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Pierre Cuvelier Machine à agglomérer
La présente demande se rapporte à une machine à agglom- mérer à commande par air comprimé ou vapeur et à la même ma- chine à commande par moteur permettant les principales opé- rations suivantes:
1 / remplissage automatique du moule, par couches suc- @ cessires de matière, à hauteurset composition réglables, et cela quelle que soit la forme intérieure du moule;
2 / Secouage automatique du moule avec ou sans pilon sur la matière; ( machine commandée par air ou vapeur).
3 / Pilonnage de la matière contenue dans ce moule avec une force constante;
4 / Compression de la matière, accompagnée de choc (ma- chine à commande par moteur);
5 / Démoulage des produite comprimés, fait automatique- ment sur la machine;
6 / L'enlèvement facile des produits et changement faci- le de fabrication de produits agglomérés.
Fig. I représente une élévation de face, avec coupes par- tielles, de la machine commandée par moteur; Fig.2 représente une élévation latérale de la même machine ; Fige 2 bis, montre un détail de fig. 2, vue en plan. Fig. 3 représente une élé-
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ration de face de la machine commandée par air ou vapeur;Fig.
4 est une élévation téfâfâi de la machine de Fig. 3;
Fig. 4 bis est une vue du robinet de commande du doseur;
Fig. 5 est une vue, moitié en plan, moitié en élévation, d'un détail de la fig. 3; Fig. 6, représente une élévation latérale d'un détail des fig. 2 et 5; Fig.7 représente, en élévation de face, un détail de Fig.2 et 5;
Fig.8 représente une vue en plan d' un système différent d'embrayage du pilon sur les colonnes ou sur le palonnier.
Fig.2 représente une élévation d'un autre système ayant le même but ; Fig.IO représente un autre mode de commande du blocage du pilon, Fig.12 étant sa vue en élévation.
Fig.I2 montre en plan une autre réalisation d'un détail de Fig.I.
Dans ces figures, on désigne par:
A, le socle de la machine, avec bossages a1 de fixation des colonnes ; B, le moule; C, les deux fers démouleurs comportant des bossages c1 pour embrayage au palonnier, et des guidages c2 sur les colonnes ; le bâti de pilon avec guides d1 sur les colonnes; E, les montants de tête de pilon, fixés par bou- lons sur une tole e1. fixée elle-même à E; F, les semelles interchangeables de tête de pilon; G, les colonnes de la ma- chine; H, (Fig.3 et 4), le cylindre de commande; h2, le ro- binet de fuite réglable pour amortir la levée, situé en-haut du cylindre H; I, le palonnier de commande avec branches ver- ticales i1 (Fig. I et 2) , et avec trou de passage i2 de la vis p16; i3, (Fig.
I), des butées vissées aux extrémité, bas- ses du palonnier, remplaçant pour cette figure l'embrayage Q avec les fers démouleurs ; J,la tige de piston (Fig.3 et 4); K, la trémie (fig.2 et 4); k1, le doseur (fig. 2 et 4 et fig. 6 et 7); k2, le registre de fermeture de la trémie ; k3,les noyaux bois fixés au doseur par lames k4; k5, le fer- glissière servant de support à des crochets fixes k15 (fig. 7 et 6); k6, le fer supportant les axes k12 (fig.6 et 7) des
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portes k 7; k 8. la lumière dans les parois du doseur pour le réglage de la hauteur des fers k6 et k 5 et, par suite, des portes k 7; k 9, la rampe fixe pour la refermeture des portes k 7; cette rampe étant fixée sous la trémie K; k II, les leviers fixés sur des carrés des axes k 12;
k 14, les rails fixés sous là trémie pour le doseur; k 13, la butée fixée aux endroits voulus sur le rail k14 et sur les fers démouleurs C servant de rails au doseur sous la machine ;
L (fig. 3 et 5). la commande d'embrayage du pilon sur les colonnes G de la machine ou sur les colonnes i I de pa- lonnier I; ,les pignons réunis par chaines;
12. l'arbre vertical comportant une rainure verticale de façon à être toujours en prise avec le pignon 11;
13, l'ensemble des leviers commandant un coin 14 qui é- carte à volonté les arbres 15 fixés sur des paliers du pilon D et portant en bout des dents 16;
19, des ressorts qui rappellent les arbres 15 lorsque le coin est retiré ;
18, des ressorts constitués par une lame de forme rele- vée en bout, de façon à constituer en quelque sorte un trem- plin, servant de supports élastiques aux dents 16 de telle/ sorte que ces dents puissent, à n'importe quelle position du pilon, pénétrer dans un creux de crémaillères fixées aux co- lonnes de la machine ou à celles du palonnier;
En fig. I, les organes 12 et II sont supprimés et rem- placés par un simple levier agissant directement sur les le- vier 13. Fig. 8 est une variante d'embrayage du pilon, soit aux colonnes G, soit au palonnier D.
