a. Ce mouvement de déplacement latéral se produit grâce à la rotation de la came 46 au contact de la came 44 qui agit sur la came   46;par   l'intermédiaire des rampes 45 et 47, ce. qui a pour conséquence de les écarter   l'une   de l'autre en entraînant dans un mouvement latéral   l'en-   semble   2-36-sa   de la valeur d'une demi-jauge ( fig. 8 et   Sa).   



  La came 46 est commandée ( fig. 10) par la tringle 49 fixée au bouton de manivelle   38. de   la came 46 et supportée d'autre part¯par un levier coudé 60 qui oscille autour de l'arbre 15 et qui porte à son autre extrémité un galet 61 coopérant avec une came 62. 



   Simultanément au déplacement latéral du peigne d'ac-   crochage   le peigne d'abattage   7 se-   remet en position de travail par lea moyens habituels   c'est   à dire que les pla- tinettes de ce peigne se placent entre les aiguilles.: Les. platines formantes 6 entrent également en action   pour commen-   cer le travail de tricotage proprement dit. 



   Ce tricotage s'effeetue sur une longueur de quelques centimètres ( L). Pendant ce travail, le peigne 2 se déplace lentement dans le sens de la flèche F1 et exerce une traction sur le tricot jusqu'au moment où le peigne 2 se trouve dans la position de la figure 4 et   où,il   s'imobilise A ce mo- ment, l'ouvrier amène sur le tricot une baguette 10 qui est sollicitée par des ressorts dans la direction de la flèche F et qui exerce de ce fait une traction sur le tricot ( fig. 4). 



  Le tricotage continue   néanmoins   et cela jusqu'à ce que le tri- cot aura atteint une longueur suffisante pour la formation du revers. La baguette occupera alors la position indiquée à la   figure' 5.   A ce moment, les platines formantes 6 et les platinettes d'abattage 7 se retirent dans une position de non-activité-, 

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La fonture 8 reçoit ensuite le mouvement combiné 1) de descente grâce aux organes   33-34-35,   2) d'inclinaison vers l'avant grâce à l'intervention des éléments   29-30-31   et 32: Ceci a pour effet d'amener les becs des aiguilles en- dessous des crochets 4 des platinettes d'accrochage 3 en ef- fleurant celles-ci.. 



   Chaque aiguille se place devant un creux de remontage 11, le bec se trouvant alors entre les deux ailes 12 et 13 de la maille engagée sur le crochet 4 ( fig. 6a). 



     A   ce moment, le peigne d'accrochage 2 reçoit un double mouvement de descente et de déplacement latéral d'une demi- jauge de façon à venir à nouveau se placer entre les aiguil- les, plus bas que les becs de celles-ci. 



   Ce double mouvement est obtenu : 1 ) par le retour de la came 46 dans sa position primitive ( fig. 8a)   grâce   l'in- tervention des éléments   49-60-     61-62   et par l'action du res- sort 50 qui ramène l'ensemble 2-36-52 dans sa position pri- mitive; 2 ) étant donné que le peigne d'accrochage 2 oscille vers le bas autour du tourillon 37, grâce au fait que le ga- let 58 rencontre un bossage sur la came   59,   ce qui l'oblige à se soulever en entraînant le levier 57 dont l'extrémité 63 descend ; de sorte que la tringle 53 se déplace verticalement vers le bas ( flèche F4) Les éléments 53, 36 et 2 se dé- placent vers le bas, uniquement sous l'action de leur poids tout en oscillant autour du tourillon 37. 



   Cette opération a eu pour effet de placer sur les aiguilles les mailles qui étaient soutenues par les crochets des   platinettea     d'accrochage   C fig. 7 et 7a). 



   Le remontage est alors terminé. Il reste à replacer la fonture munie du tricot en position pour le tricotage. A cet effet, la fonture remonte en reprenant une position ver- ticale grâce à l'intervention des éléments. 29-30-31-32-33-34 35 ( fig;10) 

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Le. peigne d'abattage 7 reprend également sa posi- tion de travail: En outre, le peigne d'accrochage 2 a remonté et a reculé sous 1'action de 43-54-55 et 53-57-58-59. 



     A   ce moment, L'opérateur   intervient   manuellement et déplace à la main les organes 2-36-53 pour les faire osè ciller autour des tourillons   37 et   les. amener dans la posi- tion de la figure a Pour que ce mouvement   soit   possible, tout en maintenant la liaison mécanique entre le levier   57   et la tringle 53, cette dernière est munie d'une coulisse 56 qui embrasse :L'extrémité 63 du levier 57, de sorte que la tringle 53 peut se:.déplacer dans le plan vertical et osciller tout en n'influemcnt pas. le levier 57 
Pour que les tringles. 53 puissent se déplacer li- brement,,comme indiqué ci-dessus, elles. sont disposées à l'extérieur des peignes 2 ainsi que montré aux figures 8 et   Sa.   



