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IiriVettC et &on procédé de fabrication
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Lu. présente invention ; e rè!..''porte à la production d: briquettes et n1asse<5 combustibles agblo\!16r6es 86,.'1- bldbles, et elle ccncem plus ¯ari;i culiÈre¯eut des br 1 qiie t t e JUlltell8.11t du carbone oet iui métal qui i z trouve la= - iL. tt ; 61cssj.t+à:t ou. dcst¯.¯ ' reoevcir un t:::',-,i tel:101lt ra chaud en :)r";sonce di carbone.
ZTU;: des buts de IT i2volltii)ll est de réaliser des briquettes ;¯1:1 puissant êbre utilis0e co"mse charge eoyoltû par e2.1e-c:1'ê'e pour le haut-fourneau et pour d'autres o95rtiorill de traitement des métaux, ces
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briquettes contenant un Binerai ou un ",3t':l qu'il faut chauffer, en présence de carbone ou de -a,tzre carbonée solide ou on contact intime avec coi carbone ou cette
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matière carbonée.
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Un autre bout de l'invention est de réaliser des 'briquettes du type mentionné, qui contisunent égalertont un agent de dësulfuration pour le -1ine:<.?.i qu'il faut traiter à, chaud, cet agent servant er. outre . ,ol1il:r'e la cendre de la v.ticre curbonea et 1:'. gangue du ninerai.
Un autre 'but de l'invention est de produire des s7r.''.^- quettes du type 'mentionna, danc. 1scr'''011ez tv:;jG2ïi. agglu- tinant pour le briquettes fournit 0:U carbone .iil.t7.Glîï.v.i., 82: ;}:L'DGeI:c3 duquel il tant traiter f., ClC:ll, un "net-1 ou un minerai.
D'autres bute et ;,i.Mü.;:',i;';vS da a lL ' 1#:;: ;> . t 1, c : 3-:r:?L-irt'3-tl"01:1t au cours de la description plus \lJtil16e G C,1'.1 suit.
Tuns façon 21c 1^'r,-'.,.:, l'inTention concerne aussi bien une 'briquette que son procède de fabrication, cette briquet- te cOlltoll;..l1t el,", carbone ou ".1.11'3 ati're oarbonse solide et 1l.y.:. .::tcil Be trouvant dans un. ê8.t qui ssige le chauffage en ?r5se"oe de C.:rlrlïl;':..m T ( i2lFc;ï:t:LGî? = <1 a :)u.rt:1.cr..li'Jre.:ne!lt utile lorsque Sabriquette 6Et constituée \le e ± .i g o i# 1., contenir du minerai de fer, qu'il rdut introduire dans un haut-:f0ü.j:'u',u porr que se -ri#:er=1 icit i<éàuit l'etcit Etcs fer iJ1ét'Jl1is.':G, ',.? il est bien 3i't:'du que :1 ' ixi lic o '1 ï'., C ':i s .. :± t ii i 1 #iKe s réduire G ¯)E;11C''t:'..t 3tre f8.
O:1D.0V de IDerl1e sous. :i a:.'w'g de briquettes avec 1;':;'13 3.tHre c.;,rbOll'5c C'4 J ; ¯ =. i:lac. ' gaz'1¯ àz e iit r.:c1."lC te'D,:-. ..t' :1.: '¯1' ;:: v :L 0 .1 1 .''. l'¯ .jble'.:lC.2t s'appliquer 1. un 'Üller;:Ü qui 1 #,éj;1. -lt;1 0,:;rtiel1e'161'.t réduit et qui doit subir une ,tcènrc11e ou une CC :,'!lC.:t9 ré-
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duction..