I 10, le pignon supportant une vis à pas-à-droite péné- trant dans un taraudage des guides d I du pilon sur les co- lonnes i I du palonnier;
I 13, le même pignon dont la vis est à pas-à-gauche, ces pignons étant commandés par des pignons I 11 et I 14 clavetés sur l'arbre I 12 (porté lui-même par des bossages
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des guides d 1), l'arbre I 12 étant commandé extérieurement au pilon par levier I 15 relié au câble de commande à main ;
Dans la fig. 9, on montre une autre variante du même em- brayage I 16 des griffes en forme de cames pouvant être pla- cées à l'aide du câble de commande à main, I 17 en contact avec des plaques rapportées sur les colonnes, I 18 des res- sorts de rappel pour ces griffes; Mo le sommier de la machine;
m1, (fig.1) le bossage du sommier comportant des passages et supports pour l'arbre/ p 11 et pour les branches i I du pa- lonnier;
N, la table formant le fond de moule et supportée sur un massif en béton;
0 ( fig. 3, 4 et 4 bis ), la commande de la distribution du doseur; o I et o 4, les tuyauteries reliant le robinet 2 aux deux extrémités du cylindre o 2 pour faire arriver, grace à la rotation de o 7 ( poignée) entrainant la mise en communi- cation alternative de o 5 ( tuyauterie d'admission communiquant, avec le cylindre H ), soit avec o 4. soit avec o I, (l'autre de ces tuyauteries communiquant avec l'échappement o 6. par les canalisations intérieures de la carotte o 8),le fluide moteur alternativement sur les deux faces du piston 23;
p (fig. 2 et 2 bis), la commande actionnant le pilon D et le palonnier I; p 1, les bras entrainant les courroies motrices p 6 et p 7 articulés en p 5 et actionnés en p 4 par des galets subissant/ le mouvement de rotation alternatif communiqué à l'aide d'un levier à main (non figuré) au plateau P, lequel comporte des lumières p 3 destinées à guider ces galets de telle façon que les courroies p 6 et p 7 puissent, suivant la position du pla- teau P, se trouver : soit toutes les deux sur les poulies fol- les p 9 et p 8, soit l'une sur la poulie fixe p 10 et L'autre sur sa poulie folle.
Lorsqu'une des courroies se trouve sur la poulie fixe p10
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elle entraine l'arbre p 11 (fig. I et 2 ) et le pignon clave- té p 12 . qui entraine un autre pignon conique p 13 fixé sur un volant p 14 . lequel sert de support à une bague en bronze p 15. laquelle comporte un filet intérieur correspondant à la vis de commande de façon à entrainer le mouvement vertical de cette vis, laquelle monte ou descend suivant que les courroie-$ p 6 ou p 7 se trouvent sur la poulie fixe p 10.
De façon à empêcher la rotation de la vis p 16. un guida- ge p 17 est prévu soit sur les colonnes G de la machine, soit sur les colonnes i 1 du palonnier.
Q, (fig. 2, 3 et 4) est l'embrayage entre les fers démou- leurs C et les branches i I de palonnier, cet embrayage pou- vant également servir, une fois poussé à fond, à embrayer les fers démouleurs C à une planche fond de moule (non figurée) reposant sur la table N. q 1, est l'entretoise reliant le levier à un levier q 2, actionnant l'autre clavette q 3 coulissant comme la première dans un bossage c 1 des fers démouleurs C dans le- quel passent les colonnes 1-1-du palonnier.
