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" Perfectionnements aux récipients pliables pour liquides "
La présente invention a trait aux récipients pliables et transportables pour liquides et plus particulièrement pour l'eau et a pour objet 1 établissement de récipients ouverts à leur partie supérieure, de construction excessivement simple, pouvant se remplir très facilement et que ce remplissage même déploye de toute leur ampleur, et qui en outre, bien que de
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grandes dimensions, peuvent se placer ou s'installer faoile- ment en tout lieu. et non moins facilement être démontés, pliés et transportés. On peut, si l'on veut, y adjoindre des couver- cles rigides ou souples, en matière imperméable ou autre et pouvant se raccorder soit de manière étanche, soit autrement.
L'invention concerne an outre les récipients lira genre ci-dessus défini qui, bien que faits de matériaux sou- ples, conservent cependant spontanément, avec ou sans organes de renforcement, leur forme dans leur position d'utilisation, c'est à dire lorsqu'ils sont déployés.
En général, les récipients pliables pour liquides, tels que l'eau, construits conformément à l'invention, compor- tent une base, de dimensions et de forme voulues - de préfé- rence circulaire ou elliptique - faite d'une matière flexible présentant des qualités suffisantes d'imperméabilité, faite d'un seul tenant ou de plusieurs éléments assemblés, base à laquelle sont raccordées, de manière étanohe, des parois la- térales, également en matière flexible et imperméable, et telles que lorsqu'elles sont complètement déployées, elles forment avec la base un angle inférieur à 90 , c'est à dire que si la base est de forme circulaire, les parois latérales bord seront coniques et leur supérieur sera un cercle de dlamètre plus petit que celui de la base.
On conçoit que lorsque l'appareil est replié, ces parois latérales peuvent être rabattues sur le fond, ce fond lui-même pouvant se plier à volonté; l'ensemble du récipient peut ainsi être ramené à un très faible encombrement.
Quand, par contre on se propose d'utiliser le ré- cipient pour contenir de l'eau, on peut le déployer et placer sa base en toute position convenable. A mesure que le niveau du liquide amené à l'intérieur monte, les parois latérales soi redressent graduellement et par suite de leur forme et de
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leur mode détache, contribuent à maintenir le liquide dans le récipient.
Les récipients conformes à l'invention peuvent trouver leur application dans un grand nombre d'usages; sous de petites dimensions, ils peuvent constituer des baquets de la- vage, et comporter des anses ou poignées; sous de plus grandes dimensions, ils peuvent servir de baignoires; encore plus grands ils peuvent être étudiés pour servir de réservoirs et s'ils sont de profondeur suffisante ils peuvent servir de bains d'immersion, et encore plus grands, ils peuvent oonstituer une petite piscine, ou encore un bassin de navigation, même pour des embarcations rapides, et enfin si l'on en fait geler l'eau, être convertis en patinoires.
Les récipients conformes à l'invention peuvent en- core être affectés à bien d'autres usages qu'à ceux indiqués, qui ne le sont qu'à titre d'exemple.
Pour en faire comprendre la nature, l'invention est décrite ci-après, en référence aux dessins annexés dans lesquels :
La figure 1 est une vue en élévation d'une forme d'éxécution sous la forme d'un bassin, piscine ou autre,
La figure 2 est un plan de figure 1,
La figure 3 est une coupe, à plus grande échelle du bord supérieur de la piscine représentée en figure 1,
La figure 4 est, à plus grande échelle, une coupe du raccord entre les parois latérales et la base de la piscine représentée en figure 1,
La figure b est une vue analogue à figure 3, d'un autre mode d'exécution de l'invention,
La figure 6 est une vue perspective schématique d'un bain de pieds pour chevaux conforme à l'invention,
La figure 7 est une vue en élévation d'un baquet pouvant être transformé en valise ou porte effets,
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La figure 8 représente un bac de lavage pouvant être utilisé pour transporter de l'eau.
