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"Perfecti onnements à la soadure à l'arc"
La présente invention est relative à un procédé et à un appareil pour enlever la bavure laissée par la soudure sur des articles soudés à l'arc.
Le procédé et l'appareil de l'invention concernent spécialement l'enlèvement de la bavure lais- sée par la soudure sur une feuille, ou plaque, de métal de très grande surface, obtenue en soudant ensemble
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l'arc, généralement suivant une ligne droite,un
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certain nombre de feuilles plus petites. l\Íe.is <ic;.ns l'évolution du procédé et de 1'appareil en question, on a rencontre et résolu un rand nombre de problèmes
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importants maniere .1 permettre L,,u cta:xa:cm:s:aqu#nCla, ae manière a permeture au proceuc et à l'appareil d'être Grès u'cil#ment a,ppliu.s à l'en- etc. lèvement de la bavure, :;axcd.1ltfG[X5úA1asdt.a:
1xQ.6(x(Aq'Ciiv.x1r1X1C non seulement sur des joints obtenus par d'autres pro- cédés de soudure et sur des joints ou sur des soudures de différentes formes (les bavures pouvant être, en outre, de natures diverses) mais encore sur des pro- duits différent plus ou moins de la feuille de métal sur laquelle on opère généralement En fa.it, on es-
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time que l'invention est applicable, avec les IIlOcLif i- cations nécessaires, à des articles, en général, pou- vant être fabriaués par soudure à l'arc ou par un procéaé analogue. Tout ce qui precède ressortira clairement une fois que l'on aura compris l'invention, ainsi que le cadre dans lequel elle est renfermée.
D'une manière générale, le procède de l'invention"consiste à tirer l'article dans le sens de la soudure et à le faire passer ainsi entre deux cou- teaux fixes qui enlèvent la bavure de la soudure sur les deux faces de l'article soudé.
Habituellement, mais non obligatoirement, la bavure laissée par la soudure à l'arc apparaît sur les deux faces de la soudure. Sous son aspect le plus spécial, le procédé de l'invention comporte une action exercée sur les deux faces de la soudure simultanément
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BtxocxXOC#xmâ alam. On fait avancer l'article entre les couteaux dans le sens de la soudure et sans rompre le contact. La traction est appliquée en un certain nombre de points, de préférence en deux points symétri-
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quement disposés de part et d'autre de la soudure; en outre, cette traction est,en général,parallèle à la direction de la soudure. Pendant le rabotage, le corps de l'article compris dans la zone de rabotage est supporté à tout instant des deux côtés sur une surface étendue pour éviter une déformation due aux forces mises en jeu dans le rabotage.
Le support en question coopère également avec l'application symétri-, que des forces d'entraînement pour empêcher une déformation de la feuille de métal sous la forme d'irrégularités grandes et accidentelles.
Le procédé consiste, en outre, dans l'or- dre de succession des opérations et dans l'importance relative desdites opérations qui se combinent pour donner et conserver au travail une efficacité-et une qualité extrêmement grandes. Avant d'enlever par rabotage le corps principal de la bavure, on enlève soudure toutes les parties de cette qui peuvent etre facilement enlevées au moyen de chocs. Dans ces conditions, le choc du dispositif utilisé pour anle- bavure ver le corps principal de la ne peut pas ' détacher d'abord les parties qui peuvent être enle rayer l'objet vées par le choc et, par suite par abrasion lorsqu'elles sont serrées dans des couteaux ou autres dispositifs.
De même, avant d'enlever par rabotage le corps de la bavure on enlève également, pour em- pécher une abrasion, les déchets détachés par choc et les autres déchets de soudure ou ceux qui proviens nent d'une autre source. Un but subsidiaire atteint ; ' ment par le procéaé qui précède c'est éviter le/@@@@@@@ de la pièce traitée dans les.outils qui enlèvent la bavure, car, avec les dégagements nécessairement pe- tits, le déchet très dur peut très facilement provoquer
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un @@@@@@@@ coincement.
La partie principale de la bavure n'est pas enlevée par les couteaux tout à fait jusqu'au plan de la surface du corps principal de la feuille sur laquel- le on opère , mais seulement jusqu'au niveau d'un plan très voisin du précédent et aussi voisin que la, cnose est possible@ sans que le bord du couteau lui-même touche les surfaces situées de part et d'autre de la bavure et entame l'article. En d'autres termes, le corps principal de la bavure est enlevé par les cou- teaux jusqu'à un plan suffisamment éloigné de la sur- face du corps de la feuille traitée pour laisser passer les ondulations superficielles que l'on rencontre habituellement sur la feuille sans rabotage de la sur- face située de part et d'autre de la bavure, par l'ou- til tranchant a Le reste du corps de la bavure,
qui se trouve compris entre le plan de rabotage eLla sur- face de la feuille soudée est ensuite enlevé par une opération progressive de forgeage, de préférence par martelage. On peut effectuer cette opération de for- geage en deux phases, dont cnacune progresse, en même ux temps qu'a lieu la progression/de la feuille soumise à une traction, qui achèvent l'enlèvement du corps prin- cipal de la souaure : la phase finale a pour résultat de ramener l'épaisseur de la soudure à celle du corps de la feuille.
Entre l'enlèvement du corps principal de la bavure jusqu'à la profondeur correspondant à l'épais- seur minimum tolérée pour la ba,vure et la suppression du reste de la soudure obtenue en ramenant par le òr- geage l'épaisseur de la soudure à celle de la feuille, les déchets de toute sorte, en particulier les déchets errants formés de copeaux détachés du corps principal
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de la bavure enlevée au début sont proprement retirés des régions où se trouve la soudure. Grâce à cette disposition, aucun des déchets en question ne peut siinterposer entre les appareils de forgeage et là feuille, ce qui se traduirait par des rayures et autres irrégularités.
La substance qui forme la bavure est extrêmement dure, à cause de la température élevée et lyi d'un refroidissement suivi d'un refroidisse en présence d'une oxydation extrême dans le procédé de soudure à l'arc. L'enlève- ' ment complet des déchets en question dans les régions de la soudure est très importante, aussi bien dans cet-/ te phase que dans les phases précédentes du procédé.
