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Distributeur automatique de vente avec récipients à marchandises irradiés en secteurs.
.parmi lesdistributeursautomatiques, ceux qui sont acces- sibles de tous côtés et notamment ceux qui sont destinés à être posés sur une table constituent une espèce particulière, qui doit satisfaire à des conditions particulières d'organisation, en ce qui concerne la constitution de l'enveloppe et l'aecessi- bilité, parce que les marchandises ou produits contenus dedans doivent être bien visibles de tous côtés, D'ailleurs, l'accès à une marchandise déterminée ne peut en règle générale être disposé qu'en un endroit déterminé, de telle manière qu'un récipient à marchandise quelconque et l'accès puissent être amenés en coin- cidence au choix, de sorte qu'après introduction d'une pièce de monnaie une marchandise désirée devienne accessible,
La disposition de plusieurspoints d'accès rend l'organisation ou constitution du distributeur automatique inéconomique. ces distributeurs automatiques comportent ordinairement des récipients à marchan-
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dises disposés sous la forme d'un plateau tournant, qui ne peut recevoir dans chaque cas, suivant son diamètre, qu'un nombre très limité de récipients à marchandises ou secteurs ou compar- timents, le plussouvent de 8 à 10. Ce nombre de compartiments est généralement beaucoup trop faible pour les besoins pratiques et également incommode. En effet, un remplissage trop fréquent est nécessaire, pui surtout lesmarchandises ne peuvent être distribuée qu'à un seul prix ; enfin il n' e st pas prévu de retrait sélectif des marchandises.
Il n'y a également pas de compensation lorsque par exemple six distributeurs automatiques comportant chacun douze compartiments sont posés o8te-à-c8te, parce que ces six distributeurs occupent naturellement beaucoup trop de place. Les distributeurs automatiquesde ce genre ne peuvent par conséquent soulager le service en aucune manière, notamment dans lesrestaurants et bar s aux heuresde grande affluence où pourtant leur assistance serait très désirable et avantageuse.
La présente invention a pour objet un distributeur automatique étudié pour permettre d'y placer un très grand nombre de marchandises ou produits différents de prix divers (par exemple 72 produits) pouvant être retirés dans un ordre de succession quelconque, mais qui malgré cela peut être placé sur une table et qui est en conséquence en mesure d'assurer un service automatique des clients, notamment aux heures de forte affluence, en soulageant ainsi le personnel. ue distributeur automatique perfectionné utilise également des récipients à marchandises disposés à la manière de secteurs, qui peuvent être amenés en coïncidence avec une ouverture d'accès commune et il est remarquable en particulier en ce que les récipients ou casiers à marchandises sont disposés en plusieurs étages placés immédiatement au-dessus les uns des autres.
Les divers étagesdes récipients à marchandisespeuvent avantageusement recevoir un fond intermédiaire commun, Ceci donne avant tout la possibilité de constituer les récipients à marchandises par une matière transparente (le cas échéant du verre) de façon que tous
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les produits soient bien visibles, mais permettent malgré cela une vue d'ensemble. Les récipients à marchandises peuvent être constitués sou s la forme de plateaux tournants.
Dans ce cas, chaque plateau tournant possède sa porte munie d'un dispositif à pièces de monnaie particulier qui peut être accouplé impérativement avec les récipients à marchandisesde telle manière que, en cas de non-coïncidence d'un récipient avec l'ouverture de la porte, il amène ce récipient dans cette position de coincidenoe, mais qui est inversement ramené dans la position de fermeture par lesrécipients à marchandisesavancés, il n'est donc pas nécessaire de refermer à la main une porte qui a été ouverte.
Le mode de construction particulier du distributeur automatique offre en outre la possibilité d'y placer un réservoir à glace pour les produits qui ont besoin d'être refroidis. De même, il est possible d'éclairer le distributeur automatique de l'intérieur.
,Les dessins annexés illustrent un exemple de réalisation de l'invention.
La fig,l est une vue en élévation de face du distributeur automatique,
La fig.2 est une vue en coupe verticale suivant la ligne 2-2 de la fig.l,
La fig.3 est une vue en coupe horizontale suivant la ligne 3-3 de la fig.2.
La fig.4 est une vue en coupe partielle suivant la ligne 4-4 de la fig.5.
La fig.5 est une vue en coupe partielle horizontale suivant la ligne 5-5 de la fig.4.
La fig.6 est une vue en coupe partielle horizontale suivant la ligne 6-6 de la fig.4.
Les figs.7 et 8 sont deux vues en coupe verticale partielles suivant la ligne 7-7 de la fig.5 maismontrant deux positions
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différentes de l'enoliquetage.
La fig.9 est une vue en élévation avec coupes partielles verticales d'une construction un peu différente du distributeur automatique.
