BE419772A - - Google Patents

Description

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  METHODE ET APPAREIL POUR RECOUVRIR DES   MATIERES     METALLIQUES,   ET LES OBJETS RECOUVERTS. 



   L'invention est relative à une méthode perfectionnée pour recouvrir un article ou objet métallique de fer ou d'acier, et bien qu'elle soit susceptible d'autres applications, elle est spécialement prévue pour exécuter la galvanisation de pareil objet. 



   L'invention comprend également des appareils se prêtant eux-mêmes à l'exercice pratique et efficace de la méthode. 



   L'invention comprend en outre les objets métalliques reoou- verts créés au titre de résultat de l'exercice de la méthode   perfec-   tionnée, le principal objet de l'invention étant de produire des ob- jets semblables considérablement améliorés par rapport à des objets comparatifs fabriqués antérieurement, ainsi que de réduire les frais de la fabrication d'objets ayant un même poids de recouvrement. 



   Les objets ou matières galvanisés sont désirables dans un tel nombré d'emplois généraux et les demandes d'usages particuliers, qu'il est pratiquement impossible de prévoir ou de procurer un recou- vrement galvanisé qui puisse assurer les meilleurs résultats possi- 

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 bles dans tout le champ d'application, Ayant ceci en vue, un objet de l'invention est, premièrement de procurer un objet galvanisé, ou un recouvrement pour des objets ou des matières susceptible d' emplois pratiques et étendus, la méthode pour créer pareil produit galvanisé, et l'appareil propre à être utilisé comme une aide dans l'exercice de la méthode. 



   Ces caractéristiques ont plus ou moins de relation avec l'usage ou l'application particulière de la matière ou dispositif en que l'on peut avoir en vue, et comme les gens de métier%apprécie- ront aisément les force et effets, la présente divulgation des ca-   ractéristiques   de l'objet galvanisé de l'invention, généralement, pourra être limitée à la considération d'un objet type ou spécifi- que, comme par exemple un fil galvanisé.. 



   Un fil galvanisé -- et ainsi que dit la discussion qui 
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 suit s'appliquera à beup dTautres,objete.galvanisés -- est dTap- plication tout à fait universelle et, suivant la préparation   spécia-   le du recouvrement galvanisé, se comportera plus ou moins bien dans des conditions spéciales qui dépendent de l'usage, par exemple dans les emplois où le fil galvanisé peut rencontrer une atmosphère, un brouillard salin, ou être immergé dans le sel, ou bien là où ce fil peut être soumis à une chaleur intense, les résultats les plus satisfaisants sont atteints lorsque le recouvrement contient une te- neur notable en fer, Mais, dans beaucoup d'autres cas, la présence d'une teneur notable semblable est désavantageuse et, en fait, l'é- limination en substance du fer est désirable, comme dans les fils de téléphone, de télégraphe, etc.

   Dans d'autres cas encore, comme pour les paniers à lessive, les manches d'ustensiles, ou, en fait les usages domestiques, où un aspect brillant est esthétiquement désirable, une teneur notable en fer est objeotionnable dans une certaine mesure car elle a pour effet de ternir l'aspect. Encore le ternissement est souvent le résultat d'oxydes repris au bain par le      fil, ou créés après l'enlèvement du fil-hors du bain, de sorte qu' entre autres pour cette raison il est désirable d'éviter dans la plus large mesure possible la présence des oxydes dans le recouvre-      

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 ment, d'autres raisons encore étant que des oxydes dans le recouvre- ment créent des difficultés au point de vue du pliage, de la torsion ou de la conformation du fil,

   auxquels cas le recouvrement se fendil- le ou s'écaille lorsque les oxydes ont modifié l'épaisseur des   recou-   vrements, etc.   Egalement,   dans des opérations de pressage ou d'embou- tissage et de conformation, il est désirable d'éliminer la teneur en fer dans la partie externe exposée du recouvrement, de façon que ce dernier soit relativement doux et ductile, et d'éliminer les oxydes de manière que dans les opérations d'estampage ou de pressage, des particules du reoouvrement ne tombent pas en poussière ou ne se rom- pent pas, en s'accumulant sur les matrices ou poinçons ou autres or- ganes ou instruments mécaniques, 
Par conséquent, pour donner la gamme la plus étendue des emplois du fil galvanisé, alors que le fil perfectionné de l'invention ,.est praticable et utile dans le champ plus limité,

   tels que les mi- lieux salins, comme dans des fabriques de crème glacée, ou en mi- lieux chauds, comme dans les poêles ou fours, il se comporte néan- moins d'une façon plus parfaite que dans d'autres champs   d'applica-   tion là où une teneur notable en fer dans le recouvrement n'est ni de- mandée, ni considérée, en sorte que l'on peut dire que les caractéris- tiques tangibles du fil galvanisé de l'invention sont : un degré plus élevé de ductilité, en raison d'une faible te- neur en fer, et l'élimination pratique des oxydes et d'autres consti- tuante nocifs; la capacité de pliage ou de torsion, tel le repliement sur lui- même, sans fendillement, écaillage, ou détachement du recouvrement;

   un degré plus élevé de conductibilité électrique, en raison de l'absence de toute quantité notable de fer dans la portion exté- rieure du recouvrement de zinc; un brillant extraordinaire et une couleur agréable (bleu-blanche) ressemblant de près à l'éclat ou lustre du zinc naturel; un recouvrement de zinc plus fort ou plus dense que ceux at- teints antérieurement, résultant pour partie de l'élimination pra- 

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 tique des oxydes d'une partie substantielle, extérieure,du corps de zinc constituant le recouvrement et pour partie de la méthode d' application du   reoouvrement,   comme il sera défini par après;

   un recouvrement uni, continu, non poreux et exempt de vides, de trainées, ou d'étendues caverneuses ou discontinues, provenant de l'élimination pratique des oxydes et autres substances nocives et qui -- les vides ou espaces ou interruptions de surface -- dans ou sur le recouvrement se prêtent d'elix '-mêmes à l'élargissement de la surface exposée à la corrosion atmosphérique et semblable;

   une plus grande densité ainsi qu'une égalité et une ductilité du recouvrement résultant de la nature relativement pure du corps principal du recouvrement, se prêtant à la fabrication de treilla- ges et d'articles analogues dans lesquels le pliage, l'enroulement et la torsion des fils jouent un rôle prépondérant dans la fabrica- tion, et à la fabrication du fil barbelé dans laquelle existent des conditions analogues,ainsi qu'à la confection de ressorts de portes, de ressorts de lits, de patères ou porte-vêtements, et d'autres pro- duits divers qui exigent du fil présentant non seulement un aspect brillant de la surface,

   mais dont également le recouvrement de zinc même doit être doux ou tendre et pliable pour se prêter à des opéra- tions mécaniques sans colmater les poinçons et les organes de la ma- chine et là où à l'usage il ne peut se produire de fendillement ou d'écaillement du recouvrement, et qui résistera à des conditions at- mosphériques sévères lorsque l'objet recouvert est employé à l'exté- rieur ; et, l'uniformité dans l'épaisseur du recouvrement fort ou dense ap- pliqué au fil, provenant de l'absence d'oxydes, etc, du fait que les oxydes mélangés au recouvrement entrainent une modification dans la viscosité ou la fluidité du zinc, ce qui provoque un étalement iné- gal du zinc donnant des points ou taches de forte et faible épaisseur par zones, ces taches ou points étant fragiles et se crevassant et s'écaillant lors des pliages ou déformations. 



   Un objet galvanisé est illustré dans les dessins ci-annexés et le dessin est établi de manière à montrer le produit de base, tel 

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 un fil) une bande, une plaque ou un fragment d'objet ou de disposi- tif, et le recouvrement et ses constituants tels qu'appliqués sur le produit de base. 



   Cette illustration (fig.l) est une représentation en cou- pe, transversale ou longitudinale, (pareilles coupes ont en substan- ce le môme aspeot) agrandie approximativement mille fois par rapport à la structure normale dans laquelle la section est pratiquée. 



   Cette coupe représente un article ou objet galvanisé créé par la méthode perfectionnée, et qui possède toutes les caractéris- tiques de structure énumérées précédemment pour l'exemple du fil gal- vanisé. On remarquera que le produit de base dénommé "objet de fer ou   d'aoier",   est représentatif d'un objet qui a été recouvert, indé-   pendamment   de sa forme, contour, ou destination, l'illustration bien qu'ayant été prise sur un fil, étant également appropriée aux autres matières et objets auxquels il a été fait référence, 
Le recouvrement, considéré dans son   ensemble   est dénommé "revouvrement" et comprend toute la masse entière qui s'attache d'une façon adhérente à la base.

   Le recouvrement bien que formant un tout intégral, est divisé en étendues relativement localisées de zones de zinc sensiblement pur et relativement impur, et tel que combiné, le recouvrement est d'épaisseur notable ou ce qui peut être appelé un recouvrement fort de nature dense avec une surface extérieure unie, la surface et le corps du recouvrement étant exempts de vides, Les différentes zones du recouvrement sont respectivement dénommées "zinc   pur",   et "alliage et cristaux de   zino-fer".   Une 'comparaison de ces étendues montre que la zône" d'alliage et cristaux zinc-fer" est très petite comparativement à l'étendue développée et prédominante de zinc pur. 



   De la structure physique de l'objet ainsi décrit, et pos- sèdant les diverses caractéristiques précédemment définies, provenant de cette structure   physique,.   y compris   l'aspect   externe bleu-blanc brillant ou de zinc naturel, on passera maintenant à la considéra- tion particulière de la méthode suivie pour créer le nouvel objet galvanisé. 

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   Bien qu'il ait été reconnu qu'il est désirable d'éviter lés oxydes et les substances nocives qui seraient naturellement créées ou   s'accumuleraient   sur les produits galvanisés du genre de ceux dont ici il est/traité, on s'est également rendu compte qu'il est très   diffici-   le, si pas impossible de les éliminer, car antérieurement à la présen- te conception la pratique semble avoir été (apparemment basée sur la supposition que c'était nécessaire) de laisser l'objet immergé dans le bain de zinc fondu pendant une période de temps appréciable afin de permettre la formation par accumulation de l'épaisseur de-recouvre- ment désirée.

   Conformément, spécialement lorsqu'on désire que'l'arti- ale ou l'objet possède un fort recouvrement, cette pratique de permet- tre à l'objet de rester submergé pendant une période relativement longue, ajoute ou entraine nécessairement le désavantage concomitant de prolonger la période durant laquelle la teneur en fer   croîtra.'   
A la différence de ce qui précède, le demandeur a découvert que   lorsqu'un   recouvrement dit "fort" est désiré sur l'objet, la pé- riode de temps d'immersion de l'objet dans le bain doit être réduite et l'objet retiré, après l'avoir plongé relativement rapidement, com- parativement aux pratiques usuelles dans lesquelles le déplacement ou mouvement de l'objet recouvert, après avoir quitté le bain fondu, s'accomplit dans une direction ascendante,et,

   par suite plus le mouve- ment est lent et plus le recouvrement à l'occasion de s'écouler et de retourner vers ou dans le bain, en réduisant ainsi l'épaisseur du re- couvrement. 



   Suivant l'invention, un soulèvement ou un mouvement   asaen-   dant rapide de l'objet recouvert lorsqu'il quitte le bain   entrainera   celui-ci et sensiblement l'entièreté de son recouvrement jusqu'au point de traitement subséquent pour "fixer" le dit recouvrement avant qu'il n'ait eu, d'une façon appréciable, l'occasion de s'écouler de ou en bas de l'objet, ou bien, en fait, de modifier matériellement la proportion du recouvrement et de l'objet. 



   De cette façon il est devenu facile de prédéterminer, l'é- paisseur du recouvrement désiré dans un cas quelconque donné et d'as- 

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 surer l'unifornité du recouvrement. En faisant passer rapidement l'ob- jet à travers le bain, la possibilité de formation d'alliage et de cristaux de zinc-fer est réduite dans une mesure telle que la teneur en fer devient négligeable, La teneur en fer dans le recouvrement de zinc, spécialement la ou les surfaces externes de ce dernier, compa- rativement à la localisation de l'alliage et des cristaux zinc-fer au voisinage de l'objet auquel le recouvrement de zinc est appliqué est un facteur d'objection. 



