BE373778A - - Google Patents

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BE373778A
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Description


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  " Perfectionnements apportés aux dispositifs pour équilibrer les effonts sollicitant un organe susceptible de se déplacer sous l'action dune force d'intensité variable, notamment celle résultant de l'action d'une vitesse ". 



   L'invention est relative aux dispositifs pour équi- librer les efforts sollicitant un organe susceptible de s e déplacer sous l'action d'une force d'intensité variable ; et elle concerne plus spécialement (parce que c'est dans leur cas que son application parait devoir offrir le plus d'inté- rêt), mais non exclusivement, parmi ces dispositifs, ceux pour lesquels la force variable, entrant en jeu, résulte de l'action d'une vitesse. 



   Elle a pour but, surtout, de permettre l'applica- tion d'une force, variant entre de très larges limites et suivant une loi bien déterminée,en ayant recours   à   un sys- tème équilibreur ou compensateur très simple et ne nécessi- tant, pour sa manoeuvre, qu'une dépense d'énergie très fai- ble. 

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   Elle consiste, principalement, à faire agir sur l'organe, sollicité par la force variable à équilibrer, une force antagoniste constante (tout en étant réglable   elle-mê-   me) et à interposer entre ces deux forces un dispositif à le- viers variables propre   à   faire varier l'action de la force sollicitante variable sur celle de la force antagoniste cons- tante, de façon que l'ensemble soit constamment en équilibre quelle que soit la valeur instantantée de la force variable et la position qu'occupe, à tout moment, l'organe sollicité. 



   Elle consiste, mise à part cette disposition princi- pale, en certaines autres dispositions qui s'utilisent de pré-   férence   en même temps et dont il sera plus explicitement parlé ci-après, notamment: en une deuxième disposition consistant à appliquer le dis- positif équilibreur ou compensateur, tel que spécifié plus haut,   à   la régulation de la vitesse de rotation d'un moteur dont la régime doit pouvoir être réglé entre deux limites au gré du conducteur, tout en assurant, au besoin, l'exécution de fonctions auxiliaires à des vitesses intermédiaires, en une troisième disposition consistant à appliquer le dispositif équilibreur ou compensateur, tel que spécifié plus haut, à la commande des variations de multiplication d'une boite de vitesses pour véhicules automobiles,

   la force varia- ble utilisée pour la commande étant, par exemple, celle due à l'action de la vitesse d'un arbre entraîné quelconque; et en une quatrième disposition consistant à appliquer le dispositif équilibreur ou compensateur tel que spécifié plus haut la commande d'un embrayage automatique, dont les vitesses d'embrayage et de débrayage doivent pouvoir être ré- glées suivant les circonstances. 



   Elle vise plus particulièrement c'ertains modes d'ap- plication ainsi que certains modes de réalisation desdites dispositions; et elle vise plus particulièrement encore, et ce à titre de produits industriels nouveaux, les dispositifs du genre en question, comportant application desdites disbosi- 

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 tiens, les éléments et outils spéciaux propres à leur éta- blissement, ainsi que les machines et installations, fixes ou mobiles (plus spécialement les véhicules automobiles) com- portant de semblables dispositifs. 



   Et elle pourra, de toute façon, être bien comprise à l'aide du complément de description qui suit, ainsi que des dessins   .-annexés,   lesquels complément et dessins sont, bien entendu, donnés surtout à titre d'indication. 



   La fig. 1 de ces dessins montre, schématiquement, le principe sur lequel repose l'invention. 



   Les fig. 2, 3 et 4 montrent, respectivement et sché- matiquement, trois variantes différentes d'un premier mode de réalisation de l'invention. 



   Les figo 5 et 6 montrent, respectivement et schéma- tiquement, deux variantes différentes d'un deuxième mode de réalisation de l'invention. 



   Les f'igo 7 à 9, enfin, montrent, schématiquement, trois phases caractéristiques du fonctionnement d'un disposi- tif établi selon l'invention et convenant à une application particulièrement avantageus-e de celle-ci. 



