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B R E. V E. T D' IN N E N T I O N " Fabrication de fils artificiels ou autres produits de composés de la cellulose ".
L'invention est relative à la fabrication de nou- veaax dérivés de cellulose et de fils artificiels et d'autres produits en provenant.
Au brevet français du Demandear n 700.534 da 13 mars 1920 on a montré qae des composés techniquement pré- cieux peavent être obtenus en xanthogénant des dérivés oxyalcoyles de cellulose, et dans le cerfificat d'addi- tion n 28.876 du 14 mars 1931 on a montré, en entre, qae des composés techniquement précieux peuvent être obtenas en xanthogénant des dérivés alcoyles ou. aralcoy- les de cellulose ou des éthers de cellulose d'acides Oxyalcoyles-carboxyliques.
En continuant des recherches à ce sujet, l'Inventeur a trouvé qu'un grand nombre de composés de cellulose ou de dérivés de cellulose peuvent être xanthogénés pour
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produire des produits utiles. Bien entendu, on ne doit pas s'attendre à ce qae toas les noaveaax produits se comportent également bien.
De fait, il , doit y en avoir quelques-uns où des avantages spéciaux ne peuvent être démontrés.
Dans la liste suivante, on cite une quantité de réactifs qu'on a atilisés poar traiter la cellulose dans le bat de faire des composés de cellulose ou des dérivés de cellulose susceptibles d'être xanthogénés saivant 1' invention:
Paraffines di-halogènes, par exemple composés du type de chlorure d'éthylène ou chlorure triméthylène qui peuvent être considérés comme des esters d'hydracides halogènes d'alcools divalents de paraffine (glycols), ou da type de chlorure de méthylène (qui peuvent être considérés comme des esters d'hydracides halogènes neutres des glycols avec deux groupes hydroxyles fixés à un et aa même atome de carbone ).
Paraffines polyhalogènes .
Oléfines halogènes (dérivés halogènes d'alcools non satarés ).
Dér ivés halogènes d'éthers d'alcools monovalents.
Dérivés halogènes d'aldéhydes ou de cétones.
Sulfochlorure d'amines tertiaires ,tels que, par exemple, le salfochlorare de diméthylaniline.
Dérivés halogènes d'acides gras supérieurs ayant aa moins 6 atomes de carbone.
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Dérivés halogènes d'acides d'oléfine monocar-
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b oyl i que . ..7.coylamines halogènes ou. aralcoyiamines halogènes.
Dérivés halogènes d'oxacides, par exemple de
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l's;;ide 3 dichlorol ticI18 ou de 1'sEiàe, f t r ichl o r olac t i que .
Dérivés halogènes d'acides oétoc;arboliques.
Dérivés halogènes de nitrométhane, tels que la chloropicrine .
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Ralogénl1res d'urées, halogénares d'alcoylarées, halogénares d'aralco:lurées, halogénares d'arylarées.
Esters de l'acide trithioùarbonique.
Dérivés halogènes da cyanogène, tels que des halogénares de cyanogène ou des halogéna- res cyanariqaes (halogénares de tricyanogène).
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Dérivés halogènes d'acides diuarbo.yliques, tels que dlan acide oucciniqae halogène.
Esters organiques et inorganiques d'alcools di ou polyvalents (autres qu'esters d'hydraci- des halogènes ).
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Quelques dérivés halogènes d'bydrocarbares du type Cu B2n + 2' par exemple trichlorhydrine (1 :2:3 - tric;hloropropène ).
8alfoehlorares dlbydrouarbares, tels qae le salfochlorare d'ortho oa de paratolaène,salfo- chlorure de naphtaline.
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Dérivés halogènes d'éthers alcOYlPhénYleS ha-
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logénés tels qae du. chloranisol benzoylé.
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Esters acides de phénols, par exemple carbo-
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nate phényle ou carbonate phénylétbyle. Balogénares acides, par exemple des baloldes
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de benzoyles, des halo!des malonyles, des ha-
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10'1des diëthylmalonylos.
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Dérivés halogènes d'acides aromatiques monocar-
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bo:xyliflaes.
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Esters d'hydracides halogénes de phénylgly-
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bOls ou. Phénylglycérine ou de leurs dérivés
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par exemple éthers. Oxides phénylalcoylènes.
Au ides gras phénylhalogènes, par exemple l'a-
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cide phénylohloracétique Oü l'acide phénol-
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chloropropionique.
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Dérivés halogènes d'acides phénylparaffine-
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alcool, par exemple d'acide phénylhalogène
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lactique ou d'acide phénylhalogèrBoxyprop/io-
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ni que .
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2hé %.i a;étyléne .
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Dérivés halogènes de benzols d'oléfine. Dérivés halogènes d'alcools de Phényloléfines
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oa d'alcools dtoxyphénylolétines.
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Dérivés halogènes de pseudophénols, méthylène
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quinones et méthylèneqainols, par exemple du chlorure d'orthoarméityle oa de chlorure
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de pipéronyle.
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Solfochlorares d'acides phénylmonoxycarbof- liques, tels que de l'acide salicilyque oa
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de l'acide crésotinique et leurs produits de substitution chloro ou nitro.
Dérivés halogènes de composés d'hydronaphtalène par exemple de dihydronaphtalènedibromate oa de tétrahydronaphtalèneglycolchlorhydrine,
Dérivés halogènes de substances monohétéroatomi- ques de six chaînons qai contiennent an chaînon
N, par exemple dérivés halogènes de pyridine oa de ses homologues, ou dérivés halogènes de quino- léine oa de ses homologaes, ou dérivés halogènes de l'isoquinoléine ou de ses hoiholiogaes.
Salfochlorares de substances monohétéroatomiques de six chaînons qai contiennent an chaînon N, par exemple de quinoléine oa de pyridine.
En vue du grand nombre de composés xanthogénés de cellulose ou de dérivés de cellulose que l'inventeur a fait, il semble qu'il est possible de xanthogéner beaucoup de de produits en traitant la cellulose en présence oa en l'absence (saivant que le cas se présente) d'une substance basique, particulièrement un alcali, avec un réactif qai est capable de réagir avec la cellulose oa un alcali cella- lose avec la formation d'un composé oa dérivé de cellalose, dans lequel an oa plusieurs groapes hydroxyles de la molé- cule cellulose sont remplacés par des groapes oa des radi- caox.
Par conséquent, la présente invention, poar autant 'la'elle a rapport avec la fabrication de nouveaux dérivés de cellulose, peut être formulée dans les termes saivants:
Une fabrication de noaveaax dérivés de cellulose par des produits xanthogénants fabriqaés par l'action sur la cellulose en présence ou en l'absence (saivant le cas) d'une sabstance basiqae, particulièrement an alcali, d'an réactif (autre qu'un agent oxyalcoylant, an agent alcoylant
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un agent aralcoylant ou an agent qui introdait un groupe
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acide oxyalcoyle-carboXYliqu6 qui a une tendance à réagir avec as compose contenant un groupe hydroxyle afin de provoquer l'introduc;tion d'an groupe organique ou radieal aa lieu de l'hydrogène de 1.t;;;,1!!:
àE1f1 l'hydroxyle par lequel au moins un des groupes hydroxyles de la cellulose origi- nelle est employé ou bloqué comme résultat de la réaction, par un groupe organique, en même temps qu'au moins un grou-
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pe hydroxyle reste libre d'être xanthogéné.