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L'invention peut e1#c.e:<o o ctzc .-p¯iliquce de façon que
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la briquette soit constituée de "1o.::Hre à ccntel:in, au lieu
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de :mîiir=1 , le l'cr 'o';t11ilr0.e ou :. .W'.; iU'.<¯ ¯ -<'.::'t¯:.,:; ,.. y3rocidé liro,a .Le réduction des ioeri., de e 1 t .:i=Jt-lli<=ae, ij-, 1.. .=rJcl.l,1 direct, 1 'il¯...r est r1.lit l' t¯.1,:; .'¯(1 "'6t,s1 s¯,.s -cn'.r-s, et 1--.1¯;;; C0t;t<S 0 ) ¯.t lv:, 1'-.' '¯ t.l. l T&.bcJr1J 2.::'S le a <...rlJ 0 11 0. '-: 1.
Q('.tlSlJ.1.(..L\.;0 lo y..J''.:lt i 1 '; -], 1 i =.; :.e lu 'rr'):i:5 5 . . i 1> > à ... ut; >< o 1 : ...: fusic:l t ts é.L';V';, ,.t il i e;il, t ,'1'0Lcl.;:'o :3. vr 10 de foute brt..t6 o,u'e:..;1¯.¯. :-u:.t el )rl8(;'Ce d.G czrv'o'c de f,r;ov. ¯ll0 lo -1: t .l ¯ i. m.r'a,. el'. iI'C::- 1" ,:. curboue. :Lor's':i'.:;.IOl1 v =: 01t trL.,L-'or-,iE)r ce, J.'0i' 'ct.alli ïl.e cu i iùi.=i-3aJ- e:: ïo-.te brute, OI'1 !..';11t le e ?ié 1 #. i .,; e r ...".'î; u .-i- . , .=> t î 1 z à c xiflla c : , 1 1 :c. i; Ur '12 de bl':LCi118 t.ï.,, de f(... Gl 1 i' -'E,1' -(-,::'.2 e -a 1.-à r é CC)-:'t6 5 =1 a r elle-..eae ocur 1" t:..';::..i t" ;;811"t , cL1:\ul en j:1 >i-c:-cJ de C8Y'J11.
.l±1#..< (0 fluwiî* >;1-i1=; CU"!r0lldI'J l T L.Y-=:- tic,;, or. en dC=:i 7',a C1-.:. )-'' un 'iode de r':::...li2d.tioj, s,)0ci;'i<,,u.e se rü¯peri.:.,.2?: .'i 1 i'c...b:...'i cc. ti Ol1 rl T11;.e briquette ceL talLIt du minorai -le fer, d.oiit il faut s.liLle.. te:::' Gii h.J.ut-four::e:.i11. pour ré,j.uire ce "llél'....1 ¯ µ 1' .1>t '?t lll:e 01 .:;#'':;S8Lce de C8.rbc118. Ce?c;.:La,t, l'invention doit pas '3tr cinsi- d6:cée co'fine se li'-'1itw.lt ;;; cet 8I:0,',)le, car, ...il":si qu'on l' 8. indicée ci-IIJsc1..L:, oiijeut iiiconcrer aux briquettes, au lieu de nluorai de fer, d'autreu cubsLcces 'n3tallicxaas qu'il faut traiter t. chuud en présence de carbone.
De méne, il ne faut pas considérer que l'inveution est limitée aux détails du prooëdë et l'a nature et a..>1 proportions des "]-titres indiquées ci-,s',;r2:s, car ces indications sont dorjises si3pl''j.-.,rt tL titre de' --Ó"1o:",-,t:..'ltiol., 0t elles peuvent varier CO:18idêr..;.blelent sacs s'écarter de l'esprit
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et du domaine de l'invention.
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Le 'limer¯.i de fer à incorporer dans les briquettes
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est, de préférence, concentre ou enrichi d'abord par voie
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fi.
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magnétique ou d'autre façon, t il est lave ensuite l'eau. de façon q.ie 1 co izgu e convenable connue, afin d'en- lever la matière flocnnneuse et finement cUv i ",ée qui
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n'avait pas été enlevée par le premier traitement.
La
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matière fine est préjudiciable CO")1'18 ±;8.11::;11.0, et elle est égEle'i!0IItDrêjudiciable cause de son état de
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fine division, car elle saupoudre le minerai et elle rend ainsi plus difficile la liaison de la briquette et exige
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dos agents agglutinants et des fondants airli tionnels.