   Ainsi, la première opération de la méthode est convenable- ment dénommée opération d'immersion de l'objet dans le bain de zinc fondu, en plongeant et en sortant l'objet rapidement de ce bain, com- parativement à la technique antérieure ; ou bien, définissant cette opération par des données approximatives, le demandeur a trouvé que dans des cas satisfaisants l'immersion peut avoir une durée d'environ 5.secondes, bien que des résultats favorables puissent être obtenus dans un temps même moindre, savoir environ 3 secondes, ou bien, dans certain cas, en un temps éventuellement un peu plus long que 5 secon- des, chaque fois par opposition à la meilleune méthode industrielle de galvanisation à chaud dont le demandeur a connaissance et dans la- quelle, par exemple,

   les tentatives pour obtenir un recouvrement de huit dixièmes d'once sur un fil n  14 nécessite approximativement de 20 à 30 secondes, tandis que dans la pratique de l'invention on obtient par l'immersion brève ou réduite indiquée, un recouvrement sur le dit fil de six dixièmes d'once, à une once et demie, la compa- raison étant faite par pied carré (9,29 dm2) de surface dans chaque cas. 



   Naturellement également comme incidente de cette   imnersion   de durée relativement courte, la teneur en fer résultante du recou- vrement est réduite au minimum absolu, et localisée, c'est à dire,spé- cifiquement défini concentrée dans une étendue éloignée des por- tions externes ou de zinc comparativement pur, du recouvrement. 



   Pour illustrer plus encore, et en envisageant l'économie en fonctionnement, on a constaté dans l'exercice de la méthode per- fectionnée qu'un pot de zinc ayant environ 1,80 mètre de long répond 

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 à toutes les exigences, comparativement à des pots travaillant dans des conditions semblables et pour la même classe ou genre de travaux ayant de 6 à 9 mètres de longueur, Ceci se.traduit par une économie des frais de combustible et la réduction de la quantité d'oxydes de zinc et de fraisil de même que par une économie d'em- placement dans l'usine, d'équipement et d'isolement thermique, qui sont tous des facteurs vitaux eu essentiels des frais de production. 



   Un'autre avantage provenant de cette première opération de la méthode réside dans le fait qu'il est ainsi permis de travail- ler avec une température de bain sensiblement moindre que la tempé- rature employée dans la pratique courante antérieure dont il a été question. Dans ce dernier cas, les températures communément employées sont des températures voisines de 455 - 482 .c. qui n'ont jamais été sensiblement abaissées, car l'on supposait que pour obtenir le poids ou l'épaisseur désiré de recouvrement, la faible vitesse ou le temps, et la chaleur entraient en ligne de compte pour procurer des résultats satisfaisants.

   Le demandeur a constaté que   l'élabora-   tion ou formation d'alliage zinc-fer en opérant suivant ce vieux procédé et par retrait lent de l'objet recouvert, ou prolongation du temps d'immersion, était plus conséquente, largement en raison du développement des alliages fer-zinc sous l'action de la chaleur qui était employée. En raison de cette découverte et du fait que dans le procédé de la demande on cherche à éviter autant que possible cette formation d'alliage zinc-fer, on peut se dispenser d'un degré notable de chaleur et l'on a constaté que le bain de zinc peut prati- quement être à une température d'environ 426.- 447.c.

   En d'autres termes le recouvrement d'épaisseur notable ou de nature forte obte-      nu et maintenu par la faible durée d'immersion et l'enlèvement rela- tivement rapide de l'objet recouvert est permis par l'utilisation d'un degré de chaleur très voisin du point de fusion du bain, Une chaleur excessive au-delà, ou l'accroissement de chaleur tel   qutem-   ployé dans les pratiques anciennes, d'environ 39  C était inutile, se traduisait par une perte de chaleur, et, en raison de son influen- 

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 ce dans la formation de l'alliage zinc-fer, était préjudiciable au produit final destiné à l'usage pratiquement universel envisagé. 



   Cette différence dans les températures maximum suivies dans les pra- tiques anciennes et reconnues par le demandeur comme suffisante, se traduisait seule par une détérioration comparativement prématurée et, en fait par la destruction finale des pots et de l'équipement. 



   La seconde opération de la méthode consiste à libérer de, ou à éviter la contamination de l'objet recouvert par les oxydes ou les substances délètères ou   nocives   du bain ou flottant sur le bain dans la région ou zone de la sortie de l'objet recouvert de ce bain, comme indiqué précédemment, pour éviter la fragilité, l'écaillage, la pulvérisation, l'inégalité du recouvrement et sa décoloration, résultant ordinairement des accumulations disposées de façons variées d'oxydes sur ou dans le recouvrement.

   Il est désirable que l'objet recouvert au point où il sort du bain soit protégé à l'égard de toute masse ou accumulation d'oxydes tendant à se produire ou à se former sur la surface du bain, soit que pareille masse ou accumulation soit créée par exposition du bain en certains points à l'action de l'oxygène, ou bien par des éléments assistant l'introduc- tion de l'objet dans le bain, et soit entrainés par l'objet lui-même ou bien repris par l'objet à la surface du bain et là où les oxydes sont susceptibles de se former en raison du contact de l'air avec la dite surface.

   Le but du demandeur est d'éviter l'entrainement d' oxydes ou autres matières ou substances délètères ou nocives qui d' une source ou pour une cause quelconque peuvent avoir tendance à s' associer ou se former en une sorte de tapis dans la région ou zône de sortie de l'objet recouvert comme dans tous les procédés de gal- vanisation qui lui sont connus. 



   Pour atteindre ce résultat, et à toutes fins et buts pra- tiques, on prévient positivement la formation de semblable tapis de flottaison ou l'équivalent; ainsi dans la seconde opération du procédé ou méthode, on fait passer l'objet recouvert dans et hors de la matière du bain, d'un point situé   àien   à l'intérieur de la mas- 

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 se du bain, ou bien, autrement défini, bien en dessous de la   surfa-   ce sur laquelle les oxydes s'accumulent d'ordinaire et sur laquelle des oxydes très dispersés ou plus ou moins isolés provenant de l'in- térieur du bain se présentent ou apparaissent   fréquemment   à la maniè- re   @'une   tempête de neige renversée, Ainsi, aucun effet nicif ne peut'matériellement se produire sur l'objet recouvert retiré du bain,

   
Le demandeur a découvert que si le bain de matière à tra- vers lequel l'objet recouvert est soulevé, ou à travers lequel il passe, est maintenu en mouvement, les oxydes n'ont aucune occasion de se rassembler et de former une sorte de tapis à la surface'du bain, que les oxydes s'élèvent à travers le bain ou bien qu'ils soient formés à sa surface par un accès éventuel de l'air à la dite surface.

   Cette opération, impliquant l'idée de mouvement, ou de cir- culation de la matière du bain pour éviter la formation en tapis des oxydes au point où l'objet recouvert sort du bain s'appréciera immé- diatement lorsqu'il sera dit que lorsque la portion ou zône du bain dont sott l'objet recouvert est tranquille ou analogue à l'eau tran- quille, tous les oxydes qui y atteignent ou qui s'y forment s'accu- muleront pratiquement d'une façon instantanée et formeront un film ou tapis que délimite la zone de sortie ou de décharge de l'appareil et à travers lequel film ou tapis l'objet recouvert doit passer lors- qu'il quitte le bain.

   Ceci signifie simplement que, suivant la   densi-   té ou les autres caractéristiques du film ou tapis, tout d'abord, des portions concentrées ou condensées des oxydes seront transportées vers le haut ou entrainées avec l'objet recouvert, avec comme consé- quence l'altération du recouvrement dans les nombreuses particulari- tés indiquées précédemment dans la présente description, ou bien l'épaisseur normalement prévue du recouvrement sur l'objet sera modi- fiée par le frottement ou le balayage du film ou tapis d'oxydes et, comme le recouvrement est influencé par ce contact de frottement ou de balayage, d'une manière incertaine et sans uniformité, cette épais- seur prévue de recouvrement sur l'objet est réduite et rendue irré- gulière,

   en empêchant l'obtention d'un objet ou produit conforme aux prévisions quant à l'exactitude en tant qu'épaisseur et densité uni- 

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 formes, uniformité, absence de fragilité dans toutes ses parties; il en est de même de la coloration. 



   Ainsi, la deuxième opération de la méthode embrasse le retrait de l'objet recouvert du bain de zinc fondu d'une manière propre à éviter le contact marqué avec et la contamination de l'ob- jet recouvert par des oxydes ou d'autres substances nocives, parti- culièrement en ce qui concerne les accumulations à la surface du bain, dans la région ou zone de sortie du bain de l'objet recouvert, exécuté par l'immersion et le passage de l'objet recouvert et enco- re en cours de recouvrement à travers le bain de matière en mouve- ment, ce qui a pour résultat de favoriser et de procurer un recou- vrement fort, dense,de zinc commercialement pur, exempt   d'oxydes   et de vides. 



   Mais ce qui précède ne constitue pas la seule caractéris- tique importante que comprend la seconde opération de la méthode, la- quelle opération peut être convenablement définie comme comprenant une action ou un effet double ou composé. On se réfère au mouvement de la matière du bain comme constituant une phase de l'action, poséé- dant la fonction désirable lui attribuée. L'autre phase, et une pha- se importante, réside dans la nature ou genre spécifique du mouve- ment de la matière du bain au point de décharge ou de sortie de l'ob- jet recouvert. Ce mouvement   s'effectue   dans la même direction que le mouvement de retrait de l'objet recouvert.

   La vitesse de ce mouvement peut naturellement être modifiée pour répondre aux exigences ou éven- tuellement satisfaire aux nécessités d'opérations données, Il appa- raitra clairement que cette caractéristique de la méthode facilite- ra la conservation de l'épaisseur désirée de recouvrement sur l'ob- jet, à la différence de la tendance opposée ou préjudiciable de toute action de lavage, d'arrosage, pulvérisation, ou de balayage produite par des courants s'écoulant dans une direction opposée au mouvement de l'objet recouvert, et qui auront pour résultat une ten- dance à laver, balayer, ou brosser une partie du recouvrement de l'objet, ou une tendance constante à interférer avec l'objet recou- vert en s'opposant à son mouvement de déplacement.

   Tous ces inoon- 

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 vénients sont évités si le mouvement de la matière du bain procurant le recouvrement final, suivant l'invention, s'effectue avec ou dans la même direction que celui de l'objet, du fait que jusqu'au moment, où il quitte finalement le bain, l'objet recouvert se recouvre enco- re et le recouvrement s'accroît sensiblement par ces mouvements dans la même direction.

   Incidemment, il doit être observé que ce mouvement du bain dans la direction de déplacement de l'objet recou- vert est également appréciablement utile pour surmonter la tendance du recouvrement de l'objet de s'écouler en bas de ce dernier vers le bain lorsqu'il quitte ce dernier, dans toute mesure prépondéran- te dans les cas où l'objet recouvert, immédiatement après qu'il quitte le bain, est amené dans une direction ascendante de déplace- ment à travers ou au delà d'un ou de courants, formés en principal de matière du bain qui se déchargent ou s'écoulent vers le bain ou, en d'autres termes, dans la même direction que celle suivant   laque]:.   le agit la gravité pour influencer le mouvement du recouvrement sur l'objet.

   Un balayage vers le bas de zino, qui laisse une surface rainurée dans le zinc,produit sur la surface un effet analogue à celui de l'écorce du   chêne.   Ces rainures qui se forment ainsi sur la surface de recouvrement provoqueront une variation de   l'épais.   seur du recouvrement qui détermineront le fendillement lorsque l'ob jet est plié ou déformé, résultant de l'inégalité du recouvrement. 



   On en vient maintenant à la troisième opération de la métho-      de, qui consiste à utiliser une atmosphère exempte d'oxygène au- dessus et en contact avec la ou les surfaces du bain, au voisinage du point de sortie de l'objet recouvert de ce bain, de façon à empêcher, autant que possible, le contact de l'air avec la surface du bain et la formation d'oxydes qui peuvent se réunir en tapis et être repris ou entrainés par l'objet recouvert lorsqu'il est retiré du bain, aussi bien qu'entourant l'objet recouvert lorsqu' il quitte le bain pour protéger ce dernier du contact de l'air, et de ce fait préserver le recouvrement dans son état prévu ou   atten-   du pour sa prise ou fixation,ainsi qu'il en sera question dans la description de la quatrième et dernière opération de la méthode. 



