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Machine peseuse-diviseuse automatique.
Cette invention a pour objet une machine destinée à diviser automatiquement en portions d'un poide déterminé des ratières pâteuses, pulvérulentes ou liquides et notamment de la pâte de boulangerie qu'il est très difficile de diviser en pâtons rigoureusement identiques swec les machines connues, à cause des différences de densité qui se produisent dans cette pâte suivant qu'elle \ est plus ou moins levée,
La machine suivant la présente invention comporte un organe de pesée réglable qui, lorsqu'il a regu d'un réser- voir un poids déterminé de la matière à diviser, provoque en s'abaissant la fermeture d'un circuit électrique dans lequel est compris un électro-aiment dant l'armature,
en étant sttirée, déclenche un obturateur qui tome la. sortie
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du réservoir et, le cas échéant, sectionne la matière pour emparer la portion pesée du restant de la masse. Ce mou- vement de l'obturateur produit la fermeture du circuit d'un moteur électrique qui déplace l'organe de pesée de façon que celui-ci se débarasse de la portion de matière séparée.
L'organe de pesée allège se redresse dans sa po- sition primitive et, arrive à l'extrémité de sa course, fer- me de nouveau le circuit de l'électro-aimant qui cette fois provoque l'ouverture de 1'obturateur du réservoir, permet- tant ainsi à une nouvelle quantité de matière de passer sur l'organe de pesée, puis le cycle des opérations se poursuit automatiquement sans qu'aucune intervention manuelle soit nécessaire.
Les dessins annexes représentent à titre d'exem- ples trois tonnes de réalisation de l'invention. Dans l a (première de ces formes (Fies. 1 à 14) l'organe de pesée con- siste en un tambour basculant et l'obturateur est constitua par un couteau rotatif. Dans la seconde forme (Figs. 15 à
23) l'obturateur est un couteau guillotine et dans la troi- sième tome (Figs. 24 à 29) l'organe de pesée est un pla- teau ou bac à mouvement de monte et baisse, tandisque l'obtu- rateur peut être de l'un ou l'autre type mentionné ci-dessus ou consister en un simple robinet.
La machine peseuse-diviseuse représentée sur les
Figs. 1 à 13 est décrite ci-après dans son application à l'industrie de la boulangerie, à laquelle elle est particu- lièrement destinée quoique pouvant servir aussi à d'autres
Usages industriels.
Cette machine comprend un réservoir 1 d'où la pâte, entraînée par les palettes 2 d'un tambour d'alimentation 3, asse dans une bâche plus étroite 4 qui encercle ce tambour,
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puis 'est poussée dans un tube horizontal 5 constituant la sortie de la bâche (Figs. 1 et 2). :Le détail de,la construc- tion du tambour d'alimentation 3 est montré sur les Figs. 3 et 4 où. l'on voit que les palettes rétractiles 2 de ce tam- bour sont commandées par des galets 6 circulant dans des rainures de came 7 ménagées dans deux flasques fixes 8 qui sont montés sur un carter 9.
Celui-ci est supporté aux extré- mités par le bâti 10 de la machine et renferme l'arbre 11 qui actionne le tambour 3. Un cône d'embrayage 12 monté sur, l'extrémité filetée 13 de cet arbre vient normalement en prise, sous Inaction d'un ressort 14, avec une poulie folle
15 qui peut être attaquée par un moteur quelconque à 1. 'aide d'une courroie.
La sortie du tube 5 est fermée par un obturateur rotatif 16 qui constitue en mime temps un couteau destiné à sectionner la pâte au ras de ce tube 5 quand cette pâte est admise à sortir par une des échancrures 17 du couteau- obturateur. Le mécanisme qui fait tourner ce couteau en vue d'amener une de ces échancrures ou une de ses parties pleines devant lorifice du tube 5 comprend un rochet !? calé sur l'arbre 19 du couteau et un cliquet 20 monté sur l'armature pivotante 21 d'un électro-aimant 22.
Quand l'obturateur 16 est fermé et que le tube 5 est rempli de pâte amenée .par les palettes 2, la résistance que celles-ci rencontrent fait patiner l'embrayage 12 dont l'adhérence est réglée de façon à éviter que la pâte soit comprimée au point de perdre sa faculté de lever, en pemet- tant au tambour 3 de s'arrêter bien que l'arbre 11 continue à tourner.
Lorsque l'obturateur 16 s'ouvre, le tambour à galettes recommence à tourner et fait sortir du tube 5 un
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boudin de pâte qui est regu sur un tambour de pesée 23 mon- tré en détail sur lea Sise* 9 à 12. L'axe 24 de ce tambour 23 est supporté dans des paliers d'un vilebrequin 25 touril- lonné en 26 dans un bâti 27, de sorte que le tambour peut à la. fois tourner autour de son axe et basculer sur les touril- lons 26. Un contrepoids 28 équilibre le tambour de pesée et le vilebrequin sur l'un des tourillons 26 duquel il agit au moyen d'un secteur denté 29 solidaire de ce dernier et d'un pignon 30 calé sur l'axe d'un levier 31 par lequel le contrepoids est suspendu à un support 32 rixe au bâti 27.
