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"Appareil récupérateur et transformateur en eau chaude ou va, peur des calories perdues latéralement et au-dessous des flam- mes des réchauds, foyers à gaz, alcool, 'benzine, etc ... Il
Cette invention est relative à des perfectionnements appor tés aux réchauds 4 gaz, alcool, benzine, etc,.. où l'on prévoit des dispositifs supplémentaires au moyen desquels la chaleur fournie par les 'brûleurs est utilisée pour chauffer de l'eau en même temps qu'elle est employée pour d'autres buts,.
Dans les dispositifs connus jusque ce jour et relatifs à cette matière, il a été préconisé diverses solutions pour ré- soudre ce problèmeLa plupart des inventeurs ont dispose, à cet effet, entre le récipient à chauffer et le brûleur, un ré- servoir contenant de 1'eau avec ouverture centrale. Dans ce cas, les flammes émanant du foyer chauffaient d'abord l'eau dans ce
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@ réservoir et venaient ensuite lécher le récipient à chauffer qui ne recevait donc pas la quantité de @haleur requise, Dans d'au.. tres constructions, on disposait un anneau d'eau à l'intérieur de l'anneau des 'brûleurs.
Cette solution ne permettait pas d'ob- tenir facilement de l'eau chaude attendu que presque toute la chaleur était utilisée pour chauffer le récipient.
Comme on le voit, les appareils proposés antérieurement offrent de nombreux inconvénients, savoir: le) chauffage insuffisant du récipient lorsque l'on désire obtenir concurremment de l'eau chaude;
2 ) résultat inverse de celui exprimé au l , o'est-à-dire, chauffage insuffisant de la cavité contenant l'eau, toute la chaleur, étant en majeure partie, dérivée vers le récipient à chauffer;
3 ) perte de la chaleur due à la dispersion des flammes sous le récipient, soit qu'il s'agisse du rayonnement vers le @ bas ou du rayonnement latéral ;
4 ) utilisation irrationnelle des flammes émises par le brûleur.
Le but que s'est imposé l'inventeur est de pallier à ces inconvénients par l'adoption d'un système spécial qui permet la récupération des calories perdues par les flammes du brûleur, qui, venant en contact avec le récipient, sont refoulées vers le bas et, en second lieu, par les flammes qui, en s'inourvant, viennent lâcher le récipient pour s'échapper en suivant les pa- rois de ce dernier,
A cet effet, l'objet de l'invention se réfère à un système comportant un bouilleur ou chaudière en forme de tore ou toute autre forme dépendant du réchaud,
que l'on disposedans l'ouver- ture ménagée dans la plaque du foyer de façon à ce que les parois du bouilleur soient baignées dans les flammes en vue de récupé- rer les calories perdues par suite du rayonnement vers le bas et
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latéral.. L'appareil ainsi conçu permet de chauffer l'eau sans' diminuer Inefficacité des flammes destinées au chantage des ré- cipients de cuisson et élimine le rayonnement des flammes de ces réchauds vers le dessous sur la table de support de ceux-ci.
Conjointement au bouilleur qui vient d'être décrit, est as- semblée sur celui-ci une grille creuse en communication avec la chaudière qui permet, d'une part, de supporter le récipient et, d'autre part, de surchauffer l'eau émanant du bouilleur.
D'ailleurs, l'invention sera décrite en détail ci-dessous, avec référence aux figures du dessin annexé, lesquelles repré- sentent schématiquement et,à titre d'exemple non limitatif, deux formes de réalisation de l'invention,
Fige 1 représente une vue en élévation de l'appareil; fige 8 représente, une vue en projection horizontale; fisse 3 et 4 schématisent des vues similaires concernant une deuxième forme de réalisation. représente le brûleur ordinaire à gaz en forme d'anneau;
O fogre le bouilleur en laiton, cuivre jaune, aluminium, ou tout autre métal de forme annulaire, formé de deux pièces réunies d'une façon étanche;
l'une de celles-ci constituant la partie intérieure présente une forme ondulée de façon à augmentez la surface de chauffe, l'autre porte des épaulements pour pou- voir placer l'appareil dans l'orifice'ménagé dans la plaque D.
Sur le bouilleur est fixée une grille formée de deux par. ties distinctes C1 et G2 de façon à permettre la libre dilata- tion de celles-ci sous inaction de la chaleur, La grille pré- sente une section transversale rectangulaire ou autre de forme allongée, de façon à augmenter le trajet de contact avec. les flammes. Des orifices c1, c2, c3, c4 mettent en communication la grille avec la chaudière.0. Le récipient à chauffer C est -disposé sur la grille.
Les éléments G1 et T2 de la grille sont réunis par un tube fermé à ses extrémités par des bouchons filetés, le dit tube
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étant raccordé à la canalisation. T1 qi débouche vers la partie supérieure du réservoir R dans un amortisseur de bruit A du type connu. L'eau froide est amenée au bouilleur par le tuyau T2 éma- nant de la partie inférieure d'un réservoir R et la pipe W'obli. ge l'eau à se diriger vers la partie inférieure de l'appareil.