Une colonne creuse b est montée à rotation grâce à un pivot b' dans un socle a qui peut être creux et qui peut par exemple recevoir le tiroir caisse u. cette colonne porte un plateau ou disque c de stiné à supporter un certain nombre de récipients à marchandises d affectant par exemple la forme de plateaux tournantset qui sont subdivisés par descloisons radiales d' en secteurs au nombre de douze par exemple. Les plateaux d reposent directement les uns sur les autres, de sorte qu'il n'y a pas entre eux de mécanisme d'entraînement ou autre dispositif servant à la commande du distributeur automatique. En conséquence, l'utilisation de couvercles particuliers pour les divers récipients à marchandisesest également superflue.
Bien au contraire, ces récipients peuvent présenter des fonde intermédiaires communs d et sont avantageusement en matière transparente, telle que verre, résine artificielle, etc. Le nombre de dents du plateau e formant rochet corre spond au nombre dessecteurs, par exemple douze, un cliquet e' monté en e" sur le socle et soumis à l'action d'un ressort e"'ne permet aux récipientsà marchandises de tourner au moyen de la colonne b que dans un seul sens, dans l'exemple représenté en sens contraire aux aiguilles d'une montre.
pour permettre de sentir à la main les positions de coincidence de s ouvertures deréservoirs à marchandisesavec l'ouverture de la porte, on peut aussi prévoir une rangée de crans, par exemple en faisant dans les entredents du rochet e, à l'endroit voulu, des crans ou évidements w dans lequel le cliquet e' s'engage nettement par son extrémité arrondie, de sorte qu'en faisant tourner les récipients à marchandises on sent une résistance, petite il est vrai, maistout de même remarquable. Lesrécipients à marchandises sont alors également maintenus fixement dans la
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position de coïncidence déterminée par cette rangée de crans.
Quatre colonnes f, f, f', f" sont implantées dans le socle les deux colonnes f peuvent présenter une section semblable, tandisque lesdeux colonnesf' et f" sont rationnellement constituéessous la forme de barresen U ouvertesl'une versl'autre.
Desvitres ± sont articuléesen par exemple sur lescolonnes f et sont maintenues dans leurs positions de fermeture par le couvercle a' servant à guider en haut la colonne centrale .± et s'engageant par une collerette a" sur ces vitres g. Un écrou e formant chapeau est vissé sur l'extrémité libre de la colonne centrale b et porte une poignée c' à l'aide de laquelle on peut faire tourner l'ensemble de la pile desdivers récipients à marchandises dans le sens permis par le rochet e.
Lorsqu'on desserre l'écrou c, qui peut être fixé de façon appropriée, le couvercle a' peut être soulevé ou retiré et les vitres g peuvent être ouvertespour le nettoyage du distributeur automatique de même que pour donner accès aux divers récipients à marchandises.
Les portes k permettant l'accèsaux récipient à marchandisessont placéesentre lescolonnes f' et f", chaque étage des récipients à marchandisesa sa porte particulière k, Le guidage de cesportes est assuré par desbarres horizontales i disposées sur lescolonnes f' et f" qui comportent un guide antérieur i' ainsi qu'un guide postérieur i" pour diriger le mouvement en arc de cercle de la porte également arquée, Une zone dont la largeur est égale à la moitié de la distance séparant les deux co- lonnes f' et f" (dans l'exemple représenté la moitié gauche) est couverte par une vitre g" qui peut être fixée en haut par la collerette a" de la même manière que les vitres g.
Chaque porte est munie d'une poignée k" et comporte une ouverture n pour l'introduction despièces de monnaie ainsi qu'un couloir à pièces de monnaie n', et un conduit de dériva tion n" pour les pièces fausses. La porte contient, en outre,
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également le vérificateur de monnaie usuel qui peut être d'un type quelconque et qui n'est pas représenté. Lespièces de monnaie z glissent dans le couloir n' jusque devant la paroi antérieure p' de la porte k. La butée postérieure v du couloir à pièces de monnaie n' (fig.4) est placée à l'endroit voulu dans chaque cas suivant le nombre de pièces de monnaie avec lequel le distributeur automatique doit fonctionner.
De pièces v' formant butée peuvent être placées dans le couloir n' à pièces de mon naie lorsque le distributeur automatique doit fonctionner par exemple avec seulement deux ou une seule pièce de monnaie.
Les piècesde monnaie z sont guidéesde telle façon que celle qui se trouve en avant fasse un peu saillie par rapport à la porte k à travers sa paroi antérieure p' et bute contre un levier à deux bras c' - o" monté en o devant la porte sur la barre glissière inférieure i. La portée de mouvement de ce levier à deux bras est limitée par exemple au moyen d'une glissière arquée 1 (fig.5) dans laquelle il est guidé par un ergot, de sorte qu'il peut exécuter des mouvements de rotation repré sentant un angle droit. si aucune pièce de monnaie n'est introduite, la porte ne peut être ouverte que très peu (de quelques millimètres) puisqu'elle atteint par sa paroi antérieure p' le levier à deux bras o'-o" et bute contre lui, de sorte que ce levier ne peut pas tourner et fonctionne comme verrou transversal.
par contre, si le nombre nécessaire de pièces de monnaie z est introduit, la porte pousse, lorsde son mouvement d'ouverture, au moyen de la pièce antérieure z contre le bras extérieur o" du levier à deux bras o'-o" et fait pivoter ce levier de la position transversale à la position tangentielle. Le bras c' pivote alors en passant par une fente p" pratiquée dans la paroi antérieure p' de la porte k et se guide dans la rainure q pratiquée dans le fond de la porte k et suivant sa périphérie. Cette porte peut alors être poussée en ouvrant le récipient à marchandisesse trouvant derrière elle.