R, est la commande d'embrayage par butée entre la vis p16 (fig. I) et le palonnier I, de façon à obturer le pas- sage i 2 du palonnier (passage pour la vis p 16) lorsque la branche r I de ces leviers, guidée et supportée par une patte r 2 fixée au palonnier, est poussée ; commande r I, au lieu d'être coulissante, peut-être oscillante avec axe d'os- cillation, par exemple sur une branche i I du palonnier; de plus un ressort de rappel peut être prévu.
S, (fig. 2 et 4 ) sont les supports de trémie servant en même temps de support à la machine.
T, (fig. I ) est la commande de freinage du volant p 14 à l'aide d'une came t I agissant sur un sabot t 2.
U, (fig. I) est la commande d'embrayage du pilon à la vis p I6. u I, sont les leviers en V dont l'axe d'articulation est
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fixé aux bâtis de pilon D, transmettant, par une tringle, le mouvement du cable U au crochet u 2 de façon à le désenclan- cher de l'axe u 4 fixé à la vis p 16.
Un ressort u 3 rappelle le crochet à sa fonction d'em- brayage à l'axe u 4 de la vis p 16.
V et v 1 (fig. I et 3) est un cadre en fer dont l'écar- tement est réglable, suivant les dimensions du moule inter- changeable, servant de support à ce moule par des équerres ou lames v 3.
W (fig. 3) est un levier de commande à main de distribu- tion au cylindre H. w1 est un contrepoids monté sur levier et pouvant s'appliquer sur le levier ² pour rendre la distri- bution automatique; w2 est une tringle reliant W à un levier coudé w3, lequel, par son extrémité inférieure comportant une vis-pointeau réglable, commande la soupape de la boite w4 et supporte à l'autre extrémité une vis-pointeau réglable servant à actionner la soupape de la boite w7;
w8 est une butée pla- cée sur le fer coudé w3, de façon à entrainer l'ouverture de la soupape d'échappement w7, par la vis-pointeau réglable w10, lorsque la vis-pointeau réglable w9, fixée à une bride w13 (fixée elle-même au palonnier mais de façon à pouvoir pivoter quelque peu autour de ce palonnier sous l'action du câble de commande wII ou du ressort de rappel w12 lorsqu'on relache le cable w11), vient en contact avec cette butée w8.
X (fig.2), est un moteur actionnat, par pignons, une cré- maillère o10 fixée au chariot doseur, la commande de renverse- ment de marche pouvant être faite de la même façon que celle décrite en P.
Dans Fig.IO, 119 est la tuyauterie d'admission d'eau ou d'air; 120 les cylindres; 121 les pistons portant les dents 16 destinées à embrayer sur les crémaillères 17 des colonnes.
Dans Fig.II, 122 est la commande par pignons coniques ; est l'arbre commandé portant à ses extrémités des filets à pas contraires pour commande des sabots taraudés 124 supportant
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les dents 1 6. Dans la fig. 12, p19 est un levier pour le déplacement alternatif des plateaux de friction p 18 contre le volant-écrou p14 d'entrainement de la vis p.16 ;ces deux plateaux sont entraînés tous deux par l'arbre de commande p 23 au moyen du renvoi p 20, p 21 et p 22 destiné à laisser passer la vis p 16.
Ces machines fonctionnent de la manière suivante: Celle des fig. I, 2, 3, 4, 6 et 7:
Pour remplir le moule : Le chariot doseur, actionné par la crémaillère o 10 ( fig. 2) ou le cylindre o 2 (fig. 4), avance vers le moule en continuant à remplir ses cavités amé- nagées suivant la forme du moule B au moyen de noyaux en bois ou tôle k 3; arrivé au-dessus du moulele fer glissière k 5 vient buter contre une butée k 13 placée à l'endroit voulu sur un point fixe, ce qui provoque son recul et l'échappement des leviers k II (fixés aux portes k 7) des crochets k 15 fixés à ce fer k 5; par suite, les portes k 7 se trouvent li- bérées et s'ouvrent par gravité, et la matière tombe dans le moule B ;
enmême temps, le mouvement de marche du chariot a été renversé par une butée fixée à l'endroit voulu et agissant sur un plateau de commande tel que p (fig. 2 bis) qui renver- se, au moyen de poulies teles que p 9, p 8 et p 10. le mouve- ment de la crémaillère o I; ou si la commande est faite par cylindre : en renversant la poignée du robinet/de commande 0.