   Incidemment à ce recouvrement de la surface du bain et   à   

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 l'enveloppement de l'objet recouvert par l'atmosphère exempte d'oxy- gène dont il a été question, lorsque, comme préférable, cette atmos- phère est créée par l'introduction et l'emprisonnement ou confine- ment de gaz relativement froid, ce dernier, instantanément, comme l'objet recouvert émerge du bain de recouvrement, commence à exercer une action de refroidissement sur le recouvrement, laquelle action sera poursuivie incidemment avec l'enveloppement complet de l'objet dans l'atmosphère exempte d'oxygène durant le très court espace de dé- placement (d'ordinaire une question de quelques centimètres;

   dans le cas d'un fil sensiblement dans les environs de 30   oms.)   intermé- diaire entre la sortie ou libération complète de l'objet recouvert du bain et sa présentation à l'opération finale de prise ou de fixa- tion de la méthode. En raison du peu d'étendue de cet intervalle de déplacement, le fil recouvert, ou analogue, n'est susceptible ou ne sera soumis qu'à très peu de vibrations, si vibrations il y a, qui puissent avoir tendance à déranger le recouvrement dont il est pourvu;

   
Dans l'exécution de la troisième opération de la méthode, actuellement examinée, et comme une particularité accessoire de celle- ci, on forme   praquement   un joint autour de l'objet recouvert, du- rant son passage dans l'atmosphère exempte d'oxygène, en déplaçant l'objet recouvert dans la même direction générale que celle dans la- quelle le gaz de cette atmosphère exempte   d'oxygène   se déplace vers sa décharge ou sortie, et l'on fait passer oontemporairement ou   si-   multanément le gaz et l'objet recouvert à travers une ouverture de décharge ou de sortie commune, grâce à quoi le gaz introduit dans la chambre pour l'atmosphère exempte d'oxygène sous pression et en raison de sa tendance naturelle à s'élever,

   remplira et passera à travers cette ouverture en entourant l'objet recouvert se déplaçant avec lui à travers la dite ouverture de sortie. Ainsi, l'admission d'air dans la dite chambre de traitement est normalement empêchée, et l'objet recouvert lorsqu'il quitte la chambre de traitement est prêt à être présenté au fluide de fixation ou de prise identique- ment dans la condition prévue qui résulte du traitement de l'objet dans le bain de zinc fondu et de l'absence d'interférence avec cet 

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 objet pour n'importe laquelle de ses particularités,depuis le point   où.   il sort du bain jusqu'à son point de présentation au fluide assurant la prise ou la fixation du recouvrement, dont il a été question. 



   Oe fluide assurant la prise ou la fixation, et son   applica=   tion à l'objet recouvert, constituant la quatrième et dernière opé- ration parmi les caractéristiques essentielles de la méthode de l'invention, consiste à soumettre l'objet recouvert, tel que pré.   servé   durant son passage à travers l'atmosphère exempte d'oxygène, et tel que protégé encore lorsqu'il émerge de la chambre à gaz,par les gaz qui l'enveloppent et qui s'échappent de cette chambre, jusqu'au traitement par l'eau de refroidissement   projet sur   la surface recouverte de l'objet, ou sur et autour de l'extérieur traité d'objets tels que des fils où des bandes, par distinction avec des plaques, la projection de l'eau de refroidissement   s'effec.   tuant à.

   travers la masse présente des gaz s'échappant dans le   tra=   jet des courants ou jets projetés de la dite eau. 



   Le résultat de cette quatrième opération de la méthode est que le recouvrement est durci et fixé ou, ainsi qu'il est techni- quement connu dans le métier, "refroidi", sans que pratiquement le recouvrement n'ait l'occasion d'être soumis au contact, contaminé, ou altéré par de l'oxygène, ou par une action abrasive ou autre, ' d'autres corps,durant le déplacement de l'objet recouvert. 



   Supplémentairement à l'objet obtenu par l'exercice de la méthode, facilité par l'emploi d'une machine appropriée, étudiée dans ces buts, on a illustré dans les dessins, non seulement la réalisation préférée de mécanisme de recouvrement, mais également diverses autres réalisations pratiques de l'invention, commune en ce qui concerne des caractéristiques importantes à, chaque et toutes ces réalisations. 



   Dans ces dessins : 
Fig.l est une coupe transversale partielle et schématique montrant un recouvrement;   Fig.2   montre une coupe verticale de l'appareil préféré pour 

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 exécuter la méthode de galvanisation en produisant l'objet de la fig.1 ;   Fig.S   est une coupe de détail obtenue suivant la ligne 3-3 de la fig.2; 
Fig.4 est une vue en coupe verticale d'une forme modifiée de la sortie pour l'objet quittant le pot ou creuset de zinc, pourvue directement de moyens directement y associés pour créer un courant du zinc, par distinction avec les moyens relativement éloignés de la réali- sation de l'invention illustrée dans la fig.2;

     Fig.5   est une coupe pratiquée à travers une autre réalisation de l'invention, dans laquelle les moyens pour forcer ou engendrer le courant du bain, tels qu'employés dans celles des réalisations illustrées dans les/figures 2 et 4 ont été supprimée., et en rem- placement on compte sur un écoulement naturel de la matière, con- jointement à des moyens appropriés, pour faciliter l'opération désirée. 



   En se-référant plus spécifiquement aux dessins, et tout d'a- bord en référence à la forme préférée de l'appareil illustrée dans la fig.2, la référence 6 désigne un pot ou creuset de zinc de tout type   conventionnel   ou préféré, établi d'ordinaire en fer, la différence essentielle entre le pot ou creuset utilisé par le demandeur, plus particulièrement dans le fort recouvrement de fil, comparativement à ceux de la technique antérieure, résidant dans la longueur largement réduite du pot ou creuset car, comme on l'a noté précédemment, la longueur convenable de pot ou'creuset dans le présent cas peut être aux environs de 1,80 m., comparativement à la pratique courante d'utiliser, pour des buts analogues, des pots ou creusets ayant une longueur d'environ 6 à 9 m. 



   Le bain de zinc fondu est désigné par 7; son niveau normal est indiqué en 8. 



   9 désigne, à titre d'exemple convenable, le fil qui pénètre et qui quitte le bain, pour y former le recouvrement. Les moyens et le mode de traitement du fil vont maintenant être décrits. 



   Un bac 11, partiellement immergé dans le bain de zinc fondu 7, 

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 est supporté sur la paroi du pot ou creuset, de toute manière jugée convenable, comme par exemple à l'aide des supports ou montants 10 qui peuvent soit être boulonnés à, soit prendre appui d'une manière amovible sur les parois du pot ou creuset (qui ne doit pas nécessairement être illustré en détail). Ce bac Il comporte une partie de fond 12, intermédiaire entre ses extrémités, qui forme avec les cloisons 13 et les cotés 14, un compartiment ou chambre. 



  15 placé centralement. Les parois latérales du bac Il s'étendent vers l'extérieur dans des directions opposées à partir de la portion intermédiaire dont il vient d'être question, pour former, dans le cas du prolongement désigné par 16, un compartiment d'entrée pour le fil à traiter, le dit compartiment étant ouvert à son fond et fermé à l'extrémité par la paroi 17 pontant ou reliant les portions prolongées des parois latérales 14, et procurer, dans le cas du . prolongement désigné par   18,un   compartiment de sortie à fond ou= -vert pour le fil recouvert, ce compartiment étant fermé à son extrémité par une paroi 19 pontant ou reliant les prolongements des parois latérales 14, les mêmes que dans le cas de la paroi 17 à l'autre extrémité de la cuve. 



   Le prolongement 16 comporte une entrée tubulaire 20 (de sec- tion droite,circulaire ou rectangulaire, ce qui dépendra à   l'évi-   dence du ou des fils à traiter) placée suivant une certaine   incli=   naison, en alignement tangentiel avec la périphérie d'un rouleau ou tambour de guidage 21 monté à une profondeur notable dans le pot ou creuset de zinc, et autour duquel le fil 9 passe et puis s'étend vers le haut dans une direction sensiblement verticale pour sortir lorsqu'il est recouvert du pot ou creuset de zinc, étant entendu que ce rouleau ou tambour peut tourner librement de manière conventionnelle, l'alimentation du fil durant son trajet au cours duquel il se recouvre étant obtenue par un mécanisme employé d'ordinaire dans cette industrie pour tirer le fil à tra- vers la machine,

   dans les directions représentées par les flèches 22. 



   Il est nécessaire d'empêcher, autant que possible, la   forma-   

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 tion d'accumulations   d'oxydes à   la surface du bain de zinc fondu, en raison des effets préjudiciables de celles-ci sur le fil ou autre objet introduit dans et extrait du bain, et du contact inci- dent avec des oxydes réunis en tapis, etc.

   Ceci est particulière= ment vrai pour l'extrémité de sortie du bain, mais pour profiter des avantages qui peuvent résulter de cette disposition à l'extré- mité d'entrée du bain, on a prévu d'introduire dans le comparti- ment intérieur au prolongement 16-20 un gaz ou une atmosphère exempt d'oxygène qui protègera dans une très large mesure la sur- face du zinc fondu du contact de l'air, et qui tendra également à empêcher la pénétration de   l'humidité   ou de l'air résultant du mouvement d'entrée du fil attiré dans le bain. Des moyens de dis- tribution de gaz, de ce genre, sont schématiquement illustrés en 23, et les gaz contenus dans le compartiment sont   schématiquement   indiquésen 24. 



   Bien que l'agencement qui vient d'être décrit soit, comme défini, utile pour éviter dans une certaine mesure la formation d'oxydes à la surface du bain et l'entrainement de ceux-ci, vers le bas, dans la masse du bain, on a constaté qu'il était nécessai- re de prêter plus d'attention à éviter la formation ou l'accumula- tion d'oxydes ou d'autres substances nocives à l'extrémité de décharge ou de sortie du bain. Par extrémité de décharge ou de sortie on entend le point où la région du bain à travers lequel l'objet recouvert est extrait du bain.

   Un moyen ou agencement approprié à ce but,conçu par le demandeur, et que l'on a constaté être satisfaisant pour les fins envisagées, est celui constitué par une pompe 25, dans le présent cas du genre d'un propulseur, logé dans une petite enveloppe ou cylindre 26 au fond du bac   11   et établissant une communication ouverte ou libre entre l'intérieur du bac et le zinc fondu en un point situé notablement en dessous du niveau c du bain de zinc. La pompe ou propulseur peut fonction= ner ou être actionné d'une manière quelconque appropriée, comme par exemple à l'aide d'un moteur, d'une poulie commandée, d'un 

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 engrenage, ou analogue, 27, entrainant l'arbre 28 du propulseur monté de manière à tourner de toute façon praticable, comme par exemple à l'aide de paliers 29 fixés aux montants 10.

   On prévoit que, dans le fonctionnement de l'appareil, cette pompe 25 fera ascensionner le zinc depuis la portion inférieure ou relativement pure de sa masse -- ce qui signifie la portion à l'abri de l'accu- mulation due à la flottaison superficielle, comprenant les oxydes, etc. -- jusque approximativement le niveau 30 du bac 11, afin de procurer une hauteur de charge ou pression notable contribuant à refouler une partie du contenu du bac vers l'extérieur et Vers le haut, à travers le passage 31 incliné en concordance,portant de la paroi extrême 13 du compartiment intermédiaire du bac,située à cel- le des extrémités de ce compartiment qui est éloignée de la paroi opposée immédiatement voisine de la pompe 25.

   Le fonctionnement de la pompe, bien que prévu pour principalement refouler une partie du zinc fondu vers le haut et l'extérieur, à travers le passage 31, afin de procurer les résultats envisagés dans l'emploi des disposi- tifs et agencements tels que décrits   jusqu'à   présent, alimentera ou pourra alimenter, à volonté, le compartiment intermé- diaire du bac 11 avec une quantité de zinc fondu suffisante pour qu'une partie passe dans et à l'extérieur d'une trappe 32 située à l'extrémité d'entrée du bain.

