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MEMOIRE DESCRIPTIF déposé à l'appui d'une DEMANDE DE BREVET D'INVENTION machine à percer avec avance à commande électrique.
La présente invention se rapporte à une machine à perce avec commande électrique de l'avance, en particulier à une n chine pour percer des trous d'une grande profondeur et dans quelle, pendant l'opération du perçage, l'outil est ramené sieurs fois à la surface de la pièce à usiner pour décharger copeaux et reconduit à la profondeur atteinte antérieurement De la manière en soi connue, ce mouvement alternatif de rapp et d'avance de la broche, en vitesse accélérée, est obtenu à l'aide d'un moteur auxiliaire qui commande le mécanisme d'av par un différentiel à blocage automatique, et qui est embray alternativement en marche arrière, marche avant et à l'arrêt
Suivant l'invention,
L'embrayage du mouvement d'avance pour les courses à vide est commandé par trois commutateurs liés entre eux d'une manière particulière et logés directeme dans le bâti de la machine, actionnés par le coussinet de 1',
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bre d'alésage en fonction de sa position relativement à la piè- ce à usiner, et qui embrayent de préférence directement les deux moteurs pour la commande principale et pour l'avance rapide, de telle sorte que les commutateurs à commande électro-magnétique deviennent généralement superflus, ce qui simplifie essentielle- ment le dispositif d'avance et le rend plus facile à surveiller.
Ce genre d'embrayage est aussi employé, d'une manière nou- velle, comme un montage de sûreté contre la surcharge et la rup- ture du foret, par lequel la machine est instantanément ramenée dans sa position de repos et arrêtée dès que la pression d'avan- ce dépasse une limite déterminée, en raison de l'émoussement des tranchants du foret ou bien que le moment tournant commence à s'élever au-delà de la mesure permise.
Dans les dessins :
La fig.l est une coupe longitudinale de la machine.
La fig.2 est un plan du mécanisme.
La fig,3 est une vue en élévation du mécanisme d'embrayage à une plus grande échelle et vu du côté gauche de la machine.
La fig.4 est une élévation du mécanisme d'embrayage vu du coté droit de la machine.
La fig. 5 montre une coupe horizontale du mécanisme d'embra- yage.
La fig.6 est une coupe transversale des parties extérieures de l'embrayage.
Les figs.7 et 8 montrent les détails des parties extérieu - res de l'embrayage dans les positions respectives de repos et de travail.
La fig.9 est une coupe verticale du groupe de commutateurs.
La fig.10 montre la commande à détente brusque du commu ta- teur en coupe verticale et
La fig.ll, en coupe horizontale.
La fig.12 montre le blocage du commutateur principal.
Les figs.13 et 14 montrent le blocage du commutateur de dis-
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tribution en deux positions.
La fig.15 montre le schéma de couplage de la machine.
La fig.16 montre en un diagramme de temps et d'avance 1 mode de travail de la machine.
La fig.17 montre schématiquement la position du couplaé dans la position de repos, la fig.18, au commencement d'une marche de travail, la fig.19, peu après le commencement de la marche de tr vail, tandis que le foret est amené en marche accélérée jusc la pièce à usiner.
La fig.20 montre la position pendant l'alésage,
La fig.21, la position pendant le rappel accéléré, et
La fig.22 montre le mode de fonctionnement du commutate de sûreté qui entre en action pendant la surcharge.
L'arbre d'alésage 1 est monté dans une douille 2 guidée pour se déplacer longitudinalement dans la boîte 3. Cette bc 3 est fixée à un bâti 4 sur la surface de la table 5 duquel disposée la pièce à percer ou à aléser 6.
L'arbre d'alésage 1 est commandé par le moteur d'entra! ment A placé sur le couvercle 7 de la botte d'engrenage 8, a moyen du pignon 10 monté sur l'arbre 9 du moteur et qui est engagement avec la roue dentée 12 prévue à l'extrémité supér re de l'arbre 11. cet arbre 11 est monté coaxialement avec 1 bre d'alésage 1 dans la boite 8 et entraîne de la manière ha tuelle l'arbre 1 par son extrémité inférieure 13 pourvue d'u rainure longitudinale. Immédiatement au-dessousdu coussinet l'arbre 11 est disposée sur ce dernier une roue dentée 14 qu par la roue dentée 15, transmet le mouvement d'avance de l'a 11 à l'arbre de vis sans fin 16 qui est monté dans la botte grenages 8 et dans la botte 3.
