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0fECTIONNEMENTS AUX FONDEUSES OU AUX 'OlJDEUSES-C#,JJOSEUSES TYPOGRAPHIQUES"
La présente invention est relative à des fondeuses ou à des fondeuses-composeuses typographiques, et se rapporte par- ticulièrement à des machines régies par des bandes enregis- treuses et pourvues d'un porte-matrices ou d'une casse à ma- trices dans laquelle les matrices sont disposées en rangées et en colonnes et dans laquelle deux séries de goujons de calibrage commandés par la bande ou le patron enregistreur, agissent de manière à mettre en position le porte-matrice ou la casse à matrices, en vue de placer la matrice désirée au-dessus du moule dans lequel a lieu la coulée de chaque élément typogra- phique, et d'accomplir certaines autres fonctions.
Bien que, théoriquement, on puisse construire une machine prévue pour des casses à matrices contenant n'importe quel nombre voulu de matrices, la pratique a déterminé certaines restrictions.
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La machine à laquelle se rapporte la présente invention est pourvue de deux séries d'éléments ou goujons primaires de mise en position, dont chacune comporte d'habitude 15 goujons commandés pneumatiquement depuis les perforations pratiquées dans la bande enregistreuse, de sorte qu'on prévoit 15 étapes ou pas dans le déplacement, dans chaque sens,, de la casse à matrices, en vue d'amener l'une quelconque des 255 matrices au-dessus du moule, ceci étant le nombre de matrices dans une casse à matrices normale.
On désire parfois employer un plus grand nombre de carac- tères, signes, etc.., que celui pouvant être placé sur une casse à matrices de dimensions Standard, et il a déjà été pro- posé d'augmenter légèrement les dimensions de la casse à ma.trices et à prévoir des moyens pour la mise en position de ces matrices supplémentaires sans nécessiter de grande modifi- cations constructives dans la fondeuse.
On a. donc proposé une disposition suivant laquelle les 15 goujons de l'une des deux séries de goujons peuvent assurer la mise en position d'un groupe supplémentaire ou de plusieurs rangées supplémentaires de matrices, grâce à l'interposition d'un mécanisme sélectif régi par la bande enregistreuse. Sui- vant le Brevet belge ? 321.785, on prévoit des butées ou gou- jons de calibrage supplémentaires pour la mise en position d'une ou de deux rangées de matrices ajoutées à une extrémité ou à un côté, ou bien à une extrémité et à un côté de la casse à matrices.
L'objet principal de la présente invention consiste à prévoir un mécanisme simplifié régi par des combinaisons spéciales d'éléments de signaux, ou de perforations existantes
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pratiquées dans la bande enregistreuse, grâce à laquelle dis- position 15 goujons sont rendus susceptibles de mettre en position, par rapport au moule, 16 rangées ou colonnes de matrices.
Dans les dessins annexés :
Fig. 1 est une vue en plan montrant le mécanisme incor- porant, ou construit suivant la présente invention et aonliqué au mécanisme de mise en position de la casse à matrices d'une fondeuse composeuse typographique existante, ce dernier mé- canisme étant celui décrit dans le brevet belge 142.271.
Figs. 2, 3 et 4 sont des vues en coupe du mécanisme de soupape ou de commando suivant la présente invention, et Fig.
5 est une vue d'extrémité du dispositif montré dans les Figs.
2 et 4.
Dans les machines auxquelles la présente invention s'ap- plique tout particulièrement, la casse à matrices A est pour- vue de matrices Al disposées en rangées et en colonnes. A une extrémité de la casse à matrices se trouve fixée une tige A2 pourvue d'une butée A3 sur laquelle agissent des mâchoires de mise en position qui engagent l'un ou l'autre goujon ou butée faisant partie de la série B. Ces goujons sont réunis à des pistons situés dans des cylindres des moteurs pneumatiques, chaque goujon pouvant être repoussé séparément -car l'air venant de la barre à air ou de la tour C sur laquelle la, bande enre- gistreuse perforée est avancée par intermittence, en vue de régir les orifices d'air prévus dans la dite barre.
La casse à matrices A est montée de manière à coulisser dans un support ou cadre A4, monté lui-même à coulissement dans un châssis (non montré). Au cadre A4 se trouve fixée une tige A5 pourvue d'une butée A6 coopérant avec des mâchoires de mise en position
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D Dl agissant sur tous les gaujons avances de la série B1.
Le mécanisme suivant l'invention, grâce auquel il est possible de mettre en position 16 rangées de matrices au moyen de lE! goujons, par des combinaisons spéciales 'd'éléments de signaux existants, comporte une boîte ou un boîtier de soupape E dans lequel sont disposés en ligne ou en tandem un piston E1 et une soupape E2.
