BE367801A - - Google Patents

Info

Publication number
BE367801A
BE367801A BE367801DA BE367801A BE 367801 A BE367801 A BE 367801A BE 367801D A BE367801D A BE 367801DA BE 367801 A BE367801 A BE 367801A
Authority
BE
Belgium
Prior art keywords
mold
metal
pocket
molding
loading
Prior art date
Application number
Other languages
English (en)
Publication of BE367801A publication Critical patent/BE367801A/fr

Links

Landscapes

  • Casting Support Devices, Ladles, And Melt Control Thereby (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
 
 EMI1.1 
 npROCEDE ET APPAREIL POUR LA ,0'(T.: D3 1.JT ',U-f "2 UTl-L)1! 
 EMI1.2 
 La présente invention se rapporte à un procède et 'CI un appareil pour la couléedes métaux et autres. 



   Suivant l'une   dos   principales   caractéristiques   de l'invention, est réalisé un procédé pour la   coulée   des métaux 
 EMI1.3 
 à haute température de fusion et lJarticulièreuGnt du fer et (le l'acier, dans lequel l'opérateur est un ouvrier   ordinaire   et les produits obtenus sont de   haute     qualité   tandis que le ren- dement de l'installation est excellent.   Pour   mettre en oeuvre ce   procède,   ont été combinés une variété d'appareils   utiles,   dont les détails peuvent être considérablement variés sans 
 EMI1.4 
 gçortir adre de l'invention. 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 



   Le dessin annexé représente, à titre d'exemple, certains de ces appareils, conformes au procédé suivant la présente invention. 



   La   figure   1 est une coupe suivant la ligne 1-1 de la   figure  2; cette figure comprend également des parties de   dispositifs   de contrôle et de circuits de contrôle non repré- sentés à la   figure     2.   



   La figure 2 montre un ensemble de dispositifs ou machines à mouler pour la manoeuvre des coquilles d'un moule permanent,   d'une   poche d'alimentation du moule, de moyens auto- matiques d'alimentation du métal dans la poche, d'un dispositif désigné ici sous le nom de "normaliseur" et d'un dispositif de transport pour amener une pièce moulée terminée au   "normaliseur"     immédiatement   au moment de l'ouverture des coquilles du moule permanent. 



   La figure 3 est une vue de détail montrant l'arbre d'un mécanisme de réglage et les organes des moyens de contrôle pour manoeuvrer à une cadence déterminée une coquille de la figure 2 relativement   à   l'autre coquille. Le détail pour la seconde coquille est arrangé de la même façon que celui représentée mais un tel détail additionnel n'a pas été repré- senté pour éviter toute confusion et la représentation de la figure 3 est séparée de celle de la figure 2 pour la même raison. Sur l'arbre du mécanisme de réglage est également mon- tée une came contrôlant un commutateur pour le contrôle addi- tionnel des appareils de l'installation. 



   Les figures 4 et 5 montrent, sous forme schématique, une disposition   d'un   groupe d'éléments de moulage automatique et de moyens d'alimentation en métal fondu des poches   d'alimen-     tation.   



   La figure 6 .est une vue schématique d'une machine à   mouler,¯d'un   mécanisme de réglage d'une poche de chargement des 

 <Desc/Clms Page number 3> 

 coquilles, de moyens d'alimentation de la poche, de moyens d'amenée du   métar   moulé au "normaliseur" et du mécanisme con- voyeur pour les noyaux -ce dernier étant utilisable aussi pour enlever les pièces fondues du moule au "normaliseur". 



   Les figures 7 et 8 sont des vues en plan et de côté, respectivement, de la machine à mouler du "normaliseur" et du convoyeur représenté avec plus de détails qu'à la figure 6, mais avec certaines parties constructives   (particulièrement   le mécanisme de mesure) enlevées pour plus de clarté. 



   La figure 9 est un détail d'une partie du mécanisme d'entraînement pas à pas pour le convoyeur représenté aux figu- res 6, 7 et 8 et 
La figure 10 est une vue schématique montrant la disposition appliquée pour coordonner les parties automatiques de l'ensemble des appareils sous le contrôle du mécanisme de mesure, à l'exception du mécanisme xxxxxxxx d'alimentation en métal de la poche de chargement des coquilles qui est placée sous le   contrôle ..d'un   mécanisme de mesure indépendant, l'un de ces mécanismes étant rendu inopérant   à   certaines périodespar le mécanisme de mesure principal. 



   En présentant une description complète de l'invention, beaucoup de détails de 1(installation ont été omis, du fait que les hommes de l'art sont eh mesure de trouver rapidement une grande variété de formes d'exécution susceptibles d'en tenir lieu 0'est ainsi que les formes d'exécution, représentées pour la mise en oeuvre du procédé suivant l'invention, ne sont que de simples exemples suceptibles de nombreuses modifications. 



   Puisque l'invention est en grande partie constituée par le procédé de conduite des opérations du moulage , les des- sins sont simplement destinés à montrer l'appareillage utile (soit des machines indépendantes,   soit appareils   statiques). Les      

 <Desc/Clms Page number 4> 

 dispositions combinées de ces appareillages sont' décrites sous une ou deux réalisations pratiques pour permettre à quiconque de mettre en oeuvre l'invention comme procédé ou appareils. 



  Aux figures 1 et 2 est représentée une forme simple de moule permanent (qui peut comporter toutes sortes de cavités de mou- lage) en deux coquilles 1 et 2. Ces deux   qoquilles   1 et 2 sont rapprochées et séparées par les mouvements réglés   de   pistons   disposés   dans des cylindres opposés 3 et 4. Les tiges de pistons s'étendant depuis les cylindres déplacent des plate- formes 5 qui comportent des galets se déplaçant sur des che- mins 6 montés sur le châssis 7 de la machine, Cette dispo- sition supporte les deux coquilles d'un moule qui sont'ainsi entièrement entourées par l'air à l'exception des points sup- portant la charpente.

   Il est clair que par le réglage du fonc-   tionnement   des pistons, les deux coquilles peuvent être rap- prochées et peuvent s'apppyer l'une sur l'autre pendant une période de temps déterminée et ensuite séparée pendant une période de temps déterminée, ce cycle d'opérations étant répété indéfiniement durant les opérations   démoulée   rapidement répétées. 