La vis sans fin 17 qui se tro à l'extrémité inférieure de l'arbre 16 entraîne la roue héli dale d'avance 18 montée sur l'arbre transversal 19, figs.1 e monté lui-même dans la boite 3. A l'extrémité extérieure de
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bre transversal 19 est montée une roue de changement d'avance 20 qui est en engagement avec une deuxième roue de changement d'avan- ce 21, laquelle est montée aur le tourillon extérieur de l'arbre différentiel 22 également monté dans la boite 3. sur l'arbre différentiel 22 est montée à gauche une roue conique fixe 23, et à droite une deuxième roue conique 25' mais folle et qui est assemblée à une roue dentée 25. Entre les deux roues coniques 23 et 23' tourne librement, sur l'arbre différentiel 22, le moyeu 24 sur les tourillons 26 duquel tournent des roues planétaires 27.
Au moyeu 24 est assemblée fixe la roue hélicoïdale de marche accélérée 28 avec laquelle vient en engagement la vis sans fin 29, fig.l., disposée à l'extrémité inférieure de l'arbre 30 monté d'une part dans la boîte 3 et d'autre part dans la botte d'engre- nages 8. L'arbre 30 à vis sans fin est entraîné par le moteur de vitesse accélérée V qui est également disposé sur le couvercle 7, au moyen de la roue dentée 32 sur l'arbre 31 du moteur et qui est en engagement avec la roue dentée 33. La roue dentée 25, fig. 2, commande l'arbre d' avance 34 au moyen de la roue dentée 35 qui est fixe sur ce dernier. L'arbre d'avance 34 porte dans son milieu le pignon d'avance 36 à dents obliques qui s'engrène sur la crémaillère d'avance 37, également à dents obliques et qui est fixée sur la douille 2.
L'arbre d'avance 34 est monté dans la boîte 3 de manière à pouvoir se déplacer longitudinalement.
Il est maintenu, dans la position de repos représentée par la fig.2, par la bague 38 qui se trouve sur son tourillon extérieur 37 et est pressée contre la butée du tourillon par le ressort 39 avec une tension initiale déterminée et réglable par l'écrou 40.
L'extrémité inférieure de l'arbre d'alésage 1 porte un mandrin d'alésage 41 avec accouplement à glissement qui n'entraîne le foret 42 qu'avec un moment tournant limité, de sorte que le foret reste immobile quand une surcharge se produit par suite de l'en - gorgement des rainures du foret ou d'autres circonstances.
Au-dessous du mécanisme d'avance décrit ci-dessous se trou-
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ve, dans la boîte 3, le mécanisme d'embrayage. Celui-ci est mandé par le 'mouvement longitudinal de la douille 2 dans la maillère 37 de laquelle engrène une roue dentée 43 disposée l'arbre 44monté dans la botte 3, fig.l et 2. Par le pignon et la roue dentée 46, l'arbre 44 entraîne l'arbre de comman creux 47 qui est également monté dans la botte 3 et sur les trémités extérieures duquel se trouvent les dispositifs de mande qui sont omis dans la fig.2, mais représentés à une p grande échelle dans les fige.3, 4,5, 7 et 8. A l'extrémité che de l'arbre de commande 47 se trouve la poulie de butée, et à l'extrémité droite la poulie de butée à gradins 49.
En arrière de l'arbre creux 47 se trouvent, dans la pa: inférieure de la botte 3, les arbres 50,51 52 des commutat E, S, H, Fig.l. Sur ces arbres sont montés les bras de cent: 53 en matière isolante et dans lesquels sont encastrées les guettes de contact 54. Celles-ci peuvent être alternativeme sées sur les contacts 55, 56,57, 58,59, 60'qui sont encast en position fixe dans une pièce isolante 61 et établissent a les combinaisons montrées dans les schémas de montage qui se expliqués plus loin.