Normalement, tous les goujons de la série B, et tous les goujons, sauf un, de la série B1, sont retrés, le dit goujon de la série Bl étant normalement avancé.
Le piston El et la soupape E2 se déplacent solidairement sous l'intervention d'un signal donné pratiqué dans la bande enregistreuse, tandis que, sous l'intervention d'un autre si- gnal, la soupape E2 se déplace par rapport au piston E1.
Un canal e conduisant dans la partie supérieure du boî- . tier E communique, avec un tuyau e1 conduisant à une source d'air constant e2.
Lorsque le dispositif se trouve dans sa position inactive ou de repos, l'air constant entre dans le boîtier de soupape à travers le conduit e, et, après être passé autour de la partie amincie E3 de la soupape E2, s'échappe de ce boîtier par un conduit e3 et est conduit par un tuyau e4 jusqu'au dessous du piston du quinzièmegoujon B15 de la série B1, et maitient ce goujon da.ns sa position avancée.
Pour permettre la mise en position exacte de la seizième rangée de.. matrices par rapport au moule, le quinzième goujon B15 de la série B1 doit être retiré ou abaissé, de sorte que la mâchoire Dl de mise en position fait avancer la casse à matrices d'un pas supplémentaire, c'estè-dire au-delà de la limite déterminée normalement par le goujon B15.
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L'air destiné à commander le mécanisme E, établi suivant la présente invention, arrive, dans le mode d'exécution montré aux dessins, par les orifices c, c1 de la barre à air C, les- quels régissent normalement les goujons B11 et B13 de la série B.
Ces orifices c, c1, au, lieu de communiquer directement avec les goujons B11 et B13, communiquent désormais avec le boîtier de soupape E. L'orifice c communique par un tuyau e5 avec un conduit e6 qui aboutit à la partie du boîtier E, dans laquelle est située la soupape E2. Un conduit de dérivation e7 venant du conduit e6 aboutit à l'extrémité inférieure du boîtier de soupape, au-dessous du piston El. Lorsque la bande enregistreuse permet à l'air d'entrer par l'orifice sans que l'air entre en même temps par la lumière C1, cet air arrive dans le boîtier de soupape par le conduit a6. Une partie de cet air traverse le conduit e7 et soulève à la fois le niston E1 et la soupape E2 depuis la position montrée dans la Fig.) 2, jusqu'à celle représentée dans la Fig. 3.
Toutefois, ceci n'a pas pour effet de faire déviér l'air destiné au Goujon Bll étant donné que cet air passe autour d'une partie amincie E4 de la soupape E2 et quitte le boîtier de soupape par un conduit en réuni au goujon B11 par un tuyau e9. De plus, ce mouvement du piston E1 et de la soupape E2 ne gêne pas le passage de l'air constant venant de l'orifice e2 au goujon B15, étant donné que les conduits e, e3 prévus dans le boîtier de soupape communiquent encore entre eux autour de la partie amincie E3 de la soupape e2.
Lorsque la bande enregistreuse laisse l'air arriver par l'orifice c1 de la barre à air C, sans que de l'air arrive en
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même temps par l'orifice C, cet air est amené par un tuyau e 10 à un conduit e11 prévu dans le boîtier de soupape E. Une partie de l'air entrant par le conduit a11 est amenée par un conduit e12 13, un point situé à proximité de l'extrémité inférieure de la soupape E2. Cet air n'exerce aucune action positive sur la soupape, passe donc autour d'une partie amincie E5 de la sou- pape E2 et s'échappe du boîtier par un conduit e13 et arrive ensuite par un tuyau e14 au goujon B13.
Pour effectuer la mise en position d'une matrice de la seizième rangée, le quinzième goujon B15 de la série B1 doit être retiré de la trajectoire des mâchoires D D1, ce qui a lieu sous l'intervention de perforations pratiquées dans la bande enregistreuse, lesquelles dirigent l'air vers les orifices c, c1 simultanément. L'air arrivant par l'orifice c entre dans le conduit e6, traverse le conduit 87 et soulève le piston E1 et la soupape E2. L'air arrivant par l'orifice c1 afflue dans un conduit e11 et pénètre dans le boîtier de soupape à travers un conduit e12.
Etant donné que la soupape E2 a été soulevée par le piston E1 jusqu'à la position montrée dans la Fig. 3, l'air arrivant par le conduit e12 entre dans le boîtier de la soupape en-dessous de l'extrémité inférieure de la soupape e2 et soulève cette soupape depuis la position montrée dans la Fig. 3, jusqu'à celle montrée dans la Fig. 4. Dans cette dernière position, l'arrivée de l'air constant de la lumière est coupée par le corps de la soupape E2 et le goujon B15 s'abaisse ou est retiré par un ressort. Le piston E1 et la soupape E2 sont rappelés par un ressort E6 qui s'avance nor- malement depuis un creux ou évidement pratiqué dans la soupape E2 et s'appuie contre la plaque-couvercle du boîtier.
