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ayant droit de Monsieur James Doping pearson Perfectionnements aux soupapes de moteurs à combustion inti
La présente invention a pour objet des perfectionneme apportés aux soupapes des moteurs à combustion interne et commande de cessoupapes, et elle a pour but de créer une position nouvelle et perfectionnée des soupapes et de leur ganesde commande par rapport aux chambres de combustion d cylindresdu moteur.
.Essentiellement, l'invention crée une disposition de pes qui permet au moteur de " respirer " (c'est-à-dire asp et expirer) librement, tout en assurant d'autres avantages portants qui apparaîtront ci-après.
L'invention est spécialement conçue pour un moteur da lequel les parois de cylindre, entre la chambre de combust et le cylindre proprement dit, sont dirigées vers l'intéri normal ement à l'axe du cylindre, 1 a chambre de combustion
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ainsi plus petite, en-seetion transversale, que le cylindre lui-même. Il est spécifié cependant que l'invention n'est nulle- ment limitée à ce cas principal.
Suivant l' invention, le moteur à combustion interne possède des cylindres en un seul ou plusieurs blocs, pourvus de soupapes d'échappement entête, lesquelles s'ouvrent vers le bas, dans les chambres de combustion, dans une direction en substance parallèle aux axes des cylindres et de soupapes d'admission placées par rapport aux axes des cylindres suivant un angle qui s'ouvre diagonalement au travers des chambres de combustion.
Les soupapes sont commandées par des culbuteursmontés sur deux arbres de culbuteurs s'étendant longitudinalement par rapport au bloc cylindre ; les culbuteurs d'échappement sont sur un de ces arbres et les culbuteurs des soupapes d'admission sur l'autre arbre, et tous les culbuteurs sont attaqués par des poussoirs commandés à leur tour par un seul arbre à came monté d'un coté du bloc cylindre ; les culbuteurs d'échappement et leur arbre sont du même coté que les poussoirs qui les commandent, tandis que les culbuteurs d'admission et leur arbre sont de l'autre côté du bloc.
Cette disposition a pour résultat que les soupapes sont montées transversalement aux cylindres alors que dans les dispositions les plus usitées, elles sont disposées le long du bloc cylindre.
De préférence, les soupapes d'admission et les parois de la chambre de combustion dans lesquelles elles sont montées font un angle d'environ 45 avec les axes de leurs cylindres.
De préférence, les bougies d'allumage sont montées dans les parois des chambres de combustion opposées aux soupapes d'admission.
Les chambres de combustion peuvent avoir une section trans- versale moindre que celle des cylindres, les parois des cylindres formant saillie versl'intérieur, normalement aux axes des cylin-
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dres.
Les chambres de combustion sont de préférence formées une tête séparée des blocs ou corps de cylindres, les dites sailliesétant forméespar la base de cestêtes. un exemple de réalisation de l'invention est représent dessin annexé, dans lequel : fig,l est une élévation verticale d'un cylindre avec s soupapeset le mécanisme de commande de cell e s-ci, fig.2 est une vue par le dessus des culbuteurs et arbr de culbuteurs, fig.3 est une vue en plan, par le dessous, de la chamb:
combustion dont les soupapes sont enlevées. a est le bloc cylindre d'un moteur à combustion interne auquel la tête de culasse a1 est réunie par boul ons a2 (fig Le piston est désigné par b. c est la chambre de combustion qui, à sa partie la plus large, a une section transversale petite que celle du cylindre, la tête al formant des saillie internes cl dirigées normalement à la paroi du cylindre, d la soupape d' admi ssion qui se déplace en mouvement alternat:! dans un guide d1 ; d2 est le ressort de soupape et d3 la ga@ ture d'étanchéité.