Un petit moteur électrique 33 porté par le vilebrequin 25 et dont la poulie attaque directement la périphérie intérieure du tambour 23 permet de mettre celui-ci en rotation autour de son axe 24 pour faire tomber la. pâte qui s'y est déposée.
Le boudin de pâte sortant du tube 5 s'allonge sur le tambour 23 qui bascule peu à peu sous la. charge autour des tourillons 26 en soulevant le contrepoids 28. Avec lui bascule aussi le vilebrequin 25 dont l'extrémité libre porte un contact électrique 34 qui se déplace dans une glissière courbe 35 fixée au bâti 27 et munie d'un curseur réglable 36. quand le contact 34 rencontre le curseur 36, il feme un interrupteur électrique constitué par les deux rails de la. glissère 3.5)et commandant un circuit dans lequel sont compris une source de courant appropriée et l'électro-ai- mant 22 qui actionne le couteau-obturateur 16 (Fige. 13).
L'axmature 21 est attirée par l'électro-aimant et, par l'in- termédiaire du cliquet 20 et du rochet 18, fait tourner d'un huitième de tour le couteau 16 qui sectionne la pâte an ras du tube 5 et obture celui-ci comme le montre la Fig.4.
Une plaque d'appui latérale 37 étaie le boudin de pâte pen- dant que le couteau 16 le coupe et, pour empêcher la pâte
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d'adhérer au couteau, deux petits rouleaux 38 lubrifient les deux faces de celui-ci au passage en y déposant un peu de margarine ou autre graisse appropriée.
Un peu avant que le couteau rotatif ait achevé de cou- per la pâte, un--e paire de balais 39 montés sur ce couteau qui en porte quatre paires semblables disposées en regard de ses parties pleines, vient fermer un interrupteur élec- trique 40 fixé à la plaque d'appui 37 et commandant la mise en marche du petit moteur 33,qui fait tourner le tambour de pesée 23 autour de son axe 24. La portion de pâte séparée par le couteau est entraînée par la rotation du tambour et, après avoir été entachée de celui-ci par un grattoir fixe 41, tombe dans un récipient ou dans une autre machine.
Une fois débarrassée de sa charge, le tambour de pesée se relève sous l'action du contrepoids 28, en pivotant sur les tourillons 26. Le contact 34 quitte en même temps le curseur 36, interrompant ainsi en 35 le circuit de l'électro- aimant 22, l'armature 21 retombe et le cliquet. 20 s'engage sous la dent suivante du rochet 18. Arrivé au sommet de sa course dans la glissière 35, le contact 34 ferme un antre interrupteur 42 monté en parallèle avec l'interrupteur 35 (Fig.13) dans le circuit de l'électro-aimant 22.
Celui-ci est de nouveau excité, l'armature 21 est réattirée et fait tourner d'un nouveau huitième de tour le coutsau-obturateur 16 dont une échanrure 17 se présente alors devant 1,. orifice du tube 5 et laisse passer la pâte sur le. tambour de pesée.
En même temps les balais 39 entraînés par la rotation du cou- teau, ouvrent l'interrupteur 40 en arrêtant ainsi la rotation du tambour de pesée. Celui-ci commence 4 basculer en recevant la pâte et le cycle des opérations décrites ci-dessus se pour- suit automatiquement.
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'Un interrupteur général 43 intercale dans le circuit de 1'électro-aimant 22 permet de mettre en marche ou d'arré- ter à volonté le fonctionnement des dispositifs de pesée et de division, On peut aussi régler à volonté le poids des por- tions de pâte débitées par la machine en réglant la position du curseur 36 dans la glissière-interrupteur 35, afin que le fonctionnement du couteau-obturateur 16 se produise après un basculement plus ou moins accentué du tambour de pesée 23.
Enfin, un interrupteur de sûreté 44 est prévu dans le circuit de l'électro-aimant 22 pour empêcher que l'armature 21, après être retombée puisse être réattirée par l'électro-aimant avant que le cliquet 20 ait pu s'engager sous la dent suivante du rochet 18, ce qui pourrait arriver par exemple sur le tambour de pesée, brusquement libéré, fermait l'interrupteur supérieur
42 avant que l'armature 21 soit complètement retombée. Il en résulterait une fausse manoeuvre qui déréglerait le fonction- nement de la machine, le couteau 16 n'étant pas actionné au moment voulu par l'armature 21. On évite tout risque de ce genre en coupant le courant pendant la chute de l'armature et en le rétablissant seulement quand l'armature est à fond de course.
A cet effet, l'extrémité libre de l'armature 21 porte un axe 45 autour duquel peut pivoter un étrier 46 en métal non magnétique supportant une tige de cuivre 47 munie à, cha- que extrémité d'un galet en fer doux 48, tandis que les deux plots 44 de l'interrupteur sont supportés par un socle isolant
49 fixé au pôle 22' de l'électro-aimant 22. Une fourche en métal non magnétique 50 sur laquelle prend appui le galet 48, est également fixée à ce pôle 22'.