Avec référence â la présence oa. l'absence d'ane sabstan- ce basique, il peut être dit que, lorsque le réactif est un dérivé halogène ne contenant pas un chaînon alcoylène, une substance basique serait présente. Cependant, lors que le réactif contient un chaînon alcoylène, comms dans lo cas
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d'un phenylalcoyiène oxyde, la présence d'une substance basique n'est pas nécessaire.
L'invention a également pour objet la fabrication de matières artificielles, particulièrement de fils :
1. de certains composés de cellulose ou de dérivés
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de collulose, qui, étant donné leur insolubilité dans aa- cun solvant oa leur insolubilité dans des solvants techni-
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qaement réalisables, ont été jasqa'iûi incapables d'être convertis en matières artificielles utiles,par exemple en fil artificiels, ou
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2. de solutions dans des liquides aqueux, partiealiè- rement des solutions aqueuses d'alcali, de certains compo- sés de cellulose oa de dérivés de cellulose, qui, quoique solubles dans quelques autres solvants, sont insolubles dans des liquides aqueux en général et dans des solutions aqueuses d'alcali en particulier mais qui sont mis en solu-
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tion par r 1'invention , ou 3.
de certains composés de cellulose ou dérivés de cellulose qui sont solubles dans des liquides aqueux,spécia- lement des solutions, d'alcali, dont les soltztions,cependant,
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lorsqu'elles sont converties en matières artificielles, par exemple en fils artificiels, aa moyen d'un bain précipitant, donnent des produits qui sont inutiles oa imparfaits soas an ou plusieurs rapports, ou
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de certains composés de cellulose ou dérivés de cellulose qui, oa par eux-mêmes ou dans la forme de @ leurs xanthates, donnent des matières artificielles uti- les, partieuliérement des fils artificiels, mais, lors- qu'ils sont convertis dans leurs xanthates, si nécessai- re, et façonnés en matières artificielles au moyen d'un bain simple qui a an effet coagulant sur la solution for- mée du xanthate et an effet plastifiaat sar la matière artificielle, particulièrement le fil, pendant ou immédiatement après sa coagulation, ou au moyen de deux bains consécutifs, dont le premier a un effet coagulant sar la solution de xanthate formée et le second un effet plastifiant sar la matière fraîchement coagulée, condui- sent à des matières artificielles, qui,
en égard de leur ténacité ou de lear extensibilité ou élasticité ou de quelque autre propriété (finesse des fils ou le toucher doux oa l'affinité aux teintures ou le pouvoir courant ou le lustre ou la transparence ou autres propriétés analo- gaes ) sont supérieures aux matières artificielles parti- calièrement les fils , obtenues jusqu'à présent de ces composés ou dérivés de cellulose, oa
5. de certains composée de cellulose ou dérivés de cellulose qui, quoique solubles dans des liquides aqueux partical ièrement dtalcalis aqueux ,ne sont pas en eax-mêmes convertibles en matières art ificielles, par- ticalièrement en fils, parce que lears solations formées, lorsqu'elles sont mises en contact avec;
des bains coagu- lants, ne forment pas de matières artificielles cohéren- tes, par exemple an film oa defils, qui, dans la forme de lears xanthates , donnent des matières artificielles
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otites, particalièrensnt des fils, âe-a aa moyen des bains uoagulants, particulièrement du. bain Lilienfeld précité.
Dans l'exposé ci-dessus, on a indiqué les proprié- tés dans lesquelles les matières artificielles, partica- lièrement les fils, produites peuvent exceller, les propriétés particulières dans chaque cas dépendant sur une grande échelle de la nature chimique oa de la nature physique, ou des deux, da composé de cellulose xanthogé- née, oa du dérivé de cellulose utilisé et ce serait an
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travail considérable dlénumérer les propriétés avantagea- ses de chaque matière qui peut être fabriÇ1aée suivant 1 ' in vent ion.
Le procédé de fabrication des noaveaax dérivés de ui- lalose comprend d'abord le traitement de la cellulose, en présence oa en absence , suivant le cas, d'une sabstan- ce basique, particulièrement d'un alcali, avec un réac- tif (sauf an dérivé halogène d'un alcool di oa polyvalent
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oa an ester inorganique d'an alcool monovalent, à fun halogénare arélcoyle, oa an éther cyclique en présence d'an alcali caustique, ou an dérivé monohalogcne d'au acide gras inférieur)
qai est capable de réagir avec la cellulose oa l'alcalicellalose avec la formation d'un composé ou dérivé de cellulose dans leqael an oa plu- sieurs atomes hydroxyle d'hydrogène de la molécule cella- lose sont'remplacés par des groupes ou radicaux et ensai- te en xanthogénant le produit ainsi obtenu (par lai-même
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00. en présence de cellulose oa dTan aatre corps oellalo- si.que> oa la masse de réaction résultant- de la prépara- tion du dit prodait.
Le présent procédé ^peut aussi être mis en pratique d'une manière telle, qae en addition à an ou plusieurs réactifs caractéristiques de l'invention, fin ou Plusieurs dérivés halogènes d'alcools di ou polyvalents ou an ou.
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plasùsurs acides gras halogènes ou un ou plasiea's es-
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ters d'acides trithiocarboniques oa 00. ou plusieurs agents alcoylants ou un ou plusieurs éthers cycliques, tels que des alcoylènes oxydes, sont employés dans la préparation du composé ou dérivé de cellulose à xanthogé- ner.
Le procédé de fabrication de matières artificielles des nouveaux dérivés de cellulose comprend : amener le produit xanthogéné dans la forme appropriée et agir sur lui avec an agent qui a un effet coagulant sur la mat iè- re amenée dans la forme voulue, ou d'abord avec an agent ayant le dit effet coagulant et ensuite avec un agent
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qui a an effet plastifiant sur la matière fraîcheill3nt coagulée, ou avec un agent qui a également un effet coa- galant et an effet plastifiant .
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Pour la variante de plastification da présent proc;é- dé, des badns coagulants et plastifiants parti(,111ièrement appropriés sont des bains tels qu'ils ne contiennent pas moins d'environ 20 à 40, de préférence pas moins de 45 %
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CI tOB04, ou une qaartité équivalente d'un acide minéral.
D'aatres agents exerçant an eifet semblable, par exem-
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ple des bains se composant de, su contenant en el1x-mmes ou en mélange avec une ou plusieurs aatres substances or- ganiques ou une ou plusieurs autres substances inorgani- ques une grande pro po rt io n.
