BE388421A - - Google Patents

Description

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  "Procédé et appareil pour la fabrication de tubes et tubes obtenus au moyen dudit procédé' et dudit appareil" 
La présente invention se rapporte plus particulièrement   à   la fabrication continue de tu- bes soudés électriquement, d'un grand diamètre et d'une forte épaisseur, sans opérations intermédiai- res. Au cours de l'opération, il se produit peu ou 

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 pas d'allongement et le métal n'est soumis à aucun effort excessif; on évite la création de tensions internes appréciables ou inégalement distribuées dans ledit métal. 



   L'invention vise également un appareil et un procédé pour maintenir un tube dans une posi-, tion déterminée d'avance et pour déplacer ledit tu- be qui présente des bords séparés l'un de L'autre formant une   fente..   



   Le procédé et l'appareil objets de la pré- sente invention permettent la fabrication desdits tubes à une vitesse relativement grande par le pro- cédé de soudure électrique par résistance. 



   Conformément à l'invention, on prévoit une zone de contact suffisamment grande entre les galets faisant office d'électrodes et les parois du tube pour maintenir la densité du courant entre des limites où l'on évite de brûler les électrodes ou le tube ou bien encore où l'on évite tout autre dommage. 



   L'invention vise l'utilisation de feuilles de métal d'une épaisseur de 3,18 mm. et davantage et la fabrication de tubes d'un diamètre supérieur à 100 mm. 



   Sur le dessin annexé, on a représenté, à titre d'exemples, différents modes de réalisation de l'invention. 



   Sur ce dessin : 
La figure 1 montre schématiquement le procédé conforme à l'invention pour fabriquer les tubes; 
La figure 2 est un plan, avec arrachement! partiel, montrant le train de lainage pour le fa- çonnage des tubes et son mécanisme de commande ; 

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 La figure 3 est une élvation latérale correspondant à la figure 2;   La figure 4 montre, en élévation de face avec coupe partielle, les bouleaux qui saisissent   
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 les M'les et qui sont placés dans le passage A du train ; 
La figure 5 est une élévation latérale   correspondant à la figure 4 et représentant, en élévation latérale, les passages A,B,C,D et E ;   
La figure 6 est une élévation de face, 
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 avec coupe Partielles des passages de madntien ,B et B-C du train;

     La figure 7 est une élévation de face, avec coupe partielle, du passage B;   
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 Les figures 8, g et 10 sont des élévations de face, avec coupe et arrachement partieis, du pas. sage C, des passages C"D et Du3 et des passages D et E resppctivement; La figure 11 est une vae amlog  et   montre l'un des quatre passages F, G,H et I à galets ou rouleaux fous; La figure 12 est une Vue analogue des passages J et K;   
La figure 13 est une vue de face, avec 
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 cOuPe partielle. du passage de maintien J"'K entre les passages J et K   La figure 14 est une coupe du passage représenté sur la figure 13;

   La figure 15 est une coupe du passage de maintien K-L entre les passages K et L ;   
La figure 16 est une vue laté- 
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 Tale du passage KL; vue lattez 

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Les figures 17 et 18 sont des élévations de face, avec coupe partielle, des passages L et 
M respectivement; 
La figure '19 montre les sections   tram-   versales du métal à chacun des différents passages entre les rouleaux et le contour des rouleaux à ces passages; 
La figure 20 montre schématiquement le   développement   du métal pendant qu'agit sur lui le train; 
La figure 21 montre en plan, avec arra- chement partiel, une forme d'exécution modifiée du train et de son mécanismede commande; 
La figure 22 est une élévation latérale correspondant à la figure 21;

   
La figure 23 montre, en coupe transver- sale, le contour du métal et des rouleaux aux dif- férents passages du train modifié; 
La figure 24 correspond à la   figire   20 mais se rapporte à la forme d'exécution modifiée du train; 
Les figures 25 et 26 sont respedttvement un plan et une élévation d'un appareil destiné   à   transporter les tubes; 
La figure 27 est une coupe tran-sversale, à plus grande échelle, suivant   III-III   de la figure 25 ; 
Les figures 28 et 29 sont des coupes trans versales suivant   IV-IV   et suivant V-V respectivement de la figure 27 ; 
Les figures 30 et 31 sont des coupes, à plus grande échelle, s,uivant VI-VI et VII-VII res- pectivement de la figure 25;

   

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La figure 32 est une vue schématique, avec coupe partielle, du mécanisme d'entraînement, des galets d'alignement et des galets de calibrage de l'appareil à souder; 
La figure 33 est une vue latérale, avec coupe partielle, des galets d'alignement; 
La figure 34 est une vue partielleo à plus grande échelle, et avec coupe partielle, de l'appa- reil de soudure; 
La figure 35 est une élévation de face dudit appareil ; 
La figure 36 est une élévation de face, avec coupe partielle, d'un des supports de rouleaux d'alignement; 
La figure 37 est un plan, avec coupe par-   tielle  des galets d'amenée; 
La figure 38 est un plan du mécanisme de   commande   pour élever et abaisser le transforma- teur et les supports d'éléetrodes;

   
La figure 3 est une élévation latérale, avec coupe partielle, montrant les rouleaux de pression dans la position qu'ils occupent relative- ment aux rouleaux faisant office) d'électrodes; 
La figure 40 est une vue en élévation de face correspondant à la figure 39 ; 
La figure 41 est un plan du support du rouleau de pression représenté sur les figures 39 et 40; 
La figure 42 est une élévation de face, avec coupe partielle, du mécanisme égaliseur; 
La figure 43, enfin, est une élévation de face, avec coupe partielle, d'un des supports des rouleaux calibreurs qui suivent immédiatement l'ap- pareil de soudure. 

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   Il est bien entendu   qui   la présente in- vention peut s'appliquer à des procédés de soudure autres que le procédé de soudure électrique par résistance. 



   On soumet d'abord le métal laminé et plan (la   tôle) µ.   l'action de plusieurs cisailles rotatives qui égalisent les bords et on le réduit à la largeur requise pour former un tube du diamètre voulu. On égalise simultanément les deux   bords   oppo- sés pour les rendre strictement parallèles. Dans le cas où les bords de la tôle s'écartent de la ligne droite, si le parallélisme est maintenu, les bords en contact à l'endroit du joint coïncident, lors- qu'on cintre ladite tôle pour lui donner une forme sensiblement tubulaire. De cette machine, la tôle passe dans une machine à décaper ou nettoyer où ses bords sont complètement nettoyés. La machine à nettoyer appliquée dans le présent procédé peut uti- liser de la grenaille de fonte et préparer à la soudure les bords du métal laminé et plan.

   La ma- chine utilise la grenaille de fonte comme abrasif plutôt que le sable. parce que la matière siliceuse qui adhère au métal est isolante et provoque la formation d'un arc aux électrodes pendant le soudage. 



   Les bords de la tôle prennent une posi- tion horizontale &u passage par la machine à décou- per et ils prennent, de préférence une position in- clinée en passant par la machine à nettoyer. Celles ci est destinée à agir sur les bords longitudinaux de la tôle des deux cotés à la fois, à une distance appréciable vers l'intérieur, à partir desdits bords afin de nettoyer efficacement une zone ou bande des 

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 deux côtés opposés de la tôle pour préparer celle-ci au soudage qui sait.

   On donne aux parties nettoyées une largeur plus grande que celle des électrodes de la machine à souder afin d'assurer un contact élec- trique efficace des électrodes de soudure, pendant le soudage qui suit. on conduit ensuite le métal à un appareil de façonnage dans lequel on le fait passer conti- nuellement et progressivement de la forme plane à la forme tubulaire. Le tube formé passe ensuite dans un mécanisme qui aligne la fente dudit tube formée de façon qu'il puisse passer sous les électrodes de la machine à souder dans une position qui permet de former une soudure parfaite. Derrière les élec- trodes se trouvent un certain nombre de rouleaux égalisateurs ou rouleaux à planer qui, agissent sur l'intérieur et sur l'extérieur du tube soudé, à   l'en-   droit du joint pour égaliser les bavures formées sur le tube pendant le soudage.

   Derrière lesdits rouleaux se trouvent un certain nombre de rouleaux calibreurs qui coopèrent avec la machine à souder et qui donnent une forme parfaitement cylindrique au   tube.   



   Lorsqu'on utilise un métal à teneur éle- vée en carbone, on fait passer ensuite le tube par un four à recuire pour supprimer toute tension   eg    cessive qui pourrait   s'être   f ormée dans le tube pendant le façonnage, pendant la soudure et pendant le calibrage . 



   Dans le cas où de telles tensions exis- tent dans le tube, elles sont égalisées dans ledit 

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 four et rendues incapables d'affaiblir ou de dimi- nuer la valeur du tube. Une aire est prévue pour le refroidissement des tubes à leur enlèvement du four. 



   Une machine redresseuse agit ensuite sur les tubes, après quoi on découpe ou on scie, on   dres<   se et on filète successivement les extrémités du tube. La partie terminale du tube qui a été enlevée constitue un tronçon comportant une partie qui a été soudée par la machine et aussi l'extrémité du tube qui n'a pas été soudée, on peut faire agir sur cette partie découpée une machine d'essai qui lui donne une section elliptique dont le petit axe est sensiblement égal à la moitié du diamètre du tube et, si le joint soudé ne se rompt pas, on peut sou- mettre le tube aux autres opérations. La machine à dresser est pourvue d'organes qui s'avancent à l'in- térieur des extrémités du tube pour les dresser; la machine à fileter les filète. 



   On agit sur l'une des extrémités du tube fileté au moyen d'une machine à raccords et on   appli   que un raccord normal à l'une des extrémités file- tées. On conduit ensuite le tube à une machine d'es- sai dans laquelle on le soumet intérieurement à une pression d'essai hydrostatique d'environ 100 kg par centimètre carré et extérieurement à un essai correspondant. La machine utilisée pour cet essai sert à   d,er   les piqûres ou autres   défaut S'du   tu- be, les tubes   défectueux   pouvant être écartés à ce moment.

   Les tubes venant de la machine d'essai sont pesés pour déterminer leur valeur relativeo Après la pesée on conduit les tubes dans un four à sécher - et, de là, à une machine à peindre d'où les tubes sont rejetés finis et prêts à être vendus - 

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   MACHINE DE     FA@ONNAGE   / 
Les figures 4 et 5 montrent le passage A ou support des rouleaux 1 et 2 qui saisissent la tôle.

   Chacun desdits rouleaux comprend un corps 3   fixé, sur   un arbre 4 comportant un prolongement 5 qui passe à travers une cage à rouleaux ou cylindres 6 qui le supportent, ladite cage comprenant un socle 7 sur lequel sont fixés des supports verticaux 8   et 9 ; ces supports reposent des paliers 10 et 11   recevant l'extrémités des arbres 4, sur l'un des cô- tés des corps des rouleaux 3,et recevant, sur l'au- tre côté, des tournions 12. Des ressorts 13 main- tiennent séparés les rouleaux 1 et 2. L'espace entre les rouleaux et par conséquent la pression qui peut être exercée sont réglés au moyen d'une vis de   pres-   sion 14 qui agit de haut en bas sur le rouleau 1, malgré la pression des ressorts 13 pour maintenir ledit espacement.

   Les rouleaux 1 et 2 sont pourvus d'anneaux 15 et 16 qui viennent en contact avec la tôle et qui sont disposés l'un vis à vis de l'autre pour faire avancer le métal à travers la machine de   façonnage.   Les rouleaux 1 et 2 ne cintrent pas   le métal ; servent simplement à saisir positive...   ment le métal dans le voisinage de ses bords pour le maintenir aligne convenablement. Lesdits rouleaux guident la tale plate suivant un angle descendant très léger, afin de donner au métal le mouvement nécessaire pour son façonnage, grâce à quoi ladite tôle passe graduellement et d'une façon sensiblement continue et régulière de la forme plate à la forme tabulaire.

   A l'une des extrémités de chacun des ar- bres 4 est fixé un organe d'accouplement 17 recevant 

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 l'extrémité d'un arbre de commande non représenté. 



   Après qu'elle s'éloigne des rouleaux 1 et 2, la tôle plane passe par le premier jeu de rou-   leaux   de cintrage, dans le passage A-B (figure 3) qui est placé entre les passages A et B et qui n'est pas commandé. Le passage A-B comporte un rouleau supérieur 18 et une paire de rouleaux tronconniques 19 et 20 (figure 6). Les rouleaux 18, 19 et 20 ne saisissent ni ne serrent pas réellement le métal mais servent simplement à le cintrer légèrement, le métal étant supporté, près de ses bords, sur   lesrou-   leaux 19 et 20 et le rouleau 18 exerçant une pression verticale à mi-chemin entre ces deux rouleaux. Les surfaces des rouleaux 18,19 et 20 ont une forme qui amène le métal à être cintré sensiblement avec la transition régulière désirées pour le faire passer de la forme plane à la forme tubulaire. 