Quand l'armature 21 est au repos comme c'est montré en pointillé sur la Fig.5, la tige- contact 47 reposa contre les plots 44 et ferme donc l'inter- rupteur de sûreté, de telle sorte que 1'électro-aimant 22
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peut être excita lorsque le tambour de pesée 23 ferme son circuit en 35 ou en 42, et qu'il peut attirer alors l'arma- ture. Il attire en même temps les galets de fer doux 48 qui, pendant le mouvement ascendant de l'armature, roulent le long du pôle 22' en maintenant la tige 47 en contact avec les plots 44.
Dès que le tambour de pesée interrompt le circuit en 35 ou 42, l'armature retombe, les galets 48 cessent aussi d'être attirés par le pôle 22' et un ressort 51 écarte de ce pôle l'étrier 46 ainsi que la tige 47 qui ne revient en contact avec les plots 44 que lorsque l'armature 21 est complètement retombée.
La Fig. 14 montre schématiquement une machine de type décrit ci-dessus qui comporte deux mécanismes de pesée ali- mentés par un réservoir à pâte commun ou séparé en deux com- partiments, afin d'augmenter le rendement et de permettre au besoin de peser et diviser deux pâtes différentes en portions de poids différents dans chacun des mécanismes.
Au lieu du couteau-obturateur rotatif décrit ci-dessus, on peut dans certains cas employer avec avantage un couteau- obturateur fonctionnant comme une guillotine et lesté de fa- gon à pouvoir trancher des pâtes de boulangerie ou autres matières très compactes qu'un couteau rotatif n'entamerait que difficilement. Les figs. 15 à 23 montrent une machine peseuse-diviseuse suivant l'invention munie d'un tel couteau en combinaison avec une tambour de pesée analogue à celui décrit ci-dessus.
Le couteau-guillotine 52 qui fait en même temps office d'obturateur pour le tube 5 devant l'orifice duquel il peut se déplacer, est monté dans un étrier en forme de 7 53 guide verticalement à sa partie supérieure dans des glissières 54 et reposant à sa partie inférieure, au moyen d'un gaieté,
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sur une came 56 en forme de virgule, Suivant la position de cette came, le couteau 52 est soulevé et démasque l'orifice du tube 5 en laissant sortir le boudin de pâte de celui-ci, ou bien tombe brusquement en sectionnant la pâte et en obtu- rant le tube 5.
La came 56 est calée sur un arbre 57 qui est mis en ro- tation par un moteur électrique 58 par l'intermédiaire de pignons hélicoïdaux 59, 60 et d'un embrayage à friction 61 dont{l'élément femelle est calé sur l'arbre tandis que l'élé- ment mâle est fou sur celui-ci. L'arbre 57 présente à sa par- tie médiane deux encoches diamétralement opposées 62 dans l'une ou l'autre desquelles peut s'engager une dent 63 de l'armature 21 de l'électro-aimant 22 qui commande le fonction- nement du couteau 52. Comme dans le cas du couteau rotatif, l'électro-aimmant 22 est sous la dépendance du tambour de pesée
23 et est excité chaque fois que celui-ci provoque la ferme- ture de l'interrupteur 35 ou celle de l'interrupteur 42.
Cha- que fois que l'armature 21 est attirée, sa dent 63 se dégage d'une des encoches 62 et l'arbre porte-came 57 peut tourner d'un demi-tour, après quoi la dent 63 revient en prise et l'embrayage 61 patine jusqu'à ce que l'armature soit de nou- veau attirée et permette à l'arbre 57 de tourner encore d'une demi-révolution.
Le couteau-guillotine étant soulevé par la came 56 comme c'est montré sur la Fig.16, la pâte sort du tube sur le tam- bour de pesée 23, celui-ci bascule et, lorsque le poids vou- lu est atteint, ferme l'interrupteur 35. Le courant passe dans l'électro-aimant 22 qui attire l'armature 21 en libérant ainsi l'arbre porte-came 57, la came 56 se dérobe sous l'étrier
53 et le couteau 52 entraîne par son poids et le poids de l'é- trier tombe devant l'orifice du tube 5 qu'il obture en section-
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nant le boudin de pâte. Entretemps, l'armature 21 est déjà. retombée, de fagon que sa. dent 63 puisse immédiatement entrer en prise avec l'encoche suivante de l'arbre 57 et immobiliser celui-ci après qu'il a accompli son demi-tour, la came 56 étant alors dirigée vers le bas (fig. 18).
Ce rapide déclan- chement de l'armature 21 est provoqué par l'interrupteur de sûreté 44 dont les plots n'ont dans ce cas qu'une faible lon- gueur (Figs. 19 et 20), de sorte que la tige contact 47 quitte ces plots 44 dès que l'armature a été soulevée de la quantité juste suffisante pour dégager la dent 63 et le courant d'exci- tation de l'électro-aimant est coupée Les galets 48 cessant d'être attires, la tige 47 est aussitôt écartée par le pivote- ment de l'étrier 46 sous l'action du ressort 51 et elle,ne revient en contact avec les plots 44 que quand l'armature 21 est complètement retombée, ce qui ne se produit que lorsque la dent 63 entre dans l'encoche 62 de l'arbre 57, A ce moment,
le courant d'excitation de l'électro-aimant est coupé en 42, étant donné que le tambour de pesée 23 a commencé à basculer sous le poids de la pâte sortant du tube 5; il n'est rétabli que lorsque ce tambour ayant achevé de basculer ferme l'inter- rupteur 35.