L'onde de fer co=1=;ei?tié ou eiiirhi est 1),10:::':; prêt è, être 111'313.:'G::) a li: "atiere solide ca.r'o c et '4 mi agent [.:S "'lut il1d,'t 0011,- ,'Y'8,01e '. et 5, être 11101.1l 8"m".l.::S:."eS S CO""-.9::10 tes.
La .ati5re oarboneo solide "eut être du ctiarbor Illltlfa- ci tetc, du coke ou charbon analogue, et 0:1 peut employer comme 1:'1IJ..ti:.:re agglutinante toute subGt:3;ce capable de faire adhérer entre elles les particules ",\61:;",1060':;. 0epùii- ùi;iit , suivant le node de réa1is::ttio:: ::1'/:':é.:.'6 se t l7ït'e'.t3-axl, on )IÎ81allge avec l'oxyde de fer eor:c8;:t:C) un ,":.(318:'C8 de charbor. et l'huils )r6)3.r;; 4T:.yr'.;, 13::", i',t:'-1C-'.t.i0; G t.1:;. HiJ:i'8vet ,!:::4yiaoïx¯ I 1.4ZO,164 au i':oY< de la ",''&;;le cle':;-:cl1.er'3sse éôpo#6 le ë Hars 1920.
Dans le .rocdé décrit ;...,,5 ce brevet, on ù.#ite du ch.s.rl)on fille"le! divisé .-vec 1111 agent de tuaaî- te":eiit à 1; f.:.SG d'imilo hydrocarburëe dans une -lasse i 'eau, ces 9 ,iLl, donne CO'i1me résultat que les ¯-'tie:: constitutives non carbonées du c'harbon Dli celles fermant les cendres .30lJt séparées des particules de carbone, celles-ci 8T8..:;- glo''1f,raLt avec l'huila afin de fermer le '1:1'J.1'±,"0 de charbon et d'huile E' "'e'3.iü¯-Jâti ci-dessus. De cette façon, art purifie le C,--'îî0=:'. ou autre 1'atière carbonue, et le c0ntOju de carbone de ce charbon Ôil do cette '¯.' s. 'â^^ est intimement nelangée avec une hujie hydrocarbureo, laquelle oeut être d'une nature -permettant t de i ? nt <1 5. z e :> co-nme 4,c;nt t ;#ggi,,t 1-
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nant pour la briquette.
Pour le but poursuivi, 1'ha.l hydrocrrrcl1'é8 e'11)loyÉÍe co:iie c't t c-è,<s'lo:'1araJt :E;,-;.t t:;:,,J de l'huile brute ou de l'huile combustible, ''-Tlis elle est de '9rj::.'j1'6;Ce une b.uil# 1': Gi:\f..;6 d'a.'halte, telle que l'huile brute de VeL6zuo1c... On 0<.-llst,:.t.:; ra le e -:1- ,- r6sultant contient '-').c'c,:.i'ntive"16nt 7 5 ). de charbon pGrii'5G , 15 jw l'huile de 1)L.se ¯spl.lti',v.e, et environ 10 p
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d'eau.
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Le 11.31""¯'2: .1 .il: si --7'crié est ':la..:,"3 ;,.,v 80 1'ox#.àe de fe- JQ;8C¯lt:'6 ell :,uit ¯t ¯¯"f-:, : t our >#00#?,:ir -SS3Z de carbone )Ov.:c l' oo3r.tio: de 1. r6àuctioii ':b.Li.'E> ,:,,"1';,1' 1 1 ' 1=1..ô. et tof fournir e i z c de c o o.-i o :. s 1 b '. pour ctis- fc..ire . toute:, les exigences du chauffée pour 1"" fusion, et il est ¯vwltas'eUX de rnél'"''6'e' l'oxyda ccncentré et le mél8.2'C6 de ch-rbon et d'huile en quantités s=, ,eu très demies. Le rr.6L...L:;C tEE1lltiLît est alors distillé de façon à :t'aire bVi:...90rer l'eau et les fractions Id'eres de l'huile ayart servi 3. faire le mélange, en l aissnit un r.;;si,iu d'huile dans le mélange.
