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PERFECTIOJ'I1D'IMJ5NTS AUX PROCEDES ET AUX MACHI:NJ<.:S PODE oU Li3 a T 1T DES COSDUCTEIVRS SUR LES CULOTS DES L#ES ELECTRIQuES A LT àBi1cies ANALOGUES.
La présente invention vise des perfectionnements aux procédés et aux machines pour souder les extrémités des conducteurs sur les culots des la pas électriques à incandescence et articles analogues.
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Les machines du genre visé font partie de deux classes principales à savoir celles dans lesquelles la matière de soudure est amenée au point de liaison à l'état fondu et celles dans lesquelles cette matière est amenée à l'état solide: l'invention se rapporte à cette seconde classe.
Suivant l'invention, la matière de soudure, en forme de fil, est taillée en pièces ou morceaux, et chacun de ces morceaux est amené à un point de liaison sur un culot où il est fondu.
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Des opérations similaires ont déjà été exécutées ,mais l'invention prévoit des moyens pour assurer l'amenée de la manière de soudure, sa division et son aménage au point voulu qui présentent une efficacité ou un rendement se périeur ceux des systèmes antérieurs, parce que la masse de matière de sou- dure est déposée d'une manière plus précise et qu'elle est mieux retenue jus- qu'à la fusion que dans les systèmes connus.
Il existe généralement sur le culot de la lampe ou de tout article similaire, deux points à chacun desquels une extrémité de fil conducteur doit être scellée sur une partie de culot, à savoir latéralement au culot sur la carcasse ou coquille, et sur le dessus du culot à la plaque de contact centra- le.
Conformmément à l'invention, après qu'un morceau de soudure a été coupé, il est saisi et amène au point de liaison sur le coté du culot. Une tige pointue avec un mécanismo servant à lui imprimer un déplacement alternatif réalisent ces opérations, avec la coopération de moyens ou d'organes pour cou- per la matière de soudure et supporter le morceau taillé ou coupé sur le tra- jet de la pointe de cette tige.
En outre, conformément à l'invention, un autre mécanisme est prévu pour amener ot tailler des morceaux de soudure, dont chacun est porté et dépo- sé dans un trou de la plaque de contact située sur le dessus du culot, trou qui reçoit ou laisse passer l'extrémité d'un fil''conducteur.
Le dernier mécanisme comprend un transporteur, plus particulière- ment un disque tournant muni de trous pour recevoir les morceaux de soudure ou "rivets", et un autre dispositif transporteurs de préférence à vide, qui prend les rivets sur le premier transporteur et les amena, un par un, aux trous ménagés dans les plaques de contact des culots.
On comprendra miaua les caractéristiques et les avantages de l'in- v<ntion en se référant à la description suivante et aux dessins qui l'accom- pagnent, donnés simplement à titre d'exemple non limitatif, et dans lesquels :
La Fig.l montre en perspective une machine de soudure conforme à 1' invention.
La Fig.2 est une coupe verticale axiale d'un mécanisme d'amenée et de caupe du fil de soudure.
La Fig.3 est une vue perspective, après séparation des éléments,. d'un encliquetage qui empêche le fil de soudure de revenir en arrière* --iL
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La Fig.4 est une coupe verticale axiale d'un mécanisme de trans- port des pastilles de soudure*
Les Fig.5 et 6 sont des vues perspectives d'un dispositif pour la soudure sur les dessus de culots.
La Fig.7 est une vue en plan d'un mécanisme d'avancement cran par cran de la tourelle de fabrication des rivets.
La Fig.8 est une coupe verticale axiale d'un mécanisme de forma- tion des rivets.
La Fig.9 est une coupe verticale axiale d'une ventouse servant au transport des rivets*
La Fig.10 en est une vue perspective.
La Fig.ll est une coupe verticale longitudinale d'un tiroir de distribution d'air et de vide pour la ventouse.