En fait, les dispositifs utilisés pour enlever les déchets sont organisés de façon à débarrasser complè cernent desdits déchets la feuille sur laquelle on-opère.,'
L'appareil qui permet d'appliquer le procédé' precité, dépend beaucoup du procédé lui-même; il coma prend un banc sur le haut duquel la feuille métallique est tirée de façon à vaincre, sans subir de déformation, la réaction puissante exercée par les couteaux qui agissent sur la substance très dure cons- Lituant la bavure. Le dispositif de traction est or- ganisé de manière à agir sur la feuille suivant des lignes espacées parallèles et symétriques par rap- port à la soudure dont la bavure est à enlever.
Les couteaux qui enlèvent la bavure sont supportés trans- versalement par rapport au banc et sont conformés de façon à toucner les surfaces de la feuille traitée dans la région où se fait le rabotage, suivant une surface étendue, ce qui empêche la déformation locale de la feuille. Les couteaux coopèrent ainsi avec la traction symétrique du banc pour empêcher non seulement une dé- formation locale, mais une déformation générale de la
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feuille, déformation qui pourrait se traduire par un fonctionnement irrégulier ou par le/@@@@@ de la feuille dans la machinât. En outrs, les couteaux oppo- sés agissent, en face l'un de l'autre ct simultané- ment,
sur les côtES opposes de la bavure.. Leurs réac- tions suivant des directions normales au corps de la feuille sont ainsi équilibrées et la façon dont ils supportent la feuille contre une déformation localisce et générale est symétrique et cquilibrée. Le dispositif chargé d'enlever les déchets avant le rabotage du corps supporte principal de la bavure comprend un balai rotatif dans le sens 1 transversal.
L'appareil de forgeage chargé de réduire ce qui reste de la bavure (après l'enlèvement du corps principal de cette dernière) pour la ramener à l'épaisseur du corps de la feuille est constitué par une série de marteaux également oisposes transversale- ment par rapport au banc.
Leur disposition est telle que, le.ou les marteaux qui sont devant réduisent partiellement le reste de la bavure à l'épaisseur voulue, tandis que les derniers marteaux complètent de la feuille. cette réduction jusqu'à 1 épaisseur Le dispositif chargé d'enlever les déchets qui se trouvent entre, d'une part, les couteaux qui enlèvent le corps princi- pal de la bavure et, d'autre part, les appareils de forgeage, est un dispositif double comprenant une combinaison d'ajutages à air comprimé et ue brosses rotatives également supportées en travers de la, feuil- le travaillée.
Sur le dessin annexe on a représenté, uni- quement à titre d'exemple, un moae de réalisation de l'invention :
La figure 1 est une vue, en élévation latérale, de l'appareil;
La figure 2 est une vue arrière en élévation
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montrant le moteur; /
La figure 3 est une vue en élévation par bout, à échelle agrandie ;
La figure 4 est une coupe longitudinale verticale de la région des couteaux chargée d'enlever le corps principal de la bavure, ladite coupe étant faite à peu pres par 4-4 de la figure 3.
La figure 5 est une vue générale en perspec- tive de l'un des deux couteaux;
La figure 6 est une coupe transversale à peu près par 6-6 de la figure 4 (en regardant dans le sens des flèches) montrant les deux couteaux;
La figure 7 est une coupe transversalepar- tielle à peu près par 7-7 de la figure 1, montrant les dispositifs d'alignement libérables qui coopèrent avec les pinces par l'intermédiaire desquelles la traction du plateau est exercée sur la plaque;
La figure 8 est une vue en élévation laté- , rale et à échelle agrandie, montrant la combinaison du mécanisme de traction avec les couteaux telle quelle apparaît dans son ensemble quand on regarde la.machine à peu près sur la ligne 8-8 de la figure 5;
La figure 9 est un schéma.. des connexions électriques qui commandent les moteurs actionnant les marteaux;
La figure 10 est une vue, en perspective, montrant une phase de l'enlèvement, à la main, des par- ties les plus hautes et les plus fragiles de la bavure,;
La figure 11 est une vue, en plan et à êchel- le agrandie, montrant les extrémités des parties, soudées à l'arc formant la feuille métallique 42;
La figure 12 est une coupe transversale du système de couteaux 63-63' montrant les positions. des
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plans d'enlèvement de la bavurepar rapport au corps de la feuille,.
L'ensemble du banc d'entraînement est désigné par 20. Sa partie principale est constituée par deux poutres 21 à profil en U, écartées l'une de l'autre et supportées, sur leurs côtés, par un socle dont l'ensemble est designé par 23 et qui repose sur des fondations 22. Le socle peut constituer une base de forme quelconque et à la vérité la fondation
22 peut former le socle. Les extrémités opposées des poutres longitudinales 21 supportent des arbres trans- versaux 24 et 25 qui portent des roues d'entraînement forte 26, 27 sur lesqelles passe une @@@@@/châîne auxe de traction 22.
Les roues à châine 26,27 sont disposées par paires espacées dont chacune se trouve près de la face interne des poutres 21; des chaînes indépendantes
28 passent sur les roues à chaîne correspondantes 26-
27 des paires de roues Des glissières supérieures et inferieures 29 et 30, parallèles au sommet des poutres 21, sont disposées sous le corps de la chaîne
28, à peu près sur toute la longueur de cette dernière qu'elles maintiennent parfaitement horizontale sur son parcours.
Les glissières en question affectent la forme ae gorges et, dans le cas consideré ici, sont supportées convenablement par les faces internes des poutres 21 et par leurs supports 3. Bien entendu, les faces aes glissières sont convenablement lubrifiées suivant les besoins de la chaîne d'entraînement 8.
L'arbre postérieur 25 est antraîne(par l'intermédiaire d'un engrenage 31) par un puissant moteur électrique
32 mohté sur la fondation 22. Les chaînes 28 reçoivent leur mouvement de l'arbre,25. Le réglage du mou dans réalisé - les chaînes 28 est au moyen de la boîte-palier
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réglable 33, laquelle peut, sous l'action de sa vis de ¯ réglage, glisser dans le plan axial contenant les axes des arbres 24 et 25.
Les brins supérieurs des les chaînes 28, qui ' reposent sur les supporta et glissières supérieurs 29 ' se déplacent dans un conduit ouvert par le haut et forme par des côtés 34, Sur les côtés en question. sont posés des rails longitudinaux 35 qui surplombent le conduit formé par les côtés 34 et/laissent entre eux, des rainures'26 qui se trouvent au-dessus des chaînes 28 et de leur parcours, et leur sont parallèles. Les rails 35 et les rainures 36 s'étendent sensiblement sur toute la longueur de la machine, comme on l'a représente sur la figure 1, et au-delà des arbres 24 et 25 (voir également figure 8). Des pinces amovibles 37, fixées à la feuille,peuvent également se déplacer dans les rainures 36 et sont supportées par les rails 35.
