BE363918A - - Google Patents

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BE363918A
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    • FMECHANICAL ENGINEERING; LIGHTING; HEATING; WEAPONS; BLASTING
    • F01MACHINES OR ENGINES IN GENERAL; ENGINE PLANTS IN GENERAL; STEAM ENGINES
    • F01LCYCLICALLY OPERATING VALVES FOR MACHINES OR ENGINES
    • F01L5/00Slide valve-gear or valve-arrangements
    • F01L5/04Slide valve-gear or valve-arrangements with cylindrical, sleeve, or part-annularly shaped valves
    • F01L5/06Slide valve-gear or valve-arrangements with cylindrical, sleeve, or part-annularly shaped valves surrounding working cylinder or piston

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  • Combustion Methods Of Internal-Combustion Engines (AREA)

Description


   <Desc/Clms Page number 1> 
   moteur   à explosions, à   défis   temps. 



   L'invention est relative à un moteur à explosions à deux temps. 



   La construction décrite ci-après surtout comme - moteur Diesel a deux temps, peut, de la   mime     manière,   être également utilisés aussi pour les moteurs à gaz, dans les- quels le mélange combustible est amené par un   carburateur,   ou un autre dispositif. 



   Dans la présente invention, on utilise le   prin- -   cipe connu en lui-même   d'un   piston auxiliaire entourant le piston 

 <Desc/Clms Page number 2> 

 piston (Le travail, et effectuant dans le cylindre un   dplace-   ment tout-à-fat déterminé, et relativement faible, déplace- ment ayant pour but de maintenir la compression et léqili- bre volumétrique, au-dessus du point mort haut, ou   d'élever   la compression. 



   Le piston auxiliaire conforme à l'inven- tion peut également être ainsi dimensionne qu'il n'exerce aucune influence sur la compression; dans toutes les   réalisa-   tions d'une telle machine, le piston auxiliaire remplit l'offi- ce d'une soupape qui ouvre ou ferme les ouvertures ménagées dans le cylindre, et possède lui-même des ouvertures pouvant être découvertes ou obturées par le piston principal. 



   Dans une machine conforme à l'invention, et établie sur le principe Diesel, l'air comprimé et le gaz, ou un mélange combustible comprimé, lorsque le moteur travail- le suivant un autre principe, est amené audit moteur. 



   L'air ou le gaz est introduit à l'extrémité supérieure du cylindre, afin de chasser les gaz   brûlés,   lors- que le piston de travail atteint le point bas de sa course, et afin de produire une surcharge pendant la course ascen- dante et'   -------   de compression du piston, jusqu'à ce que l'introduction de cet air ou du gaz soit coupée. Le moteur utilise alors l'air préalablement comprima, ou le gaz,ce qui peut être indique comme une surcharge.

   Le piston de travail, sur la plus grande partie de sa course de compression, créera, en liaison avec la compression telle que celle réalisme par le piston auxiliaire, une compression ou une   resbion   dans le moteur beaucoup plus élevée que dans n'importe quel autre type de moteur, dans lequel l'air ou un mélange n'est introduit dans le cylindre que par 1'aspiration lors du déplacement vers le bas du piston.      

 <Desc/Clms Page number 3> 

 



   Dans un tel moteur à deux temps.on prête une attention particulière à la nature et la disposition des soupapes par lesquelles s'effectue le balayage au cy-   lindre,   l'air de balayage étant introduit à proximité de la partie supérieure du cylindre, par les orifices de balayage, et réglé par les clapets de retenue de balayage ainsi que par les orifices d'échappement, proches du point le plus bas du cylindre. Cette position de soupapes, permet de   réali-   ser le balayage par un seul orifice d'introduction, par le- quel la charge d'air fraîche, dans le moteur à deux   temps,   passe de l'extrémité supérieure du cylindre vers le bas, en chassant les gaz d'échappement devant elle.