On a déjà proposé une machine dans laquelle le culot de la lampe est préparé pour le fonctionnement de dispositifs de soudure, les fils d'en- trée sont coupés à la longueur appropriée, et le fondant qui facilite la sou- dure est appliqué convenablement; une machine de fabrication de culots ou de "culotage" comporte aussi un moyen opératif approprié dans les tiges à dépla- cement vertical utilisées en combinaison avec les dispositifs de la technique antérieure, et fournit un moyen grâce auquel les lampes munies de culot sont amenées et maintenues en place devant les dispositifs de soudure.
On va maintenant décrire la présente invention en supposent que lies dispositifs perfectionnés servant à préparer et à effectuer les deux sou- dures en question sont appliqués à une machine connue de ce genre.
En se reportant d'abord aux Fig.l à 4 du dessin, représentant le dispositif de soudure latérale, de dispositif amène une longueur appropriée de fil de soudure 10 depuis une bobine dévideuse 11, et après avoir été coupé du fil restant, ce tronçon ou "pastille" est placé contre la coquille ou carcasse 12 du oulot. La flamme d'un brûleur 13 frappe alors la pastille de soudure en provoquant ainsi la soudure réciproque de la coquille ou carcasse et d'un fil d'entrée* L'opération de soudure par oe dispositif est alors achevée et la lam- pe est amenée à la position suivante, qui est occupée par le dispositif de soudure du dessus.
La bobine 11 portant et dévidant le fil de soudure (Fig.l) est supportée par un axe 14 dans une chape 15 qui est fixée sur une barre 16 fai-
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sant sailliepar rapport au corps ou bâti 17 de la machine. Le fil déroulé de la bobine est enfilé, comme on le voit sur la Fig.2, à travers des passages ou ca- naux axiaux alignés dans une barre 18, un bloc 19, un ajutage de sortie 20 et une matrice de coupe 21. Des rainures, placées en face l'une de lautre dans le bloc 19, permettent au fil de soudure d'être saisi par des griffes ou doigts 12 et 23 qui sont actionnésautour d'axes 24, au moyen d'un machon 25.
Lorsque ce manchon 25 est déplacé vers la gauche, les doigts 22 tournent autour de leurs axes, parce que les tiges 26 solidaires du manchon en- traînant les doigts en passant à travers leurs rainures 27. Après que les doigts ont saisi le fil de manière énergique et sure, le mouvement subséquent du man- chon 25 provoque le déplacement vers la gauche de l'ensemble et, ainsi, l'avan- cement du fil. Par ce mouvement, la barre 18 est appelée à se déplacer longitu- dinalement à travers le corps ou bâti 17 du dispositif.
Le mouvement de retour du manchon 25 a tout d'abord pour effet de dégager les doigta, et ensuite de ramener le mécanisme à sa position antérieure, en achevant un cycle de fonctionnement*
Pour arrêter toute tendance du fil à revenir en arrière lorsque le mécanisme est ramené vers l'arrière, on a prévu l'encliquetage représenté à la Fig.3. La partie principale de celui-ci est un bloc 28, qui est assemblé avec le bâti 17 par une vis 29 et qui supporte, par des axes 30 et 31, des doigts 32 et 33. Ces doigts se déplacent à travers une motaise taillée dans la barre 18 et ils sont constamment maintenus contre le fil par un ressort 34 qui est tendu ou déployé entre le doigt 33 et un montent 35.
Le manchon 25 est actionné par un levier 36 qui attaque par un doigt 37 les rebords du manchon, et qui est actionné autour d'un axe 38 par une tige 39. L'axe 38 est supporté par une console 40 qui est fixée à la partie supé- rieure du bâti 17. Le levier 36 est rappelé par un ressort 41, lorsqu'une tige 42 qui actionne la tige 39 par un bloc 43, qui en est solidaire, de déplace dans une rainure ménagée dans ce bloc. La tige 42 est portée par un bras d'un levier coudé 44 dont l'autre bras est actionné par une @ige de commande (non représenté qui provoque** son mouvement autour de l'arbre 45, en. actionnant ainsi cette par- tie du dispositif.