   Enfin, la baguette 10 est relevée et eat amenée au niveau, du peigne d'abattage ( fig. 9) et continue à être soumis à une traction dans le sens de la flèche F5 
Le tricotage continue jusqu'à terminaison du   bas,   
Ainsi que l'on pourra s'en rendre compte dans le métier objet de 1'invention,   lea   opérations ont lieu entiè= rement   d'une   manière automatique et aucun arrêt dumétier n'est nécessaire, sauf un légerralentissement conditionné par le fonctionnement décrit.

Claims (1)

  1. R e v e n d i c a t i o n s 1/ Procédé de fabrication des. revera des bas et autres articles analogues, caractérisé en ce que l'on, forme tout d''abord une rangée de boucles par les moyens habituels, après <Desc/Clms Page number 12> quoi ces boucles sont recueillies par un peigne raccrochage dont les platinettes s'engagent entre les aiguilles et qui ensuite reçoit un léger mouvement de reuul pour le dégager des aiguilles et un mouvement latéral d'une demi-jauge afin de ramener les platinettes d'accrochage en face des aiguille s et en ce que le tricotage s'effectue ensuite d'une façon normale sur une certaine longueur pendant que le peigne d'accrochage exerce une traction sur le tricot, après quoi on dispose sur celui-ci une baguette ou autre organe soumis à une action de traction,
    jusqu'à ce qu'une longueur suffisante de tricot correspondant au revers a été obtenue.
    2./ Procédé suivant la revendication 1 caractérisé en ce que, après le tricotage d'une longueur correspondant au revers, 1'opérations de remontage du tricot sur les aiguil- les s'effectue grâce au fait que la fonture reçoit un mou- vement spécial qui amène les becs des aiguilles à proximité des platinettes de cueillage et en-dessous des crochets dont ces platinettes sont munies, le bec d'aiguille se plaçant de ce fait entre les deux ailes des mailles soutenues par les platinettes et en ce que par un double mouvement de ces platinettea, celles-ci viennent se replacer entre les ai- guilles en engageant les mailles sur celles-ci, après quoi,
    l'aiguille garnie de la double épaisseur de tricot reprend sa position normale de travail.
    3/ Métier de bonneterie pour la réalisation du procédé suivant les revendications 1 et 2, caractérisé en ce que le peigne d'abattage est supporté par un parallélogramme articulé composé de tringles s'articulant sur un arbre com- mun. et prolongées par des leviers munis de galets coopérant avec des cames d'un profil approprié.
    4/ Métier pour la réalisation du procédé suivant les revendi- cations .1 et 2, caractérisé en ce que la fonture est soutenue et commandée dans son mouvement vertical par un levier coudé (33) pivotant sur un arbre (14) et pontant. un galet (34) coopérant 4 avec une came (35). <Desc/Clms Page number 13>
    5/ Entier pour la réalisation du procédé suivant les. revendi- cations 1 et 2, caractérisé en ce que la fonture reçoit, au moment de l'accrochage, un mouvement spécial qui a pour effet d'amener les becs d'aiguilles devant les cretuc. de remontage dea platinettes du peigne d'accrochage ( 2) ( figures @. et 7).
    6/ Métier pour la réalisation du procédé suivant les. revendi- cations 1 et 2, caractérisé en ce que le peigne d'accrochage (2) e.st supporté par des bras (. 36) oscillent autour de tourillons (37) formés par une tringle ( 38) portant une partie de section carrée coopérant avec une fourche se trou- vant à l'extrémité d'un levier de commande et en ce que avec la tringle ( 38) est solidaire un plateau-came ( 44) avec le- quel coopère une autre came ( 46) montée librement, ces cames coopérant entre elles par des. rampes et la came montée li- brement étant commandée par une tringle ( 49) 7/ Métier suivant la revendication 6 caractérisé en ce que les cames ( 44-46) peuvent être appliqués l'une contre l'autre par exemple par un ressort ( 50).
    8/ Métier pour la réalisation du procédé suivant les re- vendications 1 et 2, caractérisé en ce que le peigne d'ac- crochage (2) est muni de deux bras ( 36) reliés par une trin- gle ( 52) aux extrémités de laquelle est montée une tringle (53) portant à son extrémité inférieure une boutonnière (56) dans laquelle s'engage l'extrémité d'un levier ( 57) qui est commandé par une came ( 59) 9/ Métier pour la réalisation du procédé suivant les revendi- cations 1 et 2 caractérisé en ce que, après, la formation d'une première rangée de mailles, le peigne daccrochage (2)