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Si l'ouverture du récipient ne coïncide pas avec celle de la porte k, celle-ci effectue, au cours de son mouvement d'ouverture, le réglage correct du récipient à marchandises à l'aide d'un cliquet l commandé impérativement (fig.6). Ce cliquet est, par exemple, monté sur la porte en k' et son mouvement vers l'intérieur est limité par une butée s'. Une glissière courbe m' comportant une extrémité effilée m" est disposée sur le guide antérieur i' et sous chaque barre intermédiaire i ; le bord extérieur l' du cliquet l s'applique contre cette glissiè- re. Le cliquet comporte lui-même une dent antérieure l" et est guidé en outre par son bord intérieur contre une glissière m disposée sur le guide intérieur i" de la barre intermédiaire i et qui prend fin un peu en avant du bec l" du cliquet 1.
La fig.6 représente en traits pleins la position du cliquet lorsque la porte est fermée, Si la porte s'ouvre, lorsque despièces de monnaie sont introduites, la glissière courbe m' pousse le cliquet 1 vers l'intérieur dans la portée des cloisons radiales d', et la porte entraîne le récipient à marchandises au moyen de son cliquet 1, lorsque celui-ci arrive contre la cloison suivante d' , jusqu' à ce que l'ouverture de la porte et l'ouverture d'un récipient à marchandises coïncident entre elles, Inversement, lors de l'avancement du récipient à marchandises, la porte est ramenée impérativement par l'intermédiaire de son cliquet 1 dans la position de fermeture. La barre de guidage m repousse le cliquet 1 dans la position extrême de la porte hors de la portée descloisons d'.
Etant donné que, lorsqu'il n'y a pasde piècesde monnaie, il faut que la porte exécute un petit déplacement inactif jusqu' à la butée prévue sur le levier à deux bras c'-c" et que cette porte serait par conséquent librement mobile sur ce tra jet, il existe pour empêcher cela une disposition particulière grâce à laquelle la porte est toujours repoussée dans sa posi tion de fermeture, on évite ainsi que la pièce de monnaie attei-
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gne le levier à deux bras c'c" dans sa position de blocage pour laquelle elle ne pourrait pas le faire tourner dans la position de dégagement. A cette fin (figs.7 et 8) un levier r pivote en r" sur la porte et comporte un bras r' qui est tiré par un re ssort a.
Ce levier r s'engage dans une fente t du fond de la porte k et passe par une fente t' pratiquée à l'opposé dans la barre intermédiaire i placée sous la porte, Dans la position de fermeture complète, la porte prend la position représentée dans la fige 7. Si on e ssaie de l'ouvrir sans introduire de s piéce de monnaie, de façon qu'elle s'applique par sa paroi antérieure p' contre le levier à deux bras c'-c", le levier r s'applique contre le bord antérieur t" de la fente t'. Dès que la porte est de nouveau libérée à la main, le levier r exerce une pression, sous l'action du ressort s, contre le bord t" de la barre i et repousse ainsi la porte k dans la position de fermeture complète.
La colonne centrale creuse b, peut avoir un diamètre relativement grand, ce qui permet de l'utiliser comme récipient à glace pour assurer un refroidissement des produits contenus dans le distributeur automatique, Cette colonne b peut aussi être percée de façon appropriée pour assurer le cas échéant un éclairage intérieur du distributeur automatique.
Au lieu de faire tourner les récipients à marchandises à l'aide d'une poignée c' comme le montre la fig.2, on pourrait assujettir au chapeau c fixé sur la colonne b (selon la fig.9) une plaque-couvercle c" à bord roulé pour former un bourrelet annulaire c3 permettant de faire tourner les récipients à mar- chandises. Ce bourrelet annulaire c3 s'engage par-dessus le chapiteau de fermeture supérieur a", qui est relié aux colonnes périphériques f.
Less fonds intermédiaires d; derécipients à marchandises sont rationnellement relié entre eux par desbarres 11 sur lesquelles sont enfilés des manchons 12 servant de pièces d'écarte -
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ment entre ces fonds, comme le montre en particulier la fig.9.
Lescloisons verticaled' sont rationnellement maintenue appliquées par des ressorts à lame 13 enfilés par un anneau sur les barres 11 et serrés de ce fait avec les manchons 12, ce qui évite un cliquetisdescloisons d' qui sont en général en verre.
R E V E N D I C A T I N S .
1. Distributeur automatique de vente avec récipients à marchandisesirradiésen secteurs, caractérisé en ce que ces récipients sont disposés en plusieurs étages directement les uns au-dessusdes autres.