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" Perfectionnements apportés aux véhicules du genre de,s bi- cyclettes ".
L'invention est relative aux véhicules du genre des des bicyclettes.
Elle a pour but, surtout, de rendre tels, ces véhicu les, que les efforts exercés par le cycliste soient appliqués de façon plus rationnelle que jusqu'à présent.,
Elle consiste, principalement, à agencer de manière telle, les véhicules du genre en question, que les efforts exercés par le cycliste soient trcnsmis à des pédales portées par un système de leviers tel que lesdites pédales se dépla- cent suivant une trajectoire peu différente d'une droite (voi- re rectiligne), lequel système est propre à communiquer un mouvement de rotation continu à des organes commandant eux- mêmes, par chaîne ou tous autres moyens, la roue à entraîner.¯
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Elle consiste, mise à part cette disposition prin- ci 'pale , en certaines autres dispositions qui s'utilisent de préférence en même temps,
et dont il sera plus explicitement parlé ci-après.
Elle vise plus particulièrement certains modes d'ap- plication ainsi que certains n.odes de réalisation, desdites dispositions ; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les véhicules du genre en question comportant application de ces mêmes disposi- tions, ainsi que les éléments spéciaux propres à leur établis- sement.
Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que du dessin ci-annexé, lesquels complément et dessin ne sont, bien entendu, donnés surtout qu'à titre d'indication.
La fig. 1, de ce dessin, montre, en élévation sché- matique, une bicyclette établie conformément à l'invention.
La fig. montre, en vue en plan partielle, certains éléments de cette bicyclette.
La fig. 3 montre, en élévation, une bicyclette éta- blie selon une variante de l'invention.
Selon l'invention, et plus spécialement selon ceux de ses modes d'application, ainsi que ceux des modes de réali- sation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant, par exemple, d'é- tablir une bicyclette (étant entendu que l'invention s'éten- drait à tous autres cycles, voire à des joùets d'enfants), on s'y prend comme suit ou de façon analogue.
On agence de manière telle, cette bicyclette, que les efforts exercés par les pieds du cycliste, au lieu d'être transmis à des pédales rotatives, soient transmis à des péda- les portées par un système de leviers tel que ces derniers puissent se déplacer suivant une trajectoire à peu près recti- ligne (voire rigoureusement rectiligne), de préférence verti-
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cale, ledit système étant propre à communiquer, par une liai- son cinématique appropriée, un mouvement rotatif continu à des organes commandant eux-mêmes, par chaîne ou par tous au- tres moyens, le moyeu de la roue à entraîner..
A cet effet, et pour ce qui est, tout d'abord, des organes de la bicyclette autres que les moyens de commande de ses roues, c'est-à-dire le cadre, les roues, la selle, le guidon etc, on les établit d'une façon usuelle quelconque, le- dit cadre notamment, comprenent, comme d'ordinaire, un certain nombre de barres réunies suivant un contour appropriée (les formes représentées sur les fig. 1 et 3 du dessin n'étant, bien entendu, données qu'à titre d'exemple),, et supportant, ce même cadre, au moins deux fourches et b aux extrémités desquelles, sont montés respectivement les axes A et B des deux roues.
Pour ce qui est,, maintenant, des susdits moyens de commande, on leur fait par exemple comporter, pour recevoir les efforts du cycliste, deux leviers c1 c2 disposés de préférence de part et d'autre du plan de la roue motrice, et articulés, de préférence aussi, autour d'un même axe C, lequel peut être situé, soit, comme représenté sur les fig. 1 et 2 -- et à supposer, comme on le ferae dans ce qui suit, que la Boue mo- trice soit la roue arrière --, en arrière de l'axe B de cette roue, soit en avant de cet axe si la distance entre les axes A et B le permet, voire dans le plan dudit axe B, les deux axes B et C pouvant alors être confondus,, conne représenté sur la fig.
3, et on monte des pédales d'aux extrémités libres desdits leviers., de façon fixe ou articulée, la longueur de ces mêmes leviers étant choisie telle que les pédales se déplacent un peu en avant de'la selle, de façon à rendre la position des jambes du cycliste aussi confortable que possible.
Puis, disposant de ces leviers,
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on les fait agir, à l'aide d'une liaison cinématique constituée par exemple par des 'belles e, sur des organes ro- tatifs constitués eux-mêmes, par exemple encore, par deux manivelles f1 f2 d'axe $clmmun D, et on dispose les joints d'articulation E des bielles sur les leviers c1 c2 de façon suffisamment rapprochée.,de l'axe C pour permettre d'obtenir une bonne démultiplication de l'effort à fournir sur les pédales. Ces joints E pour- raient éventuellement être réglables par une coulisse appro- priée de sème que la longueur des bielles.
Il semble qu'il y ait intérêt, pour ce qui est de la position à adopter pour l'axe D, à disposer cet axe de façon telle que les bielles e, pour les positions supérieure et inférieure des leviers a1 a, se présentent à peu près ver- ticalement, auquel cas les directions prises par leadits le- viers pour ces positions inférieure et supérieure sont à peu près symétriques par rapport à l'horizontale passant par l'a- xe C.. @ais il est bien entendu que cette disposition n'est nullement limitative.
Enfin, disposant de l'ensemble qui précède, on tr nsinet le mouvement de rotation des manivelles flf 2 au mo- yeu de la roue à l'aide par exemple d'une chaîne s'enroulant sur une roue et un pignon h montés respectivement sur les axes D et B; l'axe D, commun à la roue et aux manivelles (l'une de celles-ci pouvant faire cops avec ladite roue), sera supporté par tous moyens appropriés, par exemple par des barres i, j, k.
L'ensemble de ces mécanismes pourra bien entendu être recouvert par un carter.
En suite de quoi, quel que soit le node de réalisa- tion adopté, on obtient un ensemble dont le fonctionnement ressort déjà suffisaient de ce qui précède pour qu'il soit inutile d'insister à son sujet, et qui présente, par rapport aux cycles du genre en question déjà existants,, de nombreux
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avantages, notamment: celui de permettre de démultiplier autant qu'on le désire leffort à appliquer sur les pédales, et celui de permettre au cycliste d'utiliser au maximum 'l'énergie dont il dispose, du fait que l'effort qu'il a à exer cer est dirigé toujours sensiblement dans la même direction; la trajectoire des pédales est en effet un arc peu différent de sa corde.
Comme il va de soi, et comme il résulte d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite nullement à ceux de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des modes de réalisation de ses diverses parties ayant plus spécialement été envisagés; elle en embrasse, au contraire, toutes les va- ri antes.
R É S U M É.
L'invention a pour objet des perfectionnements ap- portés aux véhicules du genre des bicyclettes, lesquels per- fectionnements consistent, principalement, à agencer de maniè- re telle, les véhicules du genre en question, que les efforts exercés par le cycliste soient transmis à des pédales portées par un système de leviers tel que lesdites pédales se dépla- cent suivant une trajectoire peu différente d'une droite (voi- re rectiligne), lequel système est propre à communiquer un mouvement de rotation continu à des organes commandant eux- mêmes* par chaine ou tous autres moyens, la roue à entraîner.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.