   Selon l'invention et plus spécialement selon ceux de ses modes d'application ainsi que ceux des modes de réali- sation de ses diverses parties, auxquels il semble qu'il y ait lieu d'accorder la préférence, se proposant d'établir un dis- positif pour équilibrer les efforts sollicitant un organe sus- ceptible de se déplacer sous l'action d'une force sollicitan- te d'intensité variable, et plus spécialement d'une force ré- sultant de l'action d'une vitesse, on s'y prend comme suit, ou de façon analogue. 



   Jusqu'ici on s'est contenté, pour les dispositifs du genre en question, d'équilibrer la force sollicitante va- riable par une autre force que l'on fait varier dans les mêmes proportions, par exemple à l'aide d'un ressort antagoniste dont on fait varier la tension selon nécessité, avec interpo- 

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 sition de systèmes cinématiques plus ou moins compliqués pour réduire autant que possible l'effort exercé. 



   Ceci présente comme inconvénient que, lorsque la force sollicitante varie entre des limites très écartées, on est obligé d'augmenter la force antagoniste dans des propor- tions importantes, notamment dans le cas particulier où il s'agit de l'action d'une vitesse exercée par un régulateur centrifuge par lequel l'effort exercé augmente comme le carré de la vitesse, D'autre part, ces dispositifs ne permettent pas de déceler une série de vitesses suivant une échelle   détermi-   née à l'avance. 



   Conformément à l'invention, la force antagoniste reste constante (tout en étant, bien entendu, réglable), et on interpose entre ces deux forces un dispositif à leviers varia- bles, propre à transformer l'action sollicitante de façon que l'ensemble soit   constamment   en équilibre, quelle que soit la position qu'occupe, à tout moment, l'organe sollicité.. 



   Sur la fig. 1, on a montré le principe sur lequel repose l'invention. On a désigné par 1'-organe sur lequel agit la force variable A et qui est articulé à un point différent de celui où agit la force A. La force antagoniste B n'agit pas directement sur l'organe a mais sur une pièce b constituée également par un levier, articulé en bl et établi dans le même plan que le levier a, tout en étant sensiblement parallèle   à. celui-ci   quand ces leviers occupent leur position moyenne. Les points d'articulation a1 et bl ne se trouvent pas sur une même perpendiculaire aux deux leviers a et b menée par 
1'un d'eux et leur écart peut être aussi grand qu'on le dési- re.

   Entre ces points al et bl on établit une pièce c, suscepti- ble d'être déplacée dans un sens ou dans l'autre par une cora- mande appropriée manuelle ou automatique, cette pièce restant constamment en contact avec les deux leviers a et b susdits sous l'action des forces qui les sollicitent. Grâce à cette dispo- sition, la force antagoniste B peut être maintenue constante 

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 et l'équilibre de la force variable se fait par simple dépla- cement de la pièce c, ce qui ne nécessite qu'un faible   effort.   



  Dans le cas particulier où la force antagoniste B agit sur le levier b en un point qui se trouve sur la même verticale que le point a1 et si on désigne par x la distance qui sépare le point a1 de la pièce c, et par m la distance qui sépare les points al et b1, l'action, sur la pièce c, de la force solli- citante variable A est   A   et de la force antagoniste constan- te B est B m/m - xQuand il y a équilibre m - x 
 EMI5.1 
 
On peut donc, avec une force constante B, équilibrer la force A, quelle que soit sa valeur instantanée, par la va- leur donnée à x.

   Un effet analogue aérait obtenu en faisant agir la force B sur le levier b en un point autre que celui choisi plus haute 
Pour les exemples spécifiés ci-après on supposera que la force A est produite par une action résultant de la vitesse d'un organe quelconque, par exemple par la, force cen- trifuge qui s'exerce sur une pièce entraînée à une vitesse variable. 



   Les fig. 2 à 4 sont relatives au cas où les posi- tions possibles de la, pièce ± sont uniquement fonction de la grandeur de la force variable et aussi rapprochées que   nécea-   saire, de façon qu'on puisse suivre progressivement les varia- tions de la force variable 
On a supposé, de plus, qu'on obtient la commande, par l'intermédiaire d'une transmission appropriée electrique mé- canique ou autre ou d'un servo-moteur convenable, d'une manoeu- vre ou opération qui est le résultat pratique à obtenir et dont le genre peut être absolument indépendant de celui cor- respondant aux autres positions actives.

