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Insecticide pour la vermine des maisons et des cuisines.
Pour détruire la vermine des maisons et cuisines, notamment les insectes rampants, tels que les kakerlaques, blattes, etc., on a généralement utilisé jusqu-ici, outre les poisons réels, les poudres insecticides, destinées à être mangées par les dits insectes, ou absorbées par eux en nettoyant, corne on sait, aves leurs mandibules leurs antennes, très développées, qu'ils avaient plongées dans les insecticides. Ces derniers ont un inconvénient, c'est que, suivant leur contenu en poison, ils constituent un danger pour ceux qui les utilisent, ou quils n'agissent que lentement, de sorte que les insectes en question, après avoir mangé de ces poisons, peuvent encore se retirer dans leurs retraites et y mourir.
La décomposition de ces in- sectes dégage alots de mauvaises odeurs et engendre des matières infectieuses de toute sorte.
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Les effets sont pratiquement les mêmes, que les in- secticides aient été répandus sur le sol ou qu'ils aient eté placés comme appât dans des attrape-insectes spéeiaux.
On sait aussi que l'on attrape les insectes rampants nuisibles en plaçant à proximité de leurs retraites des récipients remplis d'un liquide vénéneux ou gluant. Les effets des pièges de cette nature sont douteux, parce que , beaucoup d'insectes peuvent gouter a ce liquide sans perdre leur faculté d'adhérence aux parois du récipient, de sorte qu'ils peuvent s'échapper du piège. On a proposé également d'attraper les scarabées a trompe, nuisibles aux forêts, dans des pièges contenant une matière minérale destinée à empêcher le scarabée de s'échapper. Mais ces insectes grimpant au moyen de griffes ne peuvent grimper sur des surfaces lisses et raides. Il s'ensuit que les pièges de ce genre ne sont d'aucune utilité pratique.
La présente invention rend inoffensive la ver- mine des maisons et des cuisines, qu' ne grimpe pas aux surfaces lisses et raides au moyen de griffes, mais à l'aide de ventouses et d'eminences, propres' l'adhérence, par l'emploi d'une poudre non vénéneuse qui empêche ces in- sectes de se mouvoir, de sorte qu'on peut les trouver et les détruire avant qu'ils ne rentrent dans leurs retraites- La poudre de la présente invention n'a donc pas pour effet d'empoisonner les insectes, mais seulement de recouvrir les ventouses, les éminences d'adhérence et autres organes si- milaires qui garnissent les pattes des insectes, d'une ma- ière qui empêche ces derniers de grimper.
Des qu'un in- secte rampant de cette nature, par exemple un kakerlaque entre dans un attrape-insectes conforme à la présente in- vention, la poudre employée d'après cette invention recouvre les pattes toute-s entières, y compris les ventouses ou
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autre parties similaires d'une couche qui rend immédia- tement inefficace la formation d'une matière gluante na- turelle. Il s'ensuit que les pattes de l'inte glissent sur le sol et autres surfaces sans pouvoir trouver le frottement nécessaire à la marche.
Cet effet rend l'insec- ticide conforme à l'invention particulièrement utilisable dans les cas ou, comme pour la vermine des maisons, il s'agit d'insectes qui peuvent se mouvoir très rapidement et très sûrement sur des surfaces lisses verticales ou se trouvant sur un plan horizontal supérieur.
Un attrape-insectes conforme l'invention est représenté en coupe à la figure 1. l'attrape-insectes se compose d'une cuvette en faïence aux surfaces extérieures obliques, éventuellement dépolies a, dont le bord supérieur b, arrondi et vernissé, conduit dans l'espace collecteur du piège. Le bord b est frotté ou saupoudré de poudre paralysante. Les pattes des insectes parvenus au sommet se recouvrent de poudre et ceux-ci glissent dans le récipient collecteur en tournant sur le bord, même quand ils essaient de re- brousser chemin et de fuir. Le fond h de l'espace collec- teur est saupoudré de poudre paralysante. Au centre du Piège se trouve un renflement c, qui limite la place ré- servée au récipient g, destiné à contenir l'appât.
Ce ré- cipient, éventuellement recouvert d'un mince treillage en fil de fer, est rempli d'un appât quelconque. Il supporte une assiette i, qui, remplie d'eau, peut servis de cra- choir. Entre l'assiette i et le rebord b des parois du piège, il reste un intervalle qui doit comporter 1 cm environ. Les insectes grimpant sur le rebord du piège acuiemt alors pleine sécurité par l'intermédiaire de leurs antennes qui rencontrent partout un point d'appui,
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respectivement des conditions propres a attirer les insectes.