   Dans la figure 1, la goulotte a pour la cavité du moule est indiquée. Une poche de   chargemeht   9 (montée sur des roues et sur une   plte-forme   de pesage 10 portant des voies de roulement pour les roues) est disposée avec sa gouttière de vidange en coïncidence avec la goulotte a du moule. L'opéra- tion de chargement du moule consiste, au moyen d'une tige 11 actionnée par un piston moteur 11a,   à   soulever la plate-forme 10 de son bâti fléau en forme de fourche b jusqu'à ce que la gouttière de décharge soit amenée en   coïncidence   avec la goulotte a.

   Ce mouvement de soulèvement de la poche 9 amène, en coïncidence, un orifice d'air sous pression dans sa paroi supérieure avec un tuyau y d'arrivée d'air sous pression et applique, vers le haut, une tige de soupape rappelée élastiquement 

 <Desc/Clms Page number 5> 

 de façon à ouvrir la soupape à air normalement fermée dans le tuyau y, comme représenté. L'opération indiquée admet une pression d'air   à   la poche fermée 9 par   l'intermédiaire   du tuyau y   pour   fransvaser, par un refoulement sous pressi on le métal dans la cavité du moule fermé 1-2.

   Après une période de temps oonvenable, la poche 9 est abaissée, les deux co- quilles de moule séparées et la pièce moulée tombe du moule dans la glissière 12, grâce   à   quoi elle se trouve immédiate- ment' transportée, à travers la porte flexible 13, dans le horma "xxxxxxliseur" 14, puis la porte 13 ( comme un volet) ferme ce dernier. 



   Le poids du métal dans la poche 9,   (ainsi   que le poids de cette dernière) quand elle est placée sur la plate-forme 10 au-dessus de l'extrémité en forme de fourche b du fléau et le poids de la plate-forme, déterminent l'ouverture de la sou- pape 15 de la poche de coulée 16 par la tige de piéton 17 déplacée dans le cylindre 18. L'équilibrage est tel que la poche 9 est remplie à travers la porte 19, de métal chaud (pourvu que du métal chaud soit également fourni à la poche-16) quand l'alimentation en métal tombe au-dessous   d'un   certain poids. Ensuite. le poids/de la nouvelle charge agit sur le   fléau   b pour fermer la soupape 15. Les moyens pour effectuer cette opération, ainsi que ceux pour l'ouverture de lu, porte 19, seront décrits, ci-après, en premier lieu, en référence à la figure 1. 



   Le mouvement nécessaire de la poche do   chargement   9 consiste dans une course vers le haut pour   amener   sa buse de coulée en coïncidence avec la   roulotté   a du moule et pour, en même temps, se mettre en   communication   avec le tuyau d'air   ::JOUG   pression y et un mouvement vers le bas qui   l'écarté   des deux coquilles 1 et 2 pour permettre à celles-ci de s'ouvrir.

   Le cylindre à air 11a (indiqué schématiquement) actionne un piston   @   

 <Desc/Clms Page number 6> 

 11 pour produire ces mouvements ascendante et descendant.   La   porte dechargement 19, amenée par glissement en position .d'ouverture et de fermeture par un électro-aimant d (le fonc- tionnement de ce dernier étant indique par des moyens   conven-   tionnels pour éviter toute confusion dans les dessins) est amenée (par le mouvement qui provoque la coïncidence avec la Goulotte   a   du moule) dans une position de fermeture étanche contre des organes de butée en forme d'ailettes 19' s'étendant à partie de la gouttière 20.

   Ceci est désirable puisque, en position de chargement du moule, l'air sous pression est admis à la poche 9 et que la porte 19 doit être maintenue fermée hermétiquement. 



   Quand la¯poche 9 est abaissée, elle repose sur le châssis fléau b (au dessus duquel elle était soulevée par le piston 11). Dans cette position abaissée de la poche 9 reposant sur le fléau, la porte 19 est en position pour s'ou- vrir et la pression d'air du tuyau y est coupée. Le châssis fléau b est pivoté en N et comporte un contrepoids réglable N3 coulissant sur une barre N2. Il est évident que, lorsque le poids de la poche 9 et de son contenu est suffisant, le contrepoids N3 est maintenu élevé et sa tige de commutation n est écartée des contacts n1 et n2. Cette position est la po-. sition normale avec la poche 9 à sa position basse de non chargement du moule. Aussitôt que le métal en fusion nécessite le remplissage dans la poche 9, son poids n'est plus suffisant pour maintenir la tige ou barreau N2 et son contrepoids N3 en position supérieure.

   Ainsi, ces organes tombent (soulevant quelque peu la poche 9 vers le haut mais pas assez'pour produite un effet spécial) et les contacts n   coiffent   les contacts n1, n2 fermant un circuit   d'excitation   pour l'électro   n   (pourvu que la commutateur 101 soit fermé et un tel commu- tateur est en   position.fermée   ou ouverte, respectivement suivant 

 <Desc/Clms Page number 7> 

 la position du mécanisme principal de réglage et la position, ouverte ou fermée des coquilles, comme on l'explique plus   loin).   



     L'électro   n3 actionne une valve de contrôle o pour mettre en communication le cylindre à air 18 avec une conduite d'alimentation en air sous pression, pour actionner ou lever la soupape 15 ou, quand l'électro est désexcité, pour mettre le cylindre à l'échappement et   permettre   à la sou- pape 15 de se fermer par   gravite.   Tout cela   apparaîtra   de façon évidente par l'examen de la   talve   et des connexions représentées.

   Tels que les organes sont représentée à la fi- gure 1, le cylindre 18 est ouvert à l'échappement sur la conduite d'évacuation, mais quand la tige de soupape de   la.   soupape o est soulevée par l'électro n3, le fonctionnement met en communication le cylindre 18, avec une source convena- ble de fluide. sous pression, grâce   à   quoi son piston est actionné pour abaisser la tige de piston 17 et soulever la valve 15 tarée par l'intermédiaire du levier de liaison représenté. 



