BE388165A - - Google Patents

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BE388165A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F23COMBUSTION APPARATUS; COMBUSTION PROCESSES
    • F23KFEEDING FUEL TO COMBUSTION APPARATUS
    • F23K3/00Feeding or distributing of lump or pulverulent fuel to combustion apparatus
    • F23K3/10Under-feed arrangements
    • F23K3/14Under-feed arrangements feeding by screw

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  • Engineering & Computer Science (AREA)
  • Chemical & Material Sciences (AREA)
  • Combustion & Propulsion (AREA)
  • Mechanical Engineering (AREA)
  • General Engineering & Computer Science (AREA)
  • Baking, Grill, Roasting (AREA)

Description


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  " Perfectionnements aux foyers automatiques pour combustibles solides". 



   La présente invention se rapporte aux foyers automatiques pour combustibles solides (généralement du oharbon). Sous l'expression " foyers automatiques pour combustibles solides" on comprend, dans ce qui suit, un ensemble constitué par une grille, un dispositif d'alimentation en charbon, un réservoir à charbon, un ventilateur, des oanalisations d'air, des dis- positifs pour l'évacuation des oendres et d'autres organes aooessoires. Le foyer en question est du type que l'on utili- se communément pour le chauffage des habitations, des bâti- ments divisés en appartements, des écoles, eto...,   o'est-à   dire du type de   ceux   qui doivent fonctionner d'une façon' pour ainsi dire complètement automatique, sans aucune sur- veillanoe ou avec peu de surveillanoe. 



   Le foyer automatique perfeotionné qui fait l'objet de la présente invention n'est pas limité au ohauffage des habita- tions , des bâtiments divisés en appartements et des écoles, comme on le comprendra sans peine. 



  L'invention a pour objet un foyer automatique pour 

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 combustible solide, foyer qui est pourvu d'une grille présen- tant un certain nombre de perforations destinées au passage de l'air de comgustin et pourvu, en outre, de dispositifs qui. amènent l'air de combustion auxdites perferations, sous une certaine pression, le nombre des perforations, la grandeur de la section de passage des perforations et la pression d'air étant dans des rapports tels que la vitesse normale de l'air, à travers les perforations, est suffisante pour rejeter, au moyen de l'air en mouvement, tous les fragments de charbon et de cendres qui seraient   suffisamment   petits pour pénétrer à l'intérieur de l'une quelconque desdites perforations.

   La gril le peut s'évaser vers le haut et être constituée par plusieurs anneaux concentriques disposés à une certaine distance l'un de l'autre et comportant, d'une part, un corps et, d'autre part, aux deux bords du corps en question, des rebords qui s'étendent dans des sens opposés. Une base (ou soole) peut être prévue à une certaine distance de la grille et, entre la base et la grille, peut se touver un transporteur de combustible, transporteur qui est logé à l'intérieur d'épaulements portés par ladite grille et ladite base et qui vient buter contre lesdits épaulements, l'ensemble comprenant, en outre, un tirant destiné à relier la grille et la base, de façon que ledit transporteur soit comprimé entre la grille et la base en question.

   On peut prévoir un mécanisme réducteur de vitess pourvu d'organes   d'accouplement   qui relient continuellement le transporteur au méoanisme réducteur de vitesse, afin que le premier soit entraîné par le seoond, un moteur, pourvu d'organes d'accouplement qui oomprennent, de préférence, une courroie à friotion, accouplant , d'une façon continue, ledit mécanisme réducteur de vitesse au moteur susvisé destiné à actionner ledit mécanisme. 



   Diverses autres oaraotéristiques apparaîtront au cours de la description et sont visibles   survie   dessin annexé re- . présentant le mode d'exéoution de la présente invention 

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 particulièrement approprié pour l'utilisation de combustibles durs. 



   Sur le dessin annexé : 
La fig. 1 est une élévation avec coupe partielle du foyer automatique perfectionné qui fait l'objet de la pré- sente invention ; 
La fig. 2 en est un plan avec section partielle exéou- tée à différents niveaux, ainsi qu'il apparaitra au cours   'de   la   description ;   
La fig. 3 est une vue en bout aveo arraohement partiel du foyer automatique en question, la vue montrant également un élévateur de oendres qu'on peut utiliser aveo ledit foyer automatique; 
La fig. 4 montre en élévation, avec coupe partielle, l'extrémité externe de l'appareil représenté sur la fig. 1 vue du   oôté   opposé ; 
La fig. 5 est une coupe vertioale à travers la grille et le méoanisme voisin de la grille, ladite coupe étant exé- outée à une éohelle plus grande que celle de la fig. 1 ;

   
La fig. 6 montre les détails de la construction à l'ex- trémité inférieure du support des racleltes à cendres; 
La fig. 7 montre en plan l'un des anneaux dont est faite, de préférence , la grille; 
La fig. 8 est une coupe verticale, à plus grande   éohel-   le, à travers un desdits anneaux; 
La fig. 9 est une coupe à travers une paire de ces an- neaux, ladite fig. montrant les anneaux dans leur position d'assemblage; 
La fig% 10, enfin, montre en élévation l'extrémité inter- ne du transporteur de cendres. 



   D'une façon générale, le foyer automatique représenté consiste, tout comme les foyers automatiques du même type qui sont connus jusqu'à présent, en un brûleur 1 placé à l'inté- rieur du foyer proprement dit (les parois intérieures du   -ce-   

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 foyer proprement dit étant désignées schématiquement par 2, à titre d'exemple), en un conduit à air 3 destiné à oondui- re l'air de oombustion au brûleur, en un oonduit à oombus- tibles 4, à travers lequel le combustible est fourni à la grille, grâce à un transporteur à hélices 66, en un oonduit à oendres 5, à travers lequel les cendres sont extraites du foyer au moyen d'un transporteur à hélioes 58, en une trémie à oombustible 6,

   en un ventilateur rotatif 7 desti- né à fournir l'air de oombustion et en un moteur éleotri- que 8 destiné à actionner les parties mobiles du foyer automatique, l'ensemble comprenant le mécanisme de comman- de intermédiaire   indiqua,d'une   façon générale, aux   extréni-   tés de droite des fig. 1 et 2 et des fig. 3 et 4. 



   Si l'on se reporte plus particulièrement aux   caraoté-   ristiques de l'invention, on voit que le brûleur 1 est oons- titué, d'une façon générale,   oeg   par une grille 14 qui est perforée pour livrer passage à l'air nécessaire pour brû- ler le combustible et par un soole ou base 15 pour ladite grille, la base qui forme le passage destiné à diriger l'air de oombustion à partir du oonduit à air 3 jusqu'à la grille. La grille représentée est, comme d'habitude dans les foyers automatiques de ce genre, du type annulaire, c'est-à-dire du type à alimentation par dessous et, comme   d'habitude   dans ce genre de foyers automatiques qui brûlent des charbons durs, elle est du type qui s'évase vers le haut et qui est alimenté par dessous, au centre de ladite grille.

   Il est bien entendu que l'expression " grille annu- laire " employée dans ce qui suit pour plus de oonoision n'implique pas une limitation aux grilles qui affectent en plan une forme circulaire, comme oelle de la grille 14, sauf dans les cas où une interprétation différente serait néoes- saire. A une certaine distanoe du brûleur, c'est-à-dire à l'autre extrémité (l'extrémité extérieure) du foyer, la 

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 demanderesse utilise une base (ou soole) 17, à la partie in- férieure de laquelle est ménagée une chambre à combustible 18 dans laquelle débouche la trémie à combustible 6. On a prévu également dans cette base une chambre à air 19 reliée, comme on le voit en 20, à la tubulure de sortie du ventila- teur 7.

   La base 17 est, en outre, pourvue de préférence d'une troisième ohambre 29 qui peut être utilisée comme chambre à cendres, oomme on l'indiquera dans ce qui suit. La trémie 6 repose sur la base extérieure 17 au-dessus de la chambre à oharbon 18. Entre l'ensemble constitué par la base 17 et ses accessoires, d'une part, et le brûleur, d'autre part, s'é- tendent le conduit à air 3, le oonduit à combustible 4 et le conduit à oendres 5, si le foyer oomporte un tel oonduit à cendres. Au moins l'un de ces conduits, dans le cas pre- sent, et, de préférenoe ,le conduit à air 3 vient buter oontre des épaulements 22 que oomporte la base externe 17 et oontre des épaulements 23 pratiqués sur la base 15 desti- nées à porter la grille 14.

   De préférenoe le conduit pénètre à l'intérieur ou sort de ces deux bases "   tlesoopiquement   " suivant l'expression courante, comme on le voit sur la fig. 1 ainsi que sur la fig. 2, dans le voisinage des extrémités des lignes de référence partant des nombres 22 et 23. Au moyen de tirants 24 qui peuvent passer au travers d'oreilles 25 que porte la base 15 de la grille et, par exemple, lapa- roi externe 26 de la base extérieure 17 qui porte la trémie, les deux bases sont attirées l'une vers l'autre et le oon- duit est pressé en quelque sorte entre les deux bases ce qui transforme en un ensemble rigide tout le foyer automatique. 