Sur ces trois commutateurs, ceux qui sont désignés par H sont des commutateurs à détente brusque du genre connu et les détails sont montrés dans les fig.10 et 11. Sur les extr tés extérieures des arbres 50 et 52 se trouvent des leviers dés 62 et 63. Auprès des arbres des commutateurs sont fixés, la boite 3, des pivots 64 sur lesquels peuvent tourner facil des leviers oscillants 65 et 66 portant à leurs extrémités e rieures des boulons 67. Entre ceux-ci et les pivots d'articu tion 68 des leviers coudés 62 et 63 sont disposées des chape ressort 69 qui peuvent se mouvoir longitudinalement. Les res à déclic 70 logés dans ces chapes s'appuient contre les boul 67 par les coulisseaux 71.
Les leviers oscillants 65 et 66 ont une amplitude de mo@
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ment telle, limitée par les goupilles de butée 72, que les chapes à ressort 69 sont mues dans leur position finale au-delà de la position du point mort, de sorte que les leviers coudés 62 et 63 tendent subitement à se renverser dans la direction opposée. Dans un sens, ils peuvent osciller librement d'une po- sition extrême dans l'autre. Dans l'autre sens, ils sont main - tenus par un blocage dans la position intermédiaire, de sorte qu'ils s'arrêtent, les ressorts 70 restant sous tension, et qu'après le dégagement du blocage, ils tombent dans la position extrême.
Le blocage est effectué par les boulons de verrouillage 73 et 74 disposés au-dessous des arbres des commutateurs 50 et 52.
L'arbre inférieur 52 du commutateur H est bloqué en ce que la butée 75 qui se trouve dans le bras du levier coudé 63 qui est dirigé en-dessous se pose latéralement contre le boulon de ver- rouillage inférieur 74 que cherche à faire avancer vers la gau- che un ressort 76, fig.9. Par le boulon de dégagement 77 qui, par son extrémité aplatie 78, s'engage derrière la tête 79 du boulon 74, celui-ci peut être retiré en arrière par une légère pression sur le levier 80, le commutateur H étant ainsi rendu libre et la machine embrayée.
Le blocage de l'arbre supérieur 50 du commutateur E est disposé de telle sorte qu'il ne rend libre l'arbre 50 qu'après une double impulsion. Le boulon de verrouillage 73 est, à cet effet, guidé par son extrémité gauche, suivant la fig.9, dans une douille 81 qui, par son extrémité extérieure et saillante, sert comme butée à un verrou étagé 82, fig.9, 13 et 14, qui peut se déplacer longitudinalement dans le bras dirigé en des - sous du levier oscillant 62, le verrou étant pressé contre la douille par un ressort 83. Le mode de fonctionnement du verrou étagé 82 est montré dans les fig.15 et 14. Si le boulon 73 que cherche à pousser vers la droite un ressort 84, est déplacé vers la gauche il repousse si loin le verrou étagé 82 que son premier
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gradin vient hors d' engagement avec la douille 81.
Le verroi est ainsi rendu libre et se meut dans la direction de la flè fig.14, jusqu' à ce que tout d'abord le premier gradin vienne buter contre le boulon 73. Si celui-ci est de nouveau retira en arrière du bord de la douille 81, le deuxième gradin se alors contre le bord de la dite douille 81. Pendant la deux:! avance du boulon 73, le deuxième gradin est également poussé delà du bord de la douille 81, fig.14. Le verrou 82 ne peut déglacer que de la distance nécessaire pour que son deuxième gradin vienne se poser tout d'abord contre le boulon 73. Si celui-ci est de nouveau retiré, le verrou étagé 82 est compl ment rendu libre et le commutateur E peut tomber dans la pos tion extrême opposée.
L'avance à deux reprises du verrou 73 commandée mécaniquement par le dispositif qui sera expliqué loin. par suite, les deux premières courses seulement du bou: de verrouillage 73 produisent un effet, les autres travaillai vide après le renversement du commutateur E sur la marche ar@
Le troisième arbre 51 du commutateur S n'a aucun embraye à détente brusque, mais il est bloqué dans l'une des positior extrêmes par le levier intérieur d'arrêt 84 en ce que celui-c se pose par son extrémité sur le verrou 85, fig.5.