   D'autre part, cette disposition permet, par la rupture   d'équilibre,   de déceler le moment auquel la force variable quitte une valeur déterminée qui caractérise une vitesse correspondante et d'utiliser la 

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 ' modification de position qui   exrésulte   pour provoquer des réactions utiles. 



   Sur la fige 2, l'action due à la vitesse est exercée par l'intermédiaire   d'un   régulateur centrifuge qui trans- met la force centrifuge.variable   A   au levier a. La force anta- goniste B estproduite par un ressort b2 de tension, constante et la pièce c est constituée par un galet susceptible d'être déplacé, sans énergie appréciable, entre les leviers a et b par un mécanisme de commande, par exemple un levier à main d. 



   Le levier peut porter un doigt ou plot a3propre à coopérer avec des plots hl, h2 convenablement établis pour déclencher, certaine positions caractéristiques dudit levier (auxquel- les correspondent des valeurs déterminées de la   force   et, par suite, de la vitesse du régulateur) des manoeuvres ou opé- rations spéciales exécutées directement ou par l'intermédiaire d'une énergie étrangère mise en ou hors action par une comman- de électrique., mécanique ou autre. 



   La fig. 3 montre une disposition analogue mais dans laquelle la variation de la force sollicitante peut se faire entre des limites encore plus écartées. A cet effet, on éta- blit, entre les leviers a et b, une pièce intermédiaire e propre à osciller autour d'un point central e1. Les leviers et b se trouvent à la suite l'un de l'autre et de part et d'au tre du point el. Entre chaque levier a ou b et la pièce e est établi un galet c1 ou c2, les deux galets pouvant être   âépla-   cés simultanément ou séparément et cela à la main. ou automati- quement.

   Le résultat pratique cherché, par exemple l'ouvertu- re ou la fermeture de la valve d'admission d'un moteur estmis en oeuvre par le mouvement de la bielle b3 reliée à la pièce b car dès que la vitesse du moteur tend à quitter la vitesse pour laquelle a lieu l'équilibre, celui-ci est rompu et il y a mouvement de l'ensemble dans un sens ou dans l'autre. 



   Au lieu d'avoir recours à deux pièces séparées pour jouer respectivement le rôle des leviers b et du galet c on 

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 peut, comme montré plus spécialement sur les fig. 4 à 6, uti- liser un seul organe sollicité par la force antagoniste   B   (ou b2) et qui, grâce à sa   ïorme   et à son mode d'établisse- ment, permet d'obtenir un équilibrage analogue au précédent. 



   Sur la fig.   4,   l'organe unique b est directement en contact avec le levier a par une face courbe continue dont la   aisément forme peut tre/déterminée par des points tels que g1, g2, g3,   etc.. pour lesquels on cherche les distances xl,x2, x3, etc.. auxquelles ces points se trouvent respectivement du point d'articulation a1. En utilisant la relation (1) on peut cal- culer la valeur xl pour qu'on obtienne, avec un ressort anta- goniste b2, de tension constante, une action déterminée pour la   force .11.  sollicitant le levier a.

   Il en serait de même pnur les valeurs x2,   etc.   Cette disposition se rattache en quel- que sorte aux modes de réalisation précédents puisque pour toute valeur de la force   A,   variant progressivement entre deux limites déterminées correspondant aux positions extrêmes du levier "courbe" b, on obtient une position déterminée pour ledit levier b. Toutefois dans ce cas le levier "courbe" prend automatiquement ses positions d'équilibre, sans qu'il soit né- cessaire (comme pour le galet c) de faire intervenir une ac- tion extérieure. Ce qui était appelé ci-dessus "rupture d'é- quilibre", pour une valeur déterminée de la force variable, devient dans ce cas "déplacement" du point de contact par rap- port à celui qui caractérisait la force en question.

   Sur la fig. 4 on a montré les leviers a et b comme étant en contact au point g2. Une bielle b3, analogue à celle montrée fig. 3, permet de mettre en oeuvre le résultat pratique cherché. 