La baignoire ou piscine représentée en figures 1 et 2, peut comme on le conçoit, être exécutée en toutes di- mensions; elle aura par exemple, 2 à 7 mètres de diamètre, avec une profondeur de 0,5 à 1,5 ou davantage. Elle comprend une base circulaire 10, et une paroi latérale continue 11; quand l'appareil est plein, comme représenté en figure 1, l'angle formé par la paroi latérale et la base est d'environ 75 . Le fond 10 du récipient conforme à l'invention peut être fait d'une seule ou de plusieurs couches d'une matière souple convenable, présentant des qualités d'imperméabilité et la face supérieure de ce fond, c'est à dire celle qui est au con- tact du liquide, sera soumise à un traitement spécial, enduite par exemple de caoutchouc.
Cette couohe supérieure peut aussi être faite de toile à voile, matière qui est imperméable sans avoir à subir aucune préparation. D'ailleurs, la matière cons- tituant ce fond peut être renforcée de toute manière convenable comme il sera exposé ci-après.
Le raccordement entre les parois latérales et la base, qu'on peut réaliser par tout procédé convenable tel que couture à la main ou à la machine, -comme représenté en 12,fi- gure 4 - pourra être protégé, par exemple par un revêtement interne ou externe ou par l'un et l'autre, qui pourra être imperméabilisé comme représenté en pointillés en 13 et 14 respectivement en figure 4. Les parois latérales peuvent en outre être renforcées de toute manière appropriée, en multi- pliât par exemple leurs couches constitutives, ou en les dou- blant de couches indépendantes.
Ce renforcement des parois latérales peut être appliqué sur une certaine hauteur à partir de l'arête infé- , rieure afin qu'il contribue à la relance offerte à la pres,. sio de l'eau exercée vers l'extérieur ; il peut être en outre
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/ appliqué à l'intérieur ou à l'extérieur de la partie supérieure pour l'empêcher de flèchir intérieurement, ceci s'entendant plus particulièrement pour la portion de la paroi qui se trouve située au-dessus du niveau de l'eau dans le récipient.
Dans certains cas, et notamment en vue de faciliter le pliage et le transport du récipient, ces éléments renforçateurs peu- vent être amovibles.
Dans certains cas, le renforcement des parois la- térales sera formé par une ou plusieurs cordes ceinturant le récipient et maintenue en place par des ganses situées exté- rieurement aux parois latérales ; cescordes sont raccordées bout à bout, de façon à constituer des ceintures parfaitement fermées et peuvent comporter des dispositifs de réglage en longueur.
Dans les baignoires ou piscines construites confor- mément à l'invention, le bord supérieur des parois latérales est construit de manière à ne pas s'affaisser vers l'intérieur et aussi de manière à contribuer, par sa légèreté, à maintenir les côtés relevés lorsque le récipient est rempli.
On peut à cet effet utiliser divers procédés; comme représenté aux figures 1,2 et 3, on coud, à la partie supérieu- re des parois latérales 11 un anneau 15 de même matière que le reste du récipient de section transversale sensiblement circu- laire, et qui, comme représenté en figure 3 est en saillie vers l'intérieur, au dessus du niveau du liquide pour réaliser le profil incurvé des anneaux 15, il suffit de faire des fronces de distance en distance, et de fixer ces fronoes par couture.
Extérieurement son bord supérieur est ourlé, ou garni de tout autre finissage convenable, et il peut en outre être renforcé et sa rigidité augmentée, par des sangles disposées de distance en distance. On coudra par exemple, tous les 50 centimètres; et à la partie inférieure interne de la pièce des ganses d'environ 5 centimètres de large constituant des poches 18
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pour maintenir un raidisseur 19 en bois ou autre matière appro- priée; ces raidisseurs auront un développement de 2/3 ou 3/4 de circonférence et leur section transversale sera de préfé- rence circulaire ou en forme de segment de cercle. Une variante consiste à faire les raidisseurs en fil métallique, dont les extrémités seront repliées en boucle, afin de ne pas risquer de perforer les poches.