Comme le montrent les schémas des Figs. 21 à 23. les interrupteurs 35 et 42 commandent ici chacun un circuit dis- tinct et ces circuits A et B sont alimentés alternativement par la source de courant de telle fagon que le circuit 3 n'in- tervienne que pour provoquer le soulèvement du couteau obtura- teur 52 et le circuit 1 pour provoquer la chute de-ce couteau.
A cet effet, les conducteurs 64 qui amènent le courant sont connectés aux bornes d'une prise 65 fixée au bâti de la machi- ne (Fig.l6) et de cette prise le courant est transmis par les balais 66 à des plots 67 montée sur un bras vertical 68 soli-
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daire du couteau-obturateur 52. Suivant que le couteau est levé ou abaisse, ces plots 67 viennent en contact avec des plots 69 du circuit A ou des plots 70 du circuit B, mettant ainsi l'un ou l'autre de ces circuits sous tension dans les positions extrêmes du couteau et supprimant le courant aux deux circuits pendant que le couteau se déplace pour monter ou pour descendre.
Par cette disposition de circuits indépen- dants et de plots d'alimentation mobiles avec le couteau, on évite que le couteau-guillotine puisse être actionné intempes- tivement soit avant que la pâte ait passé du tube 5 sur le tambour de pesée en quantité suffisante, soit pendant que ce tambour tourne sur lui-même pour se débarrasser de la portion de pâte pesée et séparée par le couteau.
Cette rotation du tambour ne peut commencer que lorsque le boudin de pâte a été sectionne par le couteau et elle doit cesser dès que le couteau. en remontant, démasque l'orifice du tube 5 pour laisser passer une nouvelle quantité de pâte sur le tambour de pesée. On obtient ce résultat en commandant le petit moteur 33 qui actionne le tambour 23 au moyen d'un interrupteur 71 dont un des contacts estmonté sur une pièce fixe de la machine, tandis que l'autre contact 72 est attaché à l'étrier porte-couteau 53 et suit par conséquent les mouve- ments de monte et baisse du couteau 52.
L'interrupteur 71 - 72 n'est fermé que quand le couteau est abaissé et s'ouvre auto- matiquement en arrêtant le moteur 33 dès que le couteau com- mence à remonter, c'est-à-dire quand le tambour de pesée a re- joint sa position de repos et est prêt à recevoir une nouvelle portion de pâte.
Le tambour de pesée 23 qui convient très bien pour pe- ser des matières pâteuses ne serait d'aucun secours si l'on devait peser et diviser des matières pulvérulentes, granuleuses, liquides ou semi-liquides qui glisseraient ocouleraient sur
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sa surface cylindrique. Aussi lorsque l'on doit traiter de telles matières, remplace-t-on le tambour par un plateau ou baquet de pesée comme c'est montré dans la forme de l'in- vention représentée sur les Figs. 24 à 29.
Le mécanisme de pesée visible sur les Fige* 24 et 25 est analogue à celui d'un pèse-lettre. Il 'comprend un plateau 73 équilibra par un contrepoids 74 qui pend à l'extrémité inférieure d'un balancier 75 formant avec le montant 76 du plateau, le pied-support 77 et une biellette 78 un quadrila- tère déformable. Au pied-support 77 sont fixés d'une part l'interrupteur 35 à glissière courbe et curseur réglable 36, et d'autre part l'interrupteur fixe 42, ces deux interrup- teurs étant intercales dans le drcuit de l'électro-aimant 22 qui commande l'obturateur rotatif 16 du tube 5 (Fig. 29), comme dans la première forme d'exécution de la machine décrite ci-dessus.
Le contact mobile 34 qui se déplace dans la glis- sière 35 est monté sur le bras inférieur du balancier 7 5.
Quand le plateau 73 n'est pas chargé,, le contact 34 ferme l'interrupteur 42 de fagon à provoquer l'ouverture de l'obtu- rateur 16 ou 52 qui laisse tomber sur le plateau la matière pulvérulente ou granuleuse contenue dans le réservoir 1 et sortant par le tube 5.
Sous la charge, le plateau s'abaisse et le contact 34 se déplace dans la glissière jusqu'à, ce que, le poids de matière détermina par la position du curceur 36 étant atteint, il rencontre ce curceur et ferme l'interrupteur 35, ce qui provoque la fermeture de l'obturateur 16 et arrête l'écoulement de la matière,
Pour se débarrasser de la portion de cette matière qui s'est accumulée sur lui, le plateau 73 bascule autour d'une ar- ticulation 79 qui le mets au montant 76.
Ceci se produit lors- qu'une came 80 se dérobe sous une tige 81 qui maintient :norme.-
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lement le plateau horizontal et est relié au montant 76 par deux biellettes 82 qui la guident parallèlement à ce montant quand elle se déplace sous l'action delà came 80. Cette came, en forme de virgule, est calée sur un arbre 83 supporté au moyen de consles 84 par le montant mobile 76 et actionné par un petit moteur 85 également supporté par ces consoles 84, de sorte que tout le mécanisme suit les déplacements du plateau
73 quand il s'abaisse ou remonte. Entre le moteur 85 et l'ar- bre 83 est intercalé un embrayage à friction 86.