   Le but de cette disposition est double: premièrement de déterminer un mouvement ou une agitation du zinc à la surface d'entrée du pot ou creuset, en concourant ainsi à   empêcher   l'accumulation d'oxydes en tapis qui peuvent s'attacher à et être convoyés dans le bain par le fil qui y pénètre, et secon- dement d'empêcher tous oxydes qui peuvent se former sur la surface supérieure exposée du zinc dans le compartiment intermédiaire du bac 11, de passer à travers la trappe et de retourner dans le bain, cette dernière fonction, c'est-à-dire celle qui consiste à   empêcher   l'échappement des oxydes de la surface du zinc dans le compartiment intermédiaire, est remplie d'une manière analogue en prenant le zinc qui traverse le passage incliné vers l'extérieur et le haut,

   

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 ou bac 11 sensiblement au fond de la cuve. Bien que le départ du zinc du compartiment intermédiaire du bac 11 à travers la trappe et le passage 31 (qui sera plus complètement défini en ce qui concerne ce dernier) détermine, dans beaucoup de cas, un écoulement en trop plein suffisant pour maintenir le niveau désiré dans le comparti- ment, des passages de trop plein auxiliaires 33 sont prévus dans les parois latérales 14, par lesquels l'excès de zinc fondu peut s'échapper et retourner au bain ou masse principale de matière fondue en dehors des limites du bac et de ses prolongements. 



   L'écoulement du zinc dans le passage incliné vers l'extérieur et le haut, 31, à partir du compartiment intermédiaire 15 du bac 
Il est déterminé par la pression qui résulte de la différence de niveau entre le niveau normal 30 du zinc fondu dans le comparti- ment 15 du bac et le trop plein   34   à l'extrémité supérieure du passage incliné vers l'extérieur et le haut 31.

   Ce trop plein 34 est un point de décharge commun non seulement du zinc qui est re- foulé vers le haut à travers le passage 31, mais également de tout zinc qui est entrainé ou amené à s'écouler ou passer vers le haut à travers un écran vertical allongé 35 (avantageusement de section droite rectangulaire ou analogue à celle d'un caisson pour loger une série de fils) ouvert à son extrémité inférieure et fermé par des parois latérales et extrêmes, ou d'une forme analogue à celle d'un tube, grâce à quoi le zinc relativement pur d'un point bas ou inférieur dans le pot ou creuset peut passer ou s'écouler vers le haut dans cet écran et être   entrainé   par le zinc refoulé vers le haut et l'extérieur à travers le passage 31, à une même hauteur,

     d'ou   la masse de zinc combinée ou amalgamée s'écoulera par-dessus l'extrémité supérieure ou trop plein 34 du dispositif. Les extré= mités opposées de l'écran 35 sont représentées comme d'évasant vers l'extérieur (bien que ceci ne soit pas nécessaire). La portion inférieure de l'écran est beaucoup plus longue que sa partie supé- rieure, et plonge d'une manière correspondante à une profondeur plus grande dans le bain de zinc que la dite portion supérieure ne fait saillie vers le haut au-dessus du niveau normal du bain, 

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 de sorte que dans la portion inférieure de l'écran la résistance de la matière du bain à son déplacement vers le bas relativement à la      masse principale du bain,

   concourera à assurer le mouvement de la matière du bain vers le haut et en sortie à l'extrémité supérieure de l'écran. Dans l'esprit du demandeur, cet écran 35 présente une conformation et des dimensions s'adaptant généralement à l'objet ou aux objets   recouverts,   notamment des fils,qui le.traversent,mais   @   il présente également des dimensions telles qu'aucun contact ne se produise avec le dit objet ou objets recouverts, afin que ceux-ci puissent le traverser librement dans leur trajet du bain de   recouvre'   ment   jusqu''à   la phase suivante de l'opération exécutée sur l'objet recouvert.

   Le niveau normal du zinc fondu dans le prolongement 18 se trouvant, ainsi qu'il est défini, sensiblement à la ligne dési- gnée par 8, on comprendra que lorsque l'objet recouvert ascensionne à travers l'écran 35, il sera parfaitement protégé contre tout contact ou association intime avec des accumulations quelconques de matières - oxydes ou analogues * qui peuvent se former à la surface du bain de zinc, de sorte qu'à cet égard l'objet recouvert ne sera pas contaminé. 



   Le but poursuivi est, naturellement, d'empêcher le contact de l'air avec le zinc dans ce prolongement de sortie ou décharge, et dans ce but des moyens sont prévus pour y introduire sous pression ce que l'on a dénommé une atmosphère ou un gaz exempt d'oxygène, ou un gaz non oxydant , introduit ou déchargé dans la chambre comme il est indiqué par les flèches, et entourant et recouvrant ou envelop- pant les portions exposées du passage 31 et de l'écran 35 et le zinc qui s'écoule en trop plein à l'ouverture ou embouchure de décharge 
34 de cet écran. 



   Cette atmosphère exempte d'oxygène tandis qu'elle rempli sa fonction de joint, empêchera l'accès de l'air à la surface du bain de zinc, mais elle ne peut, naturellement, empêcher les oxydes qui sous d'autres rapports peuvent atteindre ou être formés dans le bain d'atteindre la surface du bain dans le prolongement de décharge 18. 

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  Mais, comme il a été noté précédemment, la portion supérieure en saillie de l'écran 35 sauvegarde largement l'objet recouvert d'un engagement quelconque avec les oxydes qui peuvent atteindre la surface du bain dans le dit prolongement à la manière qui vient d'être définie. 



   Il n'est guère nécessaire de le mentionner, mais on comprendra que des avantages marqués sont inhérents au mouvement du zinc fon- du, en direction ascendante à travers le passage 31 et l'écran 35, dans la même direction de déplacement que celle de l'évacuation ou décharge de l'objet recouvert, vers le haut, à travers le dit écran A certains moments, le débordement du zinc, de l'écran, peut être augmenté, et à d'autres moments réduit,suivant les conditions de l'ouvrage ou travail particulier qui est exécuté, mais on a cons- taté que des résultats satisfaisants peuvent être obtenus grâce à un très faible débordement ou mouvement continu du liquide hors de l'écran 35.

   Cet écoulement ou mouvement est suffisant pour empê- cher les accumulations ou les formations en masse des oxydes sur le zinc dans l'écran, et empêchera d'une manière correspondante les actions nocives de ces oxydes en ce qui concerne l'objet recou- vert traversant'Le et sortant du dit écran. Comme la direction de mouvement du zinc dans l'écran est la même que celle du mouvement de l'objet recouvert en déchargement, on évite également toute action interposée, quelle qu'elle soit, sur l'objet recouvert, comme par exemple par lavage, balayage ou frottement opposé à la direction de mouvement de l'objet à une phase du dit mouvement où le recouvrement est naturellement dans sa condition la 'plus molle.

   On a constaté que qu'en soumettant un fil fraichement recouvert par exemple à un jet ou pulvérisation de lavage, ce jet ou pulvérisation a un effet désavantageux sur le recouvrement du fil, en y formant des gorges ou cavités ou en le rendant inégal par déplacement de matière, etc., et ceci est particulièrement le cas là où l'éjection ou écoulement du courant ou jet contre le recouvrement s'effectue dans une direction qui est contraire à ou inverse de la direction de mouvement de l'objet portant le recou- 

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 vrement.

   Naturellement, dans un appareil tel que celui illustré dans la figure 2, dans lequel l'objet recouvert se meut dans une direction verticale, la force de gravité tend à influencer effet le recouvrement mou, et .son est notablement plus marqué là où un lavage, un brossage, un balayage ou une action de frottement se produit dans la direction de et s'ajoute à cette force de gravité. 



  Tous ces inconvénients sont surmontés ou évités dans le présent appareil et la présente méthode. 



   On a probablement remarqué dans l'examen du dessin (fig.2) qu'à l'effet de fermer le compartiment du prolongement 18, ce¯ der- nier est pourvu d'un couvercle   37   établi avec une bride ou rebord de joint conditionné pour venir se placer dans une gorge remplie de sable. 



   En décrivant le procédé et la méthode, dans une partie précé- dente de cette description, on a souligné qu'il était désirable de produire un article recouvert, comme un fil, d'une manière propre   à   procurer un résultat uniforme prédéterminé, comprenant non seule- ment l'égalité et l'éclat de la surface du recouvrement, mais   éga-   lement la profondeur ou épaisseur voulue du recouvrement, car là où de.

   forts recouvrements sont désirés, il est important que ces recouvrements ne varient pas dans leur épaisseur, comme, par   exem-   ple, lorsque la surface a été balayée, conformément à la pratique qui prévalait antérieurement, ou lavé, ou brossé, ou, en fait, un traité, après immersion,   par/dément   ou dispositif quelconque déran- geant ou déterminant l'abrasion du recouvrement, comme par exemple en le rayant ou en rendant la surface ondulée, c'est à dire épaisse en certains endroits et mince dans d'autres endroits.

     En.,   tenant compte de ces facteurs, on comprendra en outre que dans l'emploi de l'appareil divulgué dans le présent mémoire, on a éliminé toute possibilité qu'un jet ou un courant   --   même de la matière du bain de zinc elle-même -- soit projeté , délivré ou formé contre ou sur l'objet recouvert en un mouvement inverse ou contraire au déplace- ment de cet objet et qui,par son action de laminage ou de réduction mécanique sur le recouvrement,empêche l'obtention d'une épaisseur 

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 uniforme et régulière de recouvrement constituant l'un des buts de la présente invention. 



   Egalement, dans la description de la méthode, on a exposé avec un certain développement la phase de la découverte ou   inven-   tion impliquant le passage rapide de l'objet à travers le bain de zinc de recouvrement, et l'on a illustré la comparaison entre le temps utilisé dans la méthode de l'invention et celui des prati- ques industrielles dans des opérations de recouvrement   analogues,ou   en d'autres termes, la différence approximative entre la période de trois à cinq secondes qui est utilisée dans la méthode de l'in- vention et celle des 20 à 30 secondes employée dans la pratique générale. Au cours de cette discussion également on s'est référé à la découverte du demandeur concernant l'élaboration de l'alliage zinc-fer suivant la pratique ancienne et à son élimination suivant la pratique de l'invention.

   La théorie du demandeur est) ainsi que définie, que lorsque \comme dans l'appareil de la fig.2) l'objet recouvert est entraîné ou convoyé dans une direction verticale ou dans une direction tendant vers la verticale, un mouvement lent ou de ' permet au recouvrement de goutter ou de s'écouler   sur/l'objet   traité, tandis que, proportionnellement à   l'accroissement   ou accé- lération de mouvement, l'objet recouvert emportera avec lui exacte- ment cela en plus du recouvrement et, pourvu que le recouvrement soit convenablement fixé ou figé avec promptitude, de bien meil- leurs résultats qu'antérieurement sont réalisés ou atteints.

   Dans l'évacuation ou décharge de l'objet recouvert à partir du pot de zinc dans et à travers l'écran 35, on remarquera que tout est fa- vorable au mouvement rapide de l'objet car, même jusqu'à la déchar- ge ou évacuation finale de l'écran, la matière de recouvrement est appliquée et cela dans la direction du mouvement d'évacuation ou de décharge. Ceci veut dire que jusqu'à la sortie de l'écran aucu- ne influence contradictoire n'a été rencontrée pour altérer les résultats de l'opération de recouvrement.

   Immédiatement après que l'objet recouvert, tel que formé de la manière appropriée indiquée, est évacué ou déchargé, cet objet est entouré à l'aide de l'atmos- 

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 phère exempte d'oxygène dont il a été question précédemment et comme, ainsi que défini .cette atmosphère est de préférence const: tuée par du gaz relativement froid, elle commencera par refroidir instantanément le recouvrement sur l'objet et joue son rôle pour empêcher ou prévenir l'écoulement ou le déplacement du recouvrement de même que le rôle plus important d'envelopper et de former joint autour de l'objet recouvert s'opposant à tout contact avec l'air ou des substances ou dispositifs étrangers.