Ces pinces 37 font l'objet d'une demande de brevet distinct. Pour les besoins de la présente demande de brevet il suffit d'indiquer, en se reportant plus particulièrement à la figure 8, que les parties principales des pinces en question sont pour- vues d'épaulements 38 qui reposent sur le haut des rails 35 et de tenons 39 qui s'engagent dans les rainures 36. Les extrémités posterieures des tenons 39 forment des crochets 40 qui peuvent s'engager dans en- pointillé les mailles de la chaîne 28, ainsi qu'on l'a représenté/ sur la figure 8, quand on fait glisser les pinces 37 sur les rails 35, au-dessus de la chaîne.
Cet accro- chage se produit parce que les crochets 40 descendent jusque dans le corps de la chaîne Le corps de la pince forme des mâchoires 41, réglables l'ne par rapport à l'autre et qui peuvent recevoir entre elles la feuille
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soudée 42 dans un plan sensiblement horizontal et très voisin de la face supérieure des rails 35.
Cn règle les mâchoires en faisant tourner la vis horizontale 43 qui agit sur elles, de manière à lesouvrir et àles fermer par l'intermédiaire d'un mécanisme convenable quelconque qu'il n'est pas necessaire de décrire ici La feuille est immobilisée dans une paire des pinces 37 en question, à raison d'une-pince dans chaque rainure 36 et elle est guidée ainsi grâce à l'applica- tion de l'épaulement 38 sur le ra,il 35 et à l'egage- ment de sa queue 39 dans le même rail. Dans le cas envisagé, on peut introduire la, feuille 42, sur le banc d'entraînement soit à, la main, soit automatiquement en la poussant versl'arrière du banc d'entraînement 20.
Lorsque les pinces 37 atteignent la position représentée en pointillé sur la figure 8, les crochets 40 glissent sur les maillons centraux de la chaîne et entre les maillons latéraux en s'accrochant sur l'extrémité an- térieure de l'un des maillons centraux ou de l'axe des maillons. Dans ces conditions, lorsque les chaînes 28 sont en mouvement, la pièce 42 est entraînée par elles sur le haut du banc d'entraînement.
A l'extérieur des chaînes 28 et aes rails de guidage 35, le sommet du banc d'entraînement est recouvert, comme le haut d'une table, par des plaques de métal 43 dont les bords intérieurs sont supportes par les.-poutres 34 et dont les bords extérieurs sont supportés par des longerons horizontaux 44 supportés eux-mêmes par les piliers 45, 46,47 et autres dispo- sitifs analogues. Une telle construction permet ae supporter des feuilles à, travailler ae très grande surface, dans un plan sensiblement horizontal, sans déformation de leur portion centrale qui se trouve com- prise entre les rails 35 et qui est celle sur laquelle
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on opère.
Aux extrémités antérieures des / poutres 21 Aux extrémités antérieures des poutres (voir figures 7 et 8) est disposé un mécanisme de libé- ration chargé d'aligner et d'introduire une pièce à travailler. Les principaux éléments dudit mécanisme dont l'ensemble est désigné par 48, sont constitués par des bras articulés 49 pour la mise en position des pinces 37 qui entraînent la pièce. L'un des bras 49 en question peut pivoter vers l'avant sur un axe 50, de manière à s'engager vers l'arrière dans chacune des rainures 36.
Les extrémités postérieures des bras sont pourvues sur leurs faces supérieures de rainures transversales ali- ,,-nues 51 à peu près perpendiculaires aux rails 35 et à la direction de l'entraînement du banc. Les extrémités postérieures 52 des pinces 37, situées derrière les cro- chets 40, ou les autres parties des pinces 37 identi- quement disposées par rapport àu fond des mâchoires 41 des pinces 37, s'engagent dans les rainures 51 et ser- tent contre les parois postérieures alignées transversa lement desdites rainures.
Dans ces conditions, grâce aux dimensions identiques des parties comprises entre les extrémités 52 et le fond des mâchoires 41 des pinces respectives, lorsqu'on introduit, aussi loin qu'on le peut, une feuille métallique 42 entre les mâchoires 41 c'est-à-dire jusqu'au fond desdites mâchoires, le bord antérieur ae la feuille elle-même est exactement orienté transversalement par rapport à la direction @@ d'entraî- nemant du banco Les bras de mise en position 49 sont normalement poussés de bas en haut,
vers leur position d'engagement par des ressorts hélicoïdaux 53 qui entou- rent des tringles de commande verticales 54 dont l'ex- trémité supérieure est articulée aux bras 49 et dont l'extrémité inférieure est articulée aux leviers à péda le transversaux 55. Grâce à cette disposition, les
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bras 49 peuvent être abaissés de manière à permettre aux pinces alignées 37 et à la pièce alignee 40 ue se déplacer à travers la machine. Les ressorts 53 réagis- sent contre des butées fixes 56.
Des pédales 57, mon- tées sur les leviers 55 se prolongent sur les cotés opposés de la machine jusqu'à. des points où elles peu- vent être facilement atteintes par le pied d'opéra.Leurs placés sur les côtés opposés de la machine.
Dans le plan longitudinal de symétrie du banc d'entraînement, à mi-chemin entre les rails 35 et les rainures 36, se trouve un gabaritde centrage 59 de la feuille, lequel est monté sur la poutre trans- versale 58. Ce gabarit affecte la, forme d'un pointeau qui monte près de la face inférieure ae la, feuille 42.
Au moment où la pièce 42 doit'être alignée transversa- lement par le mécanisme 48 qui vient d'être décrit, et avant de serrer les pinces 37 sur la feuille, on place la ligne de soudure 60 de ladite feuille dans le plan vertical du pointeau de centrage 59. Si, grâce à l'alignement transversal de la pièce 42 obtenu comme il vient d'être indiqué, ou par un autre procédé 6'aligne- ment, la soudure 60 devient parallèle aux rails .35 et aux rainures 36, alors, en plaçant la soudure au-dessus du pointeau 59 et dans le plan vertical de ce dernier on est sûr que la soudure passera sur le banc d'entraî- nement en suivant une direction parallèle à celle de la, traction et dans le plan vertical passant par l'axe de ce dernier.