  Cette construction est très appropriée aux conditions dans lesquelles les appareils de ce genre sont oonstruits, montés et mis en place. Les autres conduits, dans le cas présent le conduit à combustible 4 et le oonduit à cendres 5, peuvent 

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 être ensuite fixés à demeure à l'une des bases et pénétrer à glissement doux dans une   desparois   de l'autre base,   oescon-   duits peuvent aussi pénétrer à glissement doux dans les deux bases.

   C'est ainsi que le raccord 27, à l'extrémité interne du conduit à cendre 5, glisse à frottement doux dans une saillie 28 formée à l'un des côtés de la base 15 de la grille et que le conduit susvisé glisse également à frottement doux dans celle des parois de la base extérieure 17 qui forme l'un des   aôtés   d'une chambre à cendres 29, l'une extrémité ôu l'autre extrémité du conduit étant maintenue en place au moyen d'une vis de réglage. De même, le conduit ou tuyau à charbon 4 est fixé de préférence à l'un des oôtés de la base 15 de la grille, comme on l'a indiqué en 30 sur les fig. 1 et 5, ledit conduit glissant à frottement doux dans une perforation 31 (ou orifice de sortie) pratiquée dans oelle des parois de la chambre à combustible 18 qui est la plus proche du brûleur. 



  Le glissement à frottement doux en 31 peut être   suffisamnent   étanche pour empêcher l'échappement dune quantité importante d'air à travers le joint ainsi formé à partir de la chambre à air 19, le joint pouvant être pourvu d'une garniture ou d'autres dispositions pouvant être prises pour éviter un échappement indésirable d'air à cet endroit. De préférence, le oonduit à charbon 4 constitue également le coude 32 ou- vert vers le haut, à travers lequel le charbon passe   à,   partir de ce conduit dans la grille 14 et, ce oonduit 4 ainsi que les tirants 24 sont disposés de préférence à l'intérieur du . conduit à air 3.

   La demanderesse considère qu il oonvient généralement de placer le   conduira   cendres 5 à l'extérieur du conduit à air 3, pour des raisons de fabrioation et afin que le dispositif pour l'enlèvement des cendres puisse être ajouté plus tard, si on le désire, dans le cas où l'on omet, pour commencer, le dispositif pour l'enlèvement des cendres, en raison des frais supplémentaires qu'occasionne ce mécanisme additionnel. On remarquera que le mode général de montage .du 

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 conduit 5   lune   liaison à glissement à l'une des extrémités et une liaison fixe de l'autre oôté) permet d'ajouter faoi- lement le oonduit à cendres après le montage des autres parties du foyer automatique. 



   On orhganes ordinairment le fond de la base extérieure 
17, au-dessous de la chambre à cendres 29, de façon ou'en puisse faoilement y pratiquer une ouverture en 39,   u   l'on prévoit dans toutes les bases 17 une ouverture 39 qui per- met de faire passer facilement les oendres extraites du brûleur, à travers le conduit 5, dans une fosse 40 ou dans une boite à oendres 41 prévue dans l'exoavateur qui se trouve au-dessous de cette boite (fig. 4).

   En même temps ni se on organe la paroi extérieure 42 des chambres à cendres (les parois latérales de la base 17 telle qu'elle est re- présentée sur la fig. 3), de façon qu'elle puisse reoevoir un élévateur à cendres,   l'oiganisation   consistant habituel- lement dans l'exécution d'une perforation 43 suffisamment large pour laisser entrer l'extrémité inférieure d'un élé- vateur à oendres 44 dans la chambre 29, de la façon qui est représentée sur les fig. 2 et 3.

   Il en résulte que si on ne pratique pas d'ouverture dans le fond de la ohambre à can- dres 29 ou si l'on oouvre l'ouverture 39, dans le cas où en l'on a prévu une et qu'une couverture est nécessaire,tout appareil partioulier peut être faoilement organisé pour qu'on puisse l'utiliser aveo un élévateur à oendres 44 pour soulever les cendres, à partir d'un élévateur à cendres,dans une boite à oendres 21 représentée sur la fig. 3. On peut aussi, lorsqu'on préfère une fosse à oendres 40, telle que celle qui est représentée sur la fig. 4, se borner à percer le fond de la ohambre à cendres 29 ou laisser ouverte l'ou- verture 39 pratiquée dans   ladite\chambre   et oouvrir, au moyen d'un couvercle, l'ouverture 43 que présente la paroi latérale inclinée 42.

   On peut donc utiliser une seule oons- 

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 truotion pour la base extérieure 17, qu'un élévateur à cendres soit utilisé ou non. Lorsque l'ouverture 39, pour les oen- dres, est placée à l'extrémité extérieure de la chambre à cendres 29,   oonme   sur les fig. 2 et 4, il peut ne pas être nécessaire de couvrir ladite couverture lorsqu'don se sert d'un élévateur. D'autre part, on peut utiliser l'ouverture latéra- le 43 pour l'enlèvement des cendres à la main, si on le dé- sire. 



   Le dessin montre que le transporteur à combustible 66 refoule le combustible (charbon) vers le haut, à travers le coude 32 et, de là sur la grille, les cendres étant déohar- gées au-dessus du bord extérieur de ladite grille. Générale- ment lesdites cendres peuvent tomber, d'une façon queloonque à partir du bord de la grille. La façon dont on amène, de préférence, les oendres dans le transporteur de cendres sera déorite plus loin. Il est bien entendu oependant que la gril- le doit être " nivelée ", afin que le combustible et les cendres puissent se déplacer vers l'extérieur à partir du centre de la grille, d'une façon   sensiblement+uniforme,ce   qui permet au feu de brûler d'une façon   unifonne   sur toute la grille.

   A cet effet, on pourvoit le brûleur, et plus spéciale- ment la grille 14, d'un support d'une forme telle qu'il permet un mouvement d'oscillation de la grille 14 dans tous les plans verticaux. En outre, on relie rigidement la grille à un organe latéral qui s'étend vers l'extérieur du foyer propre- ment dit et l'on pourvoit cet organe de pièces d'arrêt régla- bles verticalement   des)deux   côtés d'uae ligner qui relie l'organe et la grille. On constitue facilement un supportée ce genre pour la grille en faisant reposer cette dernière sur une base, par exemple sur la base 15, et en donnant au fond de cette base un seul point de support 45 sur le plancher,ce point correspondant sensiblement à l'axe vertical de la gril- le.

   La base 15 de la grille étant rendue solidaire de la base 
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 externe 17, par exemple de' la façon qui ai été déorite, '''8- 

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 cette base extérieure 17 peut remplir les mêmes fonctions que l'organe s'étendant dans le sens latéral, dont il a été question plus haut. Pour mettre de niveau la construction dars ce cas il suffit de prévoir sur la base extérieure des   bou-   lons 46 qui font reposer les côtés opposés de ladite base sur le parquet, lesdits boulons constituant, dans ce   cas,les   organes d'arrêt réglables verticalement dont il a été ques- tion plus haut En faisant tourner ces boulons 46 on peut Incliner la grille 14 dans tous les sens nécessaires pour assurer le passage uniforme du oharbon et des cendres au-dessus d'elle.

   Il suffit de faire tourner l'un ou l'autre des boulons 46 ou de faire tourner les deux boulons. Le point unique de support 45 est formé généralement par le fait qu'on arrondit le fond, ou la plaque de fond de la base 15 de la grille ou qu'on lui donne plus ou moins la for- me d'un cône renversé. 



   Afin de faire tomber les oendres au-dessus du bord exté- rieur de la grille sur le transporteur à hélice 50, servant à retirer les oendres du foyer proprement dit (spéoialement lorsque, comme dans le cas présent, elles peuvent tomber,de la grille sur tout le pourtour de oelle-oi), la-demanderesse utilise de préférence comme une partie du transporteur de con- dres une eu plusieurs palettes ou   raollettes   49. Des palet- tes ou racllettes de ce genre, pour le transport des cendres, sont déjà oonnues. Ces racllttes tournent lentement autour de l'axe vertical de la grille 14 et font progresser graduelle- ment les cendres, qui sont tombées jusqu'à l'ouverture d'en- trée du oonduit à cendres 5. Cette entrée est située de pré- férenoe dans le raooord 27, mentionné plus haut.

   On fait tour- ner ces racllettes, de préférence, dans un plan sensiblement horizontal, et de préférence, suivant un chemin situé au-dessu des conduits mentionnés plus haut; grâce à ce fait les cendres ne peuvent pas s'aooumuler sur les conduits jusqu'au moment où le tas ou les tas sur lesdits oonduits atteignent le bord 

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 supérieur de la grille et empêchent ainsi le déplacement uniforme du oharbon et des oendres sur la grille. Il n'est pas nécessaire de prévoir une plaque ou une autre surface, immédiatement au-dessous du trajet paroouru par ces raolettes, pour reoueillir les oendres à mesure qu'elles tombent du bord de la grille, bien qu'une plaque de ce genre puisse être uti- lisée bien entendu.