     ,Un   électro-aimant d est intercalé dans le même cir- cuit que l'électro n3. pour ouvrir la porte 19 chaque fois que la soupape 15 est ouverte. L'armature de l'électro d peut être rappelée élastiquement en position de fermeture de la porte quand le circuit de l'électro est muvert. Les moyens simples représentés sont simplement représentatifs du fonction- nement car il est bien évident qu'en réalité des moyens mieux: étudies et plus compliqués sont appliqués dans les formes d'exé- cution étudiées pour la mise en oeuvre du procédé suivant l'in-   vention.   



   Il sera maintenant clair que, lorsque le débit de   métal   chaud dans la poche 9 nécessite le remplissage, son manque de poids provoque l'excitation des électros   n et   d, ce qui provoque l'ouverture de la porte 19 et l'alimentation en métal fondu depuis la poche 16 jusqu'à ce que le poids ajouté   @   

 <Desc/Clms Page number 8> 

 dans la poche 9 provoque la coupure du circuit des électros, fermant la porte 19 et la soupape 15.

   Il est également clair que le réglage du contrepoids N3 sur la barre N2 dé- terminera le chargement complet de la poche 9, Comme xxxxxx il sera précisé plus loin,   l'alimentation,   en métal fondu dans la poche 16 est placée de préférence sous le contrôle des -opérateurs qui limitent de façon intermittente la poche au moyen d'une poche de coulée montée sur une grue ou autrement déplacée. 



   De la partie précédente de la description il ressort évidemment que lescoquilles 1 et 2 peuvent être fermées et ouvertes périodiquement (de préférence au moyen   d'un   dispositif de réglage à décrire) avec un séjour en position fermée assez long pour recevoir une charge de métal fondu depuis la poche 9 et pour suffisamment refroidir ce métal pour permettre d'é- vacuer la pièce' moulée. D'autre part, par la disposition re- présentée à la figure 1, aussitôt que le moule est ouvert, la pièce moulée est immédiatement transportée au   "normaliseur"   14. 



  Il est enoutre évident que ces opérations sont réparties de façon qu'elles puissent être réalisées suivant une cadence déterminée hors du contrôle normal de l'opérateur soit pour l'opération de chargement du moule, soit pour l'opération de remplissage de la poche, soit pour les deux ensemble. La   repré-   sentation dans les figures 1 et 2 est simple et les raisons de 
 EMI8.1 
 cotte xKtpsiE3 simplicité apparaîtront bientôt. 



   On pourrait même plus simplement faire ouvrir la porte 19 par l'ouvrier surveillant la machine et en remplis- sant fréquemment la poche 9 avec du métal fondu   à   partir d'une alimentation principale telle qu'une poche manoeuvrée par une grue et qui se déplacerent à partir de l'alimentation   d'un   cubilot. 



   Cebque l'on désire par la simple représentation des figures 1 et 2   c'est   de montrer la suite des opérations et la disposition 

 <Desc/Clms Page number 9> 

   convenable   des appareils en conformité avec les   caractéri@tiques   
 EMI9.1 
 liV,ïli;S coî7.C..':¯,.: ¯ 1a '(' 1 J : 4, - j1 "r, r¯ 1 -' - 4 - ¯ ,¯ l'acier.   (Il   est bien entendu que les autres métaux similaires ne sont par omis pas plus que les alliages de cuivre ou autres qui fondent à. haute température et dont le traitement/ provoque beaucoup de difficultés). 



   On prend le fer comme exemple pour exposer les carac- téristiques de l'invention. Dans le fonctionnement d'une ma-   chine   automatique à mouler, la quantité de métal consommé par les opérations rapides de la machine durant une période de temps, est grande par rapport aux parties métalliques de la machine elle-même. Lorsque le métal manipulé dans la machine est du fer fondu et plus particulièrement lorsque chaque pièce coulée est grande, la quantité de chaleur qui doit être dissipée est   énorme.   Ces faits sont compris dans un ou plusieurs problèmes définis concernant l'alimentation du métal, le contrôle de sa température et le traitement thermique des pièces moulées durant les diverses opérations, avec des métaux à haute température de fusion. 



   Dans les figures 1 et 2 on voit qu'il est prévu une poche de chargement qui ne comporte pas de moyens pour maintenir la chaleua du métal ou des opérations de chauffage dans l'ensemble de la   machine.   On voit clairement que pour actionner la machine, des moyens sont disposés pour remplir en métal et par intermittence la poche et cette opération de remplissage comprend la phase qui consiste à fournir toute la chaleur nécessaire pour maintenir le métal fondu en état pour la coulée. Cette chaleur est entretenue uniquement par l'ali- mentation renouvelée de métal chaud effectuée par intermittence dans la pooge   9.   L'avantage,du fait qu'on   maintient   une grande masse de métal fondu à la température désirée pour couler, en fonderie est largement employé.

   Pour cette raison, il est 

 <Desc/Clms Page number 10> 

 préférable de ne pas mettre la phase du chauffage en associa- tion étroite avec les phases nécessairement rapides des opéra- tions de moulage. La capacité de la poche par rapport   à   la capacité des opérations rapides de moulage est choisie dans une   porportion   telle que, lorsqu'une alimentation en métal chaud, fournie à la poche, est consommée, une alimentation nouvelle est fournie assez rapidement pour éviter toutes les'opérations de réchauffage de la machine.

   La capacité de radiations calo-   rifiques   de la poche 9 est bien connue de sorte qu'il est seu- lement nécessaire de remplir, la poche par intermittence avec une charge de métal chaud pour qu'on reste toujours à une   tem-   pérature désirée de coulée permettant de compenser les pertes par radiation. Cette charge peut être transportée à partir d'une alimentation principale dans la poche 16 d'alimentation ou directement dans la poche 9. 



   Une particularité caractériotique de l'invention, sur laquelle il convient d'insister se rapporte à la rapidité de manipulation du métal pendant les opérations   de   coulée et à l'alimentation, par petites quantités   intermittentes,'de   rem- plissage pour éviter en principe   l'emmagasinement   du métal et par suite les opérations de chauffage 'qui sont remplacées par la rapide cadence répétée de'   la' coulée   comme   indiqué.   Il est pré- férable de réaliser ce qui précède 'en chargeant'la poche d'une petite   quantité   par rapport à la quantité coulée de métal de cette poche dans une courte période de temps, Ceci évite un équipement onéreux pour stocker et chauffer le métal dans l'appareil montré par les figures 1 et 2.

