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"PERFECTIONNEMENTS AUX AFFUTS SUR ROUES POUR CANONS
OU MITRAILLEUSES" Société dite: SOCIETE ANONYME DES ANCIENS ETABLISSEMENTS
HOTCHKISS & CIE Convention Internationale : Priorité d'un brevet français déposé le 18 décembre 1933 et d'une addition rattachée à ce brevet le 15 juin 1934.
La présente invention concerne un affût à roues pour canon ou mitrailleuse, d'un transport facile, d'une grande stabilité en position de tir, et qui peut être ame- né très aisément de la position de transport à la position de tir, et réciproquement.
Cet affût comprend un support d'affût porté par un essieu à deux roues et par deux flèches arrière et par rapport auquel peut tourner, pour permettre le pointage en direction, un support pivotant sur lequel peut osciller le berceau de l'arme pour permettre le pointage en hauteur.
Cet affût est caractérisé par le fait que le sup- port d'affût peut, en position de tir, pivoter librement, dans le sens transversal, par rapport à l'essieu porte-roues.
Grâce à cette disposition, l'affût repose toujours sur le sol, quelles qu'en soient les dénivellations, par ses deux roues et par les extrémités des deux flèches arrière. On obtient ainsi un affût d'une grande stabilité.
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L'affût selon l'invention se caractérise, en ou- tre, par un certain nombre d'autres dispositions partica- lières procurant des avantages importants.
Ces dispositions, et leurs avantages, ressorti- ront de la description qui va en être faite en regard des dessins annexés représentant, schématiquement et simplement à titre d'exemple, une forme de réalisation de l'invention.
Sur ces dessins :
Les fig. 1, 2 et 3 sont, respectivement en éléva- tion, en plan et en profil, des vues d'ensemble de l'affût à roues selon l'invention, dans la position de tir.
La fig. 4 est une vue en coupe longitudinale de la partie centrale de l'affût.
Les fig. 5 et 6 représentent schématiquement le montage des flèches arrière sur le pivot central, respec- tivement en position fermée et en position ouverte.
La fige 7 est une vue en plan-coupe du mécanisme de pointage en direction.
Les fig. 8,9 et 10 représentent, respectivement en élévation, en plan-coupe suivant IX-IX (fig. 9), et en plan, le support de lunette conforme à l'invention.
La fig. Il représente, en coupe longitudinale, le montage d'une roue sur l'essieu.
La fig. 12 est une coupe transversale suivant XII- XII (fig.ll).
La fig. 13 estune vue en plan-c oupe d'une variante de l'affût en position de tir, montrant le montage de l'en- semble flèches arrière-corps d'affût sur l'essieu.
La fig. 14 est une coupe transversale correspondan- te suivant l'axe de l'essieu, montrant, en traits mixtes, l'inclinaison possible de l'essieu par rapport au corps d'af-
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La fige 15 est une vue en plan-coupe de l'affût en position de transport, montrant, en traits mixtes, le support pivotant.
La fig. 16 est une coupe suivant la ligne XVI-XVI de la figure 15.
La fig. 17 est une vue longitudinale de cet affût en position de transport, la flèche droite enlevée.
La fige 18 est une coupe suivant la ligne XVIII-XVIII de la fige 17.
L'affût selon l'invention comporte deux flèches arrière 1 et la axées, au moyen de leurs joues 2 et 2a (fig.
4), qui s'engagent les unes entre les autres, sur un pivot tubulaire axial 5 sur lequel est également monté un support pivotant 4. Sur ce pivot, est fixé rigidement un corps d'af- fût 5 portant à l'avant un arbre 6 autour duquel peut oscil- ler un essieu porte-roues 7. Cet essieu peut toutefois être rendu solidaire du corps d'affût au moyen d'une came 8 qui permetd'engager la denture d'une couronne 9 solidaire en rotation de lrarbre 6, mais mobile longitudinalement, dans la denture d'une seconde couronne 10 solidaire de l'essieu 7.
Les flèches peuvent prendre deux positions : po- sition.. fermée (fig. 5) pour le transport, et une position ouverte (fig. 6) pour le tir. Dans la position fermée,leurs extrémités arrière sont reliées entre elles par un dispositif d'accrochage comprenant, (f ig. 2) une chape 11 portée par la flèche 1, et dans laquelle vient s'engager un pène 12 porté par la. flèche la. Une cheville 13 verrouille ces deux par- tie s. Pour cette position fermée, tout déplacement latéral du corps d'affût 5 est empêché du fait que les faces 14 et 14a des flèches 1 et la butent contre des surfaces correspon-
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dantes du corps d'affût 5 (fig. 5).