    reçoit un déplacement horizontal de manière à introduire les platinettes de ce peigne entre les aiguilles, en général grâce à un levier (43) muni d'une fourche C 42 prenant autour d'une tringle (38) supportant le mécanisme decommande du peigne ainsi que le peigne lui-même <Desc/Clms Page number 14> IO/ Métier suivant la revendication 9, caractérisé en ce que la fonture reçoit un mouvement de descente dans le plan vertical de manière à déposer les boucles dans les crochets des platinettes d'accrochage (3) ( fig. 2 et 2a).
    II/ Métier suivant les revendications 9 et 10, caractérisé en de que, après la descente de la fonture, le peigne (2) reçoit un léger mouvement de recul tandis que ,en même temps, il reçoit un mouvement de déplacement latéral de la valeur d'une demi-jauge, ce mouvement se produisant, par exemple par l'écartement de deux cames ( 44-46) entraînant un dépla- cement des supports du peigne et du peigne (2) I2/ Métier suivant les revendications 9 à 11, caractérisé en ce que, simultanément au déplacement latéral du peigne d'accrochage, le peigne d'abattage (7) se remet en position de travail par les moyens habituels tandis que les platines formantes (6) entrent également en action pour effectuer le tricotage sur une longueur de quelques centimètres et en ce que, pendant ce travail,
    le peigne d'accrochage se déplace lentement de manièreà exercer une traction sur le tricot.
    13/ Métier suivant les revendications 9 à 12, caractérisé en ce que, après le tricotage d'une longueur de quelques centi- mètres, l'opérateur amène sur le tricot une baguette qui exerce une traction sur celui -ci tandis que le tricotage continue jusqu'à ce que le tricot ait atteint une longueur suffisante pour la formation du revers.
    14/ Métier suivant les revendications 9 à 12, caractérisé en ce que, après la terminaison du tricotage du revers, les platines formantes et les platinettea d'abattage se retirent dans une position de non activité tandis que la fonture reçoit un double mouvement de descente et d'inclinaison vers l'avant ayant pour effet d'amener les becs des aiguilles en-dessous des crochets des platinettes d'accrochage en effleurant celles-ci, <Desc/Clms Page number 15> chaque aiguille se plaçant devant un creux de remontage et le bec de celles-ci se trouvant alors entre les deux ailes de la maille engagée, sur le crochet 4 16/'Métier suivant lea revendications 9 à 14, caractérisé en ce que, au moment.
    où 'la fonture reçoit undouble mouve- ment de descente et d'inclinaison, le peigne d'accrochage reçoit un double mouvement de descente et de déplacement latéral d'une demi-jauge de manière à. venir à nouveau se placer entre les aiguilles: plus bas 'que les becs de celles.-ci.
    16/ Métier suivant la revendication.'. 16, caractérisé en ce que le double mouvement du peigne d'accrrochage est obtenu par le retour de la came ( 46) dans sa position primitive et par Inaction d'un ressortagissant sur- le peigne d'accrochage et sur le support, tandis que le peigne- ( 2) d'accrochage oscil- le vers le bas.
    17/ Métier suivant la revendication 16, caractérisé en ce que 1/oscillation du peigne d'accochage s'obtient grâce au fait qu'un galet (58) rencontre un bossage sur une came (59), ce qui 1,$oblige à se soulever- en entraînant un levier qui se déplace dans une coulisse ( 56) formée par une tringle de support(53 de sorte que cette, tringle (Sa),, le peigne et ses supports se déplacent vers le bas uniquement sous Inaction de leur poids tout en continuant à osciller, cette opération ayant pour effect de placer sur lea aiguilles les mailles qui étaient soutenues par les crochets des platinettes d'accro- chage.
    18/ Métier suivant les revendications 9 à 17, caractérisé en ce que, après l'oscillation et la descente du peigne d'ac crochage, la fonture munie du tricot est ramenée. en position de tricotage et en ce que, à cet effet, 1a fonture est re- montée tandis que le peigne d'abattage reprend également sa position de travail et que le peignedaccrochage a été.remonté et a reculé. <Desc/Clms Page number 16>
    I9/ Métier suivant lea revendications 9 à 18, caractérisé en ce que, après que le peigne d'accrochage a été remonté et a reculé, l'opérateur déplace à la main le peigne d'accrochage et l'ensemble des organes de support et de commande pour les faire osciller, cette opération étant possible grâce au fait que la tringle de soutien 53 est munie d'une coulisse 56 entourant l'extrémité du levier (57) de sorte que la tringle (53) peut se déplacer dans le plan vertical et osciller tout en n'influençant pas le levier 57, 20/ Un métier de bonneterie tel que décrit et représenté aux dessins anneés.
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