-d'un ester acide formé d'un acide inorganique poly-
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basique et an alcool mo nohydr ique ou po lyhydri que alipha- tique ou aromatique (par exemple un acide méth;lsI11fl1ri- que ou éthylstllfl1riql1e ou an mélange d'alcool de méthyle ou d'éthyle ou d'un de leurs hydrates avec: de l'acide sul- furique concentré), ou
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-d'un acide glycérophosphorigue, ou d'un acide gly- cêrosalfI1L'i<lae, ou d'an mélange de glycérine avec, de l'a- cide sulfurique concentré, ou
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-d'un oa plusieurs acides s sal foniqaes , dtan l,ydro- carbure aliphatique ou aromatique (par exanple e an acide oDr-(hydro7,y-)
métby ls alfon 1 gae oa an acide méthioniqae oa an acide mét%y1 au éthylsalfoniqae ou an acide salfo- niqua d'une huila minérale qu un acide benzosalfonique ou un acide phé nos a1 Î'on 1 qae en lui-méme oa mélangé avec de l'acide sulfurique), ou -d'acides carboxy-organo-minéraax (par exanple de l'acide sulfonodiacétiqae ou de l'acide salfoaeétiqàe en lai-même ou en mélange avec de l'acida sulfurique) ou -d'acides suloaromatiquas contenant da nitrogène en e ax-mmes s o en mélange aveu de l'acide sulfurique.
-oa de bains dans lesquels de l'acide sulfurique concentrés moins de 551; est utilisé en uombâ.11Elison avec des sels acides , tels qae des bisalfates, par exemple da. bisalfate d'ammoniaque, -ou d'acide sulfurique fort contenant de la formaldê- hyde oa de la pyridine etc.etc..
-oa dne solution d'un halogénure de zinc; seul ou mé- langé avec an acide oa avec an autre sel ou les deux, ou un autre agent plastifiant oa équivalent pour an acide minéral fort, -peuvent toatefois être atilisés.
Les acides minéraux du autres agents plastifiants mentionnés ci-dessus peuvent âtre utilisés seuls ou {pour autant que ce soit en conformité avec les conditions de l'opération) mélangés aveu une ou plusieurs substances inorganiques, par exemple avec un oa plusieurs antres acides minéraux forts, tels que de l'acide chlorhydrique, de l'acide nitriques ou de l'acide phosphorique, oa avec
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an sel neutre oa acide, tel que da salfate de soadejoa da bisulfate de sonde, ou da bisalfate dlemmonîaqae, da sul- fate dtammoniaqae, du salfate de magnésie, da salfate de zinc, du bisulfite de soude, du sulfite de soude, du ni-
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trate de soude ou de l'acide bori.qae.
A ceux-ci ou à an mélange de eeux-ci avec an aatre acide fort ou avec une ou plusieurs des substances inor- ganiques citées ci-dessus, on peut ajouter (pour autant que ce soit en conformité avec les conditions sous les- quelles les acides minéraux ou autres agents plastifiants sont utilisés) une quantité appropriée d'une ou plusieurs substances organiques, telles que de la glycérine , ou an sacre, tel que dE) la glycose, ou un alcool, ou un. sel d'une base organique, par exemple an sel d'aniline, oa de la pyridine, oa un sel de pyridine, ou une aldéhyde, ou an acide organique, tel qae de l'acide acétique, ou de l'acide formique, oude l'acide lactique, oa de l'acide oxal i que .
Il doit être bien compris qae, 'dans la modification de l'invention dans laquelle on utilise des bains eoagu- lants qui ont sealement un effet peu ou pas plastifiants sür la matière artificielle fraîchement coagulée, tous les bains connus dans la technique de la viscose ou dans la technique de la fabrication des articles artificiels, particulièrement de fils de tous dérivés alcali solables ou de produits de conversion de cellulose et de solutions de cellulose alcaline, sont supposée compris dans l'ex- pression " bains coagulants" oa " agents eoagulants" par- toat où cette expression est utilisée poar définir un tel bain qui a peu ou pas d'effet plastifiant sar la matière fraîchement coagulée.
Par saite, non seulement le baim dit " bain Mdeller ou n'importe laquelle de ses modifications et ou les bains indiqués dans les exemples respectifs entrent en considération comme bains coagulants dans le présent procédé, mais encore tc as les bains connus dans la techni- que de la viscose , sans avoir égard si, en plus de leurs constituants parement coagulants, tels que des acides
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et ou des sels acides ou neutres, ils contiennent ou non toate aatre substance ou substances inorganiqa.es ou or-
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ganigues (liquides, huileuses, cristallines, oo.
colloïda- les),
La modification de l'invention.dans laquelle on uti- lise des moyens plastifiants, peut aussi être conduite, de façon que, en premier lieu, la solution est obligée de pénétrerr par des ouvertures convenablement formées, dans an bain qui a an effet coagulant sur la solution, mais peu ou pas d'effet plastifiant sur la matière arti-
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f:jie11e frai(;hement coagulée, et ensuite la matière arti- ficielle, préalablement coagulée, traitée avec un moyen qui exerce an effet plastifiant, par exemple avec: un. bain
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ayant une teneur élevée dun acide minéral fort, particu- lièrement ayant une teneur d'au moins 20 à 40 % d'acide sulfurique monobydreté, ou toat autre bain pal plastifiant par exemple un des bains plastifiants précités.
Cette dernière façon de conduire le procédé nécessite, par em
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conséquent, deux bains. succeaion.
Le second bain sert à plastifier.
Le premier bain peut être d'une telle nature que la solation parente coagule sous une forme soluble ou inso- luble à 1'eau; par exemple une solutïan de sulfate d'ammo- niaqae, ou de bisalfate de soude, ou d'acide sulfurique dilué, ou un liquide contenant de solfate d'ammoniaque et
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de l'acide sulfariclue , ou un des divers bains connus dans la technique de la soie artificielle, tel que le bain Muêller ou analogue.
Après avoir été menée pendant an certain parcoars dans un tel bain, la matière artifi-
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(.:i811e est introduite dans un second bain, qui a an effet plastifiant sur la matière artificielle coagulée,par exem-
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ple un bain composé d' un o a de plusieurs acides minéraux ne forts, par exenpleÔÉ6ntenant pas moins de 20 à 40 % d1R2f)Q4 ou aoe quantité équivalente drun autre acide fort.
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Il est impossible d'indiquer chaque condition de succès dans chaque cas particulier, et il doit être sous- entendu que des expériencespréliminaires ne peuvent pas être évitées poar trouver quelles sont les conditions nécessaires au succès en utilisant un réactif ou mélange de réactifs particuliers appartenant aux divers groupes indiqués dans la liste faisant suite au quatrième para- graphe de la présente description des conditions de tra- vail particulières, telles que la température pour la réaction entre les réactifs en question et la cellulose, une cellulose particuliere un procède partiualier poar la xanthogénation et des détails et conditions particu- liers de l'opération rattachée 3 la fabrication des matiè- res artificielles, par exemple, le filage.