Après chaque mouvement de calibrage, les mâchoires D D1 se
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séparent et la mâchoire Dl avance en vue du cycle de mise en position suivant. Etant donné que le goujon B15 a été retiré entretemps, la mâchoire D1sa déplace jusqu'au moment où elle rencontre la mâchoire D qui, entreteps, est retournée en arrière pour venir buter contre une butée fixe F, laquelle est disposée de manière à agir comme butée pour la seizième rangée de matrices.
La tige A5 de la casse à matrices A4 traverse une ouver- ture prévue dans la mâchoire Dl et les extrémités avant les mâchoires D Dl engagent les côtés opposés de la butée ou de la tête A6 de cette tige.
E7est une plaque rotative de verrouillage. Elle est pour- vue de deux crochets d'extrémité qui engagent des vis E8 dis- posées sur la partie supérieure du boîtier de soupape E. Après avoir tourné cette plaque de manière à libérer les crochets, la soupape E2 peut être retirée de son boîtier au moyen de la tige E9.
En dédoublant le mécanisme décrit ci-dessus et en em- ployant des éléments de signaux agissant normalement sur les éléments de calibrage de la série B, on peut ajouter à l'autre côté de la casse à matrices une rangée supplémentaire de ma- trices, le quinzième goujon de cette série pouvant être main- tenu normalement relevé par l'air, comme décrit ci-dessus con- cernant le quinzième goujon de la série B1.
REVENDICATIONS.
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0FECTIONING TO MELTERS OR 'OLDER-C #, TYPOGRAPHIC JJOSEUSES "
The present invention relates to foundry or typographical foundry-composers, and relates in particular to machines governed by recording tapes and provided with a die-holder or a die-breaker in the case. in which the dies are arranged in rows and columns and in which two sets of calibration studs controlled by the tape or the recording template, act so as to position the die holder or the die breaker, in order to place the desired die above the mold in which the casting of each typographic element takes place, and to perform certain other functions.
Although, theoretically, one could construct a die breaking machine containing any desired number of dies, practice has determined certain restrictions.
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The machine to which the present invention relates is provided with two sets of primary positioning elements or studs, each of which usually comprises 15 studs pneumatically controlled from the perforations in the recording tape, so that provision is made 15 steps or not in moving, in each direction, of the die breaker, to bring any of the 255 dies above the mold, this being the number of dies in a normal die breaker.
It is sometimes desired to use a larger number of characters, signs, etc., than that which can be placed on a die case of Standard dimensions, and it has already been proposed to increase the size of the case slightly. to ma.trices and to provide means for positioning these additional dies without requiring large constructive modifications in the casting machine.
We have. therefore proposed an arrangement according to which the 15 studs of one of the two series of studs can ensure the positioning of an additional group or several additional rows of dies, thanks to the interposition of a selective mechanism governed by the tape recorder. Following the Belgian Patent? 321.785, additional calibration stops or pins are provided for positioning one or two rows of dies added to one end or one side, or to one end and one side of the die breaker .
The main object of the present invention is to provide a simplified mechanism governed by special combinations of signal elements, or existing perforations.
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formed in the recording tape, by virtue of which the arrangement of 15 studs are made capable of placing in position, with respect to the mold, 16 rows or columns of dies.
In the accompanying drawings:
Fig. 1 is a plan view showing the mechanism incorporating, or constructed in accordance with the present invention and applied to the mechanism for positioning the die breaker of an existing letterpress type founder, the latter mechanism being that described in Belgian patent 142,271.
Figs. 2, 3 and 4 are sectional views of the valve or control mechanism according to the present invention, and FIG.
5 is an end view of the device shown in Figs.
2 and 4.
In machines to which the present invention is particularly applicable, die breaker A is provided with dies A1 arranged in rows and columns. At one end of the die breaker is fixed a rod A2 provided with a stop A3 on which act the positioning jaws which engage one or the other stud or stop belonging to the series B. These studs are joined to pistons located in cylinders of the pneumatic motors, each stud being able to be pushed separately - because the air coming from the air bar or from the tower C on which the perforated recording tape is fed intermittently, in view to govern the air orifices provided in said bar.
The die breaker A is slidably mounted in a support or frame A4, itself slidably mounted in a frame (not shown). To the frame A4 is fixed a rod A5 provided with a stop A6 cooperating with positioning jaws
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D Dl acting on all advance gaujons of the B1 series.