   On peut   peimettre   aux cendres de se ras- sembler à la partie inférieure du foyer proprement dit, en dehors de la base 15 de la grille, jusqu'à ce qu'elles attei- gnent la hauteur du chemin suivant lequel se déplaoent les raolettes; les raclettes empêoheront évidemment les cendres de s'accumuler au-dessus de ce point.

   Pour donner un support à ces raclettes et pour constituer un support oonvenable pour la grille et pour l'amenée de l'air à la grille (ou, d'une façon générale , pour réaliser une oonstruotion oonvenable et satisfaisante du brûleur N dans son ensemble) la demande- resse munit de préférence la base 15 de la grille d'une paroi interne 51 dirigée vers le haut et qui peut être oonsti- tuée par l'extrémité interne du oonduit à oharbon 4 fixé sur la base susvisée, oomne il a été dit, et la demanderesse fait reposer la grille 14 sur cette paroi 51, comme on le voit sur le dessin et comme il sera dit dans ce qui suit.

   A l'extérieur de cette paroi intérieur on pourvoit ensuite la base 15 d'une paroi ascendante 52 qui laisse entre elle et la grille le passage nécessaire pour conduire l'air de oom- bustion à partir du oonduit à air 3 jusqu'à la grille et sur cette paroi 52 on forme un palier annulaire sensiblement horizontal 53, sur lequel on monte un anneau 54 qui porte la palette ou les palettes à cendres 49. Généralement la deman- deresse interpose, entre la paroi 52 et l'anneau 54 un rou- lement à billes, oomne on le voit sur le dessin.

   Pour empê- cher   l'accès   des cendres et de la poussière à ce roulement à billes 53, on donne généralement audit roulement un diamètre sensiblement plus faible que le diamètre extérieur de la 

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 grille 14 proprement dite (voir fig. 1 et 5), de façon que les cendres tombent tout-à-fait au delà de ce roulement et l'on fait ordinairement surplomber, au-dessus du roulement à billes, un prolongement 55 de la paroi extérieure 52, afin que celle-ci serve d'écran proteoteur pour le roulement à billes.

   D'autre part, on laisse descendre l'anneau 54 au- dessous du roulement à billes et on munit ledit anneau d'un rebord annulaire, tel que celui qui est désigné par 56, la partie inférieure de ce rebord pouvant être pourvue, s'il est nécessaire, de palettes 57 inolinées de façon qu'elles poussent les cendres qui viennent en contact avec elles vers l'extérieur et les éoartent du roulement à billes 53 lors- quton fait tourner l'anneau 54. En raison du fait que l'on utilise que très rarement ou même jamais les palettes 49, sauf dans le cas où l'onutilise un transporteur de   cendres   en conjonction avec l'appareil ou pour d'autres raisons, il convient de prévoir la commade de cet anneau à partir du transporteur de cendres.

   A cet effet, dans le cas présent, le transporteur à hélice 58, destiné au transport des oen- dres, porte à son extrémité intérieur un pignon oonique 59 (voir fig. 2) qui commande un arbre vertical 60 portant une roue dentée cylindrique 61 qui engrène avec des dents internes que porte le rebord annulaire 56. Le système de transport de cendres peut dono, en quelque sorte, constituer un ensemble et peut être utilisé ou supprimé dans son ensemble. 



   Dans le foyer automatique du type en question le s grilles remplissent souvent, d'une façon presque complète, tout l'es-    paoe libre à l'intérieur du foyer proprement dit ; d'autres   termes, le bord extérieur de la grille au-dessus duquel passent les cendres est placé souvent de façon qu'il soit rap- proohé des parois internes 2 du foyer proprement dit. Il con- vient qu'il y ait un ou plusieurs organes rotatifs dans cet espace ou dans le voisinage de cet espaoe, entre le bord de la 

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 grille et la paroi 2 du foyer proprement dit) lesdits organes étant destinés à briser les gros morceaux de oendres ou de maohefer qui, sinon, pourraient être trop volumineurs pour passer à travers ledit espace.

   A cet effet on monte un   orga-   ne 62 sur un support rotatif placé à une   distance   considéra- ble de la partie supérieure de la grille (en un endroit où l'espace libre pour le support rotatif est plus grand) et on prolonge l'organe 62, à partir dudit support, vers le haut, dans l'espace compris entre le bord externe de la grille et la paroi du foyer proprement dit. Cet organe 62 peut être constitué par une simple plaque ou une simple barre. Dans le cas où l'on utilise une palette ou des palettes à oen- dres 49, la barre 62 ou tout autre organe analogue (ou bien encore toutes ces barres s'il y en a plus d'une) peut être habituellement montée sur une ou sur plusieurs de ces palet- tes ou sur le support de ces palettes.

   Ces palettes à cendres peuvent, par exemple, être creusées horizontalement, comme on l'indique sur la fig. 5, et une extrémité reoourbée de la barre 62 peut être boulonnée dans le creux   d'Une   de ces pa- lettes. 



   De préférence, on utilise, dans la pratique générale,   oonme   il a été indiqué, un transporteur à hélice 66 pour le charbon et un transporteur à hélice 58 pour les oendres,dans le cas où l'appareil est pourvu d'un transporteur de cen- dres. Le transporteur de oharbon à hélice 66 ne doit être supporté qu'à son extrémité extérieure. En raison du fait que le transporteur de cendres à hélice 58 doit aotionner l'an- neau à oendres 54 au moyen du pignon oonique 59, mentionné plus haut, les deux extrémités du transporteurde cendres sont pourvues généralement de supports. On constitue un support pour l'extrémité interne du transporteur de cendres à hélice au moyen de l'oreille 28 (voir fig. 2) et, si on le désire, ceci peut être le support unique.

   Les paliers et les supports 

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 représentés pour les extrémités externesde ce transporteur à hélice sont d'un type connu et sont   constitues,   en somme, chacun   parun   prolongement d'arbre ou tourillon 67 et par un organe de support long et de forme tubulaire 68 qui porte le tourillon. L'extrémité externe du transporteur à charbon à hélice ou du transporteur de cendres à hélice, suivant le oas, est fixée généralement à l'extrémité interne de son tourillon, d'une façon plus ou moins amovible. Pour suppor- ter oes tubes de support, on munit la base extérieure de   p a-   rois 69 et 70,   plaoées   à une certaine distanoe l'une de l'autre, comme on le voit sur la fjg. 2. Ltinvention n'est pas limitée à ces détails.

   Comme d'habitude, l'accouplement entre l'arbre du moteur 8 et les hélices du transporteur est oonstruit, de façon que lesdites hélices tournent à une vi- tesse beaucoup plus faible que l'arbre de l'induit et, de préférence, on établit un type de commande ou d'accouplement oontinu entre le transporteur ou les transporteurs et le moteur, plutôt que d'utiliser un aooouplement oomprenant un mécanisme à action intermittente ou un mécanisme qui fonc- tionne oran par oran tel qu'un cliquet et une roue à rochet. 



  Comme d'ordinaire , la réduction de vitesse est obtenue sur- tout au moyen du méoanisme réduoteur de vitesse qui, ici, est oontenu dans un oarter et qui est désigné, dans son ensemble, par 72. On peut réaliser une   réduction plus   oonsi- dérable de vitesse en utilisant des poulies et des roues dentées de grand et de petit diamètre, comme on le voit sur le dessin. On   connaît   plusieurs types de mécanismes réuo- teurs de vitesse et la présente invention n'est pas limitée à l'emploi d'un type déterminé quelconque.

   Il suffit, pour la présente desoription. de faire observer que le mécanisme réduoteur de vitesse, indiqué dans son ensemble par 72, est constitué principalement par un arbre commandé 73 tournant à grande vitesse et par une vis sans fin qui   aot.ionne   une roue à denture hélicoïdale 74, olavetée sur un arbre 75 qui, 

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 à son tour, actionne, au moyen d'un engrenage, l'arbre de commande 76 qui tourne à faible vitesse.

   A partir dudit arbre 76, du mécanisme réducteur de vitesse, arbre qui tourne à une faible vitesse, on commande les transporteurs 58 et 66, de préférence séparément, par exemple au moyen d'une trans- mission à   chaîne   77 réalisée entre la roue dentée 78 que por- te le dit arbre de commande 76 et la roue dentée que porte le tourillon 67 partant du transporteur de oharbon à hélice 66 et au moyen d'une autre transmission à chaîne 79 réalisée entre une autre roue dentée 80 olavetée sur l'arbre 76 et une roue dentée que porte le tourillon 67 partant du trans- porteur à cendres 58.

   La commande oontinue ou l'accouplement continu entre les transporteurs et le moteur est réalisé par une courroie 83 qui relie une poulie portée par l'arbre mo- teur 81 à une poulie 82 portée par l'arbre 73 à grande vi- tesse du mécanisme réducteur de vitesse désigné par 72. On a constaté que les types de   commande   ou d'accouplement oonti- nus et particulièrement le type qui vient d'être décrit per- mettent d'utiliser une oourroie à friotion ou des courroies à friction, par exemple une oourroie ou des oourroies faites en une matière fibreuse (ouir ou matière à base de   caoutchouc)   au moins dans les parties de la commande ou dé l'accouplement où les vitesses sont relativement élevées, les courroies se trouvant à celle des extrémités du méoanisme réducteur de vitesse qui est animée de la vitesse la plus élevée.