Sur l'extr mité extérieure de l'arbre de commutateur 51 se trouve un lev 86 à l'extrémité duquel est engagé un ressort 87 qui, en se r rant à la fig.5, fait tourner l'arbre 51 dans le sens desaig les d'une montre aussitôt que le boulon de verrouillage 85 es retiré de la manière qui sera expliquée plus tard.
Le renversement du levier oscillant 66 est produit en ce que la butée 87 qui est réunie par le disque 48 à l'arbre de commande 47 vient buter contre les bras 88 et 89 du levier os@ lant qui se trouvent l'un au-dessusde l'autre, fig.3.
Le levier oscillant 65 est renversé par les deux butées @ et 91 qui frappent contre les bras 92 et 93 du levier oscillai qui se trouvent à des hauteurs différentes.
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La butée 87 est fixe sur le disque 48 monté sur l'extrémi- té gauche de l'arbre creux 47. Elle commande le levier oscillant 66 de telle sorte qu'elle le renverse tout d'abord contrairement à sa position primitive peu après que l'arbre d'alésage est des- cendu de sa position extrême supérieure, et elle le ramène dans sa position de départ peu avant qu' à la fin d'une marche de tra- vail l'arbre d'alésage n'ait atteint de nouveau sa position ex- trême supérieure, de sorte que l'arbre de commutateur 52 se trou- ve bloqué dans sa position intermédiaire.
La butée de renversement 90 est montée à jeu libre autour d'un pivot 94 qui est également fixé sur le disque 48, et elle est bloquée pendant la marche de -travail,, dans la position repré- sentée dans la fig.3, par l'étrier d'arrêt 95 et renverse par là le levier oscillant 65 dans le sens de la rotation à gauche par rapport à la fig.5, quand la butée 90, dans la dernière partie du mouvement ascendant de l'arbre d'alésage, vient buter contre son bras 92 et que par conséquent le disque 48 tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, par rapport à la fig.3.
La butée 91 vient heurter contre l'autre bras 93 du levier oscillant 65 et le renverse dans le sens de la rotation à droite quand elle se meut dans le sens opposé aux aiguilles d'une mon- tre, par rapport à la fig.5. La butée 91 n'est pas fixe sur l'arbre 47, mais elle est entraînée par lui de manière à pouvoir tourner, à l'aide d'un accouplement à glissement. Lesdétails de ce dispositif de butée sont montrés dans les figs.5,6,7,8.
Sur le tourillon extérieur 96 de l'arbre de commande 47, fig.5, sont disposés mobiles longitudinalement, mais assurés con- tre la rotation par la languette de glissement 97, deux disques de freinage 98 entre lesquels est monté pour tourner le porte- butée 99 qui est entraîné par la garniture de frein 100 avec une friction déterminée qui suffit pour commander le commutateur E.
L'effet de freinage est déterminé par un certain nombre de res- sorts 101 disposés dans des trous du bras de butée 102 qui est
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fixé sur l'extrémité extérieure de l'arbre 103 qui traverse l'arbre creux 47 de manière à pouvoir tourner,
Dans les bras 103 et 104 du porte-butée 99 est montée d manière à pouvoir osciller autour d'un pivot 105 une butée d renversement 106.
Un ressort de freinage 107 assure que cett butée ne peut pas changer sa position sans une impulsion ext rieure. par cette butée de renversement 106, le mouvement du po: butée 99 est limité dans une direction au moyen de la butée : de rappel 108, fig.3, montée de manière à pouvoir être réglé' sur un arc 109 prévu sur la boîte 3, mais dans la position r@ présentée dans la fig.3, le porte-butée peut passer libremen dans l'autre direction, au-delà d'une deuxième butée de posi' préliminaire llo qui est également fixée d'une manière réglal sur l'arc 109. Dans ce but, les surfaces effectives de butée à des hauteurs différentes.