   Ce résultat est atteint en prévoyant le dôme, chambre, ou prolongement vertical 38 en com- munication libre ou ouverte avec, et se prolongeant vers le haut sur une distance relativement faible (d'environ 45 cms) à partir dE la paroi supérieure du compartiment du prolongement 18, de telle façon que sensiblement dans l'entièreté du déplacement de l'objet recouvert depuis son point de sortie de l'écran 36 jusqu'au   dispo-   sitif de refroidissement ou de/prise principal, qui va être décrit, l'objet recouvert se meut librement à travers une zone sans obstrue tion et non contaminée, protégé de l'action de l'air ou de subs- tances ou dispositifs nocifs, ce qui constitue la troisième phase ou opération de la méthode comme défini.. 



   Le dôme ou prolongement 38 est fermé au sommet comme il est représenté en 39, sauf en ce qui concerne une fente ou ouverture suivant le cas, à travers laquelle le ou les fils ou autres pro- duits s'échappent ou passent vers la z8ne active de la quatrième phase ou opération de la méthode, immédiatement au-dessus du som- met fermé 39.

   Il doit être observé ici que le gaz non oxydant . introduit par le conduit 36 est de préférence sous pression et que ce gaz ascensionnera à travers le dôme ou prolongement 38 en entourant complètement l'objet recouvert qui y passe, et sortira au sommet 39 à travers l'ouverture ou fente dont il a été question et désignée par 40, le gaz sortant par l'ouverture relativement petite au sommet formant un joint effectif ou efficace contre l'entrée de l'air dans le dôme ou prolongement 38 et, naturelle- ment, empêchant simultanément l'admission de l'air au comparti- ment du prolongement 18 sousjacent.

   Le gaz sortant du dôme ou 

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 prolongement   38' ,bien   qu'il ait toute occasion de se détendre lors- qu'il quitte l'ouverture pratiquée dans le sommet 39, a toutefois un volume suffisant pour s'étendre ou s'écouler vers le haut au voisinage immédiat de l'objet recouvert qui quitte le dôme ou prolongement 38, pour continuer son action protectrice sur le   re-   couvrement, c'est à dire pour autant qu'il soit question d'une exposition de l'objet recouvert à tout effet nocif marqué de l'air. 



  Cette prolongation d'emploi ou d'utilisation de l'influence protec- trice du gaz est rendue possible du fait de la très grande proximi- té des' dispositifs de refroidissement et de prise ou fixation,de la sortie du sommet du dôme ou prolongement 38. Ces moyens de re- froidissement et de prise comprennent essentiellement des jets ou des lames ou nappes d'eau délivrés par un ou des ajutages 41 à par- tir d'une chambre de pression 42 d'une enveloppe ou caisson d'eau 43 supporté aux extrémités supérieures des montants ou prolongea mente 10, le caisson d'eau comportant un trop plein ou barrage 44 et un conduit de sortie final 45. La chambre de pression 42 reçoit son eau en un courant continu, par une conduite d'alimentation 46 venant de toute conduite principale ou source 47. 



   L'eau projetée sur ou contre ou autour de l'objet recouvert, comme indiqué par les'flèches 48, l'est généralement transversale- ment à l'objet recouvert, et l'agencement est tel que l'eau pénètre- ra la pellicule ou couche gazeuse accompagnant/et entourant l'objet, lorsque tous deux quittent le prolongement ou dôme 38, l'eau attei- gnant éventuellement le recouvrement et ayant un contact direct et une influence sur celui-ci pour déterminer la prise et fixer le recouvrement d'une manière telle que ce dernier est en substance parfait et préservé contre toute détérioration quelle qu'elle soit, lorsque l'objet recouvert est tiré vers le haut et autour du rou- leau de guidage 49. 



   Au lieu que le gaz soit libéré lorsqu'il s'échappe à travers l'ouverture 40 dans le sommet 39 du dôme ou prolongement 38 et qu'il passe ou s'écoule vers le haut le long des côtés de l'objet 

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 recouvert, devant les jets de refroidissement, on envisage égale- ment de brûler ce gaz en l'enflammant à l'ouverture ou ajutage du sommet fermé, de manière que la flamme se propage vers le haut et enveloppe   1':objet'-   recouvert, et soit interposée entre ce dernier et les jets d'eau de refroidissement. Oette flamme utilisera   l'oxy-   gène de son voisinage et par suite préviendra toute tendance de l'air de pénétrer dans le dôme ou d'entrer notablement en contact avec   le- objet-   recouvert. 



   On notera que, si on le désire, la chambre d'eau sous pres- sion 42 peut comporter des compartiments des deux côtés du fil ou objet recouvert, de sorte que les jets d'eau peuvent être envoyés dans des directions opposées les uns vers les autres, mais, d'une façon particulière dans le cas d'un fil, on a constaté que la série simple d'ajutages délivrant ou projetant de l'eau dans une direc-      tion est suffisante. Le sommet du dôme ou prolongement 38 est in- cliné vers le haut et l'intérieur à partir des côtés opposés en direction de-l'ouverture de sortie 40, pour éparpiller l'eau de refroidissement qui peut tomber sur ce sommet et la diriger dans des directions opposées, en vue de son évacuation dans l'une ou l'autre des conduites ou drains de décharge 50.

   Lorsque l'objet fini passe autour du rouleau guide 49, il est soumis à l'action d'une certaine quantité d'eau de refroidissement additionnelle pour obtenir la prise finale, grâce à un ou des ajutages 51 recevant également leur alimentation d'eau de la conduite principale ou source 47, et la dirigeant sur le sommet du rouleau 49 et sur le ou les fils qui passent autour de celui-ci, cette eau 6'écoulant vers le bas sur les brins verticaux des fils à   l'extérieur   du caisson d'eau 43, trouvant éventuellement son chemin vers l'un ou l'autre des   fraine   50, et passant également, avec le fil fini, sur et autour du rouleau guide 49 dans l'intérieur du caisson d'eau 45 dans lequel est monté un tambour tournant 52 de manière à plonger dans et par suite entraîner le fil recouvert dans l'eau du caisson 43,

   d'où l'objet   \fil)   finalement froid et portant un recouvrement ayant fait prise,est entrainé vers les blocs ou les bobines d'emma- 

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 gasinement. 



   Il est possible d'omettre la cuve intermédiaire 11, et le , prolongement 16 à travers lequel passe l'objet à traiter dans son trajet dans le bain de zino, ceci comprenant également la suppres- sion des éléments immédiatement associés, et leur fonctionnement, y compris le montage ou logement de la pompe 25 dans la/cuve, la communication du passage 31 avec la cuve, la trappe 32, l'alimen- tation de gaz 23, etc, l'appareil résultant, dans certains cas, pouvant être résuit sensiblement dans ses dimensions et simplifié d'autre façon. Un exemple de ce genre est représenté dans la figu- re 4, et un autre dans la figure 5, étant entendu que toutes les autres, portions de l'appareil, non   re-dessinées   dans ces vues par- ticulières,restent telles qu'en substance divulguées dans la figu- re 2 ou pour des équivalents y substitués..

   Ce qui vient d'être dit se rapporte plus spécialement à la rétention du dôme de gaz, comme 38, (fig.2), la ferm'eture du sommet de celui-ci, comme en 
39, pour former ou procurer l'ouverture de sortie, comme en 40, - de en vue du passage libre   ou%'la   combustion des gaz en cet endroit, l'appareil de refroidissement ou de prise dans le voisinage immé- diat de la   zône     d'assortie   de l'objet recouvert et de gaz ou flam- mes de la zône, etc, ou tel que précédemment glané par l'examen de la forme d'appareil illustré dans la   fig.2.   



   A la lumière des explications qui viennent d'être données, et tout d'abord en se référant particulièrement à la figure 4, on remarquera que 53 représente un compartiment plongeant dans le bain de métal 54, dont le niveau normal est indiqué en 55, et com- portant un fond ouvert 56, le même que les prolongements 16 et 18 de la fig.2, pour permettre à la matière du bain normal de s'éle- ver dans le compartiment.

   Le compartiment'comporte une alimenta- tion 57 pour du gaz non oxydant, propre à remplir les espaces non occupés à l'intérieur du compartiment et au-dessus du niveau nor- mal du bain,   lesdits espaces  s'ouvrant dans et étendant d'une manié- re correspondante l'atmosphère exempte d'oxygène de la portion en dôme 58, arrachée dans la figure et, comme défini, destinée à 

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 posséder la forme et la fonction de la portion en dôme 38 de la   fig.2.   



   Comme élément correspondant à l'écran 36 de la fig.2, on a prévu dans la réalisation considérée de l'invention (fig.4) un écran analogue 59, étant entendu que tous ces écrans sont tubulai- res ou transversalement allongés, ou de toute autre section creuse en relation avec la forme et arrangement des objets qui sont   recou-   verts et qui sont destinés à passer à travers et à être protégés par l'écran. L'écran 59 se projette également vers le bas, à tra- vers le compartiment 53, et, pour la majeure portion de sa longueur, dans et en dessous de la ligne normale du bain 55; il se prolonge à son extrémité supérieure dans l'espace exempt d'oxygène du com- partiment.

   D'un côté de l'écran 59 on a prévu une enveloppe de préférence tubulaire pour partie, qui constitue une chambre de pompe 60 ouverte à son   extrémité.inférieure   61, convenablement sui-      vant une ligne commune à l'extrémité ouverte inférieure de l'écran 59, grâce à quoi tant l'écran 59 que l'enveloppe 60 recevront une partie de la matière du bain dans un état relativement   pur, à   partir d'un point relativement bas dans le bain.

   La paroi 62 de l'enveloppe 60 s'incline vers le haut et se transforme en une embouchure de décharge ou de sortie de l'écran 59, la cloison ou paroi intermédi- aire 63 entre l'écran et l'enveloppe 62 se terminant à faible dis- tance de l'extrémité supérieure de l'écran, afin de procurer un passage 64 entre l'intérieur de l'écran et l'enveloppe. 65 désigne un propulseur ou pompe logé à l'entrée dans l'enveloppe 60, condi- tionné pour âtre entrainé par l'arbre 66 mécaniquement relié   à   une source de force motrice comme une courroie et une poulie, des engre- nages, un moteur, etc., (non représentés). 



   Normalement la matière du bain s'étendra vers le haut dans l'écran 59 approximativement jusqu'au niveau normal du bain 65 ou le bord supérieur de la cloison 63, et la pompe 66, lorsqu'elle est en fonctionnement, refoulera la matière du bain qui, d'une manière semblable, a pénétré dans l'enveloppe et qui sera aspirée dans l'enveloppe par la pompe et entrainée vers le haut dans cette 

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 enveloppe, en sortie à travers le passage 64 dans l'écran, et à travers l'extrémité de décharge supérieure de cet écran, où cette matière s'écoulera et fera retour à la masse principale du bain, 'le mouvement de la matière du bain entrainant et déplaçant vers le haut la matière du bain dans l'écran pour maintenir un courant plus ou moins important de la matière du bain combiné, dans l'é- cran et dans l'enveloppe,

   dans une direction ascendante et en sor- tie de ces organes, afin de supprimer l'occasion pour des oxydes qui se forment de s'accumuler à la surface de la matière du bain, à l'embouchure de décharge de l'écran, où ils seraient   suscepti-   bles d'être entraînés avec la matière recouverte   ascendionnant   à 'travers l'écran. Dans ce cas, le mouvement de la partie de la matière du bain s'écoulant de l'écran étant, comme précédemment, dans la direction générale du mouvement de retrait de l'objet recouvert, présente tous les avantages attribuables à semblable opération et à semblable disposition comme expliqué précédemment. 



   En se référant à la figure 5, le compartiment est repré- senté en 67, immergé et s'ouvrant en 68 dans le bain fondu 69, en un point sensiblement en dessous du niveau 70 du bain. Le   compar-   timent comporte des moyens 71 pour fournir le gaz non oxydant dans l'espace resté libre du compartiment 67, en partie sur la surface normale du bain fondu qui s'y trouve, 72 représentant le dôme ou prolongement de l'atmosphère exempte d'oxygène comme indiqué en référence aux dispositions définies précédemment.

   Dans le présent cas, la plus grande partie du fond du compartiment est fermée comme en 73, et les parois extrêmes 74, ainsi que les parois in- ternes latérales 75, en même temps que les parois latérales ou délimitant externes 76 comprenant/un récipient disposé à une profondeur notable dans le bain fondu, permise par la longueur anormale de la paroi externe 72, comparativement à la profondeur des prolon.. gements 16 et 18 de la figure 2, ou du compartiment 53 de la figure 4. La position relativement basse du récipient qui vient d'être défini, dans le bain fondu, est destinée à satisfaire le but qui va être indiqué.