D'autre part, un ressort de torsion 87 est fixé par une extrémité à l'arbre
83 près de la came 80 et par l'autre extrémité à la console 84 adjacente. Enfin, l'arbre 83 est muni d'un ergot 88 destiné à buter contre un taquet fixe 89 porté par la console 84 ad- jacente.
Le petit moteur 85, qui correspond au moteur 33 action- nant le tambour de pesée dans les deux premières formes d'exé- cution de la machine, est mis en marche au moyen d'un inter- rupteur automatique 40 ou 72 actionné par l'obturateur 16 ou
52 du tube 5 quandce dernier(est fermé, ainsi que c'est décrit ci-dessus.
En tournant,le moteur 85 entraine l'arbre porte- came came 83 par l'intermédiaire de l'embrayage 86 et, ce fai- sant, met le pessort 87 sous tension et abaisse la came)80 en permettant ainsi au plateau 73 de basculer pour se débarrasser de sa charge. Après une demi-révolution, l'arbre 83 est arrê- té par la rencontre de son ergot 88 avec le taquet 89 et comme le moteur 85 continue à tourner, l'embrayage 86 patine en main- tenant la came 80 abaissée. Le plateau 73 reste doncjincliné. se décharge rapidement, revient à sa position de repos sous l'action du contrepoids 74 et ferme l'interrupteur 42 en provo- quant l'ouverture de l'obturateur 16 ou 52 du tube 5.
En s'ou- vrant, cet obturateur ouvre également l'interrupteur 40 ou 72
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de sorte que le moteur 85 s'arrête. Le ressort de torsion 87 se détend alors en faisant tourner d'un demi-tour en sens in- verse l'arbre 83 et la came 80 qui revient à sa position pri- 'mitive et fait pivoter)Le plateau 73 autour de l'articulation
79 pour le ramener dans sa position, horizontale. Le plateau @ regoit alors une nouvelle charge de matière et le cycle des opérations décrétée ci-dessus se poursuit automatiquement.
Lorsqu'il s'agit de peser'ou diviser des matières li- quides ou semi-liquides on adapte sur le plateau 73 Un baquet
90 montré en pointillés sur les figs. 24 et 25 et au lieu de l'obturateur 16 ou 52 on peut employer un simple robinet 91 (Figs. 26, 27 et 28) dont la carotte 92 est commandée par l'électro-aimant 22 de la même fagon que l'obturateur rotatif 16 décrit ci-dessus.
Bien entendu, l'invention n'est pas limités aux détails d'exécution décrits dans le présent mémoire et représentés schématiquement sur les dessins annexés, cesdétails étant don- nés simplement à titre d'exemples pour faire comprendre com- ment l'invention peut e-tre réalisée.
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Automatic weighing-dividing machine.
The object of the invention is a machine intended to automatically divide into portions of a determined weight pasty, pulverulent or liquid dobbies and in particular bakery dough which it is very difficult to divide into strictly identical dough pieces with known machines, to cause of the differences in density which occur in this dough depending on whether it is more or less leavened,
The machine according to the present invention comprises an adjustable weighing member which, when it has received from a reservoir a determined weight of the material to be divided, causes by lowering the closing of an electrical circuit in which is included an electro-love in the frame,
while being pulled, triggers a shutter which tomes there. exit
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of the tank and, if necessary, cut the material to capture the weighed portion of the remainder of the mass. This movement of the shutter closes the circuit of an electric motor which moves the weighing member so that the latter gets rid of the portion of separated material.
The lighter weighing member straightens up in its original position and, when it reaches the end of its stroke, again closes the circuit of the electromagnet which this time causes the opening of the shutter of the valve. tank, thus allowing a new quantity of material to pass over the weighing member, then the cycle of operations continues automatically without any manual intervention being necessary.
The accompanying drawings show, by way of example, three tonnes of embodiment of the invention. In the first of these forms (Fies. 1 to 14) the weighing member consists of a tilting drum and the shutter is constituted by a rotating knife. In the second form (Figs. 15 to
23) the shutter is a guillotine knife and in the third volume (Figs. 24 to 29) the weighing member is a plate or tank with an up and down movement, while the shutter can be of either type mentioned above or consist of a simple tap.
The weighing-divider machine shown in the
Figs. 1 to 13 is described below in its application to the baking industry, for which it is particularly intended although it can also be used for other
Industrial uses.
This machine comprises a tank 1 from which the dough, driven by the paddles 2 of a feed drum 3, sits in a narrower tarpaulin 4 which encircles this drum,
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then 'is pushed into a horizontal tube 5 constituting the outlet of the tarpaulin (Figs. 1 and 2). : The detail of the construction of the feed drum 3 is shown in Figs. 3 and 4 where. it can be seen that the retractable pallets 2 of this drum are controlled by rollers 6 circulating in cam grooves 7 formed in two fixed flanges 8 which are mounted on a housing 9.