   De ce fait, il ne se produit qu'un mélange extrêmement faible des gaz brê- lés avec la nouvelle charge, et l'on réalise une combustion complète du carburant au point d'injection,juste avant la course motrice.En raison du balayage par cette entrée   nique,   avec des soupapes automatiques, et de la grandeur des orifices de charge ou   admission,   ainsi que des orifices d'échappement, et en raison aussi des mouvements divers et multiples du pis- ton de travail et du piston auxiliaire,lesquels seront décrits en détail par la suite, le temps de balayage et d'alimenta- tion est notablement réduit, gr1âce à quoi une plus grande partie de la course,ou du   temps,peut   être ctilisée à un travail productif pendant la   compression,   la combustion et l'expansion. 



   Du fait que les mouvements relatifs des deux pistons   provoquent   l'obturation des orifices d'échappe- ment, sensiblement- à la position du plus grand volume de. cylindre, on utilise une pleine cylindrée pour la   compression   la combustion et l'expansion.

   Du fait que les soupapes de balayage et les orifices restent ouverts après que les   orifi-   ces d'échappement sont fermés par le piston de travail,le- quel porte sur les orifices ménagés   dans-   la paroi du. piston auxiliaire 

 <Desc/Clms Page number 4> 

 auxiliaire, la pression dans le cylindre est accrue par l'élévation du piston de travail, jusqu'à ce que cette pression vienne équilibrer celle de l'air de balayage; les soupapes d'air de balayage automatiques sont alors fermées, au point de la course le plus efficace, et dans les meil- leures conditions de travail et d'alimentation. Comme l'obturation des soupapes automatiques est déterminée par la pression de l'air de balayage, il est possible de surcom- primer le moteur, jusqu'au degré voulu, en augmentant sim- plement la pression de l'air de balayage. 



   En raison du mode de travail   avantageux,   possible   dans   les moteurs à deux temps, on peut construire un tel moteur présentant le rendement volumétrique le plus   élevé.   En raison de fait que, dans la   réalisation     pratique,   aucun gaz   brûle   ne parvient dans la cylindrée fraîche, le moteur à deux temps travaille avec le rendement   d'utilisa-   tion maximum. 



   La possibilité d'application du principe des deux temps s'étend aux mateurs à huiles, gazoline, et à combustibles pulvérises. 



   Pour les moteurs à gazoline, les dispositifs d'allumage habituels peuvent être utilises, et la charge d'air carbure peut   tre   introduite dans le cylindre par les orifices, en passant par les soupapes, d'après les   procèdes   habituels utilises jusqu'à présent, grâce . la pression obtenue dans le carter du vilebrequin, ou par   l'intermé-   diaire de compresseurs. 



   Le dessin montre plusieurs formes de   réali-   sation de l'invention. Dans   celui-ci .   



     Fig.l   est une coupe longitudinale par un moteur Diesel à deux temps   conforme   à l'invention, 

 <Desc/Clms Page number 5> 

   Fige 2   est nue coupe   longitudinale ..par   la 
 EMI5.1 
 ligne S-S de figa 1, Figs. 3-9 sont des coupes longitudinales 
 EMI5.2 
 schématiql1es, montrant les différentes positions du piston de travail et du piston auxiliaire pendant un cycle complet du moteur. 



   Fige.. 10-15 sont des vues schématiques des positions de manivelle pendant les déplacements du piston de travail et du piston auxiliaire donnés aux figs.  3-et'   
Fig. 16 est une coupe longitudinale par un moteur à explosion à deux temps, dans lequel un mélange   com-   bustible, ou un gaz, est compresse dans le cylindre, et alla- 
 EMI5.3 
 mà¯#par une bougle. 



   Fige 17 montre une coupe semblable à celle. faisant l'objet de fig.   16,   dans une machine de même genre, mais comportant un piston auxiliaire ne produisant aucune compression, mais constituant une soupape de commande. 