Etant donné l'advidité que ces insectes ont pour l'eau, on a augmenté l'efficacité de l'appât en pra- tiquant dans l'épaisseur des parois du piège une cavité d qu'on peut remplir d'eau par l'orifice e. Une ou plusieurs mèches y plongent dans le réservoir d et leurs bouts, sor- tant par l'orifice e, portent l'humidité au dehors. Une bande d'étoffe grosseère et poreuse, fisses d'une seule pièce ou dont les deux bouts sont réunis par une épingle, est tendue sur les mèches y et sur les parois extérieures obliques du piège. Les mèches tiennent ainsi la bande z en état constant d'humidité, ce qui excerce une puissance d'attraction considérable sur les insects.
Selon l'endroit pu le piège de la présente in- vention doit être placé, la coupe de la figure 1 peut re- présenter un attrap-insectes circulaire, oval ou carré.
Jans bien de cas, il suffit d'utiliser un appareil fabriqué conformément à la figure 2 : lesparois extérieures d'approche a sont réduites, et à la partie saupoudrée en frotté de poudre h se rattache l'espace collecteur k contenant l'appât f, qui peut être composé soit d'une matière solide, soit d'un liquide. Pour les petits insectes, par exemple pour les fourmis, il suffit d'utiliser un piège conforme à la figure 4, chez lequel la partie sau- poudrée h fait partie de l'espace collecteur o. On peut aussi se contenter de saupoudrer ou de frotter le bord supérieur de la paroi extérieure d'approche avec la poudre paralysante et de laisser tomber les insectes dans un produit odorant liquide.
C'est particulièrement néces- saire pour attraper les grillons, afin de priver ces in- sectes de leur puissance de saut.
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On peut aussi fabriquer le piège conformément à la figure 3, afin de séparer complètement l'appât de la poudre paralysante et d'avoir un espace collecteur distinct pour les insectes attrapés. Outre la surface d'approche a, ce piège possède une partie reduite h, destinée recevoir la poudre paralysante et limitée par le renflement n, ainsi qu'un grand espace collecteur k, situé plus bas et qui peut être également saupoudré de poudre paralysante. Le récipient contenant l'appât g est situé un peu plus haut au centre du piège.
Les coupes de pièges à insectes ra pants, décrites ci-dessus, peuvent être aussi avantageusement utilisées, lorsque les pièges sont pourvus d'une monture permettant de les fixer au mur ou qu'ils ont une forme angulaire, comme l'indiquent les figures 5 et 6, afin de pouvoir les employer aux endroits les plus divers.
Un espace destiné à recevoir la poudre paralysante a été avantageusement maintenu dans les pièges employés contre la vermine des oiseaux. La forme avantageuse de ces pièges est indiquée dans les figures 7 et 8.
Pour attraper les mites ou tiques qui se présentent dans les cages d'oiseaux, on emploie de préférence les porteperchoir conformes é la figure 7. Ils se composent d'une plaque p appliquée à la cage, pourvue d'un soutien q qui se termine par un plateau s, saupoudré de poudre paralysante. Au centre de ce plateau s'élève une cheville r, qui supporte le soutien v du perchoir u et un toit protec- teur t du plateau s contenat la poudre. Etant donné la forme du porteperchoir, la vermine qui, des parois de la cage, veut se rendre au perchoir s'empêtre dans la poudre et perd sa faculté de mouvement, de sorte qu'en vidant assez souvent ce porte pechoir, on peut détruire toute la vermine.
La figure $ représente un nid de pigeon en terre cuite, comme c'est souvent l'usage. Conformément a la
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présente invention, ce nid w est purvu d'un rebord circu- laire x suffisamment creux, dans lequel on peut saupou- drer de la poudre paralysante. Il est recommandable d' employer également cette poudre dans les vases en verre et autre récipients similaire qu'on remplit d'eau dans les pays d'outee mer, dans le but d'empeêcher la vermine des maisons de grimper sur les lits et autres meubles. Si l'on remplit ces vases, dans lesquels sont placés les pieds des lits et autres meubles, de la poudre ce-dessus désignée, les insectes ne peuvent plus se retirer et sont attrapés peu à peu, tandis que jusqu'ici l'eau n'a fait que les effrayer.
La poudre paralysante de la présente invention peut être également répandue dans des attrap-iasectes composés de bandes de carton ondulé, sur lesquelles on a colle des deux cotés du papier lisse. Il est opportun d'imprégner tout d'abord le carton ondulé d'une solution attirante; la poudre paralysante est ensuite répandues dans les cavités en forme de tuyeau produites par le collage du papier sur les bandes de carton. Si l'on place ces bandes dans les lits ou à des endroits que les insectes rampants, tels que les punaises ou autres insectes analoues ont l'habitude de visiter, ces insectes se glis- sent le matin, lorsqu'ils cherchent une retraites, dans ces bandes de carton ondulée Il est des lors facile de s'en débarasser en battant ou brûlant les bandes.