   Le rouleau 18 tournedans des paliers sur un arbre 21 et est maintenu sur ledit arbre comme les rouleaux 19 et 20 qui sont montés, de façon à pouvoir tourner, sur un arbre 22 pourvu d'une paire de colliers fixes 23. Avec chacun des colliers 23 coopère une plaque 24 placée dans le voisinage des supports   de muleaux   25 disposés à l'intérieur d'une partie de chacun des rouleaux 19 et 20. Des supports de rouleaux analogues 26 sont prévus dans le   voisi-   nage de la face extérieure de chacun des rouleaux 19 et 20 et sont maintenus en position par des pla- ques qui coopèrent avec des bagues 27 fixées rigi-   deàent   sur l'arbre 22.

   Les rouleaux 18,19 et 20 sont empêchés de se déplacer axialement sur les ar- bres 21 et 22 mais peuvent tourner sur lesdits ar- 

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      bres grâce aux supports 25 et 26 et peuvent être enlevées des arbres après enlèvement des bagues 27 et   28.   Ces rouleaux tournent fous et empruntent leur mouvement au métal se déplaçant entre eux 
Les extrémités des arbres 21 et 22 sont montées d' me façon analogue;

   lesdits arbres sont maintenus rigidement en place, dans le voisinage de chacune de leurs extrémités, dans des excentri- ques 29 et 30 qui tournent dans des paliers 31   sus..   ceptibles de se déplacer verticalement, lesdits pa- liers étant séparés et supportés verticalement au moyen de blocs d'espacement coulissants 32 et   33'   
Les paliers   31   et les   blods   d'espacement 32 et 33 sont supportés dans un châssis 34 fixés, par des boulons   35,   aux montants des cages des passages A et B (figure 3).

   Chacun des excentriques 3o est   pour..   vu d'un moyeu annulaire en saillie 36 claveté sur un   engrenage   37 à vis sans fin, A l'un des paliers 
31 sont relies des supports 38 dans desquels tour- nent des vis sans fin 39 engrenant avec des roues hélicoïdales 37;   chacunê   des vis sans fin 39 est pourvue d'une extrémité carrée destinée à   récevoir   une clef pour faire fouler ladite vis. La rotation des vis sans fin respectives fait tourner les roues   hélicotdales   37 et les excentriques 30 qui soulè- vent ou abaissent les arbres 21 et 22, grâce à quoi les rouleaux sont réglés d'une façon correspondante, 
Au sortir des rouleaux 18, 19 et 20, le métal passe entre un   rouleau   supérieur convexe 41 (figure 7) et un rouleau inférieur concave 42.

   Le rouleau supérieur est en contact avec toute la lar- geur du métal tandis que le rouleau inférieur pré. 

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 sente un faible creux médian, de façon que le métal soit saisi entre deux points écartés l'un de l'autre, entre les rouleaux concave et convexe. 



   La cage 43 qui supporte les rouleaux 41 et 42 est fixée sur un socle 44, par des boulons 
45 ; sa construction est analogue à celle de la cage des rouleaux 1 et 2 et à cellesdes passages suivants 
C, D et E. On a prévu des paliers inférieurs fixes 
46 et des paliers mobiles supérieur 47 coulissant verticalement dans la cage des  rouleaux   et mainte- nus élastiquement par des ressorts 48;

   
La roue dentée 58 de la vis de pression 
52' est actionnée par l'engrenage 59', 60' et 61', la dernière roue d'engrenage étant montée à l'une des extrémités d'un arbre 62' soutenu par un support approprié 63' et pourvu d'une extrémité carrée 64' qui permet de manoeuvrer à la main la roue dentée 58, 
L'extrémité inférieure de l'arbre 59 non filetée pénètre dans un alésage 53'. d'un étrier 61 pourvu de bras latéraux 62 ayant chacun une partie 
63 s'appuyant dans un creux des paliers supérieurs 
47, grâce à quoi le réglage des paliers est mainte- nu égal en tous moments, ledit réglage compensant les variations d'épaisseur du métal passant entre les rouleaux 41 et 42. 



   En sortant des rouleaux 41 et 42 du pas- sage B, le métal vient en prise avec un deuxième jeu de rouleaux fous- 64 et 65 du passage B-C, analo- gue au passage A-B et supporté par les cages des   pas*'   sages B et C (figures 3).Le contour des rouleaux   du?     passage;   B-C correspond à l'écoulement naturel du métal au moment où il atteint lesdits rouleaux. 



   Le passage C (figure 8) reçoit le métal 

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 à partir des rouleaux fous 64 et 65 et constitue un rouleau supérieur de façonnage 66 et un cer- tain nombre de rouleaux inférieurs de support 67, 68 et   69;   Le rouleau supérieur, 66 est analogue au rouleau 41 mais la courbe de sa périphérie est plus prononcée;, De part et d'autre du rouleau supé- rieur sont disposés desrrouleaux fous 68 et 69 qui aident ce rouleau à donner la forme à la tôle. 



  Les rouleaux 68 et 69 tiennent en contact avec les bords du métal, pendant son passage entre eux et le rouleau 66. Cette construction présente de nombreux avantages, car il ne serait pas pratique d'utiliser un seul rouleau en contact avec la surface extérieu- re du métal lorsqu'on emploie des tôles de grande largeur pour former des tubes de grand diamètre. 



  Les rouleaux fous 68 et 69 sont montés sur des ar- bres disposés suivant un certain angle et portés respectivement par des supports 71 et 72 fixés des deux cotés de la cage 73. Les rouleaux 66 et 67 sont montés sur des arbres 74 et 75 dont les extré- mités tournent dans des paliers 76 et 77 maintenus séparés par des ressorts 78, comme dans le passage B (figure   7).   



   Les cages des passages A à E inclusive- ment sont sensiblement identiques, le contour des rouleaux présentant seul des caractéristiques essen- tiellement différentes. Lorsque le métal passe d'un jeu de rouleaux au suivant, les parties dudit métal saisies par les rouleaux en question se trouvent à différentes distances de la ligne médiane du métal, ce qui permet le déplacement continu et régulier du métal car les déformations individuelles que font 

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 subir les différents rouleaux sont si faibles qu'el- les sont pratiquement imperceptibles.   Malgré   le rap-   pro-chement   des rouleaux le métal n'est pas déformé brusquement par un jeu quelconque des rouleaux de façonnage. 



   A partir de A, le métal passe alternati- vement par des jeux de rouleaux   commandés   et des jeux de rouleaux fous. Les rouleaux de façonnage commandés sont montés sur des arbres horizontaux attaqués à partir d'un moteur 79 (voir figure 2), Ils donnent à la partie médiane du métal une forme arquée à cor- de horizontale. Les rouleaux fous alternant avec les rouleaux commandés sont montés sur des arbres incli- nés et agissent plus particulièrement sur les bords du métal pour les amener à prendre sensiblement   la.   forme des prolongements de l'arc formé par les rou- leaux commandés.

   Il convient d'utiliser des rouleaux fous dans le voisinage des bords du métal, car il est beaucoup plus difficile de monter les rouleaux com- mandés avec une inclinaison sur l'horizontale que de monter ainsi lesdits rouleaux fous; 
A partir du passage C, le métal entre dans le passage C-D (figure 9) constitué par deux paires de rouleaux opposés comprenant chacun un rouleau supérieur 85 et un rouleau inférieur 86, un rouleau 87 coopérant avec ce dernier et venant en prise avec la partie médiane de la tôle, à l'extérieur de celle-ci.

   Au moment où le métal atteint ces   rou-   leaux il est suffisamment cintré pour que ses bords latéraux aient   commencé   à prendre des positions di- rigées vers l'extérieur et vers le haut; les parties voisines de ses bords sont saisies par la paire de rouleaux 85 et 86 correspondante à surfaces convexe 

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 et concave coopérantes,   L'axe   desdits rouleaux 85 et 86 est incliné sur l'horizontale, grâce à quoi le métal est fermement saisi, dans le voisinage de ses bordsentre les organes de façonnage disposés con- tre ses bords.. 



   Une cage de support 89 (figure 9) est reliée aux cages à rouleaux des passages C et D par des boulons 90;   au.milieu,   de la traverse 91 de la cage 89 est suspendu un cadre de support 92 portant deux supports 93 et 94 qui portent respectivement des arbres 95 êt 96 sur lesquels tournent les rou- leaux 85, dans les organes de roulement 97. Ces rouleaux sont maintenus en place et 'viennent en contact avec la face intérieure du métal à son pas- sage e ntre les rouleaux. La cage de support 89 por- te, de part et d'autre, des tourillons   98 sur'les-   quels pivote un arbre 99 portant un support 100 en forme d'étrier, Sur les parties opposées de l'étrier se trouve un arbre 101 sur lequel tournent le rou- leau 86 et des organes de roulement 102.

   L'axe de l'arbre 101 et les rouleaux que porte de dernier viennent en contact avec sensiblement la même partie du métal des deux cotés opposés de celui-ci. L'ex-   trémité   inférieure des bras 99 porte un écrou 99' pourvu de tourillons et se vissant sur la partie filetée d'un arbre de réglage 103 qui est fileté à droite et à gauche, grâce à quoi il déplace   simul   tanément la partie inférieure des bras 99 vers l'in- térieur ou vers l'extérieur pour faire varier la pressions aur le métal. Sur la cage 89 et dans le voisinage des rouleaux inférieurs 96 est boulonné un support 105 comportant un étrier 106 qui supporte un arbre 107 sur lequel tourne le rouleau 87. 

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   Tenant de la cage à rouleaux 89, le mé- tal traverse le passage D (figure 10) analogue au passage C, sauf que le contour des rouleaux est plus grand pour agir dans le sens du façonnage con- tinu du métal. Le passage D comporte un rouleau de façonnage supérieur 108 et un certain nombre de rouleaux de support inférieurs 109, 110 et 111. 



   Le métal passe ensuite par un jeu de rouleaux fous D-E (figure 2) analogue au passage 
C-D (figure 9) avec l'unique différence que les ar- bres des rouleaux 85 et 86 forment un angle plus grand avec 1,'horizontale pour amener le métal, d'une façon continue, à la force tubulaire. Le métal passe ensuite par les rouleaux de façonnage du passage E analogue aux passages C et D (figures 8 et   la),   dont le contour se conforme au profil du métal en ce point de transition (voir figure 19). 



   Le passage F (figure 11) vient ensuite ; il constitue un support à rouleaux fous comportant un châssis 280 auquel est relié, par des boulons 281, un étrier de support 282 portant un rouleau inférieur de support et de guidage 283. Le châssis 280 est boulonné sur une table 284 (figure 3) et présente des prolongemehts 285 séparés l'un de   l'autre,   dirigés l'un vers l'autre et convergeant   ';.vers   le sommet pour soutenir un châssis de support 286 présentant deux évidements cylindriques 287 pour- vus chacun d'un palier de butée 288 et d'un palier radial 289 qui supportent, au moyen de leurs arbres, 290, de façon qu'il puisse tourner, l'un des rouleaux 291 d'une paire de rouleaux intérieurs coopérants. 



  Un couvercle de retenue 292 présentant des pattes      

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 descendantes 293 maintient le palier288 dans la position de fonctionnement. 



   Chacun des rouleaux 291 comporte une par- tie annulaire relativement aplatie 294 et des par- ties 295 relativement courbes qui servent au façon- nage du métal. Les parties relativement plates 294 des rouleaux correspondants roulent l'une sur l'au- tre, grâce à quoi on produit la réaction nécessaire pour résister à la pression exercée par les rouleaux   extérieur.   Les parties des rouleaux roulant l'une sur l'autre sont relativement plates en comparaison des parties vois ines, de façon que les rouleaux aient une zone de contact appréciable, ce qui réduit l'usure et augmente le temps pendant lequel les rouleaux sont en contact et sont réglés d'une fa-   ÇOn   convenable, les extrémités inférieures des ar- bres 290,

   sur lesquelles toument les rouleaux 291 sont reliées au-dessous desdits   rouleaux   par une   plaque 296. Les prolongnements 285 du châssis 280 présentent des ouvertures 297 à travers lesquelles   passent des arbres 298 qui portent des bras exté- rieurs 299 servant de support aux rouleaux. Chacun desdits bras présente un écrou 127 pourvu de   tou.   rillons et vissé sur les extrémités 128 et   128'     filetées à droite et à gauche d'une tige de réglage horizontale 129 pourvues d'extrémités carrées 130. Des organes de blocage appropriés 131 empechent la tige de tourner après le réglage des bras 299. 