   Pour xx éviter le bruit, il est préférable d'utiliser cette transmis- sion par oourroie, surtout pour les organes à grande vitesse de commande ou de l'aooouplement aux endroits où toute au- tre espèce de transmission risque d'être particulièrement bruyante. A l'extrémité à faible vitesse de la   commande   ou de l'aooouplement, comme par exemple entre l'arbre 76 à fai- ble vitesse et les transporteurs, les courroies de commande à friction fonctionnant sans bruit n'ont pas la même impor- 
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 tanoe et, pour éviter le glissement, la transmission peut êt:

  # '-14- ssion peut 

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 ici d'un type à commande plus ou moins desmodromique.   Cest   pourquoi on utilise en 83 une transmission par courroie à friction, l'organe de transmission étant constitué pour assurer une traction oonvenable par une matière fibreuse (cuir ou matière à base de caoutchouc) à laquelle on donne une section plus ou moins en V et qui se déplaoe dans des rainures en forme de V pratiquées dans les faoes des poulies correspondantes, tandis qu'entre l'arbre à faible vitesse 78 et le transporteur 67 on utilise des roues dentées et des   cames   77 et 79. Dans son ensemble une   oonmande   ou un accouplement de ce type fonctionne sans bruit. Le dispositif désigné par 84 est un simple tendeur pour la oourroie   83,   comme on peut s'en rendre compte. 



   L'assemblage de la commande ou de l'accouplement oonti- nu aveo le foyer automatique est, de préfétence, plus ou moins du type représenté. En d'autres termes, on utilise un mécanisme réducteur de vitesse 72 qu'on place au-dessus du transporteur de oharbon à hélioe; l'arbre de commande à faible vitesse 76 de ce méoanisme réducteur de vitesse est placé parallèlement au transporteur de charbon à hélice 66 et l'arbre commandé à grande vitesse 73 de ce mécanisme est dirigé vers l'extérieur sensiblement à angle droit par rapport à l'arbre   76.   En outre, le moteur 8 est placé au- dessus du mécanisme réduoteur de   tesse,     l'arbree   son induit étant disposé à angle droit par rapport au transpor- teur de oharbon et, par oonséquent,

   parallèlement à l'ar- bre coimmandé du mécanisme réduoteur de vitesse. Le ventila- teur rotatif ou le rotor du ventilateur 7 est généralement accouplé direotement à l'arbre du moteur et se trouve au même alignement que celui-ci, comme on le voit sur les fig. 



  1 et 3. 



   Pour éviter d'endommager l'appareil ou le moteur, dans le cas d'un obstacle queloonque à la rotation de l'un ou de 

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 l'autre des transporteurs à hélice, on utilise de préférenoe un mécanisme de débrayage fonotionnant en cas de suroharge, ledit méoanisme étant placé en un endroit queloonque de l'ac-   couplement   entre le moteur 8 et les transporteurs, ainsi qu'en l'a proposé jusqu'à présent. Dans le   oas   présent, le   mécanis-   me de débrayage 88 est placé entre la poulie 82 et l'arbre commandé à grande vitesse 73 du méoanisme réducteur de vites- 
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 se 72. Le méoanisme de débrayage représenté en 88 est d'un tye pe ; en outre, le type partioulier du méoanisme débrayeur ne fait pas partie de l'invention. Il n'a donc pas été représen- té en détail.

   Le méoanisme en question   oomprend ,   en somme, (voir fig. 4) un ou deux oliquets fixés sur des leviers 87 et maintenus normalement par un ressort 89, dans une position telle qu'ils   accouplerai   la poulie 82 à l'arbre 73, le res- sort 89 étant cependant construit de façon que lesdits oli- quets puissent tourner sur leurs pivots et débrayer ainsi la poulie 82 de l'arbre 73, chaque fois que la charge en ce poix;. s'élève au-dessus de la valeur prudentielle déterminée d'avan- ce.

   Le   méoanisme   de débrayage qui fonctionne en cas de surcha ge, par le fait qu'il protège le mécanisme du foyer automa- tique oontre les dommages résultants, de l'engorgement d'un des transporteurs par exemple, laisse en marche, lorsque le dit méoanisme de débrayage fonctionne, le moteur 8 et, par conséquent, le ventilateur 7 également.

   Pour arrêter le moteur chaque fois que l'alimentation en oharbon est arrê- tée par le méoanisme de débrayage sus-visé et pour permet- tre, par oonséquent, au feu de se maintenir pendant le temps le plus long possible ( jusqu'à ce que le défaut soit réparé dans le cas où cela est possible) on relie un in- terrupteur 89 de   marohe   du moteur au méoanisme de débrayage causé 88 de manière que le   débrayage   causé par ce dernier fasse fonctionner l'interrupteur et arrête ainsi le moteur. 



  Ceci est fait d'une façon appropriée, oomme il est indiqué 

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 plus particulièrement sur ia fig. 4. Comme on le voit,   l'in-   terrupteur 89 se trouve placé dans le oirouit qui alimente le moteur et, sur la poignée pivotante 90 de l'interrupteur est articulée une tige 91 qui passe à travers une console 92 pour se rendre en un point voisin ( mais placée à   l'ex-   térieur) du trajet que suivent les leviers 87 du mécanisme de débrayage pendant que les oliquets restent dans la posi- tion d'aooouplement, mais qui est placé dans le trajet sui- vi par ces leviers 87 lorsque le méoanisme de débrayage 88 libère la poulie 82 de l'arbre commandé 73 où pendant que .ladite poulie est libérée.

   On a prévu un ressort 93 pour déplacer la tige 91 dans le sens voulu pour ouvrir l'ineter- rupteur, mais la console 92 pénétrant dans une enooohe étroi- te que présente le oôté inférieur de la tige 91, ladite console maintient normalement   l'interrupteur   fermé, malgré l'appel d'un ressort; par conséquent, lorsque les cliquets tournent pour ouvrir l'aooouplement, l'un des levier 87 vient buter et soulever l'extrémité voisine de la tige 91 pour dégager ainsi celle-ci de la console 92 et permettre au ressort 93 d'ouvrir l'interrupteur.

   Lorsque le dérange- ment a étésupprimé et lorsque le méoaniane d'embrayage susvisé embraye de nouveau, on peut évidemment fermer de nouveau l'interrupteur du moteur en faisant glisser simple- ment la tige 91 vers la droite de la figo 4 jusqu'à ce que l'encoche de ladite tige soit prise de nouveau par la   conso-   le 92. 



   Ainsi qu'il arrive souvent avec les grilles du type représenté, ladite grille présente un anneau 97 dirigé vers le bas, à partir du bord extérieur de la grille et entourant ladite grille ( voir fig. 5). 



   En raison des différences de température qui se produi- sent simultanément entre la grille et cet anneau et des ce différents qui se manifestent entre les dilatations et les contractions de ces deux organes, il arrive fréquemment 

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 que l'on ne parvient pas à fixer d'une façon satisfaisante, un tel anneau au bord de la grille. Pour écarter cet inoon- vénient, on oonstruit l'anneau 97 séparément de la grille et on les fixe l'un sur l'autre, au moyen d'un boulon où de boyulons 98 qu'on place, par rapport à la grille et l'anneau 97, de en façon que le ou   lesdits   boulons ne soitYpas soumis à un effort de oisaillement.

   En fait, on laisse la partie mé- diane des boulons hors des contacts aveo la grille et l'an- neau, par exemple comme on l'a représentésur la fig. 5 et, à cet effet, on place de préférenoe, chacun des boulons à une certaine distance vers   l'intérieur   partir du po int 99 du oontaot de la grille aveo l'anneau descendant. 97. En d'autres termes, on place les boulons à l'intérieur de la chambre à air qui se trouve immédiatement à l'extérieur de la grille et, à partir de laquelle l'air destiné à la combustion passe dans la grille,   oomne   on le voit également sur la fig. 



    5. Grâoe à cette oonstruotion et à cette dispostion des boulons, on oonstate qu'il n'yu'une faible tendance ou aucune   tendame pour les boulons ou pour l'anneau à se briser par suite des dilatations et des contractions inégales de la gril- le et de l'anneau qui l'entoure. Pour assurer un joint per- manent   ethermétique   à l'air aux points de oontaot 99, entre la grille et l'anneau qui l'entoure , on place ordinairement une garniture imoombustible 100 (tel que l'amiante ) entre les deux organes et on donne à cette garniture une forme telle (par exemple une section circulaire) qu'elle ne vienne en oontaot aveo lesdits organes que sur des parties relativement peu étendues des surfaces opposées desdites pièces (fig. 5). 



  Il semble probable que la compressibilité de ces garnitures   contribuer   à la oonservation des   boulons   98. 