Dans la position inclinée contraire du levier de renver; ment 106, le mouvement du porte-butée 99 est limité dans l'ai direction par la butée 110. Pour renverser le levier 106 d'u@ position extrême dans l'autre, il porte deux cames 111 et 112 dont la première s'avance en dessous et vient en coopération avec la came 113 prévue sur le disque à butées 48 et indiquée pointillé dans la fig.6. La came 112 est dirigée en dessus et est commandée par la came 114 qui se trouve sur le bras de bt 102.
Sur le moyeu du porte-butée 99 se trouve la bague de con mande 115 pouvant tourner et .se déplacer. Dans les rainures 1 térieures 116 de la bague 115 qui sont limitéespar desplane clinés s'engagent les pointes de commande 117 qui, pendant ur rotation de la bague 115, avancent cette dernière axialement tre l'action du ressort conique 118. Le levier de renversemen 106 possède un bras 119 dirigé vers l'intérieur, s'engageant dans l'évidement 120 de la bague 115 et qui peut ainsi faire
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ner cette dernière et en même temps la déplacer axialement au moyen du dispositif décrit précédemment, quand le levier de renversement 106 passe d'une position extrême dans l'autre.
Dans la position montrée par la fig.8, le bord 121 de la bague de commande 115 libère l'étrier d'arrêt 95 de la butée de renversement 90, et celle-ci peut alors s'écarter jusque dans la position représentée dans la fig.6 quand elle vient heurter le bras 92.
Sur l'extrémité droite, suivant la fig.5, de l'arbre creux 47 se trouve un disque de butées en gradins 49, fig.4 et 5. sur cette poulie sont fixées par des vis 122 un certain nombre de cames de commande réglables 123 contre lesquelles s'applique le bras dirigé en dessous du levier coudé 124, fig.4, au moyen d'un galet 125, sous l'action du ressort 126, de sorte que ce levier exécute un mouvement oscillant de va-et-vient quand l'arbre creux 47 tourne. Le boulon de verrouillage 73 est ainsi déplacé dans sa direction longitudinale, parce que le bras latéral du levier 124 se meut avec sa came inclinée 127 trans - versalement à l'extrémité sphérique du boulon 73, fig.9.
Le levier d'arrêt 84 de l'arbre 51 qui est bloqué par le verrou 85, est rendu libre quand l'arbre 34 du pignon d'avance (fig.2) se déplace axialement. C'est le cas lorsque la pression d'avance commence à vaincre la tension du ressort 39. Le bord de la roue dentée 35 avance alors le boulon 128 contre le levier 129 qui se trouve sur l'extrémité supérieure de l'arbre vertical 130, auquel est fixé en dessous le levier 131 (fig.5) portant à son extrémité le verrou 85, de sorte que, relativement à la fig.5, ce dernier est mis en mouvement en dessous et libère le levier d'arrêt 84.
La coopération des trois commutateurs H,S,E est montrée par le schéma de montage de la fig.15.
Par le commutateur H est branché le moteur d'entraînement A auquel le moteur de marche accélérée V est couplé en parallèle
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par les commutateurs S et E. Il est branche de telle sorte dans les deux positions extrêmes du commutateur, le moteur d'entraînement A tourne dans le même sens.
Le commutateur S qui est branché en arrière du commuta H est, dans la position de repos, branché sur le commutateu inverseur E et bloqué par le verrouillage 84 et 85, fig.5.
Quand le verrou est débrayé, le commutateur S coupe le cire du commutateur inverseur E et branche directement le moteur marche accélérée sur la marche arrière.
Le commutateur-inverseur E branche alternativement le teur de marche accélérée V sur la marche avant et arrière, @ dans cette commutation de la marche en avant sur la marche @ arrière, il est bloqué dans la position intermédiaire de so@ que le moteur V est mis tout d'abord à l'arrêt et n'est brai sur la marche en arrière que par le dégagement du blocage 82 83. par suite du blocage du commutateur H dans la position termédiaire, tout le système se trouve privé de courant à lE fin de chaque période de travail de sorte que la machine est arrêtée.
