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"Perfectionnements aux procèdes et aux dispositifs
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pour le d6calwijinae des uo tours s à combustion in- terne"
La présente invention est relative à l'enlèvement des dépôts de carbone qui se rassemblent sur les parois de la chambre de combustion ainsi que sur les soupapes et sur les tiges de soupapes des moteurs à combustion interne.
Divers procédés ont été utilisés pour
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appliquer un décalaruineur aL de tels dépôts, y coiiz- pris l'injection par les trous destinés recevoir les bougies et par de peti ts roi1ÍneJ.jc, le deeJà,'::1- niur u t ,,iezzé dans la conduite d'adnission prin- cipale à partir d'un sirrrple récirient fixé sur ladite conduite.
La présente invention a pour objet princi-, pal la simplification de la manipulation du décala- mineur et l'amélioration du mode d'utilisation de ce produit; elle tend également à faciliter la dif- de l'usage
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fusion/des deealaj!dneur3 gr nee une construction per- l'ectionfj8e et à un ,;iode d'utilisation qui rend le conducteur indépendant des stations de r eil) li sSé1.Ge ou Garages et qui lui vite d'avoir à manipuler lui- ,,13;;;0 des L"alpro?r3bk ou des produits chimiques.
Sur le dessin annexé, qui représente,a titre d'exemples, des modes de réalisation de l'invention :
La fig. 1 est une vue en élévation laté-
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rale de la partie avant d'une .,uo1ilobile, une partie du capot et du tablier étant arrachée pour laisser voir l'installation de l'appareil ciécalaineur;
La fie. 2 est une coupe longitudinale du récipient destiné a contenir le décalanineurj La fig. 3 est une coupe transversale du
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iiiei:-ie dispositif faite par 3-3 de la, fig. 2;
Les fig. 4 et 5 sont des coupes verticales d'un autre mode de réalisation du dispositif d'injec-
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tien établi notcll1l'nent de telle manière que la base de l'injecteur puisse être faite par estampage ;
La fig. 6 est une vue en plan de la partie estampée;
La fig. 7 est une vue en perspective d'une rondelle de verrouillage.
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Sur ce dessin, 10 représente d'une manière schématique une partie d'une automobile de type ordinaire comportant un capot 11, une plan- che de bord 12, un tablier 13 et un Moteur 14. Bien que l'appareil soit prévu pour être utilisé avec un noteur de type quelconque, on l'a représenté ici mon- té aur un moteur à six cylindres avec une conduite d'admission principale 15 à trois branches. 16 dési- gie la partie verticale de la conduite, 17,17 les branches débouchant dans le moteur et 18 la partie médiane.
Le dispositif d'alimentation en décalami- neur comprend le récipient A, le mécaisme de confronte B et le tube d'année C Dans le mode de réalisation représenté, le mécanisme de contrôle B est monté; sur le côté du récipient A pour faciliter la fabrication en un seul bloc et pour faciliter aussi le montage. comme on le voit, le montage peut être fait sur le côte, intérieur du tablier 13.
Le récipient est un cylindre métallique présentant une cloison séparatrice transversale 19 qui, dans le mode d'exécution figuré, est supportée par trois colonnettes 20 de telle manière que la cloison puisse être aisément enlevée. Au-dessus de cette cloison 19 se trouve une chambre 21 destinée à recevoir un bidon 22 contenant une nouvelle charge de décalamineur. au-dessous de la cloison 19 est ménagée une seconde chambre 23. Le bidon est montre dans sa position finale, avec son bouchon 24 refoulé contre un bossage creux 25 dirigé vers le haut et prévu sur la cloison 19, le bouchon 24 étant, sur la figure, perforé par ledit bossage.
Le bidon est maintenu en place par un ressort à boudin 26 qui est
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repoussé contre le fond du bidon par le couvercle 27 se vissant à la, partie supérieure du récipient A et assurant la ferme bure de celui-ci. Un trou 28 percé dans la paroi du récipient A laisse entrer l'air au fur et à mesura nue le decalamineur s'ecoule vers le moteur.
Le Mécanisme de contrôle B est constitué, dans le mode d'exécution figuré, par une pièce coulée horizontale niontée sur le côté du récipient A et per- cés d'un orifice longitudinal 29 à deux diamètres (fig. 3), l'épaulement 30 formant un siège pour un pointeau conique 31, La tige 32 du pointeau fait saillie à travers un orifice 33 percé dans un bouchon 34 et se termine par une poignée 35. Un ressort 35 prenant appui, d'une part, sur le pointeau 31 et, d'autre part, sur le bouchon 34, tend à maintenir le pointeau applique sur son siège jusqu'à ce que l'opé- rateur agisse sur le pointeau en exerçant une traction sur la poignée 35.
La poignée du pointeau est utilisée si peu souvent qu'on l'a représentée cornue faisant saillie à travers le tablier 13 à l'intérieur de la carrosse- rie du véhicule, niais non à traversla planche de bord 12. Mais il est évident que la poignée pourrait être placée en tout a,utre point convenable.