   Les fig. 1 à 4 montrent que, quelle que soit la va- leur instantanée de la force variable A, entre deux limites, il existe toujours un emplacement de la pièce c (fig. 1 à 3)   @   ou un point de contact tel que g2 du levier "courbe" (fig. 4) pour lequel, par répartition convenable des bras de levier respectifs, on obtient un équilibrage de ladite force 

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 variable par une force antagoniste B constante et de grandeur appropriée.

   En outre, en plaçant le galet ± dans une position correspondant à une valeur donnée, ou en observant sur le le- vier   'courbe"   le déplacement du point de contact par rapport à celui qui correspond à la force en question, on peut   déceler,   par la rupture d'équilibre, le moment auquel la force varia- ble passe par cette valeur et provoque, au besoin, des réac- tions utiles. 



   Sur la fig. 5 on a recours à une disposition analo- gue à celle de la fig. 4, toutefois au lieu d'utiliser un le- vier "courbe" on a recours à un levier "polygonal" dont les distances respectives xl, x2, etc. des sommets g1, g2, etc. au point d'articulation a1 peuvent être calculées comme pour l'exemple précédent. Dans le cas, les déplacements du levier b ne sont plus continus mais il vient s'appliquer contre un côté du polygone quand la force A varie entre les limites prévues pour le calcul des distances   x   et, par exemple, correspon- dant respectivement aux sommets g2 et g3. Ce n'est que lors- que la valeur de A atteint exactement celle choisie pour un sommet déterminé que le levier a bascule et vient se placer à cheval sur ce sommet aussi longtemps que cette valeur reste invariable.

   Une augmentation ou une diminution de la force A fait alors incliner le   levier   dans l'un ou l'autre sens et l'applique contre la race correspondante. Il va de soi qu'à ces   sommets,   pourraient être établis des galets facilitant le passage du levier a d'une position caractéristique à la sui- vante. Des plots tels que hl, h2, etc.. peuvent alors,   connue   montré sur la fige 5, être disposés de façon que, lorsque le levier a se trouve à cheval sur le   sommet   gl,   etc..   cor- respondant, le contact s'établisse entre les plots tels que   h3 et   a3.

   On peut également, comme montré sur la fige 6, éta- blir le contact entre les plots h3 et a3 quand le levier a est appliqué contre le côté du levier polygonal se trouvant entre les sommets g2 et g3. 

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   Sur cette fig.   6   on a montré également un moyen au- xiliaire, établi entre le levier polygonal (ou courbe) b et   la,   force antagoniste, pour régler l'action de cette force, par exemple en faisant agir cette force non pas directement sur le levier mais sur un levier auxiliaire i articulé au point il, prévu du côté de l'extrémité   liore   du levier b et en interposant entre le levier b et le levier auxiliaire i un galet 1 ou analogue dont la position peut être modifiée à volonté soit à la main, soit automatiquement.

   Ce réglage n'empêche nullement de considérer ladite force comme étant constante puisque sa valeur dépend, dans ce cas, uniquement de la position dans laquelle le galet j a été amené, 
Les fig. 5 et 6 montrant que,quelle que soit la valeur instantanée de la force variable A, entre aeux limi- tes, on peut, au moyen du levier "polygonal", mettre en éviden- ce le moment où la force variable, pour certaines valeurs in- terinédiaires bien déterminées, est équilibrée par une force antagoniste constante, les sommets du polygone matérialisant, en   somme,,   plusieurs positions particulières de la pièce ±   (fig.   1 à 3) ou plusieurs points déterminés (tels que g1, g2, etc. figo 4). Grâce à l'oscillation possible autour de ces sommets on peut provoquer toute   aperation   utile.

   En dehors de ces positions d'équilibre, le levier b reste appliqué, par un des côtés du polygone, contre le levier ao 
Les réalisations montrées plus spécialement sur les fig. 2 et 3 peuvent être appliquées dans tous les cas où iL s'agit de commander plusieurs fonctions à des vitesses   succes-   sives convenablement échelonnées.   L'exemple   donné ci-dessous n'est nullement limitatif, et ne constitue qu'une des applica- tions multiples pouvant être envisagées. 