This is supported at the ends by the frame 10 of the machine and encloses the shaft 11 which actuates the drum 3. A clutch cone 12 mounted on the threaded end 13 of this shaft normally engages, under Inaction of a spring 14, with an idle pulley
15 which can be driven by any motor with the aid of a belt.
The outlet of tube 5 is closed by a rotary shutter 16 which at the same time constitutes a knife intended to cut the dough flush with this tube 5 when this dough is admitted to exit through one of the notches 17 of the shutter knife. The mechanism which turns this knife with a view to bringing one of these notches or one of its solid parts in front of the orifice of the tube 5 comprises a ratchet !? wedged on the shaft 19 of the knife and a pawl 20 mounted on the pivoting frame 21 of an electromagnet 22.
When the shutter 16 is closed and the tube 5 is filled with paste supplied by the paddles 2, the resistance which they encounter causes the clutch 12 to slip, the adhesion of which is adjusted so as to prevent the paste from being compressed to the point of losing its ability to lift, allowing the drum 3 to stop although the shaft 11 continues to rotate.
When the shutter 16 opens, the cake drum begins to rotate again and exits the tube 5 a
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strand of dough which is fed onto a weighing drum 23 shown in detail on Sise * 9 to 12. The axle 24 of this drum 23 is supported in bearings of a crankshaft 25 journalled at 26 in a frame 27, so that the drum can at the. turn around its axis and tilt on the journals 26. A counterweight 28 balances the weighing drum and the crankshaft on one of the journals 26 of which it acts by means of a toothed sector 29 integral with the latter and d 'a pinion 30 wedged on the axis of a lever 31 by which the counterweight is suspended from a support 32 against the frame 27.
A small electric motor 33 carried by the crankshaft 25 and the pulley of which directly attacks the inner periphery of the drum 23 makes it possible to put the latter in rotation around its axis 24 to make the. paste that is deposited there.
The strand of dough emerging from the tube 5 extends over the drum 23 which gradually tilts under the. load around the journals 26 by lifting the counterweight 28. With it also swings the crankshaft 25, the free end of which carries an electrical contact 34 which moves in a curved slide 35 fixed to the frame 27 and provided with an adjustable slider 36. when the contact 34 meets the slider 36, it closes an electrical switch formed by the two rails of the. slide 3.5) and controlling a circuit in which are included a suitable current source and the electromagnet 22 which actuates the shutter-knife 16 (Fig. 13).
Axmature 21 is attracted by the electromagnet and, by means of pawl 20 and ratchet 18, turns knife 16 by an eighth of a turn which cuts the dough flush with tube 5 and closes the latter as shown in Fig. 4.
A side bearing plate 37 supports the strand of dough while the knife 16 cuts it and, to prevent dough
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to adhere to the knife, two small rollers 38 lubricate both sides of the latter in passing by depositing a little margarine or other suitable grease.
A little before the rotary knife has finished cutting the dough, a pair of brushes 39 mounted on this knife which carries four similar pairs arranged opposite its solid parts, closes an electric switch 40 fixed to the support plate 37 and controlling the start of the small motor 33, which rotates the weighing drum 23 around its axis 24. The portion of dough separated by the knife is driven by the rotation of the drum and, after being tainted with it by a fixed scraper 41, falls into a container or into another machine.
Once freed of its load, the weighing drum rises under the action of the counterweight 28, pivoting on the journals 26. The contact 34 leaves at the same time the cursor 36, thus interrupting at 35 the circuit of the electro- magnet 22, the frame 21 falls and the pawl. 20 engages under the next tooth of the ratchet 18. Arrived at the top of its travel in the slide 35, the contact 34 closes an alternate switch 42 mounted in parallel with the switch 35 (Fig.13) in the circuit of the electromagnet 22.
The latter is again excited, the armature 21 is re-drawn and causes the cutter-shutter 16 to turn a new eighth of a turn, a notch 17 of which then appears in front of 1 ,. tube hole 5 and let the paste pass over the. weighing drum.
At the same time the brushes 39, driven by the rotation of the knife, open the switch 40 thus stopping the rotation of the weighing drum. The latter begins to tilt while receiving the dough and the cycle of the operations described above continues automatically.
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A general switch 43 interposed in the circuit of the electromagnet 22 allows the operation of the weighing and dividing devices to be started or stopped at will. The weight of the weighing devices can also be adjusted at will. tions of dough delivered by the machine by adjusting the position of the cursor 36 in the slide-switch 35, so that the operation of the shutter-knife 16 occurs after a more or less accentuated tilting of the weighing drum 23.
Finally, a safety switch 44 is provided in the circuit of the electromagnet 22 to prevent the armature 21, after having fallen back, from being re-attracted by the electromagnet before the pawl 20 has been able to engage under. the next tooth of the ratchet 18, which could happen for example on the weighing drum, suddenly released, closed the upper switch
42 before the frame 21 has completely fallen. This would result in a false maneuver which would disrupt the operation of the machine, the knife 16 not being actuated at the desired moment by the armature 21. Any risk of this kind is avoided by cutting off the current during the fall of the armature. armature and re-establishing it only when the armature is fully loaded.