Dans la position ouverte (fig. 6), tout mouvement du corps d'affût est également empêché du fait que les faces 15 et 15a des flèches viennent s'appliquer contre les faces du corps d'affût. Ces flèches sont immobilisées dans cette position d'ouverture par une broche 16 qui traverse deux trous cylindriques pratiqués dans les joues, 2-2 de la flèche 1 (fig. 4) et deux rainures arquées 17 (fig. 4 à 6) pratiquées respectivement dans le corps d'affût 5 et dans la joue supérieure 2 a de la flèche la, cette broche tombant, lorsque les flèches arrivent dans la position d'ouverture, dans un trou cylindrique 18 de l'autre joue 2a, ce qui provoque le verrouillage des deux flèches.
Le support pivotant 4 peut tourner sur le pivot central 19 engagé dans le pivot tubulaire 3. Ce mouvement, qui permet le pointage en direction, est commandé par le mécanisme représenté, en plan-coupe, sur la fig. 7. Ce mé- canisme comprend une vis sans fin 20, commandée par un vo- lant 21, et en prise avec un secteur denté 22 solidaire du support 4. La vis sans fin 20 est portée par un chariot 23 qu'on peut déplacer au moyen de vis 24, ce qui permet de supprimer, à tous moments, le jeu entre la vis sans fin et le secteur denté. Des freins d'écrous 25, constitués par des ressorts engagés dans des dentures des têtes de vis 24, empêchent le desserrage intempestif de ces vis.
Sur le supportpivotant 4, qui comporte, à cet effet, des flasques 4a, peut osciller, autour des touril- lons 26a, (fig. 1 à 3), le berceau 26 de l'arme, dont le pointage en hauteur est obtenu au moyen d'un volant 27, (fig. 4), commandant une vis 28 engagée dans un écrou 29 porté par le berceau et pivotant autour de l'axe 30 porté
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par le support pivotant 4.
Le berceau 26 comporte, pour le guidage de l'ar me, des glissières 31 et une douille 32, dans lesquelles peut se déplacer l'arme utilisée ; il porte également le système de mise de feu décrit dans le brevet français 749.322 de la Demanderesse, en date du 12 Janvier 1933, et, sur le côté gauche, le support de la lunette de poin- tage 33. La douille 32, placée à l'avant du berceau. et dans laquelle est engagé le tube de canon T a pour effet de soulager les glissières 31 et de soutenir et guider par- faitement l'arme dans ses mouvements de recul etde rentrée en batterie.
Le support de la lunette 33 est constitué (fig. 8, 9 et 10) par deux chariots : un chariot 34 qui peut tourner, par rapportau berceau 26, autour d'un axe 35, sous l'ac- tion d'une vis 36, pouvant se visser dans ce berceau, et agissant sur un doigt 37 solidaire de ce chariot, et un se- cond chariot 38 qui peut tourner par rapport au premier, dans un plan. perpendiculaire au plan: de rotation de ce pre- mier chariot, autour d'un axe 39 porté par ce dernier. Une vis 40 permet de commander le mouvement de ce chariot 38 qui porte la lunette 33. Les deux vis 36 et 40 sont blo- quées par des freins d'écrous 41.
Cette disposition de double chariot permet de régler très exactement l'axe optique de la lunette par rap- portà l'axe du tube du canon.
A la partie inférieure de l'affût, est placé un bouclier 42 (fig. 4) qui peut tourner autour d'un axe 43.
En position de transport ce bouclier est alors relevé, com- me représenté en pointillés sur la fig. 4, et maintenu dans
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cette position par des crochets 44 et des ressorts 45.
Un second bouclier 46 est monté sur le support pivotant 4 dont il suit tous les mouvements tandis que deux boucliers latéraux fixes 47, portés par le support d'affût, bouchent les ouvertures produites par le bouclier mobile 46.
Durant le transport, le berceau 26 portant l'ar- me, est relié rigidement à l'essieu ? par un étrier 48 ar- ticulé sur le berceau en 49 (fig. 1) et pouvant être fixé, par une clavette 50, dans une chape 51 portée par l'essieu.
Cette disposition supprime, durant le transport, tout ris- que de dégradations aux mécanismes de pointage en hauteur ou en direction, que pourraient entraîner les trépidations. dues aux cahots. Ces derniers sont d'ailleurs amortis par la présence de bandages élastiques 53 autour des roues 52 (fig. 11).