Dès que le chariot revient vers la trémie K, les portes k 7 rencontrent successivement la rampe fixe k 9 qui les re- met à la position horizontale de fermeture.
Lorsque le chariot revient à sa position première (voir dessin), une autre butée fixe placée à l'endroit voulu ramè- ne le fer k 5 à sa position première, et, par suite, les por- tes déjà fermées par la rampe se trouvent verrouillées.
En même temps, une butée (non figurée), agissant sur un plateau de commande tel que P, arrête le mouvement du doseur.
Le registre supérieur k 2, ayant la dimension de l'ori-
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fice d'écoulement de la -trémie K, sert à obturer cette der- nière lorsque le doseur vient en position sur le moule.
-Pour le secouage (fig. 3 et 4):
On embraye la planche fond de moule .(non figurée) aux clavettes q 3, en actionnant le levier Q; puis on fait tour- ner, en agissant sur la commande w II, la bride w 13 fixée au palonnier i I, de telle sorte que la vis-pointeau w 10, supportée par cette bride, vienne verticalement sous la bu- tée w 8 du levier coudé w 3, et que, par suite, en abaissant sur la soupape w 4 le levier coudé, par le jeu du levier de commande W, on provoque l'admission sous le piston du cylin- dre H par la tuyauterie w 5, ce qui a pour effet de faire monter le palonnier et l'ensemble du moule jusqu'à ce que la vis-pointeau w 9 entre en contact avec le bossage w 8 du le- vier coudé,
ce qui a pour effet d'amener en contact la vis- pointeau w 10 de ce levier avec la soupape d'échappement w7 et d'amener ainsi la chute du piston et du palonnier.
Le contrepoids W 1, placé sur le levier d'admission W, a pour but de ramener automatiquement l'admission en même temps que la chute du palonnier ; lavis-pointeau w9 permet de régler à volonté le temps d'admission; de même la vis- pointeau w 10 permet de régler à volonté le moment d'échap- pement; la vis-pointeau (non figurée), placée au-dessus de la soupape d'admission, permet l'avance à l'admission.
Après le secouage automatique ainsi réalisé (le pilon reposant ou non pendant ce temps à la surface de la matière) on arrête le mouvement en enlevant le contrepoids w I de-des- sus le levier W, et on ramène la bride, par rotation, à sa position première d'échappement vertical avec le bossage w8.
-Pour le pilonnage (fig. I et 2):
Le pilon D étant accroché par u 2 et u 4 à la vis p 16 (voir dessin), on provoque sa chute dans le moule en agissant sur le câble U.
Pour fig. 3,4, 5, 8 et 9;
Le pilon D étant accroché sur les colonnes G au moyen
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de la commande L ( II à 19), ou de la commande L (I 10 à I 15) ou de la commande L ( I 16 à I 18), on provoque sa chute en relachant le levier ou le cable de commande de ces disposi- tifs de blocage.
-Pour la relevée du pilon en fig. I, 2 et 2 bis:
En agissant sur le plateau D, on amène la courroie p 7 sur la poulie fixe p 10. ce qui a pour effet de faire descen- dre la vis p 16 jusqu'à ce qu'elle rencontre le pilon D ; peu avant ce moment, on ramène le plateau p à la position pre- mière de non commande de la vis).
A ce moment la vis se rembraye automatiquement au pilon, par le fait du ressort de rappel u 3 et du crochet u2.
On renverse alors le mouvement du plateau p pour amener la courroie p 6 sur la poulie p 10, ce qui a pour effet de remonter la vis et, par suite, le pilon à la position voulue pour la prochaine opération.
Il est à remarquer que lorsque la vis descend pour rac- crocher le pilon, son guidage p 17 l'empêche de tourner et, par suite, lui permet de descendre.