Les exemples suivants, auxquels l'invention n'est cependant pas limitée représentent la fabrication de quel- ques-uns des nouveaux dérivés de cellulose pouvant être obtenue par l'invention, et lear convers ion en matières artificielles; les parties sont en poids :
EXEMPLE 1.- 1000 parties de palpe de bois ou de lin- ters de coton sont trempées dans 20.000 parties d'une holation de soude caustique à 18 % de concentration à 15 C., et lamassede réaction est laissée pendant 3 heures à la température ambiante. Après ca temps, l'excès de solution de soude caustique est enlevé en pre ssant l'alcalicallulose, par exemple jusqu'à ce tqu'il pèse 3000 à 4000 parties, l'alcalicellulose pressée est broyée dans an déchiqueteur pendant environ 3 heures à 12 à 15 C.
Après quoi 1000 parties de chlorure d'éthylène sont gra- daellenent ajoutées et la masse de réaction travaillée dans le déchiqueteur pendant environ 3 heures, à 15 à 20 C
La masse de réaction est alors, ou après avoir de- meuré de 24 à 48 heares à la température ambiante,pla- cée dans un ffltre-presse ou sur une toile filtrante,et
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lavée à l'eau jus qu'à ce qu'elle soit libre d'alcali, après quoi l'excès) d'eau est exprimé et la teneur en eau qu produit pr.ssé est déterminée en séchant an échan- tillon à 100 C.
La masse pressée est est ensuite bien mélangée avec une quantité d'eau et de soude caustique telle que, en- semble avec l'eau présente dans la masse, elle contienne
20.000 parties de solution de souda caustique à 18 % de concentration.
Le mélange de réaction est ensuite laissé à la tem- pérature ambiante pendant 3 heures, après quoi il est réduit par pressage entre 3000 à 4000 parties et broyé dans un déchiqueteur pendant 3 heures à. 12 à 15 c. Immé- diatement après déchiquetage, la masse de réaction est placée dans an vase clos, de préférence susceptible d'ê- tre agité, après quoi on ajoute et on laisse agir 600 parties de bisulfure de carbone pendant 6 à 10 heures à 18 à 20 C.
L'excès de bisulfure de carbone est alors enlevé par soufflage pendant 15 minutes, et la masse xanthogénée dissoute dans assez d'eaa et de soude causti- que, pour produire une solution qui contient environ 5 à 7% du résida sec (déterminé avant la xanthogénation en séchant an échantillon du produit lavé et pressé) et 8% de soude eaustique. Avant d'être filée, la solation est laissée marir de 48 à 96 heures à, 15 C. Pondant ce temps, elle est filtrée trois à quatre fois par du co- ton. La solation est alors filée dans un bain contenant 40 à 75 % d'acide sulfurique monohydraté de la manière décrite aux exemples du brevet français n 700.535 de l'inventeur.
Si on le désire, avant d'être mis dans le bain con- tenant 40 à 75 % d'H 2 SO, 4 le courant de solation filante analogue au fil Peut être conduit dans tout bain appro- , prié qui a seulement un effet coagulant, mais non plasti-
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fiant, sur le fil fraîchement coagulé, par exemple de la manière décrite à l'exemple 7 du brevet français n 700.535 da Demandeur.
Dans l'exemple ci-dessos, avant d'être mis en con- tact avec le chlorure d'éthylène, l'alcalicelluiose peut âtre mûrie, par exemple de 24 à 72 heures à 15 20 C.
Egalement, avant d'être traite avec; le bisulfare de carbone, on peut laisser mûrir , pendant par exemple 24 à 72 heures à 15 à 20 C, le compose alcalin du produit pressé et lavé, produit en mettant ensemble l'alcalicella lose et le chlorure d'éthylène.
Dans l'exemple) ci-dessus, la masse xanthogénée -peut alternativement être dissoute dans une quantité d'eau et de soude caustique propre à produire une solution qui contient environ 5 à 7 % (et, si on utilise une cellulc- se ayant une haute viscosité comme matière première,
3 à 5 %) du résida sec déterminé dans le produit lavé et pressé avant la xanthogénation et 5% de soude caus- tiqae ,
EXEMPLE 2. Mode opératoire comme dans l'exemple 1, mais avec la différence que 30 parties d'acétate de cui- vre, dissoutesdans une petitequantité d'eau, sontajou- tées à l'alcalicellulose avant de mettre cette dernière en contaetavec le chlorare d'éthylène.
EXEMPLE 3. Mode opératoire comme dans l'exemplel, mais avec la différence que 6000 parties de solution de soude caustique à 18 % de concentration sont ajoutées à la cellulose en petites fractions en même temps que la masse est continuellement broyée ou déchiquetée respecti- venant. L'addition de la soude caustique dure 20 à 30 minutes, après quoi sans être pressée, la masse de réac- tion est déchiquetée ou broyée pour un temps de 1 heure 1/2 à 2 heures, la température de la réaction étant véri- fiée afin de ne pas dépasser 25 C. Après cela on ajoute
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graduellement 1000 parties de chlorare d'éthylène et la masse de réaction est broyée dans le dêchiqueteur pen- dant environ 3 heures à 15 à 20 C.
La masse de réaction. est alors, oa après avoir sé- journé de 24 à 48 heures à la température ambiante,pla- cée dans an filtre-presse ou sur une toile filtrante, et lavée à l'eau jus qu'à ce qu'elle soit libre d'alcali, ensuite l'excès d'eau est exprimé et la teneur en eau du l'rodait pressé est déterminée en séchant an échan- tillon à 1000 C.
La masse de réaction est alors travaillée, c'est-à- dire xanthogénée, dissoute et filée comme dans l'exemple
1.
EXEMPLE 4.Le procédé est conduit comme dans l'exem- ple 1 ou 2 ou 3, mais avec pour différence que la masse de réaction produite par le traitement de l'alcalicellu- lose avec; le chlorure d'éthylène, après lavage et pressa- ge, est bien mélangée aveu une quantité d'eau et de soude caustique propre, ensemble avec l'eau présente dans la masse, à contenir 2000 à 4000 parties de solution de sou- de caustique à 18 % de concentration,.le mélange étant réalisé dans an déchiqueteur ou malaxeur réfrigéré de telle manière que la température ne puisse pas s'élever au-dessus de 25 C. Après déchiquetage, la masse de réac- tion est, sans âtre pressée, xanthogénée, dissoute et fi- lée comme dans l'exemple 1.
EXEMPIE 5. Mode opératoire comme dans l'exemple 1 ou 2 ou 3, avec cette exception que la masse de réaction, produite par le traitenent de l'alcali-cellulose avec le chlorure d'éthylène, n'est pas lavée et pressée, mais après le dit traitement, oa après avoir séjourné de 24 à 48 heures à la températare ambiante, est mise directement en contact avec le bisalfare de carbone.