Dans la fig.16, le mode de travail est représenté par u diagramme de temps et de déplacement, dans lequel les lignes faiblement inclinées montrent les avances lentes de l'alésag et les traits en pente très accentuée les mouvements accélér
Avant le commencement d'une course de travail, la point du foret se trouve dans une position de départ a plus ou moi haute au-dessus de la surface de la pièce à usiner o. Après la mise en marche de la course de travail, la pointe du fore parcourt d'abord en vitesse accélérée la course à vide jusqu la surface de la pièce ou immédiatement au-dessus, Cette mar accélérée est maintenant débrayée, et la machine perce jusqu la profondeur t1 du premier gradin.
A cette profondeur, le fi est retiré en vitesse accélérée jusqu'à la surface de la pièc
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ou un peu au-dessous de cette surface, et est ensuite immédia- tement avancé en vitesse accélérée jusqu'auprès de la profon - deur t1 précédemment atteinte, après quoi le foret est avancé par la marche d'alésage jusqu' à la profondeur t2 d'où il est rapidement ramené jusqu'à la surface de la pièce en marche accélérée et avancé de nouveau jusqu'à la profondeur 12- L'opé- ration continue avec des courses de vidange qui deviennent de plus en plus grandes jusqu'à ce que le trou ait été alésé dans toute la profondeur désirée et qui, dans le diagramme de la fig.
16, est indiquée par 17. Pendant le retour en marche accélérée, il ne se produit maintenant à la surface de la pièce aucune commutation sur la marche en avant, mais le rappel de l'outil n'est interrompu que lorsque la pointe du foret est revenue dans sa position de départ a, après quoi la machine est arrêtée.
Dans la position à vide, le groupe des commutateurs H,S,E se trouve dans la position montrée par le schéma de la fig.17 dans laquelle le commutateur H est bloqué dans la position in - termédiaire par le verrou 74. Le commutateur se trouve alors couplé de telle sorte que le moteur V est en même temps branché sur la marche en avant quand le commutateur H est rendu libre par le retrait du verrou 74 au moyen de l'organe de dégagement 78 et prend la position représentée par la fig.18 dans laquelle la machine travaille avec la marche avant en vitesse accélérée et par conséquent parcourt pour la première fois en vitesse accélérée le trajet a-o, fig.16.
pendant cette première course à vide, le levier oscillant 66 est renversé, aussi près que pos- sible de la position de départ, dans celle qui est montrée par la fig.5, le commutateur H étant ainsi renversé dans la position représentée dans la fig.19 sous l'action de son mécanisme à dé- tente brusque. par cette opération, il ne survient cependant pas d'inversion des pôles des conducteurs, ainsi qu'on le voit par le schéma de montage de la fig.15, de sorte que la machine continue à tourner dans le même sens sans changement, jusqu'à ce que la butée glissante 91 vienne heurter le bras 93 du levier
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oscillant 65 et le renverse dans sa position représentée dan@ fig.3.
Le levier cherche maintenant à renverser l'arbre de c@ mutateur 50 dans la position de marche arrière, mais il est 1 que par le verrou à gradins 82 dans la position intermédiair@ comme on le voit par la fig.20 de sorte que le moteur de mari accélérée V se trouve privé de courant et reste immobile, E@ conséquence, le foret travaille jusqu' à la profondeur t ave l'avance d'alésage. Après le renversement du commutateur E, deux des cames 123 passent au dessous du galet 125 du levier et le boulon de verrouillage 73 refoule deux fois le verrou gradins 82 sur une distance légèrement supérieure à la haute des gradins.
La première pression reste sans effet sur le co plage, ainsi qu'il a été décrit plus haut. pendant le deuxiè relèvement qui coïncide avec la fin du premier degré d'alésa l'arbre de commutateur 50 est complètement rendu libre et vi dans la position de marche arrière qui est représentée dans fig.21. Le moteur de la marche accélérée V est ainsi branché la marche arrière et l'arbre d'alésage est relevé, ce mouvez de retour est arrêté par la butée de renversement 90 venant heurter contre le bras 92 du levier oscillant 65 du commutat inverseur E et le renversant dans la position opposée, de so que le commutateur E est de nouveau rabattu dans la positior trée dans la fig.19 et le moteur V branché de nouveau sur la marche en avant.