Lorsque le fil de soudure est amené à travers la matrice 21, un coulisseau 46 guidé-sur la console 40 par des plaques 47, se trouve dans la posi- tion élevée qui est représentée sur la Fig.2. Dans cette position, un trou 48 mé-
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nagé dans une plaque d'insertion 49, se trouve directement vis-à-vis du trou pré
VU dans la matrioe 21, permettsnt ainsi à l'extrémité du fil de soudure de péné- trer dans le trou 48, lorsque ce fil est avancé. La quantité dont le fil est a- vancé est commandée et réglée par un grain encastré 50 , de forme circulaire (fig.2).
.Lorsque l'opération d'avancement est achevé e, la pièce coulissan- te 46 est abaissée, coupant la partie du fil qui est maintenuedans la plaque 49 et portant la pastille de matière de soudure ainsi formée en alignement direct avec le trajet de déplacement de la pointe effilée d'une tige 51, comme visible Fig.l. La limite à laquelle est abaissée la pièce coulissante, est commandée et réglée par pne vis d'arrêt 52 qui est frappée, par une saillie d'une bielle 53 , lorsque la pièce coulissante s'abaisse.
L'abaissement se produit lorsqu'une tige de commande 54 est éle- vée et oblige ainsi un levier 55, qui est relié à la bielle 53 par un axe 56, à basculer autour d'un axe 57 faisant saillie sur la console 40; la tige de comman- de 54 est reliée au levier 55 par un joint universel 58. Pour empêcher toute pas- sibilité que la pastille de fil de soudure maintenue dans le coulisseau ne tombe on a prévu une détente constituée par unetige 59 (Fig.2) dont l'extrémité in- terne prend appui contre la pastille et qui est soumise à l'action d'un ressort 60 prenant appui contre son extrémité opposée.
La pastille de matière de soudure est harponnée par l'extrémité algue de la tige 51, qui l'entraîne avec elle pour la retirer de la pièce cou- lissante; cette action résulte d'un petit mouvement du levier 44 dont la tige 42 se déplace dans la rainure du bloc 43 et actionne un manchon 61 dont elle atta- que les rebords 62 ; ce manchon 61 est vissé sur une tige coulissante 63 (Fig.4) et sur un boulon creux 64 qui contient un ressort 65 placé entre la partie éva- sée de la tige 51 et une vis 66.
La pièce coulissante 46 est alors élevée en position pour une autre partie du fil de soudure, qui est amenée et introduite, comme précédem- ment décrit, par le mouvement du levier 44. Ce mouvement détermine le déplace- ment vers la gauche de la tige 51 (qui est actionnée de la manière ci-dessus dé- crite) jusqu'à ce que la pastille de matière de soudure placée à son extrémité soit pressée contre la eoquille ou carcasse 12 du culot. Le point auquel cette pastille vient s'appliquer estoccupé aussi par une extrémité d'un des fils d'en- trée et a été muni de fondant par une partie de la machine de culotage.
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La flamme venant du brûleur 13 peut alors frapper la pastille quand un déflecteur de flemme 67 (Fig.l) est déplacé vers l'avant, à la suite da quoi le fil d'entrée et la coquille sont soudés ensemble. Etant donné que le déflecteur 67 est supporté par une vis 68 fixée à la tige coulissante 63, le mouvement de la tige 51 l'entraîne vers l'avant, en permettant à la flamme de traverser une fenêtre 69.
Le bâti 17 bascule par rapport à l'axe 45 et peut ainsi osciller sous la commanda d'une vis 70, ce qui permet de changer le pointauquel la pas. tille de matière de soudure vient s'appliquer sur le culot.