   La poche 9 peut être   établie à   bon marché tel que son remplacement n'entraîne que. des frais réduits, de plus l'appareil pour réaliser une très grande production de pièces moulées est essentiellement une machine ne comportant   pas.de   dispositifs accessoires tels que des moyens de stockage, des équipements de chauffage; ces. 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 derniers étant remplacés par une station centrale qui alimente un certain nombre de machines à mouler comme indique. 



   L'importance du   "normaliseur"   14 en ce qui concerne la phase de moulage sera maintenant montrée, Sur la figure 1, il est montré clairement que, immédiatement à l'ouverture des   coquilles   1 et 2 du moule, le fer moulé tombe du moule dans le "normaliseur" 14. L'opération préférée est de maintenir ensemble les coquilles après la phase de, chargement du moule, juste assez pour que la pièce moulée puisse se supporter elle- même lorsqu'elle est libérée, mais pas au delà de ce poinr requis pour la sécurité. Lorsqu'on libère la pièce moulée, l'intérieur de celle-ci peut être en fusion dans des conditions de moulage (pour les grandes pièces coulées) et seulement la couche superficielle est solidifiée.

   On not era que les coquilles du moule sont montées dans une position suspendue et   entièrement   entourée par l'air, de sorte que la chaleur peut être   dissipée   excessivement rapidement des coquilles 1 et 2 du moule perma- nent. Le fonctionnement de le machine permet cette   rapide   dissipation de la chaleur, mais cette perte de chaleur du métal coulé n'est réalisée que pendant une courte période de temps nécessaire pour solidifier suffisamment le métal pour permettre l'évacuation de la pièce moulée. Les demandeurs envisagent particulièrement, avec du fer ou de   l'acier,   d'évacuer la pièce moulée en principe dans les conditions de   température.maximum   lui permettant de se maintenir comme une pièce complètement solidifiée.

   La pièce moulée est admise dans cet état à l'inté- rieur du "normaliseur" 14. Et, dans ces conditions, elle est refroidie assez lentement dans le "normaliseur" pour assurer, au métal, un traitement thermique fourni par la chaleur du métal de la   pièce   moulée. Le "normaliseur" peut en quelque sorte être considéré comme un four à recuire. Liais les pièces moulées, suivant le prooédé objet de l'invention (la phase du transfert immédiat depuis le moule jusqu'au "normaliseur") sont d'une 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 qualité supérieure aux pièces coulées recuites àla manière habituelle.

   La raison de ceci est la suivante : lorsque la pièce est formée dans le moule elle   n'est   pas refroidie ensuite suffisamment   à   lui instant quelconque (lorsque.le procédé objet de l'invention est appliqué) pour permettre la condition qui nécessite le recuit. C'est-à-dire la structure métallographique du métal ne   s'établie   pas avec des tensions et, par suite, les tensions sont corrigées par le traitement de recuit ordinaire. 



     Au.   contraire, dans le procédé suivant   l'invention,   le métal se refroidit uniformément de manière à éviter la phase de tension qui est souvent si préjudiciable aux articles du commerce en fer coulé et qui ne peut pas du   tout corrigea   uniformément par l'opération du recuit dans la fabrication ordinaire,- Cet exposé de l'avantage du procédé suivant l'invention ne donne pas lieu à une limitation sensible quelconque, du fait que la pièce moulée doit assez refroidie dans le moule pour être expulsée dans un état de cohésion propre   à lui   conserver sa forme. Dans le refroidissement du fer coulé, le métal qui étaitpréalablement dilaté se contracte.

   Il se solidifie (assez pour conserver sa forme) avant qu'il se contracte au volume à partir auquel il   commençait   à se dilater. Si, dans cet état de solidification (que l'intérieur soit liquide ou non), il est expulsé du moule et qu'il lui soit permis de se   refroi-   dirassez lentement dans le "normaliseru"   14,   le métal ne passe pas par la phase qui nécessiterait un recuit. Cette théorie cependant n'est pas absolument nécessaire aux avantages que procurent l'invention. 



   On voit que le "normaliseur" 14 est montré simple- ment comme un réceptacle fermé pourvu de parois calorifuges et, de portes flexibles 13 d'extrémité, pour retenir la chaleur des pièces coulées assez pour assurer le long moment de refroi- dissement désiré. La technique du refroidissement dans les   fours .  à recuire après que le chauffage du recuit a été fourni, 

 <Desc/Clms Page number 13> 

 est tellement évidente qu'il n'y a pas lieu d'insister. On fera remarquer simplement que dans le   procède   objet de l'inven- tion une chaleur suffisante est fournie,   d'une   manière abso- lument uniforme, au four , par les pièces moulées venant di- rectement du moule, et elle n'est pas obtenue de sources exté- rieures de chaleur.

   En d'autres termes, le four de refroidis- sement suivant l'invention est un four à recuire mais ce four est bdénommé "normaliseur" pour le distinguer de la phase de refroidissement des phases ordinaires de   recuit.   Tandis que l'économe de chaleur, habituellement employée dans les opéra- tions de recuit est importante dans l'opération suivant l'in-   vention ;  le traitement de chaleur uniforme, donne: aux pièces moulées. est plus Important puisqu'il donne une meilleure qualité aux pièces moulées. 



   On vient de décrire le "normaliseur" 14 et ses effets sur le moulage du fer et de l'acier suivant le procédé objet de l(invention Il y a des avantages à faire subir un traitement à une température désirée, aux pièces moulées ou autres métaus à très hautes températures de fusion dans lesquels un refroidissement rapide est de préférence à éviter. 