Les montants 45 sonu près ue l'extremité an- térieure du banc d'entraînement,, :nais un peu au-delà de l'arbre à chaîne avant 24. Lesdits montants ont des di- mentions très notables et affectent la forme de piliers
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d'acier à très grande section transversale. Leur ex- tremité supérieure dépasse de beaucoup le haut du banc et,comme on le voit clairement sur la figure 3, lesdits piliers supportent d'une manière invariable une paire de fortes poutres transversales 61 à profil en U, espacées longitudinalement à peu de distance l'une de l'autre.
Dans le plan transversal des piliers 45 et des poutres 61 en général, mais au-dessous du sommet forte du banc, se trouve une ce tablette 62 faisant corps avec les poutres principales 21 du banc et qui enjambe l'espace compris entre lesdites poutres. Les couteaux opposés 63 et 63' situés l'un au-dessus de l'autre et qui enlèvent la partie principale de la bavure, sont supportés respectivement par des supports transversaux 61 et 62 situés l'un au-dessus et l'autre au-dessous desdits couteaux. Ceux-ci se trouvent dans le plan longitudinal de symétrie du banc et sont verticalement réglables dans ce plan par rapprochement ou éloignement de la feuille.
Le couteau inférieur 63' peut être réglé en faisant glisser sa tête 65 sur la face 64 des supports 62, grâce à la vis 66 ; peut être immobilisé par des boulons 67. Ce réglage est plus ou moins per- manent., Le réglage du couteau supérieure'obtient en faisant glisser sa tête sur la face 68 du support supé- rieur 61. Deux moyens sont prévus pour obtenir ces réglages :l'un de ces réglages qui est semi-permanent est obtenu par l'intermédiaire d'une vis 70 qui s'engage dans le bloc de guidage 71 et qui soulève et abaisse l'une des extrémités d'un bras transversal 72, articulé en 73 à un support fixe et relié à la tête 69 par une articulation à genouillère 74.
Lorsque l'articulation est développée, le mouvement de la vis détermine des réglages fins de la tête 69 du couteau en le faisant
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monter ou descendre. Le second réglage comporte le rapprochement ou l'éloignement tout ±,'une pièce du couteau 63 par rapport à la pièce. Ce système de re- à mouvement glage comprend un moteur/alternatif 75 dont la tige de piston '16 s'articule, ainsi qu'on l'a figure, avec le centre 77 de la genouillère 74. Lorsque le moteur ramène sa tige '16 il ferme la genouillère 74 et sou- lève la tête b9 du couteau.
Les cieux positions de réglage peuvent être conservées en serrant des boulons de fixation 78.
Les couteaux 63 et 63' eux-mêmes sont re- présentés en déta.il sur les figures b et6.. ils se composent d'un corps principal 79 et de bords biseautés coupants 80. Les corps principaux sont fixés par des aux têtesde couteaux pièces;' d'assemblage 81/qui affectent la. forme d'une queue d'hironde ou une a.utre forme permettant un régla- ge facile et une fixation solide aux têtes des couteaux.
Les pièces d'assemblage 81 en uestiun peuvent être fixées d'une manière amovible aux corps des couteaux, de façon à permettre leur remplacement en cas d'usure, Sur leurs côtés opposes les corps principaux présentent des faces 82 qui sont en contact avec la feuille et dont la surface est relativement étendue si on la, compare aux dimensions du bord tranchant 80. Les faces en ques- tion affectent la forme de plaques fixées d'une manière amovible au corps 79 pour pouvoir également être rem- placées en cas d'usure.
Les faces 82 sont pourvues de
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nervures longitudinales s3..l,'e:trrî¯it z=nutiieu,ie u4 de ces nervures est taillée en pointe à partir du plan général de la face de contact limitée par le haut des nervures 83 pour permettre une introduction facile de la pièce et éviter un coincement provoqué par des irrégu- laritéa de ladite pièce, par des déchets ou par d'autres
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causes analogues. Les déchets doivent passer entre les nervures sans encombrer la, surface de la feuille et les petits déchets qui pourraient s'engager entre le haut d'une nervure et la surface d'une feuille, par suite ae l'étroitesse de la nervure, seraient bientôt délogés et s'engageraient dans l'un des es- paces voisins.
Les parties à bords tranchants 80 sont encastrées au centre dans les corps 79 bien en dedans des bords de la surface étendue de la pièce qui touche les faces 82. Le bord tranichant 80 est en général orienté transversalement par rapport à la longueur du couteau et incliné vers l'arrière, à par- tir de son point de contact avec la feuille, comme on le voit sur la figure 5. Les logements 85 dans lesquels les bords tranchants 80 sont engagés s'é- tendent sur toute l'épaisseur des corps 79 et jusqu'à la pièce d'assemblage 81. Des vis d'arrêt 86, via- sées dans les pièces d'assemblage en question portent contre les extrémités des outils coupants 80 et four nissent un moyen pour régler avec précision les ou** tils par rapport au plan des faces 82 qui touchent la feuille travaillée.
Les outils coupants 80 sont, en outre, immobilisés par des blocs de fixation 86, en forme de coins qui s'enfoncent entre la lace pesté. rieure inclinée 87 de coutil 80 et une butée fixe 88, ladite butée étant boulonnée en place à demeure sur les corps 79 et la pièce 86 étant boulonnée d'une manière réglable. Des évidements 89 qui reçoivent et déchargent les copeaux sont ménagés dans les par- ties 79 et aboutissent à l'extérieur sur l'un des côtés,comme le montre la figure 6, Les évidements divergent vers l'extérieur et présentent une inclinai- son générale vers l'arrière du corps 79.
Entre l'extrémité antérieure de la machine
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et le couteau 63 se trouve un balai rotatif transversal
90 supporté par la poutre transversale 61 et qui s'étend latéralement très loin de part et d'autre du plan de symétrie du banc d'entraînement. De préférence ledit balai s'étend sur toute la largeur de la plaque supérieure 43 de manière à recouvrir une feuil- le présentant la largeur maximum que la machine peut recevoir. Le balai est entraîné en sens inverse des aiguilles d'une montre, comme on le voit sur la figure
1, par un moteur 91 relié avec lui par une courroie
92.
Le moteur et le balai sont montés sur des supports 93 réunis à la poutre 61, le balai réglable pouvant être approché ou éloigné du bord supérieur du banc d'entraînement. le balai en question tourne à une grande vitesse et nettoie la feuille des déchets en les rejetant en arrière de la, région où opèrent les couteaux 63.