  Chacun des bras 299 est pourvu d'un^étrier de support 132 dans lequel peut tourner un rouleau de façonnage extérieur 133.' Les axes desdits rouleaux sont parallèles entre eux et aux arbres 290 sur les-   

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 quels sont formés les roule-aux de façonnage intérieur   291.   Les rouleaux 133 soht   tonnés   pour coopérer avec les rouleaux 291, la partie de chaque rouleau en contact avec le métal pouvant se placer devant la partie correspondante du rouleau opposé agissant sur l'autre face du métal. Le rouleau de guidage et de support 283 maintient le métal qui s'avance dans la position voulue pour que les rouleaux 133 et   2'il   agissent sur lui.

   La surface périphérique du rouleau 283, en contact avec le métal, s'adapte sen- sibl ement à celui-ci, à la partie inférieure dudit métal, lorsqu'il atteint le jeu de rouleaux fous, ce qui contribue à cintrer doucement le métal au cours de son passage graduel à la forme tubulaire. 



  Des bras de support 299 sont réglés et disposés de façon que la pression exercée sur les rouleaux cor- respondants 291 et 133, de chaque côté du métal, soit sensiblement égale ; les rouleaux coopèrent ain- si pour le guidage du métal sans tendreà le faire tourner. 



   Les passages G, H et I (figure 3) sont construits comme le passage F. Les rouleaux corres- pondants à ces passages agissent progressivement sur le métal à mesure qu'il est façonné graduellement.' Les bords du métal étant cintrés vers le haut et vers l'intérieur,, les rouleaux internes coopérant avec les rouleaux externes correspondants exercent l'action de serrage nécessaire pour façonner le métal 
Lorsque le métal sort du passage I (fi- gure 19), ses bords opposés ont commencé à se fermer au sommet.

   Il est conduit ensuite à travers le pas- sage J (figure 12) comportant une paire de rouleaux 

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 command- 134 et 135, disposés 1' "S à vis de   l'autre et coopérant avec des rouleaux intérieurs 136. tous supportés par un bâti 137 qui porte deux supports de rouleau$ 138 et 139, disposés l'un vis à vis de l'autre: Ces supports peuvent glisser sur la surface du bâti 137.

   Les supports 138 et 139 sont identiques et comportent un étrier 140 d'où partent des bras 141 et 142 dans lesquels sont dis-   
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 posés des oigmes de support 4ppropriés 143 qui re- çoivent les extrémités clul, arbre vertical 144 sur lequel est claveté le rouleau 134.' L'extrémité infé., rieu:# de l'arbre est coniq2o et reçoit un pignon d'angle 145 engrenant avec un pignon d'angle 146 coulissant sur un arbre moteur horisontal 147 tour4 nant dans despaliers app3XJpIiés 148 que portent les   côtés opposés du bâti 137. Le pignon conique 146 peut coulisser sur l'arbre 147 pour compenser le    
 EMI19.3 
 réglage des rouleaux 135 et 134. De méme, le rou-   leau 135 est disposé sur un arbre 150 dont les extrémités opposées tournent dans des paliers 151 et 152.

   A l'extrémité inférieure de l'arbre 150 est fixée une roue conique 153 coopérant avec un Pignon conique 154 coulissant sur l'arbre 147Les pièces supérieures du bâti 137 sont assemblées par une traverse 155, au moyen de clavet-   
 EMI19.4 
 tes 156. Ladite traverse supporte des prolângements   157 du milieu desquels descend un support 158 soute  nant la cage à rouleaux 159 à l'intérieur de la-   
 EMI19.5 
 quelles so.t disposés les rouleauz intérienrs 136. 



  Entre les parties inférieures des supports clé rou-   leaux 138 et 139 est disposé un organe de support 160, sur l'extrémité duquel est placé an étrier 161, dans lequel tourne le rouleau 162 venant en prise   

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 avec la partie inférieure du métal à sa traversée du passage. 



   On règle les rouleaux 134 et 135 au moyen d'un étrier 163 taraudé pour recevoir des vis 164 et 164' qui coopèrent avec le support à rouleaux 139, en 165, pour permettre un glissement latéral dudit support dans la cage du passage. les passages J et K sont analogues sauf que dans le passage Y on a supprimé les rouleaux internes 136 et leurs supports et, au lieu de ces organes, on utilise un rouleau supérieur présentant une arête médiane destinée à façonner les bords du métal (figure 19). Ce rouleau supérieur est logé sensiblement de la même fa- çon que le rouleau inférieur, sauf que son support est porté par la traverse   155   pourvue d'un dispositif   à   vis approprié pour le réglage du rouleau supérieur. 



   Lorsque le métal quitte le jeu de rouleaux commandés du passage J, il passe par le passage J-K (figures 13 et 14) et vient en prise avec une paire de rouleaux fous 166 supportés par une plaque 168 fixée sur la cage du passage suivant K, au moyen de boulons   169.   A la plaque 168 est fixé, par des boulons 170, un support 171 présentant une saillie horizontale 172 faisant corps avec lui. 



   Une saillie horizontale 173 faisant corps avec la partie inférieure de la plaque est parallèle à la saillie 172 et se trouve sous elle. la saillie 173 présente une paire de bossages 174 disposés l'un vis- à-vis de l'autre et possédant chacun un manchon taraudé destiné à recevoir une vis de soulèvement 175. Cba- aune desdites vis est solidaire   d'une..............   

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 tige 176 dont l'extrémité supérieuretourne et glisse sur la saillie 172. L'extrémité de ladite tige 176 est carrée et peut recevoir une clef. 



   Sur le tourillon 177 que porte la saillie   173   tourne une roue dentée 178 engrenant avec des roues dentées 179 montées sur les vis de soulèvement 
175. La rotation'de l'une ou de l'autre des tiges 
176 provoque son déplacement verticale en raison de son filetage, et, en rais on de l'engrenage qui relie les deux vis 175, les deux tiges 176   se @@@@@@@@@   déplaceront verticalement en conservant leur posi- tion relative, Un manchon 180 reposant sur des roues dentées 179 est monté sur chacune des tiges 176. 



   Ce manchon porte un bras supérieur et un bras   infé   rieur 182 et 181 parallèles constituant un étrier de support pour un arbre 183 qui porte l'un des rouleaux   166,   chacun des bras 181 supportant un étrier qui comporte un bras supérieur et un bras inférieur 184 et 185 dans lesquels est monté un moyeu taraudé 186. Les moyeux 186 pivotent et sont maintenus sensiblement suivant un même axe (figure 13) et leurs filets sont respectivement gauche et droit, La tige de réglage 187 se visse dans ces moyeux tige pourvue d'une extrémité carrée 187'. On faisant tourner la tige 187 on approche ou on éloigne les moyeux et on rapproche ou on éloigne en même temps les rouleaux 166 correspondants en les faisant pi- voter.

   Lesdits rouleaux peuvent donc être réglés en hauteur et dans le sens horizontal pour les écar- ter ou les rapprocher l'un de l'autre, le disposi- tif de réglage vertical assurant toujours le   @@@   maintien des rouleaux à la même hauteur et le dis- positif de réglage horizontal assurant en éloigne- 

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 ou un rapprochement égal des rouleaux correspondants par rapport à l'axe de la machine à façonner. 



   Les passages K-L (figures 15 et 16) com- porte un rouleau 188 monté d'une façon fixe à l'ex- térieur et un rouleau extérieur 189, monté d'une façon réglable et coopérant avec le rouleau 188. 



  Le réglage du rouleau supérieur 189 est assuré par son cadre de support 189' auquel est reliée une vis 190 coopérant avec un engrenage à vis sans fin 191 et   12.   Le métal est saisi entre les rouleaux 188 et 189, ce dernier recouvrant la fente entre les bords'du. métal et coopérant avec les rouleaux in- térieurs 193 et   14   pour continuer à façonner le métal d'une   façon @@@@@   graduelle. Le métal a, à ce moment, atteint une forme presque complètement tubulaire. 



   Les bords opposés du métal sont presque en contact entre les rouleaux 188 et 189 et, en rai- son de la position du rouleau 189, il serait prati-   quement   impossible de supporter les rouleaux inté- rieurs 194 et 193 par des organes qui s'étendent à travers la fente du métal directement vis à vis des   rouleaux.'   Le support pour le s rouleauxintérieurs est constitué par un plaque mince 195 reliée à la cage du passage K-L, par des boulons 196, et passant à travers la fente du métal, à la gauche des rouleaux 188 et 189 (figure 16), par conséquent à une place ou les bords opposés du métal sont un peu plus écar- tés qu'ils ne le sont entre les rouleaux disposés verticalement.

   A l'intérieur de l'ébauche tubulaire, on a relié à la plaque 195, par des boulons 197, une plaque 198 s'étendant d'une façon générale, dans le sens longitudinal et portant, entre ses extrémi- 

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 tés, une cage à rouleaux 199 composant des pièces latérales 200 (figure 15) fixées sur la plaque   18   et portant des arbres 201 sur lesquels tournent les rouleaux intérieurs 193 et 194. Ces rouleaux ont sensiblement le même diamètre, le rouleau inférieur présentant une échancrure destinée à recevoir la surface périphérique du rouleau supérieur, Le rou- leau inférieur transmet surtout la pression, à par- tir du rouleau extérieur et à travers le métal, sur le rouleau opposé extérieur.

   Les rouleaux des pas- sages K-L sont supportés par une cage 202 qui porte un châssis 203 constitué par des pièces opposées 204. 



   Les extrémités inférieures des pièces latérales cor- respondantes 204 sont rapprochées et pourvues de bossages 205 dans lequels est montée une tige 206 sur laquelle peut tourner, sur des paliers appropriés 
207, le rouleau inférieur 188 de ce passage, 
A leurs extrémités supérieurs les   pied*   ces latérales 204 sont assemblées au moyen d'une entretoise 208 et de boulons 209, L'entretoise 208 présente une ouverture médiane à section circulaire dans laquelle peut tourner, sur des supports de   rou   leaux   appacopriés,   un écrou 210 comportant une partie élargie inférieure 211 et une partie supérieure sur laquelle est clavetée une roue hélicoïdale 191,

   au moyen d'une clavette   212.   Les deux pièces sônt maintenues allées au moyen d'un boulon   213   passant   par une rondelle 214 et pénétrant dans ledit écrou, venant la rondelle @@ en prise avec la surface supérieure de la roue hélicoïdale 191. la vis sans fin 192 qui engrène avec la roue hélicoïdale 191 est montée sur un arbre 215 tournant dans des paliers appropriés 216.   

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   La vis de levage 190 reliée à l'étrier 
189' est vissée dans l'écrou 210, l'étrier 189' présente des bras descendants 216' dans lesquels est montée une dneville; sur cette dernière peut tourner le rouleau 189, grâce à des supports de rou- leaux   218.   L'étrier 180' est guidé verticalement, par des guides 219, sur les surfaces internes des pièces latérales 204 et coopère avec des guides appropriés   220   que présentent les surfaces externes de l'étrier 189'. Ledit étrier ne peut se déplacer latéralement ni tourner, mais il peut se déplacer verticalement pour le réglage de la distance entre les rouleaux 188 et 189. 



   La vis de réglage 190 est goupillée dans l'étrier 189' de façon que, lorsque la roue hélicoï- dale 191   et,l'écrou   qui y est relié tournent, l'é- trier qui porte le rouleau supérieur 189 monte   @@   ou descende. L'ébauche du tube est soutenue latérale- ment par des guides opposés 20L' fixés sur les pièces latérales 204, ce qui place les guides entre les rouleaux 188 et 189. 



   La combinaison des rouleaux internes et extermes permet de mettre en prise l'épaisseur du métal en des points directement opposés pour l'a- mener graduellement à la forme tubulaire, presque; au point   exact   où les bords opposés du métal se rencontrent. 



   Lorsque le métal cintré passe par le passage à rouleaux fous K-L, les bords opposés du métal sont sensiblement en contact l'un avec l'autre. Le jeu de rouleaux suivant L (figure 17) est constitué par trois rouleaux de façonnage sensi- blement identiques 221, 222et 223 disposés pour venir 

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 en contact avec le métal sensiblement sur toute sa périphérieo Chacun des rouleaux 221,222 et 223 pré- sente une surface concave venant en contact avec le métal et possèdant une section formant un arc de cercle dont le diamètre est le diamètre extérieur du métal aux points de contact.

     Chacun.des   rouleaux couvre sensiblement 120  de la périphérie du métal et les rouleaux correspondants sont disposés avec leur axe suivant un triangle sensiblement équilaté- ral autour du métal, de façon que la pression exer- cée sur ledit métal par les rouleaux soit distribuée sur toute la périphérie de ce métal. 