Des boutons pression peuvent être fixés extérieu- rement contre les parois latérales pour permettre d'y fixer le bord supérieur rabattu et de façon à former une chambre fermée augmentant la flottabilité du bord au cours du remplis- sage. On peut disposer deux rangs de ces boutons pression à des hauteurs différentes.
L'effet recherché est d'obliger la partie 15 cons- tituant la jante supérieure, à faire saillie vers l'intérieur du récipient, de manière à repousser les vagues en paquets d'eau et de donner à ce bourrelet supérieur une faible densi- té de manière à ce qu'il flotte et qu'il aide à l'érection des faces latérales 11.
La figure 5 représente un autre mode de constitu- tion du bourrelet supérieur; dans ce cas aussi, la portion 15 est en matière flexible susceptible de s'enrouler en forme de boudin de section parfaitement circulaire maintenu en forme par un bouton pression 20 La poohe ainsi formée sert à conte- nir un anneau ou des portions d'anneaux en bois ou autre ma- tière appropriée ou une chambre à air ou, comme représenté, un tube 21 en caoutchouc ou autre. Ce moyen sert aussi à empêcher le bord supérieur de s'affaisser vers l'intérieur et la flot- tabilité de ce dispositif contribue à faciliter l'érection des parois latérales.
Les moyens employés pour renforcer le bourrelet supérieur et favoriser,l'opération de remplissage peuvent con- sister en une ou plusieurs bandes démontables d'une matière
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quelque peu plus rigide que celle utilisée pour le reste de l'ap- pareil; on prendra par exemple une ou plusieurs épaisseurs de caoutchouc ou de toile caoutchoutée enrobant un treillis métal- ligue, un tel ruban peut être enroulé extérieurement autour du bord supérieur et maintenu en position par des birdes, ganses ou agrafes, de manière à conférer à la toile flexible constituant la paroi enveloppante, la rigidité nécessaire.
Les parois latérales elles-mêmes peuvent être raidies par un renforcement constitué par des lames convenablement es- pacées d'une matière rigide, fixées dans des poches intérieures ou extérieures ou dans des ganses; ces lames peuvent être en bois, en jonc, en métal ou au tre. Dans certains cas,.les parois latérales peuvent être renforcées par repliage et couture de pointes ou goussets. Ce dispositif, outre qu'il renforce les parois latérales et contribue à augmenter leur rigidité permet de fixer ou d'augmenter l'inclinaison interne ou conicité des parois latérales.
On peut concevoir encore une quantité d'autres procé- dés pour empêcher la partie supérieure des parois latérales 11 de tomber vers l'intérieur ou de s'affaisser quand le récipient n'est pas complètement plein.
Un de ces procédés consiste à placer des étriers en bambou ou en fil élastique, conformés en U sur le bord supérieur de façon, à ce que, par l'extrémité de leurs jambages, ils viennent se loger dans des goussets ménagés.à l'intérieur ou à l'extérieur de la paroi, la partie supérieure de l'étrier arri- vant au niveau ou juste au dessous du niveau du bord supérieur de la paroi, ces étriers se chevauchant mutuellement dans une certaine mesure.
Un autre procédé consiste en un dispositif pneumatique formé d'une ou de plusieurs chambres à air faisant intérieure- ment ou extérieurement le tour de la partie supérieure des pa- rois latérales et maintenues par des guides ou ganses de façon
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à. prendre la forme de U renversés en sorte que quand la dite ou les dites chambres sont gonflées, elles empêchent le bord supérieur de s'abaisser.