The mechanism according to the invention, thanks to which it is possible to put in position 16 rows of dies by means of the! studs, by special combinations' of existing signal elements, has a valve box or housing E in which are arranged in line or in tandem a piston E1 and a valve E2.
Normally, all series B studs, and all studs except one, series B1, are retracted, with said series stud being normally advanced.
The piston El and the valve E2 move together under the intervention of a given signal made in the recording tape, while, under the intervention of another signal, the valve E2 moves with respect to the piston E1 .
A channel leading to the upper part of the box. tier E communicates with a pipe e1 leading to a constant air source e2.
When the device is in its inactive or rest position, the constant air enters the valve housing through the duct e, and, after passing around the thinned part E3 of the valve E2, escapes from this housing by a duct e3 and is led by a pipe e4 to the underside of the piston of the fifteenth stud B15 of the B1 series, and keep this stud in its forward position.
In order to allow the exact positioning of the sixteenth row of dies relative to the mold, the fifteenth stud B15 of the B1 series must be withdrawn or lowered, so that the positioning jaw D1 advances the die breaker. by an additional step, that is to say beyond the limit normally determined by stud B15.
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The air for controlling the mechanism E, established according to the present invention, arrives, in the embodiment shown in the drawings, through the orifices c, c1 of the air bar C, which normally govern the studs B11 and B13 of series B.
These ports c, c1, instead of communicating directly with the studs B11 and B13, now communicate with the valve housing E. The port c communicates through a pipe e5 with a duct e6 which ends in the part of the housing E, in which the valve E2 is located. A bypass duct e7 coming from duct e6 terminates at the lower end of the valve housing, below the piston El. When the tape recorder allows air to enter through the orifice without the air entering at the same time through the light C1, this air arrives in the valve housing via the duct a6. Part of this air passes through duct e7 and lifts both niston E1 and valve E2 from the position shown in Fig. 2, to that shown in Fig. 3.
However, this does not have the effect of deflecting the air intended for the Stud Bll since this air passes around a thinned part E4 of the valve E2 and leaves the valve housing through a duct connected to the stud B11 by an e9 pipe. In addition, this movement of piston E1 and valve E2 does not obstruct the passage of constant air coming from orifice e2 to stud B15, since the ducts e, e3 provided in the valve housing still communicate between them around the thinned part E3 of the valve e2.
When the tape recorder lets air flow through the hole c1 of the air bar C, without the air coming in
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at the same time through the port C, this air is brought through a pipe e 10 to a duct e11 provided in the valve housing E. Part of the air entering through the duct a11 is brought through a duct e12 13, a point located near the lower end of the E2 valve. This air exerts no positive action on the valve, therefore passes around a thinned part E5 of the valve E2 and escapes from the housing via a duct e13 and then arrives via a pipe e14 at the stud B13.
To carry out the positioning of a die of the sixteenth row, the fifteenth stud B15 of the B1 series must be withdrawn from the path of the jaws D D1, which takes place under the intervention of perforations made in the recording tape, which direct the air towards the orifices c, c1 simultaneously. The air arriving through the orifice c enters the duct e6, passes through the duct 87 and lifts the piston E1 and the valve E2. The air arriving through the orifice c1 flows into a duct e11 and enters the valve housing through a duct e12.
Since the valve E2 has been lifted by the piston E1 to the position shown in Fig. 3, the air coming through the duct e12 enters the valve housing below the lower end of the valve e2 and lifts this valve from the position shown in FIG. 3, up to that shown in FIG. 4. In this last position, the constant air supply of the lumen is cut off by the valve body E2 and the stud B15 is lowered or removed by a spring. The piston E1 and the valve E2 are biased by a spring E6 which advances normally from a hollow or recess in the valve E2 and rests against the cover plate of the housing.
After each calibration movement, the jaws D D1 are
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separate and the jaw Dl advances for the next positioning cycle. Since the stud B15 has meanwhile been withdrawn, the jaw D1sa moves until it meets the jaw D which, in the meantime, is turned back to abut against a fixed stop F, which is arranged so as to act as stop for the sixteenth row of dies.
The rod A5 of the die breaker A4 passes through an opening provided in the jaw D1 and the front ends of the jaws D D1 engage the opposite sides of the stopper or the head A6 of this rod.
E7 is a rotary locking plate. It is provided with two end hooks which engage E8 screws placed on the upper part of the valve housing E. After turning this plate so as to release the hooks, the valve E2 can be removed from its housing. by means of the rod E9.
By duplicating the mechanism described above and employing signal elements normally acting on the B series calibration elements, an additional row of dies can be added to the other side of the die breaker, the fifteenth stud in this series being able to be maintained normally by air, as described above with regard to the fifteenth stud in the B1 series.
CLAIMS.
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