Une bride 38, formée sur le mécanisme de contrôle B , est fixée, par exemple, au moyen de boulons, sur le ta- blier 13 etsupporte 1'appareil,
L'orifice 33 est -assez grand pour que la tige 32 du pointeau puisse jouer librement dans ledit orifice; on Ménage également ainsi un passage permet- tant à l'air de pénétrer, autour de la tige du poin- teau, dans l'alésage 29, Si le pointeau vient à fuir l'air est aspiré et empêche un écoulement lent du
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àecalamineur lorsqu'on ne désire pas cet écoulement.
Le tube 37 s'étend de l'alésage 29 jusqu'à un point situe au voisinage du fond de la chambre 23 au-dossous de la cloison séparatrice 19.
Le tube C d'amenée de décalamineur conduit de la sortie de la chambre de valve B à l'entrée de la conduite d'admission principale 15 ; tube amène le décalamineur dans le courant d'essence et d'air de telle manière que le fonctionnement normal du mo- teur assure l'introduction du décalamineur dans les cylindres et sa répartition. On a reconnu que dans les conduites d'admission semblables à la conduite à trois branches représentée sur le dessin, la répar- tition du décalamineur est améliorée si le décala- mineur est amené dans la branche montante de la condui- te en sens inverse de l'écoulement du mélange com- bustible Dans ce type de conduite d'admission, il existe une tête coloriant des branches ou orifices allant aux cylindres et une pièce d'entrée du mélan- ge sensiblement perpendiculaire à la tête précitée.
La chambre inférieure du récipient A est de préférence assez, grande pour pouvoir recevoir le contenu du bidon 22, ce qui permet à ce bidon de se vider complètement avant l'ouverture du pointeau; sans cela, le liquide pourrait être aspiré dans la chambre 23 plus rapidement que cette chambre ne se trouverait remplie par l'écoulement du bidon.
En temps normal, une réserve de bidons pleins peut être conservée à la maison ou bien on peut acheter les bidons lorsqu'on en a besoin. Le couvercle 27 et le ressort 26 sont enlevés, un bi- don 22 est inséré avec son bouchon tourné vers le bas,
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puis il est pressé contre le bossage 25 jusqu'à, ce que le bouchon 24 soit perforé. A la fin d'une éta- pe ou lorsque le moteur est chaud, on le fait tour- ner à une vitesse d'environ 1800 tourspar minute et on ouvre le pointeau en exerçant une traction sa la poignée 35. Lorsqu'on utilise des mélanges tels que celui formé de quatre parties d'aniline, deux parties de benzol et deux parties d'alcool (en vo- lume), l'introduction de ce mélange riche dans le moteur provoque l'arrêt de celui-ci.
Pendant son introduction, le mélange est répandu sur toutes les surfaces recouvertes de charbon et il dissout ou libère le liant. Une fois le liant mis en liberté, le fonctionnement du moteur a, pour effet de refouler le dépôt de charbon par l'échappement.
Il est avantageux de prévoir un petit jeu, conme on l'a montré sur le dessin, entre la paroi du bidon 22 et la paroi interne du récipient À et d'organiser l'appareil de manière que le sommet du bidon dépasse le bord supérieur du récipient. Ce mode de construction réduit au minimum les eclabous- sures de décalamineur à la partie supérieure du bidon et facilite 1'enlèvement de ce dernier sans que les mains de l'opérateur viennent en contact avec le produit chimique utilisé.
Les caractéristiques principales du mode de réalisation représenté sur les fig. 1, 2 et 3 se retrouvent dans le mode d'exécution représenté sur les fig. 4 à 7 inclusivement, mais ce mode de réa- lisation a été étudié pour abaisser le prix de re- vient et pour faciliter la manipulation. La diffé- rence principale entre les deux modes d'exécution
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consiste dans le fait que le corps de la partie métallique, dans la seconde forme d'exécution, a été simplifie et étudié de telle manière qu'il puisse être obtenu par estampage.
Dans ce Mode simplifié de réalisation, la pièce estampée ou base 40 comporte une bride 41 percée de trous 42 destinés à recevoir des boulons afin de permettre de fixer ladite pièce 40 à la planche de bord; la bride possède un bossage 43 destiné à faire saillie dans la partie de l'auto- mobile occupée par le conducteur. Un canal à plu- sieurs diamètres 44 est percé dans le bossage et dans la pièce 40 jusqu'à un tube de sortie 45 qui amène le décalamineur au moteur.
Ce canal est normalement fermé par un pointeau 46 mantenue ap- pliqué sur son siège par un ressort 47 travaillant à la compression et entourant la tige 48 du poin- teau; ce ressort prend appui sur le bouton 49 du pointeau, de telle manière qu'on puisse ouvrir ce dernier en exerçant une pression sur le bouton 49, contrairement à ce qui a lieu dans le mode d'exé- cution de la fig. 3 où l'on produisait l'ouverture en exerçant une traction sur la poignée 35 du pointe au. sur la face inférieure de la base 40 est formé un bossage annulaire 50 taraudé pour rece- voir le col fileté du récipient en verre 51, Un joint 52 en liège s'applique sur l'extrémi- té supérieure du col du récipient et une rondelle élastique 53 (fig. 7) empêche le récipient de vi- brer ou de se dégager.