Dans d'autres cas, la partie supérieure de la paroi latérale peut comporter, intérieurement, convenablement espacées, des baguettes dirigées vers le bas; ces baguettes seront des corps légers, tiges de bois, de liège ou tubes d'aluminium soigneusement obturés, etc... L'effet sustenta- toire que ces flotteurs exercent sur le bord supérieur peut être accru par d'autres flotteurs de même nature disposés horizontalement entre les flotteurs verticaux et fixés de toute manière convenable du coté interne de la paroi latérale.
L'emploi de corps légers, agissant dès que le niveau de l'eau ou autre liquide contenu dans le récipient a atteint un niveau suffisant, retient le bord supérieur de la paroi contre tout affaissement vers l'intérieur.
Il est intéressant dans certains cas d'ourler le bord supérieur de la paroi pour former une coulisse dans la- quelle est introduite une corde ou un oordon, qui par sa traction, permet de réduire la circonférence du bord. Dans d'autres cas, comme il a été dit, cet ourlet peut servir à contenir un tube pouvant se gonfler et qui, sous l'effet de ce gonflement tendra à se dilater vers le haut et vers l'exté- rieur pour donner le résultat °herché.
Les matériaux utilisés pour la construction du récipient doivent présenter des qualités d'imperméabilité sa- tisfaisantes et doivent en outre être assez robustes pour résister, sous un facteur de sécurité satisfaisant aux con- traintes de traction et autres que subissent ces matières, toiles ou autres analogues.
Les récipients de grand développement et de grande profondeur tels que baignoires comme représenté en figures 1 et 2 exigent un frettage circulaire autour de la paroi latérale;
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ce frettage peut se faire au moyen de cordes de chanvre, de septains d'acier passés dans des bagues, On cênforme ces frettes de manière à ce quelles puissent s'ajuster et l'on ajoute si l'on veut, entre les cordes circulaires des tra- verses verticales empêchant,la toile de se bomber dans l'es- pace compris entre les frettes circulaires.
Dans certains cas ces entretoises verticales peuvent se prolonger au-delà du raccord de la paroi verticale au fond et contre la face inférieure de ce fond, leurs extrémités internes étant rac- cordées et retenues en position par une autre corde circulaire.
Dans certains cas où le frettage circulaire est utilisé en combinaison avec des entretoises verticales, l'een- semble du. frettage peut être fait dtun seul tenant, et consti- tuer une sorte de ceinture complexe comportant ses organes d'attache facilitant sa mise en place et son retrait.
On a représenté en figure 1 un groupe de frettes de renforcement 22 disposés tout autour et à l'extérieur des parois pour résister aux efforts radiaux : ces frettes sont individuellement cousues chacune à sa place, ou bien la fret- te supérieure seule peut être cousue, les frettes inférieures y étant raccordées par des éclisses verticales convenablement espacées. Cela a pour résultat un renforcement général de la toile contre les efforts radiaux d'éclatement.
Lorsque le fond 10 est formé de plusieurs sections raccordées, ces dernières, faites de matière appropriée telle que de la toile imperméabilisée, se présenteront sous forme de bandes de 90 Cm de large ou 180 Cm de large par exemple, assemblées par leurs bords comme celà se fait pour les ballons, l'ensemble étant découpé à la forme voulue, par exemple en un cercle.
La paroi latérale peut être découpée d'un seul tenant dans une pièce de largeur suffisante, le bord supérieur et le bord inférieur étant tracés suivant des cercles de rayon
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convenable, les deux rayons constituant les bords latéraux du secteur de couronne ainsi formé étant juxtaposés pour donner à l'ensemble la forme conique qui, une fois raccordée au fond, constitue le récipient prêt à l'usage.
Pour former un récipient dont la paroi latérale fasse sur tout son pourtour un angle de 7b* avec le fond, il faut que le rayon de la circonférence extérieure de découpage soit égal à quatre fois le rayon du fond, la largeur radiale de la bande découpée étant égale à la profondeur qu'on veut donner au récipient. Si l'on veut réduire le fruit de la pente des parois latérales, on fait un pli correspondant dans la feuille servant à faire cette paroi, pli plus ou moins accentué selon grand rayon de découpage.