Sur l'arrière du couteau 63 et des poteaux
45 (voir figure 1) sont disposés une série d'instru- ments de forgeage 94 ayant la forme de marteaux pilons:.
Deux de ces marteaux sont représentés sur le dessin.
Ils sont supportés par l'intermédiaire de socles 95 par la fondation 22. Tandis que les socles 95 sont disposés transversalement par rapport à l'un des cotés du corps du banc d'entraînement, les enclumes 96 et les. marteaux 97 opèrent sensiblement dans le plan longitudinal de symétrie du dit banc, à mi-chemin entre les rails 35 et les chaînes 28, dans l'aligne- ment des couteaux 63 et dans le même plan.
Les enclu- mes 96 peuvent être directement supportées par la fondation 22 au moyen d'un prolongement convenable du socle 95 (non figuré) ou par un bras de ce dernier et
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les têtes 97 des marteaux sont supportées et actionnées d'une manière convenable par des bras surplombant la feuille, comme cela se fait d'habitude pour les mart saux mecaniques Des interrupteurs 98 et 99 de mise en circuit ou hors circuit sont respectivement prévus, à raison d'une paire d'interrupteurs par marteau, pour contrôler le moteur électrique qui entraîne le mart eau.
Ce moteur n'est pas figure mais il est du type ordinaire et est relié comme d'habitude avec les têtes des marteaux 97 à mouvement alternatif La caractéristique particulière des interrupteurs en question est que l'interrupteur avant 98 est manoeuvré par la feuille 42 de façon à couper le courant du moteur et que l'interrupteur suivant 99, en quittant la feuille, est actionné de manière à couper le courant du moteur. Ce qui veut dire que les deux interrupteurs 98 et 99 commandent le moteur en parallèle et sont successivement fermés et ouverts par le passage de la feuille. La figure 9 représente un circuit des connexions dont s'agit.
L'application de deux inféra rupteurs semblables assure le départ des marteaux juste avant que la feuille n'atteigne le marteau et provoque l'arrêt du marteau juste après que la feuille l'a quitté, de sorte que la soudure est martelée d'un bout à l'autre. Le marteau avant 94 reçoit un réglage et possède une puissance qui l lui permettent de réduire en partie ce qui reste de la bavure, tandis que le marteau suivant 94' occupe une position et possède une puissance qui lui permettent d'achever la réduction de la bavure, soit seul, soit avec l'aide d'autres marteaux.
Entre les couteaux 63, qui se trouvent
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derrière le pilier 45 (voir également fig. 1) et la série des marteaux 94, se trouve un dispositif
100-101 (voir également figure 8) qui enlève les déchets qui ont pu pénétrer sur la surface de la feuille entre le couteau 63 et les appareils de forgeage 94. 100 désigne les balais entraînés par le moteur, lesquels tournent dans le sens des flè- ches et, comme le balai 90, s'étendent très loin de chaque côtédu plan de symétrie et de préférence sur toute la largeur de la feuille. Ils sont entraînés. au moyen d'une transmission 102, par lemoteur électri- que 103, monté sur la fondation 22.
Le balai supérieur 100-est monté transversalement sur des supports 104, eux-mûmes montés sur les piliers 45 et sur les poutres 61. Un balai inférieur 100 , entraîné par une chaîne ou par une courroie, est situé au-dessous du balai supérieur 100 et nettoie simultanément la face infé- rieure de la feuille. ICI désigné un ajutage à air comprimé auquel l'air est fourni par une source conve- nable, quelconque, représentée par le tuyau 104.
L'arrivée et la suppression de l'air dans l'ajutage 101 sont assurées par un robinet 105 ouvert et fermé par un levier 106, qui, par l'intermédiaire d'un galet à frottement réduit 107, porte sur la face supérieure de la feuille 42 lorsque celle -ci avance sur le banc 20. Lorsque la pièce 42 heurte le galet ,]07, l'arrivée de l'air est supprimée. L'ajutage 101 est dirigé transversalementpar rapport au ba,nc et avec une inclinaison telle qu'il balaie à la surface du banc le déchet qui a pu s'y accumuler. Il déloge toutes les parcelles qui sont suffisamment détachées
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pour pouvoir être entrainées par le courant d'air sans l'intervention mécanique du balai 100.
En fait, des déchets délogés mécaniqement par le balai 100,lorsqu'il tourne en sens inverse des aiguilles d'une montre, comme le montre la figure 1, sont entraînés dans la zone balayée par l'ajutage 101, ensuite ces déchets étant rendus libres, sont chassés de la feuille par le courant d'air.
Un transporteur à courroie 109, est entraîné par l'arbre à chaîne antérieur 24, par l'intermédiaire d'engrenages 108. Le brin supérieur de la courroie traverse le fond d'un plan incliné ou conduit Ils dont le tôle consiste à ramener à l'extrémité antérieure de l'appareil les pinces 37 qui on pu être séparées de la feuille à l'extrémité postérieure, de la machine.
Pour obtenir de meilleurs résultats le plan ineliné 110 est incliné vers le haut dans le sens de la pro- gression du brin supérieur de la courroie vers l'extré- mité antérieure de la machine, tandis que son extré- mité postérieure 111 peut tomber suffisamment pour permettre un chargement au moyen de la pesanteur. A cet effet, un conduit de chargement incliné 112, qui s'étend de l'extrémité postérieure 113 de la machine au niveau du sommet 43,an descendant vers l'avant, se raccorde par son extrémité inférieure, avec l'extré- mité inférieure du conduit 111 au-dessus de la courroie transporteuse 109.
A l'extrémité antérieure de l'appa- reil, le conduit 110 débouche dans une botte récep- trice ou à l'extrémité d'un conduit fermé 114 où sont reçues et retenues les pinces 37 qui ont été ra- menées .L'une des pinces 37 en question est représen- tée en train de descendre le long du plan incliné 112 vers le haut de la oourroie sans fin 109. La courroie
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110 est pourvue d'une boîte à palier réglable 115 qui permet d'en assurer la tension. De préférence, pour la commodité des opérateurs, il existe un système transporteur 109-110-112 etc.. de chaque coté de la machine.