Dans cette modification'de l'exemple 1 oa 2 oa 3,
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il est recommandé de déterminer la soude caustique et l'eau contenaes dans le produit obtenu par le traitement de l'alcalioellalose avec le chlorure d'éthylène, et dans le cas où. la solution de soude caustique présente dans la masse contient moins de 15 à 18 % d'NaOH, d'ajouter, de préférence pendant le refroidissement, assez de soude caustique à l'état solide ou sous forme de solution à 50% de concentration poar élever le contenu, de solution de soude caustique dans la masse de 15 à 18 % de concentra- t ion.
EXEMPIE 6. Mode opératoire comme dans l'un quel;on- que des exemples précédents, mais avec la différence que, dans la préparation de l'alcalicellulose, on emploie une solution de soude caustique à 30 % de concentration au lieu d'une solution de soude caustique à 18 % de concentration.
EXEMPIE 7. Mode opératoire comme dans 1' un auelcon- que des exemples précédents, aves mais avec l'exception que le traitement de l'alcalicollulose avec; le chlorure d'éthylène est conduit à 50 à 60 C.
EXEMPIE 8. Mode opératoire comme dans l'exemple l ou 2 ou 3 ou 4, mais avec la différence que, dans la préparation de l'alcaicellulose à traiter avec le chloru- re d'éthylène, au lien d'une solution aqueuse de soude caustique à 18 % de concentration, on emploie une solu- tion alcoolique de soude caustique à 30 % de concentra- tion (préparée par exemple en dissolvant 6000 parties de soude caustique dans un mélange de 10000 parties d'alcool à 95% de concentration et 4000 parties d'eau.) le degré de pressage étant de 4000 à 8000 parties.
EXEMPLE 9. Mode opératoire comme dans l'exemple 8 mais avec la différence que la réaction entre l'alcalicel- lulose alcoolique et le chlorure d'éthylène est conduite à uns température élevée, par exemple à 50 à 60 C pour 3 à 5 heures.
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EXElv1J?LB la. Mode opératoire comme dans 1'ePmple 8 ou 9 avec la différence que, au lieu d'une solution a7.- cooli qae de soude caustique à 0 ;ô de concentration, on emploie une solution alloolique de potasse caustique à 10 /0, de concentration.
ËXNMPL5 11, Mode opératoire comme dans l'un dueloon- que des exemples précédents, avec pour différence qu'au lieu de 1000 parties on emploie 300 à 500 parties de chic- rare d'éthylène .
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IQXE1\I1?n: 12. Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples précédents, avep pour différence qu.'aa. lieu de chlorure d'éthylène, on emploie la proportion équimoléculaire de chlorure de propylène.
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Bz121àù 13, Mode opérato ire comme dans 1'an quelcon- que des exemples 1 à 11, avec pour différence qu'au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie la proportion éqaimo-
EMI18.4
léeulaire de chlorure de triméthylène. l!iXilllv#L 14. Mode opératoire comme dans l'on quel- conque des exemples 1 s, 11, mais avec, pour différence que, aa lieu de chlorure d'éthylène, on emploie la pro- portion équimoléculaire de chlorure d'étbylidène.
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h:pil'3F, 15. 1\Iode opératoire comme dans l'un quel- conque des exemples 1 à 11, avec pour différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie la proportion
EMI18.6
é ça imo j, é e ula ir de chlorure de propylidène. BZKh12 Là 16.
Mode opératoire o comme dans l'un que lcon- que des exemples 1 à 11, aveu pour différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie la proportion équi- moléculaire de chlorure d'isopropylidène.
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EXEMPLE. 17. Mode opératoire comme dans 1 ' an quelcon- que des exemples 1 à 11, avec poar différence que, au lieu de chlorure d'thylène,on emploie la proportion équîmo- léculaire de chlorure de méthylène .
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Em#m 18. Mode opératoire comme dans l'an quelcon-
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qüs des exemples 1 à 11, avee poar différence que, sa l iea de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion
EMI19.1
équimoléculaire de tétrachlorure d'acétylène (1:1:2:2 - tétrachlorétane ) .
TP3iM1' 19. Mode opératoire uomrfe dans l'un 'kuelcon- qae des exemples 1 à 11, avec poar différence que, au lieu de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion équimo-
EMI19.2
1 écülaire de pantachlorétane.
E.XE1v#LE 20.Mode opératoire comme dans l'an quelc;on- que des exemples 1 à 11, ave<p poar différenue que, aa lieu de chloruce d'éthylène, on emploie la proportion
EMI19.3
équimoléculaire de dichlorure d'acétylène.
'..Gi4I 2I.Node opératoire comme dans l'un qae1con- que des exemples 1 à 11 , aveepoor différence qae , a liea de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion éqaimolécalaire de trichloréthylène.
EMI19.4
EXIM21E 22. Mode opératoire comme dans l'un tiuel- conqae des exemples 1 à 11 , avec poar différenoe qae, au liea de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion équimoléculaire de chlorare de vinyle .
EMI19.5
EX±Y9La 23. Mode opératoire comme dans l'a,n quel- conque des exemples 1 à 11, avec pour différence que, aa liea de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion
EMI19.6
équimoléculaire de tétrachlorétbylène.
EXEMPLE 24. Iuiode opératoire comme dans l'an qael- conque des exemples 1 à 11, avec poar différence que,au
EMI19.7
lieu de 9kê.;te.fI chlorare d'éthylène, on emploie la pro- portion éqaimoléculaire de chlorare d'allyle ( il chloro- propylène ).
EXEMPLE 25. Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples 1 à 11, avec poar différence que , au liea de chlorare d'éthylène, on emploie la proportion éqaimo-
EMI19.8
léclllaire de ;(' dichloropropylène ( /3 épiàiihlorhyàri- ne),
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EXEMPIE 26.
2000 parties d'alcalicellulose mâris ou non mûrie contenant environ 1000 parties de cellulose et environ 1000 parties de solation de soude caustique à 25 % de concentration ( produit, par exemple, soit en mélangeant 1000 parties de cellulose finement divisée (pulpe de bois ou linters de coton) avec 1000 parties d'une solution de sonde caustique à 25 % de concentra- tion dans un broyeur ou an déchiqueteur à environ 10 à
14 C, soit en imprégnant 10.00 parties de cellulose avec
2000 parties d'une solution de sonde caustique à 25 % de concentration et rédaisant par pressage l'alcalicellulo- se à 2000 parties) sont placées dans un autoclave rota- tif, à quoi on ajoute 500 parties de trichloréthylène.
L'autoelave est ensuite fermé et chauffé jas qu'à, ce que la température de la masse s'élève vers 90 à 100 C.
La masse de réaction est gardée à cette température pen- dant environ 3 à 4 heures, ensuite, après que l'autocla- ve a été refroidi à la température ambiante, la masse de réaction est lavée sur un filtre, ou une toile filtrante ou dans un filtre-presse avec de l'eau. chaude jusqu'à ce qu'elle soit libre d'alcali. Le produit lavé et pres- sé dans lequel la teneur en eaü a été déterminée est dis- sous dans une quantité d'eau et de potasse caustique propre à former une solution contenant environ 5 à 7 % du Produit de la réaction et 8 % d'NaOH. A cette solution ou ajoute 1000 parties de bisulfure de carbone et le mé- lange de réaction est maintenu avec; agitation pendant 10 heures à 20 C.