Dans les récipients conformes à l'invention,les parois latérales présentent une certaine inclinaison vers l'intérieur pour posséder de la tenue et empêcher leur dé- formation sous l'effet des coups de bélier déterminés par les déplacements de la masse d'eau, on a constaté en pratique que l'inclinaison la plus favorable à ce point de vue est d'environ 75 par rapport à l'horizontale, mais cet angle ., d'inclinaison peut cependant se rapprocher de la verticale sans que cela. modifie sensiblement sa propriété d'empêcher les déformations produites par les coups de bélier de l'eau.
C'est le cas qui se produit dans les bains de pieds pour che- vaux représentés en figure 6.
On a décrit ci-dessus divers procédés de renforce- ment des côtés et du bord supérieur de ces cotés, mais il est évident que ce renforcement peut se réaliser de diverses au- tres manières que celles qui ont été énoncées.
Il est à remarquer, qu'avec les dispositifs de renforcement décrits, les organes de renforcement doivent être enlevés quand on veut plier le récipient; en outre, dans certains cas, le récipient mis en place pour être utilisé nécessite 1(emploi d'organes de support supplémentaires tels
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que poteaux, piquets, haubans, cordes,etc.., donnant l'appui nécessaire à telle ou telle partie.
Un autre procédé de renforcement des parois laté- rales oonsiste à disposer verticalement des bandes de tissus ou autre matière convenable, pincées d'une part dans la cou- ture reliant la base aux parois latérales et d'autre part dans le raccord entre les parois latérales et leur bourrelet supé- rieur; ces bandes verticales sont disposées de distance en distance et sont reliées par couture, dans le sens circulaire par une ou plusieurs bandes de toile encerclant complètement les parois latérales.
Les matériaux dont sont faits, en tout ou partie les récipients, peuvent être des matières souples, de toute constitution appropriée revêtues intérieurement d'un enduit ou d'une doublure imperméable ou être soumis à un traitement d'imperméabilisation.
On peut par exemple faire usage de toile traitée par un anti-rouille à base de sels de cuivre. il est préférable lorsque, comme c'est générale- ment le cas, la toile employée joue plus dans le sens de la chaîne que dans le sens de la trame, de faire en sorte que la trame se présente dans le sens circulaire et la chaîne dans le sens vertical, pour réduire au minimum les dilatations circonférencielles. Dans certains cas cependant, où l'on veut laisser bouffer les côtés, pour des raisons d'esthétique ou autres, on dispose la chaîne dans le sens circulaire.
On peut prévoir l'emploi d'un couvercle pour recouvrir le récipient et le laisser rempli dteau. Ce couver- cle sera fait d'une matière souple et peut être sustenté au milieu par un flotteur tel qu'un ballon du genre de ceux em- ployés dans le jeu de polo et qui est amaré au fond et au centre du récipient. Le couvercle peut être agréfé à des anneaux disposés extérieurement sur le pourtour du récipient.
Un autre moyen de fixation consiste à maintenir le couvercle
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en place au moyen d'un cor don faisant le tour de l'extérieur du récipient et par dessous lequel le couvercle est pincé.
On peut en plus disposer oontre la paroi latérale une série d'échelons pour faciliter aux usagers l'entrée dans l'eau et la sortie du récipient. Ce point est particulièrement intéressant dans les grands appareils à usage de piscine.
Ces échelons seront placés immédiatement les uns au-dessus des autres ou disposés obliquement de manière à ce que l'ascension dans le bain se fasse par une marche en spirale.