For this purpose, the free end of the frame 21 carries an axis 45 around which can pivot a bracket 46 of non-magnetic metal supporting a copper rod 47 provided at each end with a soft iron roller 48, while the two pads 44 of the switch are supported by an insulating base
49 fixed to the pole 22 'of the electromagnet 22. A non-magnetic metal fork 50 on which the roller 48 rests is also fixed to this pole 22'.
When the armature 21 is at rest as shown in dotted lines in Fig. 5, the contact rod 47 rests against the pads 44 and therefore closes the safety switch, so that the electro- magnet 22
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can be energized when the weigh drum 23 closes its circuit at 35 or 42, and can then attract the armature. At the same time, it attracts the soft iron rollers 48 which, during the upward movement of the frame, roll along the pole 22 'while maintaining the rod 47 in contact with the pads 44.
As soon as the weighing drum interrupts the circuit at 35 or 42, the armature falls back, the rollers 48 also cease to be attracted by the pole 22 'and a spring 51 moves the caliper 46 and the rod 47 from this pole. which does not come into contact with the pads 44 until the frame 21 has completely fallen.
Fig. 14 schematically shows a machine of the type described above which comprises two weighing mechanisms fed by a common dough tank or separated into two compartments, in order to increase the output and to allow, if necessary, to weigh and divide two. different pasta in portions of different weight in each of the mechanisms.
Instead of the rotary shutter knife described above, it is in certain cases advantageous to employ a shutter knife functioning as a guillotine and weighted so as to be able to slice bakery dough or other very compact material than a knife. rotary would only bite with difficulty. Figs. 15 to 23 show a weighing-divider machine according to the invention provided with such a knife in combination with a weighing drum similar to that described above.
The guillotine knife 52, which at the same time acts as a shutter for the tube 5 in front of the orifice from which it can move, is mounted in a stirrup in the form of 753 guides vertically at its upper part in slides 54 and resting at its lower part, by means of a gaiety,
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on a cam 56 in the shape of a comma, Depending on the position of this cam, the knife 52 is lifted and unmasks the orifice of the tube 5 by letting the strand of dough come out of it, or else falls suddenly by cutting the dough and by plugging the tube 5.
The cam 56 is wedged on a shaft 57 which is rotated by an electric motor 58 via helical gears 59, 60 and a friction clutch 61, the female element of which is wedged on the. tree while the male element is mad on it. The shaft 57 has at its middle part two diametrically opposed notches 62 in one or the other of which can engage a tooth 63 of the armature 21 of the electromagnet 22 which controls the operation. of the knife 52. As in the case of the rotary knife, the electromagnet 22 is dependent on the weighing drum
23 and is energized each time the latter causes the closing of the switch 35 or that of the switch 42.
Each time the armature 21 is attracted, its tooth 63 disengages from one of the notches 62 and the camshaft 57 can turn half a turn, after which the tooth 63 comes back into engagement and Clutch 61 slips until the armature is attracted again and allows shaft 57 to turn a further half revolution.
With the guillotine knife lifted by cam 56 as shown in Fig. 16, the dough comes out of the tube on weighing drum 23, the latter tilts and, when the desired weight is reached, closes the switch 35. The current passes through the electromagnet 22 which attracts the armature 21 thus freeing the cam-holder shaft 57, the cam 56 escapes under the caliper
53 and the knife 52 drives by its weight and the weight of the caliper falls in front of the orifice of the tube 5 which it closes in section.
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nant the sausage dough. Meanwhile, frame 21 is already. fallout, as its. tooth 63 can immediately engage with the next notch of shaft 57 and immobilize the latter after it has completed its half-turn, cam 56 then being directed downward (fig. 18).
This rapid release of the armature 21 is caused by the safety switch 44, the studs of which in this case have only a short length (Figs. 19 and 20), so that the contact rod 47 leaves these pads 44 as soon as the armature has been lifted by the amount just sufficient to release the tooth 63 and the excitation current of the electromagnet is cut off The rollers 48 ceasing to be attracted, the rod 47 is immediately removed by the pivoting of the caliper 46 under the action of the spring 51 and it does not come into contact with the studs 44 until the reinforcement 21 has completely fallen back, which only occurs when the tooth 63 enters the notch 62 of the shaft 57, At this time,
the energizing current of the electromagnet is cut off at 42, since the weighing drum 23 has started to tilt under the weight of the dough exiting the tube 5; it is only reestablished when this drum, having finished tilting, closes the switch 35.
As shown in the diagrams of Figs. 21 to 23. switches 35 and 42 here each control a separate circuit and these circuits A and B are supplied alternately by the current source in such a way that circuit 3 intervenes only to cause the lifting of the knife. shutter 52 and circuit 1 to cause the fall of this knife.
For this purpose, the conductors 64 which bring the current are connected to the terminals of a socket 65 fixed to the frame of the machine (Fig. 16) and from this socket the current is transmitted by the brushes 66 to the pads 67 mounted on a vertical arm 68 solid
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of the shutter knife 52. Depending on whether the knife is raised or lowered, these pads 67 come into contact with pads 69 of circuit A or pads 70 of circuit B, thus placing one or the other of these circuits under voltage in the extreme positions of the knife and removing current to both circuits as the knife moves up or down.