Lors du mouvement de retour de la tige 51, toute matière de sou- dure laissée sur la tige est retirée par un gratteur à ressort 71 (Fig.4) qui est fixé au corps de ce dispositif. La fonctionnement de ce dernier est alors achevé et la lampe est amenée vers le dispositif suivant, servant à la soudure du dessus de culot.
Ce dispositif dévide, d'une bobine dévidsuser une longueur de fil de saadure qui est coupée, conformée en rivet, et placée dans le trou d'une plaque de contact 72 du culot (Fig.6 et 10). Le rivet de soudure est chauffé par plusieurs brûleurs (mn représentés) en quantité juste suffisante pour sou- der le fil d'amenée sur la plaque, sans modifier sensiblement la forme du ri- veto Cette opération achève toute la soudure utilisée sur ce modèle de lampe,et termine le fonctionnement des deux dispositifs décrits.
Le fil de soudure est déroulé d'une bobine (non représentée) qui est la reproduction de celle représentée au sujet du premier dispositif, et qui est supportée par une barre ou tige 73 représentée sur les Fig.5 et 6.
Le fil 10' est abaissé de la bobine par un bras 74 (Fig.5) qui graisse le fil au moyen d'un foutre qui a été lui-même huilé par le contenu d'un godet 75. De là, la fil pénètre dans le mécanisme d'amenée ou d'alimenta- tion, qui est similaire au mécanisme correspondant utilisé avec le premier dis- positif représenté sur les Fig.2 et 3.
Ce mécanisme est actionné verticalement dans la partie supérieure 76 d'un montant 77 par un levier 78 qui attaque les rebords d'un manchon 25' , similaire au manchon 25, par une tige 79. Ce levier 78 est actionné autour d'un axe 80 par un levier coudé 81 auquel il est relié par une bielle 82 et qui cs- cille autour d'un axe 83 faisant saillie sur la partie supérieure 76 du b&ti de l'appareil.
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La mouvement d'oscillation de ce levier, et en conséquence la quantité de fil avancée, est commandé ou réglé par une bielle 84 qui peut être attachée sur les leviers 81 et 85, dans une position quelconque le long d'une rainure de chaque levier. Le levier 85 est actionné par une tige de commande
86 (Fig.6) qui fait tourner le levier autour d'un axe 87 monté sur le bâti du dispositif.
Le fil de soudure est amené de la manière précédemmentdécrite, passe à travers une matrice 88 et une pièce 89 encastrés(fig.8). dans un dis- que 90 et il est avancé d'une quantité déterminée ou limitée par une plaque 91 placée au-dessous de ce disque 90; cette plaque est boulonnée directement sur le bâtis tandis que la disque 90 est fixé à un arbre 92 qui s'étend à travers la partie supérieure du bâti. Cet arbre 92 est relié au mécanisme représenté Fig.7, qui commande l'avancement du disque sur un angle de 90 , après chaque opération d'amenée de fil.
L'opération d'amenée se produit lorsque la lavier 85 est tiré vers l'arrière après le mouvement vers l'evant qui fait avancer la fil, et lorsqu'une barre coulissante 93, à laquelle le levier est relié par une biel- le 94, se déplace vers la gauche* Comme on le voit sur la Fig.7, cetta barre est reliée par une bielle 95 à un bras 96 qui attaque, au moyen d'un cliquet 97, une roue à rochet 98 montée sur l'arbre 92; le cliquet se déplace autour d'un axe 99 porté par le bras 96 et est maintenu appliqué contre la roue à ro- chet par l'action d'un ressort 100.
La première fois que le disque 90 est avancé, après que la fil de soudure a été amené ou avancé, il en résulte que la partie du fil maintenue dans le disque est coupée et séparée de l'autre partie du fil. Cela se produit lorsque la pièce 89 encastrée dans la disque passe sous la trou de la matrice fixe 88.