Ces échelons seront dans l'un et l'autre cas amarés'aux frettes circonférencielle.s
Une variante de l'invention consiste à faire le fond, non pas de matière souple, mais d'une matière semi-fle- xible, et même rigide. On emploiera dans ce dernier cas du métal, ce qui permettra d'utiliser le récipient comme instru- ment de cuisson,
De telles variantes, à fond rigide ou semi rigide comporteront des parois latérales inclinées vers l'intérieur conformes à ce qui a été décrit, et pourront en outre posséder un dessus ou couvercle en matière flexible, semi-flexible ou rigide, percé d'une ouverture. Dans tous les cas on peut ad- joindre à ces récipients des anses ou poignées et des rigoles d'écoulement ou des gouttières.
Notamment avec les hauts récipients dans le genre des bains de pieds représentés en figure 6, le fond rigide renforce l'ensemble et en empêche l'affaissement. Malgré la grande hauteur du récipient considéré ce dispositif donne aux parois une tenue parfaite en dépit de leur flexibilité et il n'y a pien dans le récipient qui puisse blesser les jambes des chevaux. ,
Dans certains cas, l'appareil tout en étant de oonstruction semblable à celle représentée aux figures 1 et 2 pourra, être de plus peti-tes dimensions et muni d'une poigne, fixée sur le côté et servant à le porter; le bord supérieur en
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est renforcé ou raffermi/par une bague rigide et la poignée peut être attachée à cette bague au lieu de l'être au côté;
cette poignée peut aussi être prolongée de faqon à traverser le fond du récipient.
Dans certains cas, le cercle rigide peut être articulé en des points compris entre les points d'attache des poignées et notamment en sorte que l'axe des charnières d'articulation forme un angle de 45 avec ces points d'atta- che, ce qui dispense de la nécessité de mettre un cran d'ar- rêt aux charnières. La charnière peut être faite de toile et le cercle raidisseur en deux parties hémicirculaires enfilées par leurs bouts dans la coulisse formée par l'ourlet de toile ou autre matière première appropriée, ces deux demi-anneaux étant maintenus en place par une ou plusieurs coutures trans- versales à l'ourlet et oonstituant la charnière. Dans ce cas le dispositif se plie sur l'axe des charnières.
Certains modèles de l'appareil objet de l'invention notamment les récipients de petites dimensions tels que baquets de lavage ou bains de siège peuvent être utilisés comme valises ou sacs à effets. Il en est ainsi du modèle représenté enfi- gare 7 où 10 est la base et 11 les parois latérales dont le bord supérieur est rendu léger, étant constitué par une sorte de couronne de section circulaire 24 en toile ou autre; à l'intérieur de cette couronne sont fixées de distance en dis- tance, par couture ou autrement des bagnes toutes traver- sées par un cordon 26 qui, quelque part, ressort vers l'exté- rieur où il est noué ; tirage de ce cordon détermine la fermeture du dispositif par sa partie supérieure.
A l'inté- rieur on peut aussi, comme représenté, disposer une série d'anneaux légers 27 pour redresser, ou contribuer à relever la paroi latérale lors du remplissage du récipient. Ces an- neaux internes peuvent aussi être combinés avec un cordon qui, lorsqu'il est tiré à fond, obture la partie supérieure; on peut aussi y adjoindre un cadenas en forme de D.
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La. figure 8 représente un récipient à deux fins pouvant être utilisé soit comme bac de lavage, soit pour transporter de l'eau., ou aussi comme bain de campement. Il est formé d'une partie inférieure convergente 29 et d'une partie supérieure divergente, cette dernière pouvant se ra- battre sur la première quand le récipient est utilisé comme bac de lavage.
La partie supérieure 30 peut diverger dans la mesure de la convergence de la partie inférieure de telle manière que quand elle est rabattue elle vienne s'appliquer uniformément contre la partie inférieure 35. La partie supé- rieure peut être renforcée à son bord supérieur par un fil métallique toronné et un bout de ficelle ou de corde tendu entre la partie inférieure et la partie - supérieure. On peut munir la partie supérieurs 30, sur toute son pourtour d'une série de réglettes de renforcement ce qui reforoe aussi la partie inférieure quand la partie supérieure est rabattue contre elle. On peut disposer contre le bord supérieur une série de bagues 31 dans lesquelles est passé un cordon de fermeture 32.