La solution est alors filtrée et filée de la manière décrits à l'exemple 1.
EXENPLE 27. Mode opératoire comme dans l'exemple 26.
Rais avec; la différence que, avant d'êtrn dissous pour la xanthogénation, le -produit de la réact ion entre l'al- calicell alose et le trichloréthylène est isolé de la masse de réaction brute comme décrit dans l'exemple 1 du
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brevet français n 311.969 du Demandeur.
EXEMPLE 28. Mode opératoire comme dans l'an qael- conque des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieà de chlorure d'éthylène, on emploie 300 à 600 parties
EMI21.1
de dichlorodther .
EXEMPLE 29. Mode opératoire comme dans l'on tqae quelconque des exemples 1 à 11, mais avec la différence
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qalaa lieu de chlorure à ' ôt hy 1 éne , on emploie 1000 par- ties de chlorométhylêther.
EXEMPLE 30. Mode opératoire comme dans 1'un quelcon- qae des exemples 1 à ll,mais avec la différence qu'an liea de chlorure d'éthylène, on emploie 200 à 600 parties
EMI21.3
de dichloracétaldél:1yde. EXEkM1:'LE 31. Mode opératoire comma dans l'un quel(;on- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500à 1000 Par- ties de chloracétone.
EXEMPLE 32. Mode opératoire comme dans l'on quel(;on- qae des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieu de chlorare d'éthylène, on emploie 500 à 1000 Par- ties de dichloracétone.
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EXEM1'IE 33. Mode opératoire comme dansl' un qaeluon- que des exemples 1 à 11, mais avec; la différence qu'au liea de chlorure d'éthylène, on emploie 1000 à 2000 par-
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ties de bromopinacolirs . BSEMPitE 34. Mode opératoire comme dans l'on quelu on- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au liea de chlorare d'éthylène, on emploie 1000 à 2000 par- ties d'acide bromostéariqae dissoas dans 1000 à 2000 Par- ties d'alcool chaud à 95 % de concentration.
L'acide bromostéariqae peat aussi être employé sous la forme de ses sels de sonde ou de potasse.
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Nf,E'T 35. Mode opératoire cor.un dans l'un quel"on- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au
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lien de chlorare d'éthylène, on emploie 1000 à 2500 Par-
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ties d'acide d'bromostés.rique. r5xELiPEï, 36. Mode opérato ire comme dans l'un quelcon-
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que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au
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lieu de chlorure d'éthylè#, on emploie 300 à 1000 par- ties d'acide "\ ou ':\ ulllorocrotonio.ne de préférence
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dissous dans une petite quantité d'alcool. L'acide uhloro-- c rot ont que -peut aussi être employé sous la forme d'un
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sel, par exemple an sel de soude oa de potasse.
EXEJM1?lli :3, !,iode opératoire can2me dans l'un quel- conque des exemples là 11 , mais avec la différence qu'au lieu de chlorure d,iéÉhy1éne , on emploie 10.00 parties à, 2500 parties d'acide mono'bromlëiqa.e.
EX:fi;il'1 38, Mode opératoire comme dans l'un quel-- conque des exemples 1 â 11 , mais avec la différence qu'au lieu. de chlorure d:'létbyLène , on emploie 1000 â 3000 parties d'acide dibrornoléique.
E-XE,!2.Mi a9, rnode opératoire comme dans l'an qllelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieu de chlorvre d'éth7,jlùne on emploie 300 à 2000 part2es d'un I1jT:PD0hloru.re de chloroprop'18mine.
FXlliLOi 40. M:ode opératoire comme dans l'un quel- conque des exemples 1 à 11, mais avec; la diffé'rence qaraa liée), de chlorure d'éthylè#, on emploie 1000 à 2000 par- ties d'an hydrobromare de dibromopropylam3.na .
D,X,41oel,E 4I.Tvtode opératoire comme dans l'un qaelcon-.
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que des exemples 1 à, 11, mais avec la différence qu'au
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lisa de chlorure d'éthylène, on emploie wu a. 500 Parties d'an hydrochlorure de chlorétbyldiétby1amine.
Xh.'1,E 42. Mode opératoire commo dans 1 t can gae 1a on-
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que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au
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lieu, de chlorare dtéthylène, on eriploie 3E0 à 6g0 parties d'an hydrochlorare de Y chloropropyldiméthylamîne. a;XE2FIsE 43, 1000 parties de palpe de bois oa de lin-
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ters de coton sont trempées dans 20000 parties d'ane so-
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lotion de soude caustique à 18 % de concentration à 15 C et le mélange de réaction est laissé au repos pendant 3
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heures à la température ambiante.
AprèB ce temps, l'aleak licellolose est réduite par pressage à 3400 parties et broyée dans un déchiqueteur pendant 3 heares à 12 jusqu'à
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13 C, on ajoute ensuite par petites fractioris 1200 par- ties d'hypochlorare de chloréthylediéthylamine , et la
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masse de réaction est broyée dons un déchiqueteur pendant 3 heures à 20 C. Après quoi la masse de réaction est mi-
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se dans an vase, muni d'un couvercle, et gardé on vase clos pendant 21 heures à 20 C.
Un échantillon prélevé à ce moment montre que la masse est devenue pour la plus grande partie soluble dans une solution de soude caustique diluée (par exem- ple concentrée à 10 %) et que la solution filtrée,lors-
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qa'elle est acidifiée avec de l'acide 8ulfa:i gae dilue produit an précipité volumineux.
La masse de réaction est alors mise dans an filtre- presse ou sur une toile filtrante et lavée à l'eau, après quoi elle est press ée et sa teneur en eau déterminée . En- suite, la masse lavée et pressée est dissoute dans une
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quantité d'dlan et de soude caustique propre former une solution contenant environ 5 à 7 î de l'éther colla- lose et 8 % d'NaOH. A cette solution on ajoute 100G par- ties de bisulafure de carbone et le mélange de réaction est maintenu avec agitation pendant 10 heures à 20 C.
La solution est enfin filtrée et filée comme dans l'exemple 1.
Dans les exemples 39 à43, la teneur en sonde causti- que de la masse de réaction produite par le traitement
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de l'alcalicellalose avec le sel hydroc;hlorique ou hydro- bro.mique de la base respective, peut être déterminée et la qaa.nt 1té" de soude caustique consommée dans la réaction rendue bonne par l'addition d'une quantité appropriée de soude caustique sous forme solide ou sons la forme d'une
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solution à 50 ;ô.
Dans les exemples ai-dessus 39 à 42 au lieu de
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leurs sels, les bases libres peu/vent aussi être employées.
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EXEIi2LL' 44.iods opératoire comme dans l'an quelcon-
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que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,
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au lieu de chlorure d'éthylèr:e, on emploie 300 à 841Q parties d'acide triçhlorolactîque.