R figure un réservoir qui peut être ouvert à la partie su- périeure ou bien fermé, du type "Boiler" de façon à travailler sous pression, Le réservoir R est fixé à un support V; tel que, par exemple, les supports porte-assiette% dont sont munis actuel lement les cuisinières modernes.
Une conduite de débit K permet de retirer l'eau chaude; une conduite L disposée à la partie inférieure du réservoir R permet l'alimentation en eau froide de celui-ci.
M est le tuyau d'amenée du gaz au brûleur, lequel est fixé à la plaque D par un ergot E.A noter que le tuyau M passe dans une cavité en forme de selle ménagée dans le bouilleur pour pouvoir placer et enlever l'appareil sur le brûleur sans aucun démontage.
Une plaque perforée est placée à la partie inférieure de l'appareil; sur celle-ci est disposée une plaque mobile perforée également, permettant d'obtenir un réglage précis de l'air en réglant les orifices, de façon à assurer - dans les conditions optima - la combustion complète du gaz et ensuite à refouler le plus possible dans l'appareil la chaleur qui aurait une tendance à rayonner vers le bas.
L'appareil fonctionne comme suit: l'eau froide arrive à la partie inférieure du bouilleur par la conduite T1 et la pipe W; elle est réchauffée par le rayonnement des flammes vers le bas; ensuite, cette eau réchauffée tend à gagner les veines liquides supérieures où elle est soumise à l'action des flammes qui vien- nent glisser le long de la paroi ondulée du bouilleur et s'éohap- pent par l'intervalle existant entre le récipient et la chan-
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dière. Les flammes qui viennent frapper normalement la partie inférieure du récipient à chauffer, enveloppent les surfaces extérieures des éléments G1 et G2 de la grille, ce qui a pour effet de porter l'eau chaude émanant du bouilleur O à une tem-,
pérature -encore plus élevée* L'eau 'bouillante ou môme la va- peur obtenue-est collectée par le tube U et, de là, amenée dans le réservoir R où elle se décharge par l'intermédiaire d'un amortisseur A ayant pour but d'éviter le bruit.
Dans la deuxième forme de réalisation indiquée aux figures
3 et 4, le 'bouilleur est constitué par plusieurs tores ou corps . de forme quelconque dépendant du réchaud (dans le cas de la fi- gure deux])!. O1 et O2 à section circulaire ou autre, superposés et reliés entre eux par des canalisations a1, a2, et a3. Le dia- mètre du tore inférieur O2 est inférieur à celui du tore supé- rieur O1 et est plus grand que le diamètre de l'anneau des buû- leurs dans le but de pouvoir placer facilement l'appareil dans la cavité ménagée dans la plaque, l'anne au des brûleurs restant en plaoe,
La grille constituée des éléments G1 et G2 a , en plus, pour fonction spéciale dans ce cas de supporter l'appareil lors- qu'il est placé dans l'orifice de la plaque D.
Le fonctionnement de cet appareil est analogue à celui dé- crit dans la réalisation précédente avec la particularité que l'anneau O2 est principalement soumis aux flammes projetées vers le bas, tandis que l'anneau O1 récupère les calories prove- nant de la dispersion latérale du brûleur.
Les appareils qui viennent d'être décrits pourraient être également constitués par une chaudière en forme de tore ou de toute autre forme dépendant de la construction du réchaud sur- montée d'une grille ordinaire pleine qui servirait simplement à supporter le récipient à chauffer et à placer l'appareil dans l'orifice ménagé dans la plaque.
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Lorsque l'on désire employer simultanément un certain nom- bre d'appareils, on peut réunir entreeelles les canalisations U en dévissant les bouchons filetés et en assemblant celles-ci par toue, systèmes convenables et en reliant ensemble les 'canalisa- tions d'eau froide et cellas de vapeur.
Il y a lieu de bien comprendre que les appareils qui vien- nent d'être décrits permettent de chauffer le récipient placé sur la grille avec autant d'efficacité que, si le dispositif servant à chauffer l'eau n'existait par.;, ceci résultant néces- sairement du fait que l'appareil ainsi qu'il est conçu ne fait emploi que des calories dues à la dispersion qui sont en majeure partie perdues dans tous les dispositifs préconises jusqu'à ce jour.
D'ailleurs, il est entendu que l'invention n'est nullement limitée aux formes de réalisation et aux applications données dans les deux exemples ci-dessus, mais peut comporter de nom- breuses variantes constructives et une grande diversité d'appli- cation dérivant toutes du principe d'intercaler entre le réai- pient à chauffer et le brûleur une chaudière possédant une forme dépendant de celle du réchaud et qui est chauffée par les calo- ries dues à la dispersion des flammes vers le bas et vers le haut.
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REVEHriCATIONS.
-:-:-:-:-:-:-:-:-:-:- 1 Appareil en cuivre, aluminium ou tout autre méiab récu-
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