-Pour la relevée du pilon en fig. 3, 4, 5,8, 9 :
Le palonnier ayant été ramené à fond de course (piston au fond du cylindre H), en agissant par W sur la soupape d'é- chappement w 7, en embraye un dispositif tel que L (1 I à 19) ou L ( 1 16 à 1 18), ou L (1 10 à 1 15), entre le pilon et les colonnes i 1 du palonnier ; le cas du dispositif L (1 1 à 1 9) les colonnes i I du palonnier doivent supporter des crémaillères telles que celles 1 7 fixées aux colonnes G de la machine ;
est en outre à remarquer dans ce dispositif que, quelle que soit la position du pilon, ( donc des dents pivotantes 1 6 par rapport à celles de la crémaillère 1 7 ), l'embrayage de ces dents dans les creux de la crémaillère se fait toujours grâce à la suspension flexible-du ressort à la- me 1 8. qui a en outre pour effet, par la forme légèrement courbée vers le haut à son extrémité libre, d'empêcher que le
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bout des dents 1 6 vienne en contact avec celui des dents de la crémaillère 1 7 ; il suffit en effet de donner un coup plus ou moins violent au levier L pour que la dent 1 6 fasse sur l'extrémité du ressort 1 S'un ressaut plus ou moins fort.
Dans le dispositif L ( 1 16 à 1 18) . c'est le poids du pilon, auquel sont rattachés les axes des griffes en forme de came 1 16. qui agit lui-même à coincer ces griffes dès que l'- on actionne vers le bas le levier d'admission W pour la remon- tée du pilon.
Le dispositif L ( 1 10 à 1 15) peut être également em- ployé pour la relevée du pilon.
Il est à noter, en outre, que l'admission peut être cou- pée en temps voulu par une butée telle que w 15 fixée à une colonne i I du palonnier, pour ramener le levier W à sa posi- tion de non admission.
-Pour la compression à choc en Fig. I et 2 et 2 bis :
En agissant sur le plateau P, on amène lacourroie p 7 sur la poulie fixe p 10. ce qui a pour effet de faire descen- dre la vis et le pilon D.
Lorsque le pilon vient rencontrer la matière du moule, le volant p 14 restitue,toute sa force vive sur la vis, ce qui produit une forte compression ; peu avant le choc on amène le plateau P à sa position de non commande.
-Pour la compression à choc en Fig. 3 et 4:
Un deuxième cylindre, tel que H, peut être prévu au-des- sus du cylindre H pour actionner le palonnier I, tandis que la tige J du piston du cylindre H est attachée directement au pilon D ; ce cas, on peut admettre le fluide moteur, pour la chute du pilon, au-dessus du piston du cylindre H, à l'aide d'un robinet à quatre voies tel que 0 (fig. 4 bis), dont une des tuyauteries o 4 arriverait en w 5 ( fig. 3) et l'autre tuy.. auterie o I en h 1 (fig. 3).
-Pour le démoulage en Fig. I et 2:
Lorsque la vis p 16 a amené le pilon en contact avec la matière, de telle sorte que le niveau de cette matière dans le
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moule soit suffisant, a ce'moment on agit sur U de façon à désembrayer le pilon de la vis.
Puis on cale le pilon sur les colonnes de la machine au moyen de dispositifs tels que L (il à 1 9) (fig. 3 et 5 ), ou L ( 1 10 à 1 15) (fig. 8 ou 4), ou L (1 16 à 1 18 ) ( fig.
9).
Puis au moyen de la commande R (fig. I), on obture le trou i 2 du palonnier et enfin on agit sur P de façon à ame- ner le relevage de la vis p 16 qui, ne pouvant passer par le trou i 2, relève le palonnier et, par suite, les fers démou- leurs C et le moule B qui y sont embrayés par le levier 9.
En fin de course, les fers démouleyrs C viennent relever le pilon de façon à le dégager du niveau de la matière qu'on évacue sur la planche-fond-de-moule à l'aide d'un chariot ma- nutentionneur (non figuré).
-Le démoulage en Fig. 3 et 4 est réalisé de la même fa- çon : désembrayage du pilon D d'avec le palonnier 1 ( disposi- tifs L) et embrayage des fers démouleurs C avec le palonnier 1 (commande Q)
Un nouveau cycle d'opérations recommence ensuite, le moule B étant redescendu sur une nouvelle planche-fond-de- moule.
Toute autre disposition des commandes, telle que l'em- ploi de ressorts de rappel pour la commande du doseur, ne change pas le caractère de la présente invention.
Les dents 1 6 peuvent être remplacées par des pignons dont le blocage est obtenu par un frein à bande, de disposi- tion connue.
**ATTENTION** fin du champ DESC peut contenir debut de CLMS **.