En tirant ce cordon, on ferme le récipient à la manière d'une bourse et il se produit à. la sorte de bouche ainsi formée des rigoles par lesquels on peut faire écouler l'eau. Dans ces conditions, le réfipient se prête tout partie entièrement au transport de l'eau. Sur la cordon, peuvent être inséras une série de manchons ajustés et retenus par frottement et au moyen desquels, en les faisant coulisser, ou en les bloquant contre les anneaux, on peut maintenir le dispositif fermé. Au cordon 32 peuvent être attachés deux courts tubas rigides servant de poignées et le cordon peut présenter des éléments protubérants, pour servir de point d'appui à l'un des brins de cordon contre les anneaux, tandis qu'on tire sur l'autre brin pour opérer la fermeture.
Ces éléments protubérants, au lieu d'être ajoutés extérieurement peuvent être incorporés. au cordon lors de sa fabrication : on place de distance en distance sur le noyau
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interne du cordon des bonis de tube de caoutchouc, ce qui détermine la formation, dans le cordon fini, de renflements 33 qui viennent se coincer dans les anneaux Si. et empêcher le cordon de filer.
En général, le remplissage des appareils con- formes à l'invention se fait au moyen d'un tuyau ou de plu- sieurs tuyaux et la vidange par un siphon ou bien aussi par une bonde renforcée placée en tout point convenable, et s'ob- turant au moyen d'un bouchon à vis ou de tout autre organe de bouchage.
Bne variante consiste à employer un tuyau de vidange en toile raccordé à la partie inférieure du récipient.
Ce tuyau, quand il n'est pas en service, peut s'enrouler, les spires de la bobine ainsi formée sont ligaturées pour empê- cher l'écoulement de l'eau.
Dans le cas d'un récipient utilisé comme piscine, on peut extraire une partie du liquide pour l'envoyer dans un épurateur de modèle quelconque, d'où il est ramené au récipient.
Dans ce cas, le liquide sera extrait par un tube central et ramené, après épuration, par un tube perforé en matière flexible, toile ou caoutchouc, ou en matière rigide, disposé tout autour du bord inférieur et maintenu en place par des ganses ou bien fixé sur le pourtour du bord supérieur de la paroi latérale et rejetant l'eau dans le récipient sous forme de jets concentriques.
Il est recommandé de disposer les matériaux oons- tituant le fond de manière à ce que les contractions éventuel- les ne modifient pas la forme générale du récipient. A cet effet les pièces ou bandes de matière première constitutive seront de préférence disposées symétriquement autour du centre ou par rapport à un ou plusieurs axes de symétrie ainsi que mondes en lignes pointillées figure 2, de telle façon que
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toute contrainte se réparasse uniformément dans tous les sens et est à dire dans le cas d'un récipient circulaire,sui- vant tous les rayons.
Des plongeoirs, glissoires et autres agrès ana- logues de formes diverses peuvent être combinés aveo des pis- cines construites conformément à l'invention. Les choses sont alors ainsi disposées que le poids combiné du récipient et de l'eau qu'il contient serve de moyen de stabilisation à ces appareils accessoires.
En général, ces plongeoirs ou autres agrès compor- tent un socle s'interposant entre la base du récipient et le sol, ce socle étant relié à une superstructure de forme et de constitution quelconque et comportant une planche à plonger, une glissoire, une échelle, et tout assemblage per- mettant de plonger, de sauter et de descendre dans l'eau contenu dans le récipient.
L'invention n'est pas limitée aux exemples spé- cifiques et détails de construction décrits ci-dessus, qui peuvent varier selon les circonstances.