Quand il fonctionne normalement, l'appareil applique complètement le procédé de l'invention, à l'exception des deux phases initiales qui sont exécutés à la main avant que la feuille 42 ne progresse à travers l'appareil. La première phase est représentée sur la figure 11. Elle consiste dans l'arrangement, l'unepar rapport à l'autre, des deux feuilles, qui )le sont réunies/par la/ 60, au moment de la soudure à l'arc de façon que l'extrémité 118 de l'une des feuilles fasse saillie sur l'extrémité voisine de l'autre. De cette façon l'extrémité en saillie 118 peut le plus facilement s'engager entre les faces
83 des outils coupants 63-63' (plus particulièrement, entre les bords coupants 80 des outils) et y être solidement maintenue dans le sens vertical.
Il est à remarquer que les bords des outils en question soudure forment un certain angle avec la ligne de la/ . et sont disposés transversalement par rapport aux extrémités des deux parties de la pièce 42. La seconde phase, qui consiste à enlever, au moyen de chocs, la bavure lorsque la, chose est facile, est représentée sur la fig. 10, où la bavure relative- épaisse ment 116 est détachéeau moyen d'une barre d'acier manoeuvrée par un aide. En faisant glisser cette barre horizontalement en arrière et en avant de façon à balayer la face supérieure de la feuille qui, normalement, présente une bavure épisse et facile à enlever, l'opérateur casse les parties plus
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minces et plus fragiles de la bavure ,.; "" q1ti .... " .'''15:
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.¯¯ , s forme de d-j a la à se àétachor .-<,< coincer ,= u-<.û,"4 2ii&sBxxm:xKKxzaiuaLt!. entra les a0qtflapx. ''''''''T pendant ou après ces opérations, la. pièce est alignée transversalement par rapport au plan longitu- dinal de symétrie de l'appareil, par un transport en avant: (jusqu'au fond des mâchoires 41) des pinces ! 37, tandis que celles-ci à leur tour sont exactement alignées transversalement par le mécanisme 48 dont les principaux éléments sont les bras 49 avec l'ours rainures 51 alignées transversalement.
La position relative les pinces 37 tient compte de la saillie antérieure du bord 118 (figure 11).. Avant, pendant ou après cette opération, la soudure 60 est alignée, dans le sens longitudinal, de façon à être sensiblement parallèle au plan de symétrie; pour cela on l'amène sur le pointeau 59 représenté et décrit à propos de la figure 7. Ces opérations d'alignement achevées les mâchoires 41 des pinces 37 sont fermées et les pédales 57 sont manoeuvrées pour actionner les leviers 49 et les écarter du parcours des pinces 37 dans les rainures 36.
Lorsque les aides font avancer (à la main dans l'appareil représenté) la feuille 42 jusqu'à la position représentée en pointillé sur la figure 8, sur laquelle les crochets 51 des pinces 37 s'engagent symétriquement dans les chaînes 28, ces dernières, . elles sont entraînées par le moteur 32, font avancer la feuille 42 vers les couteaux 63. La trac- tion des chaînes est symétriquement équilibrée par rapport au plan de symétrie de la machine. dans lequel grâce à l'organisation de la machine et aux phases d'alignement et d'accrochage qui tiennent d'être exposées, la soudure 60 se trouve avec les
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couteaux 63, les enclumes 96 et les têtes 97 des marteaux 94.
Kn d'autres termes, la. soudure 60, qui porte le corps de la bavure à enlever, est paral- léle aux forces qui agissent symétriquement et qui entraînent sur lebanc 20 la feuille de métal étendue.
Tout le déchet de surface qui s'est accumulé, soit pendant la soudure à l'arc, soitpendant l'enlèvement ultérieur de la bavure au moyen de chocs dans la préparation de son extrémité, comme le représentent les figures 10 et 11, est enlevé progressivement (lors- que la feuille et la bavure de la soudure 60 propres- sent vers les couteaux 63) par le balai à rotation rapide 90 qui balaie ce déchet vers l'arrière et de préférence hors de la feuille.
Comme on le voit sur la figure 11, le bord antérieur de la feuille 42 s'engage entre les faces à nervures 82 des couteaux 63 et se trouve guidé, aligné et supporté de manière à éviter une déformation, par toute la surface étendue qui entoure les bords cmpants 800 La précision du réglage des bords en question qui peut être terminé grâce aux effets conjugués des divers réglages à vis particuliers et collectifs associés avec les bords tranchants 80 et avec les tâtes supérieure et inférieur, 8 65 et 69 des couteaux, permet d'obtenir avec la plus grande précision le réglage des bords tranchants 80 et des surfaces-supports 82 les unes par rapport couteaux aux autres et par rapport à la feuille.
Les@@@@@@@ tranchants sont réglés de façon que leurs tranchant soient à peu près exactement l'une en face de l'autre et donnent lieu à, des réactions opposées au cours de leur action tranchante simultanée. Il exista ainsi une tendance minimum à déplacer verticalement le corps de la feuille 42 dans une direction \ou dans l'autre. Une telle , ,
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tendance au déplacement (comme il peut en exister par suite des différentes dans la section transversale de la bavure supérieure et de la bavure inférieure et par suite des différences de dureté) est le plus faci- lementannulee par les faces de soutien étendues
82.
Les quelques déchets qui par un hasard fâcheux, peuvent franchir le balai à rotation rapide 90 ou se loger entre le balai 90 et les couteaux 63, ou, grâce à l'adhérence, atteindre les couteaux 63, sont détour- nés par les extrémités pointues 84 des nervures des faces-supports 83 qui apparaissent sur la figure 5. Si ces déchets ne sont pas ainsi délog4s, ils sont bientôt grâce à leur très grande irrégularité, balayés par dessus les nervures, dans les. espaces compris entre ces dernières. Le résultat de la combinaison de tous les moyens et phases précités est d'enlever d'une façon unie et parfaite la partie principale de la bavure.
Comme on le voit sur la figure 12, la partie principale de la bavure ainsi enlevée ne descend pas exactement jusqu'à la surface de la feuille 42 placée immédiatement de part et d'autre de la soudure 60, mais jusqu'à une surface, toute proche de la première, que limite un plan 117 écarté de la surface de la feuille pour laisser passer les ondulations superficielles ordinaires, qui ne peuvent pas être évitées sur la surface d'une feuille de métal normale.
Le réglage
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des couteaux pour lt6paîsseur/=Mlz toljrég 'à la &sQr, ¯aùdïtes /est possible grâce au système de réglage prévu; le dit réglage et l'enlèvement de la partie principale de là bavure d'abord usqu' à la profondeur indiquée constitue/une phase importante dit procédé, En effet, comme on l'a expliqué,elleempêche les bords tranchants et acérés 80 des couteaux 63 (voir figure 5) d'entail-
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1er la surface de la feuille 42 et de réduire ainsi son épaisseur ou de la rayer et par suite de rendre son polissage final difficile ou impossible.