   L'écran dans le présent cas est désigné 

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 par   77et   s'ouvre à travers le fond 73 du récipient pour   l'admission   et la passage ascendant, à travers cet écran, d'une partie du zinc relativement pur obtenu à cette profondeur dans le bain.

   L'extrémite supérieure de l'écran, c'est à dire la portion formant la décharge de ce dernier, se termine en un point situé sensiblement en dessous de la ligne de bain normale 70, de sorte que l'on dispose toujours d'une force suffisante sur la matière du bain pour déplacer celle-ci vers le haut à travers l'écran et au delà dans le récipient, en obtenant ainsi un écoulement ou courant continu et en évitant tout état tranquille ou immobile de la matière du bain dans l'écran, ce qui permettrait à des oxydes ascendants de s'accumuler et de se former en tapis, permettant aux oxydes ainsi réunis   d'agio   à la manière d'un balai pour réduire sérieusement la quantité de recou- vrement sur l'objet qui les traverse,

   ou de s'attacher et   d'être   entraînés avec l'objet recouvert lors de son passage à travers ce   apis,   en donnant ainsi naissance aux objections notées dans la discussion des objets généraux de l'invention. 



   Pour empêcher l'accumulation inutile de la matière du bain dans le récipient, et de façon que le niveau de cette matière dans le récipient soit toujours maintenu bien en dessous du niveau de débordement 78 de l'écran, on prévoit une sortie 79 située en un point voisin de la base du récipient, en libre communication avec une pompe (non représentée), qui, à une vitesse appropriée , et soit continuellement ou à intervalles, aspirera l'excès de matière du récipient et le ramènera au bain. 



   En raison de l'égalité et de l'uniformité du recouvrement, un grand nombre d'objets peuvent être fabriqués sans faire usage de lubrifiants, car le recouvrement est d'égalité et d'uniformité telles qu'il ne doit pas être lubrifié, le résultat étant que   l'on   évite la nécessité du nettoyage des objets recouverts après   fabrioa-   tion. 



   Un grand avantage obtenu en produisant des objets recouverts exempts d'oxydes et entourés et protégés par une atmosphère exempte d'oxygène jusqu'au moment de la présentation de l'objet recouvert 

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   à l'agent   de refroidissement destiné à assurer la prise ou à fixer le recouvrement, est que le lustre ou l'aspect bleu-blanc naturel du zinc fondu est conservé et maintenu dans l'objet finalement achevé. 



   L'absence d'air dans le dôme à gaz empêche le recouvrement de devenir épais et de viscosité variable (ce qui se produirait s'il était contaminé par l'air), de même qu'un défaut d'uniformité dans le produit final, cette viscosité ou-épaississement résultant du contact de l'air avec le recouvrement avant que ce dernier n'a fait prise ou a été fixé. 



   Dans la galvanisation d'un fil très carburé (câble ou tige ou cable de pont) par les méthodes ordinaires, une grande partie de la résistance à la traction est perdue, tandis que grâce à la métho- de de l'invention on ne note que de faibles réductions dans la résis- tance à traction, en raison de l'immersion de courte durée de l'ob- jet dans le bain de zinc, de la basse température du bain de zinc, du refroidissement immédiat de l'objet lorsqu'il quitte le bain et de la vitesse de déplacement de l'objet à travers le bain. 



     Le traitement qui   est donné à l'objet empêche la recuisson de cet objet, en conservant ainsi dans une large mesure sa résistance initiale. 



   L'écran 35 de la figure 2, l'écran 59 de la fig.4, et l'écran 77 de la fig.5 ne sont pas aussi étendue que la chambre à gaz, en permettant ainsi au zinc qui s'écoule sur les côtés,, de s'écouler autour des extrémités et dans le bain. 



   L'écoulement du bain, sous la pression de la pompe, peut être réglé dans une certaine mesure en accroissant ou en réduis ant la vitesse de la pompe. 



   Le gaz qui est employé pour créer une atmosphère exempte d'oxygène est le gaz naturel ou le gaz d'éclairage. D'autres gaz peuvent être utilisés+

Claims (1)

1. REVENDICATIONS EMI32.1 1.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouvement q ' 4 t d'une partie du dit bain, et à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie mobile du bain et dans la direction générale du mouvement de ce bain..

   2. - La méthode de reoouvrement d'un objet par un métal, qui consiste à immerger cet objet dans un bain approprié de métal de recouvrement fondu, à déterminer le mouvement d'une partie du.dit bain, et à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie mobile du bain et dans la direction générale dû-mouvement de ca bain.

   3.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer ger cet objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer un mouvement d'écoulement d'une partie du dit bain pour empêcher la formation d'un tapis d'oxydes à la surface de la dite partie en écoulement du bain, et à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie en écoulement du bain et dans la direction générale de mouvement de ce bain-.

   4.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à im- merger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouvement d'une partie du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers une partie mobile du bain et dans la direction générale du mouvement de ce bain, et à refroidir le recouvrement lors du retrait du bain de l'objet recouvert.

   5.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immerger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouve- ment d'une partie du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie mobile du bain et dans la direction générale du mouvement de ce bain, à refroidir le recouvrement lors du re= trait de l'objet recouvert du bain, et à protéger l'objet recouvert du contact de l'air lorsqu'il quitte le bain et jusqu'au moment où le recouvrement est refroidi. <Desc/Clms Page number 33>

   6.= La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouvement d'une partie du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie mobile de ce bain et dans la direction générale du mouvement du bain, à refroidir le recouvrement lors du retrait de l'objet recouvert du bain, et à protéger l'objet recouvert du contact de l'air lorsqu'il quitte le bain et jusqu'au moment où son recouvrement est refroidi, en enveloppant l'objet recouvert dans une atmosphère exempte d'oxygène.

   7,- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouvement d'une partie du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la partie mobile du bain et dans la direction générale du mouvement de ce dernier, à refroidir le recouvrement lors du re- trait de l'objet recouvert du bain, et à protéger l'objet recou- vert du contact de l'air, et des contacts abrasifs étrangers, lors- que l'objet recouvert quitte le bain et jusqu'au moment où son re- couvrement est refroidi, en enveloppant l'objet recouvert dans une atmosphère exempte d'oxygène, et en procurant à l'objet recou- vert le libre passage à travers cette atmosphère. EMI33.1

   8<"- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet objet dans un bain de zinc fondu, et à retirer relative-- ment rapidement l'objet recouvert du bain avant la formation de s,n ¯ 1 toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de la partie externe du recouvrement de zinc, de façon à laisser cell.e -..ci sensiblement pure, et à localiser les constituants de ,fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   9.= La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet objet dans un bain de zinc fondu, à extraire l'objet recou- vert du bain après son immersion dans ce dernier pour une période d'approximativement trois à six secondes,afin d'y fixer la matière de recouvrement désirée tandis que l'on évite la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans toute l'étendue de la majeure portion de la partie externe du recouvrement de zinc, <Desc/Clms Page number 34> de façon à laisser celle-oi sensiblement pure,et à localiser les . constituants de fer dans une zone étroite avoisinant la surface nor- mâle de l'objet.

   10.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet objet dans un bain de zinc fondu, à extraire l'objet recou- vert du bain après son immersion dans ce dernier pour une période d'environ trois à six secondes afin de prendre la quantité de mati- ère de recouvrement désirée, tandis que l'on évite la formation de toute quantité appréciable d'alliage zinc-fer dans la majeure por- tion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, en sorte de laisser celle-ci sensiblement pure, et en localisant les consti- tuants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet, le retrait de l'objet recouvert du bain s'effectuant par ascension rapide de l'objet dans une atmosphère exempte d'oxygène,

   en vue de préliminairement refroidie le recouvrement et de protéger celui-ci du contact de l'air, et à soumettre immédiatement l'bo- jet recouvert à un traitement final de refroidissement et de prise du recouvrement avant toute exposition notable de cet objet à l'air.

   11.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet objet dans un bain de zinc fondu, à extraire relativement rapidement l'objet recouvert du bain avant formation de toute quan- tité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, en sorte de laisser celle-ci sensiblement pure,et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet, le retrait de 1'.objet recouvert du bain s'effectuant par une ascen- sion rapide de cet objet dans une atmosphère exempte d'oxygène, en vue de préliminairement refroidir le recouvrement et de proté- ger celui-ci du contact de l'air,

   et à soumettre immédiatement il.-objet recouvert à un traitement final de refroidissement et de prise du recouvrement avant toute exposition notable à l'air de cet objet.

   12.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immerger cet objet dans un bain de zinc fondu, à retirer relati- vement rapidement l'objet recouvert du bain avant formation de <Desc/Clms Page number 35> toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, en sorte de laisser celle-ci sensiblement pure;,et en localisant les constitu- ants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet, et à refroidir le recouvrement avant qu'il n'ait eu une exposition notable quelconque au contact de l'air.

   13.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mouvement d'une partie du dit bain, et à retirer l'objet recouvert du bain à travers la portion mobile de ce bain et dans la direction géné- rale de son mouvement, l'immersion de l'objet recouvert dans le bain de zinc étant de durée relativement courte et prenant fin avant la formation de tbute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie extérieure du recouvre- ment, afin de laisser celle-ci sensiblement pure,et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   14.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer un mouve- ment d'une portion du dit bain afin de prévenir la formation d'un tapis d'oxydes à la surface de la dite portion en état d'écoule- ment du bain, et à retirer l'objet recouvert du bain à travers la portion du bain en état d'écoulement et dans la direction générale de mouvement de cette portion, l'immersion de l'objet recouvert dans le bain de zinc étant de durée relativement courte et prenant fin avant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc- fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvre- ment de zinc, afin de laisser celle-ci sensiblement pure,et en loca- lisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   15.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- de zinc ger l'objet dans un bain fondu, à déterminer un mouvement d'une portion du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la portion mobile du bain et dans la direction générale de mouve- <Desc/Clms Page number 36> ment de cette dernière, et à refroidir le recouvrement au retrait de l'objet recouvert du bain, l'immersion de l'objet recouvert, dans le bain de zinc, étant de durée relativement courte, et se termi- nant avant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer, dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, afin de laisser celle.-ci sensiblement pure,et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   16.- La méthode pour galvaniser un objet , qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer un mouvement d'une portion du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la portion mobile du bain et dans la direction générale de mouvement de cette dernière, l'immersion de l'objet recouvert dans le bain de zinc étant de durée relativement courte et prenant fin avant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, afin de laisser celie-ci sensiblement pure,et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   17.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer un mouvement d'une portion du dit bain, à extraire l'objet recouvert du bain à travers la portion mobile du bain et dans la direction générale de mouvement de cette dernière, à refroidir le recouvrement au retrait de l'objet recouvert du bain, et à protéger l'objet recouvert du contact de l'air lorsqu'il quitte le bain et jusqu'au moment où son recouvrement est refroidi, en enveloppant l'objet recouvert dans une atmosphère exempte d'oxygène, l'immersion de l'objet re- couvert dans le bain de zinc étant de durée relativement courte et prenant fin avant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, afin¯de laisser cellé-ci sensiblement pure,

   et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisiant la surface normale de l'objet. <Desc/Clms Page number 37>

   18.= La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immerger l'objet dans un bain de zinc fondu, à déterminer le mou- vement d'une portion du dit bain, à extraire du bain l'objet re- couvert 'à travers la portion mobile du bain et dans la direction générale de mouvement de cette dernire, à refroidir le recouvre- ment au retrait de l'objet recouvert du bain, et à protéger l'objet recouvert du contact de l'air et de contacts abrasifs étrangers, lorsque l'objet recouvert quitte le bain et jusqu'au moment où son recuuvrement est refroidi, en enveloppant l'objet recouvert dans une atmosphère exempte d'oxygène et en permettant le libre passage de l'objet recouvert à travers cette atmosphère,

   l'immersion de l'objet.recouvert dans le bain de zinc étant de durée relativement courte et prenant fin avant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans la majeure portion de toute la partie externe du recouvrement de zinc, afin de laisser celle-ci sensi. blement pure,et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisinant la surface normale de l'objet.