Lorsqu'elle atteint la nouvelle position représentée sur la Fig.8 écartée de 90 de la précédente, la pastille de matière de soudure est confor- mée pour prendre la forme d'un rivet; cette opération se produit lorsque la pastille de matière de soudure est amenée ou refoulée dans l'extrémité d'une matrice 101 qui se trouve alors maintenue contre la pièce encastrée 89 par un plongeur 102 se déplaçant vers le haut. Le plongeur 102 est actionné par un levier 103 qui porte une tige 104 engagée dans une rainure d'une tige 105 sur laquelle est fixé le plongeur.
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La matrice 101 est actionnée par un levier 106 qui, de même que le levier 103, oscille autour d'un axe sur le bâti de l'appareil, par les mou- vements ou déplacements du levier 107. Ce levier est actionné autour d'un axe (non représenté) sur le bâti 77 par une tige de commande 108 à laquelle il est relié par un joint universel ou à rotule 109.
A l'extrémité de ce levier sont articules des bielles 110'et 111 qui sont reliées également aux leviers 103 et 106, de façon à provoquer l'écar- tement des extrémités de cas leviers, pour former un rivet* Les axes, autour desquels se déplacent les leviers 103 et 106 , sont reliés ensemble par une barre 112.
Lorsque la matrice 101 est élevée, après que le rivet a été formé, un plongeur 113 tient frapper la tête d'une tige fixe 114 (voir Fig.5) ce qui lui fait prendre la position représentée fig.8 expulsant le rivet de la matri- ce. Le plongeur 113 est maintenu avec la matrice 101 par un chapeau fileté 115 Le disque 90 est alors avancé de deux mou@ements de 90 , avant d'être de nou- veau actionné- A partir de cette position une rotation de 270 , dans le sens du mouvement des aiguilles d'une montre autour du disque, amène le rivet de matière de soudure à l'oeillet 72 du culot de lampa.
L'opération de transport est exécutée au moyen d'une ventouse représentée Fig.6, 9 et 10, qui est pla- cée dans l'extrémité d'un levier 116 et qui est commandée par une valve auto- matique r@présentée sur les Fig.7 et 11.
La ventouse est abaissée depuis la position représentée jusqu'au rivet, du fait que l'autre extrémité du levier 116 est soulevée; la course de cette extrémité du levier est plus grande qu'il n'est nécessaire pour amener la pointe de ventouse 117 contre la pièce encastrée 89, de sorte que la ven- touse 118 est obligée de coulisser vers le haut dans le levier 116. Cette ac- tion se produit contre l'action antagoniste d'un levier 119 (fig.10) qui est monté sur le levier 116 et qui est appuyé élastiquement sur une vis 120 pla- cés sur la ventouse, l'élasticité étant donnée par un ressort 121 maintenu ban- dé par unevis 12.
Le vide est alors produit dans la ventouse par l'intermédiaire d'une tuyauterie 123 (Fig.10) qui est reliée à un canal ou passage 124 (Fig.9) et qui est reliée, au moyen d'un tuyau souple de caoutchouc (non représenté),à un raccord placé sur une ouverture 125 (Fig.6 et 11) du robinet' automatique.
Une tige 126 sert à guider la ventouse 118, pour maintenir son trou latéral
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127 constamment vis-à-vis du canal ou passage 124.
En ce point du fonctionnement du mécanisme de transport, la vide est produit comme suit : un tiroir 128 (Fig.ll) se trouve dans la moitié de droite d'un boisseau 129, en permettant ainsi un passage libre du vide d'un conduit 130 vers l'ouverture 125. Un tuyau 131, dans l'orifice du conduit 130, est relié par un tuyau souple (non représenté), directement à la source de vide de la machine.
La ventouse ayant alors saisi le rivet de soudure est soulevée à la position représentée; cette action est produite par le premier mouvement du levier 132 vers la gauche, qui est actionné autour de l'axe 87, par une ti- ge de commande 133 (voir Fig.7). Par l'action résultante, le levier 116 est tourné autour de l'axe 134 ,par la partie la plus mince d'une came 135 qui est alors placée au-dessous d'un galet sur l'extrémité d'un axe 136. La came 135 est amenée vers cette position par un coulisseau 137, sur lequel elle est fi- xée et qui est relié au levier 132 par une bielle 138.