Si l'on a o'\ploye crmme "';'G'3't az-loméi,a2t de l'huile brute, telle eue l'huile brute de Venezuela, la distillation peut être effectuée jusqu'à
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enlev3r environ 50 % de l'huile, la distillation étant faite de préférence dans une cornue fermée de façon que les
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hydrocarbures volatilisés puissent 'ét2a recueillis par con- densation et r3sel1blemeDt. On obtient dos briquettes dû ià 1 il i.t plus Q-,-o...':de en ajoutant dd l'huile au 11l1.:tllge charbon-huile, de fa.'i v.. ù amener lc rapport du charbon a l'huile jusqu'-. la valeur de 1 ; 1 en poids, si c'est né- cessaire.
Ce m61alJge enrichi en huile est alors mélange aU-r oxydes nêtalliques et est traité comme il est décrit
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ci-dessus.
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î Cette phase de àist illatiop enlève non seulement
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l'eau du mélange, mais aussi l'humidité é e l'eau chi'3i guc - Lient combinée du minerai, avant le façonnage de la briquet- ts, ce qui est important en vue de fabriquer la meilleure qualité de briquette.
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Le mélange distillé co'.Tipru.j.nt du ainerai de fer concentre, purifie et lavé, du charbon purifie et. du
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résidu d'huile, est alors transfoi"'<iô en briquettes ou moulé suivant les formes voulues de toute façon connue, de préfé- rence pendant qu'il est encore chaud, le résidu d'huile Jouait le rôle d'agent agglutinant pour les particules so-
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lides .
Les 'briquettes ou les masses compri'nHes obtenues sont alors cuites ou carbonisées de toute façon comme, de préférence au rouge, ce qui communique aux briquettes
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une solidité suffisante pour 'lu 1 ell! ccn-viennent comme charges de haut-fourneau complètes par elles-m8mes, l'oxyde' de fer étant intimement associé avec l'ageut réducteur qui fournit le combustible carboné.
Pendant la carbonisation
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le résidu d'huile est tz,aloes±'ormà en coke de pétrole, qui s'ajoute à 1 quantitô d'agent combustible et réducteur contenu dans les briquettes Ainsi qu'on l'a indique l}rÓc-:5d.c:::l'nent, la briquette peut Ôt::0 constituée de façon 3. contsuir un [;.[;'811t d6su1fu- rant et fondant, outre les -:Tl3tièr0S rlét±ùliqu0G et carbonées Comne asel:t de ce tY9C, on peut employer la castine ou la pierre à chaux en Ç11aEtit6 suf-risantc pour t7.'2>J.csZor'!ler le sulfure de fer et les co;n?cs6s sulfures crée-niques du minerai en sulfure de calcium et pour faire fondre aussi 1s cendre du charbon et. la. gangue 'iu minerai.
Il est 6videm;nent bien entendu que, lorsque la r;3, tit;l'G carbonée > ét6 purifiée par le proccds de -,,61<11J[;'6 8. l'huile mentionne ci-dessus, il àUt employer une qU8.Dtité moindre des fondant que ce n'est nécessaire lorsque le charbon @'a pas été purifié. Lorsqu'on
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fabrique les briquettes au "lvyell de :1inerç,i de fer trè's concentre et -u noyen d'un charbon que l'on n préalablement m61s.:..e;é confie il a été décrit ci-dcs:us, en , constate qu'il suffit d'incorporer 3à¯s les briquettes environ 7 à 8 bzz do obstiné pour transformer le soufre et peur 8CO- rifier les impuretés, telles que 1 silice et autres subs- tances S cll:lulo;:':1:.e s, qui oonjtitubnt Li ;;,,",,:J2,' LW du minerai et
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la cendre du charbon.