En quittait placé à l'endroit le couteau 63/ou la phase en question du procédé est effectuée, les faces de la feuille sont, une fois de plus, nettoyées de leurs déchets par l'action conjuguée de la soufflerie d'air 101 (voir figure 8) et des balais supérieurs et inférieurs 100 qui la débarrassent non seulement de tous les déchets détachés provenant des copeaux de bavure, enlevés par le couteau 63, mais encore de toutes les substances étrangères qui peuvent pénétrer entre les couteaux 63 et les marteaux.
Mis en jeu successivement au passage de la, feuille 42, par les interrupteurs 98v99, les ma.rteaux 94 frappant successivement la soudure 60 de manière à ramener 1'épaisseur de la partie de la bavure qui reste au-dessous du plan 116 (progressivement et par phases suivant le nombre des marteaux utilisés) exactement à l'épaisseur de la feuille qui forme l'article traité.
Ce qui se produit c'est que la soudure à ls quelle on a laissé une épaisseur/qui @@@@@@@ excède celle de la feuille,de la partie comprise en dedans des plans d'enlèvement 117 de la figure 12, se trouve (grâce au martelage successif par les marteaux 94) progresfaiblement sivement amincie et élargie et la largeur totale de la feuille s'accroît des quelques millièmes dont la soudure 60 a été élargie. Le fait que l'opération précitée est progressive, ajouté au fait que la feuille traitée est relativement mince, permet à ce martelage de se faire sans déformation permanent , permanente résultante temporaire ou/ (ou sans autre irrégularité) de la feuille.
En faisant usage d'un nombre approprié de marteaux 94 dans la série, ce martelage
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peut être réglé de façon à tenir compte de folérances raisonnables quelconques en dedans des plans 117 et également de façon à ramener l'épaisseur de la soudure
60 exactement à celle de la feuille.42.
Lorsque la feuille passe par le dernier des interrupteurs 99, le dernier marteau est arrté et la feuille avance vers l'extrémité postérieure 113 du banc d'entraînement 20. Les pinces 37 sont enlevées pendant cette progression ou après qu'elle a cessée Elles sont envoyées au plan incliné 112 d'où elles reviennent à l'extrémité antérieure de la machine et la feuille 42 est emportée pour subir d'autres traitements concernant sa fabrication définitive.
Des caractéristiques supplémentaires du procédé comprennent le réglage des faces 82 des couteau:-' supérieur et inférieur 63,63' à une distanoe l'une de l'autre sensiblement égale à l'épaisseur de la matière sur laquelle on opère. Les couteaux appuient ainsi plus ou moins fort sur les surfaces en question et rabotter tendent à rabotter les ondulations superficielles, à aligner plus exactement les surfaces par rapport aux bords tranchants 80 et à placer exactement le plan de coupe parallèlement au corps aplati de la feuille.
Dans les variations ordinaires d'épaisseur rencontrées, par exemple, 50/1000 ou 75/1000 de millimètre ou, à 1000 1000 peu près, le châssis transversal 61 de l'appareil per- mettra aux têtes de couteaux 6363' de monter et de retomber élastiquement pour s'adapter aux dites varia- tions. La caractéristique de détail également supplé- lentaire du procédé consiste dans le réglage relatif des bords tranchants 80 (voir de nouveau figure 12) légèrement en dedans des faces 82; à savoir le bord supérieur 80 de 50 à 75 de millimètre et le 1000 1000
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bord inférieur 80 de -25 1 ou de 50 de millimètre.
1000 1000 Ce réglage ajouté à la tendance qu'ont les couteaux tranchants obliques 80 à entraîner la feuille 42 vers eux, conserve efficacement et d'une façon stable, la position relative de leur plan de coupe 117 par rapport aux faces 82 les couteaux et par rapport aux surfaces de la pièce 42 sur laquelle portent lesdites faces 82, En d'autres termes, les tolérances qui existent entre le plan de coupe 117 et les surfaces de la pièce 42 sont conservées plus exactement, et avec plus de certitude grâce aux phases et aux moyens précités.
Il est bien entendu que l'invention n'est nullement limitée au dispositif décrit et représenté ici, lequel est susceptible l'être modifié, sans que l'économie de l'invention puisse être altérée par les modifications en question.
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R E V E N D I C A T IONS
1. Un procédé pour enbver a bavure laissée par la soudure, sur des articles tels qu'une feuille de métal de grande surface obtenue en soudant ensemble, à l'arc, un certain nombre le feuilles plus petites, caractérisé par le fait qu' il consiste à tirer l'ar- ticle, dans le sens de la soudure, entre deux couteaux fixes qui rabotent la bavure de part et d'autre de l'article soudé;
2- Un procédé, conformément à la revendi- cation 1, caractérisé par le fait que la traction exercée sur l'article soudé que l'onn fait passer entre les couteaux fixes s'exerce parallèlement à la soudure et que ses points d'application sont symétriques par rapport à la soudure;
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3- Un procédé, conformément à la revendica- tion 1 ou 2, caractérisé par le fait qu'il consiste à tirer l'article, dans le sens de la soudure, entre déux couteaux fixes, puis entre des outils qui forgent, pour la réduire à l'épaisseur du corps de l'article, en une ou eux phases, la partie de la bavure qui subsiste aprs le rabotage;
4- Un procédé,, conformément à la revendi- cation 3, caractérisé par le fait qu'après l'opération', de rabotage tous les déchets provenant de la bavure, susceptibles de pénétrer entre les out ils de forgeage et l'article et d'endommager ce dernier, sont enlevés;
5- Un procédé, conformément à l'une quel- conque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que l'on détache en les brisant les parties fragiles de la bavure, avant le rabotage;
6- Un procédé, conformément à l'une quel- conque des pevendications précédentes, caractérisé par le fait que tout le déchet est enlevé de l'article soudé avant le rabotage, de façon que cette dernière opération puisse être effectuée tout près de la surfa- rayer ce de l'article sans raver ce dernier.