L'entrée pour l'admission est désignée pa
On voit que la soupape d'admission est placée suivant t angl e de 45 par rapport à l'axe du cyl îndre et que 1 a paroi la chambre de combustion est placée suivant un angle plus fa (e et e1). f est la soupape d'échappement, qui se déplace e mouvement alternatif dans un guide fl ;
f2 est le ressort de cette soupape d'échappement, f3 la garniture d'étanchéité et l'orifice d'échappement, Les parois de la chambre de combust autour de la soupape d'échappement sont coupées suivant g po augmenter la distance entre le bord de la soupape et la paro quand la soupape s'ouvre, h et hl sont deux arbresde cul bu teurs, qui s'étendent le long du sommet des têtes de culasse les supportent par les organes h2 et h3. j sont les culbute
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de soupape d'échappement, montés sur l'arbre h et commandés par les poussoirs j2 sont les culbuteurs de soupape d'admis sion, commandés par les poussoirs Tous les poussoirs sont attaqués par un simple arbre came k entraîné de toute manière connue par le moteur.
On remarque que les poussoirs sont sensibleme nt en ligne. Il ssont disposés dans une partie k1 du bloc a et traversent des trous k2 en forme de coeur formés dans les blocs .2: et a1.
1 est le couvercle de culbuteurs maintenu en place par des écrous l1 à tête moletée.
En m on a représenté l'extrémité de la bougie d'allumage qui est montée dans la paroi de la chambre de combustion directement opposée à la soupape d'admission. Les passages pour le liquide de refroidissement sont'indiqués en diverses positions à la fig.1 et désignés par n.
Bien qu'on n' ait représenté qu'une seule soupape d'admis sion et une seule d'échappement, il est évident que leur nombre, ou le nombre d'une d'elles, peut être doublé sans rien changer au fonctionnement. par l'invention telle qu'exposée, on obtient les avantages d'une " respiration " libre du moteur par des soupapes montées comme spécifié, tout en facilitant, si c'est désiré, l'emploi d'une chambre de combustion de section transversale plus petite que celle du cylindre, Les organes de commande des soupapes sont disposés très favorablement et la fonctionnement des soupapes est ainsi facilité.
De plus., en plaçant les bougies d'allumage dans la position représentée, le gaz qui doit brûler en dernier lieu sera dans la partie la plus froide de la tête de cylindre, c'est-à-dire, dans la partie la plus écartée du conduit d'échappement, et la chambre de combustion est de forme telle que sa section transversale s'effile, diminue vers l'extré-. mité du trajet de la pointe de la flamme, ce qui tend à supprimer les détonations.
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Un autre avantage du fait que la paroi de la chambre combustion fait saillie intérieurement normalement à l'axe cylindre est que la rondelle ou garniture d'étanchéité ent les blocs de cylindre et les têtes de culasse (représentée la position o) est bien protégée des effets de la températ très élevée de combustion quand le piston est au point mor périeur.
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R E V E Ii DIe A T- l 0 Ii S .
1. Un moteur à combustion interne comportant un ou p sieurs blocscylindres, à soupape s d'échappement en tête s vrant versle bas dans les s chambre s de combustion, dans un rection sensiblement parallèle aux axes des cylindres, et . papes d'admission situées angulairement par rapport aux ax cylindres, ces soupapes d'admission s'ouvrant diagonalemen travers des chambres de combustion, les soupapes étant man par des culbuteurs montés sur deux arbres de culbuteurs qui tendent le long du bloc cylindre, l'arbre d'échappement d't côté et l'arbre d'admission de l'antre côté, tous les cul bu étant attaqués par des poussoirs attaqués à leur tour par @ seul arbre à came monté d'un coté du bloc cylindre,
les cul teurs d'échappement et leur arbre étant du o8té du moteur @ trouvent lespoussoirs correspondants, tandisque les culbu d'admission et leur arbre sont de l'autre côté.
2. un moteur à combustion interne suivant revendicati caractérisé en ce que les soupapes d'admission et la paroi chambres de combustion dans laquelle elles sont montées son clinés suivant des angles d'à peu près 45 degrés sur les ax descylindres correspondants.
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