   Le régulateur centrifuge ou analogue est entraîné par un moteur thermique fonctionnant normalement à la vitesse vn pour laquelle   e   régulateur peut contrôler la marche du moteur par les moyens usuels. On suppose qu'à la mise en mar- 

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 che on doive assurer, à la vitesse vl, la mise en action d'une fonction accessoire par exemple le graissage et, à la vitesse   v,   celle d'une autre fonction accessoire par exemple le   dépla,.   cement d'un organe modifiant l'allumage électrique, etc. (v1 
2 v. étant,   évidemment,   moindres que vh) et qu'à l'arrêt du moteur on doive agir, aux vitesses v1,   v,   etc., sur les mêmes organes mais en sens inverse. 



   De cette façon, le moteur accélérant depuis l'arrêt, établit le contact sur le plot hl lorsqu'il passe par la vi- tesse vl, sur h2 à   la   vitesse v2, etc., en mettant en action un signal lumineux ou sonore, par exemple, qui indique au con- ducteur la manoeuvre qu'il doit effectuer à ce moment ou qui produit l'entrée en jeu d'un servo-moteur qui effectue alors automatiquement l'opération. 



   Quand il a atteint la vitesse vn, le levier a peut agir, par une commande appropriée k, sur la valve   d'admission   1 du moteur, ce qui ferme l'admission si le moteur cherche à dépasser la vitesse vn. Cette dernière est réglable suivant la position que donne le conducteur au galet c. 



   La réalisation montrée plus spécialement sur la fig. 



  4 peut servir à commander les variations de multiplication   d'une   boîte de vitesses "à variation progressive" pour véhicu- les automobiles. 



   A supposer, par exemple, qu'au-dessus d'une vitesse Vl du moteur, la boîte doive rester sur sa plus grande multi- plication et que la vitesse du moteur, tombant à V2, elle doi- ve avoir pris sa plus petite multiplication.   A   supposer, en outre, que les changements de   multiplication   soient provoqués par l'intermédiaire d'un organe de   commando,   par exemple un levier articulé en un point et pouvant prendre toutes les po- sitions intermédiaires entre deux extrémités. En calculant la force centrifuge correspondant aux vitesses Vl et V2 on déter- mine la tension du ressort antagoniste B et les bras de levier qui doivent équilibrer les forces correspondant aux vitesses 

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 Vl et V2.

   Ceci permet de calculer, à l'aide de la relation (1), les valeurs xl et x3 et d'établir un levier présentant au mi- lieu une partie   couroe   entre les   points     et ± 2   correspondant à ces valeurs xl et x3 et de part et d'autre de cette partie courbe des parties planes 1 1 et 12 (fig. 4) limitant le mou- vement possible à ces valeurs extrêmes. La forme exacte de la courbe est déterminée par la façon dont on désire que la va- riation de la Multiplication de la boite suivie les variations de la fofce centrifuge   donop   finalement;, de la vitesse de l'arbre entraîné.

   Il suffit, dans ce cas, de relier le levier courbe par une transmission appropriée l'organe de comman- de de la boîte pour que le levier courbe puisse avoir une ac- tion efficace pour toutes ses positions caractéristiques et en s'assurant que la courbe totale des deux organes correspon- de. On obtient ainsi, grâce à la partie plane 12, le maintien de la plus grande multiplication de la boite depuis le régime le plus élevé du moteur jusqu'à la vitesse V1. Au-dessous de cette vitesse on obtient une réduction progressive de la mul- tiplication au iur et à, mesure que la vitesse du moteur dimi- nue, ces tendances contraires tendant, d'ailleurs, à amener rapidement une stabilisation de ladite vitesse.

   Enfin, la mul- tiplication la plus petite est obtenue à une vitesse V2 du mo- teur au-dessous de laquelle elle est maintenue grâce à l'in- tervention de la partie   plane 1 .  On peut adjoindre au méca- nisme tel que décrit un dispositif de réglage analogue à celui montré sur la fig. 6 qui permet, au conducteur, de faire va- rier les vitesses V1 et V2 dans une proportion dont la gran- deur est déterminée par le conducteur. 