   Fig. 18 est une coupe longitudinale par un moteur analogue à celui de fig. 17, possédant un piston auxiliaire, en application à un moteur à explosion à deux temps, conforme au principe Diesel. 



   On décrira d'abord un moteur Diesel à deux   temps,conforme   à l'invention, indique aux figs 1- 15 inclus. 



  A est le cylindre du moteur, dans lequel est monte le piston auxiliaire de compression, B possédant un mouvement de va-   et-vient,   et C est le piston de travail, susceptible de se 
 EMI5.4 
 cléplacet- dans le piston auxiliaire B o 
L'extrémité supérieure du piston auxiliaire B possède un renforcement ou piston de compression 1, lequel se déplace dans un alésage 2 de plus fort diamètre, ménage à l'extrémité supérieure du cylindre. Afin d'empêcher une accumulation 

 <Desc/Clms Page number 6> 

 accumulation de l'air dans la portion   inférieure   de l'a- lésage 2, on prévoit des ouvertures 3 dans le cylindre, lesquelles permettent un passage libre et l'achappement de l'air hors   de.   la   chambre .   



   D indique le vilebrequin habituel, portant le volant F, et qui tourne dans le carter de vile- brequin G. Le maneton 4 de l'arbre D est relié par une bielle 5 au piston de travail C. Sur l'arbre D sont prévus des excentriques 6, et des couronnes d'excentriques 7, tour- nant sur ceux-ci sont reliées par des bielles 8 au piston auxiliaire B. Les   excentriques   6 sont calés suivant un certain angle par rapport au maneton   4,   et   présentent   un certain retard par rapport à la manivelle, si bien que, en même temps qu'une course plus réduite est imprimée au piston auxiliaire, le retard de ce mouvement est parfaite- ment détermine, par rapport à celui du piston de travail, afin de pouvoir régler   l'admission   et l'échappement, de la manière que l'on va maintenant décrire. 



   Le cylindre A possède une chemise 9, cons- tituant une chambre d'air 10. A   ion   extrémité supérieure, le cylindre possède un,certain nombre d'orifices d'admission 11, qui relient ledit cylindre à la chambre d'air 10. De- vant les ouvertures II, on   prévoit'   des clapets de retour 12,lesquels ne permettent à l'air que le passage dans une certaine direction, c'est-à-dire de la chambre   d'air   10 vais le cylindre; lorsque la pression dans le cylindre devient plus importante que celle existant dans la chambre d'air, les clapets se ferment automatiquement. 



   Il est bon de prévoir un certain nombre d'orifices d'admission 11, autour du cylindre, permettant un déplacement   volumétrique   déterminé de l'air; toutefois, il est évident qu'on n'est pas limité à un nombre déterminé d'ouvertures. Ces orifices d'admission sont obturés par la partie 1 élargie du piston auxiliaire B, puis dégagée   à   nou- 

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 veau. Dans la chambre 10,   l'air   est comprime par un moyen convenable, et   l'on   prévoit à cet effet, par exem- 
 EMI7.1 
 ple; le compresseur d'air 13 représenté schématiquemente lequel refoule   l'air,   par une ouverture 14, dans la par- tie inférieure de la chambre   d'air   10. 



   Dans la paroi du cylindre on prévoit un certain nombre d'orifices d'échappement 15, lesquels con- 
 EMI7.2 
 àuisent les gaz br'a%lds jusqaeà la paroi externe de la cham- bre d'air 10, 
Le piston auxiliaire B possède des   orifi-   
 EMI7.3 
 ces d*échappement 16, lesquels, convenablement sont.plt;s petits que les orifices d'échappement 15; les orifices 16 sont obturas ou   libères   par le piston de travail C, de 
 EMI7.4 
 sorte que le mouvement combine du piston s,ux7.lai e et du.piston de travail C provoque et règle couverture et l'obturation des orifices dêchappement alors. que le piston aaxilaire B seul assure l'obturation aes orifices d'admission. 