   Pour parfaire la fermeture de la chambre à air ou passa- ge qui entoure immédiatement la grille, c'est-à-dire pour oonstituer le joint entre l'anneau descendant 97 et la paroi -ascendante 52 de la base   '15   de la  grille,  on a pourvu la pa- 

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 roi 52 d'une gouttière oiroulaire 101 ouverte vers le haut dans laquelle desoend le bord inférieur de l'anneau 97 et on remplit plus ou moins cette gouttière d'une matière mouvante 102 constituée généralement par une matière solide   granuleuse   le plus souvent du sable ordinaire;

   oelui-oi constitue un joint imperméable à l'air en cet endroit et l'efficacité de ce joint est permanente, o'est-à-dire qu'elle n'est pas affeotée par un ohangement de température et par les dilata- tions   etes   oontraotions des organes 97 et 52 qui résultent de ces   changements   de température.

   Par le fait qu'on supporte la grille 14 par son centre   (o'est-à-dire   par exemple sur la paroi 51 ainsi qu'it a été dit plus haut) il n'est pas nécessaire de prévoir un contact métal sur métal ou un organe de liaison destiné à supporter un certain poids à l'autre cô- té de la chambre à air et notamment entre le bord extérieur de la grille et la paroi extérieure de la chambre de oom- bustion; il en résulte que le joint flexible mécanique tel que celui qui est constitué par la matière 102 par exemple est entièrement satisfaisant.

   Il est olair que le fait de réserver la fonotion de supporter le poids à l'un des   oôtés   de la chambre d'air de oombustion (soit en 51, soit en 52) et le fait d'employer une liaison flexible entre la grille et sa base de l'autre   oôté   réduisent au minimum la possibi- lité de destruction des deux pièces qui résulterait des dila- tations et des oontraotions inégales qui se produisent par suite des températures très différentes auxquelles sont soumises les différentes pièces. 



   La grille 14 est, elle-même conçue de façon à réduire au minimum la perte de oharbon et de cendres à travers les pas- sages à air peroés dans la paroi de la grille (passages à travers lesquels on dirige l'air de oombustion vers le con- bustible que porte la grille) de façon qu'il n'y ait aucune nécessited'enlever le oharbon et les oendres qui se rassem- 

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 blent à l'intérieur du passage à air ou chambre à air ( à l'intérieur de la base 15) d'où l'air s'écoule à travers lesdits passages percés dans les parois de la grille où que tout au moins une ouverture livrant   passageà.   la main et pourvue d'un couvercle, ouverture qui dôme accès à ce passage (ou chambre) soit suffisante dans ce but.

   A cet ef- fet on établit tout d'abord entre le nombre des passages à air prévus dans les parois de la grille, la grandeur de la section des passages et la pression de l'air dans la   chant-   bre à air ( ou passage ) d'où l'air de combustion s'éooule à travers la grille, de tels rapports que la vitesse de l'air à l'intérieur de ces passages soit suffisante pour projeter vers la masse du combustibletout   morceau   ou toute partioule de oharbon ou de cendres qui seraient suffisamment petits pour pénétrer dans ces passages.

   Grâoe à ces rapports on tend également dans une forte mesure à empêcher l'entrée des   morceaux   de combustible et de cendres dans les passages à air et on refoule de nouveau vers la masse e combustilbe et de cendres tout les morceaux qui pourraient   avoix,   pénétré/ dans les passages. Pour exercer plus facilement cette action et pour réaliser également les actions indépendantes respectives qui tendent à empê- cher l'échappement du oharbon et des centres à travers la paroi de la grille, on a recours, en outre, à certaines oa- raotéristiques de construction qui sont représentées de la façon la plus claire sur les fig. 5 - 7 - 8 et 9.

   En premier lieu, on donne au moins à l'une des dimensions de la sec- tion de chacun des passages d'air une valeur relativement faoile de façon que seules les particules les plus petites de cendres ou de oharbon puissent pénétrer dans lesdits pas- sages. On notera qu'il suffit qu'une des dimensions de la section de passage soit de faible valeur pour atteindre ce résultat et que les passages à air peuvent affecter la for-   me.de   fentes longues et étroites 105, comme-on le voit sur 

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 la fig. 5, et cette   fonne   est   préférable .   D'ordinaire ( que les passages affectent ou non la forme d'une fente lon- gue) on donne à la plus faible dimension une valeur inférieure à 5 mm de préférenoe moins de 3 mm et mieux encore de l'ordre de 1, 5 mm .

   Il en résulte qu'auoune particule dont la   di-   mension la plus faible dépasse 5 mm ( ou 3 mm ou bien encore 1,5 mm suivant le cas) ne peut pénétrer dans le passage et que la vitesse de l'air dans ledit passage ne doit pas être plus grande que ce qui est nécessaire pour causer l'entraine- ment par ledit air de particules aussi petites .Il est clair que cette dimestion de faible valeur ne peut exister qu'à un point éloigné de oelle des surfaces de la grille qui porte le combustible, c'est-à-dire le plus éloigné du   oôté   de la grille qui est tourné vers le combustible* En d'autres termes ,

   toutes les   dime@sions   des orffices de sortie des passager de ce   oôté   aux surfaces de la gril.le peuvent être plus grandes que les dimensions indiquées et les passages peuvent être rétréois à 1,5 mm par exemple, au   oôté   opposé de la grille, ou lesdits orifices peuvent être rétréois pour que la dimension la plus petite ait la valeur choisie à un point intermédiaire entre les deux surfaces, mais, de préfé-   renae,   ( afin   d'empêcher   l'accumulation de partioules de plus grandes dimensions à l'intérieur du passage) on donne à l'une des dimensions des ouvertures, du   oôté   de la grille tourné vers le oombustible, cette dimension de faible va- leur quelles que puissent être la forme et les dimensions en d'autres endroits.

   De préférenoe, on donne aux passages à air , à cet effet, la forme de rainures longues et étroi- tes du côté de la grille tourné vers le oombustible les rainu- res ayant environ 1, 5   mm   de labeur quelles que soient la forme et les dimensions des passages aux autres endroits. 



  En outre, on place de préférenoe une rainure 105 située de ce côté de la grille, de façon qu'elle forme un angle de plus de 

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 40  aveo l'axe vertical de la grille. Il convient de donner aux rainures un angle beauoaup plus ouvert que 40  par rapport   à jl   la vertioale et de préférence on les   plaoe   d'une façon sensi- blement horizontale (voir fig. 5). Le but de cette disposi- tion de'fentes longues est de forcer le combustible et les - cendres à   les   traverser plus ou moins transversalement, plu- tôt que de glisser longitudinalement par rapport auxdites fentes de la grille.Si les   particules   pouvaient glisser le long des fentes il y aurait plus de probabilités pour qu'el- les soient enfonoées dans lesdites fentes.

   En deuxième lieu, on donne à la partie supérieure ou voute 106 des passages à air (voir fig. 9), dans le voisinage du oôté de la grille tourné vers le combustible, une position sensiblement horizorr tale ou inclinée vers le bas, à partir dudit oôté de la grille plutôt que de donner à cette partie une inclinaison dirigée vers le haut à partir de ce oôté de la grille; une inclinai- son asoendante ou, pour parler d'une façon plus générale,une pente dirigée dans son ensemble dansée sens du mouvement du combustible que porte la grille tend à faciliter l'entréè des partioules et des moreaux e oendres au de combustible dans le passage à air, tandis qu'une pente dirigée dans le sens contraire à celui du mouvement du combustible (dans le cas présent vers le bas)tend à repousser les particules entrantes. 



   De même, il est préférable que la partie inférieure du fond 
107 de chacun des passages à air soit horizontale ou soit in- olinée vers le haut dans le voisinage de la même surface de la grille, plutôt qu'inclinée vers le bas car, dans ce dernier oas, la pesanteur tend à ramener dans la chambre à air de la poussière qui pourrait atteindre ladite partie inférieure 
107. A titre de oompromis entre les deux exigences plus ou moins contradictoires, on exécute de préférenoe les parties supérieures et les parties inférieures   (oest-à-dire   la voûte et le fond) des.passages à air, de façon qu'elles soient sen- 

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 siblement horizontales, tout au moins dans le voisinage du côte de la grille tourné vers le combustible, comme on le voit en 106   et07   sur la fig. 9.

   En troisième lieu on oonseille de pm - téger les extrémités de sortie des passages de façon à   écarta*   desdites ouvertures le combustible et les cendres en mouve- ment. A cet effet, il oonvient de faire aboutir les orifices de sortie de ces passages à air du   oôté   de la grille tourné vers le oombustible dans des évidements?08, fermés en retrait de la ligne représentant le trajet général de la matière soli-   de qui passe sur la grille ; la fig. 9 la ligne en traits   mixtes 109 indique d'une façon générale le trajet de la   matiè-   re solide sur la grille que représente le dessin. Sur cette fig. on a représenté, pour la partie de grille figurée, la li- gne générale représentant le déplacement looal de la matière solide.