   Les réalisations montrées sur les fig. 5 et 6 con- viennent plus spécialement au cas où on établit sur l'arbre à cardan d'un véhicule automobile (ou tout autre arbre entraîné par le moteur), un dispositif qui, ou bien indique au conduc- Leur la combinaison de vitesse qu'il doit utiliser, ou bien produit automatiquement la mise en jeu de cette combinaison 

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 par l'intermédiaire d'un servo-moteur approprié, propre à exécuter les manoeuvres que fait   généralement   le conducteur pour faire intervenir la combinaison en question. 



   On détermine les vitesses limites inférieure et su- périeure v et V pour lesquelles le moteur fonctionne normale- ment, les vitesses limites inférieures v1, v2, v3, etc.. de l'arbre à cardan ou analogue lorsqu'on utilise les combinaisons 1, 2, 3, etc.. et que le moteur tourne à sa limite inférieure v ainsi que les vitesses limites supérieures V1, V2, V3,etc, de ce même arbre lorsqu'on utilise les combinaisons 1, 2, 3, etc.. le moteur tournant à sa limite supérieure. On sait que 
 EMI12.1 
 dans ce cas on a la relation = = Vv-,3Qte. ¯ .v-. 



  Les progressions vl, v2, v3; etc., Vie V2, V3 etc.. ou tote. progression composée avec elles telle que par exem- ple v'1 z VI v + V2 etc. ou V vI 1[1 . v2 V2 ont, de ce '2 rait leur raison proportionnelle. On   réalisera.!-*   le levier polygonal de la fig. 6 de façon qu'il soit en équilibre sur chacun de ses   sommets   successifs lorsque la vitesse passe par les termes successifs de la progression choisie parmi celles indiquées ci-dessus.   En.   prenant ces valeurs comme base on cal- cule la course à donner au galet 1 pour qu'on puisse modifier la progression choisie de façon qu'elle se confonde d'un côté avec la progression la plus basse, v1,v2, v3, etc.. et de l'autre côté avec la progression la plus élevée V1, V2, V3, etc.

   Ceci permet au conducteur, par la position qu'il donne au galet j, de passer de la première à la deuxième combinai- son ou inversement à une vitesse de l'arbre à cardan wl qu'il jugera la plus avantageuse, cette vitesse restant néanmoins comprise entre ses deux extrêmes vl et   Vl.   Tant que la posi- tion du galet n'a pas changée les passages entre deux autres combinaisons se feront à des vitesses w2,etc.. qui seront, par rapport aux limites de fonctionnement   v,   V2, etc.., com- me   wl   était par rapport à v1V1.

   Le conducteur peut, ainsi, adapter le   fonctionnement  du régulateur qui indique ou comman- 

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 de les changements de combinaisons aux conditions   particuliè-   res dans lesquelles il se trouve, par exemple la circulation dans une ville encombrée, sur route liore ou dans la montagne. 



   Dans le cas où le dispositif' doit ind.iquer la   néces=   site   d'un   changement de combinaison à effectuer par le conduc- teur ou l'effectuer réellement par un   servo-rnoteur,   les plots   2 électriques hl, h2, etc.. sont diposés de façon que le plot   a3 du levier a puisse venir se poser en regard du plot hl ou      h., etc..correspondant à cette combinaison quand ledit levier se trouve à cheval sur le   sommet   du polygone déterminé à l'ai- de de la vitesse   wl   correspondante tandis que dans le cas où le dispositif doit indiquer les combinaisons effectivement en prise, ou dans le cas où le servo-moteur est agencé de façon à maintenir   1 emprise   de la combinaison,

   on établit les plots   hl'     h,   etc.. de façon que le plot a3 du levier puisse les atteindre lorsqu'il est en contact avec les faces du levier polygonal. 



   Les fige 7 à 9 sont relatives à un dispositif per- mettant une application particulièrement avantageuse de l'in- vention à un mécanisme d'embrayage automatique. Ce dispositif se rapproche de la realisation montrée sur la fig. 5 avec le- vier "polygonal", toutefois au lieu que les sommets du poly- gone soient fixes on peut rendre un ou plusieurs de ces som- mets mobiles, pour permettre de faire varier les valeurs de forces et, par suite, des vitesses envisagées. 