Si l'on veut incorporer de la obstiné
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ou un autre agent t 1 ë ±fi-i 1 ±1t1 aiit e fondant dans la briquette, on effectue cett opération de préférence e1;.,.jCcü..1Lt cette ,:lb.ti8r0 a l'état pulvÓrist dans l'huile destinée n %':e'1J3- lar:2;6e au chorbon et va.rlt que cette huile soit ..10L..::t;Je à li '18.tière carbonée dc..l1s une i.n:.sse d'eau. Les briquettes crues ou nOl:.-c,.#1)orlisées contiendront donc le minoï,i de fer concs.-tré et h,v, lzi '11....tiJre carbonée, l'huile, l'eau et la castine ou '..gant de sulfurant et fondait e.nalo'ue pai- viris0 et dispersa da. s 1w masse. Lw tr,rsßoi rtioiï des ccYyosds mL:"1rG délleS le aierui s' c.;.:ectue partiellement pendant la cc.:,,'boriÏsè.J.t i011 des briquettes et est com;Il,t6e pendant que le: briquettes ,lc:.c,;r.âcnt v travers le h.-at- fourlle""u.
Pur conséquent, avant d'être # 1#1 tr oà.a 1 t e ; ;loe: le h.;;ut-iü'J.r',6cl.U, les briquettes carbonisées contiennent le minerai de fe concentré, le charbon anthraoiteux ou le coke,
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le coke de pétrole comme agent agglutinant, l'oxyde de cal-
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cium et le sulfure de calciu:n..i:ai qu'on l'a indiqué, z. trû.a.sfc2: na,tio du coufre en suldurc de calciu'i est co:,1;l0t0e dans le 11b.ut-:.':'Jnrûe...m, et dans 1 >..011e des tuyères, d",,: b le haut-our=:ea:., le sulfure de calcium forte uns partie des scories et le soufre est ainsi élimine du .:1L.l. 1 (...\.:'tio1. désul::,#'::lte et fondante de la Cé..StiL6 est achevée lorsque lè. ch:..r'S.3 descend &. travers une zone du za.ut- our.;:au bÍï.te:1UE entre 1100 et 16.
(anvirom/ Les briquettes fl,bric.y:es COG'l1:1e il est décrit ci-dessus
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constituent una charge de hlt-:C:ll:G' 8J.U cO"l:.?l(;t) par elle- Biê-5, à'il>.e solidité co:siélérablc:, et cor.ta;#=;it tout le combustible nécessaire pour ]- fusion, 1 ' o z<j;e, do fer Laait intimement associe à ;:v:-c le.:; a;?c;rbs s rl ùL# .> c t e:J,r et à Ô ii#.1 :é;1â a< i t z e foudar.ts, et il 'y ,: a:> <> L=.i nécessité D Li,-1 a:, des ,TItière2 addition -'Iles s =: fourneau.
Cependant, ds:ns certaine &a où 10 '''''inerai da fer iaTa pas une pureté les briquette& p:;#:17ei:t contenir plus 1-i car'oore qu'il ii' en faut, et ôiaàs ce cas, or. )el1t ajouter du minerai additioruel en morceau...: 'd.;,r& le e h= ut - 'De .nÉ :;; e , lorsqu'on a-ploie de e se ;#i> 1 :-j ]m 6 1 ...#i#.;erti impurs, s'il est i':1"1\) [' si ole :. T i ":{ 017 I C ::'S:L" c- do cà-tii>e l< :s 1 # briquette, on psut :.L c r s.u = j o ::, .t c i une e q;a yit 1 t ;=.ddi.tic.''.-;"alle comme e ù : : 1 ##: .t. i ai s "i 11::\llt-f'Ou:'j'...e..1..