   On peut réaliser les évidements 108 en faisant faire à la surface de la grille une certaine saillie ou en lui don- nant un certain rebord. Lorsque la grille est construite à   par -   tir d'un certain nombre d'anneaux superposés, comme dans le cas présent, on exéoute facilement ledit évidement en donnant au diamètre intérieur de chacun des anneaux une valeur moin- 
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 dre :hWbâ:DXÙXatm#DXX que celle du diamètre ire- térieur de l'anneau placé immédiatement au dessus de lui, oonr me on le voit clairement sur les fig. 5 et 9.

   En faisant dé- vier la matière solide qui se déplace sur la grille, la ten- danoe de cette matière à entrer dans les passages à air est réduite d'une façon oorrespondante; dans   -ce   cas le plus favo- rable ladite matière passe tout droit au-dessus des ouvertures de chacun des passages à air sans venir en contact, d'une fa- çon quelconque, aveo le bord supérieur ou aveo le bord infé- rieur dudit passage.

   Dans le même but, on donne aussi de pré- férenoe à la partie de la surface de la grille qui porte le combustible, immédiatement au-dessous de chaque ouverture d'm passage à air, une inclinaison plus ou moins prononoée par rap- 

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 port à la ligne représentant le trajet général de la matière   salide   sur ladite grille pour l'endroit considéré, de façon à éoarter ou à diriger le   déplaoement   de la matière solide afin de l'éoarter, en quelque sorte, de l'ouverture du pas- sage à air, comme on le montre, à titre d'exemple, sur la surface désignée par 110 sur la fig. 9.

   En quatrième lieu, on peut conseiller de disposer les passages à air de façon que tout moroeau (ou toute particule) de combustible où de oendres qui entre dans ces passages et qui n'est pas reje- tée immédiatement par le oourant d'air sait empêohée d'être ramenée dans la chambre à air par la pesanteur ou par les vibrations de la grille ou de façon que lesdits moroeaux ou particules soient repoussées par l'entrée ultérieure d'au- tres morceaux ou d'autres partioules, mais qu'au contraire les morceaux ou particules ,dont il est question plus haut, soient amenés à s'accumuler jusqu'à ce que le courant d'air dans le voisinage soit suffisant pour les rejeter de nouveau vers le   oôté   de la grille tourné vers le combustible.

   Par exemple un des gros morceaux de combustible peut, dans une partie de la surface de la grille ou dans le voisinage d'une partie de surface de la grille, réduire temporairement la vitesse de l'air à travers le passage ou à travers les passa- ges, dans son voisinage de façon que des moroeaux ou des particules de combustible ou de oendres qui pénètrent dans ces passages ne soient pas expulsés immédiatement par le   courant   d'air.

   C'est pourquoi il convient de disposer les passages à air de façon que tous les moroeaux ou toutes les particules de oendres ou de oharbon qui peuvent pénétrer dans lesdits passages soient forcés à s'accumuler dans ces passages jusqu'à ce que la vitesse de l'air au point envisagé revienne ensuite à sa valeur normale ou jusqu'à ce que   l'intervention   subséquente d'une vitesse   anonnalement   élevée en cet   eniroit   soit capable de les rejeter dans la masse de combustible. Ce 

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 but est atteint en partie par le fait qu'on dispose chacun des passages à air horizontalement, sur une certaine distanoe à partir du oôté de la grille tourné   vere   combustible, comme on le montre en 107 sur la fig. 6 et comme il a été dit plus haut.

   En cinquième lieu on dirige chacun des passages à air vers le haut, en un point situé à une certaine distance dudit oôté de la grille, ou l'on prévoie chacun des passages à air avec, en cet endroit, une partie dirigée vers le haut, comme on l'a indiqué en 120 sur la fig. 9. En réalité,oette partie dirigée vers le haut oonstitue un barrage qui empê- che le libre déplacement des partioules solides ou des mor- oeaux de combustible ou de oendres dans le sens de la cham- bre à air, d'où l'air se dirige vers les passages à air.

   Il est olair que ohaoune des   cinq   caractéristiques qui viennent d'être décrites agit d'une façon indépendante l'une et l'autre pour empêcher ou , pour diminuer l'évacuation vers l'arrière de la matière solide à travers les passages à air et que toutes coopèrent aux mêmes fins, aussi la présente invention n'est pas limitée à l'utilisation simultanée de ces caractéristiques ou à l'usage de l'une quelconque de ces   oaraotéristiques.   



   Les prolongements des passages à air vers le haut et l'effet des barrages mentionnés oi-dessus est réalisé (par la oonstruotion particulière représentée sur le dessin,bien que l'invention ne soit pas limitée à ce mode d'exéoution) au moyen de rebords 116 dirigés vers le haut (fig. 8 et 9) à partir des anneaux dont est formée la grille, conformément au dessin. Par suite de cette construction d'anneaux pourvus de rebords, les passages à air affectent une   fonne   en Z, en coupe verticale (fig. 9) . D'autre part, les   rebords   servent à oentrer les anneaux les uns par rapport aux autres, en d'autres termes ils empêchent les anneaux de se déplacer horizontalement,de façon à s'écarter l'un de l'autre.

   En 

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 général chacun des anneaux est constitué par un corps 114 (fig. 8) présentant à ses bords un rebord 115, dirigé vers le bas et un rebord 116 dirigé vers le haut. Pour   éoarter   oes anneaux l'un de l'autre (afin de constituer les passagespour l'air) on interpose des organes intermédiaires. On peut oons- tituer ces anneaux intermédiaires d'une façon appropriée en pourvoyant chacun desdits anneaux de saillies faisant corps aveo eux, saillies dont le nombre soit seulement suffisant pour supporter le poids qui repose sur les anneaux. Ces sail- lies peuvent affecter la forme de nervures radiales (voir également fig. 7).

   L'anneau inférieur repose sur le support de la grille.On interpose de préférence un collier 118 oylin- drique intérieurement , entre celui des anneaux qui se trou- vent à la partie inférieure et le support (paroi de support 31), le oollier en questian étant suffisamment long pour assu- rer ou pour contribuer à assurer la distribution uniforme du oharbon qui monte sur toute la hauteur de la grille. Au- dessus de cet anneau inférieur, chacun des anneaux oonstituant la grille repose sur l'anneau qui se trouve immédiatement au- dessous de lui. Dana le cas présent les nervures radiales 117 desdendent, non seulement à partir des rebords 115, mais aussi à partir de la partie externe du corps 114 des anneaux et le poids appliqué peut être supporté, en partie, en oha- chun de ces points. (fig. 9).

   Il oonvient cependant que l'é-   aoulement   de l'air à travers les passages à air respeotifs soit contrôlé au moyen d'une certaine partie de chacun des passages à air, par un espèce de rétrécissement ménagé en un certain point et, de préférence, on oontrôle l'éooulement de l'air par l'espaoe compris entre les suffaces 106 et 107.

   A cet effet, on choisit de préférenoe la hauteur de chacun des passages de façon qu'en ce point au moins ladite hauteur ne soit pas plus grande qu'en d'autres endroits et on prend des dispositions pour que tout le poids ou la majeure partie du 
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 poids que poa?tent,:oes,19-ane-9 soit supporte par celle des 

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 parties des nervures 117 qui se trouve immédiatement au-des- sous des rebords desoendants 115, plutôt que par les parties des rebords 117 qui sont attachées au corps 114 des anneaux. 



  Il en résulte , dans la répartition de l'écoulement total d'air entre les différents   passages   à air une tendance mini- mum à varier lorsque les anneaux se dilatent et se conrac- tent sous l'aotion de la ohaleur développée par le feu. Dans les buts indiqués on peut donner à la hauteur verticale de celles des parties des nervures radiales qui se trouvent au- dessous des corps 114 une valeur un peu moindre qu'à la hau- teur des parties qui se trouvent au-dessous des rebords 115, ou bien on peut supprimer les parties   sua visées   des nervures 117.

   Il est préférable cependant de comprendre une saillie dans la partie (de chaque anneau) qui est comprise dans l'aooolade 119 sur la fig. 8 ou de prolonger les nervures 117, au-dessus de cette partie, de façon à   empêoher   que la dilatation ou le déplacement horizontal des anneaux, qui se produisent toujours plus ou moins, amènent un (ou plusieurs) des rebords desoendants 115 en contact avec le rebord asoen- dant 116 voisin et coupe ainsi le passage de l'air en)oet endroit.

   En fait, pour e mpêoher des détériorations par une dilatation et une contraction inégales des anneaux, on donne généralement à chaque anneau, dans la partie désignée par l'aooolade 119, un diamètre externe un peu plus petit (d'une quantité de l'ordre du millimètre que le diamètre intérieur du rebord voisin 116 qui se trouve à   1extérieur   de la partie désignée par l'accolade 119, ainsi qu'il résulte de l'exis- tenoe de l'espace 120 représenté sur la fig. 9.

   Il est bien entendu ,   oependant,   que lediamètre interne minimum de oha- que anneau (du   oôté   tourné vers le charbon) a une valeur plus petite que le diamètre interne maximum du corps 114 de l'anneau placé immédiatement au-dessous de lui, dans des proportions telles que les éohanorures 108 soient maintenues 

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 en tout moment quel que soit ce déplacement des anneaux l'un par rapport à l'autre, dans la mesure où le permettent les espaces 120. 