Cette rondelle élastique comporte des pointes 54 relativement aiguës diri- gées vers le haut, pointes qui s'engagent dans des crans 55 formés sur la face inférieure de la base
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40; la rondelle comporte également des segments larges 56 faisant saillie vers le bas et destinés à venir reposer dans des logements 57 formés dans le récipient en verre. Quand ce dernier est fixé de la manière que montrele dessin, la. rondelle a une hauteur et une flexibilité suffisantes pour -permettre au col du récipient d'être fermement maintenu con- tre la rondelle 52; la compression du ressort et sa liaison avec les parties voisinesempêchent l'é- chappement du récipient.
Sur la surface supérieure de la base 40 est ménagé un siège annulaire 58 dirigé vers le haut et destiné à recevoir le goulot 59 d'un bidon 60 retourné et fermé, le bidon contenant une charge de décalamineur. La surface inférieure 61 du bidon 60 repose sur le siège 58. Des dépressions radiales 62 formées dans la paroi 61 du bidon péroné tient à l'air de pénétrer dans l'espace 63 ménagé autour du goulot du bidon. Un levier 64 et un étrier 65 Main- tiennent le bidon en place. Dans le siège 58 est disposé un poinçon creux 66 dirigé vers le haut, poinçon qui perce le goulot du bidon quand ce der- nier est poussé vers le bas contre le siège 58.
Le conduit percé dans le poinçon se prolonge à travers la base pour permettre au contenu du bidon de s'é- couler dans le récipient en verre 51, la base 40 est percée d'un second orifice vertical 67 destiné à permettre l'entrée de l'air dans le récipient en verre en un point situé au-dessus de la surface du liquide qu'ilcontient.
Un tube 68 s'étend vers le bas à partir de la base jusqu'à un point situé près du fond du ré=
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cipient en verre. A son extrémité supérieure, ce tube communique avec le canal 44, en arrière du pointeau 46, afin que le contenu du récipient ne soit pas aspiré normalement dans le tube de sortie 45. Pour empêcher un lent écoulement du liquide /-quand contenu dans le récipient/ le pointeau ne s'ap- plique pas convenablement sur son siège, on a établi une communication restreinte avec l'atmos- phère pour le canal 44, par exemple en laissant un léger jeu à la tige 48 du pointeau dans le canal 44.
Normaleioent, le récipient en verre 51 est assez, grand pour contenir toute la charge renfermée dans le bidon 60 et l'utilisation d'un récipient transparent permet à l'usager de voir s'il y a une charge prête pour l'utilisation. Pour remplir le récipient en verre, on enlève sur le cote l'é- trier et le levier, on retire le bidon vide, on met en place un bidon scellé renfermant une charge de décalamineur et on le presse vers le bas contre le poinçon jusqu'à ce que le bidon soit percé et qu'il soit venu s'appliquer sur la saillie annulai- re 58.
Le contenu du bidon s'écoule rapidement dans le récipient en verre de préférence jusqu'à un niveau situé au-dessous de la base, de telle ma- nière quele liquide ne pénètre pas dans le canal ne pas 44 et/suinte! dans la carrosserie du véhiculer
Le mode préféra, d'utilisation de l'injec- teur consiste à faire tourner le moteur jusqu'à ce qu'il soit chaud, à le pousser à une vitesse suffisante puis à appuyer sur le bouton 49. L'as- piration du moteur fait pénétrer le contenu du
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récipient dans la conduite d'admission et répartit le décalwnineur dans les cylindres.
Lorsqu'on uailise des composés décalamineurs tels qu'un mélange d'alcool furfurique et de xylène, une charge d'envi- ron 20 cm3 par cylindre empêche habituellement l'al- lumage et provoque l'arrêt du moteur. On tourne alorsl'interrupteur d'allumage. Apresque le dé- calamineur a dissous le liant, on remet en marche le moteur et le charbon mis en liberté est refoulé par le tuyau d'echappement
REVENDICATIONS
1.
Appareil pour amener un décalamineur dans un moteur à combustion interne, caractérisé par le fait qu'il comprend un récipient communiquant avec l'atmosphère et dostiné à être relié à un autre ré- cipient renfermant le décalamieur, lorsque ledit ré- cipient est appliqué sur le premier pour établir une communication avec l'intérieur de celui-ci et pour recevoir le décalamineur destiné à être amene au moteur.
2. Appareil tel que revendiqué sous 1/, caractérisé par le fait que le récipient est établi de manière à recevoir (ou de manière qu'on puisse lui appliquera un réceptacle clos renfermant le dé- calamineur et à provoquer l'ouverture dudit récepta- cle pour que son contenu puisse passer dans le ré- cipient etdevienne utilisable pour être amené au moteur par un conduit réglé au moyen d'un pointeau.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.