BE421288A - - Google Patents

Description

   <Desc/Clms Page number 1> 
 



  Tige de soudage à revêtement pour la soudure à l'arc. 



   Pour la soudure à l'arc au moyen d'une tige de soudage à avancement automatique, se déroulant, par exemple, d'une bobine sur laquelle elle est enroulée, il est d'usage d'amener le courant électrique à la tige extérieurement. 



  Comme un fil nu ne convient guère, on a proposé de munir le fil de soudage d'une matière de revêtement scorifiante et de moyens d'amener le courant extérieurement. Dans ce but, on a proposé de munir une tige de soudage revêtue de matière scorifia.nte, d'une gaine métallique reliée électriquement au noyau métallique au moyen d'un fil métallique disposé dans la matière de revêtement, ou encore au moyen de saillies intérieures touchant le noyau. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   L'invention diffère de ces propositions par l'utilisation d'un noyau métallique muni de nervures longitudinales destinées à assurer un contact électrique dans le sens de la longueur avec une enveloppe métallique enroulée en hélice qui porte à cet effet contre les nervures, l'intervalle qui subsiste étant rempli par une matière scorifiante. 



   Le fait qu'on peut donner au noyau le profil voulu par un traitement mécanique peu coûteux permet d'établir en série d'une manière économique des tiges de soudage conformes à l'invention. C'est ainsi, par exemple, qu'il est possible de donner au noyau le profil voulu par étirage ou laminage. 



  On peut former l'enveloppe métallique en enroulant un fil ou une bande sur le noyau conforme à l'invention. 



   La description du dessin annexé, donné à titre d'exemple, fera bien comprendre comment l'invention peut être réalisée. 



   Sur la figure 1, 1 désigne un noyau métallique dont on voit la section polygonale sur la figure 2. Un fil métallique 2 est enroulé en hélice sur ledit noyau métallique 1 de manière à porter contre les nervures 3 du noyau 1 et à être, par suite, en contact électrique avec elles. Les intervalles qui subsistent sont remplis d'une matière scorifiante 4. 



   Les figures 3 et 4 montrent un autre mode de réalisation de l'invention dans lequel un noyau métallique 1 identique à celui représenté sur les figures 1 et 2 est entouré d'une gaine métallique 5 qui porte contre les nervures 3 du noyau 1 et est ainsi en contact électrique avec elles d'une manière identique au cas précédent. La gaine 5 peut être percée de trous 6 par lesquels on peut presser la matière scorifiante 4 dans les intervalles entre la gaine et le noyau. 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   Dans les modes de réalisation décrits on peut d'abord enrouler la gaine sur le noyau pour ensuite introduire de l'extérieur la matière scorifiante, par compression, par les évidements ou trous de la gaine dans l'intervalle qui subsiste entre celle-ci et le noyau. 



   Les figures 5 et 6 montrent un autre mode de réalisation de l'invention dans lequel un noyau métallique 7 muni de nervures longitudinales 8 est entouré de matière scorifiante 4 et ensuite d'une bande enroulée 9. Dans ce mode de réalisation, on applique la matière scorifiante 4 sur le noyau 7 avant l'enroulement de la bande 9.

Claims (1)

1. RESUME ----------- Cette invention concerne une tige de soudage destinée notamment à la soudure automatique à l'arc et contenant un noyau garni d'une matière de revêtement et entouré d'une enveloppe métallique, la particularité de cette tige consistant en ce que le noyau est muni de nervures longitudinales qui, dans le but d'établir dans le sens de la longueur un contact électrique avec une enveloppe métallique enroulée en hélice portent contre cette enveloppe, l'intervalle subsistant étant rempli de matière scorifiante.