Afin d'obtenir, conformément à la présente inven- tion, le glissement des pattes d'insectes sur le sol et aut- res surfaces, on utilise une poudre paralysante composée de matières finement moulues attirant suffisamment l'eau pour rester collées aux pattes toujours humides des insectes. Il est avantageur d'utiliser des matières qui, pures ou mélan- gées, se combinent avec l'eau.
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Les matières qui provoquent la fermeture instan- tanée des ventouses des insectes sont notamment le cimenta la plâtre, le talc, la dextrine. Afin d'obtenir un mélange intime de ces matières et de donner à la poudre préparée la structure favorable â l'adhérence aux pattes des in- sectes, il est recommandable de délayer d'abprd ces matières dans l'eau, puis de les mélanger, de les faire sécher et ensuite de les moudre fin. La poudre extrêmement fine ainsi obtenue présente au microscope une structure spongieuse et intoxique en peu de temps les insectes par la simple respiration par les pores de la peau. Bans le délayage de ces matières, on peut également remplacer l'eau par des liquides gluants, notamment par le silicate de potasse.
Bien que certaines des Matières ci-dessus mationnées influencent l'odorat des insectes et attirent ces derniers, il est opportun, dans bien de cas, de donner à la poudre une odeur spéciale en y ajoutant des matières sucrées appropriées.
La proportion favorable des parties constituantes d'une poudre mélangée est établie, dans chaque cas d'espèce, par des essais, cette porportion étant subordonnée à la structure et à la force collante des diverses parties. On peut obtenir d'une manière très simple une poudre effilée en delayant de la dextrine et de la craie dans du silicate de potasse, puis en faisant sécher et moulant le mélange.
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Insecticide for vermin in homes and kitchens.
To destroy vermin in houses and kitchens, in particular crawling insects, such as kakerlaques, cockroaches, etc., hitherto, in addition to real poisons, insecticidal powders have been generally used, intended to be eaten by said insects, or absorbed by them while cleaning, horn we know, with their mandibles their antennae, very developed, which they had plunged in the insecticides. The latter have a drawback, which is that, depending on their poison content, they constitute a danger for those who use them, or that they act only slowly, so that the insects in question, after eating these poisons, may still retire to their retreats and die there.
The decomposition of these insects gives off alot of bad odors and generates infectious materials of all kinds.
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The effects are practically the same whether the insecticides were sprayed on the ground or placed as bait in special insect traps.
We also know that we catch pests crawling insects by placing near their retreats containers filled with a poisonous or sticky liquid. The effects of traps of this nature are doubtful, because many insects can taste this liquid without losing their ability to adhere to the walls of the container, so that they can escape from the trap. It has also been proposed to catch proboscis beetles, which are harmful to forests, in traps containing a mineral material intended to prevent the beetle from escaping. But these claw-climbing insects cannot climb smooth, stiff surfaces. It follows that traps of this kind are of no practical use.
The present invention renders inoffensive the ver- mine of the houses and the kitchens, which does not climb on the smooth and stiff surfaces by means of claws, but by means of suction cups and eminences, clean the adhesion, by the use of a non-poisonous powder which prevents these insects from moving, so that they can be found and destroyed before they return to their retreats. The powder of the present invention therefore has no the effect of poisoning the insects, but only to cover the suckers, the eminences of adhesion and other similar organs which line the legs of the insects, with a material which prevents the latter from climbing.
As soon as a crawling insect of this nature, for example a kakerlaque, enters an insect trap according to the present invention, the powder employed according to this invention covers the entire legs, including the suction cups. or
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other similar parts of a layer which immediately ineffective in the formation of a naturally occurring sticky material. It follows that the legs of the inte slip on the ground and other surfaces without being able to find the friction necessary for walking.
This effect makes the insecticide in accordance with the invention particularly suitable for use in cases where, as with house vermin, they are insects which can move very quickly and very reliably on smooth vertical surfaces or on their own. lying on a higher horizontal plane.
An insect trap in accordance with the invention is shown in section in FIG. 1. The insect trap consists of an earthenware bowl with oblique outer surfaces, possibly frosted a, whose upper edge b, rounded and glazed, leads in the collecting space of the trap. Edge b is rubbed or sprinkled with stun powder. The feet of the insects which have reached the top become covered with powder and they slide into the collecting vessel, turning on the edge, even when they try to turn back and flee. The bottom h of the collector space is sprinkled with paralyzing powder. In the center of the Trap is a bulge c, which limits the space reserved for the receptacle g, intended to contain the bait.
This receptacle, possibly covered with a thin wire mesh, is filled with any bait. It supports a plate i, which, filled with water, can be used as a chopper. Between the plate i and the edge b of the walls of the trap, there remains an interval which must comprise approximately 1 cm. The insects climbing on the edge of the trap acuiemt then full safety through their antennae which meet everywhere a point of support,
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respectively conditions suitable to attract insects.