EX3JI,IJ?IJ.E. 45. Mode opératoire comme dans l'an queleon- qae des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au
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lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 2000 -par-
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ties d'acide broinolévalinique. EXEI.1l'LE 46 . Mode opératoire comme dans l'un qaelcon-
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que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au
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lica de chlorure d'éthylène, on emploie 400 à 3000 par- ties de chloroplierine, E.'XEIiJ?IE 47. Mode opératoire comme dans l'un ql1elcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la dif:f\3 renc que, au lien de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 1500 parties de chlorure de carbauxyle bien refroidi.
EXiFI 48. Mo de opératoire comme dans 1 ' au qaelcon-
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que des exemples 1 à 11 , mais avec la différence que , au
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miea. de chloraL'e d'éthylène, on emploie 400 à 1000. par- t ies de chic rare phénylétlwlûa rbarryls . r;:T4:fZ 49; Mode opératoire comme dans l'un qaeleon -
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que dos exemples 1 à 11, mais avec; la différence que,au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 2500 parties
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d'an ester trithiocarboniqus de glycérine. .xslJPL: 50. Mode opératoire comme dans l'on 'tuoleon-
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que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au
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lieu de chlorare d'éthylène, on emploie 300 à 60.0 part iss
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d'an bronure cyanogène.
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:iy'ZI 51. Mode opératoire comme dans l'un tiuslcon - que des sxeme ,ls 1 à 11, mais avec la différence que,au lieu de chlorure d 'ét1:Jylè#. on emploie 500 à 1000 parties
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de chlorure cyanur ique .
EXEMPLE 52. Mode opératoire comme dans l'an quelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,
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sa lieu d'un chlorure ûtéthylène , on emploie 500 à ai200 parties d'acide chlorosuccinique cala qaantité équivalen- te de son sel de souda.
,'ZE 53. Mode opératoire comme dans l'uil queloonl<?tque des exemples 1 à 11 , mais aveoydiffêrence qae, aa lieu de chlorure d'éthylène, on err:ploie 600 à 1500 par- ties d'acide dichloromaléiqae ou la quantité équivalente de son sel de sodium.
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F,=2]E 54. Mode opératoire comme dans l'un qQ8lcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 300 à 1200 parties de diacétone.
.EXEMPLE 55. Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 50Cà 150C. par-
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ties de monocétine. EXIZ1Ull'T' 56. Mode opératoire comme dans l'un quel(,on- que des exemples 1 à il , mais avec la différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 1000
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parties d'acide glye6roPhosphorique.
EXEMPLE 37. Mode opératoire e co 1,inie dans l'un gael"on- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qae, au liea de 8l'3.ea>e. chlorure d'éthylène, on emploie 300 à. 800 parties d'an ester de l'acide glycérinoc;arbonique (dénomi- nation commerciale tricarbine ).
EXEMPLE 58. Mode opératoire e comme dans l'un quoi-on- qae des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie IGOà 1000 par-
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ties de t riohl0 rhydtiDe.
EXEMPIE 59. Mode opératoire comme dans l'nn quel(;on- que des exemples 1 à 11, mais avec la déférence que
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au lieu de eblorare d'éthylène, on emploie, SOO à 600 par- ties de sulfouhlorare do P3ratoluène, dissous dans da xylène.
XI.ï.. 60 . lodE3 opératoire l:OliJ11le dans l'un quel- conqae des exemples 1 1 à 11, mais avec la différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 1500 parties de phényle carbonate.
EMI26.2
L..'è.> 61. Mode opératoire comme dans l'an qaelc:on- que des exemples 1 il 11, mais avec la différence que, aa lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 1000 à 2000 parties de chlorure de benzoyle.
EXEMPLE 62. Mode opératoire comme dans l'an queleon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que, au lieu de chlorare d'éthylène, on emploie 500 à 1500 par-
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ties d'acide orthochlorobenzo!que dissous dans de l'al- cool .
EXEMPLE 63. Mode opératoire comme dans l'an quelcon- que des exemples 1 8 Il, mais avec la différence que, au lieu de chlorare d'éthylène, on emploie 500 à 1500
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parties de /3 phén;lproRylèneglycol (1'( chlorhydrine.
P..P;;F 64, Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 200 à 1200
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parties de banzyiglycolchlorhydrine.
BXSMPIE 65. Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples 1 a. 11,mais avec la différence qae, aa lieu de chlorure d'éthylène, en emploie 400 à 1400 parties de dichlorare de styrol (0(/3 diahloroéthylbenzène).
EXll:î91B 66. Mode opératoire comme dans l'an lluelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qae,au. liea de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 2000 par- ties d'anêthol dibromare.
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BxElr2m 67. Mode opératoire comme dans l'un qael- conque des exemples 1 à 11, mais avec la différence ane
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au lieu de chlorure d'étbylè#. on emploie 2500 à 3000 parties de phénylétbylène oxyde (styrol oxyde). exemple 68. Mode opératoire comme dans l'un quelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que, au lieu de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 1400 par-
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ties de phényléthylène oxyde (styrol oxyde ) . XEIyl1'ï 69. Mode opératoire conne dans l'un ql1ell:on- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence que,au
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lieu de chl(i))rl1re d'éthylène , on emploie 3000 parties de phénylpropylène oxyde .
.UIF2,IPLLi '70. Niode opératoire e;on1J,e dans l'un queloon- qae des exemples 3 à 11, mais avec la différence que , au lieu de chlorure d ét7ylène , on emploie 600 2. 1500 par- tees de @ phénylpropylène oxyde.
EXEMPLE 71. 1000 parties de pulpe de bois finement divisée oa de linters de coton sont placées dans un aato- clave rotatif, ensuite on ajoute 300 à 1000 parties de
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phénylêthylène oxyde ou 400, à 1000 parties de â Phényl- propylène oxyde, qui ont été refroidies jusqa'à 000,- le mélange chauffé jusqutà. 95 à 100 C est laissé à. cette température pendant 8 à 10 heures. Apres ce temps l'auto- clave est refroidi et le mélange de réaction placé dans un filtre-presse ou sar une toile filtrante et lavé à l'eau. Le produit lavé est alors libéré de l'excès d'eau par pressage, après quoi la teneur en eau de la masse pressée est déterminée et la masse convertie dans son xanthate de la manière décrite à l'exemple 1.
Le xanthate ainsi obtenu est alors filé de la manière décrite à l'exem- ple 1.
EXEMPLE 72. Mode opératoire comme dans l'exemple 71, mais avec l'exception qu'on utilise 1600 à 3000 Parties
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de 9hényléthyléne oxyde ou 2000 à 4000 parties de-phényl- propylène oxyde au lieu des quantités utilisées dans l'exemple 71.
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EXEMPLE 73. Mode opératoire comme dans l'exemple 72,
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mais avec la différence qu'on atilise z00 à 15Y00 par- ties de phénylétbylène oxyda oa 6000 à, 15000 Parties de )V phénylpropylène oxyde aa lieu des quantités atili- sées dans l'exemple 72.