Chacune de ces roues (figé 11 et 12) peut être, dans la position de tir, rendue solidaire de lessieu 7, afin d'augmenter l'ancrage de l'affût sur le sol et d'as- surer, pendant le tir, une meilleure stabilité de Parme! Cette solidarisation est obtenue au moyen de deux sabots, 54 et 55 placés dans un logement de l'essieu et qu'on peut coincer, au moyen d'une vis 56. contre le moyeu 57 de la roue. Une plaquette 58 empêche, dans la position de desserrage, la descente des deux sabots dont aucun ne se trouve par conséquent en contact avec le moyeu 57. La vis 56 est manoeuvrée au moyen d'une clé 59 qu'un bonhomme à ressort 60 immobilise dans la position de transport.
Conditions d'utilisation.- a) Transport.- Pour le transport, les flèches 1 et la sont réunies, à leur extrémité
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le corps d'affût 5¯ se trouve alors immobilisé par les fa- ces de butée 14 et 14a des flèches (position de la fig. 5).
L'essieu 7 est fixé rigidement au corps d'affût 5 par la came 8 qui maintient en prise les dentures des deux co.uron- nes 9 et 10 représentées sur la fig. 4 ; cette came peut être maintenue dans sa position de blocage par tous moyens appropries, par une courroie par exemple. Les mouvements latéraux et verticaux du berceau 26 de l'arme et du support pivotent 4 sont empêchés par l'étrier 48 engagé dans la chape 51 etmaintenu par la clavette 50 (position en poin- tillés sur la fig. 1). Le bouclier inférieur 42 est mainte- nu dans la position relevée (en. pointillés sur la fig. 4), par les crochets 44, les ressorts 45 étant comprimés.
Les clés de blocage 59 des roues 52 sont dans la position de desserrage où elles sont maintenues par les bonshommes à ressort 60, les roues pouvant tourner librement sur l'es- sieu 7. L'affût peut aussi être déplacé avec grande facilité par un moyen de traction quelc onqu e. b) Tir. - Pour le tir, le bouclier inférieur 42 est abaissé ; pourcela,, on appuie sur sa partie supérieure pour comprimer les ressorts 45 et dégager les crochets 44; ce bouclier est ainsi amené dans la position représentée en traits pleins sur la fige 4. L'étrier 50 est amené dans sa position relevée où il est maintenu par un bonhomme à ressort (en traits pleins sur la fig. 1).
Le berceau 26 et le support pivotant sont ainsi libérés, ce qui permet le pointage en hauteur et en direction.
Les.extrémités arrière des flèches 1 et la sont déverrouillées puis écartées, jusqu' à ce que leurs faces de butée 15 et 15a s'appliquent contre les faces correspon- dantes du corps d'affût 5 (fig. 6); à ce moment, la broche
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16 vient en regard du trou 18 de la joue inférieure 2a de la flèche la et peut y être engagée, verrouillant ainsi les quatre joues 2-2a et le corps d'affût 5 qui est main- tenu entre les butées 15 et 15a.
La came- 8 (fig. 4) est amenée dans sa position de déblocage, ce qui permet le dégagement des deux couron- nes dentées ± et 10. Le corps d'affût 5 peut ainsi osciller librement autour de l'axe 6. Grâce à cette disposition, les extrémités arrière des flèches 1 et 1a reposeront tact- jours sur le sol, quelles qu'en soient les dénivellations et l'inclinaison prise par l'essieu 7. De pins, cet appui des bèches sera continu, quel que soit leur enfoncement dans le sol.
Les clés 59 de blocage des roues 52 sont anenées en position de serrage pour laquelle les sabots 54 et 55, fermement appliqués par la vis 56 contre le moyeu 57 des roues (fig. Il et 12), rendent ces dernières solidaires de l'essieu 7. On obtient ainsi une meilleure stabilité de l'affût pendant le tir par substitution au frottement de roulement, du frottement de glissement.
On remarquera que certains des perfectionnements qui viennent d'être décrits dans leur application à l'affût à roues selon l'invention, pourraient être appliqués, dans les mânes conditions, et en donnant les mêmes avantages aux affûts autres que les affûts à roues.
Les éléments de l'affût que l'on.vient de décrire ont une grande liberté pour le tir, mais pour le transport où cette liberté serait nuisible parce qu'elle est génératrice de chocs, il est nécessaire de supprimer cette liberté en créant des liaisons dont la mise en oeuvre entraîne
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tir à la position de transport ou inversement.
On va maintenant décrire une variante de cons- truction dans laquelle par la seule manoeuvre du rapprochement des flèches arrière, on peut transformer l'affût en un en- semble monobloc apte à circuler en tout terrain.
A cet effet, les têtes des flèches arrière sont prolongées vers l'avant, chacune par un bras portant à son extrémité un bossage. Lorsque l'on rapproche les deux flèches l'une de l'autre, chacun des deux bossages est amené en contact avec des bossages correspondants portés par l'essieu.