In view of the greed which these insects have for water, the effectiveness of the bait has been increased by making in the thickness of the walls of the trap a cavity d which can be filled with water by the orifice e. One or more wicks plunge into the reservoir d and their ends, exiting through the orifice e, carry the moisture out. A band of coarse and porous fabric, slit in one piece or the two ends of which are joined by a pin, is stretched over the wicks y and over the oblique outer walls of the trap. The wicks thus keep the z-band in a constant state of humidity, which exerts a considerable power of attraction on the insects.
Depending on where the trap of the present invention is to be placed, the section of Figure 1 may represent a circular, oval or square insect trap.
In many cases, it suffices to use an apparatus manufactured in accordance with figure 2: the outer walls of approach a are reduced, and to the part sprinkled with rubbed powder h is attached the collecting space k containing the bait f , which can be composed of either a solid or a liquid. For small insects, for example for ants, it suffices to use a trap according to figure 4, in which the sprinkled part h forms part of the collecting space o. It is also possible to simply sprinkle or rub the upper edge of the approach outer wall with the paralyzing powder and drop the insects in a liquid odorant.
This is particularly necessary for catching crickets, in order to deprive these insects of their jumping power.
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The trap can also be made according to Figure 3, in order to completely separate the bait from the stun powder and to have a separate collecting space for the insects caught. In addition to the approach surface a, this trap has a reduced part h, intended to receive the paralyzing powder and limited by the bulge n, as well as a large collecting space k, located lower and which can also be sprinkled with paralyzing powder. The receptacle containing the bait g is located a little higher in the center of the trap.
The sections of ra pants insect traps, described above, can also be advantageously used, when the traps are provided with a mounting allowing them to be fixed to the wall or they have an angular shape, as shown in the figures. 5 and 6, in order to be able to use them in the most diverse places.
A space intended to receive the paralyzing powder has been advantageously maintained in the traps used against vermin in birds. The advantageous form of these traps is shown in Figures 7 and 8.
To catch moths or ticks that appear in bird cages, it is preferable to use the perch carriers in accordance with figure 7. They consist of a plate p applied to the cage, provided with a support q which ends by a tray, sprinkled with paralyzing powder. In the center of this plate rises a peg r, which supports the support v of the perch u and a protective roof t of the plate s containing the powder. Given the shape of the perch rack, the vermin which, from the walls of the cage, wants to get to the perch gets entangled in the powder and loses its faculty of movement, so that by emptying this fishing rack quite often, we can destroy all the vermin.
The figure $ represents a pigeon's nest in terracotta, as is often the custom. In accordance with the
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In the present invention, this nest w is provided with a sufficiently hollow circular rim x into which paralyzing powder can be sprinkled. It is advisable to use this powder also in glass vases and other similar vessels filled with water in overseas countries, in order to prevent house vermin from climbing on beds and the like. furniture. If these vases, in which the feet of beds and other furniture are placed, are filled with the above-mentioned powder, the insects can no longer withdraw and are gradually caught, while so far the water only scared them.
The paralyzing powder of the present invention can also be spread in catch-iasects composed of corrugated cardboard strips, to which smooth paper has been glued on both sides. It is advisable to first impregnate the corrugated cardboard with an attractive solution; the paralyzing powder is then spread into the pipe-shaped cavities produced by gluing the paper to the cardboard strips. If these bands are placed in beds or in places that crawling insects, such as bedbugs or other analous insects are accustomed to visit, these insects slip in the morning, when they seek a retreat, in these corrugated cardboard strips It is therefore easy to get rid of them by beating or burning the strips.
In order to obtain, in accordance with the present invention, the sliding of the legs of insects on the ground and other surfaces, a paralyzing powder composed of finely ground materials is used which attracts sufficient water to remain stuck to the legs always. wet insects. It is advantageous to use materials which, pure or mixed, combine with water.
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The materials which cause the instantaneous closing of the suction cups of the insects are in particular cementa, plaster, talc, dextrin. In order to obtain an intimate mixture of these materials and to give the prepared powder the structure favorable to the adhesion to the feet of the insects, it is advisable to dilute these materials in water first and then to mix them. , dry them and then grind them fine. The extremely fine powder thus obtained has a spongy structure under the microscope and quickly poisons insects by simple respiration through the pores of the skin. Bans the dilution of these materials, it is also possible to replace the water by sticky liquids, in particular by potassium silicate.
Although some of the above mentioned materials influence the smell of insects and attract them, it is in many cases expedient to give the powder a special smell by adding suitable sweet materials to it.
The favorable proportion of the constituent parts of a mixed powder is established, in each case, by tests, this portion being subordinate to the structure and the sticky strength of the various parts. A tapered powder can be obtained in a very simple manner by delaying dextrin and chalk in silicate of potash, then drying and molding the mixture.
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