Le foret est ainsi avancé à la vitesse accé rée jusqu'au moment où la butée 91 vient heurter le bras 93 levier oscillant 65 et renverse celui-ci dans la position de fig.3, en ramenant par là le commutateur E dans la position termédiaire de la fig.20 dans laquelle le moteur v est décoi
La vitesse accélérée doit être arrêtée avant que le fo@ ne se pose dans le fond de la partie du trou qui a été perc< auparavant.
C'est pourquoi le renversement du commutateur E être exécuté suffisamment tôt pour que le moteur de vitesse lérée V puisse venir à l'arrêt sans freinage artificiel ou j que son nombre de tours puisse au moins être suffisamment r@
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pour que le foret se pose sans choc préjudiciable. A cet effet, la butée 91, peu de temps après avoir renversé le commutateur E, est maintenue par le levier de renversement 106, du fait que celui-ci vient buter contre la butée de rappel 108.
Par là, le porte-butée 99 et avec lui la butée 91 qu'il porte sont déplacés en arrière exactement de la longueur de la course de l'avance d'alésage suivante, De cette manière, le moteur V est toujours déconnecté à la même distance avant le fond du trou déjà percé, cette distance étant réglée pour chaque cas particulier par le réglage de la butée 108.
Le foret perce maintenant l'échelon suivant jusqu' à ce que le commutateur E, à la fin de cette course de travail, soit de nouveau débrayé par la came suivante 125 et reprenne de nouveau la position de la fig.21. Le moteur de marche accélérée V est de nouveau embrayé en marche arrière et retire le foret jusqu'à la surface de la pièce à usiner. Le commutateur E est alors de nouveau embrayé par la butée de renversement 90 sur la marche en avant et l'arbre d'alésage avancé rapidement jusqu'à ce que la marche en avant soit débrayée par la butée glissante 91.
Cette opération alternative d'avance en vitesse accélérée, d'alésage et de rappel en vitesse accélérée ne doit se répéter qu'aussi souvent qu'il est nécessaire pour que le trou soit alésé à la profondeur déterminée avec le nombre prévu de déchar- ge des copeaux, c'est pourquoi l'avance rapide ne doit pas être de nouveau renversée sur la marche en avant, à la hauteur de la surface de la pièce, pendant le dernier rappel.
A cet effet, la butée de renversement 90 qui jusqu'ici s'était posée avec son étrier d'arrêt 95 sur le bord 121 de la bague 115, est ren- due libre par la came 114 du bras 102 qui, pendant l'alésage de la dernière partie du trou, arrive dans la direction de la flèche p en arrière de la came 112 sur le levier de renversement 106 et renverse celui-ci dans la direction de la flèche r jusqu'à ce qu'il soit dans la position opposée à celle qui est représentée dans la fig.6 et dégage aussi en même temps la butée de rappel lo8.
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La bague de commande 115 est tournée par là dans la dir tion de la flèche s et se déplace aussi axialement de la mar décrite précédemment jusqu' à ce qu'elle arrive dans la posit représentée dans la fig.8 dans laquelle le bord 121 a été av latéralement par rapport à l'étrier 95 à un tel point que la tée 90 peut s'écarter autour d'un pivot 94 et contre l'actio ressort 132 jusque dans la position montrée par la fig.6 qua elle bute contre le bras 92 du levier oscillant 65, ce derni n'étant donc pas renversé.
La came de butée 114 du bras 102 est accouplée avec l'u des cames de commande 123 par l'arbre 103 et le poussoir 133 qui se trouve à son extrémité droite et par son extrémité er fourche entoure l'une des vis 122, contre laquelle il est av sous l'action du ressort 135 pa la tige de pression 136. Le poussoir 133 peut être facilement ramené en arrière par la p gnée 137 pour être accouplé de nouveau avec une autre des vi 122 ou descames 123, de sorte que le nombre descourses d'a sage peut être réglé sans difficulté.