7- Un procédé, conformément à l'une quel- conque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que l'article soudé est préparé pour pou- voir pénétrer facilement jusqu'aux couteaux qui enlè- vent la bavure, par exemple en ménageant une courte Section non soudée et sans bavure à l'extrémité de l'article qui pénètre la prendre dans la machine ;
8- Un procédé, conformément à l'une quel- conque des revendications précédentes, caractérisé par le fait que l'article soudé est supporté pendant l'opé- ration de rabotage sur une zone étendue qui entoure immédiatement la partie que l'on rabote;
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9- Une machine, pour l'application du procédé de la revendication 1, caractérisée par le fait qu'elle comporte, d'une part, un banc d'entrai- nement pourvu de moyens pour supporter et entraîner les articles soudés dans le sens de la soudure et du banc et, d'autre part, des outils pour couper la bavure, lesdits outils étant supportés transversale- ment par rapport au banc.
10. Une machine,conformément :. la reven- dication 9, caractérisée par l'application de couteaux opposés, supportés en ttavers du banc d'entraînement et de part et d'autre du plan de support de ce dernier, de façon à raboter simultanément la bavuresur les faces opposées des articles soudés.
Il. Une machine, conformément aux reven- dications 9 et 10, caractérisée par l'application d'un ou de plusieurs marteaux de forge disposés au- dessus du banc et au-delà des outils coupants, dans le sens du mouvement des articles soudés.
12. Une machine conformément à la revendi- cation 11 caractérisée par un dispositif automatique actionné par le passage des articles soudés sur le banc, de façon à mettre en marche les marteaux et à les arrêter.
13. Une machine , conformément aux revendications 11 ou 2, caractérisée,par le fait qu'un dispositif chargé d'enlever les déchets est disposé sur le banc entre les outils coupants et les marteaux de forge.
14. - Une machine, conformément à l'une quelconque des revendications 9 à 13, car ctérisée par le fait que le dispositif d'entraînement est organisé de façon à saisir les articles soudés,
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symétriquement de part et d'autre de la'soudure,
15.
Une machine, conformément à l'une quelconque des revendications 9 à 14, caractérisée par le fait que les outils coupants comportent, d'une part, une tête de couteau, présentant une face qui peut s'appliquer sur l'article soudé que l'o travaille protéger et/@@@@@@@ cet article contre une déformation, sur une zone étendue et, d'autre part, un bord coupant encastré dans ladite face, de préférence d'une manière réglable, et en biais par rapport à la direction du mouvement des articles soudés;
16- Une machine, conformément à la reven- dication 15, caractérisée par le fait que la face de la tête du couteau porte des nervures orientées dans le sens du mouvement des articles àouàés, les espaces compris entre les dites nervures constituant des rai- nures pour recevoir les copeaux.
17- Une machine, conformément à la revedi - cation 16, caractérisée par le fait que les extrémités des nervures sont taillées en pointe pour faciliter l'introduction des articles soudés;
18- Une machine, conformément à la reven dication 15, caractérisée par le fait que la tête du couteau présente, pour recevoir les copeaux, des espaces qui partent du bord tranchant et débouchent sur le coté de la machine.
19. Une machine, conformaient à l'une quel- conque des revendications 9 à 18, caractérisée par le fait que le dispositif d'entraîn tement comprend des pinces qui peuvent être séparées du reste du dispositif, un transporteur étant prévu pour recevoir les pinces en question à la sortie de la machine et les ramener à l'entrée de cette dernière;
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20.
Un couteau de banc d'entraînement t pour enlever les parties saillantes d'une matière en forme de feuille, caractérise par le fait qu'il com- prend : : une tête présentant une fa.ce étendue qui s'applique sur la matière et la. soutient, contre des déformations,sur une zone étendue;un bord tranchant encastré dans ladite face et un support à surface étendue pour supporter la. feuille du côté opposé à la tte du couteau en question; 21. Un couteau de banc d'entraîntement, conformément à la revendication 20, caractérisé par le fait que le bord tranchant est encastré dans la face qui s'applique sur la, feuille, de façon à pou- voir tre réglé par rapport au plan de cette lernière.
22. Un couteau de banc d'entraînement, conformément aux revendications 20 ou 21, caractérisé par le fait que la face qui s'applique sur la feuille porte des nervures dirigées dans le sens du mouvement de la pièce travaillée et de l'outil et transversale- ment par rapport au bord tranchant;
23. Un couteau de banc d'entraînement conformément à la revendication 22, caractérisé par le fait que les extrémités des nervures sont taillées en pointe à partir du plannde la fa.ce quis'applique qur la feuille de façon à assurer l'entrée facile des irrégularités que peut présenter la, surface de l'objet travaillé.
24. Un couteau de banc d'entraînement, conformémentà l'une quelconque des revendications 20 à 23, caractérisé par le fait que sa tête est pourvue de compartiments pour recevoir les copeaux, lesdits compartiments partant du bord coupant et débouchant sur les côtés de la tête.
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25. Un couteau de banc d'entraînement. conformément à l'une quelconque des revendications 20 à 24, caractérisé par le fait que le bord tranchant est disposé en biais transversalement par rapport à la tête.
26. Un couteau de banc d'entraînement, conformément aux revendications 24 et 25, caractérisé par le fait que les compartiments qui reçoivent les copeaux s'étendent à partir du bord tranchant dans la direction générale du biais vers l'arrière.
27. Un couteau de banc d'entraînement, conformément à l'une quelconque des revendications 20 à 26, caractérisé par le fait que la tête du couteau comprend une partie principale présentant, sur l'une de , ses faces, un évidement pour recevoir le bord coupant, avec des plaques amovibles pour guider et placer l'article travaillé et, sur l'autre face, des clavettes de montage amovibles;
28.
Un couteau de banc d'entraînement destiné à enlever des parties saillantes d'une matière! en forme de feuille, caractérisé par le fait qu'il comprend, d'une part, des têtes de couteaux opposées, dont chacune présente une face étendue s'appliquant sur la feuille, lesdites faces étant écartées l'une de l'autre pour recevoir la feuille entre elles et pour la soutenir, sur une zone étendue, contre des déformations et, d'autre part, des bords tranchants encastrés respectivement dans chaque face et qui peuvent raboter les parties saillantes sur chaque côté de la feuille pendant que cette dernière est entraînée entre les faces en question.
RESUME SUCCINCT
Frocédé pour enlever la bavure laissée,
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sur des articles tels qu'une feuille de métal de grande surface obtenue en soudant, ensemble à l'arc, un certain nombre de feuilles plus petites.
Machine et couteau de banc d'entraînement pour l'application du procédé précité.