   Pour plus de simplicité on   suppose   qu'il s'agisse   d'un   embrayage dont le serrage et le desserrage sont commandés électriquement sous le contrôle d'un régulateur centrifuge en- traîné par l'arbre du moteur. Cette disposition, connue en elle-même, provoque donc, dès que la vitesse de l'arbre moteur et,par suite,du régulateur, a atteint une valeur v déterminée, la fermeture d'un circuit électrique qui, par des moyens ap- propriés,par exemple électromagnctiques, provoque le serrage total de l'embrayage. Lorsque la vitesse, diminue jusqu'à de- 

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 venir inférieure à la vitesse v susdite, le circuit est auto- matiquement ouvert par le régulateur, ce qui produit le dé- brayage. 



   Le dispositif selon l'invention se caractérise par le fait qu'il permet d'obtenir une progressivité pour le ser- rage à partir d'une vitesse v1 donnée en intercalant dans le circuit électrique des   résistances   ou en provoquant la mise en et hors action d'un nombre plus ou moins grand d'organes de serrage (bobines électromagnétiques, etc.) de l'embrayage. 



  Cette disposition permet, en outre, d'obtenir, malgré que le serrage automatique soit progressif, mn desserrage.total une    vitesse constante choisie v2, inférieure à vl, de e façon à   éviter l'arrêt intempestif du moteur par ralentissement exagé- ré. 



     A   cet effet on fait agir la force sollicitante va- riable A (régulateur), sur le levier a et la force antagoni- te constante (ressort b2) sur le levier polygonal b qui, pour l'exemple considéré, ne comporte que deux sommets g1 et g2, celui étant fixe (tout en étant réglable) et celui   !)OU-   vant coulisser le long du levier b à l'aide   d'une   transmission n appropriée commandée par le conducteur ou automatiquement. 



  L'extrémité libre du levier b porte'un plot isolé o1, relié à la source de courant, ce   pleut   pouvant coopérer avec un autre plot 02, monté sur un support   élastique   et relié, par une   résistance   g, au circuit électrique de l'embrayage. L'extré- mité libre du levier a est engagée dans une encoche r  ménagée dans une pièce r susceptible d'osciller autour d'un axe r1 et qui porte un plot isolé s1 relié également à la source de cou- rant et pouvant coopérer avec un plot s2 relié au circuit de l'embrayage.

   L'encoche est suffisamment grande pour que le le- vier a, en étant déplacé autour de a1 vers la droite, ne puis- se produire le basculement de la pièce r qu'à une vitesse dé- terminée qui estsupérieure à celle à laquelle, par déplace- ment du levier b, autour de bl, et sous la poussée du levier a 

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 qui reste en contact avec le point g2, on obtient la fermeture du circuit par les plots ol et 02. 



   Le dispositif tel que décrit fonctionne comme suit : 
A l'arrêt la force A est nulle et le ressort B main- tient l'ensemble des leviers a et b dans la position montrée fige 7 pour laquelle le levier a maintient la pièce r dans une position pour laquelle le circuit est coupe en s1 et s2,pour laquelle le   point ±. 1   est seul en contact avec le   @   levier et pour laquelle le circuit est ouvert en ci et 02. Après avoir mis le moteur en marche et après avoir accéléré sa vi- tesse, il arrive un moment où le levier a, refoulé vers la droite (fig. 8) vient en contact avec le point g1 et ferme, à une vitesse déterminée, le circuit de l'embrayage en ol et 02, ce qui provoque un serrage modéré de l'embrayage, le courant étant limité par son   -pas,-age   à travers la résistance g.

   La vitesse augmentant encore, le levier b comprime le   ressort p.   du plot 02 et le levier a vient, à une vitesse déterminée, en contact avec la pièce r qui, en   oasculant,   ferme le circuit en s1-s2, provoquant le serrage total de l'embrayage (fig.S). 