   La figure 3 illustre, schématiquement, les moyens pour actionner automatiquement chacune des coquilles 1 ou 2 du moule, Le cylindre 3 comporte un piston et des tuyaux 21 et 22   d'arrivée     d'un   fluide et qui sont reliés aux extrémités opposées du cylindre, Ces tuyaux aboutissent, par une valve de contrôle, de tout type convenable, disposée dans une boîte 23,   La.   valve particulière de contrôle (non représentée) pour le cylindre   3,   peut avoir sa partie mobile actionnéepar un engre- nage 24 qui est entraîné.

   en rotatïon, par une crémaillère 25 poussée vers le haut par un ressort 26 et déplacée, vers le bas, par une came 27 clavetée sur   l'arbre   28 déplacé   angulci-   rement au moment convenable, Le mouvement alternatif de haut   @   

 <Desc/Clms Page number 14> 

 en bas de la crémaillère 25 déplace, en rotation, d'un mou- vement alternatif, l'engrenage 24. Par des lumières appropriées, dans la valve particulière de contrôle reliées aux extrémités des tuyaux 21 et 22, ceux-ci sont alternativement mis en communi- cation avec une pression appropriée d'air et les conduites d'échappement de pression non indiquées.

   Le tuyau. 102 est une conduite de pression d'air, de toute source convenable, pour toutes les valves de contrôle qui seront indiquées et   gro.upées   pour plus de   commodité   dans la boîte 23. 



   Dans la position des organes   montré.s   par la figure 3 les coquilles du moule sont fermées. Si l'arbre 26 est dé- placé en rotation dans le sens des aiguilles d'une montre, la saillie de la came   27   maintiendra l'organe de contrôle dans la position de fermeture du moule pendant une demi révolution environ, puis permettra alors au ressort 26 de soulever la crémaillère 25 qui déplace l'engrenage 25 amenant l'organe de contrôle dans la position d'ouverture pendant une rotation un peu moins grande   qu'une   demi révolution. Comme l'arbre 28 tourne en concordance   suivant   un temps déterminé, gar rapport au travail à exécuter, on voit clairement que la coquille 2 est déplacée alternativement en position ouverte et fermée. 



  La coquille 1 est sous un contrôle similaire, non représenté, mais qui peut évidemment être combiné avec la   bofte   23, l'arbre réglé   28   et réglé selon une cadence correspondante. 



  La came 50 sur l'arbre 28 ouvre le bras oscillant   .d'un   commutateur 31 d'un circuit qui est un circuit avec des êleo- tro-aimants n3 et d montrés par la figure 1 et cette tige de commutateur contrôle le commutateur indiqué en   101   dans le circuit comportant les électro-aimants n3 et d. Ce commutateur 101 est maintenu ouvert lorsque les clapets de   contrôle  des pistons 3 et 4 sont dans la   position, de   fermeture 

 <Desc/Clms Page number 15> 

 du moule et est fermé lorsque le moule est ouvert. Par ces moyens de contrôle, il est impossible de verser le métal de la poche   16   lorsque la poche 9 doit être élevée à la position de chargement du moule.

   La cadence du mouvement d'élévation et d'abaissement de la poche   9   par le cylindre 11a et le piston 11 (figure 1) est contrôlée par un mécanisme à valve de contrôle appropriée combiné avec la bôite 23 et actionné, par une came de l'arbre réglé   28,   d'une manière similaire à   l'actionnement   du cylindre 3 (figure 3). La disposition de réglage, des différents organes, est clairement indiquée par le diagramme de la figure 10. 



   Dans les figures 4 et 5 est indiquée en plan et en élévation, une installation à grande production pour la mise en oeuvre de l'invention. Un cubilot 97 et un four   4/sole   ouverte 98 montrent respectivement des sources appropriées ou des points d'alimentation de fer et d'acier fondus. Une voie, portant un mécanisme   99   de grue avec poche,   s'étend   de l'une à l'autre des sources pour permettre l'alimentation à chaque source. Entre ues   alimentations   sont disposées des séries de postes de moulage qui peuvent être allignés en ran- gées opposées, une près de chaque voie ( une rongée seulement étant indiquée). 



   Ces postes' sont simplement indiqués par les contours les machines à mouler et des   "normaliseurs"   93-90, 94-91, 95-92. 



   ,Une poche de chargement du moule, pour chaque poste, est mon- trée en 100 sur la figure 4. Chaque poche est montrée montée sur roués pour être déplacée sur la voie et pour être amenée sous les coquilles lorsqu'on le désire. Les gouttières d'ali- mentation des poches sont indiquées en 96 et sont similaires à la gouttière 20 (figure   1).   



   Le fonctionnement normal de chaque groupe, comme -décrit en* accord avec les figures 1 et 2, consomme une charge 

 <Desc/Clms Page number 16> 

 unique de métal fondu (dans la capacité du pot de chargement), très rapidement et ces pots peuvent être alimentés, comme montre à la figure 1 par des poches 16 d'alimentation où directement par la manipulation   d'une   porte d'une poche de chargement de la grue à poche, si on le désire, afin d'éviter la complication de   1'.alimentation   automatique, à partir d'une poche 16 d'alimentation, comme dans la figure 1. Mais l'a- limentation automatique   à   partir de la poche 16 est. préféra- ble, dans beaucoup de cas d'application de.l'invention. 



   Il est important de noter que même lorsque cette opé- ration manuelle est prévue dans   le. projet,   l'habileté de l'opé- rateur est pratiquement éliminée dans les phases de coulée, 
Dans une installation à production massive, le métal dans la   grue 11   poche est continuellement et normalement déchargé; l'a- limentation de cette poche étant effectuée à partir   d'un   cubi- lot 97 ou   d'un     four   98. Ainsi, si l'opérateur manque ou laisse passer le temps de remplissage de l'une des poches 100 de chargement, le métal de la charge précédente de ce dernier est consommé et, de toute manière, assez rapidement, pour éviter des mauvaises pièces moulées.

   La machine automatique, surveillée par le conducteur de la grue, peut continuer à fonctionner mais ne peut réaliser de pièces coulées. Si elle est alimentée avec du métal de la poche de la.grue de toute manière, les phases de coulée   donnent   de bonnes pièces coulées, en admettant seu- lement que 1 alimentation principale en métal provenant du cubilot du four ou de   la   poche de la grue, soit maintenue   à ,   un degré de température désirée   pomr   la coulée.