I:'1-..;.s::.tion a , t(1 décrite en se rfl'\l.J8rta.:.t r ou, liorement à l T e";1pl01 d'huils de e > f .t = c. fl peur fabriouer les. briquette:., ci, constate qu'il est partf c;;liÉre#=;ei,t désirable e d ' e.;;,g fl o ye i? des huiles de c g c ;j,àrj j = g:¯ basse te':}?ê- l'ù t rW' ± ¯+r Ôi+ e i" à.iht (le 1.a G 1 1 t LL li; t "ia := de .z ehai> e 1; bituiueu;.:, d'autant dus qu'on obtiart un prcduit très solide et ré- sistant. Ùii décrira fl-cmz ei.-a:>r@.s m-i (le réalisation de IfiH\'su).ti02; utilisart uns huile se-bl&ble.
Dans 100 parties en poid d'huile de goudron b a. s a température ,?rOY0D:.:11t de la distillation i d charbon 1)it11:"i:Gl1.t on incorpore d'abord, par -ielanse, 50 parties e r, poids ds castine en poudre. Le clause ré::,u.ltant est alors ffiélal6 C ai7,-, l'eaj. avec du charbon ..nthraciteux
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en poudre, ainsi qu'il est décrit ci-dessus, dans des
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proportions telles que la mélange obtenu contiendra de 15 30 % d'huile, environ 10 % d'eau, et que le reste sera du charbon anthraoiteux purifié. À ce 0 on incorpore une quantité additionnelle d'huile de goudron, de aou
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qu'il y ait un résidu notable pour agglutiner ultérieurement
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entre eu.:. lit 0L1'1 11, 1 1..:.;:,tL 2 et le minerai àe fer sous fur'se ac briquette =yz->t la i.v,r etê et 1:. solidité ;o11:>es , 2our chaque .:..rtie de c=< :.>Gli;;
gg-= enrichi, on ajoute d'r''. l'...d.1JDe de 1 1 1/'4 partis en poids do tiner.ii do fer (de ,Jr,Héreilc3 lavé i 1'-#-eu iour les rè'...ÍSC1.S à6j 1. décrites). Cil distille :¯lo:;,'s le ,élaxio.e 1. environ 1 C, Jour enlever <L:;.r0::' 50 /" dé l'huile 'le 001.Llr,'L et )o1.1.r l¯Íssc.r un r é s d'huile d=1;s le '":1éle2:,g'8, que l'on fl;!.o¯.1!.e "",10;'", 0.... briquettes, de )rf0:;:'6.ce 2e11- à-:.f c¯':.'il at encore cli-ul, et les bri<i,l1ettes 8.0:1t cè!.rl)J'iséef:J (- 1.1:'18 or10\.;'..' Tél"±0, L'huile de goudron ,:;",!?lo;é6 co^.re il est décrit, outre qu'elle do. Le ure briquette solide et résistante, -o ' newi?s s l's..o.:taya d'être pratiue'1el,t exempte de soufre.
Grecque toux les produits de )Gt":'cle ciA une t..:: au:::.' t:":08 ':lé;véie e.- w;,uisu, les 'rnileQ lJl'ute", et les. huiles .^m7'il.lC-.'tiaiG'S e,J où-.tenant ,;c.i?4rs..lG^.lv.ivt di .5 L.
4 . De telles :roj¯>oi?tio;11 de SO:L re sont indésirables d<;>i le O.9.:J.c..CiOllS rnétallurS-iq,u6.::J, .1::J.l..:.-'0 le fait vue la tp-i.Lai2r au soufre de l'huile, qui ne s'éli:.:1i.:-a -),s par distillation, est trczr/zforn16c en sulfure do calcium -our réaction avec la castine.
L'i1,::vc1!tioy.;. a dt décrite ci-dessus en se basant sur l'emploi da charbon anthraciteux et de cole conne matière carbonée solide, car on a constaté que l T e''l.91oi de ces m':1.tieres est préférable leu l'emploi de charbon bitumineux brut. Le charbons de ce iernior tye tendent, en. effet, a icnire et à ::e lLd,uéf'.; cr -parz'Kiw,ut 1:
c1Üsson ou
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la carbonisation et ont donc tendance à altérer les bri-
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guettes de -1'0:¯ nuisible. .^epencl:..t, l'invention envi-
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sage l'emploi de charbons bitumineux, et ;.fin d'éviter
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2 sii:l on distille d'abord préalablement
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le charbon, bitumineux brut, de rG icrelce entre 3±'0 et 6500 0, ce qui. permet d'obtenir des huiles de goudron et rlu colee ô. basse te'1l:?r<1tu.re qui conviennent bien pour la production de briquettes.