   Si on le désire, on peut fixer les différents anneaux de la grille les uns sur les autres, par exemple au moyen de boulons (tels que ceux qui sont désignés par 125) passant à travers les oreilles 126 et 127 que portent respectivement les anneaux supérieur et inférieur (voir fig. 5). Les nervures radiales 117 que porte l'anneau inférieur de la grille per- mettent, si on le désire ,le passage de l'air de combustion entre cet anneau inférieur et la pièce cylindrique 118. On peut prévoir également des nervures analogues à la partie in- férieure de cette pièce cylindrique 118 où à la partie su- périeure des parois du coude 51 pour permette l'admission d'une certaine quantité d'air au oharbon qui se trouve au- dessous de la pièce cylindrique susvisée.

   Si on le désire,la grille peut être fixée, par exemp au moyen d'un, de deux ou de trois boulons ou tiges 128, sur une partie convenable (non représentée) de la base 15 de la grille. Toutefois,le poids de la grille est généralement suffisant pour maintenir ladite grille en place et lesdits   boulonh   de fixation n'ont pas une Importance capitale. 



   Il est évident que de nombreux éléments de la grille décrite oi-dessus ne sont pas limités, en ce qui oonoerne leur applioation, aux grilles du type représenté. 



   Pour actionner un élévateur de cendres (dans le cas où l'on utilise un tel élévateur pour élever les cendres, à partir de la chambre 29 jusqu'à la boite à cendres, ainsi qu'il a été suggéré plus haut) on pourvoit la base extérieure 17 de parois telles que celles qui sontidésignées par 130 et 131, par exemple   (vçir   fig. 2), dans le voisinage de la chambre à cendres 29 dans laquelle on peut monter,s'il est néoessaire, un support du des supports 132, le ou les supports 132 pouvant être du même type que les supports 68, par exem- 

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 ple ,et pouvant être introduits dans le sens de la longueur; à partir de l'extrémité de droite de la fig. 2. La paroi 42 de la base extérieure 17 peut être pourvue , dans oe cas, de supports 133 destinés à reoevoir, par exemple, l'arbre 134 du mécanisme élévateur.

   Cet arbre peut être par exemple celui qui supporte la roue à chaîne inférieure d'un élévateur à chaîne tel que celui qui est représenté. Un   orgm e   de   liaisan   
135 , s'étendant à partir dudit arbre 134 jusqu'à   larbre   pro- longé qui repose dans le support 132, et une paire de roues dentées 136 et 137, montées respeotivement sur ledit arbre   @olongé   et sur le prolongement de l'arbre 67 du transporteur de cendres, sont utilisés alors pour la commande de l'élévateun 
On remarquera que cette organisation permet l'addition de l'é- lévateur de oendres à la maohine sans qu'auoune modification importante soit nécessaire et qu'elle   pennet   de supprimer oet élévateur sans que la maohine sombre être inoompléte .

   On a désigné par 138 une ouverture permettant le passage de la   main)et   ouverte d'une façon appropriée, ladite ouverture don- nant accès à la ohambre 29 en cas de néoessité. On a oonsi- déré également qu'il convenait d'employer un broyeur, par exemple pour broyer ou pour réduire à de plus faibles diemn- sions les cendres ou le maohefer qui se présenteraient en mor- oeaux trop volumineux pour enteer dans le conduite à cendres   5.(ou   dans tout autre appareil de transport de cendres) ou'pour être transporté dans ce conduit . Deux organes, dont l'un tourne suivant un trajet dans lequel il peut saisir les gros moroeaux de cendres ou de maohefer, et l'autre fixe ( ou mobile également) dans le trajet desdits gros moroeaux peu- vent remplir ce but.

   Lorsque, comme dans la machine   représen-   tée, on utilise une ou plusieurs palettes ou   raclettes   49 pour les oendres , ces organes ou leurs supports peuvent servir comme organes rotatifs et il suffit alors d'ajouter un autre   organe .,     lequel   peut être fixe , qu'on dispose dans le voisi-

Claims (1)