   Cette   dernière   est une chose connue, facile à accomplir et sur laquelle on peut compter, tandis que le fait de maintenir la température   au   moyen d'opérations de chauffage au degré aussi élevé qu'il est      requis dans le moulage du fer ou de leader, ou des moyens d'a- limentation à grande réserve formant une partie de la machine 

 <Desc/Clms Page number 17> 

 ou appareillage à mouler et   place   près de   chaque   groupe, ne sont pas seulement inefficace et dispendieux mais dans certains genres de   travaux:   absolument prohibitifs.

   C'est de fait qui intervient le plus dans le très lent   développement   du travail des métaux moulés tels que le fer et l'acier sans   l'intervention   d'une main d'oeuvre expérimentée et le place sous des opérations automatiques et sous le contrôle des procédés à oroduction massive. 



   Les figures 6, 7 et 8 montrent une disposition   d'une     machine   ou appareil à mouler établi sous une l'orme préférée de mise en oeuvre du procédé suivant l'invention. Quelques possi- bilités de l'invention seront mieux comprises en se reportant   à   ces figures et en comparaison avec ce qui a été   indique   en référence aux figures 1   à   3. 



   La figure 6 montre une cubilot 50 d'alimentation en métal fondu. Des roues pour une grue à poche 52 s'étendent du cubilot à un ensemble d'une machine à mouler. Dans cet ensemble   d'une   machine à mouler, une poche d'alimentation, cro- respondant à la poche 16 de la figure 1 et une poche de chargement, correspondant   à   la poche 9 et chacune étant ac-   tionnée   comme décrit, sont représentés. Le   pot   52 de la grue maintient alimentér la poche 16 pas les manoeuvres d'un ouvrier.

   Cette disposition permet   l'opération   de chauffage et une grande réserve de métal fondu dans le cubilot 50 au autre -source d'alimentation principale chauffée d'une manière appro- priée comme représentée en 50, une alimentation intermédiaire relativement petite à la poche 16 et une alimentation finale de faible chargement à la poche 9. Par le fonctionnement   réguler   de la machine à mouler, le métal fondu est toujours disponible, mais les moyens pour le maintenir sous une assez grande quantité, sont placés à distance de la machine automa- tique et comme   indiqué   par la pratique habituelle de la fonderie 

 <Desc/Clms Page number 18> 

 dans laquelle on a du métal disponible de moulage. 



   On a   indiqué ,sur   la figure 6, les coquilles 61 et 62 du moule, actionnées par des pistons de cylindres 63 et 64 et les conduites de   pression'd'air   de chaque cylindre (qui sont similaires à celles montrées par la figure 3) et qui s'étendent jusqu'au mécanisme 70 de contrôle. L'arbre réglé, dans ce dernier mécanisme, est actionné par un engrenage 58a et com- porte des cames pour actionner toutes les valves de contrôle des différents cylindres, comme déjà décrit. 



   Dans la même figure, on a représenté un "normaliseur" 71 allongé (assez long pour contenir les pièces coulées pour le traitement thermique désiré) à travers lequel un mécanisme convoyeur à   ohaîne   transporte les pièces moulées, terminées. Un mécanisme identique est employé pour'transporter, d'une manière intermittente, les noyeaux entre les coquilles du moule   perma-   nent, de sorte que chaque pièce moulée peut être du type à noyau lorsqu'on le désire. Ce mécanisme convoyeur est mieux montré par les figures 7 et 8. 



   Dans ces figures, les organes de la machine à mouler, tels que les transporteurs de moules sont omis et cette liberté est prise sur le dessin pour éviter une confusion.   ûne   voie circulaire 80   -(-montée   d'une manière appropriée sure un bâti non représenté) passe au-dessus d'une chaîne convoyeuse 81 (figure 8) déplacée par quatre roues à   chatne   82, 883, 84 et   85.   



   L'arbre de la roue 84 à chaîne est   l'arbre   mené donnant des mouvements intermittents équivalents au déplacement de la chaîne. Ceci peut être accompli en   actionnant   l'arbre du dispositif à pignons'd'angle, montré par la figure 7 par toute source motrice appropriée représentée   Ici, 4   titre   d'exem-   ple seulement, par une botte d'engrenages 120. Dans cette boîte est une série d'engrenages,reliés à l'extrémité menée d'un   arbi ' ? . et   l'extrémité menante d'un levier basculant 122. 

 <Desc/Clms Page number 19> 

 



   Ce dernier est basculé périodiquement, par le fonctionnement de la tige 123 du piston, actionnée alternativement par un piston   d'un   cylindre 124 à air (figure 9). Ce dernier com- porte des   conduits   125 et 126 d'air et fonctionne sous le contrôle réglé d'une came qui peut être ajoutée sur l'arbre réglé 28 et d'une valve de contrôle de fonction correspondant   à   oelle des cylindres 3 et 4 de la figure 1. Le basculement du levier 122 est transmis à un   mécanisme   à cliquet et rochet d'une   botte   à engrenages 120 pour actionner les engrenages de celle-ci et l'arbre 121, d'une quantité déterminée dans une direction seulement, mais à des intervalles intermittents désirés.

   L'arbre   121   est tourné juste suffisamment dans   chaque   opération motrice, pour déplacer la chaîne 81, pour transporter un noyau dans la position exacte entre les coquilles   . du moule,   lorsque celles-ci sont ouvertes et pour transporter une pièce moulée terminée hors des coquillesdu moule lès   qu'elles   sont ouvertes, vers une position intérieure au "norma- liseur" comme il sera indiqué.

   On peut réaliser l'actionnement intermittent désiré de la chaîne convoyeuse 81 suivant une cadence déterminée de diverses manières, par exemple au moyen   d'un moteur   freiné magnétiquement sous le contrôle d'un commu- tateur à temps déplacé, soit par des contacts, soit par la voie adjacente 80 qui, comme les crochets, se déplace pas à pas, soit par un commutateur actionné par une came reliée au méca- nisle principal de réglage de la machine. On n'ajoutera rien à la clarté de l'exposé en mentionnant d'autres moyens connus pour actionner un arbre tel que 121 suivant un déplacement angulaire d'une valeur déterminée et dans des périodes inter-   'mittentes   de temps. 