   Le moteur est pourvu   d'une     tuyère   17,des- 
 EMI7.5 
 tinée à l'injection au combustible dans le cylînâre, et on a représente schématiquement une pclpe 18, laquelle est reliée à la tuyère 17, afin de refouler le combtistî- bel dans le cylindre. 



   Dans un moteur Diesel on peut   atiliser   toutes sortes de combustibles appropries à cet emploie 
 EMI7.6 
 toutefois, ltinventton n'est pas limitée à cette sorte de machines. 



   Le mode de fonctionnement du moteur est 
 EMI7.7 
 représenté schdmatiquement aux figs. 3-15 inclaa fig. 3 représente la position des pièces lorsque le piston de travail C est situe   à   sa   position   
 EMI7.8 
 haute extrême, c'est-à-éire au point mort haqb, alors que 

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 que le piston auxiliaire B continue à se déplacer jusqu'à sa position haute   extrme. A   cet instant commence l'in-   flammation   de la cylindrée, laquelle se poursuit sur en- viron 30  de la course du vilebrequin.

   Ce mouvement est montré en fig. 10, ou l'on a   représente   le doplacement des différentes parties hors de la position indiquée en fig. 3 jusqu'à la position montrée en fig. 4, déplacement attei- gnant environ 30 . a la position des pièces REpésentée aux figs. 3 et   4,   les orifices d'admission et d'échappement sont fermas, de sorte que les clapets de   retour 12   sont protégés du mélange gazeux brûlant, à cette portion de la course du piston de travail, de même que pendant la totalité de la course motrice du piston de travail. 



   Pendant uneportion de la course descendante du piston de travail, le piston auxiliaire   B   se déplace vers le haut, afin de maintenir la compression, ou   de   l'augmenter, pendant que le piston de travail dépasse le point mort ; de cette façon, l'équilibre volumétrique est maintenu ou accru à l'extrémité supérieure du cylindre. 



   En raison de ce mouvement, on crée un dé- placement mécanique permettant le   mJlange   aussi intime que possible de l'oxygène et du combustible, grâce à quoi on réalise une combustion plus rapide et plus efficace, si bien que, de ce fait, la formation de carbone et d'autres dépôts est   réduite.   En raison de l'action répondant aux par- ties en mouvement, le mélange est d'autant plus actif que la vitesse du moteur est plas grande, et la combustion plus complète, si bien que le présent moteur est en particulier utilisable pour les grandes vitesses. 



   Lorsque le piston de   travail   se déplace vers le 

 <Desc/Clms Page number 9> 

 le bas, pendant se course motrice,   course   à laquelle cor-   respon   la position des pièces telle que représentée aux   figs. 4   et 5, et à la fi.g 11, cette période de son mouve- ment, désignée par "expansion", s'étend sur un angle   d'en-     viron   100  
Des que le piston de travail 0 atteint la position représentée en fig.   5,   le piston   auxiliaire B   se trouve également en course   (,,Le   déplacement vers le bas'. 



  Les orifices 16 viendront se placer devant les orifices d'éfchappemetn 15, et le piston de travail C dégagera   bras-     qaement   les orifices d'échappement 16; les gaz d'échappement passeront par les ouvertures ainsi dégagées. 



   Ce mouvement représente environ 10  de la rotation de l'arbre vilebrequin, comme l'indique fig. 12 du dessin.   Apres   l'accomplissement de ce mouvement de 10 , le piston   auxiliaire B   continuera à se déplacer vers le bas, grâce à quoi les orifices d'admission 11 seront dégagées et, comme les orifices d'échappement sont encore libres, l'air de balayage, arrivant sous pression, rincera complétement le cylindre, comme indique en fig. 6. 