   Le rouleau 223 est commandé par des con- nexions motrices 224 et les rouleaux 221 et 222 sont fous .Le rouleau 223 comporte un corps é225 claveté sur un arbre 226 présentant des portées 227 qui por tent des paliers rediaux 228. La cage 229 présente des paliers cylindriques opposés 231 dans lesqulls tourne un arbre 232 qui porte, de manière qu'ils puissent pivoter, des éléments verticaux 234 de la cage. Chacun desdits éléments présente, à sa partie supérieure, un prolongeant 235 présentant un évide-   ment   convenable 236.

   La cage 229 présente une tra.. verse 237 disposée entre les prolongements 235 des   élamnts   de cage correspondants 234 et pourvue d'évidements opposés 238 sensiblement en regard des   àvidements   236, Des ressorts 239 sont placés entre les évidents correspondants 238 et les pro longements 235, lesdits ressorts pénétrant dans les évidements correspondants 236 pour écarter   élasti.     cernent   de la traverse 237 de la cage les parties supérieures des éléments de châssis correspondants . 

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   Une tige 240 parallèle à   la   traverse 237 et supportée par ladite traverse est filetée à ses deux extrémités opposées 241 et chacune des extré- mités présente une partie 242 pouvant recevoir une clef. Chacun des éléments de cage 234 contient, un peu au-dessous de la partie 235 desdits éléments, un écrou 243 pourvu de tourillons   @@@   et dans lequel est vissée la tige de réglage 240. Chacun des élément de cage présente un évidement 244 recevant lesdits écrous 243 et les empêchant de tourner par rapport audit élément. Les extrémités 241 de la tige 240 ayant des filets de pas contraire, lorsqu'on tour- ne ladite tige dans un certain sens, les éléments de cage 234 s'écartent sous l'action des ressorts 238, mais ils se rapprochent lorsqu'on fait tourner la tige en sens contraire.

   Un écrou de blocage 245 est vissé s,ur la tige de réglage 240 et est disposé de part et d'autre d'une pièce de fixation 246 destinée à maintenir les pièces dans la or position réglée, position dans laquelle elle est fixée rigidement à la traverse 237 par des boulons 246'. 



   Chacun des éléments de cage 234 présente, à son extrémité supérieure, une partie 247 en forme d'U, les parties en U   formant   un angle entre elles avec leurs extrémités ouvertes tournées vers l'inté- rieur. l'une vers l'autre. Les jambages des parties en U se terminent sous forme de pièces de support 248 qui supportent un arbre 249 dont les extrémités filetées font saillie à travers des perforations de la paroi radiale de chacune des pièces de support 248 et qui reçoivent des écrous que l'on peut serrer contre les parois de chacune desdites pièces de support pour empêcher la totation de l'arbre; il est 

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 entendu que les rouleaux 221 et 222 tournent dans des paliers qui s'étendent sur la partie médiane de leurs arbres   reppectifs.   



   Les rouleaux 221 et 222 tournent libre. ment sur leurs arbres   respectifs   et coopèrent avec   le rouleau commandé 223 pour réaliser sensiblement 1$état final du métal. Le métal sort du jeu de rou-   leaux 221, 222 et 223 sous une forme tubulaire sen- siblement parfaite. Les bords opposés du métal sont sensiblement en contact l'un àvec l'autre et, en cou-   Pas le métal se présente sous forme d'un cercle par  fait, A partir de ce jeu de rouleaux, l'ébauche de tube passe par le dernier jeu de rouleaux de façon+ nage M (figure 18) comportant un rouleau supérieur 250 et une paire de rouleaux inférieurs fous 251 et 252 disposés suivant un certain angle.

   Le rouleau supérieur 250 est commandé par une transmission 254. l'angle que forment ces rouleaux est tourné en sers contraire de celui que forment les rouleaux de la figure 17,,Le réglage des rouleaux du passage M est sensiblement identique à celui des rouleaux du passage L. Le profil des rouleaux vient en contact sensiblement avec toute la périphérie du métal, Les figures 19 et 20 montrent comment le métal passe de la forme plane à la forme tubulaire; Sur la figure 19 on a montré différentes coupes espacées du métal, au monent où il passe par les différents passages, Le point où le métal entre dans la machine se trouve au-dessous de l'axe du tube fini à environ 0,66 fois le diamètre du tube fini sortant de la machine,;

   Les élévations correspondantes du   

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 métal par rapport à cet axe sont   représentées   clai-   rement   sur la figure   20.   



   Lorsqu'on   trais'forme   de la tôle de 12,5 mm. d'épaisseur en ébauches de tube de 400 mm. de diamètre environ, il peut y avoir vingt passages d'une longeur totale de 26 mètres environ et avec des espaces de 1,20 à 1,50 m. de centre à centre des passages voisins. Les contours des rouleaux des différents passages doivent être tels qu'ils vien- nent en contact avec le métal dans chacun des pas-   sages,,   en un certain nombre de points répartis d'une façon à peu près égale sur la largeur du métal. 



   Les figures 21 et 22 montrent un autre mode d'exécution qui ne diffère du mode d'exécution préféré qu'en ce qui concerne le nombre et le con- tour des rouleaux. Les figures 23 et 24 montrent comment le métal passe de la forme plane à celle d'une ébauche de tube. La figure 23 montre, en cou- pe, le cintrage du métal et les rouleaux à chacun des passages successifs. Les élévations   correspon-   dantes du métal par rapport à l'axe sont montrées clairement sur la figure 24. La   machim   à façonner les tubes ainsi modifiée produit une ébauche de tube également exempte de tensions internes et d'allongements, en un nombre moins   grand   de passa- ges. 



   MECANISME D'ALIGNEMENT 
Sur les figures 25 à 31, on a désigné par 402 le parquet d'un atelier de laminage sur le- quel on a fixé rigidement un certain nombre de mon- tnats alignés 403 comportant une semelle 404 reliée, par des boulons 405, au parquet 402 et une partie verticale 406 à laquelle est reliée, par des boulons 407, une paire de supports espacés 408 avec chacun 

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 desquels coopère un support complémentaire 409 qui y est relié par des boulons 410;

   Dans les supp- ports 408 et   40   est monté, de façon à pouvoir glis- ser verticalement, un cylindre 411 pourvu extérieure ment d'une rainure verticale 410', une clavette 411; maintenue entre chaque paire de support 408 et 409, s'engageant dans la rainure pour empêcher le cylin- dre de tourner et pour assurer les mouvements   ascen    dant et descendant dudit cylindre dans les supports 
408 et 409. 



   A chaque extrémité du cylindre 411 sont reliés une tête 413 (par des boulons 412) et l'un des tuyaux 414 et   415.   Le tuyau 414 est reliéà la partie supérieure du cylindre etcommunique avec l'intérieur dudit cylindre, le tuyau 415 étant re- lié à la partie inférieure dudit cylindre. Les tuyaux   414   et 415 sont reliés par un robinet-vanne 
416 pourvu d'une manette 417, grâce à laquelle un fluide sous pression provenant d'une source 418 peut être envoyé soit au tuyau 414 soit au tuyau 415.

   Un tuyau d'échappement 419 permet de sup- primer la pression dans   l'un   et l'autre des tuyaux 
414 ou 415,   Le -robinat   416 permettra, de préférence de relier, à un moment quelconque, l'un des tuyaux 
414 et 415 avec une source de pression et l'autre avec le tuyau de   décharge;   Dans le cylindre   411   est monté un piston 420 portant, à chacune de ses extrémités, une garniture 421 fixée par un boulon 422 et un bloc   422'.. Le   piston 420 monte et descend dans le cylindre 411 sous l'effet du robinet de commande 416. A travers le piston 420 passe une tige 423 dont les extrémités passent à travers des rainures latérales appropriées 424 du cylindre 411. 

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   Au cylindre 411 est relié un bossage 
425 à travers lequel passe une tige 426 sur laquelle tourne une paire de bras 427. Chacun des bras 427 présente, dans le voisinage de son extrémité, de gauche (figure 27), une rainure longitudinale 428 renfermant un palier coulissant 428' qui entoure l'une des extrémité de la tige 423 traversant le pis- ton 420. Des plaques de propretés 429' reliées par des boulons 430' couvrent les rainures 428. Les pla- ques 429' pivotent sur la tige 423, les boulons 430'   pouvant''se   déplacer dans des rainures 431' pratiquées dans les bras 427. Chacun des bras 427 est pourvu, à son extrémité opposée, d'un prolongement ou butée 429. 



   Grâce à la liaison par tige et rainure entre les bras 427 et le piston 420, le mouvement dudit piston dans le cylindre 411 provoque le pivo- tement des bras 427 autour de l'axe de la tige 426. 



   Lorsque le piston 420 se trouve dans sa position inférieure, la butée 429 des bras correspondants 
427 se trouve dans la position élevée et viceeversa. 



   On a   prdvu   un étrier 430 pourvu de pro-   longements   ou supports opposés 431 oscillant sur les extrémités de la tige 426. L'étrier 430 présente une butée 432 qui repose normalement sur les butées 429 des bras 427. L'étrier 430 peut pivoter autour de fa tige 426 et tend normalement, par l'action de la pe- snateur, à tourner autour de ladite tige dans le sens des aiguilles d'une montre (figure 27).

   Ce mou- vement est limité par les butées   429,   lorsque la butée 432 de 11-étrier   430   vient s'appliquer sur elle? Lorsque le piston 420 descend dans le cylindre 411 les butées 429 coopèrent avec la butée 432 pour em- 

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   pêcher   l'étrier 430 de tourner autour de la. tige 426 dans le sens contraire des aiguilles d'une montre (figure   27),   ledit étrier pouvant tourner dans le sens des aiguilles d'une montre ou   descen"   dre lorsque le piston descend, ce qui abaisse les butées   429   
L'étrier 430 présente, à son extrémité externe, un doigt descendant 433 à extrémité amincie 434 se terminant par une pointe arrondie 435. 



   Une poutrelle en double T 439 règne ho- rizontalenent sensiblement sur toute la'longueur de l'appareil,   1'tme   de ladite poutrelle étant disposée horizontalement. Sur ladite poutrelle sont fixés, à certains   intervalles  au moyen de boulons 440, des paliers 441 qui aident à supporter, dans son mouvement de rotation, un arbre   longitudinal(,   442. 



  La poutrelle 439 est disposée de façon que   l'arbre     442/règne   également sur toute la longueur de l'ap- pareil se trouve dans le voisinage de la ligie des montants 403 et soit parallèle à ladite ligne. L'une des extrémités de la poutrelle 439 présente une extension 439' constituant un support sur lequel est monté un'moteur 443 commandant l'arbre 442,   au   moyen d'un accouplement flexible   445; Le   moteur 443 est pourvu d'un frein magnétique 444j 
Sur l'arbre 442 sont montés, à certains intervalles,, un certain nombre de éviers à   genouil   1ère concentriques 446.

   Le bra s supérieur de cha- cun de ces leviers à genouillère est relié' à une cheville 447 sur laquelle peut tourner un   glet   448 auquel est reliée une roue dentée de commande 449. 

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   Sur l'arbre 442 est clavetée une roue dentée 450 engrenant avec chacune des roues dentées 449, ce qui fait tourner le galet   448.   



   En raison du fait que la distance entre l'axe de l'arbre 442 et les axes des chevilles cor- rrespondantes 447 reste invariable quelle que soit la posi tion des leviers à genouillère, l'engrènement des roues dentées   449   avec les roues dentées cor- respondantes 450 n'est pas affecté par la position des leviers à genouillère et des galets 4480 Chaque fois que l'arbre 442 tourne sous l'effet du moteur 
443, les galets 448   tourmnt   quelle que soit la position des leviers 446. A l'extrémité de chacun desleviers à genouillère 446 pivoteen 446', un biellette   451:   Les deux biellettes451 pivotent l'une' sur Vautre par rapport à chaque jeu de genouillères en 452.

   En 452 pivote également l'une des extrémités d'une biellette 453 dont'l'autre extrémité pivote en 454 sur un bras 455 claveté sur un arbre 456 qui toume dans des paliers écartés 456' reliés à la poutrelle 439. La rotation de l'arbre 456 dais le sens inverse'des aiguilles   d'une   montre (figure 27) attire la biellette 453 vers le bas, ce qui, par l'intermédiaire des biellettes 451, fait se rappro- cher les extrémités inférieurs des leviers à ge- nouillère 446 correspondants et déplace les galets correspondants 448 d'un bloc, vers l'extérieur et vers le bas; 
On a prévu un cylindre 457 dans lequel est ajusté un piston 458 que des connexions à fluide   459 animent d'un mouvement alternatif.