  1. nage, mais en dehors, du trajet des palettes,, et qui possèdent une surface qui n'est pas tangente ou parallèle au trajet des palettes, au point où lesdites palettes passent devant oe deuxième organe* Un tel deuxième organe fixe est constitué par la plaque verticale 140 ( voir fig. 2 et 10) , constituée en ce cas, par une partie du raccord 27. On notera (fig. 2) que la partie plane de cette plaque, partie plane qui est tournée vers les palettes à cendres, est placée suivant un angle tel que les gros morceaux de cendres et de mâchefer, entraînés par l'une queloonque des palettes à cendres, soient saisis par cette plaque et écrasés contre cette plaque.
    Il est bien entendu qu'on peut apporter différentes modifications aux dispositif décrit sans qu'on s'écarte de l'esprit de la présente invention.
    REVENDICATIONS. l. Méthode de fonctionnement d'un foyer automatique pouroombustible solide de l'espèce de ceux dans lesquels la grille est pourvue d'un certain nombre de perforations destinées à livrer passage à l'air de combustion, lequel est fourni à ces perforations au moyen d'un ventilateur où ana- .logue destiné à produire un oourant d'air vers les perforatiosn à une pression supérieure à celle de l'atmosphère, et en quantites sensiblement les mêmes par quantité unitaire de combustible brûlé que jusqudioi, caractérisée par le fait que ledit air, outre qu'il sert au but connu de la combustion,
    est aussi ohassé à travers lesdites perforations à une vitesse telle qu'il sert à repousser dans la grille les particules de charbon et de cendres assez petites pour pénétrer dans lesdites perforations, empêohant ainsi ces particules de traverser les perforations et de s'accumuler sous la grille.
    2. Un foyer automatique pour oombustible solide du type de ceux dans lesquels la grille possède un certain nombre de <Desc/Clms Page number 31> perforations pour livrer passage à l'air de oombustion ,ledit air étant fourni par un ventilateur ou analogue pour produire un oourant d'air vers les perforations à une pression supé- rieure à oelle de l'atmosphère, en quantité sensiblement nor- male par unité de oombustible brûlé, oaraotérisé par le fait que le nombre et la section transversale desdites perfora- tions ainsi que la pression de l'air de combustion qui leur est fourni, sont combinés entre eux de façon telle que ledit air de combustion, outre qu'il sert au but connu de la oom- bustion,
    est aussi ohassé à travers lesdites perforations à une vitesse telle qu'il sert à repousser dans la grille les pa tioules de oharbon et de oendresassez petites pour pénétrer dans lesdites perforations, empêchant ainsi ces particules de traverse.r les perforations et de s'accumuler sous la grille.
    3. Un foyer automatique suivant la revendication 2, oa- raotérisé par le fait que la section transversale totale des perforations est plus petite et la pression de l'air est plus grande que ce n'est ordinairement le'oas dans un tel appareil, la quantité d'air fournie par unité de oombusti- ble brûlé étant normale.
    4. Un foyer automatique suivant la revendication 2 ou 3, caractérisé par le fait qu'il est prévu des moyens de protec- tion pour écarter des orifices desdites perforations le oombustible solide qui se déplaoe sur la grille.
    5. Un foyer automatique suivant la revendication 2,3 ou 4, caractérisé par le fait que lesdites perforations débou- chent, du oôté intérieur de la grille, dans un ou plusieurs évidements disposés en retrait par rapport à la ligne repré- sentant le trajet général, pour le point considéré, du oom- bustible solide passant à travers la grille.
    6. Un foyer automatique suivant ohaoune des revendioa- tions 2 à 5, caractérisé par le fait qu'une dimension d'une section transversale de chacune desdites perforations est in- <Desc/Clms Page number 32> férieure à un huitième de pouce anglais.
    7. Un foyer automatique suivant ohaoune des revendica- tions 2 à 6, caractérisé par le fait que les orifioes desdi- tes perforations sur la faoe portant le combustible de la grille, ont la forme de fentes, la plus longue dimension de chacune desdites fentes s'étendant, vue de la ligne vertioa- le passant par le centre de la grille, dans une direction formant un angle de plus de quarante degrés avec la vertioa- le, la plus oourte dimension de ohaoune desdites fentes étant inférieure à trois seizièmes de pouoe anglais.
    8. Un foyer automatique suivant la revendication 7, oa- raotérisé par le fait que les parties d'en dessous et d'en dessus desdites perforations adjaoentes à la surface inté- rieure de la grille sont sensiblement horizontales.
    9. Un foyer automatique suivant la revendication 7 ou 8, caractérisé par le fait que dans ohaoune desdites perfora- tions les parties d'en dessous et d'en dessus adjacentes à la faoe intérieure de la grille partent de la surface intérieuie de la grille dans une direction sensiblement horizontale,et se relèvent ensuite.
    10. Un foyer automatique pour combustible solide, caracté- risé par une grille annulaire évasée vers le haut , comportant un certain nombre d'anneaux concentriques espacés, oonsistant chacun en une partie oonstituant le corps et en des rebords qui s'étendent, à partir des deux bords opposés du corps.
    11. Un foyer automatique suivant la revendication 10, caractérisé par le fait que lesdits anneaux sont disposés l'un au-dessus de l'autre,avec le rebord descendant de chaque anneau supérieur logé à l'intérieur du reboxd descendant de l'anneau immédiatement inférieur, des moyens étant prévus pour maintenir éoartés lesdits anneaux afin de réaliser des passages pour l'air de combustion.
    12. Un foyer automatique suivant la revendication 11, caractérisé par le fait que lesdits moyens d'espaceemnt sont <Desc/Clms Page number 33> constitués par des nervures qui partent de certains desdits rebords ou y aboutissent.
    13. Un foyer automatique suivant la revendication 12, oaraotérisé par le fait que les nervures sont des reboods radiaux s'avançant le bas à partir de chaaque rebord et de chaque corps.
    14. Un foyer automatique suivant chacune des reverdi- cations 10 à 13, caractérisé par le fait que le diamète intérieur de chacun desdits anneaux est plus grand que le diamètre intérieur de l'anneau inmédiatement inférieur,de façon que des rebords soient formés à la partie supérieure des anneaux, les passages à travers la grille étant formés entre chacun desdits reboids descendants et le corps de l'anneau immédiatement inférieur.
    15. Un foyer automatique pour combustible solide, carac- térisé par une grille alimentée par en dessous, de préféré- oe évasée, un dispositif d'alimentation sensiblement hori- zontal pour celle-ci, et un coude pour diriger 1 e oombusti- ble reçu dudit dispositif de bas en haut vers l'ouverture centrale de réception du oombustible de ladite grille,dans lequel il est prévu des parois verticales pour limiter la colonne de combustible montant, de toutes parts entre la oourbure dudit coude et la partie évasée de la grille.
    16. Un foyer automatique pour combustible solide, carac- térisé par une grille et un organe circulaire en contact avec un bord de ladite grille, un boulon étant disposé par rapport à ladite grille et audit organe annulaire de façon à n'être soumis à aucun effort de cisaillement.
    17. Un foyer automatique suivant la revendioatio 16, caractérisé par le fait que l'oane circulaire saillit dans nne masse de matière mouvante pour assurer la fenneture d'u- ne chambre à travers laquelle l'air de combustion passe pour arriver à la grille. <Desc/Clms Page number 34>
    18. Un foyer automatique suivant la revendication 17, caractérisé par le fait que la matière mouvante est placée dans une auge.
    19. Un foyer automatique suivant la revendication 17 ou 18, caractérisé par le fait que la matière mouvante est une matière solide à l'état granuleux,telle que du sable.
    20. Un foyer automatique pour combustible soldide, carac- térisé par une grille, et un organe formant base situé à une certaine distanoe de ladite grille et séparé de oelle-oi par un conduit disposé entre eux, lequel traverse des épaule- ments disposés sur ladite grille et sur ledit organe formant base et vient buter oontre lesdits épaulements, et compre- nant un tirant pour relier ladite grille et ledit organe formant base et serrer ledit conduit entre ces deux organes.
    21. Un foyer automatique suivant la revendication 20, oaraotérisé par le fait que ledit organe formant conduits! le conduit pour l'air et aussi le conduit pour le oanbusti- ble ,ledit tirant étant disposé à l'intérieur dudit conduit.
    22. Un foyer automatique suivant la revendication 20 ou 21, caractérisé par le fait que ladite base de grille et l'organe distant formant base sont pourvus de moyens pour recevoir et supporter un conduit de cendres.
    23. Un foyet automatique suivant la revendication 20, 21, ou 22 oomprenant une chambre à cendres, caractérisé par le fait que ledit organe distant formant base est pourvu d'une ouverture susceptible d'être fermée à partir de ladite chambre à cendres pour l'évacuation des cendres contenues dans celle-ci ,et est aussi pourvue d'une ouverture susoep- tible d'être fermée dans la chambre à cendres pour relier un'élévateur de cendres à ladite chambre à cendres.
    24. Un foyer automatique suivant la revendication 23, caractérisé par des moyens pour la fixation d'un conduit à cendres audit organe distant formant base et audit organe formant brûleur,lesdits moyens oomprenant des moyens,sur <Desc/Clms Page number 35> l'un desdits organes, auxquels le oonduit à oendres peut être fixé par glissement et des moyens, sur l'autre desdits organes, destinés à être anorés audit oonduit à cendres. EMI35.1
    25. Un foyer automatique pour oombustible solide,oarao- 2o-da,w m. tun f,ovrE' térisé par un oigane formant brûleur pourvu d'une pointe disposée sensiblement en son centre,su? laquelle il repose, et oomprenant un organe placé à une certaine distanoe dudit organe formant brûleur, et des moyens reliant ledit organe formant brûleur et ledit organe distant , des appuis régla- bles dans le sens vertical prévus pour ledit organe distant formant base étant disposés aux oôtés opposés de ce dernier.
    26. Un foyer automatique pour combustible solide, oarao- térisé par une grille sensiblement annulaire alimentée par en+dessous et une base pour celle-ci, base qui est pourvue d'une paroi intérieure asoendante supportant ladite grille et sur laquelle ladite grille repose et constituant un oon- duit pour le oombustible, et oomprenant une paroi asoendarr te disposée à l'extérieur de la paroi mentionnée en premier lieu et formant un passage pour l'air de oombustion,oondui- sant vers ladite grille et pourvu d'un support sensiblement annulaire dans lequel est montée une raclette rotative.
    27. Un foyer automatique pour combustible solide, sui- vant la revendication 26, caractérisé par le fait que ladite raclette est à un niveau plus bas que ledit bord extérieur de la grille.
    28. Un foyer automatique suivant la revendioation 26 ou 27, caractérisé par un réceptacle et un brcyeur pour les cendres, ledit broyeur dérivant en tournant un trajet compris entre ledit réceptacle à oendres et l'endroit où les cendres sont déohargées de la grille, et comportant un organe,plaoé sur le trajet de la cendre déplacée par ledit broyeur,entre lequel la cendre est broyée.
    29. Un foyer automatique suivant la revendioation 28, <Desc/Clms Page number 36> caractérisé par le fait que le broyeur de oendres comporte un anneau tournant autour de la ligne vertioale passant sensible- ment par le centre de la grille et un organe saillissant de l'anneau et se déplaçant sur un trajet paroouru par la cendre passant de la périphérie du brûleur audit réoeptaole à cendre et par le fait qu'il est prévu une plaque fixe dont une faoe ooopère sur le trajet de la grosse cendre, portée par ledit organe et non tangentielle au trajet dudit organe sur la par- tie de celu-oi où ledit organe dépasse la plaque.
    30. Un foyer automatique pour combustible solide,oarao- térisé par une grille et un transporteur pour alimenter la grille an combustible, et comprenant un mécanisme réducteur de vitesse assooié à des moyens d'accouplement qui relient, d'une façon continue, ledit transporteur au méoanisme réduoteur de vitesse destiné à aotionner le transporteur/ tandis qu'il est prévu un moteur assooié à des moyens d'aooou- plement oomprenant de préférenoe une courroie à friction accouplant de façon continue ledit mécanisme reéducteur de vitesse audit moteur destiné à aotionner ledit mécanisme.
    31. Un foyer automatique suivant la revendioation 30, EMI36.1 caractérisé par un transporteur de oendres et un moyen d'aomu*ypà oouplement qui relie , d'une façon oontinue, le transporteur de oendres pour la commande de oe dernier par le mécanisme réducteur de vitesse.
    32. Un foyer automatique pour combustible solide,suivant la revendioation 30 ou 31, caractérisé par le fait que le mé- oanisme réducteur de vitesse comporte un arbre de oomnande à faible vitesse placé dans une direction sensiblement paral- lèle à une hélice d'alimentation que renferme le transpo rteur, et un arbre à grande vitesse placé sensiblement à angle droit par rapport au premier arbre, des organes d'accouplement étant prévus paur accoupler, de façon oontinue, ledit arbre à faible vitesse audit méoanisme transporteur pour actionner ce der- nier, l'induit du moteur étant disposé sensiblement à angle <Desc/Clms Page number 37> droit par rapport à la direction de ladite hélioe du transpor- teur,
    tandis qu'une oourroie à friotion accouple ledit induit du moteur audit arbre à grande vitesse pour actionner ce der- nie r .
    33. Un foyer automatique suivant la revendioation 30, 31 ou 32, caractérisé par le fait que le moteur est établi de fa - çon à commander un ventilateur destiné à fournir de l'air de combustion à l'organe formant brûleur.
    34. Un foyer automatique suivant chacune des revendioa- tions 30 à 33, caractérisé par le fait que la liaison de commande entre ledit moteur et ledit transporteur,renferme un méoanisme de débrayage fonctionnant en cas de surcharge, l'interrupteur du moteur étant oombiné aveo ledit méoanisme de façon qu'il fonctionne au moyen de ce mécanisme pour ouvrir le circuit d'alimentation du mnoteur, quand le méoanis- me de débrayage fonctionne,pour interrompre la liaison de oomnande du moteur au transporteur de combustible.
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