     Une   série de crochets espacés 87   roulent   sur la voie 80 et chaque crochet est relié, d'une manière appropriée et amovible, connue par une fourche élastique 87a disposée 

 <Desc/Clms Page number 20> 

 sous un   rebord   d'une tige 88 pour supporter le poids d'une tige 88 à noyau et sa charge, cette tige est reliée, à la chaîne, pour être   déplacée   par   elle.   Chaque tige 88 porto un   noyau   89 lorsque le crochet est, déplacé pour venir au- dessus des coquilles 61 et 62 du moule. On comprend que ces tiges 88 sont espacées également autour de la chaîne, à une distance égale à un simple déplacement de la chaîne.

   Le cy- lindre 124 actionne le convoyeur   d'un   mouvement pas   à pas   contrôlé par le mécanisme de réglage. Ainsi, un noyau est disposé entre les coquilles 61 et 62 du moule   lorsqu'elles   sont ouvertes, Dans le fonctionnement, les coquilles du moule se ferment, la poche de chargement verser les coquilles du moule s'ouvrent, la pièce noyautée coulée terminée est amenée   immédia-   tement dans le "normaliseur" 71 par le fonctionnement du convoyage intermittent et le noyau suivant 89 est disposé entre les coquilles du moule pour une opération similaire.

   Le "Nor-   maliseur"   doit avoir une porte flexible (représentée dans la figure 1) ou disposition similaire   à   chaque extrémité pour recevoir et permettre le passage des pièces moulées terminées et du convoyeur. Le convoyeur, comme montré dans la figure   9,   dans une partie de son déplacement, est complètement enveloppé par le "normaliseur" 71.

   En outrer le "normaliseur" doit   être   assez'long pour terminer son traitement thermique lorsque les pièces coulées le quitte dans le fonctionnement normal du   convoyeur.±)   
Le mécanisme convoyeur s'étend à une grande longueur de déplacement extérieurement au   "normaliseur"   71 et loin de la machine à mouler de sorte que les pièces moulées peuvent      être convenablement retirées et de nouveaux noyaux placés sur les crochets et reliés à la chaîne 81 par un ou   plusieurs   ouvriers en station près des parties du convoye hors du "normaliseur". 

 <Desc/Clms Page number 21> 

 



   La figure 10 illustre un diagramme indiquant l'arbre   réglé 28   avec les cames 27 et 30 précédemment indiquées et des autres cames z montées sur lui pour actionner les diver- ses valves de contrôle et les dispositifs pour la machine au- tomatique à mouler comme décrit. Chacune des valves contrôlées et chacun des cylindres mentionnés sont indiqués par des réfé-   renoes   appropriées avec des lignes qui s'étendent   [;, la   came correspondante.

   Des autres accessoires, tels que des moyens pour manipuler les organes permanents desnoyaux,   combinés   avec le moule permanent, peuvent être réglés   d' une   manière si- milaire à celle décrite et quelques carnes additionnelles sont indiquées sur l'arbre 28 dans ce   but.   Ce qui a été dit, employé aveo le dispositif représenté par la figure 5 et le   fonctionnement   combiné de ces divers moyens peut  être   facile- ment compris.

   On retiendra cependant que l'alimentation en métal fondu de la poche 19 de chargement de la machine n'est pas sous le contrôle de l'arbre principal, réglé 28 sauf dans le sens négatif où la poche 16 ne peut pas avoir sa valve ouverte, à moins que le pot 9 soit dans la position et à   llinstant   ooulu pour recevoir une chargea Le contrôle positif de la fonction   (,qui   alimente le métal fondu   à,   la poche de chargement, dépend du poids du métal dans la poche 9. Cette considération, pour alimenter la poche 9, peut être inutile lorsqu'on considère que le métal fondu doit être alimenté éven- tuellement par intermittence, en quantités relativement petites par rapport aux autres poches 16 ou 9 et cette alimentation peut être, soit automatique, soit manuelle comme décrit.

   L'a- limentation en métal et en chaleur de la machine est une même 
Opération et la dite opération d'alimentation est, suivant une caractéristique de l'invention, sous le contrôle normal et positif d'ouvriers. 



   ' De la description précédente, on voit clairement la disposition des appareils et des machines pour réaliser le      

 <Desc/Clms Page number 22> 

 procédé de moulage perfectionné. Les particularités de la machine à mouler, ses moyens de contrôle, ses moyens' d'alimen- tation en métal et ses accessoires divers peuvent être modifiés par l'homme de l'art dans   rxie   grande étendue pour réaliser des constructions appropriées combinées pour réaliser les 'buts de l'invention.

   La description donnée est caractérisée par les dispositions et buts principaux et subsidiaires dont oertaines dispositions peuvent être employées une partie du temps seule- ment selon la nature du travail à réaliser, 
D'après ce qui précède, il est compréhensible que de nombreux types de machines automatiques   à   mouler les métaux plus particulièrement celles qui n'ont pas été jusqu'alors employées pour la coulée des métaux à haute température de fusion, le mécanisme de réglage à temps, les moyens d'alimen- 
 EMI22.1 
 aion.

   en mé-al peuvent tous être combinés et assemblés avec de légères modifications évidentes   diaprés   ce qu'on vient de dire pour réaliser le procédé ou mode opératoire décrite Pour cette raison, il a été jugé inutile d'exposer plus   quTune     combinaison   d'ordre général des éléments considérés comme moyens   permettant   de réaliser le procédé de moulage et plus particulièrement lorsqu'il s'agit de métaux difficiles à traiter tels que le fer et l'acier qui sont considérés, indé- pendamment de l'habileté des opérateurs par rapport aux tempé-   ratures   et périodes de temps extrêmement critiques du moulage, aussi bien que dans le traitement thermique d'un tel métal. 
 EMI22.2 
 1R âV:

  TV CiTTOTT 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

1 - Procédé de moulage des métaux ayant des points de fusion élevés tels que le fer ou l'acier, dans lequel est em- ployé une machine automatique de moulage comportant un. moule permanent actionné suivant des cycles répétés et rapides de moulage caractérisé en ce que le chauffage du métal en un point <Desc/Clms Page number 23> éloigne et son alimentation à la machine par quantités et une températire telle qu'on supprime l'utilisation des moyens de réchauffage dans la machine; la dite température étant légère- ment au-dessus de celle requise pour' charger le moule.
2- Procédé de moulage des articles métalliques qui normalement ont besoin d'un traitement thermique additionnel qui consiste dans le moulage du métal par un moule éjectant immédiatement la pièce moulée, à refroidir assez pour maintenir la forme externe de la pice àt à placer immédiatement celle-ci dans- un milieu dissipant lentement la chaleur.
3 - Procédé d'après les revendications 1 ou 2 dans lequel le moule est arrangé et dispose pour dissiper rapidement là chaleur, 4 - Procédé diaprés les revendications 2 ou 3 dans lequel la pièce moulée après éjection est placée dans un "nor- maliseur" ou refroidisseur fermé adjacent au moule.
5 - Appareil pour la mise en oeuvre du procède d'après les revendications 1 à 4 qui comprend une machine automatique à mouler comportant un réceptacle pour lemétal et à partir duquel le métal est verse dans le moule assc, petit pour per- mettre un remplissage fréquent à partie d'un point plus élevé et pour retenir sa haute température par 1.;. chaleur du métal alimente en excès de ce qui est requis'pour charger le moule.
6 - Appareil suivant la revendication 5 comportant un convoyeur adapte pour transporter des noyaux en position entre les parties du moule et pour transporter automatiquement les pièces retenant les noyaux du dit moule à la cadence cor- recte.
7 - Appareil suivant la revendication 1, dans lequel le convoyeur transporte les pièces moulues du moule à travers un four de refroidissement, la vitesse du convoyeur dans le four .et la température de ce four étant telles que la pièce moulée <Desc/Clms Page number 24> refroidie ne nécessite pas un recuit postérieur.
8 - Appareil diaprés une des revendic-ations 5 à 7 comportant une poche de chargement du moule disposée et adap- tée pour se déplacer et aussi pour permettre alternativement un chargement du moule et une opération de remplissage du pot.
9 - Appareil d'après une des revendications 5 à 8 comportant une poche de chargement d'une capacité suffisante pour transporter une surcharge de liquide chaud, suffisamment pour compenser la chaleur perdue par radiation.
10 - Appareil d'âpres la revendication 8 ou 9 com- portant dispositif de pesage combiné avec la poche adaptée pour préparer le passage du métal du pot à la poche lorsque le poids de celle-ci tombe en dessous d'une valeur déterminée.
11 - Appareil d'après la revendication 8 ou 9 com- portant un dispositif de contrôle combiné avec la poche adap- tée pour préparer le passage du métal du pot à la poche lorsque le volume (le celle-ci tombe au-dessous d'une valeur déterminée.
12 12 - Appareil d'après la revendication 10 dans le- quel le remplissage de la poche à partir du pot est effectué automatiquement pendant les mouvements relatifs du cycle qui apparaissent dans les opérations de chargement, 13 - Appareil d'après une des revendications 5 à 12 comportant une pluralité de machines automatiques de moulage alimentées par un métal fondu ordinaire et des dispositions de EMI24.1 stockage; un disposît4f à'alimentation étant preva: pour alimen- ter, par intermettence en métal fpndu, toutes les machines maintenant les températures désirées.
14 - Procède de moulage en principe comme décrit.
15 - Appareils pour la mise en oeuvre du procédé en principe comme décrit et représenté,
BE367801D BE367801A (fr)

Publications (1)

Publication Number Publication Date
BE367801A true BE367801A (fr)

Family

ID=39705

Family Applications (1)

Application Number Title Priority Date Filing Date
BE367801D BE367801A (fr)

Country Status (1)

Country Link
BE (1) BE367801A (fr)

Similar Documents

Publication Publication Date Title
FR2521465A1 (fr) Procede et appareillage pour le moulage d&#39;alliages metalliques a l&#39;etat thixotropique
FR2494300A1 (fr) Appareil pour tremper des tubes en acier
FR2916206A1 (fr) Procede de solidification directionnelle pour la production en continu de lingots de polysilicium et appareil de coulee en lingotiere apparente
FR2917752A1 (fr) Procede de traitement thermique de pieces de fonderie mettant en oeuvre une trempe a l&#39;air et systeme pour la mise en oeuvre du procede
EP0808680B1 (fr) Machine à injecter ou à couler sous pression
FR2971173A1 (fr) Procede et installation de fonderie
EP2367650A1 (fr) Dispositif de transport et stockage pour un tube de poche pour transfert de metal liquide
FR2655894A1 (fr) Dispositif de stockage de produits metallurgiques, tels que brames minces.
EP3700695A1 (fr) Procédé et dispositif de moulage notamment d&#39;un verre métallique
BE367801A (fr)
EP2797840B1 (fr) Procede et dispositif de purification de silicium
EP0100272B1 (fr) Procédé de fabrication de pièces moulées, dispositif comportant application de ce procédé et pièces moulées ainsi obtenues
CH272329A (fr) Procédé de moulage en coquille et appareillage pour la mise en oeuvre de ce procédé.
FR2654653A1 (fr) Enceinte de stockage pour produits metallurgiques.
EP0785402A1 (fr) Installation pour le traitement thermique d&#39;une charge de pièces métalliques
FR2720213A1 (fr) Procédé et dispositifs pour chauffer des corps métalliques.
JP2007073635A (ja) 析出板製造装置および析出板製造方法
FR2615768A1 (fr) Procede de moulage en coquille, notamment metallique, et dispositif et coquille s&#39;y rapportant
FR2726211A1 (fr) Une poche de chauffage et de coulee de metaux liquides
JP4274781B2 (ja) Mg合金処理方法
FR2534513A1 (fr) Procede et dispositif pour refroidir et nettoyer des pieces coulees en metal
FR2669041A1 (fr) Procede pour le traitement d&#39;un metal en fusion et son transfert dans un espace recepteur et systeme pour la mise en óoeuvre de ce procede.
BE375125A (fr)
JPS6043825B2 (ja) 環状金属塊の鋳造装置
FR2811071A1 (fr) Four a thermoplongeurs electriques pour le chauffage a coeur de metal liquide non ferreux