   A travers letton 458 et à travers les parois du cylindre     457   passe une cheville   460.   Sur l'arbre 456 on a 

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 claveté une paire de manivelles 461 présentant cha- aune une rainure 462 renfermant un palier coulissant 
462' qui reçoit   l'extrémité   de la cheville 460 de façon que, lorsque le piston 458 se déplace d'un mouvement alternatif dans le cylindre   457,   l'arbre 
456 décrive un léger déplacement angulaire pour ame- ner le fonctionnement désiré des genouillères et des galets   4480   sans dérangement des commandes des galets par les engrenages 450 et 449. 



   Sur le parquet   402   se trouve une série de montants 463 dans chacun desquels tourne une vis verticale 464 sur laquelle est   c lavetée   une roue hélicoïdale 465. Un arbre   longitudinal   466 tourne dans des paliers 466' que portent les montants 463. 



   Sur   1 arbre   466, on a claveté une série de vis sans fin 467 qui coopèrent chacune avec l'une des roues hélicoïdales 465 pour faire tourner la vis 464 cor-   respondante.   Un bras 468 est prévu pour commander l'arbre   466.   



   Avec chacune des vis 464 coopère un écrou 
469   présentant   une collerette 470 à laquer est relié un organe de support annulaire 471. La poutrel- le 439 est reliée avec les organes de support annu- laires correspondants 471 par des boulons 472 qui coopèrent, à leur tour, avec des plaques de fixation   473.   L'âme de la poutrelle présente des ouvertures espacées destinéesà recevoir des   moyeux   473' que porte l'extrémité supérieure des organes correspon- dants 471, Ladite poutrelle peut être réglée ainsi verticalement au moyen des vis correspondantes 464 commandées par l'arbre 466 et par le bras 468. 



   A certains intervalles sont relias, au   moyen de boulons, 474, à la poutrelle 439, des organes de support 475. Dans chaque paire de ces supports   

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 tourne un arbre 476 portant un galet creux 477 disposé par rapport aux galets 448 comme le montre la figure   27.   Sur l'une des extrémités de d'aque arbre 476 est claveté un pignon conique 478 engre- nant avec l'un des pignons coniques 479   d'une   série clavetée sur un arbre longitudinal 480 ,pourvu d'une roue à chaîne 481 et tournant dans un bottier   481'   que porte la poutrelle 439. Un moteur 482 est relié par un accouplement flexible 483 à un dispositif réducteur de vitesse   484   auquel est relié un arbre 
485 qui porte une roue dentée 486.

   Une chaîne 487 relie les roues à chaîne 481 et 486, afin que la première soit commandée par la deuxième. 



   La poutrelle 439 et tout ce qu'elle por- te peuvent être soulevés par les vis 464. La liaison à chaîne entre la mue à   chaîne   486 et la roue 481 clavetée sur l'arbre 480 est telle que le moteur 
482 fasse tourner l'arbre 480, quelle que soit la hautaur de ce dernier. Les deux arbres 480 et 485 se trouvent sensiblement à la même hauteur et à une certaine distance; une légère modification du ni- veau de l'arbre 480 n'a guère d'influence sur le fonctionnement de cette transmission. 



   Pour chacun des montants 403 on a monté sur le parquet   402   un support 488 sur lequel pivote un levier 489 à bras sensiblement égaux; l'une des extrémités dû levier pivote en 490 sur un support 490' relié à la poutrelle 439 et Vautre extrémité pivote en   4'il   sur une collerette 492 dans laquelle est vissée une tige 494 portant,   à"son   extrémité supérieure, un palier 495. Un écrou de serrage 493 est prévu pour maintenir la collerette 492 en place 

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 sur la tige 494.   A   la tête inférieure   413   du cylin- dre 411 est reliée une masse   46   à travers laquelle passe une cheville 497 qui passe également à travers le palier 495.

   De cette façon, le cylindre   411   est relié à la poutrelle 439 et, en raison de l'égalité des bras 489, tout mouvement descendant de la pou- trelle produit un mouvement ascendant égal du cylin- dre 411 et vice-versa, 
Une série de plans inclinés   498     s'éten-   dent suivant un certain angle à travers les surfaces supérieures des galets 448 (figure 27); ils amènent à l'appareil une pièce de métal 499 présentant une fente 500. A la poutrelle 439 est'reliée, par des boulons 438, vis-à-vis de chaque plan incliné 498, une pièce de garde verticale, par exemple un fer cornière 437, destiné à empêcher les pièces de métal amenées par les plans inclinés 498 de passer au-des- sus des galets   448.   



   A certains intervalles et en des points opposés, on a relié la poutrelle 439 à une série de guides verticaux 501 qui coopèrent avec des   mon"*   tants de guidage correspondants 502 montés sur le parquet 402. Les montants   502   présentent des par- ties 503 faisant saillie vers l'extérieur et entou- rant les guides   verticmx   501 reliés à la poutrelle 439, de façon que celle-ci soit guidée positivement et ,libre de se déplacer verticalement sous l'ac- tion des vis   464.   on fait rouler une pièce de métal   (fi-   gures 30 et 31), dont les bords sont séparés de façon à former une fente 500, sur les plans incli- nés 498 jusqu'aux galets   448.   Dans leur position normale,

   les surfaces des galets 448 qui supportent le métal se trouvent à une certaine huteur au- 

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 dessus des surfaces des galets 477 qui portent le métal et, lorsque la pièce de métal 499 est amenée à partir des plans inclinés 498, ladite pièce est supportée uniquement par les galets 448. 



   Le sens de rotation de la pièce de métal 499 dans sa descente le long des plans inclinés 498 est   indiqué   par la flèche A sur la figure 27. La piè- ce de garde 437 empêche la pièce de métal 499 de dé- passer, en   roulant,   les galets 448 et de cesser d'ê- tre en contact avec   eux.'   
Les galets 448 peuvent rester immobiles jusqu'à ce que la pièce de métal 499 se soit arrê- tée sur eux.

   que les galets 448 tournent ou ne tour- nent pas, au moment où le métal leur est amené, ils tourneront soit dans le sens des flèches B de la figure 27 soit dans le sens opposé immédiatement après l'arrivée du métal, ce qui fait tourner ce dernier, 
Aussitôt que la pièce de métal 499 s'est appliquée sur les galets 448 et que ces galets tour- nent, l'étrier 430 étant maintenu normalement soule- vé, on fait fonctionner le robinet 416 pour ad- mettre du fluide dans le tuyau 415, ce qui soulève le piston 420 et permet à l'étrier 430 de tourner autour de l'axe de la cheville 426 dans le sens des aiguilles d'une montre (figure 27), jusque ce que la pointe 435 du doigt 433 repose sur la surface externe de ladite pièce de   .métal,.   Par suite du soulèvement du piston 420,

   l'étrier 430 repose librement sur la pièce de métal et peut continuer à descendre. 



   La rotation des galets 448 provoque la re- talion de la pièce de métal 499 suivant son   axe   et elle amène finalement la fente'500 vers la partie 

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 supérieure et, à ce moment, le doigt 433 pénètre dans la fente pour   empêcher   la rotation de la pièce de métal, malgré la rotation des galets 448 et retient ladite pièce de métal dans cette   posi   tion. 



   Après la mise en place de la fente   500,   le piston 458 se déplace dans le cylindre 457, vers la droite (figure 27), fait tourner l'arbre 456 dans le sens   contraite   des aiguilles d'une montre et ouvre l'extrémité supérieur des genouillères 
4460 grâce à quoi les galets correspondants 448 se déplacent   vers @@@@@   l'extérieur l'une par rapport à l'autre et descendent., Ce mouvement des galets 448, vers l'extérieur et vers le bas, les amenât, dans une position inopérante en ce qui con- cerne la pièce de métal   49   parce qu'ils se   dépla-   cent hors de contact   avecrfadite   pièce,

   cette der-   niére   étant amenée automatiquement aux galets 477 dont les surfaces en contact avec le métal ne se trouvent qu'à une faible distance au-dessous des   surfaces   de support du métal des galets 448. Les galets 448 deviennent ainsi inopérants et on peut arrêter le moteur 443, soit avant, soit après L'ame- née de la pièce de métal sur les galets 477. 



   Lorsque la pièce de métal passe des ga- lets 448 aux galets 477, elle descend très légèrement, probablement d'une quantité inférieure à 3 ou 5 em. 



  L'étrier 430 oscille légèrement vers le bas avec la pièce de métal, de sorte que, malgré cette fai- ble descente du métal, les doigt-s 433 demeurent dans la fente 500, en prise avec ladite pièce, et la maintiennent ainsi la fente en   haut.   

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   Après que le métal a été amené aux galets 477, on met en marche le moteur 482 et oh fait tourner les galets 477 pour provoquer le dépla-   cemeht   longitudinal de la pièce de métal dansle sens de son axe; la pièce se déplace ainsi avec la fente dans la position voulue, au moyen des doigts 433 qui glissent le long de la fente pendant le déplacement du métal sur les ga.lets 477. 



   Grâce à la liaison par leviers   48   entre le cylindre 411 et la construction qui supporte les galets, l'étrier   430   et les galets agissent tou- jours d'une façon appropriée sur le métal pour le faire avancer suivant la ligne désirée, l'élévation des galets pouvant être réglée suivant les dimen- sions du métal travaillé et l'étrier 430 venant occuper automatiquement une positionnconvenable pour permettre au doigt   5433   de pénétrer dans la fente. 



  Pour les grandes dimensions, le cylindre 411 est déplacé vers le haut et la construction qui supporte les galets est déplacée vers le bas, les deux mouve- ments étant exactement égaux, ce qui permet d'attein- dre le résultat recherché. L'arbre 466 qui porte les vis sans fin correspondantes 467 règne sur toute la longueur de l'appareil et la rotation de cet arbre, au moyen du bras 468, provoque des soulèvements et des abaissements égaux de toutes les parties de la poutrelle 439 et, par conséquent, de tous les support!   de galets ; mouvement des galets est accompagné   par un mouvement correspondant, dans le sens inverse, du cylindre 411. 



   APPAREIL DE   SOUDURE   
La figure 32 montre un moteur 621 relié, par un embrayage magnétique 623, à un réducteur de vitesse 624 auquel on a relié une série d'organes 

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 de conmande 625', au moyen d'arbres 622.Les organes de commande 625' actionnent, au moyen d'arbres 625, des galets d'alignement, des galets d'alimenta- tion, des galets égaliseurs et des galets calibreurs. 



   Les cages des galets d'alimentation 601 et 6D2 (figures 33, 34 et 36) sont identiques et com- portent une plaque 626 fixée, par des boulons 627, sur les fnndations; elles portent un socle 628 dont la position latérale peut être réglée par des vis 629. Des châssis latéraux 630 et 631 sont boulonnés sur le socle 628 et présentent, des deux côtés opposés, des guidas appropriés 632 . Un étrier 633 relie les traverses 632' des châssis latéraux 630 et 631, ledit étrier présentant un élargissement central 634   @@@   taraudé pour recevoir une vis 635 dont l'extrémité inférieure est fixée rigidement sur un deuxième étrier 636. L'extrémité du bras de l'étrier 636 forme des paliers   657   et 638 présentant des saillies qui viennent en contact avec les guides 632.

   Ces paliers 637 et 638 sont pourvus de coussinets appropriés dans lesquels tournent les extrémités apposées des arbres 639 sur lesquels est disposé un galet d'alignement 640 comportant deux pièces coniques 641, disposées l'une   vis-à-vis   de l'autre, et un disque médian 642 qui, lorsqu'ils sont assemblés sur l'axe 640, entre des écrous: de fixation appropriés 643, constituent le galet complet. La périphérie du disque 642 pénètre dans la fente du tube formé. 



   Des paliers 645 et 646 sont supportés par des blocs 647 et 648; ils sont maintenus entre les guides latéraux des éléments de châssis et leur position verticale peut être réglée entre lesdits guides. Les blocs 647 et 648 sont supportés par des 

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 coins 650 que portent les châssis latéraux 630 et 631 et qui glissent sur lesdits châssis, des crémaillères 651 et des pignons 652 aidant les coins à soulever ou à abaisser les paliers 645 et 646. Les pignons 652 sont clavetés sur un arbre 653 à extrémité carrée   654.   



   Les paliers 645 et 646 supportent les deux extrémités d'un arbre 655 sur lequel est claveté un galet 656 réglable sur ledit arbre 655 et maintenu en position, de chaque côté, par des collerettes 656'. 