   19.- La méthode pour galvaniser un objet,-qui consiste à immerger cet objet dans un bain de zinc fondu, et à retirer l'objet recouvert du bain de zinc après qu'il y a été immergé pendant une période d'environ trois à six secondes, de façon à prendre la ma- tière de recouvrement désirée tout en évitant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans l'ensemble de la majeure portion du recouvrement de zinc, afin de laisser celle-ci sensible- ment purent en localisant les constituants fer dans une zone étroi- te avoisinant la surface normale de l'objet.

   20.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à immer- ger cet.objet dans un bain de zinc fondu, et à retirer l'objet re- couvert du bain après qu'il y a été immergé pendant une période d'environ trois à six secondes, de façon à prendre la matière de recouvrement désirée tout en évitant la formation de toute quantité notable d'alliage zinc-fer dans l'ensemble de la majeure portion du recouvrement de zinc afin de laisser celle-ci sensiblement pure, et en localisant les constituants fer dans une zone étroite avoisi- <Desc/Clms Page number 38> nant la surface normale de l'objet, le retrait de l'objet recouvert du bain s'effectuant par une ascension rapide-de cet objet dans le bain et dans une atmosphre exempte d'oxygène,pour préliminairement refroidir le recouvrement et protéger celui-ci de l'action de l'air,

   après et à soumettre immédiatement 1 objet recouvert à un traitement de refroidissement final et de prise avant toute exposition notable à l'air de cet objet.

   21.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à y appliquer de la matière de recouvrement fondue, à protéger le re- couvrement alors que, relativement, il ne se trouve pas encore dans son état de "prise", en introduisant l'objet recouvert, immédiate- ment après l'application du recouvrement, dans une chambre protec- trice remplie de gaz non oxydant, à faire sortir l'objet recouvert de la dite chambre tout en permettant au gaz de s'échapper dans une situation adjacente à l'objet extrait, et à fixer finalement le recouvrement à la,sortie de l'objet recouvert de la dite chambre, et à brûler le gaz s'échappant de la chambre dans une situation adjacente à l'objet recouvert extrait et au voisinage de la zone où s'effectue la "prise" finale,

   de façon à éviter toute tendance de l'air de pénétrer dans la chambre dans la région d'évacuation de l'objet recouvert et du gaz associé et à protéger également l'objet recouvert de toute exposition notable à l'air avant la prise finale du recouvrement.

   22.- La méthode pour galvaniser un objet, qui consiste à y appliquer de la matière de recouvrement fondue,-à protéger le recouvrement alors que, relativement, il ne se trouve pas encore dans son état de "prise",en introduisant l'objet recouvert, immé- diatement après l'application du recouvrement, dans une chambre protectrice remplie de gaz non oxydant, à faire sortir l'objet recouvert de la dite chambre tandis que l'on permet au gaz de s'échapper dans une situation adjacente à l'objet recouvert extrait, et à brûler le gaz s'échappant de la chambre afin de prévenir toute tendance de l'air de pénétrer dans la chambre. <Desc/Clms Page number 39>

   23.- La méthode pour galvaniser un. objet, qui consiste à faire passer le dit objet à travers une atmosphère exempte d'oxygène occupant une chambre recouvrant en partie un bain de zinc fondu, ' grâce à quoi une partie de la surface du bain,et l'objet qui pé- nètre dans ce dernier, sont recouverts et entourés par ladite atmosphère, à faire passer l'objet de la dite atmosphère dans le dit bain, à déterminer un mouvement d'une portion du dit bain, et extraire l'objet recouvert du bain à travers la portion mobile du bain et dans une atmosphère exempte d'oxygène.préalablement à un traitement subséquent.

   24.- Dans un appareil de la nature décrite, en. oombinaison, un bain de matière fondue, des moyens pour déterminer un mouvement d'une portion du dit bain, et des dispositifs pour introduire l'objet à recouvrir dans le bain, et pour extraire l'objet recou- vert à travers la portion mobile du bain dans la direction généra- le de mouvement de cette dernière.

   25.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, et des moyens pour préserver l'objet revouvernt de matières nocives flottantes sur ce bain, y compris un écran s'étendant à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, afin de recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour y permettre le passage de l'objet recouvert, et des moyens pour déterminer le mouvement de sortie de la matière du bain ,de l'écran, dans la direction de mouvement de l'objet recouvert.

   26.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, et des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur ce bain, y compris un écran s'étendant à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, afin de recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur compara- t,ivement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant <Desc/Clms Page number 40> conditionné pour y permettre le passage de l'objet recouvert, et l'agencement des organes et parties étant tel que la matière du bain se meut en sortie dans l'écran dans la direction de mouvement de l'objet recouvert. EMI40.1

   27.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, y 0 * ' compris un écran étendu, à son extrémité inférieure, jusqu'à une profondeur notable dans le bain afin de recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la par- tie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné ZIXPZZZM iBBXXOByBN. pour y permettre le passage de l'objet recouvert, et ce moyen comprenant un passage et-'étendant vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain- jusque dans l'extrémité supérieure de l'écran, et des moyens pour obliger la. matière du bain à.

   se mou- voir à travers ce passage, dans et en sortie de l'écran, et entrai- nant et déplaçant la matière du bain simultanément dans l'écran.

   28.. Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'ob- jet à recouvrir dans le dit bain, des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, y compris un écran prolongé à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, pour recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, ce moyen comprenant un passage menant depuis la matière du bain jusque dans la partie supérieure de l'écran et permettant à une partie beaucoup plus gran- de de l'écran de pendre et d'être immergée dans le bain fondu, et du bain des moyens pour obliger de la matière à se mouvoir à travers le dit passage,

   dans et en sortie de l'écran, tandis que l'on empêche l'accumulation dematières étrangères dans ou sur la matière du bain, dans l'écran. <Desc/Clms Page number 41>

   29.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de 'l'objet à recouvrir dans le dit bain, des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, y compris un écran prolongé à son extrémité inférieure à une profon- deur notable dans le bain, pour recevoir une portion du bain cons- tituée de métal relativement pur comparativement à la partie super- ficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, ce moyen comprenant un passage dirigé vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain jusque dans l'extrémité supérieure de l'écran, et des moyens pour obliger de la matière du bain à se mouvoir à travers le dit passage,

   dans et en sortie de l'écran, et entrainant et déplaçant de la matière du bain simultanément dans l'écran, ces moyens comprenant une cuve et des moyens puur refou- ler de la matière du bain, prise en un point relativement bas dans le bain, dans la dite cuve, et amener cette matière à s'élever à un niveau notablement'plus élevé que le niveau normal du bain, le passage dirigé vers le haut et l'extérieur s'étendant depuis un point bas dans la'cuve jusqu'à l'écran, et la décharge de cet écran étant disposée en un point situé au dessus du dit niveau normal du bain,dans la cuve.

   30.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, des moyens pour préserver l'objet recouvert de matière nocives flottantes sur le bain, com- prenant un écran prolongé à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, pour recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, ce moyen comprenant un passage menant depuis la matière du bain jus- que dans la partie supérieure de l'écran,,et permettant à une par- tie beaucoup plus longue de l'écran de pendre et d'être immergée <Desc/Clms Page number 42> du bain dans le bain fondu,

   et des moyens pour obliger de la matière à se mouvoir à travers le dit passage, dans et en sortie de l'écran, tan dis que l'on empêche l'accumulation de matières étrangères dans ou sur la matière du bain dans l'écran, ces moyens comprenant une cuve et des moyens pour refouler de la matière du bain, dans la dite ouv et amener cette matière à s'élever dans la cuve à un niveau notable- ment plus élevé que le niveau normal du bain, le passage s'étendant depuis un point bas dans la cuve jusqu'à l'écran, et la décharge de l'écran étant disposée au dessus du dit niveau normal du bain et en dessous du niveau de la matière du bain dans la cuve.

   31.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, com- prenant un écran , prolongé à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, afin de recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la par- tie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné.

   pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, ce moyen comprenant un passage dirigé vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain jusque dans l'extrémité supérieure de l'écran, et des moyens pour obliger de la matière du bain à se mouvoir à travers le dit passage, dans et en sortie de l'écran, et entrainant et déplaçant de la matière du bain, simultanément, dans l'écran, ces moyens comprenant un logement joignant l'écran, pen- dant à une profondeur notable dans le bain et en communication libre à son extrémité supérieure avec la partie supérieure de l'écran, et une pompe, disposée dans le logement, pour refouler de la matière du bain vers le haut, à travers et en sortie de l'extrémité supéri- eure de l'écran.

   32.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, et des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, y <Desc/Clms Page number 43> compris un écran, prolongé à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain, pour recevoir une portion du bain constituée par du métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, et ce moyen comprenant un passage dirigé vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain jusque dans l'extrémité supérieure de l'écran, et des moyens pour obliger la matière du bain à se mouvoir à travers le dit passage, dans et en sortie de l'écran,

   et entrainant et déplaçant la matière du bain, simultanément, dans l'écran, ces moyens comprenant un logement à travers le fond duquel l'écran s'ouvre vers ou au bain, et dont la paroi s'étend vers le haut jusqu'à un niveau notablement au de décharge delà de 1'extrémité/supérieure de l'écran, cette dernière étant située bien en dessous du niveau normal du bain.

   63.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, et des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, comprenant un écran, prolongé à son extrémité inférieure jusqu une profondeur notable dans le bain afin de recevoir une portion du bain constituée par du métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné- pour permettre à l'objet recouvert de le traverser, et ce moyen comprenant un passage dirigé vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain jusque dans l'ex- trémité supérieure de l'écran, des moyens pour obliger de la ma- tière du bain à se mouvoir à travers le dit passage, dans et en sortie de l'écran,

   et entrainant et déplaçant la matière du bain simultanément dans l'écran, ces moyens comprenant un logement à travers le fond duquel le dit écran s'ouvre vers et au bain et dont la paroi s'étend vers le haut jusqu'à un niveau notablement au delà de l'extrémité de décharge supérieure de l'écran, cette dernière étant disposée bien en dessous du niveau normal du bain, <Desc/Clms Page number 44> et des moyens pour extraire la matière du bain débordant de l'écran dans le dit logement.

   34.- Dans un appareil de la nature décrite, en combinaison, un bain de métal fondu, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le dit bain, et des moyens pour préserver l'objet recouvert de matières nocives flottantes sur le bain, com- prenant un écran, prolongé à son extrémité inférieure jusqu'à une profondeur notable dans le bain afin de recevoir une portion du bain constituée de métal relativement pur comparativement à la partie superficielle du bain, le dit écran étant conditionné pour permettre à l'objet recouvert de le traver- ser, et ce moyen comprenant un passage dirigé vers le haut et l'extérieur, menant depuis la matière du bain jusque dans l'extrémi- té supérieure de l'écran,

   des moyens pour obliger de la matière du bain à se mouvoir à travers le dit passage, dans et en sortie de l'écran, et entrainant et déplaçant la matière du bain, simultané- ment, dans l'écran, ces moyens comprenant un logement, à travers le fond duquel le dit écran s'ouvre vers ou au bain, et dont la paroi s'étend vers le haut jusqu'à un niveau notablement au delà de l'extrémité de décharge supérieure de l'écran, cette dernière étant disposée bien en dessous du niveau normal du bain, et des moyens pour extraire la matière du bain s'écoulant par dessus l'écran dans le logement, et ramener la dite matière dans le bain.

   35.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaisori, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et comportant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant,à son extrémité inférieure, dans le bain et dans le dit espace dans le compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la matière du bain en sortie par l'extré- mité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à re- couvrir dans le bain et le retrait de l'objet recouvert, vois le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, et des moyens pour remplir le dit espace dans le compartiment d'une <Desc/Clms Page number 45> atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recouvert émergeant de l'écran ou extrait de ce dernier.

   36,- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et comportant un espace notable en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant, à son extrémité inférieure, dans le bain et, à son extrémité supérieure, en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer le mouve- ment de la matière du bain, en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer 1'immersion de l'objet à recouvrir dans le bain et le retrait de l'objet recouvert, versle haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour rem- plir le dit espace du compartiment d'une atmosphère exempte d'oxy- gène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recouvert émergeant ou extrait de l'écran, un dôme au des- sus du compartiment, qui forme un prolongement de l'espace d'atmos- phère exempte d'oxygène, le dit dôme comportant une sortie pour l'objet recouvert.