Le coke, après avoir été pulvérise, et l'huile de goudron ainsi obtenus sont alors mélangés avec le '.Dînerai de fer concentré et, si on le veut, avec la castine suivant les 'proportions déjà, indiquées, et le mélange est traité ainsi qu'il a été décrit ci-dessus pour produire les briquettes terminées. On remarque que la
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distillation pr81i'ninaire du charbon ai tu:1incmx brut fournit à la. fois le coke et l'huile de goudron nécessaire à la fabrication des briquettes.
Les ';'Iodes de réalisation de l'invention décrits ci-
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dessus sont les -1ottes {le traite'nert r8itrés pour Cb.bl"il"J11er des briquettes pour ).ii,.i;BL;îovri.ea.vx constituées, de '11'6 ±6- re1:c:.1. de façon 1. contenir du charbon ':'l1. du cc#.;e et de 1. chaux.) Cependant, la présence ,:lE:. ces doux substances n'est pas essentielle, et on envisage, suivant l'invention, la fabrication de briquettes en partant seulement du minerai concentre et de l'huile de goudron ou de l'huile de pétrole,
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l'huile :f:
'ol1I'nics.J.lt à la fois la bace or.ï1ou2ti:)le et l'agent 1;1.G"'lutLL1t et se t1"OU:V::;,t en quantité S'tIfi sall te pour -:tt::;i:::l1.:;:,s ces deux résultats. Dszns cette '18.:±'i&'l''1;.::; de l'in- vention, le minerai de fer et l'huile sent .?é]warg6s de :91'6 :Zérellce à peu près en cfu J..1J t i.t d ,ß;.4las, le '11e h:l1ge est distilld do façon à enlever 1; peu i,7:'S s 5 "é )1 de l'huile co,r:1C fractions plus làjgé#?es et en 1:',.'L:3S^,'?t un résidu as- j?11:::::.ltiqlw ju poisseu:;, le ':1êl:":lJtP est façonna sous forme de briquettes, et celles-ci sont cuites ou carbonisées à la chaleur rouge, cornue il a déjà été décrit complétaient.
Dans un cas semblable, l'huile peut être une huile de goudron obtenue par la. distillation de charbon bitumineux @
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ou une huile de pétrole à base asphaltique, telle que l'huile brute de Venezuela, et la briquette achevée contiendra environ une partie en poids de carbone pour
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environ S à 2 1/2 parties de ";i:uJ.<:1i dj ver concentre.
Une talle briquette peut êtl'(; 0viQG"'lmer:t e:;.:êout0c de fc;.o. j, ec.te:¯;¯r dd la obstiné, 0J,1,,18 il été lec-'it ci- dessus.
L'invention ,.Jo ét6 décrite en donnant de llO':'lbreU1- détails et en i¯aic;u;..t plu5ic'ais :odes àe z a7.isatioz en vue de son e. ¯..iûatio:., .na,is cette description et ues indications ne loivent nullement 8tie 8o.:....;i:ir.5es conrne lirai tant l'il. vent ion.
REVI::::.r:0IC....'I'IO .;S 1. Un procédé de fabrication debriquettes en partant
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de charbon purifie aar ^dlange du charbon .veo mi h5+àro- carb-are en présence à'e i? et Y),r Ljurut2-ol- :-'Nséque:te du -mélange résultant et de l'eau, caract3rib3 en ce qu'on ajoute au rn6le u.x.e substance .aétùlliL:ue 1- traiter à chaud an présence de! cwrboile9 on ristillo le :iiélcà:'àge pour