   Le mouvement suivant des pièces, sur   un   an- gle d'environ 50  de la rotation de l'arbre vilebrequin   est;,   indiqué en fig. 13, laquelle montre le déplacement des pié- ces entre la position montrée pour celles-ci en fige 6 et celle indiquée en fig. 7. 



   A la fin de ce mouvement, les orifices d'écha pement sont obturés, en raison du déplacement vers le bas du piston auxiliaire, et du déplacement ascendant minime du pis- ton de travail. Entre temps, les orifices d'admission Il sont ouverts, et l'air, pouvant   être     considère   comme sur-   charge  du fait qu'il est comprimé, se déplace dans le cylin- dre, et est continuellement introduit ans celui-ci, jusqu' ce 

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 ce que la pression dans le cylindre dépasse la pression de l'air   Introduit.,   en raison du mouvement de déplacement vers le haut du piston de travail. 



   A cet instant, les clapets de retour 12 sont fermés, et le déplacement ascendant du piston comprimera con- tinuellement la   cylindrée,   ce mouvement de compression du piston est représente en   figs. 8   et 9, et s'étend sur un an- gle total d'environ 150  de la rotation du vilebrequin. !en- dant le déplacement vers le haut du piston de travail, les clapets de retour 12 sont fermes, après l'obturation des ori- fices d'échappement, à une période déterminée répondant à 40  à peu près de la rotation du vilebrequin. Cet emplacement de l'obturation des clapets de retour est déterminé par l'é-   qailibrage   de la pression entre la cylindrée et celle de l'air de balayage.

   A différentes vitesses, et à différentes' charges du moteur, l'obturation des clapets s'effectue sous différents angles, lorsque l'équilibrage des pressions est réalisé. La compression a lieu, jusqu'à la pointe de compres- sion du moteur, sous un angle   qui,   dans ce cas, est situé à 10  à peu près après le point mort haut, comme indique en fig. 15, par la ligne pointillée. 



   La fig. schématique 9 montre la position du pis- ton de compression et du piston de travail au moment   où   le piston de compression ferme les orifices d'air de balayage   Il.   Les positions approximatives correspondantes   des 3   pis- tons, lorsque la compression supérieure est atteinte, sont données en fig. 3. 



   Entre temps, la compression monte au-delà de la position représentée en fig. 3, des que, momentanément, le piston de compression s'élève plus rapidement que des- cend le piston de travail, et ce point   .approximatif   de la pression 

 <Desc/Clms Page number 11> 

 pression marimum est indiqué en figé 15, par l'angle du vilebrequin montré en pointillé. 



   La représentation schématique de fig. 15 ne montre que le déplacement du bras de manivelle, pendant le mouvement   indique   du piston.   Or,   cependant, le piston auxiliaire se déplace également vers le haut, pendant ce temps, et les déplacements combinés du piston et du piston auxiliaire atteindraient au moins,   théoriquement   un angle de 150  par suite, on n'a représenté seulement que l'angle de déplacement au piston de travail, en vue d'écarter des erreurs. 



   Fig. 9 montre encore le piston de compression, lequel obture les orifices   d'admission,   lorsque la pression et la température s'accroissent plus rapidement, grâce à quoi les clapets automatiques sont protégés. 



   En fig.   16,   on a représenté un moteur dans le- quel un mélange de carburant, provenant du carburateur, est compressé dans le cylindre, et enflammé par une bougie d'allumage 19, ou un autre dispositif   d'allumage   périodique. 



   Pour tout le reste, à l'exception de la chambre   d'air,   ou chemise 9, la conception de ce moteur est semblable à celle du moteur Diesel conforme aux. figs.1   et 3,  et, par suite, on a employé les mêmes chiffres- repère pour les mêmes pièces   En-30-   on a   désigné   un carburateur, lequel est relié aux orifices d'admission Il du moteur, et en   21   une pempe, la- quelle refoule le mélange gazeux dans le cylindre d.