  Le socle 628 est pourvu d'un palier 657 dans lequel tourne l'une des extrémités d'un arbre vertical 658. Avec le palier 657 est combiné un deuxième palier   65   dans lequel tourne un arbre de commande 660 actionné par'le moteur 621 (figure 32). L'abre 660 est solidaire de l'arbre 658 sur lequel sont clavetées, à une certaine distance l'une de l'autre, des roues coniques 661 et 662. La roue dentée conique inférieure 661 engrène avec une roue dentée coni- que 663, à l'extrémité externe de l'arbre 655, pour faire toyrner le galet 656 claveté sur l'arbre 655.

   La roue dentée conique supérieure 662 engrène avec une roue conique 664 fixée sur l'arbre 639 et provoque; de la même façon, la rotation du galet   640.   L'engrenage conique 661-663 tourne dans un carter 665 et de même l'engrenage   663"664   est enfermé dans un carter 666. Les galets 640 et 656 sont actionnés ainsi par la commande principale. On peut ,régler la position verticale des galets supérieurs et inférieurs des jeux 601 et 602 de galets de guidage et on peut changer les galets eux-mêmes pour travailler des tubes de diamètres différents. 



   Les disques 642 des galets supérieurs de cha- cun des jeux de galets d'alignement 601 et 602 sont inden- tiques et le dis que que contient le galet supérieur du jeu de galets d'alignement 601 maintient ouverte la fente 

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 du tube jusqu'à ce que celui-ci ait dépassé la claque 669 qui supporte le mandrin 605. Ce disque empêche également l'ébauche de tube de tourner ou de balloter avant qu'elle ne pénètre entre les galets d'alimentation. Pendant qu'ils passent entre les galets d'alignement, les bords de la fente ouverte sont appliqués contre le disque 642 pour les préparer   à   la soudure. 



   Le jeu de galets de guidage 602 est pourvu d'un galet de guidageauxiliaire 667 qui dirige exactement l'extrémité entrante du tube entre les galets du jeu 6020 En utilisant deux jeux de galets de guidage 601 et 602, on maintient fermement le tube entrant et en empêche des ef- forts de torsion qui pourraient faire quitter au tube son alignement et empêcher une mise en position convenable des bords de la fente par rapport aux galets-électrodes. Le jeu de galets 602 est pourvu d'un support 668 sur lequel est fixée la plaque 669. La partie inférieure de la plaque 66 est fixée à l'extrémité externe du mandrin 605 qui porte deux jeux de galets intérieurs 667 et 673 (figure 34). 



  Le premier jeu de galets 667 est porté par une boite 671, ouvre la fente du tube après qu'elle a été fermée par les rouleaux d'amenée et maintient un angle d'approche déterminé de la fente par rapport aux galets-électrodes 617 et 618. Le deuxième jeu de galets intérieurs 673, portés par le mandrin 605, fait partie de l'ensemble   égaliseur,   
On a disposé   (figures34   et 37) un jeu de galets d'amenée entre le jeu de galets d'alignement 602 de la machine à souder. Le jeu de galets d'amenée reçoit le tube venant du jeu 602 et le prépare avant qu'il n'entre dans l'espace où s'effectue la soudure, Le jeu de galets d'ali- mentation 604   @@   comprend" deux paires de galets 675 et 675', les galets de chaque paire étant placés verticalement l'un au-dessus de l'autre.

   La paire de galets 675' comprend un galet supérieur 677 présentant une   arête   677' dontre 

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 laquelle viennent s'appliquer, à leur passage, les bords de la fente ouverte, les galets de la paire 675' sont supportés par deux arbres horizontaux 670 dont les   extré-   mi,tés tournent dans des paliers appropriés 680. L'une des extrémités de chacun des arbres 670 porte   unaccouple-   ment 670' fixant les arbres 670 à des arbres 625, grâce auxquels on fait toumer les galets de cette paire. La deuxième paire de galets, désignés par 675, du jeu de galets d'alimentation 604 comporte des galets 681 et 681' fixés sur des arbres horizontaux 676 tournant, à leurs extrémités, dans des paliers 679, supportés par le châssis des galets.

   L'une des extrémités de chacun des arbres 
676 est pourvue d'un accouplement 676' recevant l'une des extrémités d'un a.rbre 625 qui applique un couple à ce jeu de galets. Le diamètre de l'espace compris entre les galets 681 et 681' es± moindre que celui qui existe entre la paire 675', de façon que les bords de latente soient rapprochés jusqu'à se toucher, lorsqu'ils passent dans ledit espace, et soient appliqués l'un sur l'autre afin d'ajuster ces bords avant que la fente ne pénètre dans l'espace où s'effectue la soudure. 



   Un jeu de galets de pression (figures 34, 39,40 et 41) est disposé directement au-dessous des galets-blec- trodes 617 et 618, ledit jeu de galets comportant un socle 
685 présentant un creux 686 dans lequel on peut régler la position longitudinale du chariot 687 dans le sens de la longueur du tube. Le chariot est maintenu, par un assem-   blage   à queue d'aronde, dans un socle 688 et possède des guides 689 dans lesquels peut se dépecer verticalement , un palier 690 qui supporte un arbre horizontal 691' sur lequel est monté un galet 691. Le palier repose sur un bloc   62   que porte un coin   63   à la. partie inférieure du chariot 687. 



   On peut déplacer le chariot 687 le long du socle, 

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 au moyen   d'yne   crémaillère 694 (figure 39) placée à sa partie inférieure et d'un pignon   65   tmurnant dans le socle. Le coin 693 peut être   réglé^pour   soulever ou abaisser le palier 690, au moyen d'une vis 696 coopérant avec un écrou 697 fixé sur une saillie   68   dé la   pàrtie   inférieure du chariot 687. 



   Des vis de serrage 699 et 700 du socle fixent le chariot 687 dans toute position où on l'amène, en fai- sant tourner un arbre 701 sur lequel est claveté le pi- gnon 695. Pendant le soudage, le galet de support du jeu de galets de pression est réglé de façon qu'il soit disposi en avant de l'ébauche du tube entrant, de manière que l'ex trémité de celle-ci se trouve sur les galets-électrodes avant que,le tube ne vienne en contact avec le galet   6910   Lorsque le tube continue à avancer, il sedéplace sur ce galet et une pression est exercée entre ledit galet et les galets-électrodes. On évite ainsi que les   galets-éle-   trodes ne soient entaillés par l'extrémité entrante du tube 
Le socle supporte des chevilles 702 qui s'élè- vent   verticalementlau-dessus   de lui.

   Des   bottes   703 et 704 qui renferment des galets de pression pivotent sur les chevilles 702 et portent des paliers destinés à rece- voir des arbres 705' portant des galets 705 qui exercent une pression latérale, lesdits paliers étant tonnés de façon que les galets 705 flottent suy les arbres   705'.   Le libre déplacement de ces galets par rapport à l'axe longi- tudinal des arbres 705' compense les défauts d'alignement de la fente par rapport aux galets-électrodes, par suite d'une malfaçon du tube, Le galet de support intérieur 691 flotte sur l'arbre 691' sur lequel il est monté, Aux ex- trémités libres des boites 703 et 704 se trouvent des saillies 706' qui reçoivent chacune un   écro   706 à tourillon fixé sur lesdites saillies,

   Ces écrous coopèrent avec des filets droit et gauche d'un arbre fileté 707 dont l'une des extrémités tourne dans un palier 710 supporté par un bras 

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711 qui est boulonné sur le socle 6850 / 
Les boites 703 et 704 reposent d'aplomb sur la surface supérieure plane du socle 685 et glissent en travers dudit socle lorsque-l'arbre 707 tourne. Cette rotation provoque le rapprochement ou l'éloignement des- dites boîtes par rapport à l'axe du tube 603' passant entre les galets. 



   Le galet de support 691 et les galets de pré- cession latéraux 705 peuvent être enlevés et remplacés lorsqu'on désire fabriquer des tubes de diamètres diffé- rents. 



   Le jeu de galets égaliseurs 606 (figures 34 et 32) est placé directement en avant des galets de pres- sion 605 et comporte un socle 720 qui repose sur le so- cle 611 de la   machine   à souder, un châssis 722 étant fi- xé sur le socle 720. Dans le socle 720 tournent deux roues hélicoïdales 723 et une roue hélicordale 723'? Lesdites roues hélicoïdales 723 et 723' sont actionnées par un arbre à vis sans fin 724. Les roues hélicdïdales 723 sont alésées dans le sens de l'axe et taraudées de façon à se visser sur la partie inférieure de montants filetés   725,   Une traverse 726 est goupillée sur les montants 725; , un galet 727 tourne sur un arbre 727' que porte ladite traverse et s'applique sur la fente, à l'extérieur du tube 
603'.

   Un galet de support 728 est supporté par un arbre 
729 tournant dans un chariot 729' déplaçable verticale- /rotation ment   par .   du montant 725' possédant une par- tie filetée vissée dans la roue hélicoïdale 723' que fait tourner l'arbre 724. 



   Les jeux de galets de calibrage et de redresse.   rnent   607, 608, 609 et 610 (figures 32 et 43) sont   iden.   tiques et comprennent chacun une plaque 730 sur laquelle est monté un socle 731, aux quatre angles duquel   s'élè   vent quatre colonnes   732   présentant des logements pour les montants 733 figés sur les colonnes au moyen.de clam 

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   vettes734.   Des plaques latérales 735 relient   le/montants   733 des colonnes voisines et des   Entretoises   736 relient les montants opposés. Des châssisà galet 737 et   738   sont boulonnés l'un sur l'autre en 739 et glissent verticale- ment dans les colonnes   732   pourvues de guides 740.

   Un pa-   lierà   galets 741 peut se déplacer dans les guides ver- ticaux 740. Un étrier 743 est fixé, par des boulons, entre les colonnes 732, sur le coté de la machine, Chacun des châssis à galets 73'7 et 738 comporte un palier 742 pourvu de nervures de guidage qui coopèrent avec les guides ver- t icaux 740, au moyen d'une   vis ,743'   qui traverse un man- chôn taraudé 744 monté de façon à pouvoir tourner dans le châssis 738 et claveté sur un pignon conique 745 que fait tourner un autre pignon conique 746 porté par un bras 747. Un mécanisme approprié permet le réglage simul- tané des paliers à galets dans le châssis 737, l'arbre 
747 ayant des extrémités carrées à cet effet. 



   Chacun des paliers 742 porte un arbre à galets 
750 dont l'extrémité inférieure est vissée dans un man- chon 751 fixé sur le palier, on fait tourner l'arbre dans le manchon au moyen d'une clef et un écrou de serrage 752 fixe l'arbre dans la position réglée. Un galet 753 est   monté,,   de façon à pouvoir tourner, sur l'arbre 750. 



   Dans le palier à galets 741 sont montés des coussinets 754 pour un arbre à galets 755 portant un ga- let 756, un accouplement 757 reliant ledit arbre aux or- ganes de commande 
Les châssis 737 et 738 sont fixés sur le palier 
741 au moyen de boulons   758   quitraversent un cale   d'épais-   seur 759. Lesdits   chtssis   peuvent être réglés verticale- ment sur les colonnes 732, au moyen d'une paire de coins   760 que   portent les plaques latérales   735,   et peuvent glisser dans des guides 761. Les coins agissent sur des surfaces inclinées   762   de la partie supérieure des chas. sis 737 et 738 et possèdent des crémaillères 763.

   Un 

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 arbre transversal 764 tourne dais les plaques latérales   735   et porte des pignons 765 engrenant avec la   crémail.   lère 763 Les extrémités de 1 arbre 764 sont carrées et, en faisant tourner l'arbre, on déplace les châssis 
737 et 738 dans les guides 740, au moyen des coins 760. 



   Des organes de réglage analogues s ont prévus pour les galets de support   756.   Le palier 741 repose sur des blocs 770 supportés par des coins 771 glissant sur le socle   731.  Une vis 773 est reliée aux coins   771   et est actionnée au moyen d'une roue hélicoïdale taraudée 774 qui tourne dans un palier 775 fixé sur une   nervure   trans- versale 776 du socle 731. Le soulèvement du palier 731 élève i les châssis 737 et 738, les coins 760 étant reti- rés pour permettre ce mouvement.

   Le châssis et le palier étant réglés, on serre les coins pour empêcher la montée des galets 753 provoquée par le passage du tube, 
Un maintien très stable de la position des ga- lets de calibrage est réalisé ainsi, bien que les galets puissent être facilement réglés. on peut régler   individuel-   lement un jeu de galets de calibrage in ividuel   quelcon-   que sans modifier la posi tion des autres galets, afin de corriger,toute irrégularité constatée dans le tube sortant de la machine. Les galets de calibrage 753 peuvent être retirés indépendamment des galets de support 756. 