L'énergie nécessaire pour faire tourner le levier 116 est fournie par un ressort 139 qui est maintenu par l'axe fixe 13e et agit contre un er- got 140 solidaire du levier 116. En marne temps que la ventouse est soulevée, un plongeur 141 (fig.9) est élevé par unetige 142, ce qui éjecte hors de la pièce encastrée 89 le rivet engagé dans la ventouse.
Cette action résulte du mouvement d'un levier 143, qui est action- né par un arbre 144 et qui entraîne par une coulisse une tige 146 ,solidaire de la tige 142. L'arbre 144 est commandé par le levier 103 auquel il est relié Le mouvement d'abaissement de la ventouse est produit par le mouvement opposé du levier 132.
Le mouvement subséquent du levier 132 oblige la ventouse de se déplacer à l'extérieur et au-dessus du culot de lampe, puis elle est abaissée de nouveau. Le mouvement horizontal est produit par urne pièce coulissante 148 qui supporte le levier 116 par l'axe 134 ,et qui est maintenu, de même que la pièce coulissante 137, dans une glissière formée sur le bâti 77 par des pla- ques 147 et 148. Cette pièce coulissante 137 fournit un moyen de support sup- plémentaire pour la pièce coulissante 146, par des tiges 149 et 150 qui peu- vent librement coulisser horizontalement dans la pièce coulissante 137.
Le mouvement horiznotal dans le couliss eau 146 est produit par des ressorts 151 et 152. Le ressort 151 est logé partiellement dans un évide-
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-10- 385174 ment formé dans la pièce coulissante 137, et agit contre les deux pièces cou- lissantes; le ressort 152 agit entre la pièce coulissante 137 et un collet 153 de la tige 149. Les ressorts sont sans action lorsque le mécanisme d'aspiration est déplacé vers l'avant ou vers l'arrière, sauf aux deux extrémités du mouve- ment en ces points, des écrous 154 et 155 arrêtant le mouvement horizn@tal du mécanisme d'aspiration, en butant contre une saillie 156 du bâti 77.
Le mouvement subséquent de la pièce coulissante 137 oblige la par- tie la plus épaisse de la came 135 d'abaisser la ventouse, comme il a été pré- cédemment décrit, en ce point du fonctionnement du dispositif. Le rivet est a- lors maintenu au-dessus du trou dans la centre de l'oeillet 72 dans lequel il est soufflé lorsque de l'air est envoyé dans la ventouse au lieu du vide. Ceci sa produit lorsqu'une tige 157 (Fig.11) solidaire de la partie supérieure de 11 pièce coulissante 137, vient rencontrer une tige 158, solidaire du tirour 128, et entraine ainsi ce dernier vers la gauche.
La partie de plus grand diamètre du tiroir bouche alors l'orifice de passage de vide 130, tandis que la partie réduite du piston se trouve en face du passage ou canal 159. Etant donné que dana ce passage ou ca- nàl débouche un tu,,au 160 relié aux machines founissant l'air comprimé, cet air arrive au trou 125 , et se rend à la ventouse de transport. Au mouvement de retour, la tige 157 vient frapper une tige 161, également solidaire du ti- roir 128, de sorte que le vide est rétabli.
La ventouse de transport revient alors, en permettant aux flam- mes des brûleurs (non représentés) d'achever l'opération de soudure* L'extré- mité du levier 116 supportant la ventouse (Fig.10) est maintenue froide par le passage de l'air à travers une ouverture 162, autour du levier, derrière une plaque 163. L'air pénètre dans ce passage par un tuyau 164.
Il est bien entendu que les dispositions et les applications qui ont été indiquées ci-dessus, à titre d'exemple, ne sont nullement limitatives, et qu'on peut s'on écarter sera pour cela sortir du cadre de l'invention.