E,X])J"#LB 74. 1'iode opératoire comme dans l'an. quelcon- que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieu du chlorare d'éthylène, on emploie 1000 à 1600 Par-
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ties d'acide hél\ylchlcracétiql1.e, dissous dans une peti- te qaantité d'alcool â 95 zoo de concentration. Dans cet exemple, l'acide phénylchloraeétiqae peut aussi être e ut 1 - lisé sons la forme de son sel de soude ou de son sel de potasse .
EXEMPLE 75. Mode opératoire comme dans l'on qaelcon- que des exemples 1 à 11, mais avecla différence qu'au lieu da chlorare d'éthylène, on emploie 1000 à 2000 par-
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ties d'acide phényle c;{ -c,hloro-,., 3-lactiqae dissous dans de l'alcool. iI: 76. Mode opératoire comme dans l'un qaelcon- que des emebls exemples 1 à 11,mais avec la différence qu'au lieu da chlorare d'éthylène, on emploie 600 à 1800
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parties de phéxylacétylène .
EXEMPLE 77. Mode opératoire comme dans l'un quelcon que des exemples 1 à Il , Bais avec la différence qu'au liea da chlorure d'éthylène, on emploie 6GO à 2600 par-
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ties decuchlorostyrol.
EXENPLE 78. Mode opératoire comme dans l'an qaelcon- que des exemples 1 à 11, mais aveu la différence qu'au lieu da chlorare d'éthylène, on emploie 700 à 3000 par- ties de dichlorostyrol sym.
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EXJN,#'LË 79. Mode opératoire comme dans l'an qaeleon- que des exemples 1 à. 11, mais avec la différence qu'au
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lieu du chlorare d'éthylène, on emploie 18Q0 . 5000 par- ties de bromure de styrol (dibrorrnre d'alcool cinnamiqtze
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dissous dans une petite quantité d'alcool à 95 % de ;on- centration.
EXEMPLE 80. M ode opératoire comme dans l'un quelcon que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lieu de chlorura d'éthylène, on emploie 400 à 2100 par- ties d'chloropyridine.
EXEMPLE 81. Mode opératoire comme da ns l'un queleon que des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'au lien de chlorure d'éthylène, on emploie 800 à 2400 par- ties de 0\, 0\1 dichloropyridine.
EXEMPIE 82. Mode opératoire comme dans l'un quel(;on- qae des exemples 1 à 11, mais avec la différence qu'en lien de chlorure d'éthylène, on emploie 500 à 4800 par- ties d' chloroquinoléine.
EXEMPLE 83. Une solution filante, poodnite par de la manière décrite dans l'on des exemples précédents est introduite de la manière connue dans an des liquides préci pitants indiqués dans l'un des exemples précédents par une trémie ou fente, et la bande de film coagulée, aprés avoir été passée dans ce bain, est lavée de la manière connue et séchée.
EXEMPLE 84. Une matière de coton est imprégnée ou remplie ou endaite, une oa Plusieurs fois, dans une machi ne appropriée, par exemple une padding machine ou une back filling machine, oa une spreading machine, ave une solution filante produite de la manière décrite dans l'un des exemples précédents;
à cette solution une matièrede remplissage, telle que du talc ou da china clay oa du blanc de zinc (par exemple 100 à. 200 % calculés sar le poids du dérivé de cellulose utilisé) ou une teinture oa an pigment, tel que du mica ou du noir de fumée, peut être ajoatée et, avec ou sans séchage, si nécessaire,dans an état de tension la matière de coton t'emplie est passée dans un bain ayant la composition des liquides coagulants
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indiqués dans les exemples précédents. La fabrication préparée ou enduite est alors lavée et séchée.
Daus les exemples précédents, dans lesquels on utilise des dérivés da chlore, s'il est désiré ou con- venable, les quantités équivalentes de dérivés du. brome ou de l'iode peuvent être substituées aux dérivés du chlore.
Evidemment le procédé peat également être mis en pratique en substituant an ou plusieurs groupes hydroxy par an ou plusieurs des réactifs spécifiée dans la lis- te des réactifs donnée après le quatrième paragraphe de la description et desgroupes ou radicaux "mélangés" viendront de suite à l'esprit des personnes connaissant la technique .
Si on le désire, l'extensibilité des articles arti- ficiels, particulièrement des fils, produits suivant le présent procédé, peut âtre encore plus accrue en les traitant par des agents rétrécissants, c'est-à-dire de tels agents rétrécissants qui n'ont pas d'effet dissolvant sur le fil, par exemple avec quelques-uns des agents rétrécissants indiqués dans les brevets du Demandeur n 664.416, n 676.766 et 679.149 et le certi- ficat d'addition n 35.752.
Ils peuvent aassi être purifiés ou décolorés en les traitant avec une solution d'an sulfure dTalcali tiède ou chaud contenant aa moins 5 % desulfure d'alcali caleulé comme Na2 S.9H2O) au avec une solution d'hy- drosalfare d'alcali tiède ou chaude de concentration équivalente.
Tons les autres détails ayant trait à la mise en pratique du procédé aussi bien qu'aux principales modi- fications du. procédé, par exemple les sortes variées de cellulose qu'on peut utiliser, aa lieu de palpe de bois oa de linters de coton, et, pour autant qu'on dé-
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sire an traitement plastifiant, les divers agents plas- tifiants qui pensent être utilisés à la place d'acide
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sal.furiqae fort, qaand on désire an bain plastifiant, sant décrits aux brevets français n 700.555 et 701.280 da Demandeur .
Les expressions " viscose " artieles artificiels " matières artificielles", Il acide minéral fort Il "aci- de sulfurique fort", utilisées dans cette description
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ont la même signifàcatiori qu'elles ont dans les brevets français n 700.535 et 701.280.
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L'expression " cellulose" signifie, où le sens le permet, la cellulose ou ses proches produits de (.,on- version, tels qae l'hydrate de cellulose, l'hydrccella- lose oa l'ou811alose.
Il E S U 1\; :; ---------------
L'invention a pour objet :
1 ) La fabrication de nouveaux dérivés de cellulo- se en xanthogénant un produit fait par l'action sur la cellulose en présence d'une substance basique particu- lièrement d'un alcali, d'un ou plusieurs réactifs (au-
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tre qa'an agent oxyalcoyiant, un agent alco;ylant, un agent aralcoylant ou un agent qui introduit un groupe acide oxyearboylique) qui a une tendance réagir avec:
un composé contenant un groupe hydroxyle afin de provo- quer l'introduction d'un groupe ou d'un radical organi-
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que au lieu de lth,ydrogène de lhydro-5i;îe,par lequel au mey!3.S moins un des groupes hydroxyles de la aahulo- se originelle est occupé ou bloqué, comme résultat de la réaction, par an groupe organique en même temps qu'au moins un groupe hydroxyle reste libre et est xan- thogéné .
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.