L'ensemble flèches arrière-corps d'affût qui pouvait, en position de tir, pivoter librement autour d'un axe sensible- ment perpendiculaire à l'axe de l'essieu et sensiblement horizontal; se trouve alors bloqué sur l'essieu dans une posi- tion unique : on a ainsi réalisé la première liaison supplé- mentaire.
Les deux autres liaisons supplémentaires : liaisons du support pivotant d'une part, du berceau d'autre part, avec le bloc flèches - corps d'affût - essieu sont réalisées par encastrement du supportpivotant etdu berceau entre les flèches rapprochées l'une de l' autre.
Les trois liaisons ont été ainsi produites simul- tanément.
L'affût (figure 13) comporte, comme précédemment deux flèches arrière 1 - 1a, axées, au moyen de, leursjoues 2 - 2a, sur un pivotvertical 3, fixé rigidement à un corps d'affût 5 portant, à l'avant, un arbre 6 autour duquel peut osciller l'essieu 7.
Dans la position ouverte des flèc.hes pour le tir, tout mouvement du corps d'affût est empêché du fait qu'il est maintenu entre les deux faces 15 - 15a des flèches.
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Les têtes des flèches sont prolongées vers l'avant chacune par un bras 70 - 70a portant, à son extrémité, un bossage 71 - 71a. Dans la position de tir (fig. 13), ces bossages ne se trouvent pas au-dessus de l'essieu 7. Dans la position de transport, au. contraire (figure 15 et 16), chacun des bossages vient en contact avec un bossage cor- respondant 72-72a porté par l'essieu 7.
Le mouvement d'oscillation de l'essieu autour de l'arbre 6, qui était possible dans la position de tir (fig.14) est ainsi rendu impossible, dans la position fermée des flè- ches (figures 15 et 16).
Le support pivotant 4 peut tourner autour du pivot 3. Ce mouvement, qui permet le pointage en direction, est commandépar un mécanisme approprié quelconque- non figuré, tel que secteur denté et vis sans fin, conforme, par exemple, à celui représenté sur la figure 7.
Lorsqu'on veut passer à la position de transport, on ramène, au préalable, par la manoeuvre du volant de pointa- ge en direction 21, le support pivotant 4 au zéro, c'est-à- dire dans une position telle que son axe longitudinal soit dans le plan bissecteur des flèches. Lorsqu'on referme les flèches (figures 15 et 16) leurs faces 14 - 14aviennent s'ap- pliquer contre les faces correspondantes du corps d'affût 5 et du supportpivotant 4 tandis que des saillies 74 - 748 de ce support s'encastrent dans des évidements 73 - 73a des flè- ches. On empêche ainsi, aussi bien tout mouvement de rotation autour du pivot 3, que tout mouvement de soulèvement du support pivotant 4.
Le berceau d'arme 26 peut osciller autour de ltaxe horizontal 26a du support pivotant 4 (fig. 17). Ce mouvement,
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qui permet le pointage en hauteur, est commandé par un mécanisme approprié quelconque non figuré, tel que secteur denté etvis sans fin, conforme par exemple à celui repr é- senté sur la figure 4. Lorsqu'on veut passer à la position de transport, on ramène, au préalable, par la manoeuvre du volant de pointage en hauteur, l'arme à sa position d'élévation maximum. Lorsqu'on referme les flèches, une pièce de liaison 75, solidaire du berceau (fig. 17 et 18) s'encastre dans deux logements 76 - 76a des flèches arrière, empêchant ainsi tout mouvement de rota- tion autour de l'axe 26a.
La mise en batterie de 1'affût à partir de la position de transport s'effectue donc de la. façon suivante :
On déverrouille les extrémités arrière des flèches , .! - la selon le procédé décrit ci-dessus @ On écarte les flèches jusqu'à ce que. leurs faces 15 - 15a viennent en butée contre le corps d'affût 5. On maintient les flèches écartées par un dispositif quelconque, tel que l'entretoise 77 représentée sur la figure 13. L'affût est alors en position de tir.
Inversement, pour passer de la position de tir à la position de transport, on amène l'arme, par la manoeuvre des volants de pointage, à se trouver dans le plan: bissec- teur des flèches arrière et à sa position maximum d'élé- vation; puis on rabat latéralement l'entretoise 77 qui maintenait l'écartement des flèches (figure 15); on rap- proche ces flèches dont on verrouille les extrémités.
L'affût est en position de transport.
Il va d'ailleurs de soi que l'invention n'a été décrite etreprésentée ici qu'à titre purement explicatif
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et non limitatif et qu'on pourra y apporter des modifications de détail sans altérer son esprit.