   37.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert au bain et pré- sentant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant, à son extrémité inférieure, dans le bain et, à son extrémité supérieure, en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la matière du bain en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le bain et le retrait de l'objet recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace dans le compartiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de cet écran et l'objet recouvert émergeant ou retiré de l'écran, un dôme au dessus <Desc/Clms Page number 46> du compartiment, qui forme un prolongement de l'espace d'atmosphère exempte d'oxygène, le dit dôme comportant une sortie commune pour l'objet recouvert et le gaz.

   38.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et présen- tant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant à son extrémité inférieure dans le bain et, , à son extrémité supérieure, en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la matiè- re du bain, en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le bain et le retrait de l'objet recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace du com- partiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recouvert émergeant ou retiré de l'écran, un dôme au dessus du compartiment , formant un prolongement de l'espace d'atmosphère exempte d'oxygène, le dit dôme comportant une sortie commune pour l'objet recouvert et du gaz, la dite sortie constituant un bout ou ajutage de brûleur, au voisina- ge duquel le gaz peut être brûlé avec de l'oxygène environnant cette sortie.

   39.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et présen- tant une étendue notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant à son extrémité inférieure dans le bain et, à son extrémité supérieure, en dbhora du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la matière du bain en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le bain, et le retrait de l'objet recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace du compartiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recou- <Desc/Clms Page number 47> vert émergeant, ou retiré, de l'écran, un dôme au dessus du compar- timent, formant un prolongement de l'espace exempt d'oxygène, le dit dôme comportant une sortie commune pour l'objet recouvert et du gaz, et des moyens, adjacents au dôme, pour traiter le recouvre- ment, afin de "fixer" ce dernier.

   40.- Bans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et présen- tant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant à son extrémité inférieure dans le bain et, à son extrémité supérieure, en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment , des moyens pour déterminer le mouvement de la matière du bain, en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'immersion de l'objet à recouvrir dans le bain et le retrait de l'objet recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace du compartiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recoud- vert émergeant ou retiré de l'écran, un dôme au dessus du comparti- ment, qui forme un prolongement de l'espace exempt d'oxygène, le dit dôme possédant une sortie commune pour l'objet recouvert et du gaz, et la dite sortie constituant un bout ou ajutage de brûleur au voisinage duquel le gaz peut être brûlé avec de l'oxygène environ, nant la dite sortie, et des moyens, adjacents à la sortie du dôme, pour traiter le recouvrement afin de "fixer" ce dernier.

   41.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et présen- tant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant dans le bain à son extrémité inférieure et, à son extrémité supérieure,en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la matière du bain en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière sera ramenée au bain, des moyens pour déterminer l'im- mersion dans le bain de l'objet à recouvrir et le retrait de l'objet <Desc/Clms Page number 48> recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace du compartiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant 1'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recouvert émergeant ou retiré de l'écran, un dôme au dessus du compartiment, qui forme un prolon- gement de l'espace d'atmosphère exempt d'oxygène, le dit dôme coma' portant une sortie commune pour l'objet recouvert et du gaz, et des moyens, adjacents à la sortie du dôme, pour traiter le recouvrement afin de le fixer ou d'assurer sa prise, l'agencement et les rela- tions fonctionnelles entre les espaces exempts d'oxygène dans le compartiment communiquant , et le dôme, la sortie de ce dernier,.et les moyens adjacents pour assurer la prise du recouvrement, étant tels qu'à partir du moment où l'objet pénètre dans l'écran et jus- qu'au moment où il a passé à travers l'écran, le compartiment, le dôme,

   la sortie du dôme et au delà dès moyens de traitement, le dit objet recouvert a devant lui un passage libre, ne comportant pas d'obstructions, ni pratiquement de frottement, balayage, lavage préjudiciables, ou abrasion par des substances ou objets étrangers, et est protégé du contact ou de la contamination par l'air durant tout ce déplacement.

   42.- Dans un appareil de la classe décrite, en combinaison, un bain de matière fondue, un compartiment ouvert à ce bain et présen- tant un espace notable, en partie au dessus du niveau normal du bain, un écran s'étendant dans le bain à son extrémité inférieure et à son extrémité supérieure, en dehors du bain et dans le dit espace du compartiment, des moyens pour déterminer un mouvement de la ma- tière du bain en sortie par l'extrémité ouverte de l'écran, grâce à quoi cette matière est ramenée au bain, des moyens pour détermi- ner l'immersion dans le bain de l'objet à recouvrir et le retrait de l'objet recouvert, vers le haut, à travers l'écran et la matière du bain qui s'y trouve, des moyens pour remplir le dit espace dans le compartiment d'une atmosphère exempte d'oxygène entourant l'écran,

   la matière du bain débordant de l'écran et l'objet recouvert émer- geant ou retiré de l'écran, un dôme au dessus du compartiment, qui <Desc/Clms Page number 49> forme un prolongement de l'espace d'atmosphère exempte d'oxygène, le dit dôme comportant une sortie commune pour l'objet recouvert et du gaz, et la dite sortie formant un bout ou ajutage de brûleur au voisinage duquel le gaz peut être brûlé avec de l'oxygène envi- ronnant la dite sortie, et des moyens, adjacents à la dite sortie du dôme, pour traiter le recouvrement afin de fixer ou déterminer la prise de ce dernier, l'agencement et les relations fonctionnel- les entre les espaces exempts d'oxygène dans le compartiment com- muniquant et le dôme, la sortie de ce dernier, et les moyens adja- cents déterminant la prise du recouvrement,

   étant tels qu'à partir du moment où l'objet recouvert pénètre dans l'écran, et jusqu'au moment où il a passé à travers l'écran et le compartiment, le dôme, la sortie du dôme, et au.delà des moyens de traitement, le dit objet recouvert a devant lui un passage libre, ne comportant pas d'obstrue. tions ni pratiquement de frottement, balayage, lavage préjudicia- ble, ou d'abrasion par des substances ou objets étrangers et est protégé du contact ou de la contamination par l'air durant tout ce déplacement. EMI49.1

   4.- Un objets fer ou d'acier, pourvu d'un recouvrement relativement fort ou épais de zinc, appliqué par galvanisation à chaud, le dit recouvrement comportant une quantité minimum de cons ¯Rot5U1'ne- ...... tituant fer, ce dernier étant concentré dans une étendue relative- ment mineure ou réduite du recouvrement avoisinant immédiatement l'objet, et comprenant du zinc sensiblement ou pratiquement pur dans ...... une étendue relativement majeure du recouvrement.

   44.- Un objet de fer ou d'acier, pourvu d'un recouvrement de zinc relativement fort ou épais et sensiblement exempt d'oxydes, appliqué par galvanisation à chaud, le dit recouvrement comportant une quantité minimum de constituant fer, ce dernier étant concentré dans une étendue relativement mineure ou réduite du recouvrement, avoisinant immédiatement l'objet, et comprenant du zinc sensible- ment ou pratiquement pur dans une étendue relativement majeure du recouvrement.

   45.- Un objet de fer ou d'acier, comportant un recouvrement fort <Desc/Clms Page number 50> ou épais, non balayé, de zino, appliqué par galvanisation à chaud, ce recouvrement ne comportant que la quantité d'alliage de zinc-fer et de cristaux de zinc-fer engendrée durant la plongée dans et le retrait rapide de l'objet du bain de recouvrement, les dits alliage de zinc-fer et cristaux de zinc-fer étant concentrés dans une éten- due relativement réduite du recouvrement, avoisinant immédiatement répartis l'objet, et/dans une étendue relativement majeure du recouvrement de zinc, dans laquelle des traces largement dispersées et sans imper* tance, de fer, sont inévitablement présentes.

   46.- Un objet galvanisé, dont le recouvrement comporte un pare- ment ou revêtement relativement fort ou épais de zinc relativement pur, uni, dense, sensiblement ou en substance dépourvu d'oxydée et d'alliage zinc-fer ou de cristaux zinc-fer, caractérisé par un aspect extérieur résultant qui est bleu-blanc brillant (de zinc naturel), et possédant un degré élevé correspondant de ductilité et de conduc- tibilité électrique, et une couche relativement mince de zinc rela- tivement impur, recouvrant immédiatement ou directement l'objet, la dite couche comprenant de l'alliage zinc-fer et des cristaux zinc-fer, et les dits alliage zinc-fer et cristaux zinc-fer ne re- présentant que ce qui est inévitable dans l'immersion de l'objet dans un bain de zinc chaud pour y appliquer le recouvrement 47.= Un objet galvanisé,

   dont le recouvrement a été appliqué par galvanisation à chaud,et qui comporte un parement ou revêtement relativement fort ou épais de zinc relativement pur, uni, dense, sensiblement ou en substance exempt de vides et dépourvu d'oxydes et d'alliage zinc-fer ou de cristaux zinc-fer, caractérisé par un aspect extérieur résultant qui est bleu-blanc brillant (de zinc naturel), et possédant un degré élevé correspondant de ductilité et de conductibilité électrique, et une couche relativement mince de zinc relativement impur, recouvrant immédiatement ou directement l'objet, la dite couche comprenant de l'alliage zinc-fer et des cristaux zinc-fer se présentant dans une proportion approximative comprise entre un et deux pour cent de la masse constituant le recouvrement entier. <Desc/Clms Page number 51>

   48.- Un objet de fer ou d'acier, comportant un recouvrement relativement fort ou épais, dense, de zinc, appliqué par galvanisa- tion à chaud, le dit recouvrement étant sensiblement, ou en sub- stance, exempt d'oxydes, d'épaisseur uniforme, et présentant une surface extérieure lisse, ayant le lustre du zinc naturel, et com- portant un minimum de constituant fer, ce dernier étant concentré dans une étendue relativement mineure ou réduite du recouvrement, avoisinant immédiatement l'objet, et, dans une étendue relativement majeure du recouvrement, du zinc sensiblement, ou en substance pur 49.- Un objet de fer ou d'acier, comportant un recouvrement de zinc relativement fort ou épais, dense, appliqué par galvanisa- tion à chaud, ce recouvrement étant sensiblement, ou en substance, exempt d'oxydes et ne comprenant qu'un minimum de constituant fer,

   en sorte d'être ductile et de supporter le pliage et la déforma- tion sans fendillement, écaillage ou réduction en poussière, le constituant fer étant concentré dans une étendue relativement mineure ou réduite du recouvrement avoisinant immédiatement l'objet et, dans une étendue relativement majeure, le recouvrement compre- nant du zinc sensiblement, ou en substance pur.

   50. Un produit galvanisé comprenant un organe de base en fer ou acier, et sur cette base un recouvrement uni ou lisse, dense, d'épaisseur notable, le dit recouvrement comprenant dans toute la majeure portion de son épaisseur un corps formé de zinc sensible= ment , ou en substance, pur, exempt de vides, et la portion restan- te de l'épaisseur du recouvrement étant adhérente à la base et différent de cette majeure portion du recouvrement par la locali- sation de l'alliage zinc-fer inhérent, provenant du traitement thermique conjoint à l'application du recouvrement sur la base.

   51.- La méthode pour recouvrir de métal un objet en fer ou acier, qui consiste à immerger l'objet dans un bain fondu, à rame- ner l'objet recouvert dans une atmosphère gazeuse non oxydante, en le faisant passer à travers une certaine quantité de matière du bain fondue, exposée à la dite atmosphère et maintenue en mou- vement afin de prévenir les accumulations d'oxydes, d'écume et <Desc/Clms Page number 52> autres matières nocives flottantes sur la surface à travers laquelle l'objet recouvert émerge du bain.

   52.- Un objet de fer ou d'acier comprenant un recouvrement de zinc relativement fort ou épais et en substance exempt d'oxydes, ce recouvrement comportant un minimum de constituant fer, ce dernier étant concentré dans une étendue relativement mineure, ou réduite, du recouvrement avoisinant immédiatement l'objet et, dans une éten- due relativement majeure, le recouvrement comprenant du zinc sensi- blement, ou en substance pur, la surface extérieure du recouvrement étant unie ou lisse et exempte de vides et le recouvrement combiné étant en substance non poreux dans toute son étendue.