By this arrangement of independent circuits and of feed pads movable with the knife, it is possible to prevent the guillotine knife from being actuated inadvertently, either before the dough has passed from the tube 5 onto the weighing drum in sufficient quantity. , or while this drum turns on itself to get rid of the portion of dough weighed and separated by the knife.
This rotation of the drum can only begin when the strand of dough has been cut by the knife and it must cease as soon as the knife. on rising, unmasks the orifice of tube 5 to allow a new quantity of dough to pass over the weighing drum. This is achieved by controlling the small motor 33 which actuates the drum 23 by means of a switch 71, one of the contacts of which is mounted on a stationary part of the machine, while the other contact 72 is attached to the support bracket. knife 53 and consequently follows the up and down movements of knife 52.
Switch 71 - 72 is only closed when the knife is lowered and opens automatically, stopping the motor 33 as soon as the knife starts to rise, that is when the weighing drum has returned to its rest position and is ready to receive a new portion of dough.
The weighing drum 23, which is very suitable for weighing pasty materials, would not be of any help if one had to weigh and divide powdery, granular, liquid or semi-liquid materials which would slip on the surface.
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its cylindrical surface. So when such materials have to be processed, the drum is replaced by a weighing pan or bucket as shown in the form of the invention shown in Figs. 24 to 29.
The weighing mechanism visible on Fige * 24 and 25 is similar to that of a letter scale. It 'comprises a plate 73 balanced by a counterweight 74 which hangs from the lower end of a rocker 75 forming with the upright 76 of the plate, the support foot 77 and a link 78 a deformable quadrilateral. To the support foot 77 are fixed on the one hand the switch 35 with a curved slide and adjustable slider 36, and on the other hand the fixed switch 42, these two switches being interposed in the circuit of the electromagnet. 22 which controls the rotary shutter 16 of the tube 5 (Fig. 29), as in the first embodiment of the machine described above.
The movable contact 34 which moves in the slide 35 is mounted on the lower arm of the balance 75.
When the plate 73 is not loaded, the contact 34 closes the switch 42 so as to cause the opening of the shutter 16 or 52 which drops on the plate the powdery or granular material contained in the tank. 1 and exiting through tube 5.
Under the load, the plate is lowered and the contact 34 moves in the slide until, the weight of material determined by the position of the slider 36 being reached, it meets this slider and closes the switch 35, which causes the closure of the shutter 16 and stops the flow of material,
To get rid of the portion of this material that has accumulated on it, the plate 73 swings around a hinge 79 which puts it at the post 76.
This occurs when a cam 80 escapes under a rod 81 which maintains: standard.
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lement the horizontal plate and is connected to the upright 76 by two rods 82 which guide it parallel to this upright when it moves under the action of the cam 80. This cam, in the form of a comma, is wedged on a shaft 83 supported by means of consles 84 by the movable upright 76 and actuated by a small motor 85 also supported by these consoles 84, so that the entire mechanism follows the movements of the plate
73 when it goes down or up. Between the motor 85 and the shaft 83 is interposed a friction clutch 86.
On the other hand, a torsion spring 87 is fixed at one end to the shaft.
83 near the cam 80 and through the other end to the adjacent console 84. Finally, the shaft 83 is provided with a lug 88 intended to abut against a fixed cleat 89 carried by the adjacent console 84.
The small motor 85, which corresponds to the motor 33 operating the weigh drum in the first two embodiments of the machine, is started by means of an automatic switch 40 or 72 operated by the machine. 'shutter 16 or
52 of tube 5 when the latter (is closed, as described above.
By rotating, the motor 85 drives the camshaft 83 through the clutch 86 and, in doing so, puts the spring 87 under tension and lowers the cam) 80, thus allowing the plate 73 to shift. tilt to get rid of its load. After half a revolution, the shaft 83 is stopped by the meeting of its lug 88 with the lug 89 and as the motor 85 continues to rotate, the clutch 86 slips keeping the cam 80 down. The plate 73 therefore remains inclined. discharges rapidly, returns to its rest position under the action of the counterweight 74 and closes the switch 42, causing the shutter 16 or 52 of the tube 5 to open.
When opening, this shutter also opens switch 40 or 72
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so that the engine 85 stops. The torsion spring 87 then relaxes by rotating the shaft 83 and the cam 80 in the reverse direction half a turn, which returns to its original position and rotates the plate 73 around it. joint
79 to bring it back to its horizontal position. The plate @ then receives a new load of material and the cycle of operations decreed above continues automatically.
When it comes to weighing or dividing liquids or semi-liquids, we fit on the platform 73 A tub
90 shown in dotted lines in figs. 24 and 25 and instead of the shutter 16 or 52 one can use a simple valve 91 (Figs. 26, 27 and 28) whose core 92 is controlled by the electromagnet 22 in the same way as the shutter rotary 16 described above.
Of course, the invention is not limited to the details of execution described in the present memory and shown schematically in the appended drawings, these details being given simply by way of examples in order to understand how the invention can be understood. be carried out.