   Ce mo- teur travaille exactement comme le moteur Diesel décrit, avec.cette différence seulement   que   le mélange gazeux est   allumé   par une bougie et que le mélange, au lieu de l'air, dans le moteur Diesel, est utilisé comme agent de balayage; -naturellement, ce moteur travaille avec /Le rapport de compres 

 <Desc/Clms Page number 12> 

 sion restreint généralement utilisa. 



   En figs. 17 et 18 on a   représente   une variante du piston auxiliaire, dans laquelle celui-ci n'effectue aucune action de compression, mais au   sontraire,   ne tra- vaille que comme soupape. 



   En fig. 17 on a représente un moteur de la dème construction générale que celui   indique   en fig. 16, mais avec cette différence seulement que le piston auxiliaire B est remplace par un piston auxiliaire B1, lequel n'effec- tue aucune action notable de compression, mais comporte des orifices, et agit comme tiroir-soupape, de la même manière que le piston auxiliaire B, dans la première forme de réa- lisation du moteur. Dans cette variante de réalisation du moteur, les mêmes   chiffres-repère..représentent   également les mêmes pièces que dans les autres figures.

   Il est bon de prévoir, dans la forme de réalisation du moteur utili- sant le piston auxiliaire B1, une   dépression   annulaire 22 dans la culasse, dans laquelle   l'extrémité   supérieure du piston auxiliaire peut pénétrer. 



   En fig. 18, le piston auxiliaire B1 est   repré-   sente en combinaison avec un moteur Diesel; la construction générale est absolument la même que celle décrite précédem ment, mais avec cette différence seulement que le piston auxiliaire n'a aucune action de compression, mais fait seu- lement office de soapape; en fig. 18, les mêmes chiffres repère sont utilisés pour les mêmes pièces, comme dans les autres figures. 

**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.

Claims (1)

  1. REVENDICATIONS 1 ) Moteur à explosions, à deux temps, comportant un piston principal et un piston auxiliaire, caractérise par le fait que les orifices d'admission dépendant du piston auxiliaire <Desc/Clms Page number 13> auxiliaire, et les orifices d'échappement dépendant du piston principal et du piston auxiliaire, sont commandés de telle façon que les gaz brûles sont balayés par l'air de balayage, ou le mélange carburant introduit sons pression, l'air de balayage ou le mélange étant introduit tant que la pression de compression du piston principal n'est pas égale à la pres- sion de l'air de balayage ou du mélange carburant introduit.
    2) Moteur à explosions, à aeux temps.suivant la - revendication 1, caractérisé..par le fait que le bord supérieur du piston auxiliaire dégage et obture les canaux d'admission pourvus de clapets de retour automatiques, alors que les canaux d'échappement sont Dégagés et obturés respectivement par des orifices ménagés dans le piston auxiliaire, et par le bord supérieur du piston principal.
    3) MOteur é explosions, à. deux tempsfl suivant les revendications 1-2 caractérisé par le fait qu les orifices d'admission, pourvus de clapets de retour, ne restent ouverts que pendant le balayage et pendant la compression,tant que la pression de compression n'est pas supérieure à la pression de balayage ou, de charge.
    4) Moteur à explosions, à deux temps, avivant les revendications 1 et 3, caractérisé par le fait que les cla- pets'de retour placés dans les orifices d'admission sont protégés contre l'action des gaz de combustion, pendant la période de combustion, par le piston auxiliaire obturant alors les dits orifices d'admission.
    5) Moteur à explosions, à deux temps, suivant les revendications IL-3, caractérisé par le fait que les orifi- ces d'échappement du piston auxiliaire sont commandés de telle sorte, par le piston principal, en liaison avec les prifices d'échappement du cylindre,que, jeu avant que le <Desc/Clms Page number 14> piston atteigne la fin de la course motrice, l'échappement est complètement libère, de sorte que l'air de balayage ou le mélange gazeux peut balayer rapidement et abondamment le cylindre.
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