   La machine à souder (figures 32, 35 et 38) com- porte un socle 611 des angles duquel s'élèvent quatre colonnes 612 reliées, à leur partie supérieure, par des traverses 613. Les colonnes 612 portent des testes 772, 800, 801 et 802. Des guides 775 sont formés à l'angle interne des colonnes. Des vis 615 tournent dans lesdites têtes. Un chariot 614 est supporter par les vis 615 entre les guides 775. Le mécanisme qui soulève et abais- se le chariot 614 comporte un moteur   776   monté sur l'une des traverses   613.   Au moyen d'un réducteur de, vitesse 

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777 de l'arbre 778 et d'un accouplement 778', le moteur 
776' actionne quatre mécanismes réducteurs de vitesse 
779 à vis sans fin doubles qui actionnent les vis 615. 



   Un transformateur 616 est supporté par le chariot 614 et les galets-électrodes 617 et 618 sont suspendus au chariot. Le transformateur 616 est supporté par le chariot au moyen de pattes 817 et les galets électrodes 617 et 
618 tournent sur un arbre 780 que portent des paliers 
781 supportés par des consoles   619.   Par le réglage du cha- riot 614 du transforma teur dans lé sens de la hauteur, on peut régler la pression des électrodes. Les vis 615 et leur commande permettent de régler minutieusement la position du chariot. 



   Le transformateur 616 est entouré d'une car- casse 782 qui renferme un ventilateur-aspirateur 783 le- quel aspire de l'air froid par un filtre (non représenté) et refoule ledit air par les colonnes creuses 612 et les conduits 784 qui s'étendent des colonnes jusque ladite    carcasse. Les conduits sont montés à glissement, ce qui soulever permet d'abaisser ou de @@@@ le mécanisme transporteur en même temps que le transformateur. Des consoles 785   contribuent à supporter les conduits   784.   La   mrface   de contact entre les électrodes et le tube reconnue préfé'- râblé pour la soudure de tubes de   @@   grand diamètreet de forte tisseur est   d'envie   1 cm2 pour   6,200   ampères ou moins. 



   Le tube est reçu par les galets d'alignement 601 et 602, à partir d'un mécanisme d'alignement dans le- quel les bords de la fente du tube sont appliqués sur une arëte, afin de réaliser des surfaces parallèles sur les bords de la fente; Le tube passe ensuite dans la première   paire de galets disposés l'un au-dessus de l'autre, du jeu de galets d'alimentation. Le galet supérieur 677 de ladite paire présentant une arête qui pénètre dans la fen-   

 <Desc/Clms Page number 48> 

 te de l'ébauche du tube. En continuant à si déplacer, le tube entre dans une deuxième paire de galets qui ferme positivement la fente.

   Le tube s'engage alors dans l'es- pas ou s'effectue la soudure et sur la fente agit un jeu de galets intérieur   671   qui ouvrent, d'une quantité dé- terminée,, la fente préalablement fermée par les galets d'amenéel Le tube vient ensuite en prise avec les galets latéraux du jeu de galets de pression qui ferment le joint et, en même temps, la fente est amenée en contact avec les électrodes. Au moment où le tube vient en con- tact avec les galets de support inférieur placés en avant du centre des électrodes, il monte parce que le flotte- ment des galets latéraux du jeu de galets de pression permet ce soulèvement.

   Pendant que le tube se trouve sous les électrodesp celles-ci laissent ét établissent   un contact de surface suffisante entre le tube et les , électrodes, en raison de l'énorme pression exercée par celles ci et effectuent une soudure parfaite. 



  Lorsque les électrodes 617 et 618 sont en contact avec le tube, le courant électrique est amené auxdites électrodes et la soudure des bords en contact du tube a lieu. Le tube est mis en contact ensuite avec un r. appareil égaliseur dans lequel le métal expulsé pendant la soudure des bords en contact est égalisé par laminage ou par rabotage.' Après que le tube a passé par l'appareil égaliseur, il passe par quatre jeux de galets calibreurs entre lesquels On corrige les différences de dimensions du tube dues à un chauffage irrégulier dudit tube par les électrodes ou de déformationsdu tube par l'énorme pression exercée sur lui, ledit tube étant déchargé par près-   
 EMI48.1 
 dlits gale ts calüarours à, l'état cYlindriq # parfait."

Claims (1)

1. REVENDICATIONS.

   1. - Procédé de fabrication de tubes épais, de grand diamètre à partir de métal laminé et plan, le procédé étant caractérisé par le fait qu'on cintre continuellement et progressivement, sans traitement intermédiaire, le métal plan, pour lui donner une forme tubulaire, les bords en contact du tube étant soudés ensuite.

   2. - Procédé conforme à la revendication 1 et caractérisé par le fait qu'on coupe à la cisaille ,les bords du métal et que, de préférence, on nettoie les bords dudit métal avant de le cintrer..' 2.- Procédé pour la fabrication de tubes à partir de métal laminé et plan le procédé étant caractérisé par le fait qu'on coupe, à la cisaille, les bords du métal; qu'on nettoie les borde dudit métal; qu'on donne au métal la forme tubulaire avec les bords placés vis-à,... vis et à peu de distance l'un de l'autre et qu'on soude ensuite immédiatement les bords opposés pour finir le tube.

   4. -Procédé conforme à l'une quelconque des revendications 1, 2 ou 3 et caractérisé par le fait qu'on aligne la fente du tube formé avant son introduction dans l'espace où se fait le soudage dans la machine à souder.

   5..'Et Procédé conforme à l'une quelconque des revendications l, 2, 3 ou 4 et caractérisé par le fait qu'on donne au tube la forme cylindrique aprls le soudage.

   6. - Procédé pour la fabrication de tubes à partir de létallaminé et plan, le procédé étant caractérisé par le fait qu'on coupe à la cisaille les bords du métal; qu'on donne immédiatement après une forme sensiblement tubulaire audit métal; qu'on aligne la fente du tube formé, avant son introduction dans l'espace où se fait le sondage; qu'on soude les bords en contact de la fente par le procédé de soudure par résistance électrique et <Desc/Clms Page number 50> qu'on donne ensuite la forme définitive au tube.

   7.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'on recuit le tube soudé.

   8.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'on redresse le tube soudé, de préférence après qu'il a été normalisé ou recuit.

   9.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'on essaie le tube soudé, de préférence en le soumet- tant à une pression interne déterminée, 10.- Procédé pour la fabrication de tubes, à partir de métal laminé et plan, caractérisé par le fait qu'on nettoie les bords dudit métal; qu'on donne au métal la forme d'une ébauche tubulaire: qu'on soude les bords en contact de l'ébauche et qu'on soumet le tube à une pression déterminée.

   11.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'on dresse simultanément les extrémités opposées du tube soudé.

   12.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications précédentes et caractérisé par le fait qu'on applique un revêtement à la surface extérieure du tube soudé, 13.- Procédé pour la fabrication de tubes, à partir de métal laminé et plan, caractérisé par le fait ou'on fait passer le métal, en feuilles planes par un grand nombre de passages à rouleaux placés à unddistance convenable l'un de l'autre et que, doucement, progressi- vement et continuellement, on lui donne la forme d'un tube présentant une fente ouverte en agissant sur le métal et en le façonnant à chaque -passage, en des endroits <Desc/Clms Page number 51> déterminés.

   14.- Procédé confone à la revendication 13 et caractérisé par le fait que le métal laminé, épais et plan est façonné doucement, progressivement et continuel- lement en une ébauche de tube.

   15.- Procédé de fabrication de tabès, à partir de métal laminé, épais et plan, caractérisé par le fait qu'il comprend les opérations qui consistent à faire avan- cer ledit métal par unezone de façonnage et à agir sur le métal qui s'avance, en prise à certains intervalles, d'un bout à l'autre de la zone de façonnage et d'un côté à l'autre du métal afin de provoquer le cintrage doux, pro- gressif et continuel du métal jusqu'à l'obtention d'une forme tubulaire, sans créer, dans ledit métal, des ten- sions importantes inégalement distribuées., 16.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications 13, 14 ou 15 et caractérisé par le fait qu'on transforme doucement, progressivement et continuel- lement du métal laminé, épais et plan en une ébauche tubulure sans allongement linéaire appréciable du -,létal.

   17.- Procédé conforme à l'une quelconque des revendications 13,14, 15 ou 16 et caractérisé par le fait que l'ébauche du tube formé à des extrémités sensi- blement d'équerre.

   18.- Procédé de fabrication de tubes caracté- risé par le fait qu'on dispose et (ou) on fait tourner le tube jusqu'à ce que la fente prenne une position dé- terminée qui est maintenue et que l'on déplace le tube longitudinalement tout en maintenant la fente dans cette position,; 19.- Procédé conforme à la revendication 18 et caractérisé par le fait qu'on fait pénétrer un doigt dans la fente pour empêcher le tube de continuer à tour.. ner et pour déterminer la position de la fente, le tube <Desc/Clms Page number 52> étant déplacé généralement dans la direction de la fente par rapport au doigt tandis que la fente est maintenue dans ladite position.

   20.- Procédé de fabrication de tubes présen- tant une fente ouverte et caractérisé par le fait qu'on presse des électrodes sur le tube, des deux côtés de la fente, sur une ligne sensiblement perpendiculaire à l'axe du tube et qu'on exerce une contrepression sur le tube, sur une ligne sensiblement perpendiculaire à son axe et un peu en avant de la ligne susvisée. le tube étant amené sous les électrodes.

   21.- Procédé conforme à la revendication 20 et caractérisé par le fait qu'on exerce une pression, dans l'espace où s'effectue la soudure, contre les cô- tés opposés du tube pour fermer la fente, dans un plan sensiblement perpendiculaire à l'axe du tube, qu'on pres- se les électrodes dans le même plan contre le tube, dans le voisinage de ses bords et qu'on exerce sur le tube une pression en sens contraire de celle des électrodes suiè vant une ligne sensiblement perpendiculaire à l'axe du tube et légèrement en avant dudit plan.

   22.- Appareil pour la fabrication de tubes épais, de grand diamètre, à partir de métal laminé et Plan et caractérisé par le fait qu'il comporte une ma- chine à façonner pour cintrer continuellement, progrèssi- vement et sans traitement intermédiaire, le métal pour en former une ébauche de tube et une machine destinée à souder les bords en contact de l'ébauche.

   23.- Appareil conforme à la revendication 22 et caractérisé par le fait qu'il comporte une cisaille mécanique Pour égaliser continuellement les bords longi. tudinaux d'une longueur dudit métal avant son introduction dans la machine à façonner . <Desc/Clms Page number 53>

   24.- Appareil conforme à la revnedication 23 et caractérisé par le fait qu'il comporte une machine destinée à nettoyer d'un bout à l'autre les bords égalisés.

   25. -Appareil pour la fabrication de tubes, à partir de métal laminé et plan, caractérisé par le fait qu'il comporte des moyens pour découper et nettoyer ledit métal et des moyens pour amener automatiquement le métal à l'état de tubes et pour le souder sans opération intermédiaire 0' 26.-Appareil conforme à la revendication 25 dans lequel les moyens utilisés pour découper et nettoyer coupent et nettoyent le métal laminé et plan et nettoyent les bords découpés du métal, 27.-Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 22 à 26 et pourvu d'un four à recuire pour supprimer les tensions intérieures du tube après son passage par les machines à façonner et par les machines à souder.

   28.-Appareil conforme à l'une qulconque des revendications 22 à 27 et caractérisé par le fait qu'il comprend une machine destinée à dresser les extrémités du tube soudé.

   29.-Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 22 à 28 et caractérisé par le fait qu'il comporte une machine destinée à soumettre le tube soudé à une pression interne déterminée..' 30.-Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 22 à @ 29 et caractérisé par le fait qu'il comporte une comporte une machine qui peint le tube soudé.

   31. - Appareil pour la fabrication de tubes, à partir de métal laminé et plan, caractérisé par le fait qu'il comprend une cisaille qui égalise constamment les bords longitudinaux dudit métal; une machine destinée à nettoyer progressivement, d'un bout à l'autre, les- <Desc/Clms Page number 54> dits bords égalisés et des organes qui font passer lon- giludinalement, dans la machine à nettoyer,, le métal égalisé ,;

   32.- Appareil conforme à la revendication 31 et caractérisé par le fait qu'il comporte une machine à façonner qui cintre, continuellement, progressivement et sans opération intermédiaire. le, métal laminé et plan pour lui donner la forme tubulaire, l'appareil comprenant en outre des organes qui font passer longitudinalement le métal aminé et plan par la machine à nettoyer et par la machine à façonner.

   33.- Appareil pour la fabrication de tubes, à partir'de métal laminé et plan. caractérisé par le feit qu'il comporte une cisaille qui égalise coninellement les bords longitudinaux dudit métal et une machineDes- tinée à nettoyer progressivement, d'un bout àl'autre,, les bords égalisés, lesdits bords prenant une pos tionf horizontale en passant par la cisaille et une position inclinée en passant par la machine à nettoyer.