   En modifiant la position de la pièce matérialisant le   point ±2,   le conducteur peut faire varier le moment auquel le serrage modéré de l'embrayage a lieu et par conséquent choisit la vitesse du moteur la mieux appropriée pour effec- tuer ce serrage, cequi permet, par exemple, d'embrayer à une vitesse d'autant plus élevée que le démarrage est plus péni- ble. En outre, l'embrayage est automatique puisque tout ser- rage exagéré fait ralentir le moteur donc fait diminuer la force A, ce qui produit le recul de l'ensemble des leviers a ethivers la gauche de la   fige 2,  tandis qu'un serrage insuf- fisant fait augmenter la vitesse du moteur, ce qui augmente la force   A   et précipite donc le mouvement de serrage. 



   Quand le moteur ralentit et que la force A diminue progressivement, le levier se déplace vers la gauche de la figé 9 ainsi que le levier b qui ouvre le circuit en 01 et 02. 

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  Toutefois l'embrayage   rete   serré complètement puisque le con- tact en s1-s2 subsiste. Ce n'est que lorsque la vitesse du mo- teur aura atteint une valeur déterminée que le levier fait basculer le pièce r et provoque ainsi l'ouverture du circuit en s1-s2 (fig. 7) et le desserrage total de l'embrayage. 



   Il est évident qu'on pourrait subdiviser le serra- ge progressif non pas en deux mais en un plus grand nombre de phases en faisant agir le plot ± 1 successivement sur plu- sieurs plots tels que 02, les circuits de ces plots comportant respectivement des résistances de valeurs décroissantes. 



   Comme il va de   soi, .et   comme il ressort d'ailleurs déjà de ce qui précède, l'invention ne se limite aucunement à celui de ses modes d'application, non plus qu'à ceux des mo- des de réalisation de ses diverses parties, ayant plus spécia-   lement   été indiqués; elle en embrasse, au contraire, toutes les variantes.     

Claims (1)

  1. RESUME.
    L'invention a pour objet des perfectionnements ap- portés aux dispositifs pour équilibrer les efforts sollici- tant un organe susceptible de se déplacer sous l'action d'une force d'intensité variable, notamment celle résultant de l'ac- tion d'une vitesse, lesquels perfectionnements consistent, principalement, a faire agir sur l'organe, sollicité par la force variable à équilibrer, une force antagoniste constante (tout en étant réglable elle-même) et à interposer entre ces deux forces un dispositif à leviers variables propre à faire varier l'action de la force sollicitante variable sur celle de la force antagoniste constante,
    de façon que l'ensemble soit constamment en équilibre quelle que soit la valeur ins tan- tanee de la force variable et la position qu'occupe, à tout moment, l'organe sollicité. Elle vise plus particulièrement certains modes d'application ainsi que certains modes de réa- lisation. desdits perfectionnements, lesquels comprennent aus- si : une deuxième disposition consistant à appliquer le dispo- <Desc/Clms Page number 17> sitif équilibreur ou compensateur;, tel que spécifié plus haut, à la régulation de la vitesse de rotation d'un moteur dont le régime doit pouvoir être réglé entre deux limites au gré du conducteur; tout en assurant, au besoin, 1 exécution de fonc- tions auxiliaires à des vitesses intermédiaires;
    une troisiè- me disposition consistant à appliquer le dispositif équili- breur ou compensateur,, tel que spécifié plus haut, à la com- mande des variations de multiplication d'une boîte de vitesses pour véhicules automobilesp la force variable utilisée pour la commande étant' par exemple±, celle due à Inaction de la vi- tesse d'un arbre entraîné quelconque et une quatrième dispo- sition consistant à appliquer le dispositif équilibreur ou oompensateur tel que spécifié plus haut à la commande dun em- brayage automatique dont les vitesses dembrayage et de dé- brayage doivent pouvoir être réglées suivant les circonstan- ces,, L'invention vise plus particulièrement encoreet ce à titre de produits industriels nouveaux,
    les dispositifs du genre en question comportant application desdits perfection- nements, les éléments et outils spéciaux propres à leur éta- blissement ainsi que les machines et installations, fixes ou mobiles (plus spécialement les véhicules automobiles) compor- tant de semblables dispositifs.
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