L'arbre d'alésage cont son mouvement de rappel, par suite de l'inaction de la butée jusqu'à ce que la butée 87 heurte le bras 89 du levier oscil 66 et le renverse dans une position opposée à celle qui est trée dans la fig.3, en cherchant à renverser de nouveau dans sens contraire l'arbre 52 du commutateur H, mais le blocage et 75 bloque le commutateur E dans la position intermédiaire par suite, dans la position de départ montrée dans la fig.17 de sorte que la machine est privée de courant et reste à l'a jusqu' à ce qu'une nouvelle phase de travail ait été mise en che par un retrait du verrou 75.
Pour amener aussi le commutateur E de la position de ra montrée dans la fig.21 dans celle de marche en avant de la p tion de départ montrée dans la fig.17, sur le boulon 67 du 1 oscillant 66 du commutateur H est articulée une bielle 138 q enserre librement par une fente longitudinale 140 le pivot 6 levier oscillant du levier 65. Pendant la marché de travail, levier oscillant 66 est dans'la position montrée dans la fig
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dans laquelle le levier oscillant 65 peut osciller librement entre les deux positions extrêmes, cependant si à la fin de la course de travail le levier 66 est tourné vers la gauche de la fig.5, la bielle 138 attire aussi le levier 65 dans la position de l'avance,
Comme aussitôt après le commencement de la course de travail les leviers oscillants sont revenus dans la position de la fig.3, le levier 65 est aussi redevenu libre.
Si le levier d'arrêt 84 est rendu libre par le verrou 85 (fig.5 et 22) le commutateur de sûreté S tombe dans la position de la fig.22. Comme on le voit facilement par le schéma de cou- plage de la fig.15, il coupe le circuit du commutateur-inverseur E et branche directement le moteur de marche accélérée V sur la marche arrière, indépendamment de la position antérieure du com- mutateur E.
Celui-ci devient alors inopérant, même si la butée 90 le renverse de nouveau sur la marche en.avant à la surface de la pièce, de sorte que la barre d'alésage est ramenée jusque dans sa position supérieure de départ, dans laquelle le commuta- teur H est de nouveau renversé, par la butée 87, dans la posi - tion bloquée de départ, la machine étant ainsi mise à l'arrêt. pendant le dernier mouvement d'embrayage, le commutateur E est renversé, par la bielle 138, sur la position de marche en avant, mais en même temps le commutateur de sûreté S est ramené dans sa position de repos suivant les fige.17 à 21, contre la tension du ressort 87, par l'axe d'entraînement 139 de la bielle 138 qui descend sur le levier extérieur 86. pendant la dernière course de rappel, le levier de renver- sement 106 est tourné vers la gauche de la fig.6 ;
pendant la marche en arrière son angle de droite se pose contre la came de position préliminaire llo, de sorte qu'il est maintenu et ramené dans la position qu'il occupait au commencement de la course de travail. Cette position de départ peut être modifiée dans les limites nécessaires par le réglage de la came de position préli- minaire 110 sur l'arc 109. On règle ainsi la position du point de
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départ a, fig.16 relativement à la surface .2 de la pièce à a ser.
La sûreté contre la surcharge du foret par le déplaceme du pignon à denture oblique 36 montre le ressort de limite d charge 39 ne répond qu'à un accroissement de la force d'avan Cependant ce dispositif peut encore être utilisé, suivant l' vention, pour mettre la machine à l'arrêt quand le moment to nant commence à excéder une mesure prédéterminée, par la dis sition entre l'arbre d'alésage et le foret d'un accouplement friction 41 d'un genre connu en soi. De cette manière, le fc s'arrête en cas de surcharge et, par suite, la pression d'av s'élève également à un tel point que le dispositif de sûreté contre l'excédent de pression d'avance entre en action.
Le déblocage du commutateur H peut aussi naturellement obtenu au moyen d'une commande magnétique au lieu du dégages à la main représenté dans les figs.9 et 10 en vue d'effectue déblocage à distance ou un déblocage simultané de plusieurs chines travaillant ensemble. A cet effet, la machine peut et pourvue de l'électro-aimant de traction 141 représenté dans fig.9 qui. rappelle le verrou 74 quand son enroulement 142 eE excité.
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