   34.- pareil pour la fabrication de tubes, à partir de métal laminé, épais et plan, caractérisé par le fait qu'il comporte un certain nombre de passages à rouleaux successifs, le contour des rouleaux de chacun des passages ayant une forme et un rapport déterminé avec le pas-,age voisin et les différents passages ame- nant, doucement, progressivement et continuellement, le métal laminé, épais et plan à la forme d'une ébau- che de tube allongé présentant une fente ouverte, 35.- Appareil conforme à la revendication 34 et caractérisé par le fait que le nombre de passages à rouleaux successifs n'est pas inférieur, de préférence, à quinze. <Desc/Clms Page number 55>

   36. - Appareil conforme à la revendication 34 ou à la revendication 35 et caractérisé par le fait que les passages sont disposés, de préférence, à 1,20 m. des passages voisins.

   37.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 34,35 ou 36 et caractérisé par le fait que les rouleaux de certains passages sont commandés et que le métal fait tourner les rouleaux d'autres passager 38.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 34, 35, 36 ou 37 et caractérisé par le fait que les passages à rouleaux commandés alternent avec les passages dont les rouleaux sont mis en rotation par le métal.

   39.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte des organes pour supporter et (ou) pour faire tomber le tube, un organe pénétrant dans la fente du tube pour déterminer la posi- tion de ladite fente et un dispositif pour déplacer le tube longitudinalement tout en maintenant la fente dans la position déterminée; lesdits organes et le dispositif en question pouvant se déplacer les uns par rapport aux autres pour placer le tube sur ces organes ou sur ce dispositif.

   40.- Appareil conforme à la revendication 3 et caractérisé par le fait qu'il comporte des moyens qui transfèrent le tube des moyens qui le font fouler au dispositif qui le déplace longitudinalement.

   4 1.- Appareil conforme à la revendication 3 ou à la revendication 40 et caractérisé par le fait qu'il comporte des moyens qui éloignent du tube les organes qui font tourner ce dernier pour le placer en contact avec le dispositif qui déplace ledit tube dans le sens longitudinal:. <Desc/Clms Page number 56>

   42.- Appareil conforme à l'unequelconque des revendications 3, 40 ou 41 et caractérise par le fait que le dispositif qui déplace longitudinalement le tube peut recevoir celui-ci lorsque les organes qui font tour- ner ledit tube sont amenés à la position inopérantes des moyens étant prévus pour les amener à cette position ino- pérante.

   43.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 39, 40, 41 ou 42 et caractérisé par le fait que les organes qui font tourner le tube peuvent être retirés pour déposer le tube sur le dispositif qui déplace le tube longiludinalement.

   44.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comprend des organes ré.- tractiles pour supporter le tube afin qu'il puisse tour- ner autour de son axe et (ou) un organe qui amène la fente du tube à une position déterminée ainsi qu'un dis- positif qui supporte le tube dans ses mouvements longitudinaux, la fente étant maintenue dans la position détenninée, 45. -Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 3 à 44 et caractérisé par le fait que le dispositif qui déplace le tube longitudinalement est rendu inopérant lorsqu'on retire les organes qui font tourner le tube.

   46.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 39 à 45 et caractérisé par le fait que les organes ou galets qui font tourner le tube peuvent bas- culer pour prendre une position inopérante pour amener le tube au dispositif (ou galets) qui déplace le tube longitudinalement r. .

   47.- Appareil conforme l'une Quelconque des revendications 39 à 46 et caractérisé par le fait que les organes ou galets qui font tourner le tube et le dis- <Desc/Clms Page number 57> positif qui déplacent le tube longitudinalement sont disposés dans des plans parallèles et sensiblement hori- zontaux, des moyens étant prévus pour effectuer un dé- placement généralement vertical relatif de ces organes ou de ce dispositif pour régler au choix le mouvement du tube par les uns ou par l'autre, 48.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte un dispositif qui supporte et déplace le tube,

   un organe qui amène la fente à la position *voulue et qui est disposé dans le voisinage dudit dispositif et qui peut coopérer avec lui et des moyens qui déplacent le dispo sitif et l'organe susvisés l'un par rapport à l'autre.

   49.- Appareil conforme à la revendication 48 et caractérisé par le fait qu'on a relié les moyens men- tionnés en dernier lieu au dispositif qui déplace le tube et à l'organe qui maintient la fente en position pour rapprocher ou écarter lesdits organes à des distances sensiblement égales.

   50.- Appareil conforme à la revendication 48 et caractérisé par le fait que les moyens mentionnés En dernier lieu sont organisés pour qu'ils puissent faire varier la distance entre le dispositif qui déplace le tu- be et organe qui maintient la position de la fente, de manière à leur permettre d'agir en coopération sur des tubes de dimensions différentes tout en plaçant, d'une façon sensiblement déterminée, l'axe desdits tu- bes quelles que soient leurs dimensions.

   51.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 39 à 50 et caractérisé par le fait que l'orgue qui détermine la position de la tentée comporte des guides extérieur au tube et coopérant avec lui, à l'endroit de la fente, lorsque celle.ci vient en contact avec cet organe, pour déterminer la position de la fente <Desc/Clms Page number 58> et pour interrompre la rotation du tube.

   52.- Appareil conforme à l'une quel conque des revendications 39 à 51 et catactérisé par le fait que l'organe déterminant la position de la fente, d'une part, et le dispositif déplaçant le tube longitudinale- ment ainsi que les organes faisant tourner le tube, d'au- tre part, peuvent se déplacer ensemble les uns par rapport aux autresafin qu'ils puissent agir sur des tubes de différentes dimensions tout en maintenant l'axe du tube sensiblement dans une position déterminée.

   53.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte un dispositif pour supporter le tube et pour le déplacer longitudinale- ment et un organe pivotant qui comporte un doigt péné- trant dans la fente du tube, le dispositif susvisé pou- vant déplacer le tube longitudinalement par rapport à l'organe pivotant pendant qu'on maintient la fente dans la position déterminée.

   54.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte des organes qui font tourner le tube,un dispositif qui déplace le tube longitudinalement et des moyens indépendants pour faire fonctionner, d'une part, les oiganes qui font tourner le tube et, d'autre part, les organes qui déplacent le tube longitudinalement.

   55.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comprend des organes qui font tourner le tube, un dispositif qui déplace le tube longitudinalement et des moyens pour amener les organes faisant tourner le tube en contact avec ledit tube.

   56.- Appareil conforme à la revendication 54 ou à la revendication 55 et caractérisé par le fait qu'il comprend des organes qui font tourner le tube, un dispositif qui déplace le tube longitudinalement et des moyens <Desc/Clms Page number 59> qui déplacent les galets rotatifs par rapport aux galets qui déplacent le tube longitudinalement.

   57.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comprend des organes qui font toumer le tube, des moyens indépendants retardant la rotation du tube et des moyens déplaçant verticalement les organes qui font tourner le tube.

   58.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 39 à 57 et caractérisé par le fait qu'il comporte, d'une parte des galets qui font tourner le tube et qui oscillent sur un pivot et, d'autre part:, des organes de commande pour ces galets et tournant autour de l'axe du même pivot, lesdits galets pouvant osciller pour amener le tube au dispositif qui déplace le tube longitudinalement.

   59.- Appareil conforme à l'une, quelconque des revendications 39 à 38 et caractérisé par le fait qu'il Comporte%des genouillères pivotant concentriquement et portant une paire de galets faisant tourner le tube; des organes tournant autour du même pivot et servant de commande pour lesdits galets; des organes actionnant les genouillères pour séparer les galets et des organes pour déplacer le tube longitudinalement, disposés pour recevoir ledit tube des galets qui le font tourner, au moment de leur séparation.

   60.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte une-dispositif pour amener l'ébauche tubulaire dans l'espace où on la soude, des organes appliquant une pression en un point placé en avant de l'espace où se fait la soudure pour amener les bords de la fente très @@ près l'un de l'autre, des moyens appliquant une pressLon à l'ébauche tubulaire, entre le point susvisé et l'espace où s'effectue la sou- dure. pour écarter les bords d'une distance déterminée <Desc/Clms Page number 60> et desorganes pour souder les botds de l'ébauche.

   61.- Appareil conforme à la revendication 60 et caractérisé par le fait que les moyens qui écartent les bords sont disposés à l'intérieur de l'ébauche tubulaire.

   62.- Appareil conforme à la revendication 60 et à la revendication 61 et caractérisé par le fait qu'il comporte, à l'intérieur de l'ébauche tubulaire un man- drin qui porte, à son tour, des organes destinés à main- tenir un angle d'approche défini des bords en contact par rapport aux organes de soudure ou galets*électrodes.

   63.- Appareil confond à la revendication 62 et caractérisé par le fait que le mandrin porte des organes pour enlever la bavure intérieure de la fente soudée.

   64.- Appareil conforme à l'une quelconque des revendications 60,61, 62 ou 63 et caractérisé par le fait qu'il comporte des galets destinés à appliquer une pression à l'ébauche tubulaire, dans l'espace où se fait la soudure!) afin d'amener les bords en contact pour les souder.

   65.- Appareil confome à la revendication 64 et caractérisé par le fait qu'il comporte des électro- des susceptibles de fournir du courant aux bords en contact simultanément avec l'application d'une pression par les galets de pression latérale., 66.- Appareil pour la fabrication de tube, caractérisé par le fait qu'il comprend un dispositif pour amener l'ébauche tubulaire dans l'espace où se fait la soudure et des galets qui appliquent une pression aux parois latérales de ladite ébauche, dans l'espace où se fait la soudure.., lesdits galets de pression flottant s,ur lears arbres. <Desc/Clms Page number 61>

   67.- Appareil conforme à la revendication 66 et caractérisé par le fait qu'il comporte un galet de support coopérant avec les galets de pression qui sont susceptibles de participer à un mouvement vertical libre.

   68.- Appareil pour la fabrication de tubes, caractérisé par le fait qu'il comporte un dispositif pour amener 1' ébauche tubulai re dans l'espace où se fait la soudure, des organes pour souder les bords en contact de l'ébauche tubulaire, des galets pour appliquer une pression aux parois extérieures de l'ébauche tubulaire, dans un plan vertical passant sensiblement par l'axe des électrodes, et un galet pour contrebalancer la pres- sion des électrodes vers le bas., l'axe dudit galet se trouvant en avant dudit plan.

   69.- Appareil pour la fabrication de tube, caractérisé par le fait qu'il comporte un dispositif pour amener l'ébauche tubulaire dans l'espace où se fait la soudure et des galets-électrodes susceptibles de venir en contact avec une sufface suffisante de l'ébauche de tube pour permettre une densité de courant de 6,200 ampères par centimètre carré ou moins.

   70.- Produit industriel nouveau constitué par un tube caractérisé par le fait qu'il possède une forte épaisseur, un grand diamètre et un joint soudé par soudureélectrique par résistance capable de résister:, sans fuite, à une pression hydrostatique minimum de 100 kg par centimètre carré.' 71.- Produit industriel nouveau constitué par un tube caractérisé par le fait qu'il présente une soudure par résistance électrique et que son épaisseur de paroi est supérieure à 0,32 cm.

   72.-Produit industriel nouveau conforme2 à la revendication 70 ou à la revendication 71 et caractérisé par le fait que son diamètre est supérieur à 15 cm <Desc/Clms Page number 62> 73.- Produit industriel nouveau caractérisé par le fait qu'il a une fo rte épaisseur et un grand diamètre, qu'il a une tensur élevée en carbone. qu'il possède un joint soudé à l'électricité et que le grâin de sa structure est recuit, 74.- Produit industriel nouveau caractérisé par le fait qu'il comporte une fente de soudure longitu- dinale, qu'il est constitué par du métal laminé et épais sensiblement exempt de tensions internes importantes irrégulièrement distribuées, ledit tube présentant les caractéristiques d'un métal laminé et plan qu'on a amenâ, par laminage, doucement graduellement et continuellement à la forme d'un tube.

   75.- Produit industriel nouveau conforme à l'une quelconque des revendications 70, 71,1 72, 73 ou 74 et caractérisé par le fai t que ses contours inté* rieur et extérieur sont sensiblement cylindriques.

   RESUME SUCCINT Appareil pour transformer graduellement, par cintrage, une tôle en tube cylindre l'appareil oompre- nant des jeux de galets qui déforment graduellement la t8le alternant avec des jjeux de galets fous servant au transport de ladite tôle. L'appareil comprenant en outre une machine à soudero une machine à égaliser, une machine à dresser les extrémités, un four à recuire et un dispositif pour peindre les tubes .